Les actions des centres sociaux
Actions
Les Visages des Pareuses
- Structure organisatrice
- MAISON QUARTIER DES PAREUSES - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Réalisation d'une fresque avec des adolescents du quartier des Pareuses au milieu des barres HLM.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet est né de deux constats : 1) Depuis plusieurs années, les deux montées d'escalier de la barre Cordier sont taguées de manière sauvage. Ces inscriptions (insultes envers les forces de l'ordre ou encore affirmation de l'appartenance à son quartier ou à une communauté) sont régulièrement recouvertes par le bailleur social mais réapparaissent très rapidement. 2) Cette dalle à mauvaise presse, est squattée régulièrement et est considéré par ces squatteurs comme leur propriété.
L'idée était donc d'embellir et d'investir ce coin du quartier en impliquant des ados dans la réalisation d'une fresque en pariant sur le fait que le travail des plus jeunes serait respecté par les plus vieux. L'idée était également d'investir physiquement cette dalle pour y faire quelque chose de positif.Réalisation d'une fresque avec les a
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Bailleur social
- Commune
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Organisation de plusieurs rencontres entre jeunes et Carole : ils découvrent le travail d'artistes de rue comme Banksy, se familiarisent avec les différentes techniques création de pochoir utilisation de bombes de peinture. Ils décident enfin la manière dont ils vont décorer ces murs. Leur idée : se mettre en scène pour faire passer des messages de tolérance, d'amitié, de liberté et montrer que dans leur quartier il se passe des choses... On peut y voir un jeune qui tire un mur gris derrière lequel apparaissent d'autres jeunes qui jouent font du sport. On y voit également une jeune fille qui tient des ballons de baudruche et qui s'envole retenue par une copine. Bref on y voit de belles choses colorées qui tranche bien avec cette dalle grise triste...
Au delà du travail technique, Véronique notre animatrice ados et Carole soulignent le fait que sur le terrain cela a amené de l'émulation; des habitants sont venus discuter, féliciter apporter des boissons des glaces. Cette fresque très colorée a balayé le temps de sa création la grisaille ambiante dans la tête de certains habitants qui et c'est paradoxal ne peuvent plus voir cette dalle en peinture...
Ce travail débuté fin 2018 s'achèvera en juin 2019 avec la valorisation de l'oeuvre réalisée à travers une inauguration.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 adolescents de 12 à 16 ans.
une artiste et une animatrice ados du centre social
- Résultat sur le territoire
Embelissement du quartier.
Ces fresques apportent de la couleur sur ces murs gris.
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Les habitants se sont montrés curieux et sont venus à la rencontre des artistes en herbes pour échanger et les féliciter.
Les jeunes artistes sont fiers de leur travail qui a été valorisé lors d'une innauguration en précense de leurs parents et d'officiels.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Nous aimerions poursuivre ce travail dans les années à venir; les murs ne manquent pas et les ados ont transmis l'envie aux plus jeunes.
Actions
Découverte du soudpainting
- Structure organisatrice
- Maison de Quartier GRETTE-BUTTE - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action s'est déroulée sur 2 mois(septembre et octobre 2018) et sera reconduite en 2019.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
L'Orchestre Victor Hugo, dans le cadre de sa saison jeune public a proposé en 2018 un programme entièrement consacré aux contes "Rendez-vous conte" et a organisé des ateliers de soundpainting pour des groupes d'enfants de 8 à 12 ans.
Inventé par Walter Thompson dans les années 1970, le soundpainting, langage gestuel multidisplinaire, a pour but de rendre accessible à tous la composition en temps réel (du musicien professionnel à l'enfant n'ayant jamais fait de musique).
Il s'agissait pour l'Orchestre de "transmettre la musique aux jeunes" et de "préparer le public de demain, mais également de toucher, par l'intermédiaire des enfants, des adultes qui ne fréquentent pas les salles de concert". A l'issue des ateliers, les enfants montent sur scène aux côtés de l'Orchestre en présence de leurs parents.
C'est pourquoi, ce projet a été proposé aux structures accueillant des accueils périscolaires comme les maisons de quartiers, MJC et Francas du Doubs.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Faire découvrir à des enfants mais également à leurs parents le fonctionnement, la composition d'un orchestre.
Sensibiliser à la musique et montrer que ces lieux considérés comme élitistes sont à la portée de tous.
Permettre aux enfants de se découvrir une sensibilité artistique et de l'exprimer.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Ce projet a été proposé aux enfants inscrits au CLAS en lien avec l'animatrice référente. Cette dernière a suivi pour ce faire une journée de formation et d'échanges avec le référent de l'action au sein de l'Orchestre.
3 ateliers pratique se sont déroulés le mercredi après-midi au mois de septembre et un spectacle de restitution a eu lieu au mois d'octobre.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'action n'a exigé aucune dépense.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une animatrice référente exeçant à la Maison de quartier.
Un saxophoniste et spécialiste du soundpainting.
10 enfants (6 filles et 4 garçons).
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Ce projet a permis au centre social de poursuivre son travail sur la parentalité. En effet, toujours en lien avec les familles, cette action a permis d'une part aux enfants de valoriser des aptitudes et d'autre part aux parents de porter un autre regard sur leurs enfants.
- Résultat pour les habitants
Permettre à un public éloigné de certaines pratiques culturelles de découvrir l'univers de la musique en lui permettant de se rendre dans lieux culturels qu'il s'imagine inaccessible.
- Suite de l'action : Limites
L'Orchestre reconduit cette action en 2019. La Maison de quartier y prendra part à nouveau.
Les limites : ateliers proposés à 12 enfants maximum.
- Suite de l'action : Perspectives
Devant l'intérêt suscité par cette action, la maison de quartier a choisi de proposer des cours de piano et de guitare depuis le début de l'année 2019.
Ces cours se déroulent dans le cadre des activités proposés par le CLAS.
Actions
le Café des parents
- Structure organisatrice
- MJC DE SOCHAUX - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Une fois par trimestre, dans nos locaux, 60 élèves de CE2- CM1-CM2 de l'école du Centre de Sochaux échangent autour d'une thématique (mixité filles/garçons, les écrans,communication non violente, alimentation, sommeil) en présence de parents qui, eux, n'ont pas droit à la parole durant ce1er temps d'animation. Une fois que les enfants ont rejoint leur école, les parents -une dizaine par séance- se réunissent en groupe de paroles autour des intervenants spécialisés, de la directrice de l'école et de la référente-familles de la MJC. A partir des paroles des enfants, les adultes -chacun dans son rôle éducatif propre- explorent, témoignent et partagent leurs points de vue et ressentis sur la thématique abordée.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
permettre aux parents d'entendre et surtout d'écouter les enfants dont le(s) leur(sr), d'interroger leurs représentations et ressentis en matière d'éducation avec l'accompagnement d'intervenants extérieurs spécialisés, de les confronter et partager avec d'autres parents et les co-éducateurs que sont l'école et la MJC/CS
les résultats attendus sont la prise de conscience mutuelle des problématiques , le mieux-vivre individuel et collectif au sein de l'école
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
entre chaque séance, les enseignants des classes concernées, la directrice de l'école et la référente-familles de la MJC/CS se réunissent : évaluation de la séance réalisée, préparation du prochain Café avec choix du thème conjugant les demandes des enseignants et parents, recherche partagée des intervenants extérieurs
évaluation globale de la saison passée et projection n+1 courant octobre
- Ressources financières mobilisées pour cette action
frais d'intervenants extérieurs : en moyenne 500 € par saison
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 personnels enseignants et 4 de la MJC/CS
- Résultat sur le territoire
l'action, portée par la MJC/CS, est inscrite au CVU.
- Résultat pour le centre social
élargissement du public "parents" touché par le centre et approfondissement de la connaissance des problématiques liées à la parentalité
- Résultat pour les habitants
ouverture de l'école et du centre sur le quartier, et prise en compte des questionnements des parents et des enfants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
reconduction prévue de l'action en 2018/19
Actions
Pépinière d'Initiatives Jeunesse - PIJ25
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL L'ENVOL - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- mobilité / transport
- vacances / loisirs
- Résumé
La PIJ25 accompagne des projets simples (permis, tournois, vacances autonomes,…) ou complexes (création d’entreprises, festivals, associations,…) qui sont menés par des jeunes de moins de 26 ans, de façon individuelle ou collective, et qui ont des finalités éducatives et/ou sociales.
Pour ces projets les jeunes peuvent obtenir une aide financière, technique, et/ou administrative dont ils auront besoin pour mener bien à leurs objectifs.
Pour l’obtention de l’aide demandée, il faut que les jeunes concernées soient à l’initiative du projet et que qu’ils soient responsables des démarches. En échange de l’aide obtenue chaque jeune doit s’investir dans un engagement bénévole et citoyen au sein d’une association culturelle, sportive ou caritative de son choix.
L’accompagnement commence quand le jeune, ou le groupe de jeunes, se rend à la permanence de la PIJ25 avec son idée pour un premier contact. Là il est reçu et écouté par un professionnel qui va pouvoir l’aider à formuler et à construire son projet, et ainsi mieux réaliser la composition d’un dossier. Pour ce projet, individuel ou collectif, le jeune va devoir établir un budget et évaluer l’aide financière, ou technique, dont il a besoin. Quand il s’avère nécessaire, le jeune et le professionnel établissent un calendrier des échéances à venir.
Dès que le projet est suffisamment avancé, il peut être présenté devant une commission. Celle-ci se réunit environ 7 fois par an. Le jeune présente son projet et répond aux questions du jury de la commission. Ensuite, il y a une délibération du jury et la commission donne son avis, favorable ou non, et fait des observations. Elle fixe également l’ensemble des contreparties que le porteur du projet doit s’engager à réaliser, et dont l’historique sera mentionné dans son « Passeport du bénévole ».
Le jeune, ou le groupe de jeunes, est informé par courrier de la délibération de la commission et, en cas d’avis favorable, des contreparties qui sont demandées pour l’attribution de l’aide. C’est après que les différentes actions ont été effectuées, les contreparties incluses, que le jeune se voit attribuer l’aide fixée lors de la commission.
L’action de la PIJ25 est basée sur le principe de la contrepartie. C'est-à-dire qu’en échange de l’aide que le jeune va recevoir, il devra s’investir dans un engagement bénévole et citoyen. L’association qui va accueillir le jeune bénévole n’est pas imposée. Les associations d’envergure locale, comme les grandes associations caritatives sont les bienvenues, mais le jeune doit les trouver de façon autonome. L’important c’est que cette expérience de bénévolat soit une expérience enrichissante pour le jeune et ne soit pas utilisée pour obtenir des remplaçants d’employés à moindre coût.
Cette démarche a pour objectifs de :
· Mettre en valeur les compétences du jeune
· Faire découvrir le milieu associatif
· Favoriser la prise de conscience des multiples possibilités et besoins d’engagement social
· Mettre en avant les jeunes, leurs projets et leur investissement
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les objectifs de la mise en place de ce projet sont :
· Favoriser chez les jeunes de 13 à 25 ans la formulation et construction de projets qu’ils souhaitent réaliser
· Favoriser l’initiative et la prise de responsabilité des jeunes pour la construction de leurs parcours, en valorisant leur autonomie
· Favoriser la prise de conscience des démarches et efforts nécessaires pour l’accomplissement de leurs projets
· Développer auprès des jeunes la connaissance de l’organisation sociale institutionnelle et des règles et démarches à suivre dans une procédure officielle
· Présenter aux jeunes le réseau des différents acteurs sociaux qui mènent des actions vers le public
· Montrer aux jeunes l’importance de leur participation et de leur engagement dans la vie sociale
· Mettre en valeur l’estime de soi, en favorisant la réussite d’un projet comme fruit des efforts des jeunes
Ils résultent à la fois d'un constat de terrain , et de la demande des jeunes .
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Cette Pépinière d'Initiatives est issue du programme global d’accompagnement des initiatives de jeunes Soléo créé par la Fédération Léo Lagrange au début des années 2000. Soléo associe la volonté politique des élus, l’énergie de la jeunesse et de toutes les forces vives (bénévoles, entreprises, acteurs sociaux...) qui le souhaitent pour offrir un autre développement aux politiques jeunesses. Pour faciliter cette démarche, il peut s'appuyer sur une dizaine de structures semblables au niveau national qui forment un réseau de compétences et de connaissances qui permet le développement d'un véritable SAVOIR FAIRE.
Nous avons donc proposer à un certains nombre de partenaires de mettre en place ce projet à destination des jeunes au départ sur le quartier des Batteries du Parc à Montbéliard qui était alors notre quartier d'intervention ; puis avec la demande croissante des jeunes et un soutien de plus en plus présents des financeurs le champs d'action du dispositif s'est étendu à la ville de Montbéliard ; et enfin à l'Agglomération.
Après 10 ans de développement , la PIJ25 soutient environ 100 Jeunes par an dans leur projet et mobilise un partanriat local (ASEA NFC, IDEIS, Collectivités, Etat, Associations, ...) important .
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L'action mobilise 1 professionnel du Centre Social qui accueille et accompagne les jeunes dans le montage de leurs projets ; mobilise et fait le lien avec les partenaires jeunesse du territoire ; et met en place de action de sensibilisation et de citoyenneté.
- Résultat sur le territoire
Depuis les premières prémices en 2006, la Pépinière d'Initiatives Jeunesse 25 (PIJ25) s'est développée au fil des années tant au niveau de son organisation (création d'outils, communication, calendrier, territoire d'intervention…) que des partenariats mobilisés (Mission Locale, Structures Jeunesse, Associations locales, …).
C'est un dispositif encré sur son territoire qui a déjà touché un peu plus de 1000 Jeunes.
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Depuis 10 ans, Léo Lagrange Centre Est développe sur Montbéliard et son Agglomération une Pépinière d'Initiatives Jeunesse (PIJ25). Ce dispositif permet à des jeunes du Pays de Montbéliard, âgés de 16 à 25 ans, de formuler et de construire un projet qu'ils souhaitent réaliser. En échange de l’aide obtenue, chaque jeune doit s’investir dans un engagement bénévole et citoyen au sein d’une association sportive, culturelle ou caritative de son choix.
Mais depuis la loi NoTre , l'agglomération est passée de 29 à 72 communes dont la plupart sont de petits villages ruraux. Nous souhaitons donc aller à la rencontre des jeunes de ces villages pour qu'ils puissent bénéficier aussi de ce dispositif en rendant notre Pépinière mobilise via l’achat d’un véhicule.
Il nous apparait nécessaire de renouveler l’organisation de notre action en allant à la rencontre directe des jeunes au sein des communes , et plus particulièrement dans les plus rurales comme Berche (479 hab.), ou Echenans (155 hab.) ou encore Beutal (291 hab.) par exemple. Mais pour cela il nous faut pouvoir financer un véhicule afin que la personne en charge du dispositif puisse se déplacer sur les permanences qui seront préalablement établies avec les acteurs locaux (accueils jeunes, associations sportives, élus locaux référent jeunesse, …) recensés en amont , en regroupant les permanences par « secteurs » pour être plus efficace comme par exemple en créant une seule permanence ouvertes aux jeunes de Echenans / St-Julien-les-Montbéliard / Raynans / Ste Marie / Issans / Semondans et Présentevillers car ces communes ont déjà des logiques collaboratives via les regroupements scolaires ou les activités périscolaires.
Actions
SERVICE COLLECTIF NUMERIQUE
- Structure organisatrice
- ASS GEST ACT SOC CULT BAVANS - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Le projet vise à déployer une offre de services, d'animations et de formation en s'appuyant sur des espaces ressources dédiés au numérique au bénéfice des habitants de Pays Montbéliard Agglomération. Il vise également à soutenir, promouvoir et rendre visible des acteurs de la médiation numérique implantés sur le territoire. L'accès aux outils, l'éducation et l'appropriation des usages numériques pour chaque individu, quel que soit son âge, est un moyen de lutter contre les inégalités, d'accéder à ses droits et s'émanciper sont au cœur des préoccupations du collectif de structures engagées.
Objectifs généraux et opérationnels du projet :
- Favoriser le lien social et les rencontres intergénérationnelles en s’appuyant sur
- Organisation d’activités collectives en s’appuyant sur le support numérique et des techniques pédagogiques actives
- Animation de démarches participatives visant à prendre en compte les attentes et besoins de chacun
- Préparation et animation de situations d'apprentissage par l'échange entre apprenants.
- Valorisation des savoir-faire de chaque génération.
- Lutter contre les inégalités et la fracture numérique sur le territoire de par
- Le développement / soutien de lieux ressources « numérique » de proximité accessibles pour tous et un relais d’information
- Des aménagements prenant en compte les difficultés de santé (mobilité, vue, audition...)
- La proposition d'ateliers en duo ou trio pour un apprentissage plus individualisé.
- La mise en place d'ateliers thématiques à l'accès aux droits.
- La démocratisation des ressources au bénéfice des publics
- Proposer une offre de service numérique adaptée et équitable sur le territoire avec la
- Création d’un réseau de structures et renforcement de collaborations et partenariats
- Création d’emplois et mutualisation de moyens humains (salariés, volontaires en service civique, bénévoles)
- Formation et échanges de pratiques
- Mutualisation matérielle.
- Essaimage d'expériences réussies (ex : animations élargies à d’autres secteurs, covoiturage solidaire pour se rendre aux activités)
- Favoriser le lien social et les rencontres intergénérationnelles en s’appuyant sur
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Précision ( si autre )
Centre Social AGASC BAVANS, Centre Social La Lizaine BETHONCOURT
Communes de Grand-Charmont et Sochaux
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Origines du projet :
Avant 2014, on dénombrait 21 espaces publics numériques sur l’ensemble de l’agglomération et des ateliers d’apprentissage au numérique dispensés régulièrement grâce à la mise à disposition de personnel et de matériel par Pays Montbéliard Agglomération.
Ces espaces étaient des lieux de sensibilisation et d’apprentissage au numérique. Ils contribuaient au lien social intergénérationnel et interculturel sur le territoire tout en s’appuyant sur le support numérique.
En raison de la disparition des financements européens, ce projet a cessé de fonctionner.
Pour autant, quelques structures ont réussi à maintenir le service soit par des moyens humains disponibles ou la mutualisation d’emplois aidés précaires. A ce jour, il existe environ 7 structures labellisées « Net Public » et une demande toujours importante de la part des habitants pour accéder aux outils numériques notamment des retraités et des personnes éloignées des usages numériques, présentant des difficultés liées à la barrière de la langue, le manque d’équipement ….
Dans le bassin de vie de Pays Montbéliard Agglomération, cinq structures et/ou collectivités ont souhaité se regrouper pour construire ensemble un projet de service collectif numérique au cours du premier semestre 2017. L’objectif étant de favoriser un maillage des acteurs, une mutualisation des moyens et des échanges de pratiques.
On recense une cinquantaine de personnes demandeuses, par structure, pour des ateliers d’apprentissage collectifs par exemple. Outre la formation aux outils multimédia, une offre de services sur l'accès aux droits a été étayée au fil des années avec les habitants.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
A l'occasion de la rencontre initiée par le Centre Social de Bavans au mois d’avril 2017 et des suivantes, en partenariat avec le Centre Social de Bethoncourt, les Villes de Grand-Charmont et Sochaux des structures et des services de l’Etat (délégués du préfet), plusieurs constats communs sont posés :
Concernant les moyens :
- Les moyens humains formés manquent (fin d’un emploi aidé au bénéfice de Bavans et Grand-Charmont en sept 17).
- Le matériel, les logiciels évoluent rapidement ; les investissements pour maintenir un service qualitatif sont donc permanents
- La mise en réseau des ressources et recherche collective de solutions participe à la motivation des animateurs et limite la fatigue professionnelle
- Pour étendre l’offre de service sur l’agglomération et développer sa visibilité, des moyens de communication sont à développer (site internet, plaquette).
- La mise à disposition des ressources documentaires est envisagée au bénéfice des publics.
Concernant les publics :
- Les retraités constituent environ 70% du public total
- Autres publics : public en situation de handicap, enfants, adolescents, demandeurs d'emploi, adultes
- L’accès aux droits par le biais des démarches en ligne devient une demande incontournable
- Les publics viennent au cours d'informatique d'abord pour les rencontres, et ensuite pour la sensibilisation et l’apprentissage
Le contexte et les diagnostics établis mettent également en évidence :
- Une fracture numérique
- La mise en place progressive de la dématérialisation des services publics et la réduction de l’amplitude d’accueil des institutions présente une réelle difficulté pour le public
- Les outils numériques sont vecteurs de liens et nécessitent d’être apprivoisés
BESOINS IDENTIFIES :
- Manque de moyens : animateur multimédia (TAP, temps préparation)
- Maillage des acteurs / échange de pratiques
- Coordination du projet, recherche de solutions innovantes
- Financement collectif / modèle économique viable
- Formation des intervenants
- Faciliter la préparation avec la mise en réseau des ressources (fiches activités)
- Moyens humains
- Equipement matériel et logiciels à jour
- Démocratisation des ressources
- Communication auprès des publics – plaquette commune pour plus de visibilité
Les villes de Grand-Charmont et de Sochaux, ainsi que les centres sociaux de Bethoncourt et de Bavans, décident alors de mutualiser leurs ressources, et un travail de plusieurs mois permet en décembre 2017 le démarrage de ce projet de service collectif numérique. Celui-ci est rendu possible par le soutien de la Conférence des Financeurs du Département, en attente de co-financements en 2018.
Celui-ci s’inscrit dans la pleinement dans la politique nationale, lancée fin novembre 2017, pour une stratégie numérique inclusive et dont l’objectif est qu’à l’été 2018, chaque territoire soit en mesure de déployer des parcours d’accompagnement et de formation au numérique en phase avec les besoins locaux, partout et pour tous (consultable sur https://societenumerique.gouv.fr/strategie.html).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Projet en cours de mise en oeuvre
Actuellement, le collectif est en recherche de partenariats (fondations et collectivités) pour favoriser le développement et est en réflexion pour construire un modèle économique viable.
Actions
Université Populaire de Parents Pays de Montbéliard
- Structure organisatrice
- ASS GEST ACT SOC CULT BAVANS - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
L’UPP du Pays de Montbéliard … une première expérience en Bourgogne Franche-Comté
La parentalité est l’objet de toutes les attentions, mais force de constater que l’on ne donne pas d’occasion aux parents de s’exprimer, de remonter leurs difficultés, leurs besoins et leur donner la possibilité d’être acteurs, d’où l’intérêt des universités populaires de parents.
A l’initiative des Centres Sociaux de Bavans et « L’Envol » Léo Lagrange de Montbéliard, un projet d’Universités Populaires de Parents prend vie en 2017, avec les soutiens de la Caisse d’Allocations Familiales du Doubs et de Pays Montbéliard Agglomération. A travers ce projet inscrit sur 3 années, les structures s’engagent à accompagner des familles pour améliorer le mieux-être et le mieux vivre dans leur rôle de parent.
Avec la coordination de l’ACEPP[1], la 5ème « génération » d’UPP recense une quinzaine de projets dans toute la France depuis le début de l’année 2017
Cette première expérimentation, dans le grand Est, a bien l’intention de donner des idées à d’autres groupes et d’autres structures dans le Département du Doubs. C’est également dans les projets de la CAF du Doubs qui l’a inscrit dans son Schéma Départemental des Services aux Familles 2017/2020.
D’autres partenariats avec des collectivités et des institutions se construisent pour garantir sa mise en œuvre.
L’UPP du Pays de Montbéliard … c’est qui, c’est quoi ?
C’est une sorte d’auberge espagnole de dix parents qui se retrouvent deux fois par mois, les lundi soir de 18h15 à 20h, pour échanger sur des questions liées à la parentalité, partager leurs attentes et leurs expériences ainsi que des questionnements selon le vécu de chacun.
Organisé par l’ACEPP, un séminaire national a d'ores et déjà réuni l’ensemble des générations d’UPP les 15, 16, 17 et 18 Mars à Marck-en-Calaisis pour un moment d’apprentissage et de convivialité fait de rencontre, d’échanges, de diversité.
Une grande richesse pour l’UPP du Doubs qui y a participé.
En septembre 2018, ils envisagent de recruter un universitaire afin que celui-ci leur apporte un soutien méthodologique pour construire une question de recherche collective, à partir de leurs interrogations et préoccupations, et une méthode pour l’approfondir.
Pour mener à bien ces travaux de recherche, le groupe a prévu d’aller à la rencontre d’acteurs locaux et d’autres familles pour mettre leur réflexion en débat l’objet de leur recherche pour en dégager des hypothèses. En vue de faire reconnaître leur place et leur rôle, évoluer le regard des institutions sur les compétences et les ressources des parents, différentes actions citoyennes sont programmées en 2018.
Un projet ouvert à tous
Le groupe constitué est en quête de mobiliser d’autres parents qui auraient envie de se lancer dans l’aventure en fonction des possibilités et du rythme de chacun.
Devenir Parents Acteurs, Chercheurs et Citoyens
[1] ACEPP Association Collectif Enfants Parents Professionnels
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Précision ( si autre )
action pilotée par les centres sociaux de Bavans et la Passerelle à Montbéliard
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Objectifs de l'action :
1 - Créer les conditions d’un espace d'échanges et de réflexion pour les parents
2 - Qualifier et légitimer les savoirs individuels et collectifs des parents et encourager la transmission des savoirs
3 - Faire émerger une réflexion collective sur une thématique liée à la parentalité et la croiser avec les institutions et les collectivités pour faire évoluer les dispositifs
4 - Renforcer le pouvoir d'agir des habitants-citoyens en leur permettant d'être reconnus et entendus auprès des institutions
Le Centre Social AGASC et le Centre Social l’Envol, avec l’appui de PMA, ont impulsé dès 2016 une réflexion sur l’opportunité de mettre en place « Une Université Populaire de Parents » (UPP) avec des parents et une vingtaine de partenaires du territoire. Les différents temps de réunions, déplacement à un colloque à Paris ont permis de confirmer l’engagement des 2 structures dans ce projet ambitieux et novateur.
L'action s'inscrit dans le schéma départemental des services aux familles et a été soutenue par la CAF du Doubs et de PMA en premier lieu.
Pour rappel, le projet « Université Populaire de Parents » regroupe des parents, issus de différents quartiers et/ou communes de Pays Montbéliard Agglomération, ayant pour ambition de mener des travaux de recherche sur un sujet ayant attrait à l’éducation et à la parentalité. Ils visent à croiser leur réflexion avec d’autres acteurs (écoles, travailleurs sociaux, autres parents, élus…) pour rechercher ensemble comment améliorer la vie quotidienne des enfants et de leurs parents et rendre compte de leurs travaux pour faire évoluer les pratiques et les politiques. Il s’agit de modifier les regards des parents en situation d’exclusion sur les institutions et des institutions sur eux.
Un projet en 3 phases :
En 2017, un groupe de parents s'est constitué et tendra à s'étoffer en poursuivant la mobilisation de familles au sein de structures dans les quartiers, des interventions au collège, conseils citoyens, événements ... par les parents eux-mêmes.
Les prochaines étapes en 2018 sont pour le groupe le passage des questionnements individuels à la construction d’une problématique commune puis le démarrage du travail de recherche, accompagnés par les animatrices et l'universitaire en fin d’année.
L’année 2019 sera consacrée aux travaux de recherche et d’écriture ainsi qu’une présentation des travaux à Paris avec les autres groupes de parents investis dans des UPP en France.
Pour ce faire, un partenariat a également été acté avec l’ACEPP (Association des collectifs enfants parents professionnels), mouvement parental, éducatif et citoyen, centré sur la promotion du rôle et de la place des parents, en vue de bénéficier de leur expertise, d’échanges inter-UPP au niveau national et de la formation des professionnelles animant l’UPP localement.
Le pilotage du projet est assuré par les deux centres sociaux et l’animation sera confiée aux deux animatrices « référent famille » issues de celles-ci. Un chercheur sera recruté au printemps 2018 pour accompagner les parents dans leur travail de recherche.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Association nationale
- Caf
- Conseil régional
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Eveil corporel et musical
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL BERLIOZ-MJC DES CAPUCINS - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
L'atelier d'éveil musical a pour but de donner envie aux enfants de chanter et de jouer de la musique. De proposer divers approches de la pratique de la musique et de donner aux mamans des idées et des exercices d’éveils à refaire à la maison. L’éveil musical est très important pour la concentration de l’enfant comme l’adulte. La musique transmet des émotions et des sentiments. L’appropriation et la connaissance d’instruments permettent de découvrir de nouvelles capacités. L’écoute et la pratique de la musique ouvrire la conscience des enfants et leur permettra de s’ouvrir au monde qui les entours.
L'atelier d'éveil corporel a pour but de favoriser l’éveil et le développement de l'enfant via un moment privilégié de partage et de complicité avec sa maman ou son papa avec d'autres enfants et parents. L'atelier a un rôle prépondérant dans le développement physique, psychique et affectif de l’enfant. Les ateliers proposés favorisent l’épanouissement de l’enfant, son besoin de mouvement et de jeu, permettent de développer sa personnalité et lui apprennent à s’affirmer et à vivre en collectivité. Dans un contexte sécurisant, l’enfant peut découvrir un nouvel environnement, s’épanouir corporellement et communiquer avec ses pairs.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Voilà 2 années que le Centre Berlioz propose un atelier d'éveil musical pour les mamans avec leurs enfants. Cet atelier est ouvert aux mamans du quartier Berlioz et de Pontarlier. Le but de cet atelier est d'apporter un temps d'animation original et ludique aux mamans avec leurs enfants. Ce projet a pour but également de mixer nos publics. Les mamans présentes sont de tout horizon (du quartier, du centre ville, des communes voisines), de tout statut social (maman au foyer, assistante maternelle, maman au chômage) et de toutes origines culturelles (Turque, Française, Bosniaque, Algérienne). Cette mixité est un rayon de soleil à chaque séance. Les chansons chantées sont de toutes cultures et remplies de sourires. La rencontre entre les dames et l'animation proposée valorisent toutes les personnes présentes au travers le chant, la relation entre la maman et son enfant et les discussions entre mamans. De ces 2 années d'expériences, nous souhaitons faire grandir le projet car nous sommes convaincus des bienfaits des ateliers entre mamans et enfants et cette activité connait un succès grandissant. Au sein de l'atelier, il n'est pas fait que de la musique, il sera développé aussi la socialisation et une approche dynamique autour de l’éveil corporel. Le sport aussi joue un rôle primordial pour le développement de la motricité et de la personnalité des enfants. Nous souhaitons associer, les parents et leurs enfants, à cette pratique. Cet espace de jeu encadré aura pour but de favoriser l’échange et la découverte de l’autre. La place des parents dans ses temps d’animation est importante.Le but est d’ouvrir et de développer chez le jeune enfant le sens de l’écoute et la notion de rythme à travers des activités corporelles. L’enfant apprendra des chansons. Les mamans partageront les chansons de leur enfance et de leur culture. En associant l’éveil musical à l'éveil corporel, nous souhaitons que l’enfant découvre avec sa maman des notions de rythme grâce à l’expression corporelle avec comme support la musique. Chaque atelier a sa finalité. Pour l'éveil musical, il est produit et édité un CD de comptines musicales chantées avec les mamans et leurs enfants. Le but est aussi de donner envie aux enfants de chanter et de jouer de la musique. De proposer divers approches de la pratique de la musique et de donner aux mamans des idées et des exercices d’éveils à reproduire à la maison.
- Public
- Petite enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Une fois par semaine, l'intervenant propose l'atelier. Avant le début de l'activité, il y a un accueil convivial des familles autour d'un café et de discussions diverses. l'activité dure 45 minutes . Les familles sont accueillies dans un cadre serein, chaleureux et musical.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Projet financé par la CAF dans le cadre des actions REAPP et la structure
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur pour l'éveil musical
1 animateur pour le langage des signes
1 animatrice pour l'éveil corporel
- Résultat sur le territoire
Mixité des familles. Mixités entre enfants. Mixité du public. Participation d'assistantes maternelles. Temps conviviaux mis en place: goter partagé, éveil musical à l'extérieur.
Eveil des enfants avec une progression toute au long de l'année. L'enfant s'ouvre à l'autre, à l'environnement qui l'entoure.
- Résultat pour le centre social
Connaissance du centre social pour des personnes extérieures au quartier.
Activité en faveur de la petite enfance. De nouvelles familles découvrent le centre social.
- Résultat pour les habitants
Les familles participent à une premiere activité ce qui débouche sur une autre participation à d'autres projets. LA famille découvre le centre social et son foinctionnement.
- Suite de l'action : Limites
Le public tout petit reste un public donc la participation est parfois irrégulière: sieste, malade
- Suite de l'action : Perspectives
Proposer des atelierrs à thématiques.
Actions
Lutte contre toute forme de radicalisation à travers la pratique artistique
- Structure organisatrice
- MJC Centre Social Petite-Hollande - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
En partenariat avec les Centres Sociaux et les Municipalités du Pays de Montbéliard
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Bilan projet Inter-quartier 2016/2017
Il est tout d'abord nécessaire de préciser que le projet a démarré réellement, compte tenu des réponses de subventions, en novembre 2016. Il se déroule jusqu'en juin 2017. Ce projet a la particularité d'avoir une dimension territoriale importante, car il concerne cinq villes et plus précisément cinq quartiers du Pays de Montbéliard. Nous avons Sochaux, Etupes, Audincourt, Valentigney et Montbéliard.
La première étape a permis d’aborder le diagnostic, le projet, ses finalités, ses objectifs, son déroulement avec les structures et les équipes éducatives de chaque ville. Il fallait pour entamer l’action, l’adhésion de tous. Non seulement des équipes qui agissent directement sur le terrain auprès d’un public adolescents et jeunes adultes, mais aussi de leur hiérarchie. Il fallait aussi tenir compte du contexte local de chacun, des moyens humains de chacun et des idées nouvelles qui apparaissaient lors de l’explication du projet.
Cette condition, qui est la compréhension et l’adhésion de tous à ce projet était une démarche fondamentale et indispensable avant de démarrer les ateliers et donc concrètement le projet avec le public 15/25 ans.Trois rencontres avec l’ensemble de ces partenaires, mais aussi les partenaires financiers, pour l’une d’entre elles ont été indispensables avant le démarrage des ateliers.
C’est ainsi, dans les meilleures conditions possibles car chacun s’est approprié le projet et a communiqué avec son public respectif, que nous avons démarré les ateliers artistiques avec les jeunes.
Le premier RV a donc eu lieu sur un week-end entier, et plus exactement sur 10 heures, le week end du 28 et 29 janvier 2017.
Ces deux journées ont été pour nous l’occasion de faire connaissance, d’expliquer, d’entendre les envies et les besoins des jeunes. Il a été ensuite l’occasion de renter dans le vif du sujet en sensibilisant tous les jeunes aux disciplines artistiques que sont, le théâtre, la vidéo, l’écriture et la musique.
Chacun des participants a suivi une initiation à ces pratiques lors d’ateliers de découvertes animés par des intervenants artistiques locaux.
21 jeunes de 15 à 25 ans été présents durant le week-end dont :
9 filles et 12 garçons.
Les 15/17 ans étaient au nombre de 11.
Les 18/25 ans au nombre de 10.
Nous constatons aussi que les profils et le parcours des jeunes n’est pas homogène et permet des échanges d’expériences dans la pratique artistique mais aussi dans les parcours de vies respectives, forts intéressants.
La difficulté fût de s’adresser à des jeunes d’horizons et dans des réalités sociales différentes (collégiens, lyciens, étudiants ou au chômage). Pour se faire, nous avons dû travailler ensemble sur la notion de projet afin en amenant tout un chacun a réfléchir sur le projet collectif et sur leur projet individuel (formation, professionnel ou artistique)
Ce stage de deux jours a permis un échange fructueux et a établi une confiance entre les jeunes, entre les jeunes et les encadrants qu’ils soient artistiques ou éducatifs. Ce moment d’écoute de la parole des jeunes et le fait de tenir à la fois compte de leur besoin individuel et de tenter de l’inscrire dans une démarche collective a permis d’établir une confiance dés le démarrage du projet et cela a permis le développement du projet dans des conditions sereines.
Il est a noté que pour le rassemblement du 10 mars 2017, nous demandions à chacun des jeunes de ramener dans le projet, une personne de leur entourage.
Suite à ce premier stage, les jeunes ont choisi une discipline artistique qu’ils pratiqueront jusqu’au terme du projet, c’est à dire la création d’un spectacle commun associant chacune des pratiques artistiques citées ci dessus.
Entre le 10 Mars et fin Juin 2017, les jeunes se sont retrouvés trois heures par semaines les vendredis soirs (soit un environ 40 heures). Mais aussi sur un stage intensif (3 fois 6 heures) durant les vacances de printemps et deux fois durant des week-end de juin.
Plusieurs constats :
-
Tous les jeunes présents lors du premier rassemblement sont présents encore aujourd’hui. Il n’y a donc aucune défection :
Il y a même durant le deuxième rassemblement du 10 mars 2017, douze nouveaux participants en plus. Ceci nous ramène donc à 33 jeunes de 15 à 25 ans qui participent de manière régulière à ce projet. Il est important de noter qu’autour de ces jeunes 11 autres jeunes se sont greffés à la démarche. Ils participent de manière moins régulière car ils ont des rôle différents mais complémentaires à la création du spectacle. En effet, certains travaillent sur la création musicale du spectacle, d’autres sur la création vidéo et d’autres encore sur l’aspect technique (sonorisation, lumière, etc…).
Ce projet a pris une dimension inter-quartiers ceci grâce à la participation intense de chacun des interlocuteurs de terrain, avec le jeunes. « Le bouche à oreille » a ensuite très bien fonctionné et nous connaissons tout au long de ce projet un enthousiasme important de la part des participants. Le suivi des animateurs de chacune des villes est un élément fondamental. Il permet de rappeler les horaires et lieux de répétition. Il permet aussi d’écouter et de faire remonter le sentiment et les besoins des jeunes. Ces derniers se sentent ainsi complètement partie prenante du projet, non seulement sur l’aspect artistique et la création d’un spectacle, mais aussi, sur tout ce qui tourne autour du projet. C’est à dire la participation à l’organisation des rassemblements, la participation à des manifestations qui se déroulent sur les quartiers (fêtes de quartier, spectacles, rassemblements) ou encore la communication avec les parents et les autres jeunes des quartiers. Cette dimension participative est un marqueur important de l’action.
A noter la présence d’une animatrice Sonia …. Qui de part son investissement et sa présence assure la mixité de l’équipe pédagogique ainsi qu’une meilleure intégration des publics féminins.
La réalité sociale des jeunes nous a poussé à choisir les vendredis soirs et les week –end pour nous rassembler. En effet, ce fût l’une des difficultés d’un tel projet car afin de réunir l’ensemble des publics (étudiants, salariés etc.), il nous a fallut nous adapter.
-
Il existe une motivation perceptible :
L’indicateur de cette motivation est d’abord, l’assiduité. On aurait pu craindre avec le nombre important de jeunes adultes qui ont parfois du mal à se projeter même à court terme, un manque de discipline par rapport à l’assiduité aux séances de répétition. Cela n’a pas été le cas. Comme nous l’indiquons ci dessus, l’assiduité aux répétitions et aux rassemblements ainsi que le travail qui avait à fournir entre les répétitions, a globalement été respecté. L’autre indicateur qui celui-ci est encore plus important est la participation à toutes les phases de la création du spectacle (improvisations, prise de parole critique, écriture, mise en scène, mise en musique etc.). L’équipe éducative et les intervenants artistiques ont défini une pédagogie où les jeunes sont au centre du projet de création. Nous les accompagnons, nous les guidons, nous les conseillons et nous les motivons. Mais à aucun moment nous faisons à leurs places. Ils sont les instigateurs, les inspirateurs mais aussi les créateurs et les acteurs d’une création collective. La motivation que l’on perçoit objectivement de manière nette et remarquable est du au fait que nous avons réussi à ce que ce projet devienne leur projet.
Il faut aussi souligner le fait que les jeunes se retrouvent aussi en dehors des ateliers. En effet, bien qu’issue de villes différentes, ils se retrouvent pour travailler ensemble ou partager un moment de vie. Ces rencontres ont permis à leurs amis et à leur entourage de se rencontrer. Beaucoup ont invités des proches à assister aux ateliers.
-
La création du spectacle se met en chemin :
La démarche a été la suivante.
Tout d’abord, le groupe a dû définir une direction artistique et d’un personnage central. Ils ont choisi une cabine téléphonique.
Ensuite, par petit groupe, ils ont créé des improvisations autour de cette cabine. Une sélection a permis de garder les meilleures propositions et de passer à la phase d’écriture. Enfin, il a fallut attribuer les rôles à chacun et aborder les personnages de façon plus précise.
A ce jour, le groupe a créer un spectacle composée de 5 pièces et aborde la question de la mise en scène. Nous allons désormais y intégrer de la musique, de la danse et une partie vidéo projetée.
Un groupe de pilotage s’est constitué afin d’assurer d’une part la promotion et la diffusion de leur spectacle intitulé : LA CABINE. (2 jeunes étudiantes en communication issues du groupe assurent ce travail) et d’autre part la communication en interne du groupe via un groupe facebook et instagram sur les réseaux sociaux.
-
L’accompagnement, par les professionnels, des projets individuels des jeunes. :
Il faut souligner l’implication de l’équipe pédagogique dans l’orientation et l’accompagnement des jeunes dans leur projet individuel. En effet, 3 participants (dont une fille) ont trouvé un emploi grâce au « réseautage » et à la motivation maintenu par la dynamique de groupe.
De plus, deux jeunes ont entrepris les démarches auprès de la mission locale afin d’intégrer une école de théâtre à la rentrée 2017, le théâtre « du fil » à Paris. Ils ont été accompagnés financièrement pour leur premier entretien qu’ils ont réussis avec succès.
Un jeune déscolarisé a décidé de reprendre ses études en septembre 2017.
-
La participation de parents :
Il nous faut souligner la participation des parents. En effet, certains jeunes venaient avec leurs parents qui les déposaient. Nous avions prévu un moment d’accueil autour d’un café de 18 h à 19 h chaque vendredi en début d’atelier. Ce moment a permis à des parents d’assister aux séances. Ils ont ensuite participés en apportant des gâteaux ou en prenant des photos qu’ils nous ont envoyées. Cette ouverture aux parents a été bénéfique pour le groupe car elle a permis de rassurer et d’apaiser un groupe dynamique et nombreux.
-
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
CF Bilan ci dessus
- Ressources financières mobilisées pour cette action
ompte rendu Financier Projet 15/25 Projet Inter quartier 2016/2017
Charges
Prévisionnel
Réalisé au 15/03/2017
Prévisions dépenses jusqu’au 30/06/2017
Produits
Prévisionnel
Obtenu
-Achat matériel
et fourniture :
(Achat de matériel
pour les ateliers)
- rémunération intermédiaire et honoraire
- Déplacements missions
- Rémunération du personnel
- Assurances
2 000
8 775
500
14 000
225
800
3 510
200
5 600
90
1200
5265
300
8400
135
- Ministère de la Jeunesse
Et des Sports
- Communes
- CAF du Doubs
- Part. MJC petite Hollande
10 000
14 000
2000
8 000
14 000
2 000
Totaux
26 000
10 400
15 600
Totaux
26 000
26 000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
Cf Bilan ci dessus
- Résultat pour le centre social
Travail en réseau avec d'autres structures associatives et institutionnelles.
Affirmation de la notoriété de la MJC (tête de réseau).
- Résultat pour les habitants
- Mixité des jeunes issus de chaque quartier
- Suite de l'action : Limites
Contrainte financière
- Suite de l'action : Perspectives
- Nouvelle création artistique
- le 1er spectacle qui tourne dans l'ensemble de l'agglomération et ensuite dans le département
- Echange Européen
Actions
Fête de quartier des Champs Montants "Les écritures du monde"
- Structure organisatrice
- MJC Centre Social AUDINCOURT CHAMPS MONTANT - Doubs
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
L’édition 2017 de la Fête de Quartier des Champs Montants s’est déroulée le samedi 20 mai sur le thème des Ecritures du Monde. Les habitants des Champs Montants se sont investis dans la préparation et le bon déroulement de cette manifestation autant que les organisateurs.
En amont de cette Fête, pour décorer leur restaurant solidaire géant, les familles du quartier ont réalisé les décorations de table et la décoration du restaurant en lien avec le thème.
Les habitants, épaulés par les animateurs de la MJC, ont démarché tout le quartier pour inviter les habitants à participer au repas solidaire de la fête en faisant des dons de légumes et en cuisinant les plats.
Impulsé en 2011 par le Théâtre de l’Unité, le repas géant solidaire des habitants fut un succès avec environ 350 participants en 2011, 600 en 2012, 900 en 2013. A partir de l’année 2014 le nombre de convives a été limité à 600 afin de faciliter l’organisation du repas. De plus, pour développer la convivialité et l’implication durant le repas, des chefs de tables ont été nommés afin d’assurer le service.
En lien avec le thème les Ecritures du Monde, des animations en direction des différents publics ont été proposées par le Conseil Citoyen, les habitants, la MJC, et une douzaine d’associations partenaires. C’est ainsi qu’ont été mis en place les ateliers de calligraphie en différentes langues (français, polonais, russe, arabe et tibétain). Des ateliers d’écriture virtuelle et de découpages de lettre en bois ont également été mis en place. Le spectacle de clowns « La Lettre » a été proposé pour les plus jeunes ainsi que les ateliers de contes africaines. Le Théâtre de l’Unité a proposé des sketches en lien avec le thème.
Plusieurs ateliers, encadrés par les animateurs et les intervenants extérieurs, ont été nécessaires pour préparer avec les six groupes d’enfants et de jeunes un programme artistique pour le podium. Ainsi, plus d’une centaine d’enfants et de jeunes ont pu s’exprimer sur le podium au travers de différentes disciplines telles que la danse, la magie, les percussions africaines, la musique classique, le SLAM, la chanson française et le RAP. La décoration du podium a également été réalisée par les jeunes. Cette restitution par les jeunes s’est inscrite parmi les musiques et danses du monde: sénégalaises, irlandaises ou encore RAÏ.
Tous les bénéfices de la Fête ont été reversés aux écoles du quartier des Champs Montants pour soutenir leurs sorties éducatives.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Favoriser l'implication des habitants des Champs Montants dans toutes les étapes de la préparation et de la réalisation de ce projet; associer les jeunes du quartier à cette démarche.
- Susciter chez les habitants l'envie de s'engager auprès des associations d'entraide telles qu’UNICEF, Artisans du Monde, Passeport Tibétain, Restos du Cœur, etc.
- Proposer un programme d'animations festives innovantes, permettant la participation et l'expression de tous les habitants des plus petits au plus âgés
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Plusieurs réunions ont été nécessaires pour préparer cette fête:
- deux réunions plénières impliquant les habitants, les partenaires, les représentants de la commune, de l'organisme logeur ainsi que les animateurs de la MJC;
- six réunions de groupes de travail: "animations" et "restaurant géant et solidaire";
Un tableau général planifie le travail d'une centaine de bénévoles par taches, lieux et l'horaire d'intervention.
Une réunion bilan est organisée à l'issue de la manifestation.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Néolia 5000€
Commune 4500€
Etat 3500€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
100 bénévoles, 20 professionnels, 10 partenaires
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action se poursuivera en 2018. Le théme choisi par les habitants est "Le voyage dans les pays du monde"
Actions
PARLONCAP une belle aventure partenariale
- Structure organisatrice
- MAISON QUARTIER DES PAREUSES - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- vacances / loisirs
- Mixité sociale
- Résumé
Début des années 1990 les trois structures d'animation de Pontarlier travaillent chacune dans leur coin, défendant bec et ongles leurs projets propres, et tirant la couverture à elle pour récupérer un maximum de subvention...
1995, les structures d’animation ont été dotées de nouveaux postes : deux coordinateurs de centres sociaux et une nouvelle animatrice à la MJC. Très vite, ces professionnels ont eu envie de se rencontrer pour échanger sur les difficultés que chacun rencontrait sur son secteur. Ces échanges ont rapproché ces professionnels qui en 1996 ont mené ensemble un projet autour de la vidéo avec 70 ados sur deux années. De cette aventure est né un court métrage mais surtout la volonté de poursuivre ce travail partenarial en créant un collectif.
Ainsi est apparu PARLONCAP regroupant les centre sociaux des PAReuses, des LONgs-traits et des CAPucins.
Aujourd'hui ce collectif mène 8 actions par an en direction des enfants, ados et familles de Pontarlier autour de la culture et du sport : semaine à thème des ALSH - semaine culturelle - Tournoi inter quartiers - Passeurs d'Images - Parloncap'Awards - Interville famille - Weekends "Nature" -Spectacle de Noël -
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Centre social des Pareuse
Centre social des Longs-Traits
Centre social des Capucins Berlioz
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour les jeunes :
- Proposer des projets novateurs.
- Permettre à des jeunes issus de quartiers différents de s’impliquer dans un projet collectif.
- Permettre un brassage des enfants de la ville de Pontarlier d’origine sociale et culturelle
différente.
- Leur proposer des ateliers pour que chaque jeune puisse trouver sa place, soit motivé et
puisse être acteur de ce projet.
- Créer des relations de tolérance, de respect entre les jeunes de Pontarlier vivant dans divers quartiers.
Pour le collectif :
- Confrontation et échange d’expériences
- Apprentissage du travail en grande équipe
- Monter des projets de plus grande envergure avec plus de moyens
- Faire découvrir nos structures
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
PARLONCAP n'a pas d'existence juridique. Chaque centre social gère administrativement et financièrement un ou plusieurs projets pour le compte du collectif.
De manière globale :
L'ensemble des équipes d'animation se retrouve deux fois par an pour faire connaissance, s'imprégner de ce qu'est Parloncap, échanger sur le bien fondé des actions mises en place et proposer des pistes pour de nouveaux projets.
Lors de chaque mise en place d’un projet :
Nous organisons des réunions de concertation afin d’en définir la trame et l’organisation :
- Les objectifs
- Les priorités
- Les responsabilités de chacun
- Les échéances
- Les moyens
- Les ressources financières.
Les réunions permettent d’échanger sur la méthode de travail et de définir les temps de rencontres.
L’équipe est constituée des représentants des structures associatives.
Cette équipe peut s’élargir au personnel de nos structures en fonction des projets mis en place.
Les fonctions collectives sont les suivantes :
- Assurer la cohérence du dispositif mis en place.
- Mettre en œuvre des objectifs et veiller au bon fonctionnement du projet.
- Etre les référents et les garants du bon déroulement de l’action.
- S’occuper des concertations, des modalités techniques du fonctionnement du projet.
- Mettre en relation les différents partenaires intervenant dans le cadre de l’action.
- Contrôler le suivi du projet.
La manière de travailler du collectif :
Pour chaque réalisation de projet nous établissons un dossier de présentation qui définit l’action et son organisation.
Cet écrit impose réflexion, mise à plat des idées, concertation et négociation sur le sens, la démarche et le contenu.
Ainsi, il permet la transparence et la compréhension de chacun d’entre nous.
Nous définissons les rôles de chacun afin de gérer leurs engagements en terme de délégation, de motivation et de disponibilité.
Lors de chaque réalisation de projet, nous devons faire preuve de souplesse car nous rencontrons parfois des imprévus.
Nous suivons de près le déroulement de chaque projet et nous contrôlons, soutenons, recadrons l’action quand cela est nécessaire.
La conduite des projets :
Pour permettre au collectif d’être efficace, nous nous imposons certaines règles :
- Chaque association étant représentée par les coordinateurs, toutes les décisions que nous
prenons sont soumises au conseil d’administration de chaque structure et les coordinateurs veillent à avoir l’accord du conseil d’administration, du président ou directeur pour un bon déroulement du projet.
- Chaque structure, au sein du collectif, a le même rôle et le même pouvoir de décision.
- Chacun fait en sorte de respecter la place de l’autre et de ne pas s’approprier le projet.
- Lorsque nous présentons le projet à notre entourage, à nos partenaires, nous devons toujours parler au nom du collectif.
- Dans la mesure où nous n’avons pas d’existence juridique, la gestion administrative et financière est confiée à chaque structure de façon alternée.
L'évaluation de nos actions
Nous organisons des réunions de bilan afin de vérifier si nos objectifs ont bien été respectés. Nous utilisons différentes techniques afin de mesurer les résultats.
Par exemple pour l'action Passeurs d'Images, nous utilisons des fiches pour savoir qui utilise les contremarques, leur âge, le secteur où ils habitent afin de mesurer l’impact de l’action et d’en établir un bilan précis.
En fin d'année, une rencontre est organisée avec les directeurs et Présidents de chaque centre social ainsi que nos principaux financeurs (Ville de Pontarlier et CAF du Doubs) afin d'évaluer l'ensemble des actions menées, de revenir sur la vie du collectif durant l'année écoulée et d'acter la politique du collectif pour celle à venir.
La transparence est un élément important de ce collectif vis à vis des financeurs. Nous avons d'entrée de jeu été très clair sur l'évaluation de nos projets n'hésitant pas à soulever les gros problèmes rencontrés avec les jeunes sans calculer si ce bilan négatif pouvait engendrer l'arrêt d'une subvention.
Nous avons refusé de mettre sur pied des projets qui n'étaient pas financés à hauteur de nos demandes. Cela a donné lieu à des débats tendus avec certains de nos financeurs mais si nous demandions 5000€ c'est que nous avions besoin de 5000€...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
A l'année, Parloncap mobilise une trentaine d'animateurs pour assumer ses missions
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- de proposer des actions de grande envergure qu’une structure seule ne pourrait porter : Les nombreux projets menés durant ces 20 années démontrent qu'ensemble tout devient possible et surtout plus facile.
- une diversité et une complémentarité au niveau des intervenants : Cela a permis de proposer des projets très variés autour du sport, du cirque, du cinéma, de l'art... Cela permet également de mettre en synergie des animateurs avec des fonctionnements et des savoirs être complètement différents.
- une confrontation au niveau de nos pratiques respectives dans notre quotidien au niveau de nos structures : En tant que professionnel, découvrir que les difficultés rencontrées avec les jeunes des pareuses étaient les mêmes que celles rencontrées par le coordinateur des Longs-Traits sur son secteur a quelque chose de rassurant. On se dit" j'suis peut être pas si nul." et puis on échange sur a façon dont chacun tente de régler tel ou tel problème. on expérimente, on partage. Ce point là est un indicateur du "bien vivre de Parloncap". En effet si la parole est libre en réunion, que chacun évoque ses difficultés c'est signe de confiance et donc d'un collectif fort.
- Un mélange des publics d’horizons géographiques, sociaux et culturels divers : C'est un aspect hyper positif de ce collectif, notamment pour les Pareuses qui manque cruellement de mixité sociale.
- Un bénéfice positif en terme d’image pour nos Maisons de Quartier : Nous accueillons dans nos structures respectives des publics différents et le fait que ceux-ci voyagent de maison en maison à travers nos projet a amené une meilleure visibilité. Cela a facilité l'entrée de certaines familles qui déménageaient sur un autre secteur de Pontarlier.
-Un véritable « réservoir » de ressources humaines pour chacune des structures : Avec le recul, on peut mesurer que le collectif aura généré sur des années la possibilité pour des animateurs (trices) de retrouver des emplois au sein de chacune des structures (souvent après une fin de contrat par exemple) Le réseau était déjà constitué grâce aux actions collectives. Elle s’inscrit complètement dans une dimension sociale pour favoriser l’accès à l’emploi à des jeunes professionnels de l’animation.
- Une cohérence en matière d’animation à l’échelle de la ville : Nous nous concertons, en début d'année, sur les dates de nos évènements phares afin qu'il ne se chevauchent pas. Nous n'hésitons pas a aiguiller nos publics vers les autres structures lorsque nous ne pouvons pas réponde à certaines demandes (accueil d'un enfant de 3 ans à l'ALSH...) Nous avons mené un travail, en lien avec la Ville de Pontarlier et la CAF du Doubs, afin d'harmoniser nos budgets "camp d'été et que chacun reçoive des aides financières identiques en fonction de la durée de son séjour et du nombre d'enfants concernés.
Nous avons décidé de mettre en place un spectacle de Noël commun plutôt que de proposer quelque chose de plus restreint chacun dans son coin. Le fait de se réunir nous permet de faire des économies tout en proposant un spectacle de plus grande envergure, dans un lieu emblématique (le Théâtre Municipal) et qui touche deux fois plus de monde car nous distribuons les places libres aux familles de nos quartiers.
- Une meilleure connaissance entre les équipes et sur ce que propose chaque structure en terme d’activités : Cela permet un plus grand respect de chacun vis à vis du travail effectué dans chaque Maison de Quartier.
Cela nous a apporté une cohérence dans notre discours notamment vis à vis des jeunes « revendicateurs » qui nous chantaient bien souvent la sérénade du "c'est pourri ici, là bas il propose pleins de bonnes activités..."
Cette connaissance nous permet, également, d'aiguiller nos publics plus facilement.
- Une atténuation des rivalités entre quartiers : En 1996, cet objectif était primordial pour nous tant les trois quartiers sensibles de Pontarlier étaient cloisonnés. Les jeunes revendiquaient très fortement leur appartenance à l'un de ces trois territoires Le Camp, les CRL et les Tours.
20 ans après, le pari est gagné puisque même si ces notions d'appartenances sont encore un peu présente sur certains secteurs elles n'ont plus rien à voir avec le passé.
Parloncap a contribué a effacer ces frontières et à rapprocher ces jeunes.
- Parloncap force pour alerter, négocier : Ce collectif nous a permis de mener des "batailles" communes pour la pérennisation de nos emplois jeunes; de mobiliser, en 2009 lorsque les CLAS étaient sur la sellette, l'ensemble de nos partenaires "Education nationale".
Plus récemment, le collectif s'est positionné pour ne pas participé au Carnaval de Pontarlier, les dates ayant été choisies de manière arbitraire sans tenir compte de l'avis des associations qui font vivre cet événement.
- Résultat pour les habitants
Parloncap, à travers les actions qu'il mène tout au long de l'année, apporte de la mixité sociale.
- Suite de l'action : Limites
Le projet est de donner à ce collectif une identité juridique fin 2020 (association loi 1901) et d'embaucher
un animateur coordinateur PARLONCAP. début 2021.
- Suite de l'action : Perspectives
- Ne pas s’écarter du but initial, y veiller régulièrement, tout en s’efforçant de proposer de nouveaux projets voire de nouveau concepts d’animation afin d’éviter de tomber dans la routine.Les rencontres annuelles des équipes d'animation doivent permettre cela car nous sommes convaincus que c'est une des clés de la pérennisation de ce collectif.
- Continuer à sensibiliser les animateurs dans chacune des structures, à l’utilité de Parloncap et poursuivre ces temps de rencontres, de travail mais également de convivialité. Initier des temps de rencontre et de formation sur des sujets qui nous préoccupent. Le partenariat ne se décrète pas, c'est pourquoi même si un Conseil d'Administration invite ses salariés à s'investir au sein de ce collectif il faut avant tout que ces dernier soient motivés, aient envie de bosser ensemble, d'échanger, d'inventer de nouveaux projets... C'est cette flamme qu'il nous faut entretenir et si elle s'éteint toutes les injonctions du monde n'y feront rien.
- Continuer à mettre en place des outils, en inventer de nouveaux pour cadrer et anticiper les disfonctionnement du collectif : En 20 ans d'existence nous avons mis en place de nombreux outils pour formaliser les choses et garantir le bon fonctionnement Parloncap.
Bon nombre de ces outils sont encore en place (mise en œuvre et pilotage des projets, outils d'évaluation...), certains ont été affiné pour palier à nos disfonctionnement (grilles très précises sur nos publics par exemple) d'autres ont été inventés (Charte Parloncap).
- Restez humble au niveau de nos structures : Nous avons tous au niveau de nos centres sociaux nos propres politiques à mener, une manière de travailler, de concevoir le travail d'équipe qui nous est propre, conditionnée par nos histoires et nos CA respectifs.
Le fait de travailler ensemble sur de multiples projets fait que nos équipes ressentent ces différences. Parfois des animateurs ont travaillé dans tous les équipements de Parloncap. Il est alors facile de comparer et encore plus facile de juger les uns et les autres... Parloncap ne peut se nourrir de cela, ne peut avancer si au lieu d'être en réunion de travail, on se retrouve dans un rapport de jugements, une sorte de « tribunal ».
En 20 ans de fonctionnement la plupart des centres sociaux se sont, un jour, retrouvés en difficultés pour diverses raisons. Cela nous devons toujours bien le garder à l'esprit et nous serrer les coudes, nous entraider. Ceux qui aujourd'hui vont bien ne sont pas à l'abri d'une défaillance et vice-versa...
- Mutualiser pour perdurer : Les fonds publics sont de moins en moins importants, la notion de mutualisation est en vogue et si Parloncap a déjà travaillé sur ce sujet, il devra peut être aller encore plus loin.
Dès le début des années 2000, le collectif a acquis du matériel commun de sonorisation qui lui a permis de faire de belles économies. De même, nous avons investi dans un vidéoprojecteur professionnel qui nous permet d'être autonome au niveau de nos séances de cinéma en plein air et de dégager des recettes financières par sa location.
Chaque centre social a édité une liste de matériel qu'il peut mettre à disposition du collectif. Cela permet par exemple, à un animateur de mettre en place un atelier photos de qualité car il disposera d'outils performant et en nombre.
Pour aller plus loin, nous envisageons de mettre sur le Cloud, à la disposition de tous les animateurs Parloncap, une banque d'activités manuelles, de grands jeux, de jeux sportifs... Cela permettra de gagner un temps précieux au niveau de la préparation et surtout d'obtenir des conseils avisés des animateurs qui ont déjà testé l'activité.
Nous disposons pour les quatre structures de quatre minibus et nous nous les prêtons assez régulièrement.
A moyen terme, nous pourrions peut être envisager de mutualiser certains de nos moyens administratifs...
Actions
"Fédérer par la culture : Journée à Paris"
- Structure organisatrice
- ASEP - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Projet abouti.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Il s'agit d'un parcours culturel pour les enfants de l'accompagnement à la scolarité. Tout au long de l'année, les enfants ont été initié à la culture par le biais de visites dans les musées locaux et d'un atelier d'initiation au light painting, cultures urbaines...
L'aboutissement était un voyage en train pour découvrir Paris et ses grands monuments en bâteau mouche, et les oeuvres du musée du Louvre à travers un jeu de piste.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Ouverture sur le monde par le biais de la culture (connaître quelques grandes œuvres, quelques grands peintres)
- Élargir le centre d'intérêt des enfants et des jeunes
- Reconnaître les différents styles d'art (peinture, sculpture, graff...)
- Susciter l'envie à des enfants de faire une sortie au musée, de visiter des monuments historiques
- Créer du lien ( des temps de rencontre entre enfants; parents, jeunes, bénévoles, professionnels) autour de la culture
- Aller à la découverte de la capitale : Paris
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Pour mettre en oeuvre ce projet, des sorties,des rencontres, un travail en amont avec les enfants ont eu lieu tout au long de l'année.
Plusieurs réunions ont été organisées avec les parents et les intervenants bénévoles de l'accompagnement à la scolarité afin de préparer au mieux cette journée. En plus de la coordinatrice du centre social et les référentes CLAS, des parents et une bénévole ont participé à cette journée afin que la journée se déroule au mieux.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1500€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnelles, 1 bénévole et 2 parents.
- Résultat sur le territoire
Découvrerte des richesses culturelles et artistiques du territoire.
- Résultat pour le centre social
A travers ce projet "fédérer par la culture", la volonté du centre social est d'être dans une dynamique d'accompagnement global de l'enfant à la famille en élargissant leur centre d'intérêt, en encourageant leur apprentissage de la citoyenneté par une ouverture sur les ressources culturelles.
- Résultat pour les habitants
18 enfants satisfaits de cette journée
Découverte de la capitale pour certains enfants.
Découverte de célèbres oeuvres, comme la Joconde...
- Suite de l'action : Limites
Les freins pour lesquels les parents n'ont pas inscrit leurs enfants à la journée Paris :
- climat social (attentat au parvis de Notre-Dame, sentiment d'insécurité : 13 enfants)
- âges de certains enfants jugés " trop petit" pour cette journée (5 enfants)
- départ en vacances (principalement des enfants issus de l'immigration : 9 enfants )
- Suite de l'action : Perspectives
Après le succès du parcours culturel 1 "Journée culturelle à Paris" avec jeu de piste au musée du Louvre, nous projetons une sortie au parc du Futuroscope pour faire vivre des expériences diversifiées : spectacles vivants, simulateurs combinés aux images, parcours participatifs, activités de plein air et projection sur écrans géants.
Actions
"Petites recettes grandes rencontres"
- Structure organisatrice
- ASEP - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Projet abouti
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Viellissement
- Résumé
Initialement :
A l'ASEP centre social, l'atelier « Petits Gourmands Grands Gourmets » est un atelier de cuisine dans lequel les participants s’inscrivent par binômes (un adulte/un enfant) et animé par la référente familles. Enfants et adultes choisissent ensemble le menu de la séance suivante en veillant au coût, à l'équilibre alimentaire et aux différents régimes (allergies, végétariens...). Le repas est préparé ensemble et consommé sur place.
Les ateliers culinaires au sein de l’EHPAD représentent beaucoup d’attraits pour les résidents. C’est un moment où ils peuvent échanger sur les recettes, les ingrédients, le savoir-faire. Ces ateliers permettent de créer un espace convivial et permettent de maintenir l’aptitude à communiquer...
Un projet pédagogique a été mis en place au sein de la résidence avec des animations autour de l’alimentation d’hier et d’aujourd’hui (journée à thèmes, modes de production, les déchets..).
L’idée est donc d’élargir cet espace en y ajoutant une collaboration avec le centre social de l’ASEP. Ce qui permet à l'EHPAD de s'investir également dans le quartier.
Nous avons donc impulsé depuis janvier 2016 une dynamique du "construire ensemble pour vivre ensemble". Afin de valoriser ces temps de rencontres, nous avons souhaité constituer un livre « Petites Recettes et Grandes Rencontres » pour diffuser et faire partager notre expérience intergénérationnelle au-delà de nos deux structures, l'EHPAD et l'ASEP centre social.
Le projet du livret a démarré en septembre 2017.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Aller à la rencontre de l’autre
Partage des savoirs (être et faire)
Valoriser chaque personne dans le groupe
Faire ensemble dans le plaisir
Créer un livre pour transmettre et faire perdurer les traditions
Créer des liens avec les associations du quartier
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Mutuelle
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Rencontre de septembre à juin 2017
Un samedi par mois de 9h30 à 14h00
- Ressources financières mobilisées pour cette action
7 150€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 professionnels, 3 bénévoles
- Résultat sur le territoire
150 personnes ont assisté à la fête de la première édition du livre.
Les 500 livres ont été tous vendus à 5€ au profit de deux associtations locales : Parkinson et Alzheimer de Besançon
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance pour l'atelier "Petits gourmands grands gourmets" qui existe depuis une dizaine d'années
Reconnaissance de la vocation familiale et intergénérationnelle : développement de liens familiaux et sociaux, lieu de rencontre et d'échange entre les générations
- Résultat pour les habitants
Possibilité pour les personnes âgées d'aller à la rencontre des usagers du centre social
Transmission de savoir et savoir-faire, partage de tranche de vie
Mixité sociale
- Suite de l'action : Limites
La participation des personnes âgées nécessite la précense de l'animatrice de l'EHPAD et d'autres projets sont également encours au sein de cet établissement.
- Suite de l'action : Perspectives
Ré-édition de 500 livres avec vente à 5€/livre au profit de l'association Alzheimer
Actions
Comité des jeunes
- Structure organisatrice
- MAISON QUARTIER DES PAREUSES - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Ce comité permet aux jeunes du quartier qui ont un projet bien précis de tenter de le concrétiser avec l’aide de l’équipe d’animation. L’animateur est là pour soutenir mais pas pour prendre les devant. Il aide les jeunes à écrire leur projet, le budgétiser, à eux de trouver et mettre sur pieds des actions afin de minimiser leur participation financière. Ces dernières années auront vu la concrétisation d’un séjour à Paris, d’une viré à Europapark ou encore un week-end entre potes dans le haut Doubs et d’une journée à Nigloland.
Au-delà de la finalité, c’est la démarche qui est intéressante puisqu’elle vise à amener ces jeunes à l’autonomie.
Pour l’ensemble de ces projets, les familles sont impliquées (confection de repas pour une soirée bosniaque par exemple); la dernière étape pour ces actions est la négociation avec les membres du CA de la Maison de Quartier au cours duquel les jeunes présentent leur projet, expliquent les actions développées pour trouver des financements et négocient la mise à disposition gratuite du personnel de la structure durant le séjour. Cet exercice qui n’est pas très aisé pour ces jeunes nous paraît très important.
Ce comité des jeunes est une étape essentielle pour la vie de ces adultes en devenir qui auront à gérer, d’ici peu, leur vie et donc leurs loisirs.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce comité est né en 1996 suite à l'envie d'un groupe de copines de découvrir Paris.
La concrétisation de ce projet a donné envie à d'autres de solliciter le centre social pour concrétiser leur propre projet.
C'est ainsi que, régulièrement, nous accompagnons des jeunes du quartier dans le montage du projet, la recherche de financement...
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- FONJEP
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Ce comité a réuni, en 2017, huit filles du quartier âgées de 14 à 16 ans. Ces jeunes ont commencé à travailler sur un projet depuis octobre 2016. Une sortie à Europapark était prévue pour le printemps 2017 mais elles n’ont pas réussi à obtenir l’argent nécessaire pour partir le 30 septembre.
Une autre date a été programmée. La sortie est prévue le samedi 28 avril 2018 avec un changement de destination. Elle aura lieu au parc Nigloland.
Plusieurs actions ont été menées pour ce projet.
- Ventes de pop corn lors des soirées vidéo à la Maison de Quartier
- Ventes de barbe à papa à l'arbre de Noël du C.E de la ville
- Ventes de tickets lors d’une soirée casino à la Maison de Quartier
- Ventes de tickets jeu lors d’une soirée fort Boyard à la Maison de quartier
Un groupe bien motivé pour ce projet et qui participe activement pour préparer toutes ces soirées. Bien souvent, pour ces projets, il est difficile de réunir tous les jeunes en même temps sur une réunion ou pour la préparation d’une soirée; avec ce petit groupe cela n’a pas été le cas car il est soudé et il a réussi à s’investir jusqu’au bout. Toutes ont toujours été présentent dès qu’il fallait mettre la main à la pâte.
Prochainement les jeunes filles présenteront leur projet aux membres du Conseil d'administartion de la Maison de quartier afin d’avoir l’autorisation de partir en ayant à disposition un minibus ainsi qu’une animatrice pour les accompagner.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10
- Résultat sur le territoire
Cette action vise à rendre possible les rêves des jeunes du quartier.
Elle leur permet de vivre les différentes étapes, pas toujours faciles, d'un projet.
Elle amène de la discussion, des débats, de la négociation, de la prise de décision
Ce type de projet amène les ados à prendre en charge leurs loisirs, à les rendre autonomes
- Résultat pour le centre social
Le centre social est identifié par la jeunesse comme un lieu des possibles
- Résultat pour les habitants
Cette action vise à rendre possible les rêves des jeunes du quartier.
Elle leur permet de vivre les différentes étapes, pas toujours faciles, d'un projet.
Elle amène de la discussion, des débats, de la négociation, de la prise de décision
Ce type de projet amène les ados à prendre en charge leurs loisirs, à les rendre autonomes
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Rester à l'écoute des envies de la jeunesse du quartier pour les accompagner le moment voulu
Actions
LES "PETITS RENDEZ-VOUS ENTRE NOUS"
- Structure organisatrice
- LES BAINS DOUCHES BATTANT - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Mixité sociale
- Résumé
Chaque semaine, des usagers issus du CCAS, de la résidence Autonomie, et des familles du quartier se retrouvent à la Résidence Autonomie pour participer ensemble à des activités les plus diverses et les plus fifférentes possibles/ Ainsi, cuisine, couture, petites activités de bricolage, arts plastqiues se déroulent chaque mercredi de 14H00 à 17h00 dans une ambiance familiale et conviviale.
En outre, les personnes peuvent se retrouver de nouveau chaque jeudi de 16h00 à 18h00 pour un atelier intergenerationnel organisé autour du jeux.
Au delà des rencontres et des activités proposées, c'est la notion de projet collectif qui anime notre action, en lein avec les demandes des participants. Ainsi, le grpoupe travaille actuellement à l'organisation d'une sortie au musée de l'art brut à Lausanne. De petites séances de travail ont donc lieu régulièrement afin d'organiser ce séjour, dans les quels les participants prennent en charge l'organisation dans sa globalité, accompagnés et soutenus par la référente famille
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
CCAS
Résidence Autonomie
Groupe d'entraide mutuelle (GEM)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le territoire d'intervention du centre social est le territoire dans lequel est recensé le plus grand nombre de personnes isolées.
Ainsi, nous avons pu mettre en place ce projet grâce au diagnostic partagé que nous avons élaboré dans le cadre de l'élaboration du Projet Social, et dont l'action "LES PETITS RENDEZ-VOUS ENTRE NOUS" est une des déclinaisons.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Il s'agissait dans un permremier temps de trouver une cohérence dans l'intervention de la référente famille, en lein avec celles des travailleurs sociaux du CCAS, et celle des agents de la résidence Autonomie.
Au niveau des objectifs, ce fut relativement rapide, mais il fallait aboder de façon partenariale les mises à disposition de personnel, le buget partaé, les locaux.
Mais ces éléments furent rapidement maîtrisés car la volonté des trois strucures a permis de sumrontés d'éventuelles difficultés.
C'est donc la référente famill, la reponsable de la résidence Autonomie et les travailleurs sociaux du CCAS de la Ville de Besançon qui se sont répartis les jours et heures d'intervention chaque mercredi, avec un "fil rouge": la présence lors de chaque séance de la référente famille.
A ce jour, lors de chaque séance, une quarantaine de personnes fréquentent chaque mercredi l'acton, pour laquelle nous somes très vigilants au renouvellement du public, afin que l'atelier reste constamment ouvert.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Frais de fonctionnement : 30 € par séance, soit 1080 €
Frais de persnnnel : un agent permanent à raison de 3 heures hebdomadaire, un agent permanent à raison de trois heures par mois, une animatrice vacataire à raison de trois heures hebdomadaires.
Soit, frais de personnel : 6150 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une référente famille
La responsable de la résidence autonomie
Une animatrice vacataire
Un travailleur social du CCAS
- Résultat sur le territoire
Cette action est le seul lieu de rencontre intergenerationnel du territoire, et permet aux personnes et familles isolées de se retrouver et de concenvoir ensemble des projets collectisf.
- Résultat pour le centre social
Le Centre Social est pilote de l'action, il anime et finance l'action.
- Résultat pour les habitants
Lieu de rencontre, de convivialité, d'échanges, de fortes émotions.
Des leins humains se sont créés entre les participants, et notammeent entre les vieux de la résidence autonomie et les enfants des familles.
Des parents aident désormais les personnes âgées dans leurs difficultés quotidiennes (changer une ampoule, faire les courses ensemble....)
- Suite de l'action : Limites
il faut être très vigilant à l'ouverture de l'atelier à de nouvelles familles, de nouveaux vieux, de nouvelles peronnes isolées. En effet, les particpants ont tendance à "être si bien ensemble", qu'ils pourraient devenir rapidement un groupe fermé, puis un clan.
Ainsi, les personnels du centre Social, de la Résidence Autonomie, du CCAS, du centre Médico-Social du Conseil Départemental orientent, voire accompagnent physiquement les nouvelles personnes à qui une place particulière et reflechie (en terme de démarche d'accueil) est mise en place.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action, après avoir vécu quelques années exclusivement les mercredis et jeudi, va, en 2018, être étendue à tous les après midi des jours de vacances.
De même, la réforme des rythmes scolaires, et notamment le retour de la ssemaine à quatre jours permettra un accueil matin et après-midi les mercredis.
Actions
Permanence d'aide aux démarches administratives par internet
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MONTRAPON/FONTAINE-ÉCU - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Précarité
- Intégration
- Résumé
La permanence d'aide aux démarches administratives est ouverte le mercredi de 9h à 12h à l'Esapce Public Numérique, en accès libre. Elle est animée sur la base d'un planning, par un animateur de la Maison de quartier qui a des compétences en informatique, par des travailleurs sociaux de l'Antenne Sociale de quartier (CCAS) et des Centre Médico Sociaux (CD 25).et la Référente Famille de la Maison de quartier. Les travailleurs sociaux et le Réferent famille assurent la réalisation des démarches administratives , le suivi et l'orientation des personnes vers les services compétents le cas échéant. Ce service vise à leur rendre l'accessibilité à internet plus facile et compréhnesible afin que chaque personne puisse rélaiser ses démarches administratives de manière autonome et à plus ou moins long terme.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette permanence vise à réduire la fracture numérique et à veiller aux maintiens des droits des perosnnes. Elle a pour objectif à rendre les personnes autonomes dans leurs démarches administratives et à l'ouverture de leurs droits.. les usagers sont accompagnés pour effectuer leurs démarches par internet : CAF, Pôle Emploi, Préfecture, autres services publics. les personnes sont aussi repérées, orientées et/ou accompagnées physiquement à la permanence par des travailleurs sociaux, des naiamteurs de la Maison de quartier et ses partenaires institutionnels et associatifs.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Mise en place d'un groupe de travail : CCAS, Département et Maison pour définir l'action. Dépot d'un dossier dans le cadre des lappels à projet du Contrat ville 2017 et 2018. Début de la permanence en mai 2017. 3 réunions du groupe de travail auxquelles sont invitées le Contrat de Ville et la CAF : septembre, janvier, juin. l'action repose sur les travailleurs sociaux du CCAS et des CMS, le référent famille et un animateur de la maison de quartier . 8 postes informatiques sont à la disposition du public.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Dépenses : Recettes :
rémunération personnel : 8 000 € Etat : 500 €
charges fixes de fonctionnement : 1 200 € CAF : 1 500 €
total : 9 200 € Ville : 7 200 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
9 professionnels
- Résultat sur le territoire
Bénéficiaires du service : demandes traitées, niveau d'autonomie acquis, ouverture et/ou maintien des droits.
Promotion de la permanence par tous les acteurs institutionnels et associatifs du territoire. Accompagnement des personnes vers celle-ci par ces mêmes acteurs.
Réduction de la fracture numérique.
- Résultat pour le centre social
Captation d'un public qui ne fréquente pas la maison de quartier.
- Résultat pour les habitants
Utilsation d'un service qui facilite les démarches adinistratives et le maintien des droits.
- Suite de l'action : Limites
Poursuite de la permanence en 2018 .
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
VACANCES EN FAMILLE
- Structure organisatrice
- MPT LES LONGS TRAITS - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- Résumé
Origine du projet : les actions ACF sorties et séjours court :
Dans le cadre d’Animation Collective Familles nous organisons depuis 2 ans des séjours courts d’une nuit. Un groupe de parents s’étant créé et devenant de plus en plus acteur des projets familles a émis le souhait fin 2016 de pouvoir partir en séjour de vacances en bord de mer. Un collectif de préparation du projet c’est mis en place début 2017.
Finalités :
Accompagner la fonction parentale
Améliorer relations parents - enfants
Favoriser l’autonomie parentale
Territoire couvert : Ville de Pontarlier et CCGP
Année de création de l’action : 2017
Nos objectifs généraux :
Dans l’accompagnement des familles à l’accès au droit des vacances sont :
- Inscrire les familles dans la culture des loisirs (activités culturelles, artistiques, sportives) et des vacances ;
- Valoriser les parents dans leur prise d’initiatives concernant la gestion du temps libre de leurs enfants ;
- Inciter les parents à prendre du temps pour partager des moments forts avec leurs enfants ;
- Développer l’aspect participatif des familles dans la construction de projet.
A partir de ces objectifs, nous avons organisé une première réunion collective (le 14 janvier 2017) pour définir ensemble des objectifs opérationnels communs pour l’ensemble des familles.
Notre démarche s’appuie sur deux axes :
- Organiser avec l’ensemble des familles les modalités générales telles que le mode de transport pour chacun (train, voiture personnelle), le type et la formule d’hébergement, et la prévision du budget (participation financière) ;
- Donner les moyens à chaque famille d’organiser son propre séjour dans un cadre déjà fixé en fonction d’un budget alloué.
Ainsi, la place du référent famille est clarifiée de même que les limites de son accompagnement. Chaque adulte peut alors trouver sa place et son rôle dans la conception du projet. Nous pouvons donc concevoir un projet commun avec une trame de base qui va servir de cadre à chaque parent pour orienter son projet spécifique de vacances tenant compte de ses propres attentes.
Formule réalisée :
Hébergement : en mobil home au camping des Peupliers à Hyères.
Moyen de transport : le mini bus de la MPT des Longs Traits + le véhicule 7 places d’une famille participante.
Repas : nous avons crée une répartition des tâches par mobil home. Les repas ont donc été confectionnés par les adultes et les enfants ont participés à la vaisselle, le barbecue, la pose de table…
Les réunions : chaque soir avant le couché nous nous sommes retrouvés entre adultes pour un temps de retour sur la journée et des réajustements pour la journée suivante.
Programme :
Samedi 1er juillet : départ 5h, voyage, installation, courses et repérage des lieux.
Dimanche 2 juillet : Randonnée presqu’île de Giens + plage
Lundi 3 juillet : temps libre + course + Marché artisanal + plage + soirée à Magic Word.
Mardi 4 juillet : Journée à Porquerolles
Mercredi 5 juillet : rangement et voyage retour.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour permettre à des familles de s'organiser et de rendre possible un projet de vacances à la mer.
Nous souhaitons apporter la mesure du possible à certaines familles qui ne se sentent pas avoir les épaules pour organiser des projets de cette envergure.
Nous accompagnons donc un petit comité chaque année qui organise, programme ,et prépare l'ensemble du budget.Cette action a aussi comme objectif de permettre aux habitants du quartier de créer des souvenirs communs et de partager les différences de chacun afin de les valoriser (plutôt que de les montrer du doigt)
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Cette action est pilotée par la référente famille et l'adulte relais du quartier qui organise les réunions et assure la continuité des prises de décisions.
Les familles décident en fonction du budget.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
Prévision
Réalisation
%
PRODUITS
Prévision
Réalisation
%
Charges directes affectées à l’action
Ressources directes affectées à l’action
60 – Achat
70 – Vente de marchandises, produits finis, prestations de services : participation famille
1475
1205
Prestations de services
665
525
Achats matières et fournitures
74- Subventions d’exploitation[1]
Alimentation
600
300
Etat : préciser le(s) ministère(s) sollicité(s)
61 - Services extérieurs
- CGET
1000
1000
Locations (hébergement)
1200
1211
-
Entretien et réparation
Région(s) :
Assurance
-
Documentation
Département(s) :
Divers
-
62 - Autres services extérieurs
Intercommunalité(s) : EPCI[2]
Rémunérations intermédiaires et honoraires
-
Publicité, publication
Commune(s) :
Déplacements, missions
500
454
-
Services bancaires, autres
Organismes sociaux (détailler) :
63 - Impôts et taxes
-
Impôts et taxes sur rémunération
Fonds européens
Autres impôts et taxes
-
64- Charges de personnel
CAF :
Rémunération des personnels
845
874
- ACF (40%)
1770
1579
Charges sociales
435
582
Association MPT Longs Traits
162
Autres charges de personnel
75 - Autres produits de gestion courante
65- Autres charges de gestion courante
Dont cotisations, dons manuels ou legs
66- Charges financières
76 - Produits financiers
67- Charges exceptionnelles
78 – Reports ressources non utilisées d’opérations antérieures
68- Dotation aux amortissements
Charges indirectes affectées à l’action
Charges fixes de fonctionnement
Frais financiers
Autres
Total des charges
4245
3946
Total des produits
4245
3946
CONTRIBUTIONS VOLONTAIRES
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
Mise à disposition gratuite de biens et prestations (mini bus valorisation)
440
Valorisation mini bus MPT
440
Personnel bénévole
Dons en nature
TOTAL
4245
4386
TOTAL
4245
4386
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 referent familiale +1 adulte relais
18 personnes issues de familles de diverses origines.
- Résultat sur le territoire
Les effets sur le territoire ne sont pazs mesurables
- Résultat pour le centre social
Ses projets font que les participants franchissent encore plus les portes dans notre structure. Ils ont confiance et profitent des services proposés
- Résultat pour les habitants
Permettre l’accès à un premier départ en vacances : certaines familles ne connaissaient pas la mer et n’étaient jamais parties en vacances si loin (3 familles/5). Nous n’avons pas eu de retour sur une éventuelle impossibilité de départ du au tarif du séjour.
Associer les familles dans la construction de leur projet vacances :
A chaque étape des vacances, les familles ont été associées au projet. Deux réunions de préparation ont été nécessaires pour valider la destination, le budget alimentation et pour permettre aux familles de poser des questions sur le lieu du séjour. Les familles ont étalé leur participation financière au séjour de façon régulière. Sur le lieu de séjour, les familles ont dû prendre des décisions de façon collégiale concernant le choix des sorties, l’alimentation en fonction de leurs envies et du budget alloué.
Apporter un mieux être à l’ensemble de la famille et lui permettre de se ressourcer :
Les familles ont témoigné de l’intérêt positif d’un tel séjour sur leur famille, des liens d’amitié et d’entraide se sont créés entre les adultes mais également entre les enfants.
Cependant l’envie de tout découvrir, de tout visiter sur un laps de temps de séjour court a engendré de la fatigue. Il nous faudra pour l’année prochaine réfléchir soit à une formule plus longue soit à un planning moins chargé et laissant d’avantage de temps libre.
Favoriser et consolider la relation parents/enfants à travers le partage d’un moment privilégié que sont les vacances : les familles ont retrouvé grâce à des conditions favorables un rapprochement avec leurs enfants. Ces vacances leur ont permis également d’avoir des souvenirs en commun et de partager en familles des moments intenses.
Développer l’ouverture culturelle en découvrant d’autres lieux, d’autres espaces : 3 sorties ont été choisies par le groupe lui permettant de découvrir des endroits nouveaux, une région, un climat différent (visite du marché artisanal, randonnée sur la presqu’île de Giens avec la découverte des dunes et de la pinède et une journée sur l’île de Porquerolles avec la traversée en bateau).
Favoriser la mixité sociale et culturelle entre les participants : sur les 5 familles : 1 famille était d’origine malgache/algérienne, 1 d’origine mauricienne, 1 d’origine algérienne et 2 familles françaises. Elles habitent toutes la zone à proximité de notre structure mais ne se côtoyaient pas (sauf pour 2 mamans). Par contre, elles se connaissaient de vue pour fréquenter le centre social. Toutes ont fait preuve de beaucoup de respect et de tolérance vis-à-vis des uns et des autres et de nombreux échanges notamment culinaires se sont créés tout naturellement.
Les vacances ont été un outil pour accompagner les familles dans leurs rôles éducatifs et ont permis de travailler différemment avec elles :
La proximité et le facteur temps ont favorisé une disponibilité du référent famille qui a pu engager un travail d’écoute de qualité plus prononcé. L’accompagnement tout au long de la préparation et pendant le séjour lui a permis d’avoir une meilleure connaissance des familles et de ses membres. De ce fait, des relations de confiance se sont installées ou consolidées rapidement favorisant les échanges et la cohésion du groupe.
- Suite de l'action : Limites
Le groupe est très limité. Il nous faudra encore travaillé sur l'accessibilité car même si nos projets sont abordables, ils restent encore trop chers pour certaine famille prioritaire à notre sens.
- Suite de l'action : Perspectives
Nous continuons avec la même forme de projets en favorisant chaque année de nouvelles familles.
Actions
Cuisine partagée
- Structure organisatrice
- Maison de Quartier GRETTE-BUTTE - Doubs
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Mise à disposition d'une cuisine pour les agents de la MQ et leur public mais également des partenaires associatifs et / ou institutionnels.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet s'inscrit dans une action éducative qui tient compte à la fois de l'individuel et du collectif en offrant aux adhérents, aux partenaires (institutionnels et associatifs) et à l'équipe de la maison de quartier Grette-Butte un espace propice à la mixité sociale et générationnelle.
Générer des liens au sein de groupes sociaux, de communautés, de générations.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Un espace cuisine a été aménagé par les services de la Ville au sein de la maison de quartier afin d'offrir à des groupes d'habitants, associations ou partenaires institutionnels (CCAS) un outil favorisant la mixité sociale et générationnelle. Développer l'estime de soi par la valorisation de son savoir-faire, développer l'entraide, la découverte de l'autre grâce à ses connaissances culinaires telles sont les objectifs de cette action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Frais de personnel : 1 ETP
Frais de fonctionnement : 5 733 €
Investissement : 8 444 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Habitants, enfants du périscolaire, ALSH, Espace jeunesse, Espace parents/enfants, structures associatives (associations, maisons de quartier), institutions (CCAS, ADDSEA, le Conseil départemental...) soit environ 300 personnes différentes
10 professionnels
3 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Cette action culinaitre a favorisé la rencontre de l'autre, développé l'estime de soi et a participé au bien vivre ensemble au sein du quartier
- Résultat pour le centre social
L'action a permis de développer et de renforcer des partenariats (conventions), de rencontrer des habitants dits éloignés du quartier et à l'équipe de faire du lien, lors des temps forts de la maison de quartier mais également entre les différents secteurs de la structure.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Le nombre de personnes pouvant fréquenter l'espace cuisine (8 places)
- Suite de l'action : Perspectives
Prolonger cette action avec des nouveaux partenariats (naturopathe, diététicien....)
Actions
"Ludothèque mobile" Au service des partenaires et de la population
- Structure organisatrice
- Centre Social Les Francas du Doubs - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Réaliser un catalogue de propositions d’animations possibles selon différentes situations : petite enfance au service des multi-accueils, halte-garderie, RAM, LAEP accueils de loisirs, auprès des clubs du troisième âge, Ehpad, écoles maternelles et élémentaires voire collèges, des IME, centres sociaux, médiathèques, collectivités territoriales ; évènements locaux et journées internationales du jeu. Se déplacer sur un format décrit selon le projet de l’accueillant. Construire un partenariat avec les ludothèques locales pour les prêts de jeux. Mettre en place des formations et ouvrir le concept à d’autres encadrants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
En cours
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4 500€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
100 adultes et 300 enfants et jeunes
- Résultat sur le territoire
1 - Permettre un concept du jeu original au service de la population en proposant une ludothèque mobile
2 - Partir à la rencontre des parents et enfants, des écoles, associations et des personnes âgées pour des moments divertissants, conviviaux et collectifs.
3 - Sortir du tout numérique et redonner la place aux échanges, aux règles partagées pour jouer ensemble. 4 - Participer aux évènements locaux en donnant toute la place aux jeux de société.
- Résultat pour le centre social
Valoristaion des compétences des acteurs du centre social.
- Résultat pour les habitants
-
Partir à la rencontre des parents et enfants, des écoles, associations et des personnes âgées pour des moments divertissants, conviviaux et collectifs.
-
Créer des liens, des moments d'échange entre les générations
-
- Suite de l'action : Limites
Trop de demande par rapport à la disponibilité du référent de l'action.
- Suite de l'action : Perspectives
Acheter un véhicule dédié.
Actions
"Art'Air" Emancipation de l'individu
- Structure organisatrice
- Centre Social Les Francas du Doubs - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Interventions dans les quartiers politique de la ville pour conduire des enfants et des jeunes à la pratique artistique selon un projet porté avec les écoles, les associations. Entrer en partenariat avec le groupe « chœurs du conservatoire » pour donner une nouvelle forme de l’art. Permettre aux populations adultes des quartiers d’accéder aux ateliers ART AIR en valorisant leur compétence et en faisant le lien avec le quotidien. Favoriser l’approche de l’art plastique par des publics jeunes en difficulté avec l’ADDSEA. Remettre à jour le Musée en lui donnant toute valeur ajoutée et sa place dans le catalogue de l’office du tourisme pour une accessibilité familiale. Travailler sur un projet Artothèque à dimension communale puis intercommunale à diffusion d’œuvres de l’ensemble du public
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
1 - Avoir une culture artistique qui participe à la construction de la personnalité de l’individu, au levier social que cela rend possible.
2 - Avoir un langage « plastique » en pratiquant, utilisant et maîtrisant diverses techniques, en travaillant différentes matières en se créer des références culturelles.
3 - Réinvestir ce que l'on apprend en art, au quotidien.
4 - S’enrichir dans des domaines comme l’histoire, la géographie, la littérature par les découvertes et la curiosité exacerbée.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Bailleur social
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- DRAC
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
En cours
- Ressources financières mobilisées pour cette action
50 741€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
50 adultes et 250 enfants et jeunes.
- Résultat sur le territoire
1 - Développer l’appétence aux arts plastiques du jeune public des quartiers prioritaires de Pays de Montbéliard Agglomération
2 – donner les clés de compréhension aux parents en leur permettant de participer aux ateliers en fonction de leur compétence
- Résultat pour le centre social
Visibilité sur les communes à travers les réalisations du centre social.
- Résultat pour les habitants
Embellisement de l'environement proche.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Ouvrir des ateliers partagés parents - enfants
Ouvrir une Artothèque et un musée dédié au jeune public.
Actions
Ecrivains publics
- Structure organisatrice
- MJC PALENTE - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Résumé
Des bénévoles, coordonnés par la coordinatrice sociale, assurent deux permanences hebdomadaires sans RDV. Durant ces permanences, ils accueillent et accompagnent des personnes rencontrant des difficultés administratives. Celles-ci sont dûes soit à une mauvaise/non maîtrise de la langue française, soit à une incompréhension des démarches ou des institutions.
Les écrivains publics rédigent donc des courriers, expliquent des documents et des prcédures, ou encore réorientent vers des services adéquats.
Sur RDV, des permanences sont proposées pour monter des dossiers de surendettement.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour répondre aux besoins des habitants du quartier: pour les accompagner dans les difficultés liées aux démarches administratives.
Cette action permet la résolution immédiate d'un problème (rédaction d'un courrier, lecture/explication d'un document..) ou la prise en charge sur la durée pour un accompagnement plus suivi (réorientation vers un service de professionnels)
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Etat
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Initiative proposée au départ par des bénévoles.
Accompagnement par le centre social: logistique (ordinateur, salle, téléphone) et partenarial (communication, lien, formation).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CGET: 1000
Subvention de fonctionnement CAF: 1200
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 bénévoles
1 coordinatrice sociale
Réseau partenarial
- Résultat sur le territoire
366 consultations par an. Personnes venant principalement du quartier mais également des autres quartiers de la Ville
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Jardin Partagé
- Structure organisatrice
- MJC PALENTE - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Environnement
- Mixité sociale
- Résumé
En souhaitant proposer une action à destination des habitants ayant pour vocation de créer du lien social et d'améliorer le quartier (visuellement et en termes de qualité de vie), Néolia (bailleur social principal du quartier) et la MJC Palente ont tenté des fleurissements en pied d'immeuble avec les habitants. Cette action test autour de la culture et de l'action des habitants a validé l'idée d'un projet plus ambitieux: le jardin partagé. Ce site se veut collectif, lieu de culture, de lien social, de transmission et de partage.
L'idée est de partager un terrain, avec pour objectif d'y appliquer du maraîchage biologique dans une volonté de partage de savoir, de travail et de récolte. Rencontrer et faire avec ses voisins. Le lieu accueille également de nombreux groupes d'enfants (plusieurs classes, des centres de loisirs, ludothèque, groupe d'accompagnement à la scolarité) et est utilisé ainsi comme support pédagogique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place dans une volonté de créer du lien entre les habitants afin de lutter contre l'isolement, tout en contribuant à l'amélioration du cadre de vie.
Une volonté de fédérer différents acteurs (associatifs, scolaires...) autour d'un même lieu anime également ce projet.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Bailleur social
- Caf
- Commune
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Expérimentation de fleurissement en pied d'immeuble pour valider la thématique et 'engagement des habitants Mars 2015
Recherche de financements et du terrain Décembre 2015
Mobilisation des habitants pour élaborer la charte et le fonctionnement (groupe de travail) septembre 2015-mars 2016
Lancement de la 1ère saison de culture mars 2016
Poursuite du projet. Collectif de jardiniers et comité de pilotage
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 coordinatrice du centre social: coordination du ^projet, recherche de financement, mobilisation du public et des partenaires
1 médiateur jardinier: animation du lieu et mobilsation des habitants
1 service civique. animation du lieu et mobilsiation des habitants
nombreux partenaires
4 à 10 jardiniers, en fonction de l'année et de la saison...
4 classes scolaires, + 4 autres groupes d'enfants (= 200 enfants environ)
- Résultat sur le territoire
Amélioration du cadre de vie
Création d'un lieu de vie, ouvert et partagé
- Résultat pour le centre social
Création d'un lieu au coeur du quartier prioritaire.
Lieu d'accueil pour différents projets du centre social (culturel, animation, loisirs...)
Plus grande visibilité du centre social dans le quartier
- Résultat pour les habitants
Lieu où se rencontrer, se retrouver. ou tout simplement sortir de chez soi.
Valorisation de leur implication
- Suite de l'action : Limites
Quartier où est situé le jardin = quartier où très fort isolement et difficultés sociales ++, d'où une grande difficulté à mobiliser les habitants
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite du projet. Objectif qu'à terme les jardiniers se constituent en association et autogèrent ce projet.
Développement d'un projet "Graine de culture", ou comment apporter la Culture sur un lieu de culture maraîchère: action à visée enfance et famille
Actions
BIEN VIEILLIR AVEC LA GYM VOLONTAIRE
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL - ESPACE DE VIE SOCIAL - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Sur la commune de Chemaudin, en 2012, 17% de la population avait plus de 60 ans. Notre projet social comporte donc, un axe intitulé :
Activités pour l'accompagnement des personnes âgées, et cet axe propose, des activités physiques, des actions de prévention et de santé. Un cours de gym seniors fonctionne sur la commune.
De nouvelles activités ont été mises en place pour permettre à de nouvelles personnes de découvrir une activité physique et lutter contre la sédentarité, en partenariat avec la Fédération Française Education Physique et Gym Volontaire.
Les activités proposées sont diversifiées pour répondre au mieux aux envies et besoins de chacun (cardio training, Fit ball, parcours équilibre, marche nordique, danse country....)
14 ateliers de prévention santé mis en place sur une période de 3 mois environ, associés à des temps d'information sur le bien vieillir (alimentation , sommeil...)
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Mutuelle
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a été menée à l'initiative de l'animatrice coordinatrice, qui souhaitait proposée des activités aux personnes isolées. Elle a démarré en octobre 2017, par une rencontre avec la présidente du CODEP EPGV, pour obtenir des informations sur les ateliers a proposé aux personnes sans activité physique. Une communication à la population a été faite sur les ateliers du bien vieillir, en collaboration avec les groupes seniors existants sur la commune (Acti-seniors, Gym seniors).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Cette action de prévention santé a été mise en place avec des partenaires de prévention (inter régime, mutuelle, caisse de retraite complémentaire). Une participation forfaitaire de 24€ pour les 14 séances a été demandée à chaque participant.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animatrice coordinatrice,
1 animatrice sport santé,
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Les 15 personnes qui ont participé permettent d'envisager un nouveau cours à la suite.
- Résultat pour les habitants
15 personnes ont participé.
- Suite de l'action : Limites
Les limites de l'action correspondent aux disponibiltés de salle, mise à disposition par la commune.
- Suite de l'action : Perspectives
Ouverture d'un atelier du bien vieillir sur la durée.
Actions
Le studio musique
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MONTRAPON/FONTAINE-ÉCU - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Le studio musique est équipé pour la création et l'enregistrement de musiques et il est encadré par un animateur technicien. Les animateurs jeunesse de la Maison de quartier en font un lieu ouvert aux jeunes seuls ou en groupe ou aux association, et qui souhaitent s'inscrire dans une démarche artistique. Le studio musique doit pouvoir faciliter le développement des sociabilités, l'engagement dans un projet. L'animateur technicien encadre les jeunes à partir de 3 axes de travail : la formation MAO, l'accompagnement des jeunes dans leur projet et vers les dispsositfs existants sur la ville et les enregistrments personnalisés. Il assure des prises de rendez-vous avec chaque jeune ou groupe de jeunes et il met en place un travail selon la demande et les besoins des jeunes pour développer leur projet.
le studio musique est une porte d'entrée pour les jeunes afin de les aider à mieux appréhender leur démarche artistique, à s'inscrire à des scènes musicales, à financer un projet.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
En 2014, des jeunes qui fréquentent le secteur jeunesse de la maison de quartier Montrapon Fontaine Ecu ont souhaité un lieu pour pratiquer régulièrement la musique. Les animateurs jeunesse ont défini avec les jeunes et avec l'animateur technicien qui a été recruté pour l'occasion , la création d'un studio musique et de se objectifs. Une aide financière de la CAF du Doubs a été attribuée pour équiper ce studio musique : ordinateur, logiciel, micros,... Les services techniques de la ville ont réalisé l'aménagment du studio. Les naimateurs ont voulu répondre à une demande des jeunes avec la volonté de les faire soritr de leur démarche bien souvent consumériste.
Le studio musique a cette vocation à intégrer les jeunes et à les faire participer à des projets collectifs. Il apporte un soutien aux pratiques et initiatives des jeunes et des groupes de jeunes et il agit comme un stimulateur d'action. Il est il'interface entre les dispositfs jeunesse existants sur la ville. Il engage chaque jeune à s'inscrire et à poursuivre une démarche artistique.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
3 axes de travail : la formation MAO, l'accompagnement des jeunes dans leur démarche artistique, l'enregistrement personnalisé.
L'animateur tehnicien assure des prises de rendez-vous et défini le travail à réaliser avec les jeunes. Il priorise l'accompagnement des jeunes sur un temps défini qui peut conduire à la réalisation d'une premère scène musicale. Il propose des stages collectif de formation MAO et de"jeux scèniques".
Le travail engagé par la maison de quartier n'a pas vocation à se limiter à son territoire d'intervention. la maison de quartier veut s'inscrire dans un travail de réseau déjà mais qui demande à être développé. Des collaborrations sont à renforcer avec d'autres partenaires afin d'optimiser l'accompagnement des jeunes et de les faire progresser artistiquement : Conservatoire de musique , SMAC, Associations, .autres maisons de quartier,...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
voir document 1
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
LES TABLIERS GOURMANDS
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL GEORGES MASSACRIER - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Santé
- Résumé
Elle est ouverte à tous les parents d’enfants de 3 à 10 ans, sur inscription. 1 atelier /mois, le mercredi de 13h30 à 16h30. La somme modique de 0.50 € est demandée par personne à chaque séance
Chaque parent, accompagné de son (ses) enfant(s), prend en charge une partie de la recette (mesurer les ingrédients, éplucher, peser, cuire….). Ensemble, ils réalisent les recettes et dégustent leur réalisation en commun.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans le cadre du LAEP, pendant le temps du goûter, les animatrices ont constaté que les enfants consommaient et ce, de façon très régulier, des aliments transformés (compotes, ...)voire ulltra-transformés (chips, gâteaux, céréales du petit-déjeuner ). La majorité de ces enfants est en surpoids. Cette action tend à sensibiliser les parents ainsi que leurs enfants à manger équilibré. Pour ce faire, parents et enfants jouent un rôle imortant dans la téalisation des recettes. . Cette activité permettra également de renforcer la place des parents dans les activités ainsi qu’au sein de la cellule familiale.
Objectifs :
- apprendre à manger plus équilibré, améliorer les conduites alimentaires,
- de découvrir de nouveaux produits, de nouvelles recettes grâce aux échanges,
- d’apprendre à cuisiner à moindre coût tout en mangeant mieux,
- de développer leurs goûts,
- de gagner de la confiance en soi,
- apprendre en s’amusant,
- de stimuler leur créativité,
- enseigner les groupes d’aliments aux parents et aux enfants,
- Accompagner la fonction parentale,
- Améliorer relations parents – enfants,
- Favoriser l’autonomie parentale,
- Soutenir – Réconforter – Soulager les parents,
- Valoriser la fonction parentale.
- Public
- Petite enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Un groupe de travail ( centre social, participants) s'est constitué auquel une conseillère en ESF et une infirmière de PMI participent pour l'élaboration des recettes, la mise en place d'animations portant sur différentes thématiques (alimentation, addictions, ...).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
REAPP : 1600 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 personnes (1 salariée centre social et 1 bénévole)
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Programmation Spectacles Jeune Public
- Structure organisatrice
- MJC PALENTE - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Les pratiques artistiques, la lecture, l'écriture, le spectacle vivant permettent à chacun de construire son identité, de se fabriquer des émotions qui les aideront à grandir. La promotion de ces programmes constitue un levier de la démocratie culturelle et permet de promouvoir une éducation artistique de qualité, d'accueillir et d'accompagner des jeunes et leurs familles autour des manifestations culturelles.
Par ses actions, la MJC Palente cherche à participer pleinement au développement de l’accès à la culture pour tous et au développement des territoires. . Les partenariats s’amplifient aussi bien en interne pour proposer des projets destinés à un public élargi que sur l’extérieur par notre présence sur les territoires de l’est bisontin en partenariat avec les communes et les habitants.
Les objectifs visés :
- Faire des propositions de spectacles en direction du jeune public et des familles. Travailler la mixité du public accueilli, aussi bien sur le quartier que dans les communes
- Créer un temps de complicité entre l’enfant et ses parents, un temps basé sur la notion de plaisir de voir ensemble un spectacle qui correspond aux deux parties.
- Imaginer des actions culturelles en lien avec les autres secteurs de la maison, pour atteindre un public large et que nos propositions prennent place dans l’environnement direct de l’enfant et des familles.
- créer des propositions avec les communes de l’est bisontin en nous appuyant sur leurs besoins et en apportant nos compétences.
- Faire vivre une école du spectateur en travaillant avec les classes inscrites dans les parcours culturels, les groupes inscrits en Eveil artistique, les enfants des ALSH.
-Réfléchir au maillage des propositions spécifiques au Jeune Public : propositions culturelles sur tous les temps de la maison: Fête du livre, école de musique, accueils de loisirs, public intergénérationnel, samedi en famille, ateliers sociolinguistiques, jardin partagé.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
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- Le centre social
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Il nous parait indispensable de contribuer avec les moyens qui sont les nôtres au développement d’actions culturelles et au soutien des artistes en proposant les méthodes suivantes :
- Etablir un projet liant pratique artistique et ateliers lorsque cela est envisageable, en direction du public, scolaire, de la petite enfance et des familles.
- Sensibiliser le jeune public par des rencontres, des connaissances du parcours de l’œuvre écrite au spectacle, notamment les collégiens.
-Interroger à nouveau la place de la culture dans notre société, la responsabilité des artistes et des acteurs culturels (élus politiques et associatifs, techniciens, médiateurs, enseignants,...) et la place des spectateurs : accueil des collégiens et primaires de l’Accompagnement à la scolarité sur les temps de spectacles mais aussi de montage, travailler la découverte du milieu autant que l’approche artistique.
Objectifs opérationnels :
- Participer, aux côtés d'autres opérateurs, à la diffusion culturelle de spectacles
- Proposer des ateliers ouverts à toutes les sensibilités.
- Mettre en œuvre une politique tarifaire attrayante pour permettre à tous de s'ouvrir à la culture.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
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Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
L'action a débuté en 2002.
La Maison de la Jeunesse et de la Culture de Palente a pour objectif de réunir les populations afin de développer des initiatives nouvelles. Elle se définit comme un lieu de vie éducatif pour les enfants, les jeunes et les adultes de son territoire d’intervention. En participant à des activités culturelles, de loisirs ou éducatives ces publics construisent leur identité. La MJC soutient des idées innovantes, elle favorise la créativité et l’initiative, elle se veut laboratoire d’innovations et expérimente tout ce qui fera de la MJC un lieu d’essai et de bouillonnement pour le maintien des liens sociaux. Sa principale mission est la mise en place d’une éducation artistique aussi bien autour de la danse, du théâtre que des arts plastiques pour donner des clés d’accès aux plus jeunes en favorisant la réflexion et l’imagination à travers des ateliers, des spectacles ou des expositions.
Créer et maintenir un fil conducteur entre les actions pour permettre au public de comprendre et s’intégrer dans ce qui est proposé. Faire agir ensemble des artistes d'horizon divers sur plusieurs projets à la fois pour proposer un projet cohérent et une connaissance approfondie du public à plusieurs échelles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget prévisionnel du projet : Programmation Jeune Public CHARGES (€) PRODUITS (€) Artistique prévisionnel 2018 Recettes propres prévisionnel 2018 Création Ventes produits, spectacles Salaires et charges artistes Billetterie 10 300 € Restauration / hébergement Prestation artistique Frais de déplacements Décors, costumes etc Diffusion 32 000 € Salaires et charges artistes 18 000 € Restauration / hébergement Frais de déplacements Action culturelle Subventions publiques Salaires et charges artistes Ville de Besançon 16 500 € fourniture Etat (Culture - DRAC) Technique Etat (autres Ministères) Salaires et charges techniciens 5 480 € Conseil Départemental du Doubs 10 000 € Matériels Conseil Régional de Bourgogne Franche-Comté 10 000 € Autres fournitures 500 € Grand Besançon 3 000 € Frais généraux Autres collectivités communes réceptions, restauration, déplacement 2 200 € Organismes sociaux (préciser) charges de personnel 3 200 € Institutions professionnelles :Adami, Sacem, Sacd, Spedidam, Scpp, Onda, Cnv, Fair, Cnt, Cnd, Cnl... 3 000 € Aides internationales (préciser) ASP CAF 8 000 € Autres 2000 Communication 1 700 € Mécénat, Fondations (préciser) Frais administratifs Coproductions (préciser) Dépenses de fonctionnement Assurances Sacem 1200 Adhésions Droits d'auteur Autres: impôts et taxes Autres (préciser) 1480 TOTAL DES CHARGES : 64280 TOTAL DES PRODUITS : 64 280 € Dépenses valorisées Valorisation Mise à disposition gratuite Dons en nature Prestations Prestations en nature Personnels bénévoles Bénévolat TOTAL DES CHARGES : 64 280 € TOTAL DES PRODUITS : 64 280 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 responsable secteur culturel
1 régisseuse
2 salariés pour travailler la transversalité
8 bénévoles
3 services civiques
- Résultat sur le territoire
Pour renforcer notre présence sur le territoire, je dissocie le travail à réaliser sur le quartier de celui envisagé sur l’est bisontin, pour mieux approfondir l’un et l’autre et répondre à des besoins différents.
La MJC s’adapte aux particularités du public et du territoire et cherche par tous les moyens à développer l’accès à la culture en travaillant sur plusieurs axes.
Le développement du projet est remis en cause chaque année car il nécessite la présence des partenaires, du public et des bénévoles. Néanmoins, le travail important de l’équipe me rend optimiste sur sa capacité à s’adapter et à trouver des réponses adéquates aux besoins du public. La relation au public est de plus en plus fluide et l’ouverture au plus grand nombre devient une réalité par les projets établis.
- Résultat pour le centre social
Le travail en direction des habitants du quartier Palente/Orchamps se construit en interne, entre le secteur social et culturel et cherche à répondre aux problématiques de chacun tout en s’appuyant sur le cadre fixé par le contrat de projet du centre social.
Le projet porté conjointement a pour objectif d’accueillir sur le jardin aussi bien les familles que les enfants et adolescents et les personnes âgées. Le portage de l’action par plusieurs secteurs dans le cadre du Centre Social permet de trouver appui et renfort au sein de l’équipe des permanents, tout en croisant nos objectifs.
- Résultat pour les habitants
Les objectifs du projet sont de contribuer au développement des enfants par l’expérience de la pratique artistique et l’accès à la culture, d’instaurer du lien social par les rencontres occasionnées entre enfants, familles, voisinage, acteurs de quartier.
Concernant les bénéficiaires « habitants », leur assiduité n’est pas encore acquise mais l’intérêt pour le projet se perçoit par la connaissance qu’ils ont des actions à l’année. Nous parvenons à sensibiliser les habitants quand nous sommes sur leur territoire.
- Suite de l'action : Limites
La programmation de spectacles se doit d’être en permanence créative et innovante et ce malgré les baisses de financements. Il est difficile de créer de nouvelles actions qui découlent de notre programmation alors que les subventions diminuent et je dois construire le projet en tenant compte de ces limites. Pour réussir, je dois diminuer le coût de l’évènement et renforcer tous les maillons de la chaîne culturelle, par la recherche, la réactivation ou l’évolution des partenariats.
- Suite de l'action : Perspectives
Pour renforcer notre présence sur le territoire, je dissocie le travail à réaliser sur le quartier de celui envisagé sur l’est bisontin, pour mieux approfondir l’un et l’autre et répondre à des besoins différents.
Le travail en direction des habitants du quartier Palente/Orchamps se construit en interne, entre le secteur social et culturel et cherche à répondre aux problématiques de chacun tout en s’appuyant sur le cadre fixé par le contrat de projet du centre social.
Le projet porté conjointement a pour objectif d’accueillir sur le jardin aussi bien les familles que les enfants et adolescents et les personnes âgées. Le portage de l’action par deux secteurs permet de trouver appui et renfort au sein de l’équipe des permanents, tout en croisant nos objectifs.
Pour se faire, des temps d’animations seront proposés en suivant le cycle du jardin et de ses plantations, ce lieu devenant alors support pour d’autres projets, espace de discussion et de « tricotage » d’actions à plus long terme.
Pour le secteur culturel, le projet intitulé « Graines de quartier » englobera des actions pour faire suite au cortège de l’ogresse, laboratoire d’apprentissage artistique et de développement social et celles des lectures en pied d’immeuble, qui avaient comme idée d’associer l'individu et le collectif.
Les objectifs du projet sont de contribuer au développement des enfants par l’expérience de la pratique artistique et l’accès à la culture, d’instaurer du lien social par les rencontres occasionnées entre enfants, familles, voisinage, acteurs de quartier.