Les actions des centres sociaux

• Le centre social
• Un ou plusieurs partenaire(s)

« A Petits Pas vers la Naissance » est une action collective à destination des futurs parents de la zone d’affluence de la Maternité de Villefranche afin de les accompagner dans ce moment important de leur vie.

Pour donner suite à un diagnostic de territoire travaillé en partenariat, la première action a vu le jour en septembre 2016.

Tous les trimestres, une rencontre au Centre Hospitalier de Villefranche de Rouergue (locaux de Rulhe) est proposée durant laquelle sont abordés différents thèmes : la santé et le bien-être de la maman et du bébé, l’accès aux droits, la vie de famille.

Ces après-midis sont organisés en partenariat avec le Conseil Départemental (PMI et Service Social), la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, la Mutualité Sociale Agricole, la Maternité de Villefranche, la Caisse d’Allocations Familiales et sont coordonnés par le Centre Social.

Ce projet vidéo a été réalisé afin de donner aux futurs parents l'essnetiel des informations qu'ils auraient pu avoir lors des rencontres trimestrielles.

Partenaires d'action:

• MSA

Cette action a été pilotée et organiséepar le Centre Social et la PMI avec l'aide d'un prestataire.

Deux journées de tournage ont été nécessaires.

Les familles ayant déclaré une grossesse ont reçu une invitation personnalisée par courrier et par mail pour consulter ces vidéos.

Le coût pour la réalisation de ces 3 vidéos a été de 3100€.

Une subention REAAP a été accordée pour un montant de 2700€.

Le solde a été financé par les partenaires de l'action.

Les professionnels des 5 partenaires : soit une quinzaine de personnes

Le prestataire : 2 personnes

Les parents et usagers des structures

Un projet novateur qui met en lumière le partenariat local.

Nous avons pu maintenir le lien avec des futurs parents qui ne pouvaient pas venir sur nos actions en présentiel en raison de la crise sanitaire.

Les futurs parents ont pu avoir accès aux informations utiles en rapport avec l'arrivée de leur enfant et mieux connaître les différents partenaires de la petite enfance.

Les séances en présentiel ont pu reprendre à partir de septembre 2021.

Pour clotûrer l'année, nous avons organisé en complément une conférence "mieux comprendre l'enfant pour mieux réagir" animée par Alexia LAMAZERE (praticienne en psychopédagogie positive).

Les vidéos restent accessibles sur les différents sites internet des partenaires de l'action.

Nous continuons la diffusion et la communication de ces vidéos.

• Le centre social

Favoriser le changement des comportements en matière de consommation et d’alimentation.
Répondre à cette double solidarité et cette attention croisée entre des publics fragilisés et les agriculteurs assumant leur rôle nourricier avec une sensibilité à l’environnement, aux territoires et au lien social.
Mise en place d’un système de distribution de paniers solidaires pour permettre aux ménages ou familles en fragilité budgétaire d’accéder à une alimentation de qualité.
Critères d’attribution sont définis par les partenaires, tout comme les modalités de distribution (fréquence, valeur du panier, contenu...).

Partenaires d'action:

• MSA

Action développée de décembre 2020 à juillet 2021.
Distribution de paniers - constitués de produits bruts ou transformés issus de l’agriculture locale - vendus à prix solidaire dans le cadre d’un dispositif pérenne.
L’abondement d’un fonds inter-partenarial pour le dispositif permet aux producteurs une juste rémunération (convention 2020).
Pour éviter toute stigmatisation et préserver la dignité de chacun, la recherche de points de distribution classiques et ouverts à tous (point physique et/ou plate-forme d’achat en ligne) constitue également un principe fondateur.
Cette offre peut s’inscrire dans le cadre de la mise en place des parcours « attentionnés ».
Des actions collectives diverses ont été mises en oeuvre pour associer les bénéficiaires et leurs familles dans une dynamique de changement durable des comportements (ateliers cuisine, repas partagés, ateliers diététiques et de prévention santé, visite de fermes, sorties familiales...). 

En décembre 2020, l’action a pu être mise en oeuvre pour un test sur 100 paniers pour les deux secteurs définis.
Mobilisation d’un prestataire : l’épicerie mobile, «Le Château Ambulant ». Positionnée sur la vente de produits locaux, majoritairement bio, elle déploie son activité commerciale (entreprise individuelle créée en 2018) sur les petits marchés du Couserans, notamment celui de La Bastide de Sérou.
- Marché de La Bastide de Sérou : deux distributions de 25 paniers ont été réalisés. Afin de la soutenir dans ce surcroît d’activité, sollicitation d’un salarié en insertion issu d’un dispositif expérimental (PEP’S), encadré par l’association Casta (préparation et la distribution des paniers),
- Pour Saint-Girons : souhait d’une distribution à l’identique sur le marché. Une seule distribution de 25 paniers a pu être réalisée en fonction de la disponibilité de Mme Fleury qui n’est pas présente sur ce marché habituellement. La mobilisation des différents prescripteurs, a conduit rapidement à dépasser le seuil fixé par notre prestataire. Recherche dans l’urgence et choix d’un autre prestataire (Orgascic : société coopérative d’intérêt collectif à Montagagne) pour la constitution de 10 paniers distribués au centre social.
A noter que nos deux prestataires, bénéficiaires du RSA, tentent de consolider leur activité professionnelle, comme 2 des 15 producteurs locaux impliqués dans cette action.
Contenu du panier pour une famille et pour 15 jours : produits de consommation courante, qui se cuisinent facilement avec du matériel de cuisine de base : équilibre de produits bruts et produits frais, épicerie issue de l’agriculture locale et/ou raisonnée ou bio.
Valeur moyenne du panier 50€ en 2020, revue à la baisse à 30 € en 2021 avec participation de 5€ du bénéficiaire.

En 2020 : 87 paniers distribués, d’une valeur de 50 € soit un engagement financier de 4350 € dont une participation des bénéficiaires par panier à hauteur de 5 €, soit 435 €.

En 2021 : 323 paniers distribués, d’une valeur de 30 € soit un engagement financier de 9690 € dont une participation des bénéficiaires par panier à hauteur de 5 €, soit 1615 €.

Personnels CAF, MSA, DSD,  Espace Séronais, CASTA, CCAS Saint Girons, la Bastide de Sérou : mobilisation et suivi des bénéficiaires à l’appui de supports de communication

1 agent PNR : soutien au projet, mise à disposition des outils créés pour précédent défi FAAP

2 agents CIVAM : proposition de faire le lien avec les producteurs répondant au choix du contenu du panier et animation d’un défi famille alimentation positive

2 agents CASTA : soutien au projet, mobilisation des salariés, aide à la distribution

Rencontre de nouveau public et nouveau partenariat.

En 2020 :

- 87 paniers distribués :  67 familles soit 87 adultes et 99 enfants

- 38 familles monoparentales et 37 foyers bénéficiaires du RSA.

- 10 partenaires impliqués ;

- 2 prestataires bénéficiaires  RSA ainsi qu’un salarié en insertion – mobilisation du programme PEP’S ;

- plus de  15 producteurs sollicités dont 2 bénéficiaires RSA ;

En 2021 :

- 323 paniers ont été distribués à raison de 2 distributions par mois sur chaque territoire (153 à La Bastide de Sérou et 168 à St-Girons).

- 91 familles ont bénéficié de cette opération dont 117 adultes et 138 enfant.

- 59 ménages sont allocataires CAF, 30 MSA, 2 sont non allocataires.

- 49 familles monoparentales

- 52 foyers bénéficiaires du RSA

Nous avons mesuré le fort investissement nécessaire dans la logistique de cette opération et par ailleurs la notion d’équité territoriale qui impose d’engager un budget plus conséquent dans le cadre d’appels à projet, ou manifestations d’intérêt que ne peuvent solliciter directement les institutions.

Réponse défavorable à l'appel à projet.

Maintien des actions collectives des "défis à alimentation positive" sans distribution de paniers.

• Le centre social

Partenaires d'action:

• MSA

• Autre

Action impulsée par la CAF de l'Aude et la MSA.

Le contexte de dé-confinement nous contraint à réorganiser nos actions afin de répondre aux besoins identifiés auprès des habitants de la ville et de ses environs.
Cette action proposée par la CAF de l'Aude et la MSA, constitue une réponse au contexte de précarité grandissant, et vise à proposer la résolution d’une problématique double :
-    Des agriculteurs et producteurs locaux privés d’une part importante de leurs ressources, en raison de difficultés grandissantes pour écouler leurs productions,
-    Des familles qui ont été fragilisées depuis mars 2020, privées pour certaines de leurs revenus, enperte d’activité, ou autres raisons.

Ainsi, l’impact de cette action a pour objectifs : la réduction des charges aux seins des familles en situation de précarité économique, d’aborder la question de l’équilibre alimentaire, de favoriser le circuit court pour développer l’activité économique locale et valoriser nos producteurs.

Partenaires d'action:

• MSA

-    1 fois par mois, des légumes sont livrés par les agriculteurs au Centre Social en présence de la référente familles et des bénévoles. 24 paniers sont préparés et distribués à des familles du quartier ainsi qu’à d’autres personnes qui nous sont adressées par nos partenaires.
-    La C.E.S.F propose aux bénéficiaires, des recettes adaptées aux produits proposés sous forme d’ateliers cuisine.
-    Ces paniers seront redistribués aux familles contre une rémunération d'un euro symbolique par panier.

500€ de fonctionnement

1 conseillère CESF et 2 bénévoles

Valorisation des producteurs locaux et de leurs produits auprès de familles qui ne privilégient pas toujours une alimentation saine dans leurs achats

Participation  de producteurs locaux à des formes de solidarité en direction de personnes en grande précarité

Ces paniers ont apporté une réponse immédiate de soutien à des familles en grande précarité et ont été largement appréciés.

A favorisé la venue de personnes non usagers du centre socia qui ont pu découvrir le centre social A.M.I., ses actions et l’accompagnement proposé-    Implication active tout au long de l’action de 2 bénévoles, ce qui a permis de mener l’action dans de meilleures conditions mais aussi de valoriser les personnes dans cet acte de solidarité.
Le lendemain de chaque distribution, organisation d’un temps collectif (repas partagé) en présence de la référente familles, pour les personnes ayant bénéficié des paniers mais aussi pour d’autres usagers.

Cette action met « l’alimentation saine » au cœur des préoccupations des familles du territoire : elle permet de s’interroger sur :
-    L’impact des produits bio pour la santé de tous les membres de la famille ;
-    L’importance de cuisiner et non pas de céder à la faciliter de l’achat de produits transformés ;
-    La convivialité liée à la cuisine, le plaisir de partager avec ses proches un repas préparé avec des produits sains ;
-    L’impact budgétaire réel lorsque l’on cuisine ;
-    L’éducation à l’alimentation et au goût qui commence dès le plus jeune âge ;
-    L’éducation à l’environnement et à la simplicité : rapprocher le monde rural et les urbains.

Perspectives / Axes d’amélioration
-    Poursuivre l'action en augmentant le nombre de paniers et de familles bénéficiaires.

• Le centre social

un groupe de randonneurs (environ une quarantaine), la plupart à la retraite part en sortie chaque vendredi sous la houlette d'un bénévole très motivé et motivant. Ce groupe qui part du parking du centre social fonctionne très bien, mais certains membres ont du renoncer pour des raisons de santé et ne peuvent plus réintégrer le groupe car ils ont été fragilisés; d'autres tentent chaque année d'intégrer le groupe et plusieurs renoncent car ils n'arrivent pas à suivre pour différentes raisons (fatigue, santé, manque d'entrainement...). Ils sont déçus et perdent confiance en leur capacité. 
Nous sommes chaque année sollicités pour savoir où les orienter pour trouver une activié adaptée. 

Partenaires d'action:

• MSA

L'activité comprenant 10 séances s'inscrit au programme des activités de loisirs de l'association et a démarré fin septembre. L'animateur prévoit une première sortie simple avec le groupe pour évaluer le niveau de chacun et faire connaissance. Le programme des autres sorties leur est communiqué dans un second tremps. Le projet imlplique une participation assidue afin de valoriser les progrès obtenuse et de favoriser les rencontres de qualité au sein du groupe. 

Moyens  matériels : - 1 bus de l'association  (pour véhiculer les personnes depuis leur domicile jusqu'au lieu de RV)
 - les outils de secrétariat
 - 1 salle mise à disposition par la mairie du Vignon pour un repli en cas de pluie pour le gouter

Moyens humains : - 1 intervenant extérieur : éducateur sportif diplomé et animateur nature 10 séances d'1h30
 - 1 salarié du Rionet pour la communication, les inscriptions, l'accueil, et la prise en charge au domicile 25h
 - 1 salarié du Rionet pour la mise en œuvre le suivi et le bilan du projet  20h

le centre social a répondu à une demande de certains de ses usagers. 

les habitants bénéficient d'une activité complémentaire, prise en charge par les partenaires et adapté à leur situation physique. 

les personnes dont la situation physique ne leur a pas permis de progresser ne pourront ni intégrer le groupe des "dynamo rando" mais ne pourront pas non se réinscrire à la prochaine session de "rando mollo", car s'agissant d'un appel à projet, il ne pourr apas être pérennisé sans l'aide d'un autre financeur. 

un groupe s'est créé et nous envisageons de les accompagner dans une prise en charge autonome de leur groupe. Sinon, nous chercherons un bénévole qui pourra prendre le relais de l'intervenant spécialisé. 

• Le centre social

L’alimentation est très présente dans notre société. Si le repas est un moment de partage et de convivialité il est aujourd’hui source de beaucoup de questionnements tant au niveau de la conception d’un menu, de la qualité nutritionnelle d’un produit ou encore de sa provenance.

En effet avec la multiplication des fast food et autres restaurations rapides, le rythme de travail qui a évolué, le coût des produits alimentaires, beaucoup de personnes mangent trop rapidement, trop gras, trop salé, trop sucré…

Le gouvernement a donc mis en place une politique visant à mieux manger et bouger plus avec deux programmes : le Programme National Alimentation et le Programme National Nutrition Santé.  Des publicités pour inciter à mieux manger ont émergé depuis plusieurs années et maintenant une échelle de A à E pour rendre plus lisible et compréhensible l'étiquetage nutritionnel est affichée sur les produits : le nutri-score.

Aujourd’hui c’est au tour de la valorisation des circuits courts et des produits bio. Et aussi, le recours à des applications sur les téléphones mobiles pour connaître la qualité alimentaire du produit via une note. Certaines proposent la liste des additifs et les calories associées.

Sur le terrain, on peut soulever les constats suivants :

- Les parents doivent fournir un repas pour les mercredis et les vacances scolaires à l’ALSH.

- Les animateurs de l’ALSH doivent prévoir le goûter.

- Des enfants ont des troubles alimentaires : Dysoralité sensorielle, surpoids

- Les séniors et/ou personnes seules n’ont pas envie de cuisiner pour elles seules.

- Et nous nous posons tous la question « qu’est-ce que l’on va manger ce soir ?»

Partenaires d'action:

• MSA

Autour de 3 axes :

Des "ateliers menus" avec plusieurs rencontres entre parents ou entre parents et professionnels auront lieux en alternant des ateliers d’échanges autour de l’élaboration de menus et des ateliers cuisine.

Des "ateliers jardin" avec création d'un jardin partagé en mettant en place des ateliers jardinage entre des parents, entre des parents et leurs enfant, des parents et des bénévoles, des parents et des professionnels : des ateliers seront animés par des intervenants et une dynamique sera lancée auprès des familles pour qu’elles se retrouvent entre elles pour entretenir le jardin de façon autonome. Un bénévole au moins du groupe jardin de l’année précédente sera présent.

Des évènements et moments forts : ces actions ponctuelles pendant le projet viendront interroger nos modes de consommation, nous éclairer sur certaines thématiques, nous donner des clés de compréhension : ciné/débat et conférence/débat, visites thématiques et balades gourmandes (découverte des produits locaux du territoire)

16 000€

3 professionnels, 1 association, cinq bénévoles et une trentaine d'habitants attendus + les enfants de l'ALSH et les jeunes de l'accueil ados pour 2020/2021.

C’est un projet qui a pour objectif global de lancer une dynamique sur la consommation alimentaire et donc qui se poursuivra sur plusieurs années pour avoir un véritable impact sur les modes de consommation. Outre le fait qu’il découle de la politique nationale, il s’appuie sur une volonté de consommer des produits plus sains et une volonté des acteurs du territoire de les promouvoir. En effet, des habitants ont fait une proposition aux élus de mettre en place un marché de produits issus de l’agriculture biologiques et/ou au produits locaux. D’autre part, il y a une volonté que soit proposé des menus à la cantine avec ces mêmes produits.      

   Pour le centre social et culturel REISSA :

Créer du lien entre les habitants

Mettre en lien les différents projets du CSC (enfance jeunesse, famille)

Répondre à plusieurs fiches actions du projet Animation Collective Famille dont les objectifs généraux suivants :

Valoriser et développer les compétences parentales et reconnaître la place de parents en tant que premiers éducateurs de leurs enfants.

Valoriser l’implication des parents dans le projet

Soutenir et favoriser la participation des parents isolés

Permettre de vivre des temps conviviaux et agréables en dehors du foyer familial pour renforcer les liens familiaux

Rencontrer des parents, tisser des liens

Etre acteur de sa consommation alimentaire        

Créer des rencontres et du lien social entre les habitants

Mobilisation des habitants plus compliquée dans ce contexte

Poursuite et dévellopement du projet prévues sur plusieurs années

• Le centre social

Objectifs opérationnels :  Réduction de la fracture numérique

Permettre un accès numérique aux droits au plus grand nombre et notamment aux usagers qui en sont le plus éloignés en établissant un planning d'accueil "ouvert" au quotidien et sur rendez-vous pour des ateliers ou des demandes particulières.

Accompagner les usagers dans leurs démarches administratives numériques de façon individuelle mais aussi collective. Leur permettre d’être rapidement autonomes dans leurs démarches. Développer le réseau des partenaires sources d'accès aux droits pour tous et notamment les plus éloignés du droit commun et de la dématérialisation administrative.

Partenaires d'action:

• MSA

Travaux réseau électrique/informatique = 4675€

Electricité = 1286.52

Eau = 608.82

Gaz = 41.70

Téléphone fixe = 363.90€

Téléphone portable = 768€

matériel informatique = 1474.48€

copieur = 6000€

téléphonie = 1514.76€

ordinateur fixe = 8510€

ordinateur portable =1400€

responsable MFS = 23400€

Agents acceuil / numérique = 19500€

Total = 69 543.58€

3 professionnels

2 bénévoles 

- Un maillage d'accès aux droits qui tend à toujours davantage de proximité.

- Dynamisme partenarial.

- Animation de réseau et passage d'information.

- Elargissement du réseau de partenaires.

- Un outil supplémentaire au service des populations.

- Un moyen "d'accroche" et/ou de réponses pour les usagers les plus fragiles.

- Elément de lecture et de décryptage des problématiques des usagers.

- La préservation, voire le développement du contact humain et personnalisé à l'instar de la matérialisation systématique des démarches administratives et d'accès aux droits.

- Une plus grande proximité. Des réponses personnalisées.

- La difficulté à ce que chacun des partenaires engagés sur des actions similaires respecter les prérogatives et les savoir-faire des autres.

- L'accès à l'autonomie des publics.

- Permettre un développement d'actions pour des collectifs d'usagers.

- Responsabilité très importante vis-à-vis des usagers

Au regard du vécu de ce projet, nous convenons qu’il y a dorénavant lieu de nous appuyer sur la dynamique enclenchée auprès des usagers et leurs habitudes dorénavant prises pour nous solliciter. Nous devons par conséquent faire en sorte de « développer le maillage partenarial de territoire et y devenir un lieu ressource que les partenaires pourront à la fois identifier et en faire la promotion » Et Œuvrer pour la labélisation en Maison France Service. Ce développement devra prendre en compte les spécificités des autres partenaires et autres lieux existants tels que la Maison France Service du Moule ou encore sur les Abymes, par exemple. Nous défendrons l’idée de complémentarité et de relais auprès des autres partenaires selon les cas et les demandes.

Forces

• Renforcement de la fonction accueil, un outil pour toucher des habitant.e. s,

• Prise en charge globale des habitant.e. s

• Réseau partenarial élargi

• Maillage du territoire

Opportunités

• Des nouveaux partenaires et une meilleure coopération entre acteurs d’un territoire

• Légitimité et reconnaissance du centre social dans les réponses qu’il peut fournir aux habitant.e. s,

• Une enveloppe budgétaire supplémentaire

• Un lien privilégié et renforcé avec les collectivités locales

• Un groupe d'habitants
• Autre

L'EVS 

L’association s’est retrouvée face à la difficulté de toucher les personnes fragiles, âgées et/ou isolées, du fait de la crise sanitaire. L'idée du Kdo a germé pour maintenir un lien, un lien qui colle à un territoire caractérisé par l'importance du nombre d'artistes professionnels ou amateurs qui y résident.

L’objectif était que les personnes qui se sentent isolées, coupées du reste du monde ou très inquiètes par des temps de pandémie et d’isolement social subi, sentent la créativité qui palpite, la beauté qui s’invite chez eux, la chaleur humaine qui vient à leur rencontre. Nous avions pour but que les gens sentent qu’ils conservent une place dans la cité. Pour y parvenir, nous avons pensé que l’important était qu’ils se sentent présents dans les attentions généreuses des autres.

L’idée que les Kdos soient offerts, pour la majeure partie, par des « néo-ruraux » à des habitants seniors issus du territoire, nous tenait également à cœur pour surprendre l’« ancienne génération » sur la solidarité que ces ces nouveaux venus pouvaient leur témoigner.

Partenaires d'action:

• MSA

Les étapes du projet :

- Le repérage des « choyés », les bénéficiaires potentiels de Kdos : Cette étape a été réalisée en collaboration avec les partenaires (cf paragraphe Partenariat) et l’expérience du territoire de l'EVS Familles Rurales. 50 bénéficiaires possibles ont été identifiés : majoritairement des seniors, majoritairement des femmes, mais aussi des plus jeunes, handicapés, malades ou traversant une période difficile moralement.

- La constitution des équipes : Les salariés de l’association ont mobilisé 6 bénévoles pour constituer un groupe projet avec elles, chargé d’inventer le projet au fur et à mesure. Le groupe a recherché des « passeurs de Kdos » (un proche, une auxiliaire de vie, une infirmière ou une élue) qui fassent le lien avec le choyé. Le groupe a également référencé tous les artistes, professionnels ou amateurs du territoire (une richesse locale!), et leur domaine de création artistique. 

- Le repérage des goûts des choyés : Les passeuses de cadeau ont sondé les goûts des choyés et les on fait remontés au groupe

- La mise en adéquation des goûts et des artistes :

Le groupe projet a entamé une vaste campagne de mobilisation des artistes pour les convaincre de filmer une création spécialement dédiée à une personne. La création devait correspondre aux goûts de la personne choyée. Ils ont été 45 artistes à relever le défi ! Ils ont tous concocté une version personnalisée d’une chanson, d’un texte, d’une musique, d’un numéro… et ont organisé la prise de vue du film, spécialement dédicacé- . Pour les artistes qui rencontraient des difficultés sur la partie vidéo, l’association culturelle locale « L’Eté de Vaour » a mis à disposition une vidéaste qui a filmé 6 Kdos.

- Le passage de Kdo : Les 14 passeuses de cadeau ont montré leur film propre, à chaque choyé. Une fois le confinement terminé, plusieurs performances ont eu lieu in situ, aux fenêtres des choyés (danse, poésie).

Ces moments ont été compliqués à organiser pour partager le matériel de diffusion, programmer la visite au moment opportun, charger le film sur le matériel personnel des passeuses quand elles en avaient.. Mais ça valait le coup, les passeuses ont passé de très jolis moments d’échange à l’occasion du passage de Kdo.

Produits

- S ALAIRES : 2 780€

- F RAIS DE COMMUNICATION : 100 €

- F RAIS DE TRANSPORT : 100 €

- TÉLÉPHONIE : 209 €

T OTAL : 3 189 €

Recettes

- SUBVENTION MSA : 1 500€

- SUBVENTION C OMMUNAUTÉ DE C OMMUNES : 689 €

- PS EVS CAF : 1000 €

61 bénévoles, 3 professionels de l'EVS, 4 partenaires, 4 communes rurales

7 bénévoles organisateurs qui se sont réunis 5 fois par visio soit 5 participants en moyenne*5 réunions*2heures = 50 heures

16 passeurs de cadeaux ont distribué 49 cadeaux soit, au moins, 2 heures pour chaque prise de rendez-vous et temps de remise du Kdo = 49*2 heures= 98h

45 artistes bénévoles qui ont passé chacun au minimum 4 heures de préparation pour chaque cadeau = 45*4 = 180 h

Total Kdo = 328 h (soit 0,2 ETP)

Lien social entre des habitants qui ne s'étaient jamais croisés.

Evolution de la perception des nouveaux arrivants qui se sont révélés solidaires, aux yeux des anciens habitants qui ne voient pas toujours ces nouveaux venus avec indulgence.

Valorisation du territoire du Causse qui a une image artistique très marquée et qui démontre ainsi qu’artiste et solidarité peuvent aller de pair.

Grande joie et valorisation de l'équipe de parvenir à un tel résultat, avec si peu de moyens, en une période si difficile.

La prise de conscience du grand isolement dans lequel vit une partie des habitants a été une expérience importante, pour les participants au projet. Si nous savions que des seniors avaient un mode de vie assez austère et isolé, il est apparu du fait du confinement de nouvelles situations d’isolement touchant des seniors auparavant dynamiques, très en lien avec l’extérieur, qui se retrouvaient assignés à domicile, privés de leurs sorties au bal, de leurs activités sportives ou amicales habituelles. Cette prise de conscience a permis d’imaginer les suites, avec les participants, pour lutter contre l’isolement.

Dans la grande majorité des cas, ces Kdos ont fait mouche et ont apporté le petit supplément de joie attendu. Et lorsque l’effet escompté n’est pas survenu, il a quand même généré un moment agréable de rencontre et une nouveauté dans le quotidien des choyés.

Alors que l’association imaginait les retours positifs provenant uniquement des choyés, elle a été surprise de constater que le plaisir généré par ce projet était aussi à trouver chez les artistes et les passeuses de Kdos. Le soin infini mis par les artistes - création de décors, costumes, répétition, apprentissage de textes hors répertoire… - a révélé au groupe projet combien cette occasion d’être solidaire faisait du bien aux protagonistes de cette aventure. De même, pour les passeuses, leurs retours sur les bons moments passés à boire le café, à discuter des souvenirs avec les choyés, semblaient très marquants.

L'EVS souhaiterait créer et coordonner un réseau de visiteurs à domicile mais cela nécessitera l'obtention d'un soutien financier nouveau. Or, les actions non collectives pour les seniors ne semblent pas pour l'heure constituer une priorité.

« Après les Kdos, la Rencontre ... » 

- la réalisation d’un film retraçant cette aventure rurale et donnant à voir la diversité et la qualité des créations artistiques, afin de faire apparaître l’aspect collectif de ce projet et de montrer combien c’est grâce à tout un réseau de volontaires solidaires qu’il a pu voir le jour

- l’organisation d’une fête regroupant choyés – artistes – passeuses de Kdos, fête à laquelle tout le monde mettra la main à la pâte (ateliers cuisine, préparation de numéros, déco).

• Autre

Une Equipe d'animation de 17 personnes, certaines élues dans le CA, d'autres non : elle prend les inscriptions, tient à jour la liste des offres et des demandes, met en relation les offreurs et les demandeurs de savoirs. Chaque membre de l'Equipe est lui aussi offreur et demandeur de savoirs.

La circulation des savoirs, la recherche et la transmission de savoirs sur un territoire favorisent :

la coopération, la confiance en soi, la dignité, la socialisation, la solidarité, le "Vivre ensemble", la montée en compétences ds individus et des organisations, les apprentissages individuels, la formation de tous par tous.

Partenaires d'action:

• MSA

L'action a débuté en juin 1999 - Avec progression constante des adhérents depuis cette date. 

Aide Caf à 60% des dépenses - Subvention MSA , commune d'Agon-Coutainville, CMB - Mise à disposition gratuite de locaux (Mairies, associations...)

Chaque personne inscrite au réseau est active puisque offreuse et demandeuse de savoir.  Tous les addhérents ne sont pas forcémént actifs sur une même période (année, par exempl). L'année 2020 et 2021 ont été peu propices aux échanges de savoirs en présence.

Création de lien social (intergénérationnel, inter classe sociale...) , circulation de savoirs

Estime de soi - apprentissage de nouveaux savoirs...

L'action reprendra  complétement dès que la situation sanitaire le permettra.

• Le centre social

Constat avait été fait au moment du diagnostic d'un manque d'information de ce type de public. 

Partenaires d'action:

• MSA

Réunion de comité de pilotage tout au long de l'année. 

Coordination menée par le Centre social via le référent famille

7500 €

Le Centre social a été subventionné dans le cadre de la Conférence des Financeurs. 

70 personnes entre les partenaires, les agents municipaux (services techniques, personnel centre social)

250 personnes au niveau du public accueilli (malgré les conditions sanitaires qui limitaient l'accueil)

Prise en compte des besoins de cette tranche d'âge

Structuration d'un réseau de partenaires autour de cette thématique. 

Reconnaissance du Centre social comme tête de réseau. 

Meilleure connaissance des acteurs locaux. Isolement rompu chez pas mal de personnes. 

Savoir se renouveler au niveau des stands et propositions d'activité. 

Poursuite de l'action en 2021. Peut-être à l'avenir une orientation vers un rythme bis annuel.

Notre ESPACE DE VIE SOCIAL

nOUS SOUHAITIONS ACCOMPAGNER LA SOLITUDE ET L ISOLEMENT DE CERTAINES PERSONNES. C EST POURQUOI LES SOUTENIR SUR DES DEFIS JEUX ET UN CAHIER MEMOIRE NOUS PERMETTAIT DE GARDER OU CREER DU LIEN SOCIAL. C EST UN PROJET QUI A BIEN MARCHE

Partenaires d'action:

• MSA

• Un ou plusieurs partenaire(s)

Cette action initiée par la CAF a été proposée et acceptée par le Centre Social.

Suite aux conséquences de la crise économique sans précédent, engendrées par la première période de confinement, il nous est apparu évident d’agir pour :

• Contribuer à une rétribution juste du travail des producteurs ;
• Participer à la mise en place de circuit court qui valorise les producteurs locaux, et rappelle leur rôle et place dans l’économique locale
• Proposer aux familles éprouvant des difficultés budgétaires, la possibilité de se nourrir de façon équilibrée avec des produits issue du territoire en « circuit court ».
• Réduire les charges alimentaires aux seins des familles en situation de précarité économique
• Sensibiliser les familles aux questions de l’équilibre alimentaire, de l’importance de l’alimentation pour la santé de tous les membres de la famille,
• Sensibiliser les familles au plaisir de cuisiner en famille et à son rôle dans l’éducation des enfants
• Valoriser et rendre visibles nos producteurs locaux auprès des habitants de quartier, qui peuvent être éloignés dans leur quotidien de la façon dont sont produits les fruits et légumes
• Mobiliser et faire vivre la solidarité locale en impliquant des bénévoles/ habitants du quartier, sur cette action portée par le Centre Social.

Partenaires d'action:

• MSA

Il s’agissait d’une action test de distribution de fruits et de légumes de saison (été et automne) en circuit court, à 35 familles du territoire se trouvant en situation de précarité suite au 1er confinement.

Cette action a débuté le 09/07/2021 et s’est achevée le 10/12/2021.

Une distribution de paniers en direction de 35 familles, a été organisée 2 fois par mois, de juillet à décembre.

Pour chaque séance, était mis en place une logistique préalable à la distribution des paniers avec un impératif de respect des gestes barrières et de respect horaire :

• Accueil des bénévoles au centre social
• Accueil échelonné des producteurs et de leurs produits
• Préparation des 35 paniers par les bénévoles, entourés des professionnels du centre social, l’adulte relai et la CESF
• Accueil des familles en tout petit groupe : distribution des paniers, explication sur les fruits et légumes du jour, distribution de recettes liées au contenu du panier, échanges avec les familles, recueil de la participation des familles (1 euro symbolique).

Ces paniers ont été redistribués aux familles contre une rémunération libre minimale d’un Euro symbolique par panier.

L’action intègre une seconde organisation logistique, préalable aux séances de distribution, la commande des produits et le paiement des producteurs :

• La CAF passe commande auprès des producteurs
• Le producteur émet une facture pour chaque distribution
• Le centre social règle chaque producteur sur présentation de facture
• La CAF rembourse le centre social AMI des sommes versées aux producteurs

Le budget global de l’action correspond à l’achat des fruits et légumes des producteurs, soit un total de 11 136,92€.

Le panier moyen a un coût de 20 à 30€, variable selon les distributions.

Au total, 12 séances de distribution et 413 paniers distribués

• Personnes investies dans l’orientation des usagers : 6 personnes, soit une personne par structure : CAF, MSA, Centre Social Mandela, CIDFF, Association AMI-centre-ville, Association « Maison des Potes » ;

Personnes du centre social A.M.I. investies dans l’opérationnel (réception des produits, accueil des bénéficiaires et distribution des paniers) : 6 personnes dont 3 bénévoles, la CESF et/ou l’adulte Relais et le coordinateur

Développement de la solidarité sur le territoire :

Une fierté non dissimulée de certains producteurs de participer à une opération caritative.

Sentiment ressentie également par les 3 bénévoles du centre social issue du quartier Razimbaud associés à l’action, sans lesquels cette distribution n’aurait pu se dérouler dans d’aussi bonne condition.

Certaines personnes ou familles isolées socialement ont pu découvrir le centre social comme potentiel lieu de ressources pour les aider à résoudre leurs difficultés du quotidien.

Cette action a également permis de renouer des liens de partenariats avec des associations locales après la longue période de confinement et de « gel » des actions partenariales.

Nous avons découvert une dizaine de familles en grande précarités pour lesquelles cette action n’étaient pas suffisantes. Ces dernières ont été écoutées, accueillies sur d’autres temps, conseillées, et réorientées en fonction de leurs problématiques et de leur lieu d’habitation.

Cette action intègre pleinement les valeurs de l’association et participe à l’impulsion donnée par le centre social pour dynamiser ses interventions sur le quartier Razimbaud.

Cette première expérience est très positive, elle permet de créer du lien entre producteurs et familles précaires, participe à transformer ces familles précaires en « consommateurs ordinaires » de produits de qualité, sains pour la santé de tous les membres de la famille.

Cette action met l’« alimentation saine » au cœur des préoccupations des familles : elle permet de s’interroger sur :

• L’impact des produits bio pour la santé de tous les membres de la famille,
• L’importance de cuisiner et non pas de céder à la faciliter de l’achat de produits transformés,
• La convivialité liée à la cuisine, le plaisir de partager avec ses proches un repas préparé avec des produits sains
• L’impact budgétaire réel lorsque l’on cuisine
• L’éducation à l’alimentation et au goût qui commence dès le plus jeune âge
• L’éducation à l’environnement et à la simplicité : rapprocher le monde rural et les urbains,

Le nombre des familles à participer à cette action était supérieur à nos capacités. Cette action mérite d’être renouvelée avec un nombre plus important de paniers distribués

Cette action pourrait être à nouveau réactivée durant l’été 2021, en fonction des priorités budgétaires définis par nos partenaires financiers et des constats de terrains effectués par les structures partenaires.

• Le centre social

Au départ c'est l'axe prévention qui à guidé les professionnelles du centre social, avec le jardinage  pour une alimentation santé... de jardins familiaux pendant 10 ans nous nous réunissons aujourd'hui autour du cultivons ensemble. Apporter une aide aux "petits budgets" mais également lutter contre le gaspillage textile dans une démarche citoyenne et environnementale et la boutique solidaire est née, ouverte à tous sans condition. L'aide alimentaire est accompagné par les services sociaux pour un projet adapté aux familles.

Ces points de rencontre mobilisent des bénévoles, hommes et femmes, jeunes ou moins jeunes retraités, actifs à temps partiel, parfois anciens bénéficiaires, pour se "sentir utile" participer à une action qui à du sens, en proximité et en collectif.

Pour les attendus ou résultat, l'implication des uns et des autres est un acte positif. Pour certains la remobilisation sociale et/ou économique (nous travaillons de concert avec un Espace Emploi Formation) est également un point positif,... pour d'autres, bénévoles: femmes retraités, vivant seule, les liens sociaux crées et le sens donnée sont porteur de dynamique....

Partenaires d'action:

• MSA

Financement CAF, MSA,  Communauté des Communes, Commune, et réponse à appel à projets éventuels.

17 bénévoles dont deux administrateurs du centre social et une animatrice coordonatrice du projet.

Une réponse à des besoins.

Etre dans le sens des besoins de proximité et dans la réalité locale. 

Un autre regard sur soi, sur les possibles, sur le collectif, pour certain une aide à la confiance en soi, un lieu ressource......

Ces trois axes sont un socle d'actions de solidarités, de prévention et de lutte contre les exclusions qui continuent chaque année en adaptant et proposant des animations collectives ponctuelles ou annuelles en fonction des besoins exprimés ou repérés.

• Le centre social
• Un ou plusieurs partenaire(s)

Au niveau des jeunesses à l'échelle du territoire communautaire Lavalette Tude Dronne, on constate :

• une sous-représentation des populations jeunes en déclinaison constante sur le territoire avec un net recul à partir de l’âge de 19 ans qui peut correspondre à l’âge de départ en études (inexistence de lycées sur le territoire)

• Les 15-24 ans représentent une faible part de la population active, puisqu’il ne pèse que 9,1% des actifs (INSEE 2016)

• Les jeunes de 16 ans à 18 ans aspirant à une première expérience professionnelle ou citoyenne ont du mal à en trouver s’ils ne disposent pas (par leurs parents) d’un réseau de relations.

• L’âge et la législation constituent un frein pour obtenir un travail d’été.

• Des jeunes ne peuvent financer leurs projets car ils disposent d’un budget restreint.

Ces constats ont conduit en 2019 un consortium d'acteurs locaux à expérimenter une opération autour de l'emploi saisonnier des jeunes avec plusieurs actions qui se sont déroulées de mars à août.

Fort de cette 1ere expérience, ils ont décidé de renouveler l'expérience d'un second forum de l'emploi saisonnier qui s'est tenu le 4 mars dernier à Chalais. Toutefois, considérant le peu d'offres d'emplois saisonniers accessibles à des jeunes de 18 à 25 ans à l'issue de la dynamique de préparation de ce forum, ils ont souhaité expérimenter une nouvelle action portant sur une coopérative de services durant l'été par et pour des jeunes de 16 à 17 ans répondant à la fois à un objectif de 1ere expérience du monde du travail et à un objectif d'aide financière à des projets individuels.

Partenaires d'action:

• MSA

L'action a démarré début juin 2020 avec la préparation. 12 jeunes se sont positionnés (6 filles et 6 garçons)  avec 7 âgés de 17 ans et 5 de 18 ans.

La coopérative a démarré le 1er juillet et prendra fin le 29 août.

Total charges d'exploitation: 14 001 €

Total des subventions obtenues = 11 100 € couvrant les salaires chargés des 12 jeunes.

Ils sont accompagnés par 2 salariés du CSC (l'animateur de vie sociale et le directeur) tout au long de la démarche. Le CSC gère un chantier d'insertion par l'activité économique et a développé un accompagnement renforcé de salariés en parcours d'insertion tant au niveau des méthodes que des supports qui sont utilisés dans ce cadre.

Pour les activités, les jeunes sont encadrés ou supervisés par des salariés présents dans les divers lieux où ils interviennent (piscine de Chalais, restauration ALSH, Lieu été actif, familibus)

Renforcer la coopération entre acteurs locaux sur les questions de prise en compte des besoins des jeunesses à l'échelle du territoire communautaire.

Apporter un co-financement à des projets individuels de jeunes de 17 à 18 ans.

Démontrer les capacités de jeunes de 17/18 ans à être des ressources.

Permettre à des jeunes de 17 à 18 ans de vivre grandeur nature la gestion collective d'une activité économique.

Financement en 2021 et années suivantes

Créer en 2021 une coopérative services jeunesse fonctionnant tout au long de l'année les samedis et vacances et réservée aux jeunes de 16 à 18 ans.

• Un ou plusieurs partenaire(s)

Les objectifs du collectif d'artistes "L'Horizon" pour la mise en place du festival en milieur rural étaient d'amener la découverte culturel au plus prêt des habitants, les rendre acteur de ce festival et accompagner à ce que certains se produisent sur scène avec leurs ressources artistiques. Des objectifs qui correspondent à ceux de la collectivité (CdC Aunis Atlantique) de développer la culture en milieu rural, qu'elle soit accessible et attractive à tous les publics.

Travaillant régulièrement en réseau partenaires élus, associations et habitants sur le secteur, cette dynamique de réseau a permis à ce que le centre soit repéré comme acteur ressource pour constituer un collectif d'habitants intéressés à participer à la création du festival et en parallèle à constituer une troupe musicale locale.

Partenaires d'action:

• MSA

Sur les 2 premières années, nous étions 3 partenaires à accompagner la troupe dans son évolution : collectif artistiques l"Horizon" pour garantir leur représentation au festival, le centre social Espace Mosaïque dans l'accompagnement de la troupe pour son organisation et son développement avec l'appui de l'intervenant artistqiue (logistique, lieu de répétition, communication, démarche de projet, relation partenaires et élus, ....) et une association d'habitants pour la sauvegarde du patrimoine faisant le lien entre les habitants souhaitant rejoindre la troupe, la mise à disposition de matériel, la diffusion des informations et des outils de communication (plaquettes, affiches, ...) et la mobilisation de bénévoles pour le festival.

Depuis 1 an, la troupe musicial évolue vers une démarche d'action en dehors du festival. Ce groupe d'habitants a fait le choix de poursuivre son aventure tout en restant soutenu et accompagné par le centre social dans ses missions d'accompagnement de projet d'habitant et d'activités socioculturelles

7 290 €

Achats-alimentation : 100 €, Communication : 200 €, Intervenant (prestation, transport, logement) : 6 990 €

MSA : 2 500 €, CdC Aunis Atlantique 800 €, CAF :1 634 €, CARSAT : 1 035 €, Autre : 1 321 €

32 personnes

Habitants de la troupe Clik : 2 enfants de plus de 6 ans, 29 adultes (18 femmes et 11 hommes) 2 de 20 à 25 ans, 11 de 35 à 45 ans, 8 de 45 à 60 ans, 8 de 60 à 75 ans.

Espace Mosaïque : 2 adminsitrateurs, 2 bénévoles dont les 4 sont actifs dans la troupe et 1 professionnelle

Forte mobilisation d'habitants d'âges divers autour d'un projet qui les motive, les enthousiasme à s'y impliquer.

Implication de partenaires locaux ressources mobilisant élus, acteurs culturels, membres d'associations.

Apport enrichissement culturel et artistique sur le territoire avec le concours des habitants.

Mixité de la population avec des âges, des situations familiales diverses permettant l'échange d'expériences et de soutien entre les habitants. (habitants en famille d'accueil, demandeurs d'asile)

Développement du secteur socioculturel par une mobilisation volontaire d'habitants du territoire.

Accueil de nouveaux adhérents, des habitants qui découvre les autres activités du centre et qui s'y impliquent (animations parentalité, bénévolat, conseil d'administration)

Valorisation de chacun qui apporte ses ressources et ses compétences en matière de musique.

Des habitants se côtoient et de contacte régulièrement en dehors de l'action : se rendre visite, faire des sorties ensemble, covoiturage, ...

La musique est un prétexe pour aller à la rencontre, sortir de l'isolement, voir du monde, ne pas rester seul, se faire du bien.

Espace adéquate pour les séances : difficulté à trouver une alle municipale à disposition assez grande sur un territoire riche en vie associative d'où une occupation des salles repérées.

Le maintien de la prestation de l'intervenant : renouveller et bien justifier la démarche auprès des partenaires financeurs -à adapter en fonction des objectifs et critères des organismes sollicités.

La Clik : mieux se faire connaître localement en multipliant les évènements locaux (création et participation)

Relancer la démarche d'échanges culturels- séjour Clik à Joigny - spectacle et représentation

• Un ou plusieurs partenaire(s)

Ce projet est issu d'une démarche lancée par le CODES 30 sur le territoire quartier politique de la ville  « Rendre les aînés, acteurs de leur santé et de leur autonomie ». Une réunion de groupe de travail a permis d’impulser la dynamique de projet. Il a pour objectif de développer le pouvoir d’agir et le rôle des personnes âgées en tant qu’acteur de leur santé au sein des territoires socialement et géographiquement isolés.Le public cible sont les personnes âgées vivant dans le quartier Centre Ancien, un quartier prioritaire de la ville avec des situations de personnes âgées isolées. En 2017, après avoir récolté des premiers éléments de diagnostic auprès des acteurs locaux, une première rencontre avec le public a été organisée par le CODES 30 grâce à une permanence sur le marché en partenariat avec le centre social et l’ADLI. Depuis juin 2017 et ce toutes les deux semaines, un Café Part’Âge a lieu au sein des locaux de la Croisée. Ces temps conviviaux sont co-animés avec l’animatrice famille/adulte de la Croisée. 

Partenaires d'action:

• MSA

Ce projet est issu d'une démarche lancée par le CODES 30 sur le territoire quartier politique de la ville  « Rendre les aînés, acteurs de leur santé et de leur autonomie ». Une réunion de groupe de travail a permis d’impulser la dynamique de projet. Il a pour objectif de développer le pouvoir d’agir et le rôle des personnes âgées en tant qu’acteur de leur santé au sein des territoires socialement et géographiquement isolés.Le public cible sont les personnes âgées vivant dans le quartier Centre Ancien, un quartier prioritaire de la ville. En 2017, après avoir récolté des premiers éléments de diagnostic auprès des acteurs locaux, une première rencontre avec le public a été organisée par le CODES 30 grâce à une permanence sur le marché en partenariat avec le centre social et l’ADLI. Cette rencontre en a améné d'autres jusqu'à la mise en place d'une action régulière tous les 15 jours. Depuis juin 2017 et ce toutes les deux semaines, un Café Part’Âge a lieu au sein des locaux de la Croisée. Ces temps conviviaux sont co-animés avec l’animatrice famille/adulte de la Croisée. 

5000 €

Le groupe est composé de 20 personnes, mais dont la participation est irrégulière en raison de la fragilité des personnes (RDV médicaux, handicap, maladie chronique ou perte d’autonomie). Certains séniors, moins fragiles, ne viennent que sur certaines rencontres, en fonction de leurs besoins et envies. On y trouve également des nouveaux arrivants sur le territoire qui sont isolés.

Les différentes activités proposées permettent dans un premier temps de favoriser la rencontre, de rompre l’isolement et de créer du réseau. La cadre d’animation bienveillant proposé par l’équipe d’animation permet de créer de la solidarité au sein du groupe. Des réseaux de solidarité  se  créent au travers des actions et au-delà entre générations et entre personnes de plus de 60 ans (déplacements, temps de rencontres conviviales, soutien face à un décès)

L’accompagnement de la dynamique par le CODES 30 touche à sa fin. L’animation du Café Part’âge est désormais entièrement portée par le Centre Social. Désormais, ce sont l’animatrice Famille/Adulte et la Référente Famille qui co-animent cet espace. Toutefois, le CODES 30 reste présent en suivi et en ressource sur les questions de santé : il demeure à l’écoute des besoins individuels et collectifs du groupe.

Les différentes activités  adultes, intergénérationnelles et séniors, sont renforcées par les actions partenariales notamment le café part’âge avec le CODES 30. La Croisée est identifiée comme structure ressource pouvant accompagner les initiatives. L’écoute et la prise en compte de la demande et des besoins par l’équipe de la Croisée sont particulièrement appréciées.

La mixité du groupe  amène des échanges et des points de vue hétérogènes, et la souplesse et l’ouverture du cadre permet à chacun de s’y retrouver en s’investissant différemment. Cela génère une dynamique riche et sans cesse en évolution.

C’est un lieu de renforcement du lien social, de partage de plaisirs, d’expression, de soutien et d’information, que les participants se sont appropriés : ils prennent des initiatives, comme amener des plats à partager, et font des propositions. Les participants présentent des besoins majeurs et les rendez-vous sont pour eux importants.

Cet espace répond à un besoin identifié dès le démarrage en 2018 : celui d’avoir un lieu dédié dans lequel ils se sentent accueillis. Il est également nécessaire d’accompagner le groupe vers l’existant du territoire (expositions, Conseil Citoyen, associations de proximité, Qi Gong…). L’objectif est qu’elles s’autorisent davantage à aller découvrir, à se saisir de l’offre.

Les personnes sont ressources les unes pour les autres et s’échangent des informations, voire des services. Elles font preuves d’écoute et de bienveillance entre elles. Elles sont ainsi valorisées. Les animatrices sont garantes du cadre et de l’ambiance de ce lieu ressource.

Deux enjeux sont majeurs à cette étape de la dynamique :

La fidélisation des participants : pour cela, il est nécessaire de renforcer la prise de conscience du groupe en tant que collectif, le sentiment d’appartenance. Ce n’est pas évident au regard de la mixité du groupe, mais cela peut se faire par la réalisation de projets et d’activités en commun. Il est également nécessaire de visibiliser l’action, notamment en diffusant une programmation à moyen terme.

La mobilisation d’un nouveau public, avec l’idée d’aller vers les publics les plus isolés.

Les cartes postales, créées par les séniors et en partenariat avec l’association TNTB, sont présentées au groupe de travail. L’outil carte postale est un support intéressant car il est connoté positivement et amène des souvenirs (famille, vacances…). Il peut être utilisé de multiples façons : inviter un proche ou une connaissance, distribuer dans les boîtes aux lettres pour toucher les personnes isolées…

Deux enjeux sont majeurs à cette étape de la dynamique :

La fidélisation des participants : pour cela, il est nécessaire de renforcer la prise de conscience du groupe en tant que collectif, le sentiment d’appartenance. Ce n’est pas évident au regard de la mixité du groupe, mais cela peut se faire par la réalisation de projets et d’activités en commun. Il est également nécessaire de visibiliser l’action, notamment en diffusant une programmation à moyen terme.

La mobilisation d’un nouveau public, avec l’idée d’aller vers les publics les plus isolés.

Les cartes postales, créées par les séniors et en partenariat avec l’association TNTB, sont présentées au groupe de travail. L’outil carte postale est un support intéressant car il est connoté positivement et amène des souvenirs (famille, vacances…). Il peut être utilisé de multiples façons : inviter un proche ou une connaissance, distribuer dans les boîtes aux lettres pour toucher les personnes isolées…

• Le centre social
• Un groupe d'habitants

Cette action s'inscrit dans une dynamique de développement local et impulser une politique d'animation de la vie sociale.

Elle favorise la participation des usagers dans le cadre d'actions collectives.

Elle permet de soutenir les solidarités de voisinage, les relations entre générations, les liens sociaux et familiaux et les échanges sociaux, et d'instaurer une régularité dans les manifestations pour créer une dynamique de fidélisation des familles.

Partenaires d'action:

• MSA

Le 22 septembre 2019, dans le parc du château de Dormans,  ce sont 115 personnes qui ont participé à cette manifestation dont 65 enfants (du tout petit à l’adolescent de 17 ans).

5 500 €

 Pour l'organisation de la manifestation, 9 bénévoles, 3 salariés se sont mobilisés

Découverte du centre social sous un aspect différent

Les habitants se sont déplacés sur cet événement.

Les retours dans les jours qui ont suivis (via messages ou par oral) ont été très positifs

Les propositions faites semblent donc correspondre aux attentes des habitants du territoire

Reconduction annuelle pour cette action.

• Un ou plusieurs partenaire(s)

Aucun service parentalité n'existe dans la partie sud de notre canton, là où des familles sont éloignées de tout, beaucoup d'entre elles ont de faibles revenus,

n'ont pas les moyens de se déplacer dans les villes où les services existent. Nous souhaitions créer un lieu de proximité pour ces familles afin de leur offrir un lieu ressources et d'épanouissement pour leurs enfants et elles-mêmes.

Partenaires d'action:

• MSA

Un comité de pilotage des acteurs de la famille a été créé composé d'élus, de la CAF, SIVOM, PMI, AS, MSA, RAPE ; un diagnostice et une enquête auprès des parents ont été faits pour vérifier le besoin , d'autres LAEP ont été rencontrés, nous avons recherché des locaux adaptés dans le secteur qui nous intéressait, le projet a été écrit collégialement au fur et à mesure de nos réunions puis présenté à la CAF.

15 personnes, élus, partenaires, 3 habitants.

Ce service a très vite rencontré le succès, les parents viennent régulièrement depuis l'ouverture en janvier 2019 et demandent son ouverture pendant les vacances scolaires.

C'est un lieu d'implantation supplémentaire d'une activité centre social dans une commune qui venait de perdre son école, et qui permet de toucher des familles qui pour la plupart, ne seraient pas venues dans nos 2 structures d'implantation.

Ils bénéficient d'un service parentalité à proximité de là où ils habitent sans avoir à faire trop de kilomètres, donc accessible

et économique.
 

La limite est la capacité de la salle (pour l'instant ça va) d'une part, et la volonté de maintenir ce service

sur leur commune si les élus changent.

Ouvrir sur des telps scolaires.

• Un groupe d'habitants

Avoir un village animé le temps de Noël. L'action a été mise sur pied car elle était demandée par les habitants qui trouvaient que le village était mort à cette époque.

Partenaires d'action:

• MSA

A partir de septembre, les habitants sont invités à se mettre en petits groupes et de développer des ombres. Ils peuvent laisser agir leur créativité ou les habitants peuvent aussi partir d'une histoire de Noël pour la représenter par des ombres. La technique est simple et abordable pour tout le monde.

• Le centre social

Notre Centre social intervient sur un territoire dont la population est vieillissante et isolée du fait de la ruralité et de la faible densité. Nous accueillons régulièrement des personnes âgées dans la manipulation d'outils numériques. Plusieurs d'entre elles nous ont sollicité pour une structuration de cette accompagnement afin de les amener vers une autonomie relative quant à l'usage de ces équipements.  

il a alors été envisagé de mener cette expérience sur des petits groupes (8 personnes), ayant un niveau très faible à nul, afin de créer une émulation et de développer un lien social entre les participants.

Partenaires d'action:

• MSA

il nous a fallu :

- proposer le projet à des financeurs et attendre la réponse positive pour la mise en oeuvre.

- identifer 2 communes du territoire, distantes d'une dizaine de km, sur lesquelles nous avions repéré quelques potentiels participants. 

- trouver le profil idéal de l'animateur

- communiquer  pour recruter les particupants (presse, mailing, site, réseaux sociaux)

- organiser la mise en oeuvre : transport si besoin, collation, achat de quelques tablettes numériques d'occasion, préparation de l'animateur numérique et de l'animatrice du centre social en soutien 

• CHARGES  :

- collations : 24x 12€ = 288€

- 4 tablettes : 436€

- 1 animateur numérique (24 séances) : 1332€ 

- transport ( 24 atliers x 60km x 0.35€ du km) = 504€

- salaires (coordination, secrétariat, animation, chauffeur) : 2337€

- valorisation bénévolat : 750€

TOTAL CHARGES  : 5647€

• PRODUITS  : 

financeurs (CARSAT et MSA) : 4497€

Participation : 400€

Valorisation du bénévolat : 750€

TOTAL  PRODUITS : 5647€

3 salariés + 1 intervenant + 1 bénévole

nouvelle activité proposées. participation à d'autres activités.

Autonomie des personnes âgées participantes. Lien social. participation à d'autres activités. 

la perennité de l'action est contrainte au financement des partenaires. 

un nouveau projet a été proposé aux financeurs. Si la réponse est positive, cette action ser proposée à 2 nouvelles communes. 

• Le centre social
• Un ou plusieurs partenaire(s)

Au travers des échanges dans le groupe de travail et au vu des bilans d'après-midis d'information proposés sur les années précédentes, il apparait que les séniors sont pour beaucoup dans une démarche de prévention santé. Cependant, il apparait aussi nécessaire de dissocier les attentes et les propostions en direction des séniors autonomes, actifs, qui sont davantage dans une approche "bien être", de ceux en direction des personnes plus fragiles et dépendantes. Le travail du groupe a permis de mettre en évidence l'intérêt des approches complémentaires entre les professionnels de la santé (association de médecins et para-médicaux de St Germain sur Moine) et l'approche "animation" et lien social du Centre Social dans une démarche prévention auprès des publics séniors, en visant prioritairement des "jeunes séniors" (même si l'âge n'est pas le critère déterminant). Les principaux objectifs sont : proposer une démarche de prévention de façon positive en s'appuyant sur des outils variés / Concilier informations pratiques et ateliers d'expérimentation / Proposer un cadre de rencontre en petits groupes facilitateurs d'échanges et rassurant : créer une dynamique favorable à la participation (favoriser les échanges de savoirs et savoir-faire, expression des ressentis, connaissances) / favoriser le travail en complémentarité entre les acteurs sociaux et médicaux sur le territoire pour un parcours de prévention adapté à la diversité des publics séniors.

Partenaires d'action:

• MSA

L'action a débutée en octobre 2019. La réflexion de la mise en oeuvre a été réfléchie par un groupe de travail, puis co-portage du projet entre un salarié du Centre Social et un profesionnel de l'associaiton de médecins de St Germain sur Moine. Pour chaque intervention, nous faisons appel à des professionnels.

CHARGES :

Achats mat. pédago = 100€ / Documentations et divers = 100€ / Rémunérations intermédiaires (intervenants) = 3 500€ / Communication = 150€ / Déplacements = 150€ / Charges de personnel du Centre Social (prépa, animations, bilans) = 2 258€

PRODUITS :

Conférence des financeurs = 3 000€ / CARSAT = 2 000€ / Mutuelle La Choletaise = 700€ / Centre Social = 558€

Groupe de travail : association de professionnels (médecins et para médicaux), Complémentaire retraite, Commune Sèvremoine, Résidence le Bosquet, Clic, le Centre Social / 10 intervenants professionnels pour animer les ateliers

Repérage de la part des participants de ce qui existe sur le territoire

Animateur d'une démarche / acteur de prévention /

Prise de conscience de l'importance de la prévention pour leur santé et du lien entre les différents thèmes

Reconduite de l'action en 2020-2021

• Le centre social
• Un groupe d'habitants

Action mise en place suite à différents échanges avec les habitants avec 2 objectifs principaux :

- Permettre de maintenir la mémoire en éveil actif permanent

- Maintenir la relation et le lien social entre des personnes pour la plupart isolées

Partenaires d'action:

• MSA

Rencontre entre l'animatrice et la MSA sur le contenu, les modalités et les engagements réciproques.

Mise en place de 2 ateliers (groupes) de 10 séances de 2h 30

Regroupement des participants en fin de cycle pour échanger sur la possibilité de prolonger l'atelier en autonomie

Constitution d'un petit groupe référent pour organiser les ateliers

Mise en place des nouveaux ateliers

Intervention MSA 900€

Frais généraux 200 €

Animatrices 2 000 €

2 groupes de 14 personnes

1 professionnel MSA

1 Animatrice

Contact de nouvelles personnes seniors

Développement de l'axe autour du public seniors

 seule action de la MSA, ensuite la pérennité ne peut s'inscrire que par le relais effectué soit par un groupe de participants soit par l'animatrice référente. 

Seules les personnes ayant suivi les ateliers initiaux peuvent bénéficier des supports pour animer un nouvel atelier : risque de perte de cette faculté dans le temps

• Un ou plusieurs partenaire(s)

Cette action a fait suite un autre projet de jeunes "main dans la main avec le Sénégal". Lors des échanges entre jeunes franco-sénégalais, les jeunes ont vraiment fait remonter le besoin de travailler sur le développment durable et notamment sur le tri des déchets au Sénégal mais aussi chez nous.

Le collège partenaire est très investi sur ces questions là, ayant depuis lontemps des éco-délgués, multipliant les actions... De plus, l'association TERAANGA avec qui nous travaillons les actions de coopération avec Nguekokh au Sénégal était d'autant plus interessé par la thématique. Le projet des jeunes a servi de support pour engager une réflexion sur la canton de M'bour sur la création d'un système de ramassage des ordures.

L'objectif visé était de créer une dynamique autour de ces questions de développement durable et de favoriser la réflexion et une prise de conscience dans les populations franco-sénégalaise.

L'autre objectif était aussi d'établir une coopération éducative entre les 2 collèges, durable.

Partenaires d'action:

• MSA

Accompagement du groupe de jeunes ados, qui avaient 12-13 ans au démarrage du projet, par les animateurs du centre social avec un partenariat poussé avec le collège. Des liens étaient faits entre le projet et les cours, notamment histoire-géo.

Pour les jeunes, nous avons travaillé la notion d'engagement, de coopération, de montage de projet (objectifs, finalité, recherche de finacement, présentation devant des élus...). Pui la 1ère année a nécessité une formation plus appronfondi des jeunes sur la notion de développement durable (données théoriques en lien avec l'enseignants, intervention d'aceteurs locaux, visites de site...).

Les jeunes se réunissaient avec l'animatrice soit au collège (pause méridienne), soit les mercredis, samedis et/ou vacances soclaires à raison d'au moins au fois par semeine au démarrgae du projet puis après au grès des besoins et des actions menées.

Le voyage s'est déroulé sur les vacances d'Automne 2018 pendant 10 jours avec 2 accompagnatrices Centre Social et 2 accompagnatrices collège.

Le projet global s'étalant sur 4-5 ans, le budget est assez complexe.

Pour la 1ère partie, avec le départ des jeunes aux sénégal :

2017-2018 = 28252€ de budget avec 8% de financement des actions menées par les jeunes, 15% par les familles, 33% pour la coopération éducative (finacement DAREIC) et 44% par des partenaires multiples (CAF, MSA, CD 03, DDCSPP 03, ComCom, Mairies d'habitation des jeunes, Rotary...).

2019-2020 = Echanges avec l'Italie (dossier ERASMUS+) et poursuite du projet avec le Sénégal (Fonjep coopération, "A fonds jeunes"...

13 ados français au départ du projet, 8sur la continuité

13 ados sénégalais

2-3 professeurs des collèges de Bellenaves et Nguekokh

Des bénévoles et des parents

Sensibilisation et prise de conscience sur l'intérêt écologique

Engagement des jeunes et de la population à la protection du territoire

Animation locale

Ouverture interculturelle

Ouverture interculturelle

Développement ou consolidation de partenariat

Engagement solidaire

Suite à la non venue des Sénégalais en octobre 2019, le projet s'est prolongé sur 2020 avec une préviosn de la venue en Juin. Avec la pandémie, report sur Octobre...A suivre... inchallah !

Contratualisation du partenariat autour de la coopération éducative entre les établissements scolaires, français et Sénégalais, les associations TERAANGA, France et Sénégal et le centre social

• Le centre social
• Un groupe d'habitants

Cette action a été mise en place pour répondre aux demandes de plus en plus nombreuses des enfants, qui sont d'accord pour pratiquer une activité le mercredi mais qui souhaitent ne pas pratiquer toujours la même activité. La multitude d'activités se traduit par un nombre croissant d'enfants. La pause accordée aux parents permet de présenter aux parents les activités du centre social et ainsi les inviter à construire le centre social de demain.

Partenaires d'action:

• MSA

Présentation d'un programme varié.

Animation faite par 2 salariés du centre social.

Fournitures 500 €

Salaires 5000 €

4 bénévoles

2 salariés animateurs

1 directeur

Echanges entre jeunes pas scolarisés au même endroit.

Les parents parlent de l'action sur le territoire.

Apport de nouvelles familles au sein du centre.

aucunes

Renouveler l'action pour élargir le groupe.

• Le centre social
• Un ou plusieurs partenaire(s)

Les finalités et objectifs de ces semaines Enfance et Famille sont formalisés dans une charte rédigée et adoptée pour cette action :

• Contribuer au lien social
  • Organiser un temps fort à l’échelle de l’Anjou Bleu
  • Mettre en place des animations diversifiées, ouvertes à tous, accessibles et conviviales
• Valoriser les actions et les services existants offerts aux familles à l’échelle de l’Anjou Bleu :
  • Proposer une communication commune
  • Organiser la programmation commune des animations
  •  Temps partagé en famille  
    CRITERES DE MISE EN PLACE D’UNE ANIMATION 
    - Animation ouverte et accessible à tous - gratuite - Animation permettant les échanges entre les participants - Animation différente, « qui sort de l’ordinaire » - Démarche partenariale

FINALITES : - Contribuer au lien social - Valoriser les actions et les services existants offert aux familles à l’échelle du Pays Segréen 

Partenaires d'action:

• MSA

Nous participons aux SEF tous les deux ans (années paires) et avons créé des Semaines Familles sur notre territoire sur les années impaires car les familles étaient demandeuses.

A chaque session nous organisons une réunion de lancementen invitant très largement (familles adhérentes SIC, associations, bénévoles…) 

Puis plusieurs réunions de préparations sont organisées dans l’année (environ 5 en tout).

L’organisation des « Semaines Enfance et Famille » repose sur une coordination au niveau du Pays Segréen assurée par le comité de pilotage et sur des organisations locales pilotées par les comités locaux. 
- Les comités locaux sont librement organisés et gérés au niveau communal ou intercommunal. Ils mobilisent les acteurs participants, recensent les animations, centralisent le programme et l’envoient à la personne référente pour la communication. Ils sont en relation avec le comité de pilotage. 
 
- Le comité de pilotage constitué de représentants des comités locaux choisit les dates, le thème, se coordonne pour les temps forts, s’organise en son sein pour se répartir les tâches : rédaction et envoie des CR, relation imprimeur et plaquette, relations partenaires financiers, demande de devis…