À travers cet outil d’animation intéractif, nous voulons créer un moment d’échange, de dialogue et de prévention avec les jeunes sur le thème du regard croisé et de la tolérance, en les amenant à comprendre et maîtriser les outils de communication (dans leur utilisation communicante et réceptive).    
-Apprendre à se forger sa propre opinion avec objectivité, avec sa propre conscience et son libre arbitre.
-Comprendre le monde qui l’entoure pour devenir un citoyen éclairé et capable d’interagir avec son environnement.
-Apprendre à vivre ensemble sans craindre la différence.
Cela passe par plusieurs phases:
-Proposer des initiations aux regards critiques.
-Sensibiliser à la prévention de lecture d’images et à l’utilisation des médias.

Depuis plusieurs années, l’Espace Condorcet coordonne et anime un réseau d’acteurs sensibles aux différentes problématiques Jeunesse (éducation, orientation, logement, santé, emploi…) Ce réseau se réunit à minima une fois par mois pour étudier des cas individuels de jeunes en voie de marginalisation et apporter des réponses concrètes. Ces rencontres permettent une observation et une analyse sociale et éducative des jeunes, par des professionnels favorisant une retransmission fiable de données aux institutions. Ce réseau reste mobilisable à tout moment pour des situations d’urgence.

De plus cette instance permet une veille sociale et préventive qui alimente le CLSPD.  

Les jeunes délégués sont en général volontaires, dynamiques et reconnus comme tels par leurs pairs, leur rôle se limite souvent à une représentation de ses camarades élèves au conseil de classe, c'est eux qui « rapportent » ce que les profs disent...

Les 3 principaux des collèges d'Annecy le vieux déplorent cela et souhaitent donner plus d'envergure à leur rôles tout en développant une idée de citoyenneté

La médiation sociale est une action transversale qui permet de mobiliser les compétences internes de l’association au service des usagers accueillis.

L’action consiste à assurer un accompagnement individualisé dans tous les domaines de la vie quotidienne (santé, logement, famille, emploi, éducation…) en étant à l’interface des institutions pour s’adapter aux problématiques rencontrées.

Les permanences d’écrivain public proposées, trois demi-journées par semaine, se retrouvent étroitement liée à la médiation sociale. Les personnes ayant besoin de faire un courrier, sans nécessité de suivi spécifique par les services sociaux, MSD ou CCAS, sont automatiquement orientées sur cette permanence, tenues par trois bénévoles aguerris aux pratiques sociales et de gestion dont ceux sont d’anciens directeurs de ressources humaines, la troisième ayant une longue expérience en la matière acquise dans les centres sociaux des Bouches-du-Rhône. Ces permanences, totalement complémentaires, ont été élargies par une permanence supplémentaire (d’une demi-journée par semaine) axée sur les litiges civils.

Nous avons constaté que plusieurs groupes de jeunes (13 - 18 ans) se forment dans des lieux peu ou pas adaptés pour les accueillir en journée (parking, hall d'accueil...). Le centre social n'est plus en mesure d'accueillir dans ses propres murs les ados du fait d'une hausse très net de la fréquentation. Ils se retrouvent rapidement limité par les capacités du bâtiment et le peu de matériel qu'ils ont à disposition.

L'objectif de l'action est alors d'accompagner les ados dans la recherche et l'aménagement d'un lieu où ils pourront se retrouver, se reposer, occuper leur temps libre et créer leurs projets. Ils seront forces de propositions et acteurs pour mettre en place toutes les idées qu'ils pourront avoir pour l'aménager, le structurer et le faire vivre. A eux également d'imaginer les règles de vie à mettre en place dans ce lieu.

Les animateurs se placeront dans un rôle de soutien et de guide à la construction de leurs projets et idées. Ce nouvel espace se voudra à la fois accueillant et sécurisé. Les jeunes pourront ainsi donner du sens à leur temps libre et à leurs loisirs.

Le conte parents-enfants

A raison de 2 mercredis par mois, Léa Pellarin, conteuse professionnelle, embarque parents et enfants dans l’aventure et l’imaginaire rythmés par de nombreux instruments du monde.

Pour les petits : enfants de moins de 6 ans, de 16h à 17h, conte et comptines, livre en tissus colorés accompagnent les parents et les enfants. Des assistantes maternelles du quartier viennent régulièrement rejoindre le groupe.

Pour les plus grands : enfants de 6 à 12 ans, de 14h à 16h, en partenariat avec l’association « Nos Enfants » du centre social Jolibois. Contes et légendes du monde viennent frapper à notre porte. Parents et enfants peuvent également s’essayer à conter une histoire au groupe

Ce projet amène les parents et les enfants à partager un temps en commun autour du livre et de l’accès à la lecture. A travers les mots, les comptines, les chansons, l’enfant découvre un mode d’expression et d’émotions, un lien avec le monde qui l’entoure. Les paroles rassurent, amusent, cajolent, encouragent… Le conte devient alors passeur d’émotions et d’images.

Il permet aux parents de s’apercevoir qu’avec peu de choses, ils peuvent créer un réel moment de complicité avec leur enfant.

Le conte parents-enfants, c’est :

• 18 séances de conte pour les enfants de 6 ans et plus
• 16 séances de conte pour les enfants de moins de 6 ans
• 16 familles + 6 assistantes maternelles (19 parents, 6 assistantes maternelles, 53 enfants)
• 334 participations
• Un véritable soutien à la fonction parentale

Illustration : création d’une histoire, de son illustration et de son enregistrement par les enfants qui content l’histoire. Un livre CD a été produit à l’issue du projet « La Belle et la Moche ».

Action émanant de la commission territoriale petite enfance crée par le centre social en 2014.

une matinée d'animation et d'information, ouverte aux futurs parents et parents d'enfants de moins de 3 ans

La MDP est un lieu de soutien à la parentalité, ouvert à tous. Lieu chaleureux où chacun peut se sentir accueilli, dans toutes ses différences, dans la confiance et la convivialité. Lieu d'échanges, d'information, de questionnements et d'écoute, d'accompagnement et de soutien aux initiatives répondant aussi aux besoins des partenaires institutionnels; Espace d'animation, de coopération ; gratuit, confidentiel et libre d'accès.

Cette action s'inscrit dans le cadre de notre animation sociale locale et les actions d'accompagnement à la scolarité mené avec une école du quartier de Cuire le Bas.

En partenariat avec l'école et les partenaires du quartier (EPAD, Foyer notre dame des sans abris, association d'habitants "Coeur de cuire bas"), nous proposons des actions de médiations culturlees, des ateliers contes en langues étrangères, permettant aux parents de s'investir dans l'école par le biais du conte. Les parents sont invité à venir raconter cette histoire dans la classe de leur enfant. Un lien avec l'école se créée, une mise en confiance des parents sur la capacité et l'enfant est ainsi fier de son papa ou de sa maman et ne valorise leur culture comme une richesse et non un handicap. Ce projet donne lieu en fin d'année à un spectacle dans l'école, mais également dans le foyer de personnes âgées voisin. Les partenaires Centre social et foyer crée les conditions de la rencontre: la médiation avec les familles.

Pilote : le Centre social et culturel.

Dans le cadre du collège, tous les 6ème ont eu droit à des séances obligatoires d'accès à la culture. Une classe a travaillè toute l'année scolaire sur l'art du "Yarn bombing".

Tous les jeudis de 16 à 17h des bénévoles du centre social se sont rendu au collège pour enseigner le tricot aux élèves de cette classe; Le projet a été porté par 2 professeurs de mathématiques et d'histoire géo. Dans un premier temps seul un changement de décor de la cour du collège était prévu. Face à l'engouement des élèves, des bénévoles, nous avons pu habiller la façade de la Mairie et le matériel urbain face à la mairie.

Mme le Maire a reçu les jeunes de cette classe, leurs parents, les bénévoles pour une inauguration de l'exposition et un pot de vernissage dans la salle du conseil municipal. Pour de nombreux jeunes c'était la première fois qu'il se rendait à la mairie.

RESUME DE L’ACTION

Une résidence d’artiste de deux mois au pays des cent vallées.

L’auteure de carnets de Voyages Violette Gentilleau a été accueillie en résidence pendant 8 semaines consécutives  du 15 septembre au 15 novembre 2015 sur le Naucellois avec une première semaine de rencontre mi juin ayant permis de baliser le projet et de rencontrer les différents partenaires impliqués. Une dernière semaine de travail a été nécessaire à l’artiste pour finaliser le carnet de voyage trace de cette résidence.

Durant le premier mois elle a présenté son travail sur des rendez-vous publics, animé de nombreux ateliers à destination d’élèves des trois établissements du secondaire sur le Naucellois (croisés pour certains avec les résidents de l’EPHAD LA Fontanelle et du foyer logement intergénérationnel Les Platanes) mais également à destination du tout public en prenant l’attache d’association locales. Le second mois de résidence l’artiste a bénéficié d’une carte blanche pour venir questionner la notion de la mobilité sur le territoire rural du Naucellois. Elle a pour cela rencontré et suivi durant plusieurs semaines 6 personnes ou groupes de personnes.

Tout au long de sa résidence elle également alimenté un blog  et le carnet de voyage « Par monts et par veaux » a été imprimé à l’issu de cette résidence, reprenant l’ensemble de cette aventure artistique et humaine.

Les ateliers sont la vitrine du Réseau d'Echanges Réciproques de Savoirs du Centre Social. Chaque semaine l'atelier propose une ou plusieurs activités, menées par un membre du groupe, l'animatrice des ateliers ou un intervenant extérieur. Couture, art visuel, cuisine, jeux, 'trucs et astuces', discussion sur des sujets de société...le champ des propositions est large.

Le Centre Social et le collège se sont rencontrés au mois de septembre 2015 pour évoquer la possibilité de faire des actions ensembles. Suite à cette échange, il en est ressorti qu’une action sur le harcèlement scolaire pouvait être judicieuse car au Collège Alfred Jarry, quelques enfants de 6ème ont subi des moqueries voire du harcèlement.

Pour sensibiliser les jeunes à cette cause, nous avons décidé de faire un ciné-débat. L’objectif est d’échanger après avoir vu un film sur une thématique particulière. De ce fait, le 11 Janvier 2016, les enfants de 5ème du Collège Alfred Jarry ont visionné un film intitulé «  souffres douleurs, ils se manifestent ». Ce film est très poignant. Plusieurs personnes harcelés témoignent de leurs vécus, de leur mal être ( brimades, moqueries, violences physiques).

Suite au visionnage du film, les élèves ont pu discuter en petit groupe encadré  par des enseignants, infirmière, assistante sociale, éducateurs et des animateurs du Centre Social du harcèlement scolaire. Différentes questions ont été posées aux élèves : Qu’est ce que le harcèlement scolaire ? A-t-on le droit d’aimer tout le monde ?.

Suite à cette action, nous avons décidé de mettre en place d’autres projets  autour de ce sujet avec des supports (vidéo, bd, dépliant) réalisés par les 5ème  Différents professionnels interviendront sur ces temps : Loic Méjean (Metteur en scène), animateurs, enseignants. Ces travaux seront présentés aux collégiens et aux parents lors de la semaine des talents du 23 au 27 Mai du Collège

En parallèle de ce projet, nous souhaitons organiser un moment d’échanges pour les parents sur le harcèlement scolaire. Qu’est ce que je peux faire si mon enfant est en situation de conflit à l’école, subit des moqueries, voire du harcèlement ?. Ce projet était animé par Céline Rondeau Gardie de l’UDAF.

Mobilisation d'un collectif de parents, de jeunes et d'enfants du quartier avec l'ide de l'association du quartier: La Maison de quartier et accompagnement dans la réalisation d'une fête de quartier.

- Le  Defi Sans Ecrans  consiste à se passer d'écran ou du moins se limiter aux écrans intelligents durant une période donnée.

- Le  « Défi 8 jours pour voir autrement » consiste à proposer à l'ensemble des enfants du territoire de s’engager à essayer, pendant 8 jours, de ne plus – ou de moins – passer de temps, à la maison, devant la télévision, l’ordinateur ou les consoles de jeux vidéo.

Pendant cette période, les télévisions et ordinateurs peuvent continuer à être utilisés à l’école soit dans le cadre des activités pédagogiques habituelles, soit en tant qu’outils utilisables par les enfants pour raconter et faire connaître le Défi dans lequel ils se sont

engagés.

- Il consiste en un travail partenarial appronfondi entre divers acteurs du territoire, aussi bien dans les diagnostics que les actions à mener vers les publics cibles:  Inspection Académique, (directeurs-trices d'écoles maternelles et élémentaires,équipes éducatives ) et colléges, Collectivité territoriale, monde associatif sportif, culturel, ludique...de Saverne et région, associations de parents d'élèves, associations familiales, monde de la santé...

- Il se décline concretement par:

> une formation à l'intervention en milieu scolaire pour les 'intervenants, une sensibilisation aux enjeux pour les équipes éducatives (dans chaque école ) ( cela passe aussi par la mise à disposition de "crédit formation" par l'Inspection à ses enseignants.)

> La mise en ouvre du Défi se fait, au sein de chaque école  et aupres des usagers et habitants, en 3 temps, répartis sur plusieurs mois par les intervenants du CSC et d'Eco Conseils, structure pilote de l'action.

• préciser, avec les enseignants, la démarche pédagogique à mettre en oeuvre,

• présenter aux représentants des parents d’élèves puis aux parents le Défi et les faire adhérer à la démarche,

• informer et « pré-mobiliser » les partenaires de proximité potentiels (centre socio - culturel, associations…).

2- Préparation au défi

Cette deuxième phase vise à :

• amener les enfants, via des interventions en classe, à prendre conscience de l’impact de la télé et des jeux vidéo et avoir envie de s’engager dans le Défi puis les aider à préparer les activités qu’ils feront pendant les 8 jours du Défi ( échanges, discussions, supports ludiques, dynamique de match à jouer contre les écrans,...)

• mobiliser les parents pour qu’ils s’engagent à accompagner leur(s) enfant(s) voire qu’ils proposent des activités,

• mobiliser les partenaires de proximité pour qu’ils proposent des activités aux enfants durant la période du Défi,

• préparer la communication autour du défi avec un objectif central :mettre en valeur l’action des enfants et des adultes autour, et générer des courriers de soutien aux enfants des écoles.

3- Mise en oeuvre du Défi

A l’issue de la phase de préparation, le Défi est lancé pour une durée de 8 jours (à cheval sur 2 semaines afin qu'il y ai un w-end compris ).

Pendant cette période de 8 jours :

- les enseignants accompagnent les enfants au travers d'activités scolaires,

- les parents sont mobilisés collectivement pour encadrer les activités « alternatives » préparées à l’étape précédente,( après l'école, durant le week end, le mercredi apres midi )

- les partenaires de proximité interviennent dans le cadre des activités qu’ils proposent (idem ).

Activités de jardinage et d'embellissement d'un terrain situé au Collège

Travail autour de la biodiversité

Notre démarche n'est pas de se substituer aux parents, ni aux professeurs, ni de dispenser des savoirs, mais de distribuer des outils d'apprentissages sur la gestion des devoirs et des affaires scolaires.

Les rencontres avec les familles visent à intervenir à un second niveau, en sensibilisant les parents à la réussite scolaire de leur enfant, vivre et exprimer les ressentis liés auc difficultés.

Cette action a pour vocation à inciter les parents à revenir au sein de l'école préélémentaire Louis Blanc et de construire une nouvelle relation entre les parents et l'équipe éducative.

Prévention sous la forme d'atelier et de jeux auprès d'adolescent et sous la forme d'une table ronde pour les adultes encadrants ( parents, enseignants, éducateurs...)

Le centre social développe un jardin ouvert à tous: habitants, écoles du quartier, adhérents...Différentes actions y sont menées: permaculture, récupération de l'eau de pluie, atelier jardinage, récupération des dechets végétaux, prêt de matériel, conférences, Incroyables Comestibles, partage de graines, échanges de savoirs...

Suite au renouvellement du projet social 2014 2017, la thématique de l'insertion et de l'emploi ressort comme un besoin fondamental sur le territoire d'intervention du centre social. La première année 2014 2015 donne lieu à un diagnostic centré sur les jeunes. Depuis la rentrée de septembre 2015, le centre social lance de nouveaux ateliers relatifs à l'emploi.

Le Centre Social Tsigane a accompagné les jeunes dans la réalisation d'un travail de recherche sur l'histoire, les origines et la culture tsigane. Ces recherches ont abouti à la réalisation de l'exposition "Ketenes Ni Creusa" qui a été mise en valeur lors du 1er festival culturel des familles Tsiganes en Creuse en octobre 2015.  Elle se compose actuellement de 22 panneaux qui brossent globalement 1000 ans d'histoire tsigane. Cette exposition a ensuite été présentée dans deux établissements scolaires (collège). Deux rencontres ont été organisées afin que les jeunes tsiganes et les élèves échangent autour de cette exposition et plus largement autour des éléments qu'elle contient. Nous souhaitons poursuivre cette action qui  contribue à la lutte contre le racisme, à l'engagement citoyen et au bien-vivre ensemble. La diffusion et la présentation de l'action suivies d'un débat pourra se mettre en œuvre avec des établissements scolaires ou des associations ou structures qui accueillent un public jeune. Il est souhaitable qu'au moins un événement se passe pendant la semaine  d'éducation et d'action contre le racisme et l'antisémitisme. Des contacts avec un établissement sont d'ores et déjà amorcés. Nous prévoyons de réaliser 4  interventions sur l'année 2017. Il est envisagé de réaliser un document que les jeunes non-tsiganes pourront garder reprenant les éléments phares de l'exposition. 
Le Centre Social se donne pour ambition de développer l'exposition par des "extensions" sur des thèmes précis: exemple: les tsiganes en Creuse en 39-45, etc...

Pour ce projet, les parents sont acteurs. C’est eux qui ont proposé ce qu’ils souhaitent partager comme savoir-faire, comme centre d’intérêt sur un ou plusieurs ateliers. Sur ces temps de partage, les parents sont mis en avant pour leurs compétences. 

Le but est de montrer aux parents qu’ils ont des capacités, des savoir-faire et leur en faire prendre conscience. De plus, l’objectif est de leur permettre de prendre petit à petit plus de confiance et d’estime en eux, des paramètres qui expliquent en partie le manque d’implication des parents dans le suivi scolaire des enfants.

Cette prise de conscience en leurs capacités devrait favoriser, à long terme, une plus grande mobilisation des parents dans le suivi scolaire de leur(s) enfant(s) et faciliter leur participation et leur engagement.

Accueils des enfants en situation de handicaps lors de tous les temps libres toutes périodes confondues, hors vacances scolaires et pendant les vacances scolaires.

Mise en place d'outils spécifiques à l'accueil d'enfants en situation de handicaps qui définissent le cadre de cet accueil, fiches spécifiques, dossier sanitaire confidentiel.

Mise en place d'un suivi individualisé qui fixe les grandes lignes de leur accueil. Formation des équipes et accompagnement des familles.