Ce projet a été initié en juin 2017, suite à un petit déjeuner des acteurs du quartier St Jacques Le Viguier et la volonté commune de "faire ensemble" pour mieux se connaître. Ce projet est donc porté administrativement par le centre social Jean Montsarrat pour le compte d'un collectif où sont présents : 11Bouge, ALOGEA, l'Association Culturelle Arménienne, Association Cultuelle Musulmane du Viguier, La Boîte à Linge, le CADA, Carcassonne Viguier Futsal, le CHT (Centre d'Hébergement Temporaire), la CIMADE, CLCV, le Collège Alain, la Communauté Dominicaine de St Jacques, Le Conseil Citoyen, la crèche du Viguier, les Ecoles maternelles Ferry et Condorcet et les écoles élémentaires Ferry et Pagnol, Farandole, Gym Volontaire, Habitat Audois, les Jardins du Viguier, Les Petits Débrouillards, la Paroisse du Viguier , la Pastorale des Migrants, RCF Pays d'Aude, la Régie des Quartiers, Résidences Habitats Jeunes (ex FJT), Viguier Culture, Vivre Ensemble. Ce collectif est très largement complété par un groupe d'habitant(e)s réuni en "commission animation", qui ont proposé le contenu suivant pour cette journée festive en juin 2018 :
           • Matinée organisation de tournois sportifs notamment de foot, pétanque, tir à l'arc, ...
           • Repas de midi : grillades/sandwiches proposés par les associations du quartier. 
           • Après-midi animations qui ciblent un public "Familles" autour de 3 parcours thématiques : La découverte des différentes cultures du quartier, la migration (accueillir des migrants : une richesse), environnement et écocitoyenneté.
           • Repas du soir avec des prestations de différentes origines à un tarif similaire. Exemples : paëlla, plats orientaux, plats africains.
            • Soirée : Bal "occitano-oriental" organisé par 11Bouge dans le cadre de son projet "Arab'Oc".

Plusieurs niveaux de bénéficiaires pour cette action :
    - les acteurs du quartier avec qui il s'agit de retrouver des habitudes de travail communes, de refaire réseau.
    - les habitant(e)s bénévoles, qui s'impliquent ou s'impliqueront dans l'organisation de la fête. A ce jour c'est un groupe d'une dizaine de mamans habitantes du Viguier et de St Jacques qui sont le plus investies. Mais, au fur et à mesure de l'avancée de la préparation du projet d'autres habitant(e)s nous rejoignent. Nous souhaitons ainsi impliquer les enfants via les écoles, les adolescents, d'autres familles, mamans et papas, représentant le plus possible la diaspora du quartier, les plus ancien(ne)s,... dans l'organisation matérielle et la tenue des animations. Pour ce faire l'ensemble des acteurs du collectif est mobilisé.
     - les participant(e)s le jour J : nous visons un public familial, toutes générations confondues, habitant(e)s du quartier, mais également les familles extérieures au quartier. Les animations de l'ensemble de la journée sont prévues pour cibler enfants, parents et éventuels grands parents. Les parcours thématiques permettront aux "visiteurs" de découvrir le quartier autrement.

La fête  a donc eut lieu le 16 juin 2018. Nous estimons le public de la fête à environ 2000 personnes avec une très bonne mixité de public "venus d'ailleurs" et d'habitants du quartier. L'esprit "fête de village" et l'organisation en parallèle de l'action "Arab'Oc" par l'association "11Bouge" ont permis cette mixité sociale et culturelle. Plus de 600 repas ont été servis. Présence d'une quinzaine de stands d'habitants venus partager leur culture d'origine et d'associations du quartier. Les animations proposées l'après-midi, la qualité du spectacle en soirée qui a su marier cultures occitane et maghrébine (Arab'Oc) ont attiré un public familial avec beaucoup d'enfants. Ces publics ont partagé repas, danses et musiques.
   30 élèves de l'école élémentaire FERRY (et autant de la Calendreta) ainsi que 40 enfants du quartier fréquentant le CLAS ont pu se produire sur scène afin de présenter des créations musicales préparées pour l'occasion, en présence de leurs parents et parfois de leurs grands parents.

Le collectif est en train de préparer la Fête 2019.

L’accès au numérique peut être un vecteur d’intégration sociale, un tremplin vers l’emploi, une opportunité pour l’accès aux loisirs, à la culture, à la santé….

Dans le même temps, ne pas accéder au numérique ou à ses usages, accentue les inégalités sociales existantes et renforce la marginalisation de ceux qui rencontrent des difficultés à utiliser et à comprendre les nouvelles technologies.

En moins de dix ans, les politiques nationales ont généralisé l’utilisation du numérique qui est entré dans la plupart des foyers et cette technologie régule à présent le quotidien de la plupart des habitants, quelques soient les âges.

De nombreux usagers du centre social sont démunis face à la dématérialisation des principaux services (CAF, EDF…) et au développement du numérique dans leur quotidien. Un certain nombre de retraités ont exprimé le souhait d'accéder à ce nouveau mode de communication.

Fort de ce constat et de l’interpellation régulière des personnes, le centre social a souhaité mettre en place un atelier d’initiation à l’utilisation du numérique et d’accompagnement dans les démarches quotidiennes permettant ainsi de lutter contre l’ illectronisme .

Ces ateliers ont pour objectifs :

• La recherche de l’autonomie des personnes et familles dans l’accès aux droits
• La lutte contre la précarité numérique et économique des familles
• La lutte contre l’isolement social des habitants.

Modalités :

• Apporter des compétences liées à la maitrise technique de l’outil (ordinateur et internet),
• Apporter des compétences liées à la capacité de chercher, trouver des informations, et savoir faire le tri face au flot de renseignements disponibles,
• Apporter des compétences permettant de donner du sens à l’information recueillie au regard du questionnement du moment, du projet personnel, familial ou professionnel.

Mise en place de distributions de colis alimentaire 1 fois pas mois (partenariat avec La Banque Alimentaire de l'Aude), pour les familles (selon critères de reste à vivre journalier/jour/personne et avis commission sociale) de 17 communes très rurales des Hautes-Corbières. 

Accompagnement individualisé des familles, notamment pour améliorer le budget familial et l'écès aux droits.

Mise en place de distributions de colis alimentaire 1 fois pas mois (partenariat avec La Banque Alimentaire de l'Aude), pour les familles (selon critères de reste à vivre journalier/jour/personne et avis commission sociale) de 17 communes très rurales des Hautes-Corbières. 

Accompagnement individualisé des familles, notamment pour améliorer le budget familial et l'écès aux droits.

Création d’un atelier mosaïque sur la commune pour faciliter l’échange, la rencontre, l’accès à de nouvelles compétences et encourager une mixité entre habitants de la commune.

Les logements de la Cité de « l’Espérance » sont vieillissants. En attente d’un projet ambitieux sur l’avenir du site, le devenir du quartier, à l’échelle de la commune et des décisions actuellement en suspens, les locataires et leurs familles, vivent au quotidien dans des logements HLM qui existent depuis 1969.

Une MOUS (Maîtrise d’Œuvre Urbaine et Sociale) s’est déroulée au cours de l’année 2017, pour faire suite à l’action en justice des riverains du transformateur EDF, à proximité du site. Un projet de réhabilitation devrait voir le jour, selon le bailleur. De nombreux services ne sont plus présents sur le quartier (nettoyage, médiation...).

Le Centre Social reste le seul interlocuteur des résidents. Il existe un sentiment d’abandon des habitants qui se replient progressivement et limitent au strict minimum les interactions avec l’extérieur…

Une participation au dispositif que propose la CAF en direction des jeunes qui se mobilisent avec le Centre Social, nous a semblé pertinente

pour mobiliser les jeunes à réinvestir leur quartier et leur lieu de vie de façon positive.

Le projet consiste à la réalisation artistique d’une numérotation pour chaque logement. La rencontre d’artistes devait permettre aux jeunes d’imaginer et de créer des pancartes pour chaque logement, dans le respect de leur culture d’origine.

Il s’agit de mobiliser un groupe de jeunes adolescents sur une action qui concerne leur lieu de vie. L’implication de chacun dans ce projet (jeunes et adultes) devait favoriser l’émergence d’attitudes positives et constructives d’un point de vue personnel mais également d’un point de vue collectif ; devrait impacter le regard à porter sur leur cité, son devenir, préparant ainsi un terrain et un état d’esprit favorable à la réhabilitation de la cité. Cette activité a pour finalités :

• L’amélioration du cadre de vie ;
• L’implication et l’engagement des jeunes adolescents dans une action d’intérêt collectif ;
• La promotion de la citoyenneté.

L'action d'accompagnement à la scolarité est à destination des enfants scolarisés en primaire et secondaire (6°/5°).

Les objectifs de l’action sont de :
-  Favoriser l’intégration des enfants dans notre système scolaire, éviter qu’ils se retrouvent en situation d’échec, donner à tous les mêmes chances de réussite.
- Concourir à l’épanouissement des enfants, élargir leurs centres d’intérêt, leurs savoirs, promouvoir leurs apprentissages de la citoyenneté par une ouverture sur les ressources socio-culturelles et sportives du territoire ou de l’environnement proche
- Favoriser l’apprentissage des règles de vie en collectivité
-  Renforcer la place des parents en les accompagnants dans leur rôle éducatif au regard de la scolarité de leurs enfants
-  Faciliter et développer le partenariat des acteurs locaux, coordonner les actions pour améliorer la prise en charge des enfants et des jeunes.

Une animation familiale dont le pricipe est simpe : les enfants et leurs parents partent à la recherche d'oeufs cachés par les organisateurs. Des défis drôles et ludiques s'ajoutent au plaisir de découvrir les oeufs... une surprise attend tous les participants à la fin du parcours !

Rencontre intercommunale et intergénérationnelle proposée chaque année en septembre dans une des 13 communes du territoire.

En 2015, cette manifestationn a été co-organisée par le Centre Social (coordinateur), la mairie et les associations de Brandonnet et co-animée par des associations du territoire (aïkido, judo, tir à l'arc, bibliothèque de Brandonnet...), des intervenants d'activités proposées toute l'année par le Centre Social (gym, yoga...), des bénévoles et salariées du Centre Social. 

Organiser une journée de sensibilisation au "MANGER-BOUGER" réunissant les différents publics ayant particpé aux actions de prévention Santé tout au long de l'année.

Sensibiliser les familles, enfants et adultes, à une alimentation équilibrée à petits budgets et à l'activité physique de manière ludique.

Impliquer nos partenaires dans l'action

RESUME DE L’ACTION

Une résidence d’artiste de deux mois au pays des cent vallées.

L’auteure de carnets de Voyages Violette Gentilleau a été accueillie en résidence pendant 8 semaines consécutives  du 15 septembre au 15 novembre 2015 sur le Naucellois avec une première semaine de rencontre mi juin ayant permis de baliser le projet et de rencontrer les différents partenaires impliqués. Une dernière semaine de travail a été nécessaire à l’artiste pour finaliser le carnet de voyage trace de cette résidence.

Durant le premier mois elle a présenté son travail sur des rendez-vous publics, animé de nombreux ateliers à destination d’élèves des trois établissements du secondaire sur le Naucellois (croisés pour certains avec les résidents de l’EPHAD LA Fontanelle et du foyer logement intergénérationnel Les Platanes) mais également à destination du tout public en prenant l’attache d’association locales. Le second mois de résidence l’artiste a bénéficié d’une carte blanche pour venir questionner la notion de la mobilité sur le territoire rural du Naucellois. Elle a pour cela rencontré et suivi durant plusieurs semaines 6 personnes ou groupes de personnes.

Tout au long de sa résidence elle également alimenté un blog  et le carnet de voyage « Par monts et par veaux » a été imprimé à l’issu de cette résidence, reprenant l’ensemble de cette aventure artistique et humaine.

en partenariat avec la mairie, le centre social propose une soirée ou une matinée pour les nouveaux arrivants et les parents de nouveaux nés afin de leur souhaiter la bienvenue et de leur présenter les associations, les actions et les services existants sur la commune.

Un groupe de 17 adolescents a rénové le local dans lequel ils se retrouvent régulièrement au Centre Social Causse. Cette salle d’animation est utilisée par ces jeunes les mercredis, vendredis, samedis et pendant les vacances scolaires. Cette salle n’avait pas été réhabilitée depuis plusieurs années (peintures défraichies, décorations et meubles désuets…) et le groupe y a remédiait en s’impliquant tout au long des différentes étapes qui ont guidé le chantier.

Objectifs :

- Favoriser l’initiative des jeunes et les encourager dans leurs prises de responsabilité à travers la mise en place d’un chantier pour rénover un local d’animation,

- Accompagner le groupe dans l’élaboration du projet (échéancier, budget, type de travaux…),

- Accompagner les jeunes dans leurs recherches de financement.

Formation action pour définir une strategie de developpement a moyen terme de l’association des centres sociaux de millau grands causses

Contenus et objectif :

1. Travail sur les fondements de l’association

• Créer une dynamique autour de l’objectif final à savoir la définition d’une stratégie de développement de l’association en permettant à chacun d’avoir un socle commun de référence
• Structurer une réflexion visant à définir une stratégie globale de développement avec des actions coordonnées, concertées et novatrices

1. Définition d’une feuille de route de l’association à 4 ans

• Définir un cap, des objectifs stratégiques pour l’association qui serviront de « feuille de route »
• Se repositionner par rapport aux besoins de la population
• Se repositionner par rapport aux partenaires
• Redonner du sens à l’action de chacun (adhérents, administrateurs, salariés)

1. Plan de communication interne et externe

• Travailler la communication interne et externe

1. Développement financier

• Mettre en adéquation les ambitions de l’association avec ses moyens
• Trouver de nouvelles activités pour obtenir de nouveaux financements

Solidarité de proximité et circulaire:

La boutique solidaire vend entre 0.50cts et 2€ des vêtements préalablement triés par une équipe de bénévoles. Les gains permettent de financer certaines denrées pour l'antenne de la Banque alimentaire ainsi que des paniers de légumes du maraîcher de proximité. Le jardin partagé est quant à lui le lieu de rencontre d'apprentissages, d'échanges de savoirs et d'entraide. Ces trois outils au service de la solidarité de proximité sont également des espaces de lien social qui mobilisent différents publics pour une mixité sociale et permettent de lutter contre l'isolement. L'action collective est coordonnée par une animatrice attentive et accompagnante, dans le respect de chacun autour d'un projet commun.

Dès le début de la crise sanitaire, pendant le premier confinement de mars 2020, le Relais Familles (Association Familles Rurales Sévérac d'Aveyron) et son club couture ont fait le constat d'un manque de masques notamment pour les professionnels qui devaient continuer à travailler, en contact avec du public. Les animatrices du club couture ont commencé à confectionner bénévolement des masques à des professionnels (Centre de soins infirmiers par exemple). Elles ont été rejointes rapidement par les adhérentes du club puis d'autres couturières du territoire se sont proposées à leur tour, toujours bénévolement. Leur initiative très réactive a permis à certains professionnels de continuer à exercer et à d'autres de reprendre leur activité. Cette action a pris de l'ampleur au vu de la demande sur le territoire et de la quasi impossibilité à se procurer des masques à ce moment-là. 

Cette action a donc débuté par de la confection de masques par les couturières puis une prise de contact avec les entreprises, un système de drive et des livraisons, la mise à disposition d'un tuto pour la fabrication mais aussi d'une notice d'utilisation pour les professionnels, tout cela assuré par des bénévoles de l'association. Chaque semaine, un compte-rendu était envoyé aux couturières bénévoles. Le Relais Familles a assuré la communication autour de cette action solidaire et une coordination des acteurs. Ce sont 179 entreprises qui ont été contactées et 812 masques distribués entre fin mars et début juin 2020. Des dons d'entreprises et de particuliers et une subvention du Crédit Agricole ont permis d'acheter du matériel de couture et de remercier les 27 couturières participantes lors d'un pot convivial où chacune a reçu un cadeau.

A nouveau, lorsque le masque est devenu obligatoire à l'école pour les enfants de plus de six ans, la plupart des couturières (16) ont répondu à l'appel lancé conjointement par le Relais Familles et la Mairie afin de permettre à toutes les familles de la commune de bénéficier de trois masques par enfant concerné. La Mairie en a commandé une partie (2/enfant) et a soutenu financièrement l'action solidaire à l'oeuvre (achats de matériel de couture, de tissu, etc.) et ce sont là encore 525 masques qui ont été fabriqué gratuitement par ces habitantes.

Dispositif de mobilité solidaire, s'adressant aux personnes à mobilité réduite (agées, isolées, sans voiture...) pour des déplacements sur la commune de Capdenac, via l'implication de chauffeurs bévnévoles, avec comme volontés de maintenir le lien social des personnes et de favoriser les rencontres entre usagers.

Manifestation festive autour du jeu proposé en cœur de quartier.

Sur une après-midi, l'ensemble des acteurs qui œuvrent sur le quartier (institutions, associations, acteurs locaux) proposent des stands de présentation de leurs actions mais également des jeux autour d'une thématique. L'après-midi s'articule autour grand jeu (d'un fil rouge) qui invite les habitants du quartier et de la commune à découvrir les activités proposées sur le quartier.

Ce projet consiste en la mise en place d'animations dédiées spécifiquement à la jeunesse et en leur convergence vers une semaine de restitution des étapes précédentes du projet conçue comme un "coup de projecteur" sur la jeunesse du territoire.
Des ateliers, des stages, des tournois, des sorties, des séjours sont mis en place pour amener différents groupes de jeunes à se rencontrer et à échanger autour de leurs pratiques artistiques ou sportives respectives. Des traces de chaque action sont conservées sur différents supports mis en place par les jeunes et/ou l'équipe d'animation (vidéo, photo, dessin...). Les jeunes sont accompagnés pour ce faire
d'un intervenant vidéo, afin d'assurer une qualité suffisante pour une valorisation efficace. Des temps de forums réguliers sont proposés à l'ensemble des jeunes pour échanger sur le déroulement du projet.
Une semaine durant l'été (dates à vérifier avec les participants) sera mise en place par les jeunes accompagnés des animateurs durant laquelle à une échelle plus large des ateliers de découverte des différentes pratiques seront proposés, ainsi qu'une exposition des traces des rencontres effectuées durant l'année. Un forum des jeunes sera également proposé à cette occasion, pour favoriser les échanges et 
l'émergence de projets jeunesse à l'échelle du territoire.

- Le  Defi Sans Ecrans  consiste à se passer d'écran ou du moins se limiter aux écrans intelligents durant une période donnée.

- Le  « Défi 8 jours pour voir autrement » consiste à proposer à l'ensemble des enfants du territoire de s’engager à essayer, pendant 8 jours, de ne plus – ou de moins – passer de temps, à la maison, devant la télévision, l’ordinateur ou les consoles de jeux vidéo.

Pendant cette période, les télévisions et ordinateurs peuvent continuer à être utilisés à l’école soit dans le cadre des activités pédagogiques habituelles, soit en tant qu’outils utilisables par les enfants pour raconter et faire connaître le Défi dans lequel ils se sont

engagés.

- Il consiste en un travail partenarial appronfondi entre divers acteurs du territoire, aussi bien dans les diagnostics que les actions à mener vers les publics cibles:  Inspection Académique, (directeurs-trices d'écoles maternelles et élémentaires,équipes éducatives ) et colléges, Collectivité territoriale, monde associatif sportif, culturel, ludique...de Saverne et région, associations de parents d'élèves, associations familiales, monde de la santé...

- Il se décline concretement par:

> une formation à l'intervention en milieu scolaire pour les 'intervenants, une sensibilisation aux enjeux pour les équipes éducatives (dans chaque école ) ( cela passe aussi par la mise à disposition de "crédit formation" par l'Inspection à ses enseignants.)

> La mise en ouvre du Défi se fait, au sein de chaque école  et aupres des usagers et habitants, en 3 temps, répartis sur plusieurs mois par les intervenants du CSC et d'Eco Conseils, structure pilote de l'action.

• préciser, avec les enseignants, la démarche pédagogique à mettre en oeuvre,

• présenter aux représentants des parents d’élèves puis aux parents le Défi et les faire adhérer à la démarche,

• informer et « pré-mobiliser » les partenaires de proximité potentiels (centre socio - culturel, associations…).

2- Préparation au défi

Cette deuxième phase vise à :

• amener les enfants, via des interventions en classe, à prendre conscience de l’impact de la télé et des jeux vidéo et avoir envie de s’engager dans le Défi puis les aider à préparer les activités qu’ils feront pendant les 8 jours du Défi ( échanges, discussions, supports ludiques, dynamique de match à jouer contre les écrans,...)

• mobiliser les parents pour qu’ils s’engagent à accompagner leur(s) enfant(s) voire qu’ils proposent des activités,

• mobiliser les partenaires de proximité pour qu’ils proposent des activités aux enfants durant la période du Défi,

• préparer la communication autour du défi avec un objectif central :mettre en valeur l’action des enfants et des adultes autour, et générer des courriers de soutien aux enfants des écoles.

3- Mise en oeuvre du Défi

A l’issue de la phase de préparation, le Défi est lancé pour une durée de 8 jours (à cheval sur 2 semaines afin qu'il y ai un w-end compris ).

Pendant cette période de 8 jours :

- les enseignants accompagnent les enfants au travers d'activités scolaires,

- les parents sont mobilisés collectivement pour encadrer les activités « alternatives » préparées à l’étape précédente,( après l'école, durant le week end, le mercredi apres midi )

- les partenaires de proximité interviennent dans le cadre des activités qu’ils proposent (idem ).

Organisation d'une cavalcade dans les rues de la ville suivie d'un goûter et d'un spectacle offerts aux enfants

Il s’agira de fédérer différents partenaires associatifs et institutionnels du territoire dans la mise en place d’une semaine d’éducation populaire sur la question du racisme. Il apparait en effet que les mécanismes du racisme sont un obstacle parfois important à la cohésion sociale du territoire. Comment bien vivre ensemble lorsque je suis méfiant de certains de mes voisins en raison de leur origine culturelle ? Comment bien vivre ensemble lorsque je ressens cette méfiance ? En complémentarité des actions essentielles visant à favoriser les liens interculturels sur le territoire, il s’agit ici de prendre le temps de la réflexion, d’une prise de recul pour mieux appréhender les dimensions théoriques de cette problématique. Comment naît le racisme ? Comment et quand devient-il discrimination ? Quels leviers, outils et droits existent pour lutter contre ? Ses manifestations sont-elles les mêmes actuellement que celles des décennies précédentes ?
Cette semaine sera à destination de différents publics, et comporte par conséquent des temps dédiés et adaptés aux différentes catégories. Ainsi, un temps d'échanges sera réservé au public jeune, un autre aux différents intervenants sociaux bénévoles ou salariés. Ces échanges seront élaborés sur un modèle interactif, avec du théâtre-forum et une conférence gesticulée.