Les actions des centres sociaux
Nom | Département | Année |
---|---|---|
LAICITE ET FAITS RELIGIEUX | Seine-Saint-Denis | 2018 |
le cyclow-café | Seine-Saint-Denis | 2016 |
Le jardin éducatif de Mitry | Seine-Saint-Denis | 2015 |
Le mois de la parentalité "Être parent(s) aujourd'hui" | Seine-Saint-Denis | 2019 |
Les actions santé de Balavoine | Seine-Saint-Denis | 2016 |
Les vacances ça se prépare : séjour collectif familles | Seine-Saint-Denis | 2019 |
Lieu d'accueil Enfants / Parents | Seine-Saint-Denis | 2018 |
Lire sur les aires | Seine-Saint-Denis | 2019 |
OPERATION "Les Maraudes" à Saint-Ouen : Les jeunes s'impliquent et sont solidaires des plus démunis. | Seine-Saint-Denis | 2017 |
Orgemont s'habille pour l'emploi | Seine-Saint-Denis | 2015 |
petit déjeuner des habitants | Seine-Saint-Denis | 2019 |
prevention délinquance en direction des jeunes | Seine-Saint-Denis | 2016 |
Résidence d'artiste | Seine-Saint-Denis | 2015 |
SANS TITRE - 2649 | Seine-Saint-Denis | 2017 |
Un Goûter presque parfait | Seine-Saint-Denis | 2015 |
végétalisation de la terrassé | Seine-Saint-Denis | 2019 |
Actions
LAICITE ET FAITS RELIGIEUX
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DES HAUTS DE GAGNY - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Formation de 4 jours qui s'est terminé le 26 mars 2018
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
travail sur la laïcité.
on a fait intervenir 2 intervenants sur ce sujet pour redefinir le terme et l'historique avec l'équipe salariés/ bénévoles et les habitants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Au vue de l'actualité et a la demande des habitants.
L'objectif etait de redefinir le terme LAICITE avec les profesionnels, bénévoles et les habitants.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Par 2 intervenants de l'association ENQUETE
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 EUROS
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L EQUIPE DU CENTRE SOCIAL(6 personnes) ET 2 INTERVANTS EXTERIEURS
- Résultat sur le territoire
connaisances de terme pratique
- Résultat pour le centre social
travailler sur 1 sujet d'actualité trés sensible
- Résultat pour les habitants
comprendre l'actualité et surtout leurs droits et leurs devoirs
- Suite de l'action : Limites
pour l'instant je ne sais pas
- Suite de l'action : Perspectives
je ne sais pas(pas de budget)
eventuellement continuer a travailler avec l'association ENQUETES
Actions
le cyclow-café
- Structure organisatrice
- CS GUY TOFFOLETTI - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Le cyclow-café est un container installé et aménagé en plein coeur du quartier.
Cet espace est le fruit d'un projet d'animateurs et jeunes du centre social.
L'objectif est de faire de ce lui un espace de rencontres, de solidarités entre générations et d'échanges de savoir faire.
Un groupe de jeunes du centre social, donne rendez-vous à toute personne désireuse de réparer son vélo, ou désireuse d'apprendre les techniques de réparations.
Ce lieu se veut convivial, ainsi, du thé et café sont à disposition des participants.
Pour rompre l'isolement de certains séniors, désireux de partager des compétences aux plus jeunes, un appel à participation est lancé à tous.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Objectif: recyclage, développement durable, solidarité
Dans ce grand quartier de 3500 habitants, il n'y qu'a lever la tête pour s'apercevoir que de nombreux vélos dorment dans les balcons.
Une des raisons à cela est souvent la petite panne qui ne nécessite qu'un petit bricolage.
On estime que cette activité est source d'une grande solidarité et reforce le lien social sur le territoire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Formation du groupe de jeunes et des animateurs aux techniques de réparations.
Appel à bénévoles.
Annonces des dates d'ateliers ouverts au public lors de la journée de lancement.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2000 euros de matériel de réparation, outils et pièces détachées.
100 euros de budget de thé et café
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 personnes
- Résultat sur le territoire
entre aide. solidarité,
- Résultat pour le centre social
Plus grande visibilité des actions du centre auprès de publics ne venant pas avant.
Rayonnement et impact plus grands.
- Résultat pour les habitants
cohésion
sensibilisés aux principes du recyclage
- Suite de l'action : Limites
Budget d'achat de certaines pièces et outils.
Faire avec et pas se retouver à faire à la place.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre et amplifier les créneaux d'ouvertures.
Création d'un poste subventionné.
Actions
Le jardin éducatif de Mitry
- Structure organisatrice
- ACSA - CENTRE SOCIAL MITRY AMBOURGET - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Environnement
- Résumé
Dans un quartier où le sentiment de relégation est omniprésent depuis déjà plusieurs années, les habitants ne cessent d'exprimer un besoin d'amélioration de leur cadre de vie. De plus, le seul espace urbain de vie et de lien social reste le square sur-occupé pendant les périodes estivales.Ce projet est porté par les habitants eux-mêmes et répond à un besoin exprimé de créer un espace d'échange et d'amélioration du cadre de vie.
Ce projet a pour démarche de faire prendre conscience de l'importance du respect de l’environnement et du cadre de vie. Nous insisterons sur un point central ; ce jardin sera vecteur de valeurs de partage et respect du bien commun.
Nous mettrons en place des ateliers d'aménagement des espaces potages et de préparation du fleurissement futur.
Les axes de travail seront :
- atelier de formation aux jardinages à destination des habitants (les thèmes abordés seront l'entretien et préparation du sol, compostage, engrais, protection naturelle, développement de la plante, terminologie),
- temps d'animation valorisant le savoir-faire des habitants mettant en lien les parents avec les enfants : entretien, aménagement du potager
- sorties pédagogiques : L'art du Jardin au Grand Palais, parc Terrabotanica, visite de la serre municipale, atelier nature au parc du Sausset, maison de l'environnement, cueillette de Compans
- atelier de sensibilisation au recyclage et à l'écologie et atelier de bricolage, activité artistique autour du jardin (sculpteur sur bois)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pourquoi cette action? Les objectifs de l'action sont les suivantes:
- créer du lien social intergénérationnel
- améliorer le cadre de vie des habitants de Mitry
- sensibiliser aux pratiques écologiques
- préfigurer un projet d’aménagement autour de jardin partagé
- responsabiliser les enfantsL’espace jardin est aménagé au cœur du quartier de Mitry, sur l'ancien espace de jeux juxtaposé à la place minérale, à l’arrière de la rue du 8 mai 1945. Cet espace était un terrain vague qui a nécessité un aménagement afin de prendre la forme d'un jardin pédagogique.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Bailleur social
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Dans le cadre d’intervention du centre social, l’initiative habitant prend une place importante. Ce projet prend ses racines dans une démarche purement citoyenne. Un groupe d’habitants s’est mobilisé dans une volonté d’améliorer le cadre de vie du quartier.
Dans ses missions d’accompagnement, le centre social a su être un lieu ressource et un support afin que ce groupe d’habitants puisse structurer leur projet. De plus, le centre social a servi d’interface avec les services de la ville afin de faciliter le lien et fédérer autour du projet.
Le projet a débuté le 20 janvier 2015. Le centre a accueilli 4 réunions de travail réunissant tous les partenaires nécessaires au projet.
Une consultation des habitants a été menée par le collectif d'habitants. Un porte-à-porte a été organisé afin de recueillir les avis et mobiliser des habitants sur le montage d’un jardin pédagogique en bas de leur habitation.
bâtiment
Total logements
Avis favorable
indifférent
absent
Non visité
Huit mai 1945
115
75
4
36
0
Croix Nobillon
30
11
0
9
10
Châtaigniers
55
23
1
31
0
TOTAL
200
109
5
76
10
Ce porte-à-porte nous permet de constater que ce projet a une portée fortement positive dans le quartier.
La dégradation du cadre de vie est un sujet récurrent chez les habitants. L’aménagement d’un jardin a permis d’apporter une plus-value en termes d’espace de rencontre et de convivialité. Les passants s’arrêtent, discutent, échangent autour du jardin. Afin de créer les conditions de cette convivialité.
Les partenaires mobilisés:
- Le service Espaces verts
- le service politique de la ville
- Le service du Plan local de prévention des déchets
- Le bailleur OPHLM
Un atelier de compostage, une visite à la serre municipale, une sortie à la cueillette de Compans ont été organisés dans un but de sensibilité les enfants et adultes aux principes du jardinage et à écologie. Une après-midi consacrée au ramassage des détritus a été organisée. Ces sensibilisations ont permis de faire découvrir des pratiques méconnues des habitants. Beaucoup de participants n’avaient aucune connaissance en jardinage. Ce projet leur a permis de découvrir les méthodes et pratiques de cette saine activité.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 11 animations autour du jardin ont été mise en place
- À partir de mercredi 15 avril :
- présence quotidienne des adultes du collectif d'habitants afin d’aménager le jardin
- présence quotidienne des enfants à partir de 17h00 afin aider à aménager le jardin, planter et l’entretenir.
Temps d’animation d’atelier autour du jardin :
- Avril : 34 participants
- Mai : 44 participants
- Juin : 63 participants
- aout : 75 participants
- septembre : 84 participants
- octobre : 72 participants
Présence quotidienne pour l’entretien du jardin :
- 441 présences (en moyenne 7 participants sont présents chaque jour)
Le public participant au projet est composé habitants avec un équilibre au niveau de la mixité (2 porteurs de projets masculins et 2 porteurs de projet féminins)
Le projet a pour cœur de cible la relation adultes-enfants : un groupe de 12 enfants du quartier viennent régulièrement au temps d’animation et quotidiennement pour l’entretien du jardin.
Les enfants participants au projet proviennent du vivier d’enfants occupant l’espace public en fin d’après-midi.
- Résultat sur le territoire
- amélioration du cadre de vie
- valorisation du territoire
- Résultat pour le centre social
- Développment du bénévolat lié à l'activité du jardinnage
- Favorise les initiatives citoyennes
- Developpement d'une action sous le theme de l'écologique
- Résultat pour les habitants
- amélioration du cadre de vie
- lieu d'echanges et de convivialités
- initiation au jardinnage dans un paysage trs urbanisé
- Suite de l'action : Limites
Les obstacles rencontrés ont été d’ordre technique, car un jardin nécessite une arrivée d’eau à proximité afin d’arroser les plantes. Le bailleur s’était engagé à installer une arrivée d’eau. Cet aménagement a été installé tardivement. Ce qui a nécessité d’employer un système D en descendant des seaux d’eau par une corde.
Le manque de formation des porteurs du projet dans le domaine du jardinage a été une problématique dans l’organisation des temps de plantation et d’entretien du jardin. Forte heureusement des membres de l’équipe du centre social avaient quelques notions et ont apporté leur savoir-faire aux habitants.
- Suite de l'action : Perspectives
- Aménager un espace convivial autour du jardin
- Poursuivre l’accompagnement du collectif en association
- Préfigurer un projet d’aménagement autour de jardin partagé
Actions
Le mois de la parentalité "Être parent(s) aujourd'hui"
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS JARDIN DES SOURCES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Solidarité
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
- Un mois de la parentalité destiné à informer et sensibiliser les familles à une problématique choisie. Durant ce mois divers actions sont proposé par un réseau de partenaires institutionnels, associatif et bénévoles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Action mise en place pour accompagner et soutenir les parents dans leur rôle éducatif. Les résultats attendus sont améliorer la relation au sein de la cellule familiale, donner ou redonner aux parents les outils pour accompagner leurs enfants dans leur évolution.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Association nationale
- Bailleur social
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Un groupe de pilotage constitué de la référente famille du centre social et d'acteurs associatif et institutionnels (CAF, Département). 5 Réunions plénières de Janvier à Octobre avec l'ensemble des acteurs intervenant dans le champs du soutien à la parentalité afin de définir les actions et élaborer une programmation variée sur le mois. Des financement Politique de la ville, REAAP et département sont sollicités.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- 23 000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 80 professionnels et 20 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Création et consolidation d'un réseau de partenaires. Le public s'informe sur les différentes ressources du territoire. Des liens se crées entre les différents partenaires et un suivi des situations des familles est rendu plus facile.
- Résultat pour le centre social
- Identification de la structure par un public nouveau. Émergence de nouveaux projets.
- Résultat pour les habitants
- Création de lien de solidarité entre habitants qui partagent une même expérience. Dédramatisation et déculpabilisation de parents qui découvrent ne pas être les seul en difficulté.
- Suite de l'action : Limites
- Les impacts sont difficilement mesurable à court terme. Difficulté à innover dans le choix des thèmes. Difficultés à maintenir une synergie d'acteurs aux objectifs différents.
- Suite de l'action : Perspectives
- Intégrer de plus en plus d'habitants dans la phase de réflexion mais également dans la phase de réalisation. Multiplier les échanges de pratiques.
Actions
Les actions santé de Balavoine
- Structure organisatrice
- Maison de quartier et de la citoyenneté DANIEL BALAVOINE - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
L'enjeu des actions de santé mises en place avec le concours du Centre Municipale de Santé de Bondy et La caisse Primaire d'Assurance Maladie de Bobigny est d'apporter aux Bondynois et aux usagers du centre un accès aux soins, une éducation à la santé et à la prévention au travers de quatre thématiques:
- Des temps d'informations collectives (ex: hygiène de l'habitat, mal au dos, etc.)
- Dépisatges et préventions (ex: remise à jour des vaccins, tests respiratoires, etc.)
- Alimentation et Nutrition (ex: atelier de cuisine et intervention d'une diététicienne, etc.)
- Permanence conjugale et familiale (ex: répondre aux questionnements parents-enfants, contraception, etc.)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour répondre à une attente des usagers notamment sur les questions de dépistage et de prévention (dentaire, ophtalmique, etc.)
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- CPAM
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
En collaboration avec le CMS de Bondy et la CPAM de Bobigny.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Près de 50 actions programmées: 15 personnes médecins, spécialistes et personnels du CMS et de la CPAM
- Résultat sur le territoire
De plus en plus de fréquenttaion des usagers et la CPAM va multiplier les bilans de santé (5)
- Résultat pour le centre social
Une vision du centre plus généraliste plus de mixité des publics
- Résultat pour les habitants
Des actions de santé proche de proximité
- Suite de l'action : Limites
toujours plus d'actions, malheureusement certaines action ne peuvent prendre en charge qu'un nombre restreint d'usagers
- Suite de l'action : Perspectives
Edition d'une plaquette pour donner plus de lisibilité à l'action.
Actions
Les vacances ça se prépare : séjour collectif familles
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL MUNICIPAL AMBROISE CROIZAT - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- vacances / loisirs
- Mixité sociale
- Résumé
Accompagnement des familles les plus fragiles à la préparation et à l'accès à des vacances en famille, en utilisant les divers dispositifs d'aide aux congés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Suite au constat que sur le territoire d'intervention du centre, peu de familles partent en vacances (en France), souvent dû à la méconnaissance des dispositifs d'aide aux congés.
Accompagner et soutenir les familles dans leur fonction parentale.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ANCV
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action débute en novembre pour le séjour collectif familles et pour les départs individuels. Les familles éligibles participent aux réunions bimensuelles de préparation du séjour collectif, accompagnées par les référentes familles et les travailleuses sociales de la CAF. En mai a lieu un moment convivial pour que les familles dans leur globalité fassent connaissance. Puis elles sont accompagnées par les référentes familles lors du séjour collectif en été. Pour les départs en individuel, les familles sont accompagnées techniquement à la préparation de leurs vacances. Enfin en octobre est organisée une soirée conviviale pour toutes les familles parties en vacances au cours de laquelle est également dressé un bilan de l'action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnelles (3 référentes familles + deux travailleuses sociales de la CAF)
- Résultat sur le territoire
Des liens se tissent lors du séjour entre les familles issues des trois territoires d'intervention des trois centres sociaux de Pierrefitte et favorisent le vivre-ensemble à l'échelle de la commune.
- Résultat pour le centre social
Le vivre ensemble sur le quartier.
Des liens qui se tissent, des nouveaux projets entre habitants.
- Résultat pour les habitants
70% des familles parties une fois en séjour collectif repartent les années suivantes en séjour individuel.
Impact sur les familles et sur les individus.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Lieu d'accueil Enfants / Parents
- Structure organisatrice
- SFM MONTREUIL - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Résumé
Le Lieu Accueil Enfants/Parents LAEP est un lieu convivial pour les parents et les enfants, permettant aux parents de se détendre et de jouer avec leurs enfants.
Le LAEP est un lieu de mixité sociale, situé dans l’espace Petite Enfance du Multi Accueil du centre social. Il s’adresse aux jeunes enfants âgés de moins de 4 ans, accompagnés d’un adulte référent qui en a la charge.
Il favorise l'éveil et la socialisation des enfants, facilite les échanges entre les parents et participe ainsi au soutien de la fonction parentale.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le LAEP a été créé pour :
- Soutenir et valoriser la fonction parentale
- Aider les parents à sortir de leur isolement
- Valoriser leurs compétences éducatives
- Etre ensemble, parents et enfants dans les jeux et les échanges.
Au LAEP, les parents peuvent exprimer leurs inquiétudes face à des problèmes d’éducation et échanger plus facilement avec d’autres parents.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action existe depuis plusieurs années, est menée de façon régulière. L’ouverture au public est de 2 heures par semaine le mercredi entre 9H30 et 11H30.
Le LAEP L’accueil est libre sans inscription et sans participation financière. L’équipe est composée de la Référente Famille, de l’assistante du Centre Social et de 4 accueillantes bénévoles garantes des règles spécifiques du LAEP.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CAF : 2 543€
FONJEP : 821€
Ville de Montreuil : 4 679€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- La référente Familles
- L'assistante administrative
- Une équipe de 6 intervenants bénévoles
- 2 stagiaires en formation
- Résultat sur le territoire
Les places en crèche municipale sont insuffisantes. Le LAEP constitue un mode de garde supplémentaire pour les parents en recherche d'un lieu d'accueil ¨Petite Enfance.
- Résultat pour le centre social
Les parents informent d'autres parents de l'existence du lieu et les invitent à participer aux séances. Ils participent davantage aux autres actions Parentalité du centre social (ateliers parents-enfants, sorties familles).
- Résultat pour les habitants
Le LAEP vise à soutenir et valoriser la fonction parentale, aide les parents à sortir de leur isolement, valorise leurs compétences éducatives.
Valorisation, satisfaction du parent et de l’enfant : les parents se rencontrent, se sentent en confiance, trouvent le lieu chaleureux et s'expriment avec facilité. Les enfants découvrent le lieu, l'explorent et s'approprient l'espace de jeux. Ils sont plus autonomes. Parents et enfants jouent davantage ensemble. Les parents sont plus détendus, jouent avec leurs enfants et aussi avec les autres enfants présents. Ils veillent au bien-être de leurs enfants tout en discutant avec des parents.
- Suite de l'action : Limites
- Les difficultés éducatives que rencontrent certains parents
- Le manque de moyens financiers.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre l'action en incitant les parents à prendre davantage leur place au centre social et à participer aux différentes activités qu'il propose.
Actions
Lire sur les aires
- Structure organisatrice
- CS ASS. ADEPT - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Interventions auprès des enfants du voyage, sur les aires d'accueil, avec un enseignant de la mission Enfants du voyage de la DSDEN, autour du livre, avec le centre social mobile.
Il s'agit de faire venir la bibliothèque sur les aires d’accueil : séance de choix de livres pour le prêt (15 jours) et une séance de lecture, chaque mercredi.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- DDCS
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 travailleur social référent scolarité
1 Enseignant détaché de la Mission EDV de la DSDEN
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
OPERATION "Les Maraudes" à Saint-Ouen : Les jeunes s'impliquent et sont solidaires des plus démunis.
- Structure organisatrice
- CS MAISON DE QUARTIER PASTEUR - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Résumé
Description de l’action :
L'opération, démarrée en novembre 2013, s’est poursuivie en 2014, puis en 2015, et sera maintenue en 2016. La Maison de quartier Pasteur accompagne l'engagement citoyen et solidaire des jeunes. Ils vont, avec des adultes et des enfants fréquentant la structure, s'impliquer dans un projet commun, afin d'améliorer l’image au quartier, de créer du lien entre les habitants, de lutter contre l’exclusion sociale et la stigmatisation. Faire des réunions de bilan après chaque opération avec les différents acteurs.
1°/- La Maison de quartier Pasteur mobilise les habitants : les mamans du quartier préparent des repas et les conditionneront avec la participation d’une dizaine d’enfants de moins de 12 ans, et de certains jeunes (5 ados et 10 majeurs).
Aussi nous allons constituer une banque alimentaire à partir des collectes faites par les jeunes et les mères auprès des commerçants et la grande distribution, pour distribuer les produits alimentaires aux plus nécessiteux. Renforcer le partenariat avec Resto du cœur pour mieux orienter les nécessiteux qui viennent nous voir.
Travailler avec des traiteurs pour récupérer les surplus de produits de restauration (encore consommables) afin de les distribuer régulièrement aux familles nécessiteuses du quartier.
2°/- La fondation Jeunesse Feu Vert, le Service Jeunesse, les associations D’Brouy Jeuness et ADT (association des talents), mobilisent les jeunes du quartier pour le conditionnement des repas aux côtés des familles (parents et enfants), ainsi que pour la distribution des repas aux personnes les plus démunies.
3°/- En outre, une formation au premier secours, sera mise en place pour permettre aux participants (10 jeunes et 10 adultes) d'acquérir des compétences en matière de protection civile. Cette formation sera coordonnée par Jeunesse Feu Vert. Un mode de garde sera organisé pour les enfants (0-5 ans) pour permettre aux parents de suivre cette formation qui dure toute la journée.
Objectifs généraux :
- Renforcer la solidarité et le lien entre les habitants
- Prévenir la délinquance juvénile en impliquant les jeunes en situation de pré-marginalisation.
-
Objectifs pédagogiques :
- Valoriser les compétences de chacun
- Concourir à l’amélioration de l’image du quartier
- Lutter contre l’isolement
- Favoriser les liens intergénérationnels.
-
Objectifs opérationnels :
- Acheter des denrées alimentaires et le matériel nécessaire
- Collecter des produits chez les commerçants, les restaurants, et les hôtels
- Organiser la préparation et le conditionnement des repas
- Effectuer la distribution
- Organiser des réunions pour des bilans intermédiaires après chaque action, pour préparer la suivante opération.
Porteurs du projet et intervenants dans l'action:
- Maison de quartier Pasteur
-
Jeunesse Feu vert
Service Jeunesse
D’Brouy Jeuness
ADT
Familles du quartier et Seniors
Nombre de séances dans l'année:
Une séance par mois, soit 12 séances dans l’année, du 15 janvier au 31 décembre 2016.
Population ciblée:
-D’abord, les jeunes en risque de marginalisation suivis par la fondation Jeunesse Feu Vert, qui n’ont pas bonne réputation auprès des habitants adultes du quartier, participeront à une action commune avec les habitants.
Groupe de 15 jeunes (8 garçons, 7 filles),
Les familles (10 parents et 10 enfants), surtout les mamans du quartier.
- Concernant le public des « plus démunis », en moyenne 100 repas à servir à chaque maraude, soit une moyenne de 1200 repas à servir au cours de l’année 2016.
Un public essentiellement adulte masculin, même si nous comptons toucher les mères avec leurs enfants.
Informations complémentaires :
Les maraudes seront distribuées par un groupe de 15 jeunes (18-20 ans) du quartier.
La présence des animateurs (Maison de quartier Pasteur, Service Jeunesse), des éducateurs de Jeunesse Feu Vert, d'encadrant des associations (D-Brouy Jeuness, ADT), sera utile et complémentaire.
Acheter des produits alimentaires pour la préparation. Former des groupes pour la distribution. Démarcher des commerçants pour collecter les produits alimentaires, les hôtels pour les kits d’hygiène.
Enfin, une formation au premier secours sera organisée pour 10 jeunes (et 5 adultes), afin de leur donner les moyens d’être plus réactifs face à des situations. Mais également pour qu’ils acquièrent plus de connaissance dans l’approche du public en fragilité.
Territoire de réalisation de l’action : Ville de Saint-Ouen,
Quartiers Arago/Zola, Garibaldi/Charles Schmidt, Porte Montmartre, Emile Cordon, Debain.
Moyens mis en œuvre :
Humains:
2 animateurs de la Maison de quartier Pasteur,
2 éducateurs spécialisés de la fondation Jeunesse Feu Vert,
1 animateur du service Jeunesse,
1 encadrant de l'association D-Brouy Jeuness,
1 encadrant de l’association des talents (ADT).
Matériels et logistiques :
Salle polyvalente, cuisine,
Mise à disposition de local (salle polyvalente de la Maison de quartier Pasteur), de matériels bureautique et informatique (ordinateurs, imprimante, scanner, photocopieuse, téléphone, papier), de matériels et ustensiles (cuisine) à la MDQ Pasteur.
Financiers :
Location de véhicule, Achat de matériels de cuisine, de couverts
Achat de denrées alimentaires – Formation au premier secours.
Méthode d'évaluation et indicateurs choisis:
- Fréquentation des jeunes et des habitants,
- Réunions régulières entre les différents groupes de participants (Adultes, Jeunes, Animateurs et Educateurs, associations) pour faire le bilan d’étape après chaque opération, en général la semaine suivant l’initiative.
- Réalisation de la formation « premier secours ».
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
1°/- Les jeunes et les adultes du quartier ont du mal à échanger, à s'entrevivre, parce que les jeunes "tiennent le mur" à longueur de journée ce qui gêne la quiétude des familles. Les adultes se méfient des jeunes à cause des attroupements tardifs , des nuisances sonores des motos, les allers et venues incessants. Tout ceci crée une ambiance de méfiance les uns à l'égard des autres.
2°/- Trouver un moyen de rapprocher les deux publics dans une action qui valoriserait les uns et les autres: s'impliquer dans une action de solidarité tout au long de l'année serait une occasion de construire du lien, et briserait cette défiance entre les deux publics: Participer à des réunions de préparation, se répartir les tâches, à savoir les mamans prépareraient des repas chauds dans la journée, les jeunes se chargeraient de la distribution le soir aux personnes démunies dans les quartiers de la ville. Les deux publics se rencontrent toujours en fin de journée pour finir la préparation des sandwichs, et se rappeler les consignes de préparation et de distribution.
3°/- Ouvrir un champ de formation premier secours aux deux publics: les jeunes et les adultes apprennent les gestes essentiels pour sauver des vies.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Depuis 2013, des rencontres de travail avec le SAMU social, Interlogement, les restos du coeur, nous ont permis de comprendre la réalité de ce qui était dejà mis en place sur la ville de Saint-Ouen, de cibler au plus près le public nécessiteux
D'autre part, les jeunes avaient montré leur souhait de se rendre utile en s'impliquant dans une action de solidarité. Les mamans du quartier voulaient également apporter un peu de chaleur aux personnes sans abri.
La rencontre avec la Fondation Jeunesse Feu Vert (éducateurs spécialisés) agissant auprès des jeunes du quartier a permis de sensibiliser les jeunes sur la question. L'association D-Brouy Jeuness qui met en place des activités d'accompagnement scolaire a également mobilisé les jeunes de l'association à participer à l'action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Etat (Contrat de ville) : 6000 €
Commune de Saint-Ouen : 3970 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Groupe de 15 jeunes majeurs (8 garçons, 7 filles)
Groupe de 20 parents adultes (essentiellement les mamans du quartier)
Groupe de 18 enfants et jeunes mineurs aident à la préparation des sandwichs
Pour l'encadrement : 6 professionnels, 4 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Un groupe d'adultes s'est constitué et se mobilise sur le projet. Un groupe de jeunes se mobilise également.
Les relations entre les adultes et les jeunes deviennent plus cordiales, les jeunes discutent plus aisément avec les adultes lorsqu'ils se croisent dans le quartier. Ils s'informent mutuellement des initiatives qui ont lieu au sein de la structure et dans le quartier.
1253 repas ont été distribués aux personnes démunies au cours de l'année 2016.
- Résultat pour le centre social
La participation des jeunes aux actions de la maison de quartier est plus significative, même aux côtés des adultes et des parents.
Les différents acteurs peuvent maintenant proposer d'autres initiatives auxquelles participent de nouveaux acteurs.
- Résultat pour les habitants
Les actions de solidarité (exemple: les maraudes) ont permis aux habitants de mieux discuter de la vie du quartier, d'échanger sur leurs problèmes familiaux, de l'éducation des enfants et de l'accompagnement qu'ils doivent apporter aux plus jeunes.
Le jeunes ont mieux compris la situation de précarité que vivent les personnes démunies.
Les adultes ont un regard plus valorisant des jeunes du quartier qui participent à l'action de solidarité.
Les habitants viennent donner des vêtements chauds à distribuer.
Certains se mobilisent pour collecter des denrées alimentaires auprès des commerçants les jours de marché.
- Suite de l'action : Limites
Les maraudes n'ont pas réglé les problèmes de troubles de voisinage des jeunes dans le quartier. Ni d'ailleurs le trafic qui en est le corollaire. La participation des bénévoles est tournante et il n'est pas facile de fidéliser les jeunes sur toute une année: le groupe évolue.
La mixité (garçons et filles) n'est pas encore tout à fait au point.
- Suite de l'action : Perspectives
- Poursuivre cette action de solidarité
- Inciter les jeunes, et surtout les mamans du quartier, à participer nombreux aux formations de premier secours
- Pour mieux répondre aux besoins exprimés par les personnes bénéficaires, il faut organiser la sensibilisation des commerçants, des pharmacies, des hotels pour collecter des denrées non périssables, des kits d'hygiène et des produits de premier soin.
Actions
Orgemont s'habille pour l'emploi
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL FÉLIX MERLIN - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle d'une durée de 7 semaines, reconduite chaque année suite au bilan d'évaluatin avec les partenaires
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Action d'insertion professionnelle basée sur l'estime de soi et la dynamique collective
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour remettre les demandeurs très loin de l'emploi dans une dynamique, pour certains le retour à l'emploi est très envisageable
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
stage intensif sur 7 semaines, tous les matins de 9 à 12 h 00.
8 intervenants pour travailler l'estime de soi, le positionnement professionel, le : un intervenant en développement personnel, un intervenant en informatique, un professionnel de l'emploi pour les CV et lettre de motivation, un intevenant en informatique, une sophrologue, une socioesthéticienne, une psychologue, un intervenant conseil en image
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5685 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
12
- Résultat sur le territoire
retour à l'emploi pour certains en CDD et en CDI, toufefois, la perte de l'emploi après une période d'essai est un problème assez récurrent.
- Résultat pour le centre social
Les bénéficiaires du stage viennent témoigner l'année suivante de l'effet positif que le stage a eu sur leur comportement face à l'emploi
- Résultat pour les habitants
Certains habitants ont retrouvé un emploi ou un stage
- Suite de l'action : Limites
Action reconduites chaque année suite au bilan positif
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
petit déjeuner des habitants
- Structure organisatrice
- CS ASS AGG CSC LES MARNAUDES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Mixité sociale
- Résumé
Le petit déjeuner des habitants est réalisé une fois par mois le vendredi de 9 h 30 à 11 h. Ce temps permet de rencontrer une personne d'une institution : le commissariat, la réussité éducative, la direction éducation... Ce temps d'échange est à la fois une passerelle vers les institutions et aussi de recueillir les besoins des habitants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un habitant
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place à la demande des habitants et par une identification d'une méconnaissance des services proposés sur le territoire. Par ce temps de rencontre une fois par mois, les habitants découvrent et connaissent lesprocédures, les services et relayent l'information sur le territoire
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Bailleur social
- Caf
- Commune
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
cette action est animée par la directrice du CSC des marnaudes autour d'un petit déjeuner.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnel des Marnaudes et 1 partenaire
- Résultat sur le territoire
Les effets sont : permettre aux habitants de connaître les institutions et les personnes salariées.
- Résultat pour le centre social
Le centre social est facilitateur entre les institutions et les habitants
- Résultat pour les habitants
les habitants ont une meilleure connaissance de leur territoire et des services proposés.
- Suite de l'action : Limites
La mobilisation reste encore faible.
- Suite de l'action : Perspectives
Augmenter la fréquence des petits déjeuners : 2 par mois
Actions
prevention délinquance en direction des jeunes
- Structure organisatrice
- Maison de quartier EDMOND MICHELET - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Collectif jeunesse :
La création du collectif jeunesse relève de l'initiative des services sociaux du Conseil Général (DPAS de Sevran) et de celle de la Ville de Sevran. La Mission prévention des conduites à risques du Conseil Général (qui depuis a fusionné avec la Mission Drogues de PARIS) a alors été missionnée,plus particulièrement Betty Azocar, pour réaliser un diagnostic de la situation. En avril 2012, une restitution a été proposée aux professionnels.
Du côté des publics, plusieurs problématiques ont été identifiées : apporter des informations en particulier sur l'alcool et le cannabis, prendre en compte les différents publics (jeunes scolarisés, jeunes consommateurs, environnement familial), travailler autour de l'engagement des jeunes dans le trafic, la déscolarisation (absentéisme, décrochage, exclusions), l'insertion professionnelle (renforcer l'insertion des jeunes dans les activités structurantes), la question du genre (rapports filles/garçons, sexualité à risque, grossesses précoces, violences), les souffrances psycho-sociales (estime de soi, construction identitaire, santé mentale, besoin d'écoute, d'espace de paroles et d'expression). Du côté des professionnels, plusieurs problématiques ont émergé : un manque de visibilité de la politique jeunesse, des questions liées à l'organisation (un défaut d'articulation et de coordination des acteurs, un défaut de connaissances des missions de chacun), le besoin d'un travail autour des postures et pratiques, développer des actions concrètes et communes.
Plusieurs objets de travail ont été cités : consommation de produits, trafic et économie de la rue, déscolarisation, insertion socio-professionnelle, question de genre et souffrances psycho-sociales
Des modalités de travail ont été proposées : formations, groupes de travail , actions et évaluation.
Lors du Comité de pilotage d'avril 2013 présidé par l'élu à la jeunesse, et afin de relancer la dynamique engagée par la formation prévention lancé en 2012 par la Mission du Conseil Général, il est décidé de recruter un coordinateur. Au cours de ce comité, des axes de travail sont également identifiés : autonomiser le réseau de professionnels, la mise en place d'un groupe de travail sur la prévention du trafic et l'organisation de deux séances de formations en direction des cadres et pour les professionnels de terrain n'ayant pas pu bénéficier des sessions précédentes. En juin 2013, un coordinateur est donc nommé, chargé d'assurer le pilotage du collectif en lien avec la Mission Métropolitaine de Prévention des Conduites (Paris/ Seine Saint Denis).
Quatre groupes de travail thématiques sont constitués par les professionnels à l'issue des formations prévention : estime de soi, prévention en milieu scolaire, le réseau inter-professionnel, la prévention du trafic.
La question de l'addiction est retenue; c'est un choix cohérent avec le contenu des formations proposées par la Mission Métropolitaine des conduites à risques.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour répondre au besoin de la prévention de la délinquance et dans le cadre de prevention des addictions
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Collectif jeunesse :
Le bilan qui est proposé s'est donc effectué à partir du travail réalisé dans ces quatre groupes qui se sont réunis en ateliers de septembre 2013 à juin 2014. Ces quatre groupes sont composées par des professionnels issus du secteur du social, de l'animation, de l'insertion, de l'éducation nationale, du médical, même si ce secteur demanderait à être davantage représenté.
2 agents participent à 2 groupes, un dans le groupe « estime de soi » et le second dans le groupe de « prévention de l'engagement dans les trafics »
L'estime de soi est un concept qui a été beaucoup développé en Amérique du Nord, notamment par les canadiens (Québec). Il renvoie au concept d'emporwement (le pouvoir d'agir de l'individu) la capacité de l'individu à développer et à s'appuyer sur son propre potentiel.
L'estime de soi s'attache donc à travailler autour de la notion de renforcement des compétences psycho-sociales de la personne. Pierre Arwindson décrit le développement de ces programmes en 3 étapes : la première étape a été le constat de l'échec des programmes de prévention primaire des toxicomanies qui reposaient sur la peur, dans les années 70'. C'est à partir de ce constat que les professionnels ont fait appel à la psychologie sociale et aux pratiques cognitivistes qui s'appuient sur l'étude du comportement humain et sur l'apprentissage. Ces techniques sont spécialisées sur les formes conscientes du psychisme. La deuxième étape a consisté à élaborer des programmes où les promoteurs cherchaient à renforcer les compétences des adolescents pour les aider à faire face à la pression sociale, à l'échec, au stress sans avoir recours aux psychotropes. Ces nouveaux programmes étaient limités dans le temps et dans leurs objectifs mais ils ont semblé efficaces par rapport aux consommations des jeunes qui ont baissé . La troisième étape a vu la généralisation de cette approche dans les années 85-90'. Ils proposent des activités éducatives destinées à promouvoir la santé, en particulier mentales des élèves et des étudiants. Cette nouvelle approche s'inscrit dans les textes de l'Organisation Mondiale de la Santé qui propose en 1993 une définition :
« les compétences psychosociales sont la capacité d'une personne à répondre avec efficacité aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne. C'est l'aptitude d'une personne à maintenir un état de bien-être mental en adaptant un comportement approprié et positif à l'occasion de relations entretenues avec les autres, sa propre culture et son environnement. » Une liste de dix compétences psychosociales (ou aptitudes essentielles) a été établie : savoir résoudre le problèmes / savoir prendre les décisions / se calmer-réfléchir avant d'agir / exprimer le problème et ce qui et ressenti / choisir un but positif/ imaginer toutes le solutions possibles / évaluer les conséquences/ essayer le premier plan / avoir une pensée créatrice / avoir une pensée critique.
Le groupe Estime de soi du collectif s'est réuni à plusieurs reprises cette année (5 rencontres) dans de lieux différents (CS Marcel Paul, Collège Painlevé, PEIF,) avec une visite à la Mission Métropolitaine à Pantin. Une quinzaine de professionnels a participé de manière active à ce groupe. L'essentiel des échanges aura porté sur la présentation d'outils qui permettent de travailler autour de l'estime de soi avec les publics; la présentation de ces outils s'est faite par des collègues qui en ont une bonne pratique comme M.-T. Gaudier de la Mission Métropolitaine ou G. Desricourt de la Mission Locale et les collègues du service RSA . Il existe ainsi pléthore d'outils, souvent ludiques qui permettent de travailler, de mettre en valeur les compétences des personnes.
Groupe prévention en milieu scolaire :
L'école est un lieu important pour travailler cette question de consommation de produits avec les adolescents . Le groupe s'est réuni à 4 reprises, groupe composé des professionnels de l' Education Nationale et des éducateurs de l'association de prévention spécialisée Arrimage.
Ces différentes rencontres auront permis d'élaborer un projet d'intervention que nous avons présentés aux différents établissements scolaires de Sevran. Le coordonateur du collectif s'est également rapproché du CRIPS -Ile de France. Au cours de cette année, à l'initiative de notre collègue Sonia Marossa, assistante sociale au collège Painlevé à Rougemont, une matinée d'échanges autour de la prévention, consommation de cannabis, tabac a été organisée, animée par le Docteur H. Touitou. Cette rencontre a réuni une dizaine de personnes du collège.
Ce projet pour 2014-2015 a pour objectif global de proposer un travail visant à développer les compétences de chaque élève à faire des choix et à se positionner de manière favorable pour sa santé .
Au niveau du déroulé , 3 temps seront proposés :
-
1er temps: informations, échanges avec les élèves autour de leurs connaissances des produits , de leurs représentations, de leurs environnement (rapport avec les pairs)
-
2ème temps: :réflexions sur la question des comportements de consommation et eds conduites à risques au travers d'interventions théâtrales. Le théatre Forum peit-être un outil pertinent dans la mesure où il propose au public d'être acteur dans des situations de conduites à risques (mise en scène) Possibilité de disposer de l'espace F. Mauriac.
-
3ème temps: création de messages de prévention par les élèves ( concours d'images et de scénaris en utilisant des supports numériques)
Ce projet pourrait concerner 2 à 4 classes par établissement, en ciblant à priori les élèves les plus âgés.
Groupe prévention de l'engagement dans les trafics :
Cette démarche est expérimentale, peu de villes l'ont initiée en France. Cinq rencontres ont eu lieu sur ce thème dans notre groupe. La rencontre avec les collègues de Marseille (ADDAP 13) aura été importante. A-M Tagawa et L Choulak nous ont fait part de leur expérience dans ce domaine. L'idée est d'arriver à prévenir l'entrée des jeunes dans cette économie de la débrouille et de faciliter la sortie de certains de ces jeunes pris dans l'engrenage ds trafics.
Leur groupe de travail est issu du CLSPD (conseil prévention de la délinquance). Elles ont constitué un groupe de 15 personnes, se réunissant tous les mois. Ce groupe est accompagné par un tiers, sociologue. L'objectif est de réfléchir et de mettre en place des actions sur le territoire, en abordant également la question de la méthodologie. Trois axes sont retenus : les trajectoires familiales, le contexte des quartiers et le travail social communautaire. Ils ont aussi constitué un groupe habitants qui se réunit une fois par mois et qui n'est pas en lien direct avec les professionnels.
Le groupe des professionnels a réfléchi sur leurs modalités de fonctionnement et des critères ont été établis : régularité ds rencontres (1 fois par mois), cooptation pour l'entrée dans le groupe, constitution d'un groupe pour une année (une personne absente ne se fait pas remplacer par un autre collègue du service), restitution du travail effectué sachant que le comptes-rendus ne sont diffusés qu'aux membres du groupe.
De nombreux thèmes ont été abordés par ce groupe de Marseille intitulé « questions de réseaux » : les postures professionnelles, connaissances du problèmes et du public, le statut des participants, le soutien aux parents et aux adultes encadrants, les facteurs de compréhension de la situation de ces jeunes et de ces familles, l'expertise des habitants et des jeunes concernés, les allers et retour dans le trafic, la sortie de ces trafics, les rapports avec la Police, l'intervention en milieu carcéral, l'accès aux droits pour ces jeunes et leurs familles .
A Sevran, nous allons pouvoir nous appuyer également sur l'expérience de l'équipe de la Mission Métropolitaine des Conduites Risques et plus particulièrement celle de Catherine Jouaux qui à lancé ce type de travail dans un quartiers du Nord de Paris .
Concernant le collectif, nous sommes entrain de mettre en place un groupe d'une quinzaine de personnes en nous inspirant des modalités décrites par nos collègues de Marseille. Le groupe devrait être définitivement constitué fin juin 2014. Nous avons aussi retenu des critères de fréquence des rencontres, de confidentialité, de stabilisation du groupe afin que les personnes se sentent en confiance par rapport à un sujet très délicat. Dans un premier temps, nous allons travailler sur un état des lieux de ce qui se passe sur le territoire de Sevran. Cette première étape nous semble nécessaire afin de savoir de ce que l'on parle et de sortir des fantasmes. Mieux connaître la situation doit permettre d'envisager des actions collectives et s'outiller soi-même pour les suivis individuels. Ceci devrait nous permettre de mieux appréhender l'impact de ces trafics sur la vie des quartiers (espace public, délitement du lien social). D'autres axes pourront être ensuite proposer à la réflexion : la question du partenariat à mobiliser (justice, bailleurs sociaux, accès aux droits pour les familles ), la question de l'apport théorique pour mieux comprendre les facteurs de vulnérabilité sociaux et psychologiques qui interviennent dans les « décrochages » de ces jeunes, la compréhension des réponses pénales face aux actes posés par ces jeunes, la place des habitants et des acteurs associatifs dans ce travail préventif qui vise à prévenir l'entrée des jeunes et faciliter leurs sorties des trafics. Ce travail de réflexion, d'échanges et de rencontres, s'avère nécessaire avant d'aborder la phase opérationnelle , en direction du public.
Groupe réseau inter-professionnel :
Un double objectif a participé au travail de ce groupe:
- d'une part, identifier les différents acteurs du territoire intervenants dans le secteur de l'addictologie ;
- d'autre part, créer du lien entre les membres du collectif et ces structures qui peuvent être des points d'appui en termes de conseils, d'orientation pour le public suivi par les professionnels du collectif
Trois rencontres ont donc été organisées cette année avec le CSAPA GAINVILLE (consultation jeunes), le CAARUD Aurore (ex FIRST) et le secteur addictologie de l'hôpital R. Muret. Une vingtaine de personnes du collectif a participé régulièrement à nos rencontres.
Le groupe a noué un partenariat avec la Commission Addiction du CHSCT de la Ville de Sevran. animée par Sami Melliti. En effet, le coordinateur du collectif a été invité à participer aux différente réunions de cette commission. Ainsi , nous avons été partenaires dans l'organisation de la manifestation autour de la prévention des addictions qui s'est déroulée le 3, 4 et 5 juin 2014 à l'Espace F Mauriac.
Par ailleurs, cette commission a organisé une journée de formation sur la consommation de produits animée par Alcool Assistances qui a réunit une trentaine d'agents de la Ville. Un travail de coordination sera, à termes, sans doute nécessaire dans le cadre de formations proposées en direction des agents de la ville.
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
3500€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
200 jeunes
45 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Résidence d'artiste
- Structure organisatrice
- Maison de quartier ESPERANTO, centre social et culturel - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Résumé
Dans le cadre d'un partenariat entre le théâtre des Roches de Montreuil, la bibliothèque de quartier, l'antenne de vie de quartier et le centre social, une compagnie de théâtre a été invitée à opérer une résidence d'artiste sur le terrain d'action du centre social Espéranto.
Cela s'est concrétisé par 2 volet : animation d'atelier théâtre intergénérationnel aboutissant à un spectacle sur le Festival Transit et le théâtre des Roches + mise en scènes de criées spectaculaires sur le territoire à partir des mots des habitants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le territoire d'action du centre social est peu doté en termes d'offres culturelles. Mis à part la bibliothèque et une partie des activités du centre social, il ne dispose pas d'équipements culturels dédiés, ce qui suscite une forte demande des habitants. Cela se manifeste dans le projet social qui consacre un axe à l'accès aux pratiques culturelles et de loisirs.
L'idée était donc d'instaurer une action culturelle de long terme dans le territoire qui laisse place à l'habitant (mots déposés dans les boites à cris, ateliers d'écriture... et ateliers théâtre) mais qui donne à voir également le travail des artistes (criées spectaculaires)
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a nécessité plusieurs rencontres entre partenaires pour préciser le projet, et assurer son suivi et son bilan.
Les ressources mobilisés sont celles de plusieurs services cumulées.
Cela s'est concrétisé par 2 volet : animation d'atelier théâtre intergénérationnel aboutissant à un spectacle sur le Festival Transit et le théâtre des Roches + mise en scènes de criées spectaculaires sur le territoire à partir des mots des habitants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Environ 10 000 euros.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Conception et pilotage : 5 personnes
Mise en oeuvre et suivi : 2 personnes
- Résultat sur le territoire
Habitude de spectacles
- Résultat pour le centre social
Propositions de nouvelles actions de qualité dans le domaine culturel.
- Résultat pour les habitants
Demande pour des actions culturelles
- Suite de l'action : Limites
Une année était trop courte, il a été souhaité poursuivre suite à la fin de l'action en juin 2015. Ceci n'avait pas été anticipé et ne pourra se poursuivre qu'à partir de janvier 2016 faute de financements.
- Suite de l'action : Perspectives
Une année était trop courte, il a été souhaité poursuivre suite à la fin de l'action en juin 2015. Ceci n'avait pas été anticipé et ne pourra se poursuivre qu'à partir de janvier 2016 faute de financements.
Actions
SANS TITRE - 2649
- Structure organisatrice
- CS PARIS CAMPAGNE DRANCY - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Un Goûter presque parfait
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ROMAIN ROLLAND - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action a été organisée ponctuellement dans le cadre de l'accompagnement scolaire lors de l'année 2013-2014.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Santé
- Résumé
Cette action fait suite à un constat réalisé par l'équipe de la Maison de Quartier : les goûetrs des enfants étaient très souvent "trop gras, trop sucrés voir trop salés". La semaine précédente cette action, chaque enfant devait remplir une grille sur laquelle il indiquait ce qu'il avait mangé pendant le goûter.
En partenariat avec la diététicienne du service municipal de santé, 3 séances ont été proposées aux familles.
- La première séance était réservée aux enfants. Plusieurs activités leur ont été proposées : rallye nutrition, dégustation de fruits, senteurs d’aromes naturels.
- La deuxième séance était réservée aux parents. Celle-ci a été divisée en deux temps : présentation d'un goûter équilibré (1 produit céréalier / 1 produit laitier / 1 produit fruitier / 1 boisson) / comparaison des prix de revient de plusieurs goûters types.
- La troisième séance regroupait les parents et les enfants. Lors de cette séance, 4 équipe de parents et enfants ont réalisé un "Goûter presque parfait". Plusieurs produits étaient mis à disposition des participants qui devaient réaliser un gôuter le plus équilibré possible. A la fin de leur préparation, chaque équipe a reçu une note de la part de la diététicienne en fonction de son équilibre alimentaire.
Chaque enfant a reçu un dessous de table sur lequel était rappelé ce que devait contenir un goûter équilibré.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Elle a été mise en place dans un souci de santé publique et d'amélioration de la qualité du goûter.
L'objectif de cette action était de sensibiliser les enfants et les parents à la notion de goûter équilibré. Il nous a semblé pertinent que parents et enfants entendent les mêmes conseils afin que ces derniers soient plus faciles à mettre en oeuvre.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Plusieurs séances ont été mises en place :
-
Le Vendredi 14 Février 2014 de 17h00 à 19h00. Tous les enfants ont été accueillis.
-
Le Vendredi 14 Mars 2014 de 17h00 à 19h00. Cette séance a été réservée aux parents ayant des enfants inscrits à l’Accompagnement Scolaire.
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Le Vendredi 11 Avril de 17h00 à 19h00. Lors de cette séance, l’ensemble des parents et des enfants ont êté présents afin de participer à l’activité « Préparation d’un Goûter équilibré »
Deux rencontres au préalable entre l'animatrice, la ditététicienne et la responsable adjointe de la Maison de Quartier ont été mises en places. Il s'agissait de partager le constat avec le service municipal de santé et de voir avec la diététicienne quelles actions étaient pertinentes afin de sensibiliser parents et enfants.
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- Ressources financières mobilisées pour cette action
une cinquantaire d'euros (achat de produits alimentaires).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 personnes ont été mises à disposition :
- l'animatrice de l'accompagnement à la scolarité.
- la diététicienne du service municipale de santé
- la responsable adjointe de la Maison de quartier / Centre social Romain Rolland.
- Résultat sur le territoire
- Réflexion autour de la notion de goûter équilibré (impact sur la santé des enfants).
- Réflexion sur le coût des goûters achetés / des goûters faits maison (impact économique sur le budget des familles).
- Résultat pour le centre social
- Travail auprès des parents des enfants inscrits à l'accompagnement à la scolarité.
- Partage d'un temps convivial entre parents et enfants dans un cadre autre que les ateliers parents/enfants classiques.
- Résultat pour les habitants
-Acquisition de conseils alimentaires sur les notions de "goûters équilibrés".
- Suite de l'action : Limites
Seules quelques familles ont mis en application des conseils de la diététicienne. Il est difficile de changer les habitudes alimentaires sur un temps aussi court : les enfants préfèrent les goûters achetés type viennoiseries / biscuits sucrés.
De même, les mères de famille ont du mal à se dégager du temps pour préparer elle-même le gôuter de leurs enfants.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action avait été mise en paralèlle des ateliers cuisine parents/enfants proposés à chaque période de vacances scolaires.
Cette action sera reconduite lors de l'année scolaire 2015-2016.
Actions
végétalisation de la terrassé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Maison de quartier SéMARD - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
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- Parentalité
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Le projet de végétalisation de la terrasse de la maison de quartier est né dans l’esprit de deux habitantes du quartier Pierre SEMARD qui s’y sont investies, de la conception à la mise en réseau et l’animation. Il ouvre trois grandes perspectives : créer des espaces autogérés au sein de la structure, établir un lien avec le jardin partagé, établir un lien avec l’école SEMARD. Il est pensé sur le long terme comme un outil évolutif visant à appuyer l’implication d’habitant.e.s dans la vie de leur quartier et s’inscrit dans l’axe Pouvoir d’agir du projet social 2017-2020.
Les objectifs sont:
- Impulser une appropriation et une autogestion de certains espaces (bricothèque, terrasse suspendue, jardin partagé) par des habitant.e.s pour les impliquer dans la vie collective locale et celle de la structure
- Mettre en réseau des habitant.e.s et des bénévoles ; tendre à créer un collectif jardins
- Organiser des événements promouvant les espaces autogérés, et les modes d’adhésion au projet
- Valoriser le volontariat du binôme habitantes initiatrices du projet et les renforcer dans la confiance en leurs capacités et compétences
- Accompagner le binôme dans son appropriation des espaces et la prise en main du projet
- Accompagner le binôme dans une mise en posture d’animation d’ateliers, de collectifs habitant.e.s et partenaires
- Consolider l’articulation entre la Maison de Quartier, l’école Pierre SEMARD, et des familles
- Exploiter les ateliers scolaires organisés par le binôme d’habitantes pour créer des formes de partenariats avec les instituteurs.trices
- Utiliser les ateliers scolaires comme outil d’adhésion au projet à destination des familles
- Impulser une appropriation et une autogestion de certains espaces (bricothèque, terrasse suspendue, jardin partagé) par des habitant.e.s pour les impliquer dans la vie collective locale et celle de la structure
- Qui est à l'initiative de l'action ?
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- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Les habitant.e.s du quartier se projettent à une échelle familiale ou par petits groupes. Beaucoup d’entre eux.elles vivent la Maison de Quartier comme un lieu de consommation d’activités avec peu de propositions collectives à visée interculturelle et intergénérationnelle. La structure est tout de même repérée comme le lieu de convivialité du quartier et des habitant.e.s sont identifié.e.s pour leurs mobilisations régulières et leur volonté de participer à des mouvements collectifs, telles que les initiatrices de ce projet.
- De par son statut hybride (convivialité, animation, accès au droit…) le fonctionnement de la maison de quartier dépend de la disponibilité des locaux, des intervenants, vacataires, ou bénévoles, et s’articule sur des temps planifiés. Ce système ne correspond pas toujours à l’organisation de la vie des habitant.e.s, à leurs besoins psychiques du moment. L’espace convivialité est la seule proposition à usage spontané disponible sur toute l’amplitude des horaires de la structure, bien que des animations planifiées y soient également parfois organisés (rencontres culinaires, café des séniors…). Cette gestion des temps et des espaces freine les possibilités d’implication des habitant.e.s dans la vie de la structure.
- Le jardin partagé situé derrière la Maison de Quartier est unanimement reconnu comme une richesse du quartier Pierre SEMARD, au même titre que la promenade Jean AMBLARD. Ceci étant dit il s’agit essentiellement d’une richesse esthétique puisque les associations et le peu d’habitantes qui en assurent la gestion se plaignent du manque de mobilisation à l’égard de cet outil collectif, de plantations abimées ou de légumes volés, tout en ayant du mal à accepter d’autres modes de fonctionnement que ceux qui leurs sont propres.
- La Maison de Quartier a effectué plusieurs tentatives afin de travailler plus étroitement avec l’école Pierre SEMARD qui se sont révélées peu fructueuses.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
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Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
A l’origine du projet se trouve une idée, une envie, simple, celle de deux habitantes quotidiennement impliquées dans la vie de la Maison de Quartier, à la vue d’une terrasse encombrée et peu exploitée : la végétaliser, l’orner d’une parure visible de l’extérieur, retrouver dans cet espace la quiétude et les senteurs méditerranéennes de leurs enfances.
Il a suffi d’une validation par l’équipe de la Maison de Quartier, de quelques vidéos sur le net, de quelques brochures promotionnelles de supermarchés en cette périodes de plantations printanières, pour imaginer le future décor, et voir quotidiennement s’amarrer devant la structure la petite voiture du binôme d’habitantes, coffre ouvert et sièges arrières rabattus, remplie d’encombrants en bois chinés ici et là : meubles, palettes, tourets de chantier… Parfois, parce que le créneau disponible entre le dépôt du plus grand à l’école et le rendez-vous chez le docteur de la plus petite était trop court, la Maison de Quartier recevait un appel invitant tout membre de l’équipe disponible, ou éventuellement tout.e adolescent.e/enfant errant sur le quartier, à bien vouloir se déplacer, parce qu’un objet précieux avait été repéré du côté du stade, de l’amicale des locataires, ou de la boucherie hallal de l’allée Camélinat.
Il a alors fallu retrousser ses manches pour construire le futur mur végétal. Le binôme a d’abord eu besoin d’être accompagné pour investir la bricothèque et la terrasse, utiliser les outils électriques et enfoncer les premières vis ; des ateliers ont donc été planifiés. Puis, l’assurance s’étant suffisamment installée, il n’y avait plus qu’à se rendre à la Maison de Quartier lors des temps libres et demander à l’accueil la clé de la bricothèque pour continuer les travaux.
En parallèle, toutes deux déléguées des parents à l’école Pierre SEMARD, le binôme avait évoqué le projet auprès d’institutrices qui avaient exprimé leur enthousiasme et leur envie d’y adjoindre l’empreinte de leurs élèves. Le groupe a acté la fabrication de pochoirs au sein de l’école, pour ensuite venir peindre les structures en bois avant d’y effectuer les plantations, dans le cadre d’ateliers planifiés en concertation avec la Maison de Quartier, et animés par le binôme.
Il fallait répondre à l’échéance. La petite voiture a repris le large, en quête de peinture, quincaillerie, et plantes vivaces, la Maison de Quartier a usé de son carnet d’adresses, serres communales pour récupérer du terreau et des plants, ferme de l’université de paris 13 pour récupérer des grandes jardinières afin de créer un espace destiné à l’école dans le jardin partagé. Deux bénévoles ont mis à contribution pour penser et aménager un espace d’animation respectueux afin d’accueillir les enfants le jour J.
Le premier atelier scolaire a eu lieu. Une classe de CP est venue étendre sur les structures en bois de la terrasse, de grands aplats de couleurs, pastelles et chatoyantes, et apposer, de leurs pochoirs, de petits animaux. Ils ont pu mettre leurs mains dans la terre pour y déposer les premières fleurs. De prochaines séances sont planifiées avec d’autres classes. Il s’agira ensuite de récupérer auprès des serres communales du terreau et des plantes, également du fumier à la ferme de l’université Paris 13. En fonction des besoins restants et des envies des jardinier.ères, de faire les achats nécessaires en jardinerie, l’objectif étant d’avoir fini les plantations et érigé le mur végétal à la fin du mois de Juin pour organiser un apéritif inaugurant les espaces, valorisant ici le travail effectué, et promouvant les futures étapes, notamment la construction de mobilier pour la terrasse pendant l’été, cherchant de nouvelles adhésions au projet
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Terre : 250€
Plantes : 550€
Bricolage : 200
Total : 1000€ (financement du contrat de ville Parentalité et du REAAP-DM1)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 bénévoles; 2 classes de 12 élèves, 2 professionnels, les serres municipales, la ferme urbaine
- Résultat sur le territoire
Faire connaître la maison de quartier aux familles de l'école Pierre Sémard; renforcer les liens au sein de la communauté éducative
- Résultat pour le centre social
Valorisation du bénévolat; aménagement d'un espace peu ou pas utilisé;
- Résultat pour les habitants
renforcement de l'estime de soi; valorisation des compétences
- Suite de l'action : Limites
De la terrasse au jardin partagé; faire en sorte que les habitants du quartier s'approprient le jardin partagé
- Suite de l'action : Perspectives
Faire venir plus d'enfants; construire un calendrier avec l'école en début d'année scolaire