Les actions des centres sociaux
Nom | Département | Année |
---|---|---|
L’école des parents | Gironde | 2017 |
Atelier socio linguistique pour les jeunes 11/17 ans | Gironde | 2018 |
Les Lectures des Capucines | Gironde | 2019 |
ZIK à la ZAD | Gironde | 2021 |
Le stage comme moyen de prévention du décrochage scolaire | Gironde | 2018 |
Le stage comme moyen de prévention du décrochage scolaire | Gironde | 2018 |
Animation des jardins partagés à l'échelle de la commune | Gironde | 2018 |
La Rue aux Enfants | Gironde | 2019 |
Le Jardin potager | Gironde | 2019 |
Les terrasses / Les maraudes : à la rencontre des habitants hors les murs en temps de crise sanitaire | Gironde | 2021 |
Actions
L’école des parents
- Structure organisatrice
- CENTRE D'ANIMATION ARGONNE NANSOUTY SAINT-GENES - Gironde
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Proposer aux parents, au sein de l’école une fois par semaine, un atelier d’apprentissage de la langue française pour aborder avec eux les problématiques qui les concernent. Nous profitons du fait que les parents amènent leurs enfants à l’école le matin pour les motiver à s’engager dans cette action. Les ateliers d’apprentissage de la langue combinés à des actions concrètes illustrant les thématiques abordées permettent à terme aux parents d’apprivoiser l’école, de s’approprier les lieux et de créer des liens avec l’équipe éducative. C’est l’occasion pour nous de les valoriser dans leur fonction parentale et d’aborder avec elles de manière très concrète tout ce qui touche à la responsabilité et l’autorité, la protection et le développement de l’enfant, l’éducation et le rôle parental.
L’objectif à terme est de permettre à ces familles de prendre confiance en elle et de leur donner suffisamment d’atouts pour qu’elles puissent être autonomes dans leur rôle parental. Qu’elles puissent trouver à nos côtés et aux côtés de l’école, les ressources nécessaires pour une meilleure intégration au sein de l’école et de leur quartier.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le diagnostic social réalisé en 2015 met en lumière l’existence forte d’une population précaire implantée dans le quartier, notamment dans les rues Lafontaine, Kléber, rue Malbec et rue Fonfrède. Nous y retrouvons de nombreuses familles Bulgares et Roms (Turcophones pour la majorité) vivant dans des logements précaires. Ces familles sont difficilement mobilisables du fait notamment de la barrière de la langue et d’une très large méconnaissance de leur part des dispositifs d’accompagnements existants.
Nous avons aujourd’hui tissé des liens avec une partie de cette population (via nos actions au sein des écoles et le travail mené avec les partenaires du secteur), qui nous permettent aujourd’hui d’envisager de manière plus fine leurs besoins et leurs ressources.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Ce projet a débuté en septembre 2016. Il est le fruit d'une réflexion partenariale entre l'école, le centre social et les habitants. Ce projet est porté par le centre social, son équipe ainsi que des personnes bénévoles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 CESF
1 animatrice FLE
2 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Meilleure intégration des personnes au sein du quartier
- Résultat pour le centre social
Les personnes concernées par ce projet sont aujourd'hui davantages présentes au sein du centre social et participent à son dynamisme.
- Résultat pour les habitants
- Amélioration de l’implication des familles au sein de l’école
- Meilleure intégration des personnes au sein du quartier
- Meilleure compréhension de la langue française
- Suite de l'action : Limites
- Information et communication parfois difficiles vers certaines familles très précarisées
- Difficultés d’appropriation du projet de manière régulière et assidue par certaines familles
- Suite de l'action : Perspectives
Faire mieux connaître l'action auprès des familles les plus en difficultés.
Actions
Atelier socio linguistique pour les jeunes 11/17 ans
- Structure organisatrice
- CENTRE D'ANIMATION ARGONNE NANSOUTY SAINT-GENES - Gironde
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Atelier socio linguistique d'apprentissage de la langue françaiseà l'attention des jeunes primo arrivants. Un atelier une fois par semaine et participation à des actions artistiques, culturelles d'ouverture au monde et à l'autre.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
De nombreux jeunes primoarrivants sur le territoire en situation d'exclusion sociale et en en échec scolaire. Peu d'actions en direction de ces publics sur le territoire.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Les Lectures des Capucines
- Structure organisatrice
- MAISON DES FAMILLES DE BORDEAUX - Gironde
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Mise en place depuis 2016, ces lectures sont organisée mensuellement.
En 2018, une trentaine de familles ont pu à nouveau y participer
Les familles apprécient …- La régularité de l’activité (tous les 4èmes samedis du mois).
- L’accueil « partagé » des équipes de la MDF et de la bibliothèque.
- Le temps pour se poser pendant la lecture collective.
- La possibilité de participer à d’autres ateliers/animation évènements organisés par la bibliothèque (ciné bébé, atelier création d’affiche…)
L’équipe de la bibliothèque apprécie…
- Le coin café et le coin lecture collective dans la même salle
- Le croisement des publics entre les familles de la MDF et les Familles de la bibliothèque
- Les interventions rue Kléber lors des « rues aux enfants » extension du projet des Lectures des Capucines.
L’équipe de la Maison des Familles apprécie …
- Les liens de partenariat forts tisser depuis 3 ans avec la bibliothèqu
- Que certains bénévoles puissent faire aussi la lecture aux enfants
- De croiser de nouvelles familles et de pouvoir les inviter à partager cette activité
- De faire connaître la Maison des Familles autrement
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
un bénévole et deux stagiaires
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
ZIK à la ZAD
- Structure organisatrice
- Confluences - Feydit - Gironde
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Des soirées musicales "faites maison" dans un environnement "fait maison"
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour répondre à un besoin de retrouvailles après le confinement
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Soirées estivales musicales avec pique-niques partagés.
Groupes de musiciens amateurs pour des boeufs swing, jazz et rock
ZAD : Eone d'Activités et de Détente réalisée en matériaux recyclés et construite par un public plurigénérationnel
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1000 € environ
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnels
10 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Lien social renforcé
- Résultat pour le centre social
Ouverture à des publics ne connaissant pas l'EVS
- Résultat pour les habitants
Plaisir de se rettrouver après le confinement
- Suite de l'action : Limites
Ne peut fonctioner que par beau temps.
- Suite de l'action : Perspectives
Renouvellement en 2022 souhaité
Actions
Le stage comme moyen de prévention du décrochage scolaire
- Structure organisatrice
- C S C DE L ESTEY - Gironde
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Il s'agit de proposer l'accueil en stage de jeunes au sein de la structure centre social et culturel en accompagnement d'une procédure d'exclusion du collège. Le jeune est "pris en charge" tout au long de sa semaine d'exclusion par 3 structures partenaires ayant conventionné pour l'occasion; l'Association de Prévention Spécialisée de Bègles, l'association Remue Méninges (Accompagnement scolaire) et le centre social et culturel, chacun de ces partenaires exerçant son métier lors cet accompagnement afin d'éviter toute confusion; Un process définissant la place de chacun a été co-construit. Les 1ers accueils ont été accueillis très favorablement par le collège, le jeune et la famille et l'évaluation en a été positive.
Exemple de contenu de stage proposé au jeune. Les matinées se passent au centre, le jeune participe à la préparation et au service des repas au Bistrot (35 repas/jour/3 jours semaine), accompagne l'atelier marche, participe à l'animation de la ludothèque. Ses après-midi sont accompagnés par l'association d'accompagnement scolaire en vue de la préapration du Brevet et l'accompagnement éducatif est assuré par les éducateurs de prévention (rencontre avec la famille, interface collège/famille, point d'étape, accompagnement physique)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
4 partenaires sont engagés dans cette action ; le centre social et culturel, le collège, Remue-Méninges et les éducateurs de prévention
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Elle émane du constat fait par le Collège et le centre social que l'exclusion du collège est dans le même temps nécessaire et contreproductive. Le collège allant même jusqu'à garder le jeune en son sein plutôt que de le renvoyer dans la rue le temps de l'exclusion. L'objectif est de travailler sur le sens que peut avoir un parcours en collège pour le jeune. Il ne s'agit pas de l'isncrire dans un parcours parallèle mais de le préparer à son reotur au collège. Résultats attendus : prévenir le décrochatge scolaire, faciliter le retour au collège du jeune, lui permettre de rencontrer le temps de l'exclusion des adultes bienveillants.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a débuté au printemps 2018. Elle s'appuie sur un groupe de travail composé de 4 partenaires et sur l'expertise qu'ont développé 2 d'entre eux (Remue-Méninges, Centre social et culturel) dans l'accompagnement à le recherche de stage de 3ème. Le groupe de partenaires s'est rencontré à 6 reprises pour construire l'action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Essentiellement des coûts RH en cours d'estimation. L'action sera évaluée en septembre 2018.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
126 professionnels mobilisés à 2 niveaux
niveau stratégique pour définir l'action 6
niveau opérationnel pour l'accompagner 6 (ce ne sont pas les mêmes)
- Résultat sur le territoire
peu d'impacts sur le territoire, mais sur les benéficiaires de l'action
- Résultat pour le centre social
partenariat renforcé avec des effets opérationnels très concrets
- Résultat pour les habitants
Peu d'impacts si ce n'est la restauration du lien de confiance avec les habitants
- Suite de l'action : Limites
pas de limite pour le moment, l'action est nouvelle
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduction de l'action et élargissement de son périmètre à de nouveaux partenaires susceptibles d'accueillir les jeunes dans leur structure
Actions
Le stage comme moyen de prévention du décrochage scolaire
- Structure organisatrice
- C S C DE L ESTEY - Gironde
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Il s'agit de proposer l'accueil en stage de jeunes au sein de la structure centre social et culturel en accompagnement d'une procédure d'exclusion du collège. Le jeune est "pris en charge" tout au long de sa semaine d'exclusion par 3 structures partenaires ayant conventionné pour l'occasion; l'Association de Prévention Spécialisée de Bègles, l'association Remue Méninges (Accompagnement scolaire) et le centre social et culturel, chacun de ces partenaires exerçant son métier lors cet accompagnement afin d'éviter toute confusion; Un process définissant la place de chacun a été co-construit. Les 1ers accueils ont été accueillis très favorablement par le collège, le jeune et la famille et l'évaluation en a été positive.
Exemple de contenu de stage proposé au jeune. Les matinées se passent au centre, le jeune participe à la préparation et au service des repas au Bistrot (35 repas/jour/3 jours semaine), accompagne l'atelier marche, participe à l'animation de la ludothèque. Ses après-midi sont accompagnés par l'association d'accompagnement scolaire en vue de la préapration du Brevet et l'accompagnement éducatif est assuré par les éducateurs de prévention (rencontre avec la famille, interface collège/famille, point d'étape, accompagnement physique)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
4 partenaires sont engagés dans cette action ; le centre social et culturel, le collège, Remue-Méninges et les éducateurs de prévention
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Elle émane du constat fait par le Collège et le centre social que l'exclusion du collège est dans le même temps nécessaire et contreproductive. Le collège allant même jusqu'à garder le jeune en son sein plutôt que de le renvoyer dans la rue le temps de l'exclusion. L'objectif est de travailler sur le sens que peut avoir un parcours en collège pour le jeune. Il ne s'agit pas de l'isncrire dans un parcours parallèle mais de le préparer à son reotur au collège. Résultats attendus : prévenir le décrochatge scolaire, faciliter le retour au collège du jeune, lui permettre de rencontrer le temps de l'exclusion des adultes bienveillants.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a débuté au printemps 2018. Elle s'appuie sur un groupe de travail composé de 4 partenaires et sur l'expertise qu'ont développé 2 d'entre eux (Remue-Méninges, Centre social et culturel) dans l'accompagnement à le recherche de stage de 3ème. Le groupe de partenaires s'est rencontré à 6 reprises pour construire l'action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Essentiellement des coûts RH en cours d'estimation. L'action sera évaluée en septembre 2018.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
126 professionnels mobilisés à 2 niveaux
niveau stratégique pour définir l'action 6
niveau opérationnel pour l'accompagner 6 (ce ne sont pas les mêmes)
- Résultat sur le territoire
peu d'impacts sur le territoire, mais sur les benéficiaires de l'action
- Résultat pour le centre social
partenariat renforcé avec des effets opérationnels très concrets
- Résultat pour les habitants
Peu d'impacts si ce n'est la restauration du lien de confiance avec les habitants
- Suite de l'action : Limites
pas de limite pour le moment, l'action est nouvelle
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduction de l'action et élargissement de son périmètre à de nouveaux partenaires susceptibles d'accueillir les jeunes dans leur structure
Actions
Animation des jardins partagés à l'échelle de la commune
- Structure organisatrice
- C S C DE L ESTEY - Gironde
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Il s'agit d'animer les jardins partagés à l'échelle de la commune de Bègles 27000 habitants. La commune compte 4 jardins partagés présentant chacun des spécifités propres. Le jardin de Monmousseau fréquenté par des personnes migrantes accompagnées par 1 CADA et les assistantes maternelles nombreuses sur le quartier, le jardin du Dorat, nouvellement crée avec la soutien de Bordeaux Métropole et l'association Place aux jardins, le jardin de l'Estey (petit jardin situé au sein du centre social et culturel) accueillant enfants et personnes en grande souffrance psychologique, trouvant là l'occasion d'ateliers adaptés, le jardin de Thorez, situé en pieds d'immeubles sur un quartier en veille QPV. Ces jardins constituent à la fois des lieux de socialisation, de partage de savoir faire et d'autoproduction.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
La ville de Bègles et le centre social et culturel
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Bailleur social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action se développe au fin des ans.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
La Rue aux Enfants
- Structure organisatrice
- MAISON DES FAMILLES DE BORDEAUX - Gironde
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
La Maison des Familles a répondu à l’appel à projet relayé par la CAF en février 2018.
Ainsi, ce sont 4 évènements festifs qui ont été organisés dans la rue Kleber, avec toujours la même finalité : permettre aux familles fréquentant la Maison des Familles et celles de l’extérieur de se rencontrer et d’échanger.
Ainsi, les premiers mercredis de chaque mois entre juillet et octobre ont eu lieu des journées sur les thématiques suivantes :- Juillet : le cirque
- Aout : la fête foraine
- Septembre : les jeux olympiques
- Octobre : la chasse aux trésors
Ces thématiques choisies par les familles étaient le prétexte à une ouverture sur le quartier et à des rencontres.
- En juillet, 44 parents et enfants ont participé à la journée avec notamment des échanges autour de la propreté des enfants en âge d’entrer à l’école (lors de discussions informelles).
- En aout, ce sont 42 parents et enfants qui étaient présents, dont certaines familles venant du quartier de Nansouty (public que nous n’avions pas encore accueilli) ou de Bègles.
- En septembre, journée en partenariat avec les acteurs locaux et remise du label « Rue aux Enfants ». 23 parents, enfants et habitants du quartier étaient présents. Nous avons pu accueillir des enfants qui en temps normal ne peuvent passer le pas de la porte de la Maison des Familles, car seuls, mais qui ce jour-là ont pu participer aux activités proposées. La rencontre avec les parents ne s’est fait que dans un second temps, quelques jours ou semaines plus tard.
- En octobre, 86 adultes et enfants ont participé soit à l’atelier cuisine organisé le matin (avec la Maison du Diabète) soit à la chasse aux trésors qui débutait à 14h (co-animée par la Maison des Familles et E-graine). Le parcours débutait devant l’association, puis passait par Graines de Solidarité, Yakafaucon et le Secours Populaire avant de revenir à la Maison des Familles. Le but était de sortir de leur « zone de confort » certaines familles en situation de précarité sociale en les associant à d’autres plus mobiles, avec l’objectif d’aller à la rencontre d’autres structures et de découvrir le quartier. Elles devaient récupérer des légumes et à la fin du parcours, elles repartaient chez elles avec les denrées et une fiche recette. Les partenaires locaux étaient aussi présents pour animer la journée dans la rue.
En septembre et octobre, les partenaires ont joué le jeu et ont répondu présent. Grace à leur investissement, les activités proposées étaient variées et ont pu répondre aux envies du plus grand nombre.
Les familles apprécient …
- Prendre un temps festif dans le quartier.
- Des activités prévues pour les enfants qui intéressent aussi les parents.
- Découvrir le quartier autrement.
- Découvrir de nouvelles familles.
- Découvrir de nouvelles associations.
- Faire la fête ensemble. Se retrouver autrement.
Les partenaires apprécient…
- Découvrir la rue Kléber et ses habitants, ses enfants…
- Travailler en partenariat multi associations.
- Comme une prolongation de certains partenariats.
L’équipe de la MDF apprécie …
- Aller à la rencontre des enfants du quartier qui ne viennent pas à la Maison des familles car les parents ne souhaitent pas ou ne peuvent pas les accompagner.
- Permettre un croisement des publics entre les familles de la Maison des familles et d'autres familles du quartier où fréquentant d'autres associations partenaires.
- Aller à la rencontre de nouveaux habitants du quartier, de leurs attentes dans une ambiance festive et détendue.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Le Jardin potager
- Structure organisatrice
- MAISON DES FAMILLES DE BORDEAUX - Gironde
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
La Maison des Familles a la chance d’avoir une trentaine de mètre carré à l’arrière de la maison. Très vite, les adhérents ont désiré en effectuer l’aménagement.
L’équipe a accompagné ce projet avec l’objectif de permettre aux parents et à leurs enfants de vivre un moment partagé, de s’enrichir mutuellement et de s’épanouir comme citoyen dans le respect et la connaissance de la nature.
Ainsi, l’aménagement du jardin* s’est déroulé tout au long du mois de mai et juin, ainsi qu’au mois de décembre 2018. Il a consisté, avec les familles, à construire les bacs, les carrés de jardin, à planter les semis et plantes achetés ou donnés. Puis en décembre, à sécuriser le jardinet en couvrant les gravillons d’une pelouse synthétique.
Lors du montage, les papas, aidés de leurs enfants et d’une bénévole ont pu échanger durant ces moments privilégiés, créant ainsi des temps de complicité parents/enfants. Dans cette première phase, ce sont 3 papas et 4 de leurs enfants qui ont participé.Dans un second temps, lors des plantations, les parents, accompagnés par l’animatrice, ont pris un véritable temps pour expliquer aux enfants le pourquoi du terreau, du devenir des graines et du temps nécessaire à laisser pousser les semis avant la récolte.
Ainsi ont été plantés salades, radis, fraises, patchouli, menthe, thym, lavande, framboisiers et diverses fleurs.
Ce sont 3 parents et 5 enfants qui ont participé.
L’entretien et l’arrosage ont été effectués tout l’été par les parents et les enfants.
Et ces derniers étaient très fiers de pouvoir amener sur la table, lors des tables ouvertes, la salade du jardin. Les mamans, elles, ont beaucoup apprécié couper la menthe pour faire le thé partagé par tous.
Puis en décembre, nous avons fait terrassé le jardin et installé de l’herbe synthétique, créant ainsi un espace où les enfants peuvent se rouler par terre ou jouer pied-nu, sans risque.
Au final, le contact avec la terre et les explications liées aux plantations ont permis de réels temps de partage enfants-parents. Les enfants ont aussi dû comprendre le pourquoi de l’attente, de la patience pour pouvoir manger leurs récoltes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Les terrasses / Les maraudes : à la rencontre des habitants hors les murs en temps de crise sanitaire
- Structure organisatrice
- CENTRE CULTUREL ET SOCIAL ASCO - Gironde
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Solidarité
- Résumé
Les terrasses : à la rencontre des habitants autour d'un café en temps de crise sanitaire....
Du fait de la situation sanitaire esceptionnelle, l'ASCO à développer des terrasses extérieures sur l'espace public avec des animations, en proposant du thé et du café.
Cette action a permis de prendre en compte les ressentis des habitants en temps de crise. En effet, nous ne pouvions pas accueillir dans nos locaux, c'est pourquoi nous nous sommes délocalisés dans les quartiers.
Ainsi nous avons pu relayer aux différentes instances de veille sociale l'évolution de l'état psychologique des habitants du quartier.
De plus, quand les restrictions sanitaires étaient aux plus fortes, nous sommes allés en maraudes dans les quartiers, par binôme pour parler avec les habitants en distribuant des supports de communication spécifiques (marque page).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour aller à la rencontre des habitants confinés, en temps de crise.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
EN partenariat avec médiateurs de la ville.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Toute l'équipe salariée
- Résultat sur le territoire
Habitants avaient besoin de parler de la situation.
Ecoute active très appréciée
- Résultat pour le centre social
Communication sur la fonction sociale du centre social
- Résultat pour les habitants
demande d'accompagnement social individuel
demande d'accompagnement numérique
demande d'accompagnement à la scolarité
- Suite de l'action : Limites
certaines personnes ne se sentaient pas concernées
- Suite de l'action : Perspectives
Nous allons continuer les terrasses et les maraudes,
Nous envisageons d'investir dans un minibus pour simplifier les déplacements et la logistique.
Nous pensons intervenir dans des résidences de bailleurs sociaux.