Pas mesurable , car pas encore réalisé

idem

 - Valoriser cette experience dans le parcours des jeunes .

Un film sera réalisé durant le sejour , et projeté de retour en France.

- inciter d'autres jeunes a poursuivre ce type de projet d' engagement citoyen .

• les jeunes ont été très présents sur les soirées, et ont même participés pour certain à l’organisation les jours J.
• des adultes (hommes et femmes) ont également assistés à certaines soirées d’où des croisements et des contacts entre les publics
• les habitants du quartier portent grâce à ces soirées un autre regard sur les jeunes et sur leur capacité à s’organiser

• les jeunes porteurs de projets perçoivent la Maison de quartier, comme un réel soutien à leurs projets
• respect encore  plus prononcé  des jeunes  vis-à-vis de la structure. Reconnaissance
• la confiance entre les jeunes et la Maison de quartier encore plus affirmée

Pour asseoir et permettre encore plus la réalisation des initiatives des jeunes et des habitants il faudrait un relais et un soutien plus important des associations et partenaires, dans l’accompagnement afin que la Maison de quartier ne soit pas la seule à porter  l’accompagnement du projet.

La Maison de quartier sera toujours présente et à l’écoute des projets et initiatives des jeunes et des habitants, et les accompagnera dans leurs organisations.

valoriser l'image des jeunes   à l'initiative de ce projet sur le quartier

partager un moment festif convivial avec les habitants  évenement créer" par et pour et avec "

que le CSCsoit reconnu comme facilitateur d'accompagnement de projet!

conforter le conseil d'administration dans son choix d'embauche d'un animateur jeunesse  de proximité ,capable de travailler en complemetarité avec le service jeunsse ville.

-à ce jour pas de suite dans l'élaboration d'un deuxieme évenement ! mais  continuons à accompagner les jeunes sur des temps d'accueil , des activites ponctuelles en lien avec le service jeunesse, et travaillons sur la mise en place d'une commission jeunesse

Nous nous situons sur le champ du socioculturel, et nous avons été obligés de travailler en complément sur la partie culturelle pour mettre en avant la singularité de nos pratiques. Cela nous a permis d’établir des liens ou de créer des passerelles entre le socioculturel et la culture. Cette recherche d’actions qui a permis de développer la relation entre les artistes, les compagnies et l’œuvre offre plusieurs types d’émotion pour le participant. Cela influe sur la vision que nous pouvons porter sur autrui et sur la culture dont chacun est porteur. Bien qu’elles aient un intérêt dans l’objet artistique, nous avons fait le constat que les personnes sont éloignées du monde de l’art et de la culture aussi bien dans la pratique que dans la compréhension des autres. C’est pourquoi nous développons une stratégie de médiation et une stratégie d’éducation à la culture. En se positionnant sur le levier de l’éducation à la culture, nous pouvons faire le lien entre le culturel et le socioculturel tout en faisant référence aux valeurs de l’éducation populaire. C'est pourquoi aujourd'hui l'implication des habitants dans  ce processus est importante pour que l'art et la culture ne soient pas que l'affaire de professionnels. 

La Maison de quartier a accompagné autant les bénévoles dans le rôle qu’ils occupent que les publics participant à ces  actions et aux projets proposés. Dans cet accompagnement, elle a mis en permanence l’accent sur la formation des personnes pour permettre une implication et un engagement de qualité de tous les protagonistes. En effet, le rôle du professionnel a été d’épauler les initiatives portées par les usagers. L’équipe de la Maison de quartier a écouté et orienté les personnes . Les initiatives dans cette action ont été nombreuses et de qualité, le lien social à bien fonctionné.

Continuer à créer des commissions dans chaque projets et actions afin que les habitants trouvent  leurs places dans le centre socioculturel, ainsi répondre à leurs attentes et favoriser les initiatives, il faudra cependant faire attention que les élus associatifs confirmés laissent un place importante aux autres habitants

Faire évoluer la médiation culturel entre artistes et habitants pour que l’art et la culture ne soit pas que l’histoire de professionnels de la culture et afin d’investir des habitants qui le souhaitent de rentrer dans ce débats pour plus de démocratie participative

le projet ado est un projet territorial

l’interdépendance entre le projet social et projet ado à travers les activités conviviales et intergénérationnelles développées tout au long de l’année par le CSC

• Limites et perspectives pour l’année à venir :
  • Le renouvellement du public sur les ateliers créazic : un noyau dur s’est formé depuis 2 ans et il est difficile d’intégrer des nouveaux. Le local de répétition est également trop petit quand le groupe dépasse les 6/7 ados. La diversité des instruments de musique. => l’équipe a donc investi dans de nouveaux instruments pour l’année à venir (plus accessible et plus maniable) et envisage de faire cette activité dans le club ou la salle de spectacle, mais sur des animations « hors les murs », sur le vendredi soir et au Foyer Socio Educatif du collège.
  • L’atelier CréaZic repose essentiellement sur les compétences d’un animateur, ce qui peut parfois avoir certaines limites. => plus de coopération avec l’équipe de La Halvèque, spécialisée sur les pratiques MAO et rap.
  • La diversité des propositions culturelles : beaucoup de sortie stand up. => Diversifier un peu plus. Impliquer les ados dans le choix des sorties par le biais d’une commission « culture » composée de professionnel, d’adultes et d’ados.
  • Participation aux événements ACCOORD : les ados s’impliquent facilement sur des actions d’autofinancement lors de ces temps (catering, vente boissons, vente bijoux,etc.), mais sont moins sensibles aux spectacles vivants. => plus de liens en amont du spectacle : rencontre avec les artistes, vente de t-shirts des groupes, préparation d’un décor…

Visibilité de l'Association auprès des autres acteurs du territoire.

Renforcement du lien avec les familles accompagnées par l'Association.

Recueillir la parole pour construire de nouveaux projets.

Mobilisation difficile liée à un territoire d'intervention de dimension départementale (locaux à Bouguenais et Saint-Nazaire).

Difficulté pour informer liée aux déplacements des habitants Voyageurs.

Créer une dynamique en continu dans le champ du soutien à la parentalité.
 

• Développement de l’entraide et de la bienveillance entre habitants
• Meilleure connaissance et compréhension des cultures, du quartier, du fonctionnement des services
• Mobilisation de nouvelles bénévoles, contribution à une nouvelle dynamique bénévole

• Porte d’entrée sur les activités du Centre (couture, cuisine, temps forts, bénévolat sur des actions enfants…)
• Image positive et ouverte du CSC, image dynamique (ça « grouille » 4 demi-journées par semaine)
• Mobilisation de nouvelles bénévoles, contribution à une nouvelle dynamique bénévole

-Fragilité du montage par le recours à une "mission" CDD pour l'intervenant FLE. Organisation à revoir

- Faible connaissance des acteurs et structures d'accompagnement. Pas d'impulsion d'un parcours.

• Face aux nombreuses difficultés administratives, de compréhension des services : lancement d’un poste de médiateur d’accès aux droits en octobre 2016 (dispositif adultes relais)
• Réalisation d’un parcours dans l’apprentissage du français (passerelle vers des cours, français langue professionnelle…), d’où le choix d’une association extérieure expérimentée (Babel)
• Appréciation des progrès
• Implication des participants dans la définition des contenus, adaptation

plus grande visibilité de l'atelier d'alphabétisation. lien créé entre les apprenants et l'équipe du CSC.

l'atelier de français continue avec cette volonté d'ouverture et d'inclusion des publics dans le droit commun.

Des temps de rencontres réguliers et la présence dur la rencontre annuelle des usagers.

Difficile de dire que l'action a un réel impact sur le territoire, l'action ne touchant qu'une quinzaine de personnes, mais elle a un réel impact personnel pour les personnes qui en bénéficient

L'impact est réel, tant du point de vue des habitants qui bénéficient de l'action et que l'on retrouve sur d'autres actions ou activités du CSC, qu'au niveau des bénévoles dont l'implication est régulière tout au long de l'année et qui petit à petit découvre le CSC et s'investissent à d'autres niveaux (2 bénévoles ont ainsi participé dernièrement à un temps de réflexion autour du renouvellement du projet social). le groupe est également relativement autonome, un petit groupe de 3 / 4 personnes coordonnant l'action avec l'animatrice et réfléchissant aux évolutions de celle-ci. A noter que cette action n'a démarré qu'en septembre 2015, qu'elle reste jeune pour bien mesurer les impacts, mais très prometteuse.

Un bémol : l'incapacité de répondre à toutes les demandes par manque de locaux et difficulté de trouver suffisamment de bénévoles.

Réflexion en cours sur l'organisation des locaux et disponibilité des salles. 

Le shabitants qui participent à l'action ne sont pas toujours présents, certains bénévoles se retrouvant parfois sans binômes ce qui peut amener un certain désengagement à terme . Nous expérimentons donc avec quelques uns la relation 1 bénévole avec 2 habitants.

De même la question se pose de l'accompagnement d'un habitant sur plusieurs années : jusqu'où continuer ? Quand arrêter ? avec aussi la possibilité d'ouvrir ou non à de nouveaux habitants (renouvellement des bénéficiares de l'action)

Difficile encore de mesurer l'impact, l'action étant toujours en cours....

Les retours des familles participantes sont encourageantes et positives.

Cela permet d'amener ce public précaire en difficulté à fréquenter le CSC et de les amener à fréquenter d'autres collectifs et de leur permettre de faire de nouvelles rencontres et d'élargir leur champ des possibles.

Cette action fonctionne grâce à la conviction et l'engagement des partenaires. En cas de changements des personnels, il peut y avoir un risque de la remise en cause du projet.

Poursuivre cette action pour l'étendre à d'autres familles et cela reste un travail à long terme pour que les personnes reprennent confiance en elles avant de parvenir à plus d'autonomie pour qu'elles s'autorisent à participer à une offre culturelle sans accompagnement. Il faut encore et encore rassurer ce public très fragilisé.

Valorisation des jeunes du quartier

Changement d'image

Une mixité sociale et culturelle rare dans les groupes de jeunes

Des rencontres, des prises de risques des jeunes qui ont impacté leur confiance en eux

Notre objectif d’ouverture au territoire ainsi qu’à l’accueil de nouveaux publics ont été réalisés et cela a aussi favorisé une dynamique au sein du centre socioculturel de la Petite Sensive.

Les projets développés au cours de l’année au sein de « L’Atelier » a facilité  les  échanges solidaires ainsi que les savoir-faire entre les adhérents.  Ce lieu d’échange et de rencontre a aussi contribué au redémarrage du « Jardin Partagé de la Petite Sensive »

Ce projet d’Atelier participe aussi à l’implication des habitants et des usagers au sein  du centre socioculturel. 

Les rendez-vous et la plupart des actions se déroulent en après midi ce qui cible automatiquement un public qui peut se rendre disponible sur cette période.

Un public essentiellemnt féminin

Les perspectives se font en fonction de l’implication et des expérimentations vécues des participants à l’Atelier. Plusieurs projets germent comme un séjour famille en Espagne en autofinancement pour 2016.

L’idée es de poursuivre notre action afin que les usagers et participent pleinement à la vie du centre socioculturel et du quartier.

   L’objectif poursuivi est de continuer à développer les solidarités entre les usagers du centre par la création de réseaux et de services de solidarité.

Nouveau lieu ressource et d'accueil anonyme et gratuit sur le territoire

Espace identifié d'information et de lien social

le centre socioculturel est mieux repéré, à la fois par les habitants et par les instances institutionnelles et associatives

disponibilité relative de l'équipe d'animation

public accueilli parfois fragile et nécessitant une formation de l'équipe accueillante

Renfocement de l'Identité du lieu, de l'appropriation citoyenne, des actions de proximité et de convivialité

Faciliteur de mise en action des jeunes, mise en oeuvre d'une relation d'aide constructive. 

Difficultés pour les jeunes à gérer le temps et à anticiper.

Continuité en veillant à ce que ce dispositif s'adresse à un large public,  et soit connu de nouveaux groupes de jeunes. 

- valorisation de ce lieu culturel de proximité.

- partenariat renforcé avec les écvoles.

- ouverture vers d'autres établissements (CCAS, halte garderie, structures médico éducatives, associations locales)

- accueil de nouveaux habitants

-  le nombre de demandes augmente,  le ce qui engage plus les bénévoles, tandis que leurs disponibilités ne sont pas extensibles. 

- En juin 2017, les tout petits de la Halte garderie exposeront leurs réalisations après avoir travailler sur un projets art plastique pendant l'année scolaire. 

- Développer d'autres projets de ce type. 

les familles qui fréquentent le centre sont plus complices et parlent plus entre elles.

le manque de place dans nos locaux.

développer cette action en ouvrant sur le théâtre avec ces familles.

• ceci a un impact sur les jeunes du centre social (fierté, reconnaissance)

• ceci à un impact sur les autres jeunes qui ont découvert un nouveau quartier

• les habitants ont apprécié voir les jeunes acteurs de la manifestation et impliqué dans une activité technique.

• Limite : il nous faut désormais permettre aux enfants de 8 à 11 ans de bénéficié de l’organisation en développant une course de push-car, ceci permettra une implication de centres de loisirs enfants. Nous envisageons de développer la manifestation autour d’autre mode de déplacement urbain comme les descentes de trottinette, de roller… enfin, il nous faut apporter une touche culturelle avec un ou deux concerts sur le temps du midi

• Limite : il nous faut désormais permettre aux enfants de 8 à 11 ans de bénéficié de l’organisation en développant une course de push-car, ceci permettra une implication de centres de loisirs enfants. Nous envisageons de développer la manifestation autour d’autre mode de déplacement urbain comme les descentes de trottinette, de roller… enfin, il nous faut apporter une touche culturelle avec un ou deux concerts sur le temps du midi

Cette action a créé des solidarités entre habitants et au regard du succès de l’opération « troc vêtements » d'autres actions du même type se sont développées. Celle-ci est basée sur un principe de dons. On donne et on prend. 500 vêtements ont ainsi été déposés, la grande majorité a trouvé des acquéreurs et le reste donné à une association caritative. L’évènement s’est clôturé par un défilé de mode organisé par le secteur jeune à partir des vêtements récupérés De nombreuses familles du quartier étaient présentes.

Pouvoir renouveler et enrichir l'action en y associant d'avantage d'acteurs et partenaires

on a asisté à une valorisation de ces jeunes au sein du quartier.

un climat de confiance et de sérénité s'est installé entre ces jeunes et l'équipe d'animation.

il nous faut ouvrir le groupe à d'autres jeunes afin de diversifier les échanges.

Renouvellement de cet atelier en 2015-2016.

L'organisation des 23h du jeu est maintenant connue et reconnue par les habitants.

894 joueurs différents ont participé au 23h. Plus de cent repas servis...

Tous les spectacles et animations étaient complets.

La ludothèque un constitue un élément moteur du centre socioculturel.

C'est le lieu qui attire une large population de tous les âges, de toutes origines sociales et culturelles.

Nos limites sont les moyens humains et budgétaires.

Malgré une période de gestion rigoureuse, le centre socioculturel a choisi de ne pas impacter cette action.

En perspectives, nous souhaitons augmenter le "noyau dur" de bénévoles afin de rendre encore plus attracif ce temps fort.

Partenariat avec les autres acteurs 16-25 ans sur le territoire. Mobilisation des jeunes sur le territoire.

Jeunes impliqué dans la vie du CSC. Participation au conseil d'équipement du CSC et aux animations et actions mis en place sur le territoire (la plage du nord etc..). Meilleur image du CSC pour les jeunes.

le budget limite certaines actions (BAFA par exemple). Projet souvent difficile à valoriser. Jeunes pas toujours disponible (etudes etc..)

Un mobilisation sur d'autres actions partenariales avec un croisement des publics

cette actions permet également des croisements avec d'autres actions du centre ( cuisine, sorties découverts...)

Une inscription de 4 personnes sur le conseil d'équipement

Poursuivre et développer cette dynamique en créant également des activités mixtes permettant aux hommes de s'y investir

Meilleure adaptation des partenaires aux réalités sociales et économiques du public visé

La mutualisation permet une plus grande connaissance et visibilité des dispositifs

Relation constructive avec les jeunes qui perçoivent la volonté de la maison de Quartier à les accompagner.

Le départ du professionnel référent des jeunes de 16 à 25 ans, suite à une réorganisation interne, ne nous permet pas de nous maintenir dans le réseau de partenaires.

Temps fort repéré depuis plusieurs années, accessible et festif. Contribue à créer un moment d'ambiance convivial qui rompt avec le quotidien qui n'est pas toujours facile (diffcultés socio-économiques, tensions, isolement...)

C'est le temps de l'année pour le CSC. Il contribue à son image et son identité. Il répond à ses objectifs de découverte, de rencontre, de partenariat, d'animation du quartier...

Limites : budget en baisse côté CSC. Utilisation de l'espace public demande plus de moyens et de contraintes (Vigie-pirates, tensions sur le quartier et sur la place où se déroule une partie de la manifestation...)

L'action devrait se poursuivre dans le même état d'esprit, en partenariat avec des acteurs du quartier (Equipe de quartier, Maison des Haubans, assos et collectifs...)

Changement de regard du quartier souvent stigmatisé. 

Renforce la prise d'initiatives des habitants.

Centre repéré comme lieu du pouvoir d'agir des habitants.

Tous les habitants n'ont pas voulu  y participer, car l'empreinte négative du quartier était trop présente. 

Les habitants en conflit avec leur bailleur social ne voyaient pas l'intérêt de s'impliquer.