Sensibilisation au jardinage (visite de jardins, réunion d'information)

Constitution d'un groupe de pilotage, associant des habitants et des salariés du Centre Social.

Appel aux dons auprès des particuliers et d'entreprises, sollicitation du service espaces verts de la ville

Chantier intergénérationnels d'aménagement (construction de carrés potager)

Mise en place d'ateliers hebdomadaires de jardinage et de bricolage, basés sur le plaisir de faire ensemble et l'échanges de savoir-faire. Participation des enfants de la halte-garderie, du centre de loisirs et de l'accompagnement à scolarité (plantation, arrosage, installation d'un composteur, construction de nichoirs et d'un hôtel à insectes...), des jeunes (réalisation d'un salon de jardin en palettes, d'un récupérateur d'eau), de personnes en insertion, de séniors...

Premières récoltes partagées et dégustées... 

Une diversités d'activités et d'actions collectives sont proposées (programme d'activités et de sorties), Marque pages, programmation culturelle, des Tables d'hôtes ....

Les membres du conseil ne souhaitaient pas imposer un message ni un rappel à la loi mais plutôt aider au questionnement et éviter ainsi de sombrer dans le jugement déjà trop récurent… questionner pour ne pas donner de leçons ni aux hommes ni aux femmes et respecter ainsi toutes les cultures.

•  Le message s’adressait donc aux enfants, aux familles.

Démarrage     : conception fin 2014

Mise en place : 2015

Nous avons commencé cette action en novembre 2013 et depuis cette date nous en sommes à 20 soirées.

Le choix des thèmes se fait en fonction des réflexions échangées lors des soirées elles-mêmesk ainsi qu'en fonction de l'actualité. Par exemple : nous collons aux échéances électorales avec une soirée sur le thème de la collectivité concernée (compétences, avenir etc.)

Certaines personnes commencent à nous interpeller comme par exemple : "j'ai vu un film sur l'homosexualité....nous pourrions organiser une soupe sur cette question..."

Des entretiens individuels ont permis de cerner les attentes. Le centre social a soumis le projet lors de rencontres partenariales de construction du projet social et du PEL afin d'avoir des retours d'expérience, d'informer les enseignants, acteurs sociaux et parents d'élèves. Ces derniers ont relayé l'information auprès des parents qu'ils rencontrent. En 2012, le jour J, devant l'école, la référente familles est allée vers les parents pour les inviter à rejoindre le "café des parents". 

L'action se déroule à chaque fois sur une durée de 5 jours, en mars et en octobre, et mobilise un groupe d'une trentaine d'habitants à chaque bourse (parents et retraités) , constitué d'un noyau fidèle d'une dizaine de personnes et de nouveaux bénévoles. Ils se rencontrent en amont  au cours de deux réunions de préparation qui permettent d'organiser, de préparer et de répartir les taches de travail (accueil du public, contrôle des vêtements, enregistrement des listes sur ordinateur, enregistrement des ventes, installation, rangement..). Durant la manifestation, les 5 jours sont organisés de la manière suivante :  Jour 1 :Installation de la salle  ; Jours 1 et 2 : Accueil du public pour le dépôt des vêtements, contrôle, enregistrement, installation sur les tables. Jour 3 : Accueil du public pour la vente. Jour 4 : Rangement, reconstitution des listes, préparation des ventes. Jour 5 : Restitution aux déposants, rangement final. Un bilan se déroule à l'issue de chaque bourse pour pointer les points forts et points à améliorer. 

A partir du mois de février : constitution du groupe de jeunes, élaboration du projet et mobilisation des partenaires

Avril : montage budgétaire, recherche d'un intervenant

Mai / Juin : conception de la maquette avecl'artiste et obtention des autorisations municipales

Juillet / Août : excécution du chantier puis réalisation du projet vacances des jeunes (activités de loisirs encadrées ou en autonomie)

Septembre : inauguration de la fresque à l'occasion des journées du patrimoine

Comme signaler précédemment, diverses actions supports permettent de travailler cette démarche du "bien vieillir", une démarche initiée depuis 2007 :

activités physiques : Cap'Rando, Piscine

activités de loisirs : Arts Créatifs, sorties familles, Part'âges villages (culture, spectacle, ateliers de savoirs-passions-artistiques,etc)

activités ludiques, apprentissage, savoirs, partages : ateliers multimédia, atelier relooking,

activités solidaires : Chinetterie, boutique de vêtements Ok'Frip, covoiturage, projet Café réparation.

activités citoyennes, associatives : conseil d'administration, accueil et accompagement de bénévoles.

L'équipe professionnelle de l'association reste dans cette posture d'accueil, d'accompagnement des démarches en laisson les groupes porteurs maitres de leur action. Nous sommes garants du cadre et des valeurs que les groupes véhiculent dans leurs actions.

Sur la commune de Lagord :

Une exposition d’objets des années 50 (Objets appartenant aux habitants du territoire), des archives (photographies, maquettes, plans aériens….) nous permettant d’illustrer notre commune dans les années 50 : Cette initiative a mobilisé une dizaine d’habitants (des seniors) qui nous ont prêtés des objets absolument incroyables. De nombreuses personnes sont venues visiter l’exposition :

-250 habitants.

-352 élèves de l’école élémentaire (rencontres intergénérationnelles dans la mesure où les seniors étaient présents lors de l’accueil des classes pour expliquer aux enfants le contenu de l’exposition, l’utilisation des objets etc…. Les enfants se sont montrés très curieux).

-40 résidents des EHPAD du Bois d’Huré et du Rayon d’Or.

-60 enfants du centre de loisirs (rencontre intergénérationnelle également).

Au travers de ce premier support, les seniors se sont sentis valorisés. Ils ont particulièrement apprécié les temps de partage avec les enfants. Ils ont été surpris de l’intérêt que les enfants leurs ont porté.

Une exposition/conférence relatant l’agriculture et l’élevage dans les années 50 sur la commune :

Cette exposition a été entièrement élaborée par deux habitants (seniors) et s’est rajoutée à la première.

Pour ce faire, ils ont réalisé de nombreuses recherches : Cadastres, archives communales, rencontres avec des « anciens » (issus depuis leur plus tendre enfance de la commune de Lagord), rencontres avec les premiers agriculteurs ou leurs enfants. L’aboutissement de ce travail a été un vrai succès. L’exposition a accueilli des archives, des photographies et de nombreux objets ; le tout, accompagné d’affichettes pédagogiques explicatives.

Les deux compères ont été félicités par l’ensemble des visiteurs (mêmes visiteurs que pour la première exposition). Ils ont trouvé cette expérience enrichissante tant sur le plan culturel qu’humain.

Une conférence/Débats : « L’agriculture dans les années 50 ».

Cette conférence a été préparée et animée par deux habitants (seniors) de la commune (un agriculteur en retraite et une personne retraitée qui, dans sa vie active avait été missionnée à plusieurs reprises pour se rendre en Afrique noire dans le but d’accompagner la population locale à développer leur mode d’agriculture).

Dans l’objectif de proposer une conférence ludique et interactive, ils avaient été au préalable interviewer des « anciens » Lagordais pour recueillir leurs témoignages (les Lagordais interviewés ont été invités à venir participer à la soirée).

Dans le cadre de cette conférence, nous avons accueilli 85 personnes.

Comme prévu, la soirée a été très interactive. Les deux personnes à l’initiative de ce temps de rencontre ont su communiquer leur passion pour l’agriculture et les personnes interviewées étaient toutes présentes ce qui a considérablement enrichi les échanges.

Les participants ont applaudi avec enthousiasme les différents orateurs, tous émus par la réaction du public.

Une rencontre « jeux inter villages » (jeux d’antan) : Rencontre qui a regroupé des habitants des 3 communes.

Déroulement de la journée :

-Nous avons constitué différentes équipes (mixité en termes d’âges) pour proposer tout au long de la journée des défis intergénérationnels.

-Les parents d’élèves des communes de Lagord et L’Houmeau sont venus assurer la buvette (les bénéfices ont été redistribués aux écoles du territoire).

-Des espaces ludiques ont été proposés (jeux ludothèque du centre socioculturel) ainsi que des ateliers maquillage et déguisements d’époque.

-Des objets festifs d’époque ont été exposés pour reconstituer l’ambiance des années 50.

-Des voitures d’époque ont été exposées (partenariats avec des associations locales passionnées par les anciens véhicules).

-Plusieurs artisans (bénévoles) sont venus offrir des démonstrations au public : 2 forgerons, 1 démonstration de cordage, un agriculteur présent avec sa vache (les soins).

-Une association de danse Nieulaise (Commune de Nieul Sur Mer) passionnée par cette époque est venue bénévolement (découverte de diverses danses d’époque).

-Enfin, 3 jeunes du collège Jean-Guiton (collège du territoire) passionnés par la radio sont venus pour interviewer en direct les artisans et l’association de danse.

Cette manifestation s’est clôturée par une soirée dansante (Musiciens « Les papas Jive ») sur le thème des années 50.

La soirée a été ponctuée par plusieurs animations : Quizz musical, séances d’initiations au rock n’ roll, etc…

Dans le cadre de cette manifestation, nous avons accueilli 120 personnes.

Une exposition sur le thème réalisée par les résidents de l’EHPAD du Rayon d’Or :

L’EHPAD du Rayon d’Or, très sensible à notre démarche de projet, a souhaité initié un temps fort au sein de leur établissement.

Ils ont sollicité les résidents et leurs familles pour organiser une exposition sur le thème (ouverte au tout public).

Ils ont à partir des objets recueillis, reconstitué une pièce de vie des années 50.

Leur décor était absolument sublime.

De nombreux Lagordais sont venus visiter l’exposition, ce qui a permis au Rayon d’Or de mieux faire connaitre leur établissement.

Les résidents et leurs familles ont apprécié cette initiative ; pour eux l’établissement était beaucoup plus accueillant et attractif.

Fort de cette nouvelle expérience, ils ont décidé d’investir plus régulièrement l’établissement et de proposer une fois par mois des semaines à thèmes.

Nombre de visiteurs : 100 personnes.

-Sur la commune de L’Houmeau : Expositions réalisées par des habitants, notamment des seniors.

Une exposition photos relatant l’histoire du séminaire et celle du parc de L’Houmeau  :

Cette exposition a été accueillie dans un ancien pigeonnier (réouvert pour l’occasion).

Les élus avaient organisé au préalable plusieurs réunions publiques pour expliquer le projet aux habitants et ainsi récolter des archives auprès de la population.

Plusieurs l’Houméens (des seniors) ont investi cette action pour nous concocter cette exposition dans un lieu enchanteur.

Par ailleurs, étant présents aux réunions publiques, et face à l’engouement de certains l’Houméens, nous leur avons proposé d’aller à la rencontre des « anciens » de la commune pour les interviewer et élaborer un court métrage à diffuser le jour de leur journée festive (apéritif concert).

Cette proposition a été très appréciée par le Maire, qui souhaitait justement pouvoir constituer une « mémoire » de la commune de l’Houmeau.

Nombre de visiteurs = 120

Un apéritif concert sur le thème (dimanche 22 mai). :

Cet apéritif concert a été pris en charge par le comité des fêtes de la commune.

Les bénéfices de la journée ont été reversés aux associations locales investies dans le projet.

Nous avons été extrêmement surpris par le nombre conséquent de participants qui plus est, venus en costumes d’époque.

Le court métrage réalisé par nos soins a été diffusé à 3 reprises dans la journée.

Un grand succès pour cette manifestation.

Nombre de visiteurs : 200

-Sur la commune de Nieul Sur Mer : Expositions réalisées par le conseil des sages de la commune.

Une exposition relatant l’histoire de l’ostréiculture dans les années 50 (photos et film dépoque réalisé par un amateur) :

Cette exposition a été réalisée par le Conseil des Sages de la commune de Nieul Sur mer.

Lors de notre première rencontre, le Conseil des Sages nous semblait particulièrement intéressé par le projet.

Il avait été évoqué : Des interviews d’habitants, une exposition d’objets des années 50, une exposition sur l’ostréiculture dans les années 50, un cinéma en plein air…

Au fur et à mesure de nos rencontres, nous les avons sentis plus en retrait et moins partie prenante.

Nous avons alors décidé de comprendre ce qui se passait en interpellant le Président de l’association.

Ce dernier nous alors expliqué que plusieurs membres avaient quitté le Comité des Sages et qu’ils travaillaient en parallèle sur une autre exposition. Ils craignaient de ne pas pouvoir conduire les deux « chantiers » en même temps.

Pour nous, l’enjeu était important, par ce que la finalité première de ce projet était d’impulser un temps fort sur notre territoire d’intervention en impliquant en premier lieu les habitants et notamment les seniors : Tisser du lien social.

Nous leur avons alors proposé notre soutien technique, pour qu’ils puissent mener à terme au moins l’exposition sur le thème de l’ostréiculture : Mise à disposition de notre photocopieur, édition des photos…..

L’exposition a finalement été réalisée et exposée dans le hall de la mairie de Nieul sur Mer.

Un vernissage a eu lieu en présence du Maire de la commune.

Nombre de visiteurs : 80

-Les moyens pour la Petite Enfance (18 mois à 6 ans) :

Les partenaires « Petite Enfance »:

-Relais Assistantes Maternelles intercommunal de Lagord, L’Houmeau et Nieul Sur Mer.

-Ecoles Maternelles Treuil des Filles et Fénelon Notre Dame.

-La Crèche associative L’ile aux Trésors / la crèche parentale « A Petits Pas ».

Nous avons fait découvrir aux « tous petits » le monde de l’agriculture et de l’élevage au travers de la ferme « Tiligolo » (ferme reconstituée de 21m2).

Déroulement :

Pour les 0 à 3 ans :

-Un temps spectacle : « Tilogolo » à la recherche de Jeannot Lapin » 20 min.

-Découverte des animaux de la ferme.

Pour les 3 à 6 ans :

-Un temps spectacle : « Tilogolo » et le secret de Jeannot lapin » 40 min.

-Ateliers pédagogiques : La traite des chèvres ; observation et découverte des animaux (laine, poil, duvet, plume, pattes, bec, etc…).

Dans le cadre de ces rencontres « Petite Enfance » des structures du territoire, nous avons organisé une matinée jeux en plein air et un pique-nique pour clôturer le projet.

Nombre de participants : 256

-Les moyens pour l’Enfance :

Les actions ont été pensées dans le but de mettre en valeur les liens intergénérationnels, le vivre ensemble et les transmissions de savoirs entre générations.

Les écoles élémentaires Treuil des Filles et Fénelon-Notre Dame :

Accueil des classes en deux temps (les classes étaient séparées en deux) :

-1-Un premier temps consacré aux jeux d’antan :

L’ensemble des élèves du CP au CM2 ont été invités à partager un temps de jeux (sur le thème des années 50) animé par des bénévoles (seniors).

Dans un premier temps, les seniors avaient organisé l’espace en installant sur différentes tables des objets ou des jeux d’époque.

Lors de l’accueil des enfants, ils leurs demandaient d’essayer de retrouver les règles du jeu et après les avoir laissés expérimenter, jouaient avec eux.

Ces rencontres riches en partage ont été appréciées par l’ensemble des acteurs, qui souhaiteraient à l’avenir, prolonger ce type de rencontres.

-2-Un second temps consacré à la diffusion d’un documentaire court « La vie dans un ferme française » :

En amont de cette démarche, nous avions mobilisé des bénévoles (seniors) pour leur demander d’accueillir les classes et de discuter avec les enfants une fois le documentaire visionné (le documentaire en noir et blanc reprenait des scènes de vie à la ferme dans les années 50).

6 bénévoles ont répondu présents.

Tous les enfants des classes de CP jusqu’au CM2 ont pu bénéficier de ce temps de partage.

Les enfants se sont montrés très curieux et ont posé beaucoup de questions face à la rudesse des conditions de vie présentée dans le documentaire.

Les seniors ont illustré par d’autres exemples très concrets, la manière dont ils vivaient à l’époque.

Ces moments de partage et d’échanges ont été très appréciés par l’ensemble des acteurs (enfants, seniors et enseignants).

Tous ont été friands de la démarche et souhaiterait pouvoir reconduire ces moments de transmissions.

Nombre de participants : 351

-L’accueil collectif de Mineurs « Tournesol » :

-Dans le cadre des TAP de 16h à 16h45 (mars-avril-mai-juin) :

Nous avons créé un jardin intergénérationnel en nous faisant accompagner par l’association « Graines de troc » (Lagord).

L’objectif était de concevoir un jardin au sein même du centre socio culturel (aménagement, entretien, plantations, etc…) pour que tous les usagers (de la petite enfance au grand âge) puissent se l’approprier.

Ce projet a été un fil rouge sur plusieurs mois.

Plusieurs seniors sont venus régulièrement pour apprendre le jardinage aux enfants.

Ce projet qui a connu un vif succès se poursuit encore aujourd’hui, nous espérons l’ouvrir davantage aux structures Petite Enfance à l’avenir.

Nombre de participants : 60

Dans le cadre du Post Scolaire de 17h à 18h30 (mars-avril-mai), notamment durant l’atelier « Coup de pouce à la scolarité » :

Nous avons instauré des temps d’échanges entre les enfants et les « Mamoun’ et Papoun’  Aides » (seniors bénévoles) pour réaliser des "interviews photos" sur le thème « A quoi tu jouais quand tu étais petit ? ».

Ces supports ont été mis en valeur au travers d’une exposition réalisée par les enfants.

Nombre de participants : 20

-Dans le cadre de l’accueil de loisirs « Tournesol » durant les mercredis (3 à 10 ans) :

Dans le cadre des rencontres inter générationnelles conçues en partenariat avec les EHPAD du Rayon d’Or (7/10 ans) et du Bois d’Huré (3/6 ans), les enfants sont allés à la rencontre de leurs aînés pour découvrir les différents espaces que nos seniors leurs avaient composés (sur le thème).

Les enfants étaient admiratifs et avaient l’impression d’être dans un studio de cinéma. Les seniors quant à eux ont été très bavards, ne se lassant pas de leur raconter des anecdotes.

Nombre de participants : 60

-Les moyens pour la Jeunesse :

Afin de faciliter l’adhésion et la participation des jeunes à ce projet, il nous paraissait pertinent de délocaliser nos actions dans un lieu qui leur est familier et qu’ils fréquentent : Le collège Jean Guiton.

Différentes animations leurs ont été proposées sur le temps de pause méridienne dans le cadre du foyer des élèves « The Mouv’Foyer ».

-Les animations au sein du Mouv’Foyer :

-De début mars à mi-mai (en amont du temps fort prévu du 17 au 28 mai 2016) :

Les jeunes ont été invités à parcourir et découvrir les décennies précédentes, jusqu’aux années 50 par le biais d’un fil conducteur : La musique.

De par son universalité et l’intérêt que chaque génération lui porte, la musique est un moyen riche et vaste qui peut être exploitée sous différentes formes : Jeux de société, quizz, expositions, décoration, mini concerts, etc…

Ces supports nous ont permis de leur faire découvrir les différents styles et courants musicaux, les artistes majeurs au fil des époques…

Durant 15 jours, le Mouv’Foyer a vécu au rythme et aux couleurs des années 50. L’accent a été mis sur les stars et artistes de l’époque (musique, cinéma, télévision, sport, etc…) mais aussi sur la mode, les véhicules d’époque (voitures, moto) et les objets du quotidien…

Les jeunes ont apprécié l’originalité du projet et la variété des supports proposés.

Nombre de participants : 150

Les résultats non prévus, négatifs ou positifs :

Positifs :

-La forte implication des résidents de l’EHPAD du Rayon d’Or  (et de leurs familles) qui ont organisé une exposition sur le thème au sein de leur établissement et le nombre de visiteurs conséquent. Cette expérience a été pour eux une véritable révélation : Le besoin pour le public accueilli d’avoir des espaces ludiques et plus attractifs / Avoir modifié le regard de certains visiteurs sur leur établissement (ne pas être vu comme un « mouroir »).

-L’engouement de certains habitants pour le projet (des seniors) qui ne connaissaient pas le centre social et qui sont maintenant adhérents.

-Meilleur ancrage territoriale : se faire connaitre et être reconnus (des habitants et des partenaires).

-Rapprochement avec les élus du territoire.

-Gagner en crédibilité.

-Elargissement de notre réseau de bénévoles

Négatif :

Le manque de dynamisme sur la commune de Nieul Sur Mer.

Impact du projet sur la participation des personnes âgées à la vie locale :

-Sentiment d’utilité sociale.

-Lutte contre la solitude, l’isolement.

-Se remettre dans une dynamique de projet.

-Se sentir valorisé.

-Création de liens sociaux.

-Souhait de poursuivre leur engagement et d’être bénévole dans la structure.

Impact du projet pour le territoire et pour les autres habitants que les personnes âgées :

-Forte dynamique de territoire : Avoir réussi à animer la vie sociale locale et faire se rencontrer différentes générations.

-Création de liens sociaux.

-Envie partagée de poursuivre les rencontres inter générations.

-Valorisation du patrimoine.

-Rapprochement des habitants et des élus.

-Meilleure connaissance des acteurs locaux.

Méthode et indicateurs d’évaluation de l’action :

Méthode d’évaluation :

Plusieurs réunions ont été conduites avec l’ensemble des acteurs tout au long du projet afin d’adapter au mieux les propositions d’actions : Proposer des réajustements le cas échéant et être vigilants sur les dépenses à engager.

Nous avons pu vérifier ainsi durant toutes les étapes la faisabilité de notre projet : Moyens humains, moyens financiers, les différents espaces, le matériel nécessaire  et le respect des différents échéanciers.

Les Indicateurs :

-La participation régulière de tous les partenaires :

Le groupe de pilotage du projet  a veillé à ce que les rencontres soient régulières.

Des comptes rendus ont été envoyés systématiquement aux autres commissions thématiques pour que tous les acteurs soient informés de l’avancée du projet.

Ce projet a touché un large panel de personnes : Elus, habitants du territoire d’intervention, adhérents, professionnels et bénévoles, associations du territoire.

Tous ont travaillé dans le même sens, dans le respect des objectifs que nous nous étions fixés.

Mettre en œuvre une véritable démarche participative :

De nombreux bénévoles ont été impliqués tout au long du projet et sollicités en fonction de leurs savoirs, savoir-faire et savoir être.

-L’évènement suscite et contribue aux débats, aux dialogues et aux échanges :

Les différents supports ont été des espaces de rencontres et d’échanges, notamment par le biais des soirées conférences, des temps de débats avec les enfants.

-Le lien entre les différents acteurs s’effectue dans un esprit de partage, de solidarité, de respect et de tolérance :

Dans la mesure où les différents partenaires se sont inscrits dans la conception du projet, dès la phase d’élaboration ; les valeurs et les objectifs ont été énoncés et déclinés conjointement.

C’est bien la diversité des acteurs impliqués qui a fait la grande richesse de ce projet.

Avoir répondu à notre mission d’information, de sensibilisation :

La pluralité des actions engagées dans le cadre de ce projet a été un atout majeur pour toucher et sensibiliser dès le plus jeune âge les participants.

​Contenus éducatifs, culturels et artistiques

• Découverte du patrimoine écrit 

Quatre séances de deux heures à la médiathèque permettent aux jeunes de se familiariser avec l’histoire de l’écrit à travers la présentation et l’explication de documents originaux. Pendant ces séances, une place est laissée à la manipulation et à l’appropriation des techniques par les jeunes, et à un temps de réflexion avec l’artiste (dessin, réappropriation des contenus…). Les séances s’articulent autour de quatre thèmes, ayant pour point commun le dessin de la lettre et la lettre comme dessin, le geste, les styles, les techniques et les supports d’écriture. A partir des différents documents patrimoniaux présentés, les jeunes choisissent des pistes à explorer avec l’artiste ; ils prennent en photo les documents et peuvent revenir consulter des documents pour s’en inspirer dans leur processus créatif.

• Le dessin de la lettre : de l’écriture pictographique à l’écriture alphabétique

Evocation de la naissance de l’écriture, et des différents types d’écriture (pictogrammes, idéogrammes, phonogrammes, systèmes consonantiques et alphabétiques).

Documents originaux présentés : une tablette sumérienne en écriture cunéiforme ; un livre en chinois, un ouvrage de la Renaissance bilingue (grec ou hébreu), un manuscrit arabe.

Pendant la séance, les jeunes réalisent une « tablette sumérienne » (argile et calame) ; à la fin de la présentation, ils imaginent ou esquissent avec l’artiste des graffs inspirés de ce qu’ils ont vu.

• L’enluminure et la lettre au Moyen Age

Différence entre la cursive et l’écriture calligraphiée, lettre romaine et lettre gothique ; l’enluminure, la lettre ornée et la décoration du manuscrit médiéval.

Documents présentés : Bible portative du XIIIe siècle, livre d’heures du XVe siècle, manuscrit médiéval en écriture cursive.

Pendant la séance, les jeunes réalisent, à partir de modèles, une « enluminure » sur du parchemin, avec des pigments traditionnels ; ils réfléchissent avec l’artiste à une transposition en graffs de ce qu’ils ont vu.

• La typographie et les lettrines

L’invention de l’imprimerie et ses conséquences ; la gravure des caractères d’imprimerie ; différentes typographies (16è-20è s.); lettrines et lettres ornées dans les imprimés modernes et contemporains.

Documents présentés : un incunable, un imprimé rochelais du 16e siècle, exemples de lettrines et de polices de caractère dans différents imprimés, une affiche ancienne.

Pendant la séance, les jeunes manipulent des caractères d’imprimerie et visionnent un extrait de film sur la gravure de caractères à l’Imprimerie nationale ; ils réfléchissent avec l’artiste à une transposition en graffs de ce qu’ils ont vu.

• La signature, l’autographe, les marques d’appartenance

Documents présentés : visite de l’exposition en cours sur les manuscrits autographes (lettres manuscrites de rois et reines de France, dont certaines avec des sceaux, manuscrits de personnages historiques et de scientifiques) ; une reliure aux armes ; quelques ex-libris.

Les jeunes peuvent s’inspirer de ces différents signes et symboles pour inventer une signature à l’œuvre qu’ils réalisent.

• Découverte et pratique du graff

Traditionnellement le graff se pratique avec une bombe de peinture ou des marqueurs. L'objet d'un atelier de découvertes et de pratiques est de s'approprier les différents outils du graffeur tout en se familiarisant avec l'univers graff (vocabulaire, culture, technique, histoire). Le graff c'est d'abord du dessin mais c'est aussi une multitude de codes et de techniques « artisanales ». Il s'agit lors de ces ateliers de mettre à la disposition du projet collectif l'ensemble de ces éléments. L'écrit et le travail de la lettre étant au centre des problématiques de la culture graff, le lien se fera logiquement avec les éléments du patrimoine écrit présentés lors des visites.

• Communication autour du projet sur Internet

Les jeunes réaliseront tout au long du projet une page Facebook, leur permettant de mettre en ligne et commenter des photos des documents anciens qui les ont inspirés, et de présenter leur travail artistique en cours. Ils inciteront leurs proches à suivre cette page, qui sera par ailleurs relayée par la page Facebook jeunesse du Centre social (environ 300 abonnés) ainsi que son site Internet, les compte Facebook et Instagram de l’artiste (environ 300 abonnés), le site Internet des médiathèques de l’agglomération et le compte Facebook de la Communauté d’Agglomération de La Rochelle.

Afin de tenter de répondre à ces besoins, un comité de pilotage composé de 2 habitants, deux administrateurs et une professionnelle s’est constitué en mars 2015 pour travailler la démarche préalable à la création d’un service d’échange.

Un groupe de travail opérationnel de 13 personnes intéressées s’est formé et a travaillé tout au long de l’année 2015 et 2016 à la création de « Coup d’Pouce » qui a démarré début mai 2016.

Le rôle du Centre Socio-Culturel (CSC) est de permettre la mise en relation des offreurs et des demandeurs. L’adhésion au CSC n’est pas demandée pour faciliter une large participation.

La responsabilité de chaque participant est engagée. Une charte éthique et un règlement intérieur ont été rédigés.

Un groupe de pilotage a été constitué réunissant l'ensemble des partenaires concernés. Le groupe de pilotage se réunissait en moyenne une fois tous les deux mois.                      Plusieurs groupes de travail se sont constitués : Petite Enfance-Enfance / Jeunesse / Actions transversales.                                                                                                              

Les ressources mobilisées :  3 EHPAD de la commune, des habitants et adhérents du CSC, des associations locales, La maison des Jeunes, la médiathèque de Lagord, L'ACM du CSC. 

La première d’entre elles a été la visite du Repair Café de Niort en octobre 2016 qui a permis, de manière très concrète, de voir en détail le fonctionnement de ce type d’activité.

Puis, une invitation a été envoyée en décembre, via la presse, à tous les bricoleurs et couturières intéressés par ce projet, afin de venir rencontrer les bénévoles de l’origine. Près d’une vingtaine de personnes a répondu à cet appel et s’est déplacée pour l’occasion.

Sous l'impulsion d'un collectif d'habitants soucieux de réinvestir l'espace public, de premières initiatives ont été mises en oeuvre. Voyant ce travail, de nouveaux habitants sont venus essayer. Les partenaires financiers nous ont ensuitepermis de donner une impulsion supplémentaire au projet en agrandissant l'espace, en l'aménageant et en assurant un suivi hebdomadaire.

Constitution d'un groupe (ouvert), qui prépare tout au long de l'année, à arison au minima d'une réunion mensuelle, un séjour de 8 jours qui se déroule à la fin de l'été

Un premier groupe projet s'est saisi de ce projet. Une fois les premières réalisations faites, des ateliers réguliers ont été organisés tous les mercredis. Cette régularité a permis aux habitants de s'emparer pleinement du projet. Les voisins ont commencé à descendre des immeubles et à participer. Petit à petit des initiatives de plus grande envergure ont vu le jour : troc de graines, chasse aux oeuf, fête du jardin. Un collectif s'est constitué et maintenant une vingtaine de personnes se retrouvent tous les mercredis pour travailler la terre ou confectionner des décos ensemble. Les habitants arrosent tout au long de la semaine et s'approprient le jardin.

L'action est portée par un réseau d'actuers qui se retrouve 1 fois par mois en comité de pilotage restreint. Ce groupe organise des réunions plénières ouvertes à un plus large public (1 fois par trimestre=, des sessions de formation, des actions de sensibilisation à destination de tous, ...

Cinq réunions préparatoires ont été nécessaires entre juillet 2017 et avril 2018, date de l'évènement. En parallèle, des habitants ont rencontré d'autres habitants qui avaient une expérience dans l'organisation une gratiféria, mobilisé des partenaires selon les besoins ; par ex pour que le lieu soit agréable le jour J, pourquoi ne pas faire appel au talent de l'atelier d'insertion espaces verts de la communauté des communes ? D'autres ont contribué à la communication, etc. Le jour J, le groupe s'est étoffé et chacun avait sa fonction. La convivalité a été soignée, avec des espaces déjeuner pour les bénévoles ou un accueil personnalisé et une buvette pour les visiteurs. Un mois après la gratiféria, une évaluation partiicpative (avec l'abaque de régner) a été proposée. 

Mobilisation des différents acteurs locaux dè sle début de l'année, rassemblés au sein d'un comité de pilotage (qui s'est réuni à 4 reprises), maître d'oeuvre du projet.

Nous avons mobilisé des utilisateurs de la cuisine et leur avons demandé de travailler à un chantier des possibles. Des plans ont été réalisés, qui ont permis de solliciter une subvention auprès de la CAF. Manquaient 6 000 € que LA Maison Pop', qui devait faire face à la fin des contrats aidés, ne pouvait pas assumer seule. L'idée d'actions auto-financemeent est née ainsi, comme une alternative. Une première action a été imaginée : tenir une buvette pendant le free music, à tour de rôle, pour assurer les 35 h d'ouverture nécessaires. Le succès de cette première action et l'enthousiasme des participants a donné envie à d'autres de se mobiliser à l'occasion de la foire de Montendre pour y tenir un espace convivial (et y vendre crêpes, vin chaud, pop-corn, etc.) Forts de leurs recettes cumulées, les bénévoles ont alors passé le relais aux bricoleurs : un administrateur et deux habitants ont préparé la pièce, peint, aménagé l'espace. 

Cette action a démarré en 2015 et se poursuit car les besoins sont toujours là.

Un questionnaire avec un choix de thématiques repérées dans le cadre de conversations

est élaboré avec des parents et des professionnels. Par le biais des écoles, celui-ci est diffusé à chaque famille

qui va faire des choix en priorisant par ordre d'importance.

Au retour, les thématiques les plus nombreuses sont choisies. L'organisation de ces animations fait l'objet de 2 ou 3 réunions ; 

les intervenants (la plupart viennent bénévolement) sont contactés. Les animations se construisent sur des des communes différentes

selon la possibilité ou la volonté des écoles.

Un comité de pilotage des acteurs de la famille a été créé composé d'élus, de la CAF, SIVOM, PMI, AS, MSA, RAPE ; un diagnostice et une enquête auprès des parents ont été faits pour vérifier le besoin , d'autres LAEP ont été rencontrés, nous avons recherché des locaux adaptés dans le secteur qui nous intéressait, le projet a été écrit collégialement au fur et à mesure de nos réunions puis présenté à la CAF.

Sur les 2 premières années, nous étions 3 partenaires à accompagner la troupe dans son évolution : collectif artistiques l"Horizon" pour garantir leur représentation au festival, le centre social Espace Mosaïque dans l'accompagnement de la troupe pour son organisation et son développement avec l'appui de l'intervenant artistqiue (logistique, lieu de répétition, communication, démarche de projet, relation partenaires et élus, ....) et une association d'habitants pour la sauvegarde du patrimoine faisant le lien entre les habitants souhaitant rejoindre la troupe, la mise à disposition de matériel, la diffusion des informations et des outils de communication (plaquettes, affiches, ...) et la mobilisation de bénévoles pour le festival.

Depuis 1 an, la troupe musicial évolue vers une démarche d'action en dehors du festival. Ce groupe d'habitants a fait le choix de poursuivre son aventure tout en restant soutenu et accompagné par le centre social dans ses missions d'accompagnement de projet d'habitant et d'activités socioculturelles