Cela a renforcé la dynamique du collectif de femmes, accompagnées par le CSC, qui se retrouvent au "Café qui papote". Plus de débats, d'échanges et envie de faire d'autres projets collectifs

Plusieurs femmes du "Café qui papote" se sont présentées lors de l'Assemblée annuelle des usagers du CSC qui s'est tenu fin novembre 2017, pour intégrer le conseil d'équipement. ainsi, ce dernier s'est renouvelé avec plus de membres, des personnes plus jeunes ayant des enfants et adolescents.

Les femmes du "Café qui papote" ne se sentent pas encore en capacité d'assumer seules cette action, en se constituant en association par exemple. Elles demandent à continuer à être accompagnées par le CSC pour organiser leur rencontre, développer les contenus et supports d'échanges.

Poursuite des rencontres régulières du Café qui papote sur le quartier. Souhait de reproduire un projet similaire.

Les familles ont partagé un moment de détente, des loisirs, des temps collectifs. Des habitants ont appris à se connaitre. Les enfants ont partagé des temps collectifs entre pairs.

Des familles qui continuent à se mobiliser pour d'autres projets. Une reconnaissance des habitants .

Projet d'organiser un autre week end (tous les deux/trois ans).

Limites de budget et de moyens humains professionnels.

Remobiliser pour un nouveau projet

Mobiliser des nouvelles familes.

- valorisation de ce lieu culturel de proximité.

- partenariat renforcé avec les écvoles.

- ouverture vers d'autres établissements (CCAS, halte garderie, structures médico éducatives, associations locales)

- accueil de nouveaux habitants

-  le nombre de demandes augmente,  le ce qui engage plus les bénévoles, tandis que leurs disponibilités ne sont pas extensibles. 

- En juin 2017, les tout petits de la Halte garderie exposeront leurs réalisations après avoir travailler sur un projets art plastique pendant l'année scolaire. 

- Développer d'autres projets de ce type. 

CONSOLIDATION DES RELATIONS ENTRE LES PARTENAIRES. CREATION DE RELATIONS DE VOISINAGE ET INTERCONNAISSANCE HABITANTS ET PROFESSIONNELS

PLUS GRANDE VISIBILITE
 

RECONDUCTION EN 2019 EN ASSOCIANT DE NOUVEAUX PARTENAIRES (EDUCATION NATIONALE) et en amplifiant l'implication de parents dans l'organisation.

Nous nous situons sur le champ du socioculturel, et nous avons été obligés de travailler en complément sur la partie culturelle pour mettre en avant la singularité de nos pratiques. Cela nous a permis d’établir des liens ou de créer des passerelles entre le socioculturel et la culture. Cette recherche d’actions qui a permis de développer la relation entre les artistes, les compagnies et l’œuvre offre plusieurs types d’émotion pour le participant. Cela influe sur la vision que nous pouvons porter sur autrui et sur la culture dont chacun est porteur. Bien qu’elles aient un intérêt dans l’objet artistique, nous avons fait le constat que les personnes sont éloignées du monde de l’art et de la culture aussi bien dans la pratique que dans la compréhension des autres. C’est pourquoi nous développons une stratégie de médiation et une stratégie d’éducation à la culture. En se positionnant sur le levier de l’éducation à la culture, nous pouvons faire le lien entre le culturel et le socioculturel tout en faisant référence aux valeurs de l’éducation populaire. C'est pourquoi aujourd'hui l'implication des habitants dans  ce processus est importante pour que l'art et la culture ne soient pas que l'affaire de professionnels. 

La Maison de quartier a accompagné autant les bénévoles dans le rôle qu’ils occupent que les publics participant à ces  actions et aux projets proposés. Dans cet accompagnement, elle a mis en permanence l’accent sur la formation des personnes pour permettre une implication et un engagement de qualité de tous les protagonistes. En effet, le rôle du professionnel a été d’épauler les initiatives portées par les usagers. L’équipe de la Maison de quartier a écouté et orienté les personnes . Les initiatives dans cette action ont été nombreuses et de qualité, le lien social à bien fonctionné.

Continuer à créer des commissions dans chaque projets et actions afin que les habitants trouvent  leurs places dans le centre socioculturel, ainsi répondre à leurs attentes et favoriser les initiatives, il faudra cependant faire attention que les élus associatifs confirmés laissent un place importante aux autres habitants

Faire évoluer la médiation culturel entre artistes et habitants pour que l’art et la culture ne soit pas que l’histoire de professionnels de la culture et afin d’investir des habitants qui le souhaitent de rentrer dans ce débats pour plus de démocratie participative

Participation des familles à des activités du centre (activités de loisirs, évènements,...) en plus des projets de vacances.

De moins en moins de familles sont dirigées vers ce projet par les asssistantes sociales et donc le nombre de familles impliquées baisse régulièrement. Les vacances n'apparaissent pas comme des sujets prioritaires ni pour les familles, ni peut-être par les travailleurs sociaux qui doivent gérés d'autres priorités.

Associer les autres CSC au  groupe pour élargir le nombre de familles et restaurer une dynamique de groupe.
 

Pendant la décoration urbaine, davantage d’échanges entre les habitants qui se promènent sur le boulevard, entre les parents emmenant leurs enfants à l’école…

« On a plus la pêche quand on passe sur le boulevard pour aller bosser !!"

Découverte du centre socioculturel pour des habitants n’ayant jamais franchi la porte.

Nouveaux partenariats.

Reconnaissance du centre par d’autres communes qui nous sollicitent pour connaître notre organisation afin de reproduire cette action sur leur territoire.

A la fin de l’exposition, demande des habitants de mettre en place un nouveau projet autour du tricot : Création « des cafés tricots » autour de projets humanitaires.

Pendant la décoration urbaine, davantage d’échanges entre les habitants qui se promènent sur le boulevard, entre les parents emmenant leurs enfants à l’école…

« On a plus la pêche quand on passe sur le boulevard pour aller bosser !!"

Découverte du centre socioculturel pour des habitants n’ayant jamais franchi la porte.

Nouveaux partenariats.

Reconnaissance du centre par d’autres communes qui nous sollicitent pour connaître notre organisation afin de reproduire cette action sur leur territoire.

A la fin de l’exposition, demande des habitants de mettre en place un nouveau projet autour du tricot : Création « des cafés tricots » autour de projets humanitaires (partenariat avec le CHU  de Nantes : confection de bonnets pour bébés prématurés.)

Changement de regard du quartier souvent stigmatisé. 

Renforce la prise d'initiatives des habitants.

Centre repéré comme lieu du pouvoir d'agir des habitants.

Tous les habitants n'ont pas voulu  y participer, car l'empreinte négative du quartier était trop présente. 

Les habitants en conflit avec leur bailleur social ne voyaient pas l'intérêt de s'impliquer.

* un soutien à la mobilité des personnes âgées ; la plupart des transports réalisé est sur de petites distances (pour aller au cabinet médical, à la pharmacie, rendre visite à un parent) non viable pour des professionnels du transport. 

Une reconnaissance de la structure pour "le bien vieillir" sur la commune. 

Ne possédant pas de minibus, nous utilisons aussi le transport solidaire pour des actions collectives : sortie familles à la mer, sortie au spectacle ...

C'est un dispositif de service individuel ; il faut donc rester attentif à garder le lien avec le groupe de conducteurs (réunions régulères), impliqués les conducteurs dans d'autres actions collectives du centre (sorties, animations diverses). 

Ce n'est pas non plus un service de taxi bon marché et il faut le redire régulièrement aux usagers.

D'autres actions liées au vieillissement sont en projet et le transport solidaire est une première base pour des contacts avec les seniors de la commune. 

Un quartier qui se préoccupe des personnes en risque d'isolement.

Une reconnaissance de l'ancrage du centre sur son territoire, de l'attention portée aux besoins recensés ou exprimés, du travail en partenariat (ici avec l'association des anciens travailleurs), de la mise à disposition de ses moyens matériels au service des habitants.

Dans une société où même le temps s'individualise, il faut ici aller à la destination demandée en groupe et ne pouvoir en revenir que lorsque le groupe est reformé.

En fonction des demandes, d'autres circuits courts de transport en solidarité pourraient être envisagés, de manière régulière ou ponctuelle.

Un meilleur partenariat avec le CCAS, le CMS permettrait à plus de personnes de bénéficier de cette action.

impact très difficile à mesurer sur un sujet comme celui-ci, et surtout pas sur le court terme. La lutte contre les discriminations ne peut s'apprécier que dans le temps en appréciant le climat social entre les habitant sd'un même territoire par exemple

Action qui s'inscrit en complément d'autres actions proposées pour différents publics, comme par exemple une exposition sur l'égalité Homme / Femme avec une rencontre entre habitants et la photographe à l'origine de l'exposition

La mesure de l'impact

prolongation de cette action si le collège souhaite prolonger le partenariat

Impacts attendus :

- développer la creativité des enfants et des jeunes

-favoriser l'apprentissage et l'echange de competences

- renforcer le lien social et le vivre ensemble

- réduire les inegalités par l'acces à des structures de loisirs ouvertes sur le quartier.

Pour le centre social il s'agit de renforcer notre action sur le territoire en favorisant l'entrée enfance /jeunesse

En etant force de proposition en periode estivale et en accompagnant l'association d'habitants "Au coeur" dans un projet de qualité.

En fonction du resultat de cette experimentation "Terrain d'aventure"

ce projet pourrait etre reconduit (evaluation a la fin du projet)
 

reconduction eventuelle.

- Travailler en partenariat avec les autres acteurs sociaux sur l'accès aux TIC

- Apporter une meilleure connaissance de tous ces outils afin d'éviter certaines dérives liées à l'informatique (par exemple)

- Amener une diversité de réponses adaptés auprès du public jeune par l'usage et la maitrise des TIC

Projet Slam : 

Créer un projet autour du montage vidéo / réalisation d'un clip autour de leur projet / enregistrer leur texte en studio...

TIC en générale : 

S'inscrire dans le dispositif "veilleur du net" et travailler en partenariat avec tous les acteurs locaux autour de cette démarche.

• les jeunes ont été très présents sur les soirées, et ont même participés pour certain à l’organisation les jours J.
• des adultes (hommes et femmes) ont également assistés à certaines soirées d’où des croisements et des contacts entre les publics
• les habitants du quartier portent grâce à ces soirées un autre regard sur les jeunes et sur leur capacité à s’organiser

• les jeunes porteurs de projets perçoivent la Maison de quartier, comme un réel soutien à leurs projets
• respect encore  plus prononcé  des jeunes  vis-à-vis de la structure. Reconnaissance
• la confiance entre les jeunes et la Maison de quartier encore plus affirmée

Pour asseoir et permettre encore plus la réalisation des initiatives des jeunes et des habitants il faudrait un relais et un soutien plus important des associations et partenaires, dans l’accompagnement afin que la Maison de quartier ne soit pas la seule à porter  l’accompagnement du projet.

La Maison de quartier sera toujours présente et à l’écoute des projets et initiatives des jeunes et des habitants, et les accompagnera dans leurs organisations.

Visibilité de l'Association auprès des autres acteurs du territoire.

Renforcement du lien avec les familles accompagnées par l'Association.

Recueillir la parole pour construire de nouveaux projets.

Mobilisation difficile liée à un territoire d'intervention de dimension départementale (locaux à Bouguenais et Saint-Nazaire).

Difficulté pour informer liée aux déplacements des habitants Voyageurs.

Créer une dynamique en continu dans le champ du soutien à la parentalité.
 

Un renforcement des liens entre associations locales qui permet de repérer les compétences des uns et des autres, de les sollciter et une mutalisation de matériel en cours.

Le projet a permis un changement de regard des associations locales sur le projet du centre socioculturel, en passant d'une perception d'association potentiellement concurente à une perception d'association facilitatrice de ses propres projets.

La difficulté d'impliquer les bénévoles des associations locales dans les réflexions sur le devenir du projet. En effet, les attentes se situent beaucoup plus en terme de services et leur investissement associatif réduit le temps disponible pour ce type de réflexion.

Projet de mise en place en 2017 d'assises de la vie associative sur la communauté de communes

• Nous avons constaté une participation très importante de tout le quartier Nord et même du quartier du Breil- Malville (la diversité, la mixité sociale, le brassage des cultures et des âges)
•  Nos objectifs ont été atteints : participation des familles de tous les milieux sociaux, familles nombreuses, monoparentales et quelques personnes âgées.
• Etre à l’écoute, donner la parole aux habitants et les accompagner sont des éléments essentiels
• Les nouvelles personnes qui viennent d’arriver sur le quartier ont besoin de se sentir en sécurité et d’être accompagnées sur les activités par un référent.

• Le programme des sorties d’été : les destinations et le choix des activités ont été élaborées par une commission de 16 personnes, parents, membres du conseil d’équipement, des deux équipements (Boissière et Petite Sensive) et des bénévoles de l’association partenaire qui se sont réunies le 08 avril 2015
• l’objectif est de recueillir les envies de sorties, de lieux à visiter, l’activité et les tarifs (cette commission propose des activités très attractives donc qui attirent du public que l’on ne peut pas toujours satisfaire)
• La proposition des tarifs préférentiels
• Les jours de sorties programmées : 4 samedis  et 4 mardis au mois de juillet et une sortie au mois d’août. Cette dernière sortie a été organisée en partenariat avec l’association du quartier  l’Escale Boissière 
• Le rythme des sorties : deux fois par semaine. Nous avons le samedi pour permettre aux familles qui travaillent d’accompagnés leurs enfants et aussi un mélange de public
• La communication : affiches et programmes réalisés par les CSC Boissière, Petite Sensive et l’association escale Boissière
• L’information qui s’est fait par l’affichage et les flyers au niveau du quartier, devant les écoles et aussi le bouche à oreilles des habitants

Les inscriptions ont été faites avec les bénévoles de la commission, avec des limites:

• Le suivi de la carte d’adhésion
• L’encaissement et rendre la monnaie
• Informer lorsque les listes sont complètes qui met la personne en difficulté  par son entourage.
• De veiller au respect des règles que les sorties soient pour tous les habitants. Donc pour l’année prochaine la présence de la secrétaire est indispensable.
• Amplitude horaire (départ trop tard pour certaines sorties et retours trop tôt pour d’autres)
• Et programmer  de nouvelles sorties (la vallée des singes, st Malo, le Mont st Michel et le Puy du Fou  Nocturne)

L'action sera reconduites l'été 2016.

valoriser l'image des jeunes   à l'initiative de ce projet sur le quartier

partager un moment festif convivial avec les habitants  évenement créer" par et pour et avec "

que le CSCsoit reconnu comme facilitateur d'accompagnement de projet!

conforter le conseil d'administration dans son choix d'embauche d'un animateur jeunesse  de proximité ,capable de travailler en complemetarité avec le service jeunsse ville.

-à ce jour pas de suite dans l'élaboration d'un deuxieme évenement ! mais  continuons à accompagner les jeunes sur des temps d'accueil , des activites ponctuelles en lien avec le service jeunesse, et travaillons sur la mise en place d'une commission jeunesse

Effets difficiles à évaluer sur le territoire.

Mise en place d'une nouvelle action par deux bénévoles (2 ateliers zen le mercredi matin).

Au regard du succès de cettte proposition, il a été nécessaire de doubler ces ateliers en 2015.

Hébergement d'une nouvelle association dans nos locaux (DAMA) qui propose de la médecine chinoise, à laquelle plusieurs adhérent participent.

Nouveaux adhérents par le biais de ces ateliers, qui s'investissent dans le fonctionnement général de la MQ.

Difficulté dans la gestion des salles, liée d'une part au nombre de participants et à la concordance des emplois du temps des intervenants.

Ouvir cette semaine en impliquant d'autres groupes de la Maison de Quartier afin de favoriser l'intergénérationnalité.

nous avons fait le choix de sortir de nos murs et d'implanter la gratiféria sur un des territoires les plus éloigné de notre centre social (quartier en politique de la ville), afin de capter une mixité des publics, et non pas seulement notre public d'habitués.

Beaucoup d'habitants méconnaissaient ce concept, et par exemple repartaient chez eux pour apporter quelques chose à donner.

les commerçants proches de la manifestation ont salués cette initiative, qui redonne vie au quartier?

Ce concept d'échange gratuit à souvent crée la surprise chez les habitants.

rencontres avec un nouveau public

nous avons continué à initié ce nouveau concept en proposant une givebox à l'accueil et une "givebook". ces deux supports sont aujourd'hui très utilisés, cela commence à entrer dans les habitudes

nous renouvellons cette action en 2018, toujours en partenariat avec la carène. La mise en place d'ateliers tout au long de la semaine ne pose pas de difficulté, car au fil des années nous élargissons le partenariat et repérons facilement des intervenants extérieurs.

par contre la mobilisation des bénévoles sur la gratiféria à ses limites, si l'on veut diversifier les ateliers de recyclage

au regard du succès de l'édition 2017, nous renouvelons l'action sur le meme principe

Des liens et des rencontres avec les autres espace jeunes du département ont déjà été organisé et doivent se développer, des actions de sensibilsation se déroulent sur les espaces publics de la commune

En cohérence avec les valeurs, liens intergénérationnels, partage de la vision d'une société plus juste et plus égalitaire entre les droits  hommes et femmes, mobilisation des jeunes femmes et développement du pouvoir d'agir , liens avec la vie associative et capacité du CSC à accompagner le pouvoir d'agir des jeunes

Mixité ?? Arriver à créer des moments de mixxité et d'échanges

Manque de moyens à plus long terme

Poursuivre les liens avec autres lieux d'accueil jeunesse

Construire une action de plus grande envergure avec les jeunes filles

Pas mesurable , car pas encore réalisé

idem

 - Valoriser cette experience dans le parcours des jeunes .

Un film sera réalisé durant le sejour , et projeté de retour en France.

- inciter d'autres jeunes a poursuivre ce type de projet d' engagement citoyen .

A travers l'activités "cuisine", les ados ont participé à des temps collectifs réunissant les habitants et à des évènement culturels.

Ainsi en 2017, ils ont réalisé : 2 repas à destination d'une association de retraités, 1 repas "en famille", 1 catering lors d'un évènement culturel et 1 stand lors d'une fête de quartier.

Cette activité a ainsi créé du lien intergénérationnel, une sensibilisation à l'organisation d'un évènement culturel, une participation au "mieux vivre ensemble".

De par leur rôle bien identifié, le sérieux avec lequel ils agissent, le groupe contribue à valoriser l'image des ados et leur capacité à s'engager.

Cette action portée par des adolescents apermis de renforcer la place des ados dans le centre social par une action transversale et valorisante.

L'éducation à l'économie sociale et solidaire commence à être observée par l'ensemble des secteurs et pourra constituer un lien.

L'action doit, pour répondre à son objectif "d'objet expérimental éducatif" s'inscrire dans le long terme.

Le renforcement du fonctionnement démocratique et ouvert à tous est une condition importante pour que le groupe, qui est amené à se renouveler, trouve suffisament de motivation.

Il ne s'agit pas de s'appuyer sue un "petit groupe" motivé qui, lorsqu'il partira un jour, mettra en péril l'activité.

Il s'agit aujourd'hui :

- D'asseoir l'activité en stabilisant le mode de fonctionnement (stratégie collective de développement),

- de faire connaître le projet pour trouver de nouveaux "chantiers".

3 professionnels non spécifiquement dédiés à l'activité

12 bénévoles

La "machine à bulles" permet un double flux :

- des personnes extérieurs au quartiers sont amenées à venir sur le territoire.

- les habitants découvrent les autres lieux culturels de la Ville de nantes.

Ce double flux coontribue à la dynamique de "vivre ensemble" et d'ouverture du CSC.

Les capacités techniques de la salle limitent les possibilité d'accueil de certains spectacles.

Il apparait nécessaire d'asseoir "la machine à Bulles" dans le panorama culturel et notamment de développer les liens avec les autres lieux culturels du quartier et de la ville.