Les actions des centres sociaux

• Un habitant

Une bénévole de la MJC a initié cette festivité, et depuis c'est un double rendez-vous annuel que nombre d'adhérents sont heureux de venir animer et porter.

Réunir les adhérents et le public autour d'un évènement solidaire et convivial

Accueilli, rencontrer oeuvrer collectivement!

Lutter contre le "tout à la poublelle" lorsque'on ne s'en sert plus

Développer les possibilité de consommation alternative et lutter contre le "toujours renouveller par du neuf"

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

La première GRATIFERIA avait lieu en 2016. Elle nous a demandé quelques réunions de préparation entre bénévoles de l’association, mais pas énormément.

 Depuis, nous en organisons 2 par an, qui nous demandent des temps de rencontres avec les partenaires de chacun des évènements :

- une Gratiféria de printemps, que nous organisons en partenariat avec les étudiants du Lycée Jean-Monnet

- une Gratiféria à l'automne qui s'inscrit parmi les actions du Festival Zéro déchets du 65

Chacune demande de l’affichage et de la communication à l'avance, mais petit à petit, nous avons des "abonnés" de l'évènements qui en sont fans et qui nous aident à sa diffusion et organisation.

Il faut des bras le jour même car il y beaucoup de manutention et d'accueil à faire en permanence, mais pour la préparation et le montage du projet ceux-ci se font lors des réunions avec les bénévoles de l'association.

La recette :

• Réunis une équipe de personnes voulant participer à l’évènement, collègues et bénévoles
• Contacte d’autres partenaires associatifs qui seraient heureux d’organiser avec toi et de récupérer ce qui reste en fin de marché, ou à défaut, prévois un camion pour tout charger et ainsi porter le tout directement chez Emaüs.
• Réserve une grande salle, ou trouve un lieu suffisamment grand (entre 100 et 150m²)
• Prévois beaucoup de tables (entre 30 et 50 selon leur taille + éventuellement tapis, bancs, étagères…) pour le marché et quelques chaises (coin convivialité)
• Pas besoin d’ouvrir d’autorisation de buvette, puisque tu ne vends rien ce jour-là !
• Prévois une affiche et toute la communication que tu penses nécessaire
• Fais courir le bruit, et commence toi aussi, ainsi que les membres de la MJC, à réunir des affaires que tu souhaites trier dans ton placard, ton garage, ton grenier, ton jardin, ta terrasse, ton vieux carton, tes tiroirs, ton potager qui donne plus que tu n’en as besoin…
• Quelques jours avant : prépare le petit matériel (voir liste conseil en fin de doc) + prévois une de tes spécialités culinaires pour partager le repas lors de la gratiféria !

L’animation indispensable

• Accueil et explications
• Rangement tout au long du marché
• Echanges avec les participants
• Convivialité autour du café !

Peu de budget à mobiliser pour l'occasion si l'association n'est pas professionnalisée :

MATERIEL: local ou chapiteau pour l'extérieur, tables en nombre (30 à 40), panneaux d'affichage

COLLATION 100% GRATUITE: prévoir des tasses et verres pour offrir du café, thé et autre boissons ou mets (soit achetés par l'association ou le centre social, soit mis en commun avec les participants)

REPAS: repas tombé du panier à partager avec tous ceux qui en ont apporté!

COMMUNICATION: imprimer des affiches et des tracts

REMUNERATION: si l'association est professionnalisée, prévoir un temps de travail des animateurs/travailleurs sociaux

TRANSPORT: si les associations qui récupèrent ce qui n'a pas été donné ne peuvent pas venir prendre le matériel qu'il reste, prévoir un véhicule (éventuellement le louer) pour aller le porter

TRANSPORT: si les associations qui récupèrent ce qui n'a pas été donné ne peuvent pas venir prendre le matériel qu'il reste, prévoir un véhicule (éventuellement le louer) pour aller le porter

à minima:

1 à 2 pour la coordination (duo bénévole et professionnel)

2 à 3 pour l'affichage

le jour même: animation et logistique (installation le matin, accueil tout au long de la journée, vaisselle-repas et convivialité- et rangement à l'issue) 6 à 8 personnes de bout en bout (donc si certaines personnes ne font qu'une partie de la journée, prévoir des remplaçants)

Crée un circuit supplémentaire pour la seconde main et le don

Dynamise le territoire grâce à des actions innovantes

Aide à ancrer l'Espace de Vie Sociale ou le CS dans une dynamique développement durable, de lien facile et convivial avec les habitants

Donne de la visibilité et aide à permettre de repérer les actions de l'EVS ou le CS

Permet aux personnes de se rencontrer, créer des liens

Sensibilise à l'importance de la seconde vie des objets

Questionne la surconsommation

Sans circuit de débouché pour les affaires qui n'ont pas été prises en fin de manifestation, l'association peut être contrainte de devoir porter en déchetterie ce qui reste : écueil à éviter à tout prix ! Pour se rendre compte de l’importance, nous pesons les affaires apportées et nous recevons environ 800kg d’affaire et entre 400 et 500 kg repartent chez d’autres personnes. Quid de ce qui reste si cela n’est pas prévu à l’avance.

Recommencer et proposer encore et encore des gratiférias!

ajouter des ateliers gratuits en lien avec le sujet:

• créations d'œuvres collectives en matériaux naturels (vannerie, poterie...)
• réparation d'objets cassés : repear café, aide réparation vélos
• concert pour clôturer la soirée...
• etc..

• Le centre social

cette action a été mise en place après concertation et échanges du développeur territorial avec un public jeune souhaitant s'installer sur le secteur.

Le service INfo Jeunesse a alors mis en oeuvre une action multi partenariale (EEF, ComCom et ADIE) d'information autour de la création d'entreprise avec pour objectif d'offrir une information de premier niveau sur la création, sur les possibles aides financières et sur l'accompagnement au montage du projet.

L'action a 2 niveaux: 1 action ponctuelle avec un atelier

1 action sur le long terme avec un accueil au service INfo Jeunesse tout au long de l'année et des rv possibles mis en place avec l'ADIE et le développeur territorial de la commnauté de communes.

le service Info Jeunesse souhaite par ce partenariat renforcé aider l'implantion économique des jeunes sur le secteur mais aussi éviter leur errance sur le chemin de la création d'entreprise.

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

• Le centre social

Favoriser le changement des comportements en matière de consommation et d’alimentation.
Répondre à cette double solidarité et cette attention croisée entre des publics fragilisés et les agriculteurs assumant leur rôle nourricier avec une sensibilité à l’environnement, aux territoires et au lien social.
Mise en place d’un système de distribution de paniers solidaires pour permettre aux ménages ou familles en fragilité budgétaire d’accéder à une alimentation de qualité.
Critères d’attribution sont définis par les partenaires, tout comme les modalités de distribution (fréquence, valeur du panier, contenu...).

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

Action développée de décembre 2020 à juillet 2021.
Distribution de paniers - constitués de produits bruts ou transformés issus de l’agriculture locale - vendus à prix solidaire dans le cadre d’un dispositif pérenne.
L’abondement d’un fonds inter-partenarial pour le dispositif permet aux producteurs une juste rémunération (convention 2020).
Pour éviter toute stigmatisation et préserver la dignité de chacun, la recherche de points de distribution classiques et ouverts à tous (point physique et/ou plate-forme d’achat en ligne) constitue également un principe fondateur.
Cette offre peut s’inscrire dans le cadre de la mise en place des parcours « attentionnés ».
Des actions collectives diverses ont été mises en oeuvre pour associer les bénéficiaires et leurs familles dans une dynamique de changement durable des comportements (ateliers cuisine, repas partagés, ateliers diététiques et de prévention santé, visite de fermes, sorties familiales...). 

En décembre 2020, l’action a pu être mise en oeuvre pour un test sur 100 paniers pour les deux secteurs définis.
Mobilisation d’un prestataire : l’épicerie mobile, «Le Château Ambulant ». Positionnée sur la vente de produits locaux, majoritairement bio, elle déploie son activité commerciale (entreprise individuelle créée en 2018) sur les petits marchés du Couserans, notamment celui de La Bastide de Sérou.
- Marché de La Bastide de Sérou : deux distributions de 25 paniers ont été réalisés. Afin de la soutenir dans ce surcroît d’activité, sollicitation d’un salarié en insertion issu d’un dispositif expérimental (PEP’S), encadré par l’association Casta (préparation et la distribution des paniers),
- Pour Saint-Girons : souhait d’une distribution à l’identique sur le marché. Une seule distribution de 25 paniers a pu être réalisée en fonction de la disponibilité de Mme Fleury qui n’est pas présente sur ce marché habituellement. La mobilisation des différents prescripteurs, a conduit rapidement à dépasser le seuil fixé par notre prestataire. Recherche dans l’urgence et choix d’un autre prestataire (Orgascic : société coopérative d’intérêt collectif à Montagagne) pour la constitution de 10 paniers distribués au centre social.
A noter que nos deux prestataires, bénéficiaires du RSA, tentent de consolider leur activité professionnelle, comme 2 des 15 producteurs locaux impliqués dans cette action.
Contenu du panier pour une famille et pour 15 jours : produits de consommation courante, qui se cuisinent facilement avec du matériel de cuisine de base : équilibre de produits bruts et produits frais, épicerie issue de l’agriculture locale et/ou raisonnée ou bio.
Valeur moyenne du panier 50€ en 2020, revue à la baisse à 30 € en 2021 avec participation de 5€ du bénéficiaire.

En 2020 : 87 paniers distribués, d’une valeur de 50 € soit un engagement financier de 4350 € dont une participation des bénéficiaires par panier à hauteur de 5 €, soit 435 €.

En 2021 : 323 paniers distribués, d’une valeur de 30 € soit un engagement financier de 9690 € dont une participation des bénéficiaires par panier à hauteur de 5 €, soit 1615 €.

Personnels CAF, MSA, DSD,  Espace Séronais, CASTA, CCAS Saint Girons, la Bastide de Sérou : mobilisation et suivi des bénéficiaires à l’appui de supports de communication

1 agent PNR : soutien au projet, mise à disposition des outils créés pour précédent défi FAAP

2 agents CIVAM : proposition de faire le lien avec les producteurs répondant au choix du contenu du panier et animation d’un défi famille alimentation positive

2 agents CASTA : soutien au projet, mobilisation des salariés, aide à la distribution

Rencontre de nouveau public et nouveau partenariat.

En 2020 :

- 87 paniers distribués :  67 familles soit 87 adultes et 99 enfants

- 38 familles monoparentales et 37 foyers bénéficiaires du RSA.

- 10 partenaires impliqués ;

- 2 prestataires bénéficiaires  RSA ainsi qu’un salarié en insertion – mobilisation du programme PEP’S ;

- plus de  15 producteurs sollicités dont 2 bénéficiaires RSA ;

En 2021 :

- 323 paniers ont été distribués à raison de 2 distributions par mois sur chaque territoire (153 à La Bastide de Sérou et 168 à St-Girons).

- 91 familles ont bénéficié de cette opération dont 117 adultes et 138 enfant.

- 59 ménages sont allocataires CAF, 30 MSA, 2 sont non allocataires.

- 49 familles monoparentales

- 52 foyers bénéficiaires du RSA

Nous avons mesuré le fort investissement nécessaire dans la logistique de cette opération et par ailleurs la notion d’équité territoriale qui impose d’engager un budget plus conséquent dans le cadre d’appels à projet, ou manifestations d’intérêt que ne peuvent solliciter directement les institutions.

Réponse défavorable à l'appel à projet.

Maintien des actions collectives des "défis à alimentation positive" sans distribution de paniers.

• Le centre social

Pour rompre l'isolement social et accéder à une vie acive pas le biai de la mobilité. 

Permettre la sociabilisation aux jeunes inactifs qui sont "invisibles" et leur faciliter l'accès au code de la route.

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

L'action a débuté en 2020, après quelques rencontres avec le département.

La communauté des communes et la mission locale représentent des ressources importantes pour ce projet, pour le ramassage en mini bus et l'insertion.

5000€

2 professionnels

Amélioration de la mobilité

Nous accompagnons l'autonomie des habitants dans leur parcours de vie, axe de travail de l'association. Cette action permet la transversalité des différentes actions.

Diminution de l'isolement, soutien moral et social

• Le centre social

Pendant le confinement, les enfants n’ont pas pu aller à l’école. Les cours ont donc eu lieu en distanciel par les enseignants. En ce qui concerne les écoles du quartier, les familles avaient la possibilité de récupérer les devoirs, en version papier,  auprès de leur école. En parallèle et surtout à partir du collège, les enseignants  ont utilisé les outils numériques pour envoyer les cours et les exercices à faire. Il s’agissait notamment :

• Sites dédiés type pronote où enfants et parents pouvaient se connecter pour savoir le travail à faire
• Echanges entre un enseignant et un ou plusieurs enfants par le biais de visio
• Envoi de mails avec le travail à faire

Cette situation a mis de nombreuses familles en difficulté :

• D’une part, les parents ont dû assurer  le suivi scolaire mais également les cours alors que certains étaient déjà en difficultés (mauvaise compréhension orale et mauvaise maîtrise de l’écrit ; petit niveau de scolarisation voire en décrochage scolaire,…) pour aider leurs enfants dans les devoirs à faire
• D’autre part, la situation a fait apparaitre des difficultés pour beaucoup de familles en ce qui concerne l’utilisation des outils numériques. En effet, les familles possèdent souvent un smartphone qui peut permettre de communiquer avec l’établissement scolaire mais cette réalité cache de nombreuses lacunes :
• -) le temps que l’enfant a accès au smartphone peut être limité en fonction du temps de présence du parent qui l’utilise au sein du foyer. Des parents ont recopié des exercices de leur smartphone sur papier afin que leurs enfants puissent faire le travail demandé.
• -) la compréhension pour utiliser les sites dédiés
• -) la réalisation de tout travail écrit
• -) les conséquences sur le corps, la vue lors d’utilisation prolongée de petits écrans notamment ceux des smartphones

Le confinement a renforcé l’utilisation des outils numériques qui étaient déjà présent dans l’organisation scolaire. Il a mis en exergue la rupture numérique d’un public tant du point de vue de l’absence d’outils que de connaissances pratiques pour les utiliser.

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

Dans le cadre de cette démarche expérimentale, le projet serait donc d’aider 10 familles à acquérir les outils numériques nécessaires au travail scolaire mais aussi de former parents et enfants à l’utilisation de ces outils.

Etape 1 : aider les familles dans l’acquisition d’outils numériques

• Achat d’ordinateurs

Il s’agirait d’aider les familles à acquérir un ordinateur (+écran + clavier + souris) afin de répondre aux besoins décrits précédemment. Nous ne souhaitons pas axé cette démarche vers du matériel neuf coûteux mais plutôt de proposer du matériel reconditionné et sensibiliser par la même occasion, aux démarches de développement durable. Pour se faire, nous travaillerions en partenariat  avec le chantier d’insertion ICARE de FAP.

Le matériel est vendu 80 €. Les familles auraient 50 € à prendre en charge avec  éventuellement un échelonnement du paiement sur 5 mois maximum. Nous sollicitons le contrat de ville pour apporter une aide à l’acquisition de l’ordre de 30 € par famille.

L’achat d’ordinateurs comprendrait  également l’installation des ordinateurs au domicile des familles pour celles qui auraient du mal à configurer, paramétrer le matériel bien qu’ayant suivi la formation décrite ci-dessous.

• Acquisition d’imprimantes : achats groupés

Ordinateur, tablette, smartphone sont nécessaires pour communiquer avec les établissements scolaires mais certains périphériques comme les imprimantes sont également indispensable dès que l’élève doit rendre un travail écrit (exercices, expo,…). Une action serait donc de proposer aux familles intéressées de réaliser un achat groupé et de négocier avec un distributeur.

Si cette démarche se concrétise, nous orienterons également vers le remplissage des cartouches au lieu d’en racheter de nouvelles, ce qui représenterait un autre aspect de sensibilisation au développement durable.

Etape 2 : former les parents et les enfants

Les parents sont plus en difficulté que les enfants dans l’utilisation des outils numériques. Face à ce constat, nous aimerions proposer une formation qui tienne compte de cette réalité.

Les familles seraient divisées en 2 groupes et chaque groupe bénéficierait du cursus suivant :

• 1 module de 5 séances pour les parents sur l’utilisation générale de l’ordinateur
• 1 module de 2 séances pour les parents sur l’utilisation de l’outil spécifiquement dans le cadre scolaire
• 1 module de 2 séances pour les enfants sur l’utilisation de l’outil spécifiquement dans le cadre scolaire
• 1 module de 2 séances pour une mise en commun parents et enfants
• 1 module complémentaire de 2 séances en lien avec la FRAPS pour prévenir les dangers issus des écrans

Le premier module serait encadré par un intervenant d’orange Solidarités, les 3 suivants par cette même personne et l’animatrice – référente famille de l’AMA et le dernier module par notre animatrice et  la FRAPS.

Les séances seraient de 2 heures.

5500 €

2 salariés et un intervenant en mécénat de compétence

10 familles soit 10 parents et 18 enfants

* des familles qui ne se connaissaient pas ou de vue ont appris à se connaitre et discutent désormais ensemble.

* création de supports de formation (initiation PC, la messagerie électronique, Pronote,…) pouvant être réutilisés

* répondre aux orientations de notre projet centre social

* public réceptif en attente de cette aide, content qu’une structure s’occcupe de lui et lui explique

* reconnaissant de lui fournir un matériel en bon état de fonctionnement et abordable financièrement

* apprentissage du Libre Office qui ne demande pas de mises à jour payantes

* capacité du public à créer une boite mail puis à rédiger, envoyer et recevoir un mail, utilisation de la copie carbone et de la copie invisible

* capacité des parents à utiliser Pronote grâce à des exercices pratiques

* développement du travail parents-enfants en utilisant Pronote comme un outil de travail commun et pas uniquement un moyen de contrôle des notes

* capacité des parents comme des enfants à rédiger et présenter un courier en traitement de texte

* prise de confiance. Un des papas qui avait des problématiques linguistiques était plutôt fermé. Les autres parents l’ont soutenu, une maman lui a traduit parfois en arabe les informations qu’il avait du mal à comprendre. Lors des temps collectifs, ses 2 filles l’ont beaucoup aidées et nous avons vu une réelle progression dans l’utilisation de l’ordinateur.

* apprentissage de l’écoute et notamment de celle du parent envers son enfant

* prise de conscience des risques liés aux écrans grâce à des vidéos de prevention et grâce aux ateliers de la FRAPS. Les discussions ont permis de libérer la parole, de prendre conscience de ce que les familles connaissent et surtout les situations auxquelles les enfants ont pu être confrontées. Ainsi en partant de ces constats, les parents ont pris conscience qu’ils devaient être plus attentifs à ce que leurs enfants regardant.

* forte entraide entre les participants

Cette action devrait être reconduite en septembre 2022.

• Le centre social
• Un ou plusieurs partenaire(s)
• Un groupe d'habitants

- Infobésité des jeunes

- Méconnaissance des infrastructures locales couplée à une peur institutionnelle, plus largement de la vie locale et non recours aux droits

- Besoin d'expression, de libérer et de valoriser la parole des jeunes

- Peu d'espaces de loisirs dédiés aux plus de 18 ans

- Besoin d'accompagnement sur la vie quotidienne

- Neets dans les rues

- Décrochage scolaire, difficultés à l'orientation

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

- Un diagnostic en 2020 avec des jeunes adultes

- Construction du projet par groupes de travail et comités techniques incluant des jeunes

Charges : materiel, salarié dédié

Produits: CAF, DDCS pour le salarié, DRAC pour les interventions exterieures vidéo et son, Région complément salarié et materiel

1 salarié et des jeunes

- Visibilité du territoire

- Implication de neets sur un projet

- Reconnaissance de l'axe jeunesse

- Visibilité de la structure

- Accompagnement au projet, acquis de méthodologie

- Espace d'expression proposé

- Participation des jeunes

- Implication de jeunes dans les instances de la structure

- Développement de la radio vers tous les habitants, par les habitants

• Un groupe d'habitants

Depuis une douzaine d'années nous accompagnons un groupe d'habitants écocitoyen qui aiment à mettre en pratique leurs idées et ainsi sensiblilser la population à l'intérêt de cette préoccupation en terme d'environnement.

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

Notre commune est dite nouvelle. Depuis 2015 elle réunie onze communes dites déléguées.

L'action se passe à l'échelle de chaque commune déléguée ... il y donc onze groupes d'habitants mobilisés.

Dans chaque commune un habitant est nommé "référent" et à en charge l'organisation matérielle locale. La réflexion et la communication  se mènent avec l'ensemble des référents.

L'animatrice fait le lien avec la commune, Mauges Communauté et les services du Département pour récupérer du matériel (pince, gants ...) organiser la sécurité des usagers pendant le ramassage des déchets en bord de route (signailsation ...) et organiser l'évacuation des déchets récoltés.

Les dépenses sont minimes outre le temps passée par l'animatrice pour le soutien à l'organisation (temps estimé à une trentaine d'heure sur 3 mois)

188 personnes mobilisées dont 92 adultes et 80 enfants et ados

1 animatrice

les maires délégués (informés et souvent présents le jour j pour féliciter l'initiative voire pour certains ramasser  les déchets auprès avec les citoyens)

un nettoyage bienvenu des coeur de bourg et bords de route : 261 kg de déchets récolté dont 3 de mégots de cigarettes et 70 de "tout venant"

une interrogation des habitants qui ont vu des personnes se mobilisés et une sensibilisation des élus

11 animations visibles en simultanée

un biais pour interpeller les élus sur l'entretien "citoyen" des espaces publics et sur les suites à donner 

à l'issue de ce temps da'nimation la Présidente du Centre Socail et l'animatrice ont été invité à un bureau municipal pour présenter le bilaln et les suites à donner (suites imaginées par le groupe d'habitants écocitoyens : 

Récupération et traitement des déchets

- Installer plus de poubelles dans les endroits stratégiques et faire en sorte qu’elles soient vidées régulièrement.

- Installer des containers enterrés pour les déchets recyclables dans les bourgs.

- Installer des contenant pour la récupération des capsules et couvercles métalliques à côté des containers à verres.

- Installer des cendriers ludiques de collectes de mégots de cigarettes dans les lieux stratégiques repérés (lieux de fêtes, abris-bus, devant les écoles et périscolaires...)

- Tenter de récupérer des cendriers de poches pour les proposer aux fumeurs dans les magasins de tabac.

- Voir avec le service déchets de Mauges Communauté pour que les déchets soient ramassés dans les fossés des routes menant aux déchetteries.

Sensibilisation auprès des habitants

- Installer des photos de ce qui a été ramassé dans chaque commune à des endroits stratégiques

- Proposer la visite d’un centre de tri et de retraitement des déchets aux habitants et  aux écoles.

- Gros travail de fond sur l’éducation des enfants / Intervenir sur ces sujets pendant les temps d’éducation civique.

- Mettre en place des opérations de sensibilisation autour des emballages dans les supermarchés.

- Installer des affiches de sensibilisation et/ou des panneaux pédagogiques dans les endroits stratégiques (ex: parking de stationnement des poids lourds et camping-car...)

Des idées pour l’organisation nationale

- Alerter les pouvoir public pour mettre en place une journée de solidarité où l’ensemble des employés auraient une journée pour agir pour la planète (sur leur temps de travail)

Une sensibilisation à l'intérêt deurecyclage des déchets 

et "faire voir "un engagement à portée de tous

le nombre de déchets ramassés est conséquent mais de nombreux endroits n'ont pas été investis (faute d'un nombre suffisant de personnes mobilisées)

éviter, à terme, le traitement "curatif",  l'idéal serait qu'il n'y ai plus de déchets à ramasser  !

Faire de cette journée un évènement local : 

. Reconduction en 2022 en essayant de multiplier le nombre d'habitants mobilisés (partenariat avec les Etablissement scolaires pour sensibiliser les enfants et les jeunes) 

. Développer les partenariats avec les assocaitions et entreprises locales

. Renforcer le partenariat avec la commune

. Continuer à agir tout au long de l'année 

• Le centre social

Création d'un support de sensibilisation distribuée aux femmes en situation précaire. Objectif faciliter l'inclusion de ces femmes considérées comme publics invisibles

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

mobilisation des compétences psychosociales, qui ont permi aux jeunes femmes de se mettre en dynamique de projet et ed créer un support distribué aux plus précaires. Principe de prévention de pairs par les pairs

16 450 €

3 personnes

inclusion et valorisation de la personne

partenariat et initiative d'actions complémentaires

mise en dynamique et continuité de l'action avec un atelier mobilité

temporalités et acceptation des financeurs

atelier mobilité en 2022 et 2023 accès à l'emploi

• Autre

- Lutter contre l'isolement des personnes fragiles

- Valoriser la place des femmes âgées au sein de la société et de leur territoire

- Favoriser les échanges et les rencontres intergénérationnelles

- Découvrir le numérique et le support radiophonique

- Mettre en lumière le parcours d'habitants-acteurs au sein du centre social

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

- Lancement d'un appel à participation auprès des adhérentes du centre social

- Recueil des problématiques/thématiques importantes auprès des femmes volontaires

- Rencontre avec les participantes du projet au cours d’entretiens individuels et enregistrements

- Constitution d'un groupe de travail composé de Camille (service civique), participantes volontaires et d'une référente du centre social

- Mise en place des ateliers radiophoniques et numériques liés au projet :

• Atelier : découverte du montage radiophonique avec Le Florida
• Atelier : Sensibilisation au podcast
• Atelier : Temps d’écoute des podcasts terminé

- Rencontres avec les associations locales pour une présentation des podcasts, en vue d'une diffusion pour mars 2022.

15 euros pour le repas de valorisation du projet en présence des participantes, des bénévoles, des partenaires et de l'équipe du centre social.

1 service civique

Equipe du centre social = 1 directrice + 1 référente du projet

12 habitantes

1 bénévole radio

1 animateur multimédias

Aspects qui seront évalués à la finalité du projet en 2022.

- Favoriser la visibilité du centre social

• Dépassement de soi
• Fierté des participantes et prise de confiance
• Mobilisation des participantes pour les activités de la Maison Montesquieu

• Diffusion des podcasts lors du mois de la femme en mars 2022 (modalités à définir avec le groupe de femmes participantes au projet et les radios locales).
• Poursuite du projet « Les paroles de la Maison Montesquieu » et du format podcast sur une autre thématique portée par les habitants du territoire.

• Le centre social
• Autre

LAEP de Maurienne

Cette action a été mise en place pour permettre aux familles de découvrir les structures qui peuvent les accompagner de façon ludique. Elle permet de faciliter la parentalité, de lier les familles entre elles, entre les partenaires, entre les structures et les partenaires.

Cette action répond à un axe majeur de notre projet social qui est " replacer l'humain, les échanges entre les personnes au coeur de nos actions". 

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

Depuis 10 ans, des réunions des partenaires à l'échelle de la vallée décident du thème de "Familles en Fête" et des grandes lignes des actions, cette année 2021 la thématique est "DIY" Do it your self ( traduction: faire soi-même).

Une organisation plus locale décide des actions à mettre en place. Nous travaillons avec l'EHPAD, les écoles, la PMI, l'ALSH, la section seniors de l'AACA, les Communautés de communes et les autres centre sociaux. 

Environ 5 rencontres entre partenaires en amont. 

à completer

10 professionnels, 10 bénévoles, environ 300 personnes touchées sur le territoire. 

Nous connaitre et nous faire connaitre et faire participer les familles aux actions locales. 

+ de publics  nous connaissent et + de fréquentations à nos actions

diversité d'offre animation et une meilleur connaissance technique pour apprenhender la parentalité. . 

On ne touche pas toutes les familles, nous sommes des strutures avec des fonctionnements différents ce qui peut créer une inerctie (ex différence entre une communauté de communes et une association type centre social)

Continuer à faire l'action tous les 2 ans. 

• Le centre social
• Un groupe d'habitants

Cette action répondait au besoin d'habitants. Aujourd'hui elle favorise la transmission des connaissances, les rencontres et a permis de garder des liens sociaux vitaux durant cette crise sanitaire car les activités se déroulent en plein air.

Les résultats sont plus de convivialité, de liens integénérationnels et un questionnement sur la transition écologique.

Les changements attendus concernent la qualité des relations sociales, la prise en compte de la crise climatique et le bon fonctionnement d'une gestion collective. 

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

Début: mai 2016

Action qui se réalise avec des améliorations chaque année. Le groupe " jardin " se réunit tous les mois et fait le point sur les activités réalisées et celles à venir. Les tâches sont réparties en fonction de la disponibilité de chacun et inscrites sur un tableau.

L'action nécessite une coordination, personnel salarié, et des financements pour les achats et les prestations de services lors d'interventions de spécialistes. Il y a aussi nécessité de communication et de suivi avec les partenaires financiers et techniques.

10 000€ répartis par 70% CAF, 10% mairie et comcom, 10% FONJEP, 10% DDCSPP

Ressources financières: 10 000€

Nombre de professionnels: 1 (0, 1ETP)

Nombres de bénévoles: 10

Maintien du lien social autour de l'alimantation et la santé

Solidarité avec les personnes vulnérables et convivialité

Espace ressource pour appréhender la transition écologique

Mixité des publics

Création d'une grainothèque 

Formation du professionnel et des bénévoles

Education à l'environnement pour les plus jeunes

Transmissions des connaissances de jardinage par les rencontres intergénérationnelles

Formations et informations

Limites: périmètre, nombre de jardiniers, budget.

L'action se poursuit avec la participation d'acteurs spécialisés sur la quête et la réserve de l'eau. 

• Le centre social

Demande recueillie lors du diagnostic de territoire en 2020, afin de créer une animation locale et conviviale impliquant les habitants.

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

Pour le festival "Tombé du Nid" : depuis 2016, les étapes : présentation aux partenaires, réunions de préparation ouverte à tous, mise en oeuvre, bilans. Mise en place de commissions regoupant les membres de l'association, les bénévoles, les partenaires. Environ 4 réunions/an, depuis la programmation jusqu'au bilan. Festival annulé en 2020 et 2021 pour cause de covid 19.

Pour les ateliers : réunions mensuelles de concertations, coordination des intervenants. 

Fetival : environ 5 600 € de dépenses (rémunérations des intermédiaires, droits de cession, déplacements, approvisionnement buvette et repas). Les ressources d'environ 800 € proviennent des recettes de la buvette, de subvention de la Communauté de Communes.

Ateliers : les dépenses concernent la rémunération des intervants (55 €/séances), les recettes proviennent des entrées (5 €/séances, ou 3 € pour les bénéficiaires de minimas sociaux, familles nombreuses. Jusqu'à environ 10 dates/an. Impossiblité en 2020 pour cause de covid.

Festival : environ 30 bénévoles.

Ateliers : salarié présent lors de l'évènement, intervenants d'ateliers, 2 bénévoles (coordination).

Création d'une image de marque par des rendez-vous réguliers, maintien du lien social au travers du bénévolat, création d'emploi salarié.

Opportunité d'animation locale de qualité pour toute les familles et classes sociales confondues.

Parfois des ateliers peuvent ne pas rencontrer de public (problème de communication ?)

Renouvellement de la programmation.

Re-mobiliser les bénévoles après la période covid. 

Après la période estivale 2021, alimenter les échanges sur la politique culturelle de l'association, pour continuer à se renouveler tout en gardant les axes principaux.

• Un groupe d'habitants

Cette action a été mise en place il y a 8 ans  afin de permettre aux enfants en fin d'année scolaire, de se relâcher tout en maintenant un esprit de créativité et de découverte de leur territoire ; l'île de la Guadeloupe.

Cela permet aussi aux familles à revenu modeste ou en situation de précarité de se retrouver dans d'autres lieux et circonstances differents de leur quotidien.

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

Une fois tout le monde arrivé, nous avons fait une ronde de la parole ; les présents se sont présentés puis à tour de rôle ils ont donné leur sentiment sur cette crise sanitaire. Les animateurs ont pris la parole, se sont présentés à leur tour  et ont expliqué ce qu'est le COVID 19 en rappelant le caractère obigatoire de respecter les mesures de distanciation physique ( lavage des mains, posture lors d'éternuement etc..)

Chaque matin, une ronde en chanson.

Chaque matin un atelier débutait avec des intervenants extérieurs :

Peinture sur une toile en gite,

Création de bijoux

Création de tableaux

Fabrication de scoubidou

Fabrication de cerfs volants

Jeux de société

Le Budget est de 18775€ 

6  encadrants et 2 bénévoles

Lutter contre l'oisiveté

Resserer les liens familiaux

Se découvrir des compétences, des passions manuelles

Augmenter le nombre d'adhérents 

Se rapprocher de la population du secteur 

Faciliter les échanges 

Aider les habitants à se sentir valoriser et à s'ouvrir au reste du territoire

Elargir la connaissance de leur ile, (culturelle, culinaire, géographique)

Developper leur savoir vivre ensemble

Pour cette année de crise sanitaire nous n'avons effectué aucune sortie en zone fermée.  De plus tout musée et structure étaient également portes closes. Malgré tout plage et rivière en plein air étaient au programme.

Enfin le peu de connaissance sur ce virus a limité les inscriptions.

Les parents sont encore trop peu à partager ces moments de loisirs/découvertes avec leurs enfants. Néanmoins nous commencons à avoir un public d'habitués

Nous continuons à élaborer des programmes chaque année pour attirer le public adultes afin de les sensibiliser pour qu'il soient plus engagés dans cette action parents/enfants

• Le centre social
• Un groupe d'habitants

La crise saniatire a mis en évidence des réalités cachées pour les familles vivant dans la précarité. La première action, une distribution de colis alimentaires, réalisé en Avril 2020, a mis en évidence la problématique de la précarité alimentaire due à la précarité éconique. Fort de cette expérience, le Centre Social a permis la mise en synergie des acteurs autour de cette problématique.

Avec le souhait de s'investir dans une démarche DPA, nous avons profité de ces temps forts pour solliciter les bénéficiaires pour savoir s'ils souhaitaient participer à la définition d'un futur projet d'épicerie solidaire.

Ce projet s'inscrit dans l'axe prioritaire "Justice Sociale et solidarité" du projet social 2021-2024.   

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

Un comité de pilotage a été constitué avec les partenaires principaux pour envisager une épicerie solidaire régulière (mais avec la covid, celui-ci s'est plutôt focalisé sur les temps forts "épicerie solidaire éphémère", afin de ne pas perdre le lien avec les familles.

Ressources mobilisées : 1 salarié du CS pour assurer la coordination du projet et sa mise en oeuvre - une 30 taines de bénévoles de plusieurs associations dont le CS - 10 à 15 entreprises locales de distribution alimentaire ou producteurs (donnateur de denrée) -

En ne comptant pas le temps de travail, "l'épicerie solidaire éphémère" a un budget de 300 €

4 salariés ( 2 Centre Social - 1 MDS - 1 CCAS) + une trentaine de bénévoles

2 acteurs du territoire ont indiqué être interressé par la mise en oeuvre d'une épicerie solidaire pérenne... Une association qui s'appelle le petit panier des mauges (qui maintenant s'est réuni avec le GRAS (groupe de reflexion pour une Alimentation Solidaire) et la collectivité. le centre social s'est proposé pour être dans la mise en oeuvre d'un processus de développement du Pouvoir d'Agir avec les usagers et les acteurs associatif du Gras et la municipalité. Lors de la dernière rencontre, il a été décidé par la collectivité d'être le principale pilote du projet et d'y associer les partenaires citées ci-dessus. (processus de négociation en cours)

l'épicerie social ephémère a permis de rencontrer de nouvelles familles et de répondre à un réel besoin du territoire. le projet à également permis de visualiser pour les élus, que leur liste de personnes bénéficiaires des colis alimentaires devaient évoluer car son cadre semble trop restrictif. 

Il y a eu des interractions avec de nouveaux partenaires : les commercants et producteurs du territoire.

des discusions internes à partir de situation réelle autour de : "partenariat ou coopération... La relation avec la ville" - "La prise en compte du processus DPA" - 

rencontre de nouvelles familles et communication sur les autres possibles avec le Centre Social - mobilisation de nouveaux bénévoles

Pour les habitants qui ont bénéficiés de l'épicerie sociale éphémère :

Une reconnaissance de leur pouvoir de consommateur (achat avec le pouvoir de choisir) et non plus d'assistée (dont de colis alimentaires).

Une prise en compte de la situation, et pour certains, une envie de changement et de participer à ce changement...

Aucune limite sur l'épicerie sociale ephémère

Le modèle économique et structurel pour une épicerie sociale régulière.

La création d'une épicerie sociale solidaire est en perspective pour l'année 2022-2023.

• Le centre social

L'association Arts Scènes et Cie a, dès l'automne 2019, travaillé sur les projets divers qui allaient nourrir l' été 2020 et notre Espace de Vie Sociale (EVS). Il s'agissait de plusieurs séjours avec des enfants allant de 6 à 17 ans avec des thématiques diverses et des pratiques diverses mais toutes tournées sur des questions de société. De plus, nous avions prévu une quantité de spectacles habituelles à présenter aux locaux et autres événements festifs ouvert à tous.

Ayant un doute trop important sur la possibilité du bon déroulement de ces séjours tels qu'ils avaient été conçus, nous avons décidé de les reporter simplement à l'été 2021. Les spectacles étant annulés, nous avons envisagé de nouvelles formes de projets afin d'être souple et flexible face aux directives sanitaires en constante évolution.

C'est donc dans le cadre de la crise sanitaire que nous avons traversé (et que nous continuons à subir), que nous nous sommes adaptés avec les jeunes pour créer une action forte autour du débat citoyen et des créations diverses.

En accueillant des personnes de tout âge et en particulier des jeunes, nous avons à travers plusieurs activités, animations et jeux interrogé ce nouveau quotidien qui demande une adaptation nouvelle.
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Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

Cette action a été menée pendant 6 semaines pendant l'été 2020 (du 6 juillet au 14 août) autour de thématiques citoyennes et activités artistiques :

Semaine 1 : Débat radiophonique sur des sujets d'actualité / Ballade en nature, reconnaissance des plantes et de l'environnement.

Semaine 2 : Débat radiophonique sur des sujets d'actualité / Construction de cabanes et de décors

Semaine 3 : Défi photo en lien avec histoire de l'art, Musique et chant

Semaine 4 : Fresque murale, peinture, collage et pochoirs/ Atelier de langues

Semaine 5 : Création vidéo en lien avec les habitants / Mime et improvisation théâtrale

Semaine 6 : Création vidéo en lien avec les habitants / Fresque murale, peinture, collage et pochoirs

Le budget de cette action fût de 31 371€  avec un coût salariale de 19 664€

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7 salariés (3 permanents et 4 saisonniers) et une vingtaine de salariés ont été mobilisés sur cette action.

Le projet que nous avons soutenu et imaginé pour nous adapter à la crise sanitaire a donné place à une riche créativité. Comme nous le souhaitions, nous avons pu valoriser le travail et les initiatives des jeunes du territoire, les accompagner dans l’acquisition de nouvelles aptitudes à s’exprimer à travers différentes formes artistiques et débattre sur des thématiques citoyennes afin de créer une réflexion commune.

Chaque semaine les enfants ou jeunes ou familles étaient impliqués sur un projet qui prennait forme à la fin de la semaine. L’ensemble des actions menées a favorisé la rencontre de plusieurs publics de différentes tranches d’âge et de différentes classes sociales de par leur nature transversale.

Cette action a permis de remobiliser les bénévoles et renouer les liens avec nos usagers et bénéficiaires

Après un premier confinement très anxiogène, cette action a permis aux habitants de se retrouver et de pouvoir s'exprimer notamment sur ce qu'ils vivaient, ce qu'ils ressentaient (craintes dues à la pandémie et aux effets collatéraux) mais également sur ce qu'ils espèraient à la sortie de la crise sanitaire.

Même si durant l'été les règles sanitaires se sont quelques peu assouplies, la mise en place des gestes barrières et de jauges restrictives dans le cadre des accueils des publics ont limité les espaces et les temps de convivialité.

Cette action pourra se développer à nouveau si le contexte sanitaire se dégrade.

Cette action a également  permis de développer de nouveaux formes de solidarité au sein de notre association, de nouveaux bénévoles sont désormais inscrits sur des actions de notre EVS

Les témoignages et le recueils des débats durant ces 6 semaines seront valorisés et mis en lumière sur notre site internet et sur le lieu de notre ferme.

• Le centre social

La MDF tient son rôle de prévention en animant régulièrement des ateliers autour des questions d'argent et de la gestion d'un budget familial. La prévention et l'accompagnement dans le contexte de crise sanitaire COVID seront d'autant plus importants lorsque les effets de la crise seront visibles.

La MDF a souhaité mettre en place une semaine d'animations sur les questions liées à l'argent et son utilisation dans la vie quotidienne pour être au plus près de la réalité des familles.

Les difficultés financières et la précarité réduisent l'accès aux soins, aux droits et à la démarche d'insertion de certaines familles. 

Bien gérer son argent, c'est aussi se poser les bonnes questions dans la tenue de son budget, être un citoyen responsable et acteur de son devenir.

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

Suite au repérage du besoin d'information des familles et des jeunes sur la thématique éducation budgétaire et financière, une réflexion a été menée avec les partenaires de la MDF lors de plusieurs rencontres de travail : Association Finances et Pédagogie, ADIE, La Banque de France, le car des services publics itinérants et le service mobilité Jeunes du quercy.

Ces temps de travail ont permis de construire un programme et les différentes interventions des professionnels.

Intervention de la MDF et de l'ADIE sur le microcrédit personnel et professionnel et sur le Point Conseil Budget.

Intervention de la Banque de France sur les crédits et le surendettement

L'association Finances et pédagogie sur les banques d'aujourd'hui et de demain ainsi que sur les jeunes et l'argent

Présentation du service mobilité de la résidence jeunes du Quercy

Le Car des Services Publics Itinérants sur l'accès aux droits

L'action a eu lieu du 5 au 9 octobre 2020.

Les intervenants ont animé gratuitement les différents ateliers.

Cette action entrait dans le cadre des budgets prévention de chaque structure.

L'UDAF a donc financé les salaires et frais de déplacement des salariés de la MDF.

Professionnels de la MDF : 2 intervenantes en Cohésion Sociale + 1 chargée d'accueil et de communication

Intervenants extérieurs : 8 professionnels

Bénévole : 1

Meilleure connaissance des dispositifs qui existent sur le territoire. Possibilité de rendez vous en délocalisés pour être au plus près des habitants : connaissance par les élus et les partenaires locaux pour accompagner les habitants.

Mise en lien entre acteurs locaux et intervenants extérieurs pour mettre en oeuvre des actions sur chaque territoire.

104 personnes ont participé à cette action.

Meilleure visibilté de la MDF sur le territoire: plusieurs professionnels ont participé aux ateliers et peuvent donc plus facilement orienter leur public vers notre structure.

Plus value pour la structure : capacité et compétences des personnels MDF pour déployer une action sur une semaine ayant mobilisé un nombre conséquents de public.

Renforcer les liens avec les acteurs locaux des territoires pour une connaissance mutuelle et une légitimité reconnue.

104 participants dont 69 jeunes.

Un objectif de prévention atteint puisque 3/4 des participants étaient un public jeune entrant dans la vie active.

Une connaissance par les habitants des services proposés par la MDF qu'ils peuvent solliciter, avec une possibilité de rencontres en proximité.

Le contexte sanitaire était peu favorable : la MDF souhaitait pouvoir toucher un public plus large tel que les seniors ou les parents pour préparer l'entrée dans la vie active de leurs enfants.

Mobilisation des habitants : nécessité d'avoir des groupes constitués par des professionnels (ex : groupe d'un lycée, groupe mission locale....).

La communication a été plus réduite du fait du contexte sanitaire qui a obligé au report de l'action initialement prévue en mars 2020.

Renouveler cette action en 2021 sous un nouveau format d'animation co-construit avec nos partenaires locaux.

Créer des ateliers de réflexion associant habitants et professionnels sur des thématiques avec une synthèse commune.

Accompagner les acteurs locaux à construire leur propre action qui s'inscrit dans la semaine de l'argent.

Multiplier les formes de communication : emailing, radio, réseaux sociaux, vidéo .........

• Autre

Une Equipe d'animation de 17 personnes, certaines élues dans le CA, d'autres non : elle prend les inscriptions, tient à jour la liste des offres et des demandes, met en relation les offreurs et les demandeurs de savoirs. Chaque membre de l'Equipe est lui aussi offreur et demandeur de savoirs.

La circulation des savoirs, la recherche et la transmission de savoirs sur un territoire favorisent :

la coopération, la confiance en soi, la dignité, la socialisation, la solidarité, le "Vivre ensemble", la montée en compétences ds individus et des organisations, les apprentissages individuels, la formation de tous par tous.

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

L'action a débuté en juin 1999 - Avec progression constante des adhérents depuis cette date. 

Aide Caf à 60% des dépenses - Subvention MSA , commune d'Agon-Coutainville, CMB - Mise à disposition gratuite de locaux (Mairies, associations...)

Chaque personne inscrite au réseau est active puisque offreuse et demandeuse de savoir.  Tous les addhérents ne sont pas forcémént actifs sur une même période (année, par exempl). L'année 2020 et 2021 ont été peu propices aux échanges de savoirs en présence.

Création de lien social (intergénérationnel, inter classe sociale...) , circulation de savoirs

Estime de soi - apprentissage de nouveaux savoirs...

L'action reprendra  complétement dès que la situation sanitaire le permettra.

• Un groupe d'habitants

- Immortaliser la période de confinement, dé confinement et reprise des activités sur le centre social,

- Créer une trace pérenne pour les générations futures sous forme de livrets, mais aussi sous forme d’exposition,

- Maintenir le lien entre habitants et avec la Maison Montesquieu

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

- Prise de vue de la ville lors du confinement et du dé confinement.

- Écritures de textes sur cette même période, avec découverte de Haïkus. Ceci a permis un certain nombre d’adhérents de rejoindre ce projet.

- Lancement d'un appel à contributions (photos + textes) via une plateforme numérique collaborative.

- Mise en page du journal au travers d’ateliers à distance (skype) puis lors des ateliers en présentiel.

- Mise à disposition du livret à l’ensemble des agenais et remise officielle aux archives municipales.

- Exposition à la médiathèque ouverte aussi à tous publics.

Coût total du projet "Canards du confinement" : 5 194€

Coût total du projet "Le canard confiné s'expose" : 2 269€

Action ayant bénéficié du soutien du Fond de participation des habitants à hauteur de 1 000€ et de la participation de la Direction de l'Action Culturelle de la Ville d'Agen à hauteur de 829€.

- Equipe de la Maison Montesquieu : 1 directrice + 1 référente démarche participative et citoyenne

- 10 adhérents/bénévoles

- Direction de l'Action Culturelle de la Ville d'Agen : 1 directrice + 1 médiatrice

- Communication : 1 chargée de communication + 1 imprimeur

- Création d'un travail de mémoire collectif.

- Développement de partenariats culturels.

- Favoriser la visibilité du centre social.

- Maintien des liens sociaux en période de confinement.

- Valorisation de la place des habitants dans la réalisation d'un projet citoyen.

- Permettre l'échange et le dépôt de paroles face aux périodes vécues.

L'exposition "Le canard confiné s'expose" a vocation a être itinérante sur l'ensemble du territoire d'intervention du centre social.

Différents acteurs du territoire souhaitent accueillir l'exposition : acteurs institutionnels, équipements culturels, associations locales, etc

• Le centre social
• Un ou plusieurs partenaire(s)

Un groupe de parents associé au colectif Quand Les Parents S'en Mêlent que nous animons à l'échelle du territoire

Notre projet d’accompagnement jeunesse est guidée par des finalités éducatives, qui visent l’inclusion sociale et culturelle dans une démarche de concertation et de coopération avec les parents, les enseignants, les associations culturelles et sportives, les partenaires socio-éducatifs du territoire. Il s’agit à la fois de proposer et d'animer des espaces d'expression et de légitimisation, ouverts à l’autre, à l’ailleurs, adaptés à leurs besoins d’expression, d’engagement et d’autonomie, pour construire en même temps avec eux les conditions d’épanouissement de cette citoyenneté.

L'e-inclusion est un enjeu social qui traverse aujourd'hui de nombreux champs et l'éducation aux médias et à l'information est essentielle dans ce sens où elle doit permettre aux enfants et aux jeunes de se saisir des clés du monde numérique afin de comprendre et de participer en pleine conscience de leurs choix et de leurs évolutions et s'en servir de façon intuitive, comme outil éducatif par exemple plutôt que de le subir en se contentant de consommer ce qui est fait et décidé ailleurs.

Les jeunes de nos quartiers baignent dans un environnement numérique à travers les réseaux sociaux notamment mais ils n'appréhendent pas toujours cet univers comme un espace régi pas des règles, celles de la société non virtuelle. Les géants du Net visent à développer des comportements de consommation et peuvent représenter un réel danger quand les rapports entre les jeunes utilsateurs (mais pas que) ne sont ni accompagnés, ni encadrés. Etre en capacité de décryper l'information, de discerner les sources fiables des fake news, de protéger son identité numérique, d'adopter un comportement citoyen… ça s'apprend. C'est un frein qui devient un défi qu'il faut relever afin que les jeunes puissent se servir de façon intuitive de ce monde de l'information, comme outil éducatif par exemple plutôt que de le subir en se contentant de consommer ce qui leur est proposé sans discernement ou "mode d'emploi".

Mais si cet univers est semé de chemins à risque, il présente également d'infinies possibilités d'apprentissages et d'acquisitions de compétences. La technologie et les réseaux sociaux sont devenus indispensables à notre quotidien.

Les nouvelles générations très captives sont vulnérables mais elles développent également un potentiel numérique créatif et cette appétence naturelle est un vrai levier pour avancer sur un parcours d'éducation au numérique, avec la communauté éducative qui entoure l'enfant et le jeune, le parent occupant bien entendu une place centrale dans cet accompagnement.

Nous nous sommes saisis de cet enjeu depuis plusieurs années: labellisation Cyber centre par la Région dès 2000, élaboration d'un extranet collaboratif avec des structures d'éducation et d'insertion du Versant Nord Est, habilitation sur le dispositif timp@ss, ateliers d'initiation, de création numérique, parentalité, projet de sensiblisation au Lycée et au collège sur l'identité numérique, animation de TAP Medi@TIC, projet tous connectés jeunes-seniors retenu par le FDI (fonds d'innovation), ateliers d'insertion E-compétences, labelisation centres sociaux connectés….Nous avons ainsi développé des compétences internes et constitué un réseau solide de partenaires associés avec lesquels nous travaillons dans une dynamique de recherche/action et de développement. Issus du monde de la recherche, de l'enseignement, de la formation, des TIC, des médi@s, de l'associatif, de la culture, de la communication et des pédagogies innovantes, les professionnels et les organisations avec lesquels nous cheminons sont issus d'horizons divers et nous travaillons en regards et pratiques croisés à la mise en œuvre de l'inclusion numérique par:

- L'EMI: Education aux médias et à l'information

- La culture numérique: temps d'information et d'échanges thématiques

- L'accès aux droits et à l'information: dématérailisation des démarches administratives

- L'identité numérique: prévention et sensibilisation à la protection des données

- L'initiation aux outils: ateliers d'usage des TIC

- La pratique créative et artistique: Arts numériques et visuels (story board, MAO, Vidéo..)

- La communication: pour rendre visible et audible la parole et les initiatives des habitants (journal, blog, enregistrements radio..)

- La valorisation des parcours et des compétences: serious game, folio, quizz, tests…

- La pratique "makers": cooding, repairs cafés numériques

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

L'action a débuté en 2018. Elle est menée au sein de l'association et d'un collège.

Ce projet a été initié par le Collectif parentalité "Quand Les parents S'en Mêlent" regroupant à l'originedes partenaires institutionnels (Département du Nord,Service jeunesse municipal, des établissements scolaires, des parents, un CMP Adolescents, la clinique des adolescents. De là, des groupes de réflexion action ont été constitués: Résidence parentalité, PIA numérique, PIA jeunesse qui nous ont permis de travailler notamment avec la MEL, des centres sociaux connectés, la Fédération des centres sociaux, centres sociaux connectés, un laboratoire de recherche de l'Université de Lille 1.

Ainsi tout au long de l'année, ces groupes de concertation échangent, analysent, co-construisent, se forment pour mettre en oeuvre des projets d 'EMI dans une dynamique d'évaluation permanente pour rester au plus près des évolutions et des pratiques numériques pour accompagner des jeunes avec des outils éducatifs adaptés (rencontres mensuelles).

16000€

Si on ne tient compte que de l'animation de l'action:

12 professionels

4 bénévoles

12 parents

Mais cet enjeu mobilise plus largement à travers les réseaux décrtits plus haut dont nous sommes membres actifs et qui fédérent des initiatives sur le territoire de la MEL

Comme décrit ci-dessus, le travail en réseau a donné naissance depuis 2 ans à de nombreuses initiatives portées par des acteurs éducatifs jeunesse sur tout le territoire de la MEL

EMI (Education aux Médias et à l'Information) est un enjeu crutial en matière d'éducation et de parentalité. Ces actions nous permettent de développer de nombreux partenariats et d'accompagner ainsi de concert  des jeunes et des parents.

L'e-inclusion dans une démarche d'appropriation citoyenne par la coopération, le sens et le maill'âges.

Contribuer à une recherche universitaire et transfrontallière à partir des travaux menés avec les jeunes.

• Le centre social

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

• Le centre social
• Un ou plusieurs partenaire(s)

Au niveau des jeunesses à l'échelle du territoire communautaire Lavalette Tude Dronne, on constate :

• une sous-représentation des populations jeunes en déclinaison constante sur le territoire avec un net recul à partir de l’âge de 19 ans qui peut correspondre à l’âge de départ en études (inexistence de lycées sur le territoire)

• Les 15-24 ans représentent une faible part de la population active, puisqu’il ne pèse que 9,1% des actifs (INSEE 2016)

• Les jeunes de 16 ans à 18 ans aspirant à une première expérience professionnelle ou citoyenne ont du mal à en trouver s’ils ne disposent pas (par leurs parents) d’un réseau de relations.

• L’âge et la législation constituent un frein pour obtenir un travail d’été.

• Des jeunes ne peuvent financer leurs projets car ils disposent d’un budget restreint.

Ces constats ont conduit en 2019 un consortium d'acteurs locaux à expérimenter une opération autour de l'emploi saisonnier des jeunes avec plusieurs actions qui se sont déroulées de mars à août.

Fort de cette 1ere expérience, ils ont décidé de renouveler l'expérience d'un second forum de l'emploi saisonnier qui s'est tenu le 4 mars dernier à Chalais. Toutefois, considérant le peu d'offres d'emplois saisonniers accessibles à des jeunes de 18 à 25 ans à l'issue de la dynamique de préparation de ce forum, ils ont souhaité expérimenter une nouvelle action portant sur une coopérative de services durant l'été par et pour des jeunes de 16 à 17 ans répondant à la fois à un objectif de 1ere expérience du monde du travail et à un objectif d'aide financière à des projets individuels.

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

L'action a démarré début juin 2020 avec la préparation. 12 jeunes se sont positionnés (6 filles et 6 garçons)  avec 7 âgés de 17 ans et 5 de 18 ans.

La coopérative a démarré le 1er juillet et prendra fin le 29 août.

Total charges d'exploitation: 14 001 €

Total des subventions obtenues = 11 100 € couvrant les salaires chargés des 12 jeunes.

Ils sont accompagnés par 2 salariés du CSC (l'animateur de vie sociale et le directeur) tout au long de la démarche. Le CSC gère un chantier d'insertion par l'activité économique et a développé un accompagnement renforcé de salariés en parcours d'insertion tant au niveau des méthodes que des supports qui sont utilisés dans ce cadre.

Pour les activités, les jeunes sont encadrés ou supervisés par des salariés présents dans les divers lieux où ils interviennent (piscine de Chalais, restauration ALSH, Lieu été actif, familibus)

Renforcer la coopération entre acteurs locaux sur les questions de prise en compte des besoins des jeunesses à l'échelle du territoire communautaire.

Apporter un co-financement à des projets individuels de jeunes de 17 à 18 ans.

Démontrer les capacités de jeunes de 17/18 ans à être des ressources.

Permettre à des jeunes de 17 à 18 ans de vivre grandeur nature la gestion collective d'une activité économique.

Financement en 2021 et années suivantes

Créer en 2021 une coopérative services jeunesse fonctionnant tout au long de l'année les samedis et vacances et réservée aux jeunes de 16 à 18 ans.

• Un ou plusieurs partenaire(s)

Les objectifs du collectif d'artistes "L'Horizon" pour la mise en place du festival en milieur rural étaient d'amener la découverte culturel au plus prêt des habitants, les rendre acteur de ce festival et accompagner à ce que certains se produisent sur scène avec leurs ressources artistiques. Des objectifs qui correspondent à ceux de la collectivité (CdC Aunis Atlantique) de développer la culture en milieu rural, qu'elle soit accessible et attractive à tous les publics.

Travaillant régulièrement en réseau partenaires élus, associations et habitants sur le secteur, cette dynamique de réseau a permis à ce que le centre soit repéré comme acteur ressource pour constituer un collectif d'habitants intéressés à participer à la création du festival et en parallèle à constituer une troupe musicale locale.

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

Sur les 2 premières années, nous étions 3 partenaires à accompagner la troupe dans son évolution : collectif artistiques l"Horizon" pour garantir leur représentation au festival, le centre social Espace Mosaïque dans l'accompagnement de la troupe pour son organisation et son développement avec l'appui de l'intervenant artistqiue (logistique, lieu de répétition, communication, démarche de projet, relation partenaires et élus, ....) et une association d'habitants pour la sauvegarde du patrimoine faisant le lien entre les habitants souhaitant rejoindre la troupe, la mise à disposition de matériel, la diffusion des informations et des outils de communication (plaquettes, affiches, ...) et la mobilisation de bénévoles pour le festival.

Depuis 1 an, la troupe musicial évolue vers une démarche d'action en dehors du festival. Ce groupe d'habitants a fait le choix de poursuivre son aventure tout en restant soutenu et accompagné par le centre social dans ses missions d'accompagnement de projet d'habitant et d'activités socioculturelles

7 290 €

Achats-alimentation : 100 €, Communication : 200 €, Intervenant (prestation, transport, logement) : 6 990 €

MSA : 2 500 €, CdC Aunis Atlantique 800 €, CAF :1 634 €, CARSAT : 1 035 €, Autre : 1 321 €

32 personnes

Habitants de la troupe Clik : 2 enfants de plus de 6 ans, 29 adultes (18 femmes et 11 hommes) 2 de 20 à 25 ans, 11 de 35 à 45 ans, 8 de 45 à 60 ans, 8 de 60 à 75 ans.

Espace Mosaïque : 2 adminsitrateurs, 2 bénévoles dont les 4 sont actifs dans la troupe et 1 professionnelle

Forte mobilisation d'habitants d'âges divers autour d'un projet qui les motive, les enthousiasme à s'y impliquer.

Implication de partenaires locaux ressources mobilisant élus, acteurs culturels, membres d'associations.

Apport enrichissement culturel et artistique sur le territoire avec le concours des habitants.

Mixité de la population avec des âges, des situations familiales diverses permettant l'échange d'expériences et de soutien entre les habitants. (habitants en famille d'accueil, demandeurs d'asile)

Développement du secteur socioculturel par une mobilisation volontaire d'habitants du territoire.

Accueil de nouveaux adhérents, des habitants qui découvre les autres activités du centre et qui s'y impliquent (animations parentalité, bénévolat, conseil d'administration)

Valorisation de chacun qui apporte ses ressources et ses compétences en matière de musique.

Des habitants se côtoient et de contacte régulièrement en dehors de l'action : se rendre visite, faire des sorties ensemble, covoiturage, ...

La musique est un prétexe pour aller à la rencontre, sortir de l'isolement, voir du monde, ne pas rester seul, se faire du bien.

Espace adéquate pour les séances : difficulté à trouver une alle municipale à disposition assez grande sur un territoire riche en vie associative d'où une occupation des salles repérées.

Le maintien de la prestation de l'intervenant : renouveller et bien justifier la démarche auprès des partenaires financeurs -à adapter en fonction des objectifs et critères des organismes sollicités.

La Clik : mieux se faire connaître localement en multipliant les évènements locaux (création et participation)

Relancer la démarche d'échanges culturels- séjour Clik à Joigny - spectacle et représentation

• Un groupe d'habitants
• Autre

L'Espace de Vie Sociale

Suite à la mise en place d'atelier couture autour du zéro déchet, des ateliers d'astucerie prônant le « tout faire soi-même », et aux vues de leur succès florissant, il a été évident pour l'association de mettre en place une action autour du développement durable axée sur le "consommer autrement".

De plus, il paraissait important que la structure, aujourd'hui lieu repère dans l'animation du territoire, puisse s'implanter comme un acteur des enjeux écologiques.

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

Groupe de travail : Réflexion autour du nouveau projet social de l'Espace de Vie Sociale avec la volonté de devenir un acteur important sur le territoire autour du développement durable.

Mise en place d'un programme selon les compétences diverses des animateurs.

5 salariées soit 1,9ETP

Et une dizaine d'habitants impliqués dans le projet.
 

• De nouvelles actions

• Une dynamique nouvelle

• Un lieu ressource pour ateliers pratiques / utiles

• Diversification du public

• Nouveaux projets

• Implication des habitants dans les projets

• offre diverse concernant les actions au sein de l'EVS

• implication sur le court et moyen terme

• Mobilité des habitants à venir sur l'espace de vie sociale

• l'implication des habitants

• Mise en place d'un Espace de Vie Sociale itinérant pour être au plus près des besoins des habitants

• Toucher davantage de public (toutes générations)

• Autre

Ce projet a été monté avec les jeunes

cette action a été mise en place car les jeunes se sont portés moteur de l'opération. Nous voulons développer une itnérance sur les actiosn culturelles et apoporter une plus value sur le territoire.

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

Nous avons réalisé des réunions et des briefs avec les jeunes sur des temps d'échanges. Chaque action a été menée en lien avec les ressources du territoire afin d'apporter du sens.

12 000 €

36 jeunes et des associations locales issues des communes rurales. Les axctions ont été mises en place en lien avec des évènementiels existantes ce qui a valorisé l'action et donné du volume en terme de fréquentation.

Plus value culturelle sur les communes rurales

Dynamique d'image et un lien social avec les actions exsitantes. C'est aussi le moyen d'aller au devant  des jeunes qui omettent en lumièere des idées et des envies

avoir accès à des spectacles et des actions  culturelles

Continuer à accompagner les acteurs locaux sur ces manifestations et actions 

Renouveller l'opération

• Le centre social
• Un ou plusieurs partenaire(s)

suite à la catastrophe naturelle = séisme

- une population éprouvée, dont le quotidien devient un parcours du combattant
- près de 3 000 personnes devant être relogées, provisoirement ou définivement (campings, hôtels, mobil-home...)
- des rues barrées, des commerces fermés, des transports qui ne circulent plus
- des écoles détruites, des élèves dans des préfabriqués (où l'on n'entre plus qu'à 9 élèves pendant le confinement)

la solidarité des experts bâtiments, pompiers, cellule d'écoute pendant 3 semaines... puis plus rien.
le sentiment d'être invisible (couverture médiatique faible), d'une épreuve collective incomprise

le stress post traumatique des petits et grands déboussolés par la situation,
l'accentuation de la précarité, du chômage, de la déscolarisation

Partenaires d'action:

• Regroupement de communes

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seul le film a fait l'objet de cofinancement. Budget film (réalisation, montage, sous-titrage, médiation) = 8 463 €

30 bénévoles à la maison des solidarités
7 thérapeuthes solidaires
la moitié (5) des salariés

des mercis, "ça fait du bien" (film, actions bien-être),

marques de soutien suite aux communications et actions solidaires du centre socioculturel

- une visibilité nouvelle pour les partenaires, les habitants

- l'élargissement de nos missions, la réactivité et créativité face à l'urgence (qui sera très utile lors de la crise sanitaire... 4 mois après !)

- le travail associé bénévoles/salariés soudés et mobilisés, présents sur tous les fronts, pour répondre par la solidarité aux besoins

- un réseau de bénévoles "actions" décuplé

des mercis, "ça fait du bien" (film, actions bien-être),

marques de soutien suite aux communications et actions solidaires du centre socioculturel

la volonté de s'associer pour avoir plus de poids  : ex 1 - le collectif des sinistrés du 11 novembre 2019 compte près de 600 membres mi-2020, et permet de peser face aux assureurs et à leurs experts bâtiments. Accompagné et accueilli par le centre socioculturel, il engagera peut-être des actions en justice. Ex 2 - le monde d'après, les teillois ont commencé à l'imaginer...dès fin 2019, pour reconstruire leur ville et la faire (re)vivre.

l'adhésion aux initiatives solidaires de collectifs d'habitants, comités de quartier, centre socioculturel, comme les nombreux groupes ayant réalisé des masques de protection en tissu

risque d'être perçu comme le CSC de l'urgence.
pas d'autre cata !

la vie du film "le Teil" stoppée net par le covid, à poursuivre sous forme de projections-débats dans les établissements scolaires,
centres sociaux-culturels, festivals, de la région Auvergne Rhône Alpes et d'ailleurs.

l'intégration d'un volet "bien-être" dans la programmation de saison 2020-2021

le développement de notre rôle de "porteur de paroles" et de notre communication : savoir faire, faire, faire savoir