Les actions des centres sociaux
Nom | Département | Année |
---|---|---|
Lutte contre toute forme de radicalisation à travers la pratique artistique | Doubs | 2018 |
La Vie DéConfinée | Doubs | 2021 |
"Ensemble en scène : pratique théâtrale pour les ados" | Doubs | 2020 |
"Petit déjeuner des partenaires" | Doubs | 2020 |
la magasin sans argent | Doubs | 2022 |
la KERMESSE des Fougères | Doubs | 2022 |
Actions
Lutte contre toute forme de radicalisation à travers la pratique artistique
- Structure organisatrice
- MJC Centre Social Petite-Hollande - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
En partenariat avec les Centres Sociaux et les Municipalités du Pays de Montbéliard
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Bilan projet Inter-quartier 2016/2017
Il est tout d'abord nécessaire de préciser que le projet a démarré réellement, compte tenu des réponses de subventions, en novembre 2016. Il se déroule jusqu'en juin 2017. Ce projet a la particularité d'avoir une dimension territoriale importante, car il concerne cinq villes et plus précisément cinq quartiers du Pays de Montbéliard. Nous avons Sochaux, Etupes, Audincourt, Valentigney et Montbéliard.
La première étape a permis d’aborder le diagnostic, le projet, ses finalités, ses objectifs, son déroulement avec les structures et les équipes éducatives de chaque ville. Il fallait pour entamer l’action, l’adhésion de tous. Non seulement des équipes qui agissent directement sur le terrain auprès d’un public adolescents et jeunes adultes, mais aussi de leur hiérarchie. Il fallait aussi tenir compte du contexte local de chacun, des moyens humains de chacun et des idées nouvelles qui apparaissaient lors de l’explication du projet.
Cette condition, qui est la compréhension et l’adhésion de tous à ce projet était une démarche fondamentale et indispensable avant de démarrer les ateliers et donc concrètement le projet avec le public 15/25 ans.Trois rencontres avec l’ensemble de ces partenaires, mais aussi les partenaires financiers, pour l’une d’entre elles ont été indispensables avant le démarrage des ateliers.
C’est ainsi, dans les meilleures conditions possibles car chacun s’est approprié le projet et a communiqué avec son public respectif, que nous avons démarré les ateliers artistiques avec les jeunes.
Le premier RV a donc eu lieu sur un week-end entier, et plus exactement sur 10 heures, le week end du 28 et 29 janvier 2017.
Ces deux journées ont été pour nous l’occasion de faire connaissance, d’expliquer, d’entendre les envies et les besoins des jeunes. Il a été ensuite l’occasion de renter dans le vif du sujet en sensibilisant tous les jeunes aux disciplines artistiques que sont, le théâtre, la vidéo, l’écriture et la musique.
Chacun des participants a suivi une initiation à ces pratiques lors d’ateliers de découvertes animés par des intervenants artistiques locaux.
21 jeunes de 15 à 25 ans été présents durant le week-end dont :
9 filles et 12 garçons.
Les 15/17 ans étaient au nombre de 11.
Les 18/25 ans au nombre de 10.
Nous constatons aussi que les profils et le parcours des jeunes n’est pas homogène et permet des échanges d’expériences dans la pratique artistique mais aussi dans les parcours de vies respectives, forts intéressants.
La difficulté fût de s’adresser à des jeunes d’horizons et dans des réalités sociales différentes (collégiens, lyciens, étudiants ou au chômage). Pour se faire, nous avons dû travailler ensemble sur la notion de projet afin en amenant tout un chacun a réfléchir sur le projet collectif et sur leur projet individuel (formation, professionnel ou artistique)
Ce stage de deux jours a permis un échange fructueux et a établi une confiance entre les jeunes, entre les jeunes et les encadrants qu’ils soient artistiques ou éducatifs. Ce moment d’écoute de la parole des jeunes et le fait de tenir à la fois compte de leur besoin individuel et de tenter de l’inscrire dans une démarche collective a permis d’établir une confiance dés le démarrage du projet et cela a permis le développement du projet dans des conditions sereines.
Il est a noté que pour le rassemblement du 10 mars 2017, nous demandions à chacun des jeunes de ramener dans le projet, une personne de leur entourage.
Suite à ce premier stage, les jeunes ont choisi une discipline artistique qu’ils pratiqueront jusqu’au terme du projet, c’est à dire la création d’un spectacle commun associant chacune des pratiques artistiques citées ci dessus.
Entre le 10 Mars et fin Juin 2017, les jeunes se sont retrouvés trois heures par semaines les vendredis soirs (soit un environ 40 heures). Mais aussi sur un stage intensif (3 fois 6 heures) durant les vacances de printemps et deux fois durant des week-end de juin.
Plusieurs constats :
-
Tous les jeunes présents lors du premier rassemblement sont présents encore aujourd’hui. Il n’y a donc aucune défection :
Il y a même durant le deuxième rassemblement du 10 mars 2017, douze nouveaux participants en plus. Ceci nous ramène donc à 33 jeunes de 15 à 25 ans qui participent de manière régulière à ce projet. Il est important de noter qu’autour de ces jeunes 11 autres jeunes se sont greffés à la démarche. Ils participent de manière moins régulière car ils ont des rôle différents mais complémentaires à la création du spectacle. En effet, certains travaillent sur la création musicale du spectacle, d’autres sur la création vidéo et d’autres encore sur l’aspect technique (sonorisation, lumière, etc…).
Ce projet a pris une dimension inter-quartiers ceci grâce à la participation intense de chacun des interlocuteurs de terrain, avec le jeunes. « Le bouche à oreille » a ensuite très bien fonctionné et nous connaissons tout au long de ce projet un enthousiasme important de la part des participants. Le suivi des animateurs de chacune des villes est un élément fondamental. Il permet de rappeler les horaires et lieux de répétition. Il permet aussi d’écouter et de faire remonter le sentiment et les besoins des jeunes. Ces derniers se sentent ainsi complètement partie prenante du projet, non seulement sur l’aspect artistique et la création d’un spectacle, mais aussi, sur tout ce qui tourne autour du projet. C’est à dire la participation à l’organisation des rassemblements, la participation à des manifestations qui se déroulent sur les quartiers (fêtes de quartier, spectacles, rassemblements) ou encore la communication avec les parents et les autres jeunes des quartiers. Cette dimension participative est un marqueur important de l’action.
A noter la présence d’une animatrice Sonia …. Qui de part son investissement et sa présence assure la mixité de l’équipe pédagogique ainsi qu’une meilleure intégration des publics féminins.
La réalité sociale des jeunes nous a poussé à choisir les vendredis soirs et les week –end pour nous rassembler. En effet, ce fût l’une des difficultés d’un tel projet car afin de réunir l’ensemble des publics (étudiants, salariés etc.), il nous a fallut nous adapter.
-
Il existe une motivation perceptible :
L’indicateur de cette motivation est d’abord, l’assiduité. On aurait pu craindre avec le nombre important de jeunes adultes qui ont parfois du mal à se projeter même à court terme, un manque de discipline par rapport à l’assiduité aux séances de répétition. Cela n’a pas été le cas. Comme nous l’indiquons ci dessus, l’assiduité aux répétitions et aux rassemblements ainsi que le travail qui avait à fournir entre les répétitions, a globalement été respecté. L’autre indicateur qui celui-ci est encore plus important est la participation à toutes les phases de la création du spectacle (improvisations, prise de parole critique, écriture, mise en scène, mise en musique etc.). L’équipe éducative et les intervenants artistiques ont défini une pédagogie où les jeunes sont au centre du projet de création. Nous les accompagnons, nous les guidons, nous les conseillons et nous les motivons. Mais à aucun moment nous faisons à leurs places. Ils sont les instigateurs, les inspirateurs mais aussi les créateurs et les acteurs d’une création collective. La motivation que l’on perçoit objectivement de manière nette et remarquable est du au fait que nous avons réussi à ce que ce projet devienne leur projet.
Il faut aussi souligner le fait que les jeunes se retrouvent aussi en dehors des ateliers. En effet, bien qu’issue de villes différentes, ils se retrouvent pour travailler ensemble ou partager un moment de vie. Ces rencontres ont permis à leurs amis et à leur entourage de se rencontrer. Beaucoup ont invités des proches à assister aux ateliers.
-
La création du spectacle se met en chemin :
La démarche a été la suivante.
Tout d’abord, le groupe a dû définir une direction artistique et d’un personnage central. Ils ont choisi une cabine téléphonique.
Ensuite, par petit groupe, ils ont créé des improvisations autour de cette cabine. Une sélection a permis de garder les meilleures propositions et de passer à la phase d’écriture. Enfin, il a fallut attribuer les rôles à chacun et aborder les personnages de façon plus précise.
A ce jour, le groupe a créer un spectacle composée de 5 pièces et aborde la question de la mise en scène. Nous allons désormais y intégrer de la musique, de la danse et une partie vidéo projetée.
Un groupe de pilotage s’est constitué afin d’assurer d’une part la promotion et la diffusion de leur spectacle intitulé : LA CABINE. (2 jeunes étudiantes en communication issues du groupe assurent ce travail) et d’autre part la communication en interne du groupe via un groupe facebook et instagram sur les réseaux sociaux.
-
L’accompagnement, par les professionnels, des projets individuels des jeunes. :
Il faut souligner l’implication de l’équipe pédagogique dans l’orientation et l’accompagnement des jeunes dans leur projet individuel. En effet, 3 participants (dont une fille) ont trouvé un emploi grâce au « réseautage » et à la motivation maintenu par la dynamique de groupe.
De plus, deux jeunes ont entrepris les démarches auprès de la mission locale afin d’intégrer une école de théâtre à la rentrée 2017, le théâtre « du fil » à Paris. Ils ont été accompagnés financièrement pour leur premier entretien qu’ils ont réussis avec succès.
Un jeune déscolarisé a décidé de reprendre ses études en septembre 2017.
-
La participation de parents :
Il nous faut souligner la participation des parents. En effet, certains jeunes venaient avec leurs parents qui les déposaient. Nous avions prévu un moment d’accueil autour d’un café de 18 h à 19 h chaque vendredi en début d’atelier. Ce moment a permis à des parents d’assister aux séances. Ils ont ensuite participés en apportant des gâteaux ou en prenant des photos qu’ils nous ont envoyées. Cette ouverture aux parents a été bénéfique pour le groupe car elle a permis de rassurer et d’apaiser un groupe dynamique et nombreux.
-
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
CF Bilan ci dessus
- Ressources financières mobilisées pour cette action
ompte rendu Financier Projet 15/25 Projet Inter quartier 2016/2017
Charges
Prévisionnel
Réalisé au 15/03/2017
Prévisions dépenses jusqu’au 30/06/2017
Produits
Prévisionnel
Obtenu
-Achat matériel
et fourniture :
(Achat de matériel
pour les ateliers)
- rémunération intermédiaire et honoraire
- Déplacements missions
- Rémunération du personnel
- Assurances
2 000
8 775
500
14 000
225
800
3 510
200
5 600
90
1200
5265
300
8400
135
- Ministère de la Jeunesse
Et des Sports
- Communes
- CAF du Doubs
- Part. MJC petite Hollande
10 000
14 000
2000
8 000
14 000
2 000
Totaux
26 000
10 400
15 600
Totaux
26 000
26 000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
Cf Bilan ci dessus
- Résultat pour le centre social
Travail en réseau avec d'autres structures associatives et institutionnelles.
Affirmation de la notoriété de la MJC (tête de réseau).
- Résultat pour les habitants
- Mixité des jeunes issus de chaque quartier
- Suite de l'action : Limites
Contrainte financière
- Suite de l'action : Perspectives
- Nouvelle création artistique
- le 1er spectacle qui tourne dans l'ensemble de l'agglomération et ensuite dans le département
- Echange Européen
Actions
La Vie DéConfinée
- Structure organisatrice
- PIERREFONTAINE LES VARANS - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Constat
Nous avons tous vécu le confinement et le déconfinement de manière différentes ; seul, en familles, en télétravail, séparer de nos proches, …Pour beaucoup la page est loin d’être tournée, et nous avons besoin d’exprimer, de créer, de partager de témoigner de ce que nous avons vécu. Nous souhaitons proposer à chacun de participez à l’écriture de notre histoire de manière libre. Partagez son quotidien avec nous, et garder la mémoire de demain ! Nous souhaitons aussi permettre de recréer du lien entre les habitants.
Collecte
Depuis juin 2020, les habitants des communes de Pierrefontaine-les-Varans et Les Premiers Sapins : citoyens, famille, enfants, écoles, accueil de loisirs, accueil périscolaire, etc. ont été sollicités pour transmettre les productions réalisées durant cette période de confinement, mais également durant la « sortie » de cette période.
Finalité du Projet :
L’idée dans un second temps est de réaliser une œuvre collective avec l’aide d’artistes et des habitants ! Cette dernière permettra de garder une trace de cette crise et de ne pas oublier ce que nous avons vécu. Passer d’une pensée confinée, à une voix collective. Ne pas oublier les espaces d’entraides, de solidarité qui se sont créés…et les leçons que nous devons en tirer.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'idée de ce projet est de créer des moments d'échanges, de partage, de créer des lieux d'expressions. Nous souhaitons pouvoir faire réfléchir les habitants sur ce qu'il souhaitent aujourd'hui pour leur condition de vie, dans un cadre positif.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- DRAC
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Phase 1 : mars 2021
Actions :
- Point sur la collecte des traces du confinement
- Construction de modules d’expositions sur le(s) confinements
Phase n°2 : Juin 2021
L’artiste Lena Brissoni qui a réaliser les module d’exposition et la mise en place de l’exposition la Vie DéConinée sur 9 communes.
Actions :
- Exposition itinérante sur la communauté de commune des Portes du Hauts Doubs, avec la collecte des témoignages des habitants ainsi que les productions des différents partenaires.
Des modules à la fois :
- Espace d’exposition sur le confinement. Mais aussi pour d’autres expositions. L’objectif est d’avoir des modules d’exposition perein, qui seront utilisés par les associations les communes qui en ont besoin.
- espace « banc public », recréer des nouveaux lieux de rencontres
- espace d’expression. Des panneaux utilisés pour les projets en cours dans les communes. Pour les projet de l’Espace de Vie Socilale Facilatiss’ il seront utilisé pour notre enquête sur la mobilité, la création d’un poulailler partager, la création d’un espace pour les jeunes,…
L’idée étant que l’exposition vienne aux habitants, et non l’inverse.
Exposition extérieure dans l’espace public : amener les habitants à s’interroger, lui donner envie d’en voir plus !
Chaque village aura une partie de l’exposition, soit 9 lieux.
Résultats attendus :
- Exposer dans tous les villages cités ci-dessus : création de mobilier durable en parallèle et réutilisable pour d’autres manifestations.
- Impliquer les habitants dans la réalisation de l’expo
- Pouvoir intriguer et donner envie aux habitants de voir le reste de l’exposition dans les autres communes ainsi que la suite du projet sur Consolation.
Phase n°3 : Juillet 2021
Deux artistes et un public participatif et artiste lui aussi
Des ateliers en lien avec la Micro-folie seront proposés à Consolation et dans les communes des 2 EVS. La matière collectée sera utilisée pour la création des 2 artistes en résidence à Consolation début aout.
L’idée est de créer du lien à travers la Culture, et un élément fédérateur, intergénérationnel. Des ateliers seront proposés durant le mois de juillet sur le site Consolation, avec un ou deux modules du projet la Vie DéConfinée, dans le but de créer un lien entre les différents projets.
Phase n°4 : Aout 2021
La résidence : une création et une collaboration entre deux Artistes
Une résidence sur 15 jours : 6 jours de préparation et 6 jours de création avec les visiteurs de Consolation. La création restera sur le site et sera le lancement de la thématique Culture que Consolation souhaite développé sur son lieu. *
La résidence poursuivra la thématique de l’exposition la Vie Déconfinée. Elle portera sur la création de cabanes, comme un refuge, un havre de paix. Les artistes travailleront à la fois sur du graphisme et de la construction. Sur la question de comment s’approprier un lieu dont on n’a pas les repères ? Nous avons besoin d’un abri sur nos têtes mais aussi besoin de sortir de notre isolement imposé, de nous retrouver, échanger, et de revenir à la source au choses simples.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Sur l'Espace de Vie Sociale Facilatiss' pour la phase 1 et 2:
- 13 récoltes (individuel et collective) associations théatre, patchwork, écoles, radio, habitants
- 10 personnes concernant l'installation des modules
- Résultat sur le territoire
Ces modules et les ateliers ont pour objectifs de faire entendre la voix des habitants.
- Résultat pour le centre social
Les modules d'expositions présents dans l'espace public sont aussi un éléments de communication pour l'Espace de Vie Sociale facilatiss'.
- Résultat pour les habitants
Les premiers constat sont que les habitants s'interrogent sur ces étranges modules. Ils cherchent à savoir ce que c'est à quoi ils servent...
Ils sont investi de différentes manière sur les sites:
- mur d'expression
- jeux
- affichage manifestation
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Nous allons utiliser la matière collecté pour nourrir notre diagnostic permanent et proposer aux habitants des actions répondant à leurs attentes et besoins.
Actions
"Ensemble en scène : pratique théâtrale pour les ados"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Jean FERRAT - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Il s'agit d'un atelier de pratiques théâtrales, de deux heures hebdomadaires, animé par un comédien metteur en scène d'une compagnie professionnelle.
Cet atelier est destiné aux adolescents, de 12 à 17 ans, de toute la commune. A partir de thématiques de la vie quotidienne choisies par les adolescents, le travail consiste à écrire et à mettre en scène des saynètes comiques dans un registre proche de stand-up. La mise en valeur de ce travail est concrétisée par des représentations sur différentes scènes du pays de Montbéliard.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Il s'agit d'une initiative prise dans le cadre d'un appel à projet "Fonds publics et territoires - CNAF" intitulée "expérimentation ados" qui a été proposée et mise en place par l'équipe des techniciens du CVU en lien avec les éductateurs de prévention et un groupe de jeune mobilisé pour expérimenter un atelier théâtre hebdomadaire.
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Volonté d'orienter l'offre de loisirs des adolescents vers une dimension culturelle, différente des pratiques de "consommations". Installer une ation culturelle qualitative à long terme.
- Permettre à des adolescents de d'accéder à une diversité des niveaux de langages, de travailler sur la communication formelle et informelle et sur le langage du corps. Permettre aux adolscents de valoriser leur image individuelle, d'opérer un changement de regard sur eux-même et d'avoir l'occasion de maitriser des outils de communication interindividuelle.
- Faire découvrir aux adolescents des spectacles vivants dans les différents lieux de diffusion de l'Aire Urbaine Belfort/Montbéliard/Héricourt.-
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Plusieurs expériences avec différentes compagnies ont été testées sous forme de stage en période de vacances rencontrant un adhésion faible et des décrochages successifs. Une jeune compagnie de théâtre a été recontrée lors d'un festival local dédié à la découverte d'activités artistiques (musique, danse, graff, théatre); cette compagnie (ELDO) dirigée par un artiste local, exploitant le registe comique, improvisation, et pratiquant une forme de "stand up" a mobilisé une pédagogiqe attractive permettant aux jeunes de jouer et se mettre en scène trés rapidement en créant leurs dialogues sur la base de la cvie quotidienne. Un travail d'adaptation aux attentes du public en changeant plusieurs fois de jours, d'horaires a permis de fixer un premier groupe de pratiquant qui a vite été mis en valeur auprès du public jeunes d'autres communes par la présentation de spectacles à l'occasion de fêtes de fin de centre, ou de manifestation intercommunales comme "la journée de la femme" les 8 mars notamment. L'outil vidéo a rapidement été utilisé pour travailler des mini scènéttes filmées permettant une diffusion à un plus large public. Des partenariats avec les éducateurs de prévention ADDSEA, la Brigade de Prévention de la Délinquance Juvénile (BPDJ) et d'autres services jeunesse ont permis de tourner de petits films de prévention du sexisme, ou de prévention de changement d'image des forces de l'ordre auprès des jeunes, qui ont rencontré un succès d'estime local.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'action a été financées pendant plusieurs années exclusivement par la CAF dans le cadre de l'appel à projet cité ci-dessus, et completée par les fonds propres de la commune. Le budget annuel de l'action a été de 6 000 à 9 000 € en fonction des années pour une participation CAF allant de 60 à 80 % de l'action.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Un animateur jeunesse pour accompagner les séances de 2h hebdomadaires, et le comédien directeur artistique de la Compagnie. Les éducateurs de prévention, les gendarmes de la BPDJ, et d'autres partenaires du champ de la jeunesse du Pays de Montbéliard (associations locales, centre sociaux, MJC, services jeunesse municipaux, etc.) sont intervenus de façon ponctuelle en fontion des projets.
- Résultat sur le territoire
- Un atelier qui s'est stabilisé et renforcé et qui a su renouveller son public en intégrant de jeunes pratiquant avec de plus "chevronnés",
- Une valorisation de l'image des jeunes (y compris des quartier populaires) par leur participations remarquées à des évènements communaux et intercommunaux, des jeunes fiers de leur travail et mis en valeur; un maitrise des codes de langage.
- Un changement dans la relation des jeunes inscrits au théâtre avec les acteurs du territoire et/ou leur environnement (base du montage d'une association, participation à un comité consultatif municipal, inscription en potion théâtre au lycée par exemple),
- le théatre a été initié par Etupes et la compagnie ELDO dans un festival de culture Urbaine intercommual à Montbéliard, ou celui prend la place principale dans la programmation; des jeunes d'Etupes ont initiés d'autres jeunes à cette pratique et l'ont valorisée au niveau des publics de quartiers prioritaires. La compagnie de théâtre a été accueillie et hébergée dans des bâtiments communaux,
- Une mixités fille/garçons et quartier ZUS /centre ville équilibrée.
- Résultat pour le centre social
- valorisation du Centre Social auprès des partenaires de l'agglomération, valorisation des jeunes auprès de la population, des parents, des élus,
- travail partenarial avec les acteurs du territoire, et partiocipation à l'installation d'une compagnie de théâtre sur la ville.
- changement d'image du Centre Social par la mise en valeur d'une pratique culturelle moins "valorisée" dans les quartiers populaires.
- Résultat pour les habitants
- valorisation de leurs enfants devant de spublics différents, y compris sur des scènes de qualité (théâtre de Montbéliard, théâtre des bai,ns-douche),
- sentiment d'utilité du Centre Social
- Suite de l'action : Limites
- la pratique s'est bien ancrée sur territoire, mais il y a toujours besoin de temps pour les répétitions, les spectacles, un équilibre est à négocier avec les parents pour gèrer les différents temps du jeune (scolaire, sportif, familial etc.)
- il faut gérer les entrées et les sorties dans le groupe et instaurer un équilibre dans les niveaux et l'expérience dans la pratique théâtrale.
- Suite de l'action : Perspectives
- une utilisation de ce potentiel artistique pour développer des projets avec d'autres publics (publics en insertion, demandeurs d'emploi) pourrait être à construire,
- travailler à une mixité intergénérationnelle est aussi une piste intéressante.
Actions
"Petit déjeuner des partenaires"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Jean FERRAT - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
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- éducation / scolarité
- Solidarité
- Résumé
Il s'agit de proposer aux acteurs du territoire (écoles maternelle, élémentaire, collège, éducateurs de prévention, Brigade de Prévention de la Déliquance Juvénile, équipe du Centre Médico Sociale, infirmière de PMI, assistante sociale, CESF, bailleurs sociaux dans un premier temps) de se retrouver 3 ou 4 fois pas an atour d'un café/petit déjeuner sous forme de rencontre régulière et formelle permettant de favoriser la connaissance mutuelle des acteurs, de bien connaître les missions de chacun, d'échanger sur le diagnostic de territoire et d'envisager des actions communes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
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- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le Centre Social d'Etupes était en 2019 en année de préfiguration et de construction de son projet social. Si l'équipe projet du Centre Social connait bien l'ensemble des acteurs du territoire, ceux-ci ne se connaissent pas forcément et peuvent ne pas travailler facilement ensemble. Les liens entre les familles et les institutions (en particulier les familles en difficultés) ne sont pas facile à construire et pouvoir apporter des réponses pertinentes et adaptées aux situations rencontrées nécessite une bonne connaissance du fonctionnement des partenaires et une fluidité dans la relation. Il s'agit donc d'améliorer la connaissance et la reconnaissance mutuelle entre les acteurs et partenaires, de fluidifier les relations partenariales et les optimiser, d'échanger plus facilement sur les situations problématiques, d'optimiser l'orientation des publics vers les services adaptés, et de créer ou d'envisager des actions collectives partenariales. Cette action est conçue comme un outil qualitatif au service de la fonction d'accueil du Centre Social et devant apporter une plue value au territoire, aux habitants et aux partenaires. Un centre social doit être un point d'appui, un facilitateur qui participe à la richesse, à la cohérence et aux synergies de l'organisation territoriale. Etre à l'écoute des besoins des habitants, et être à l'écoute des partenaires pour coproduire une action publique locale de qualité.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Bailleur social
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a débuté en septembre 2019 au cours de l'année de préfiguration du projet social du Centre Social d'Etupes. Ce projet avait été évoqué avec de nombreux acteurs au cours des rencontres bilatérales entre partenaires et équipe projet pour partager le diagnostic de territoire; l'idée de ce "petit déjeuner des partenaires" a recontré une adhésion a priori chez tous les partenaires. Aussi, par invitation effectuée par mail, l'équipe projet a convié tous les partenaires un lundi matin de 8h30 à 10h30 pour accueillir les participants et leur présenter l'équipe projet et les enjeux des actions du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget pourrait être de 200 à 300 € maximum par une année complète de 3 ou 4 RDV.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les 5 personnes de l'équipe projet ont participé à la mise en place de cette action et sont présents aux rendez-vous. Et 18 partenaires ont été accueillis au total sur les 2 rendez-vous menés en 2019.
- Résultat sur le territoire
L'impact principal pour le territoire reste le renforcement, et parfois entre certains partenaires le développement, de liens contribuant à créer un maillage territorial réactif et coordonné au service des habitants.
- Résultat pour le centre social
Le centre social devient un lieu ressource au service des habitants en raison du panel de partenaires en lien avec le centre social. Ces rencontres permettent d'affiner notre diagnostic de terrain et de faciliter la construction de réponses collectives.
- Résultat pour les habitants
Cette action contribue à développer un accompagnement de qualité grâce à un travail partenarial intense et personnalisé. Ainsi, les familles peuvent s'appuyer sur une équipe pluri-disciplinaire. Cette perspective reste rassurante pour les familles
- Suite de l'action : Limites
Deux rencontres ont eu lieu ce qui a permis à chaque partenaire d'investir notre structure et de tisser des liens avec les partenaires locaux. Pour que ce rendez-vous reste attractif, il nous faut veiller à ce qu'une synergie de travail soit présente et continuellement réinterroger les objectifs que nous ambitionnons.
Le temps que les partenaires pourront consacrer à ce rendez-vous pourrait constituer une limite.
- Suite de l'action : Perspectives
La connaissance des partenaires est aujourd'hui plus ancrée et les échanges facilités. L'ensemble de l'équipe souhaite, désormais, aller plus loin qu'une rencontre informelle. Nous envisageons d'y créer un espace d'échanges d'informations, de conseils, et de bilan autour de situations problématiques que l'ensemble des partenaires peuvent rencontrer ou auxquelles ils seraient suceptibles d'être confrontés au quotidien. C'est aussi le rôle d'un centre social que de faciliter, autant que possible, le travail de chaque professionnel, toujours dans le même objectif : le service rendu aux habitants.
Actions
la magasin sans argent
- Structure organisatrice
- Centre Social Les Francas du Doubs - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Le Magasin sans argent poursuit un triple objectif environnemental, social et citoyen. Il participe à une meilleure utilisation des ressources en permettant le réemploi d’objets sous-utilisés et sensibilise le public à des modes de consommation plus responsables. Dans un contexte de précarisation croissante des classes moyennes et populaires, il soulage les budgets modestes et favorise la solidarité. Enfin, il offre à tous une façon concrète d’exercer sa citoyenneté et de participer à l’avènement d’une économie fondée sur la coopération et l’intelligence collective.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La gestion d’un lieu de dons entre particuliers: Chacun peut venir y déposer les objets dont il n’a plus l’usage ou récupérer gratuitement des objets qui pourraient lui être utiles, sans contrepartie financière, en nature ou en services. donner des choses dont nous n'avons plus besoin mais qui pourraient servir à d'autres, il suffit qu'ils soient propres et en bon état. Il n'y a pas de troc: chacun peut apporter sans prendre autre chose. A la différence d'une ressourcerie, nous ne souhaitons pas être sur la revalorisation des déchets mais sur le réemploi direct d'objets en circuit court. les dons n'ont pas besoin d'être neufs mais simplement réutilisés sans réparation par quelqu'un d'autre. petits ou gros format (meubles ou électroménager) c'est le local mis à disposition de la commune qui fera le choix. Cette activité se prolonge dans des ateliers de partage de savoirs et de savoir-faire où les biens mis en dons sont immatériels. De façon plus générale, le centre social promeut l’économie du don, qui est à la fois sociale et solidaire, circulaire et collaborative. La place, réservée aux habitants est essentielle quant à la réception des dons, la gestion de stock et des temps d'ouverture. ce lieu pourra permettre aussi des permanences à des partenaires sociaux comme la bailleur social: Néolia, la mission locale, Frat'aire...
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
bien
- Ressources financières mobilisées pour cette action
14 801€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
plein
- Résultat sur le territoire
dynamique de solidarité et d'intérêt à son environnement social, naturel et économique
- Résultat pour le centre social
une nouvelle porte d'entrée pour des nouveaux habitants, un tremplin au bénévolat
- Résultat pour les habitants
idem
- Suite de l'action : Limites
aucune
- Suite de l'action : Perspectives
continuer , ouvrir dans d'autres lieux, organisation d'évènements
Actions
la KERMESSE des Fougères
- Structure organisatrice
- Centre Social Les Francas du Doubs - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
une action ponctuelle mais qui se reproduit une deuxième fois
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Une volonté de quelques habitants et parents élus aux conseils d’écoles des Fougères de
mettre en commun leur énergie pour organiser une kermesse dans le quartier. Plusieurs
intérêts à cela, faire ensemble et partager l’enthousiasme en recrutant le plus possible de
parents, proposer un évènement pour l’ensemble des habitants avec un aspect convivial
non négligeable et permettre de récupérer des fonds au bénéfice des deux écoles du
quartier
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
créer une dynamique de projet sur le quartier, donner la place aux relations entre les parents et les enfants
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
En respectant le plan Vigipirate, la kermesse doit se déroulée dans la cour et sous le
préau de l’école élémentaire de Jeanney. Le directeur de l’école, les habitants et la
directrice du centre social se rencontrent régulièrement pour préparer cet évènement.
La sollicitation des personnes se fait par le bouche à oreille, chacun motivant l’autre pour
s’intéresser au projet, pour apporter un coup de main ou un savoir-faire.
Il est décidé que cela se déroule le samedi 20 juin de 14h à 19h.
La commune doit être interpellée pour les aspects matériels comme la mise à disposition
de tables de brasserie, de vit abri, de bancs et de chaises
Les différents stands sont conçus par les habitants : pêche à la ligne ; chamboule tout ;
structure gonflable ; fléchettes et ballon à eau ; stand henné ; stand tresse ; bonbonnière,
queue de l’âne ; la corde à tirer, course en sac, jeux de KIM ; baguettes/bouchons, course
à l’eauC
Vente de boissons, de gâteaux et crêpes réalisés par des habitantsL’organisation générale se déroule en respectant le développement durable (la fabrication
des stands avec de la récup’) des espaces tri des déchets à deux endroits au moins, dans
un esprit familial, le souhait est que les parents et les enfants jouent ensemble (les enfants
ne sont pas laissés libres dans la kermesse, le message doit être clair)
La décoration est aussi à la charge du groupe d’habitants, la question se pose de
l’investissement des associations du quartier pourquoi pas sur la mise en beauté de la
kermesse (ballons colorés ; banderoles ; guirlandes de fanions)
Pour attirer les familles, nous proposons aux deux directeurs d’écoles de profiter de cette
fête pour permettre aux classes de produire un petit spectacle par exemple : des danses,
des chants, des expositions de travaux d’élèves.
Et pour terminer, une tombola est organisée. Chaque parent se charge de récupérer des
lots.
L’après-midi se termine par un barbecue accompagné de différentes salades (de pâtes, de
riz, du taboulé) tous ensemble
L’ambition est de mobiliser les habitants du quartier pour un moment festif et convivial
- Ressources financières mobilisées pour cette action
3000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
50
- Résultat sur le territoire
500 personnes accueillies, des partenaires mobilisés, des rencontres entre parents et enseignants et professionnels du temps passer en famille, une envie de recommencer
- Résultat pour le centre social
des habitants comprenanat le rôle et la fonction du cnetre social sur le quartier
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
réitérer en 2022
- Suite de l'action : Perspectives
donner encore plus la place aux habitants dans la mise en oeuvre de l'action