Les actions des centres sociaux
Actions
Dîner Quizz
- Structure organisatrice
- Centre social Fumay Charnois Animation - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Chaque dîner quizz se déroule sur une séquence
Le Centre Social organise 2 à 3 dîner quizz par an.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Santé
- Résumé
Déroulement de la soirée :
La salle est formée par des petites tables de 5 à 6 personnes
Cette disposition permet de créer des minis débats sur chaque question.
Une table « Joker » est formée avec les professionnels référents de chacun des domaines de questions liés à la thématique retenue.
En début de soirée, chaque Joker aura un temps bref de présentation. Il sera aussi identifié par son nom, sa structure et son thème.
Le quizz est formé de 20 questions : les réponses sont à choix multiples
Les questions et les possibilités de réponses sont affichées sur un écran géant visible de tous. Elles sont lues par un animateur afin de ne pas mettre les personnes en difficulté vis-à-vis de la lecture et permet de « mettre le ton » pour une meilleure compréhension des questions et réponses.
Chaque table peut solliciter un joker (professionnel) pour deux questions au cours de la soirée. Le groupe doit cibler le bon joker. Si le ciblage est bon par rapport à la thématique de la question, le joker répond et la table gagne 2 points, sinon la réponse est donnée par le bon joker mais cela ne rapporte pas de point.
Au bout d’une minute de mini débat, chaque table doit avoir écrit la/les réponses sur son ardoise ou la sollicitation à un Joker.
Les bonnes réponses apparaissent sur l’écran ainsi que le nom du bon joker.
Les points sont comptabilisés sur un tableau.
Les professionnels expliquent les réponses et apportent des informations aux participants.
Les questions sont posées en 4 séries de 5 questions. A raison d’une minute de mini débat ainsi que du relevé des réponses et des apports des jokers, cela représente un temps d’environ 30 min par série. Entre chaque série, les participants se restaurent et font une pause. (d’où le nom de dîner quizz ou goûter quizz)
découpage de la soirée
18h30/19h00 : accueil des participants puis présentation des professionnels, accompagné d’un cocktail de bienvenue.
19h00/23h00 : 5 questions / entrée - 5 questions / plat – 5 questions / salade-fromage – 5 questions /dessert
23h00 … : Réponses à des questions de la salle, échanges informels avec les professionnels.
Soit une soirée de 3h environ pour le dîner quizz auquel s’ajoute un temps informel en fin de soirée.
A la fin de la soirée, les gagnants reçoivent des lots. Chaque groupe participant recevra une malette de prévention correspondant au thème abordé.
Selon le thème de la soirée, nous sollicitons des partenaires ou intervenants qui pourront répondre aux questions abordées et que nous appelons "Joker".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
A la demande d'un partenaire local, un dîner quizz thématique peut être mis en place en partenariat (collège et infirmière scolaire - planning familial ...)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Une action dîner quizz a pour objectif de :
- sensibiliser le public sur des questions de santé,ou autre, dans une ambiance ludique et conviviale.
- provoquer des minis débats entre les participants et les inciter à réfléchir sur le thème proposé.
- présenter des référents : santé, médico-social, juridique … qui sont ainsi connus des participants et peuvent être des relais futurs suivant les besoins.
-permettre des rencontres et ainsi croiser les regards et casser des représentations.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ARS
- CARSAT
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Les thèmes choisis répondent aux éléments de diagnostic soulevés par l’équipe d’animation.
Exemple : Le dîner quizz « Relations et vie affective » a été mis en place car les professionnels ont fait émerger les constats suivants : Nombre important de grossesses précoces - Conduites à risques dans le nom respect de soi et de l’autre dans les relations sexuelles - Difficulté, voire impossibilité d’aborder la sexualité en terme de prévention entre les parents et les enfants du quartier - Méconnaissance du corps, de la contraception, non respect de l’autre,tendance à une recherche du plaisir immédiat hors du partage -Importance de l’image media - Problème du respect de la loi, etc …
Les quizz sont préparés en concertation avec les professionnels présents sur l’action : choix d’environ 20 questions.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
rémunération d'intervenants éventuellement selon les besoins
partenariats gracieux selon les thèmes
partage des frais entre partenaires
achat alimentation et fournitures d'activités
animation et coordination par le personnel du centre Social
petite participation financière des usagers
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 à 6 professionnels du Centre Social
2 à 4 intervenants spécialisés
4 à 6 bénévoles habitants
- Résultat sur le territoire
le dîner quizz mobilise davantage sur un thème choisi qu'une réunion ou une conférence
- Résultat pour le centre social
bonne participation des habitants
outil d'animation facilitant l'approche d'un thème parfois difficile avec les habitants
développement de partenariats dynamiques
- Résultat pour les habitants
40 et 50 habitants participent à chaque dîner quizz
permet des rencontres intergénérationnelles et ainsi croiser des regards et casser des représentations.
permet de rencontrer des professionnels de la santé, du juridique, du médico-social pour "désacraliser" certaines fonctions ...
apprendre en s'amusant
- Suite de l'action : Limites
tout thème peut être abordé de façon ludique et collective :
Novembre 2013 :
« Relation et vie affective »Prévention sur les questions de sexualité
1
CONSEIL DEPARTEMENTAL:conseillère conjugale et familiale
Joker sanitaire et social
1
CIDFF : Centre d'Information sur les Droits des Femmes et des familles : juriste
Joker juridique
1
CDAG : Centre de Dépistage Anonyme et Gratuit : infirmière de l’Hôpital de Manchester à Charleville-Mézières
Joker sanitaire et social
1
conseillère conjugale et familiale (indépendante)
Joker psycho-social
1
Centre Social Fumay : Référente santé
Joker culturel et sémantique
avril 2014 :
« Manger / bouger »
1
Educatrice sportive EPMM
Joker « Bouger » : activités physiques
1
Diététicien nutritionniste
Joker « Manger » : nutrition
Octobre 2014 :
« Cyber-risques »
1
CIDFF : Centre d'Information sur les Droits des Femmes et des familles : juriste
Joker juridique
1
Maison des adolescents Charleville : psychologue
Joker psycho-social
1
Centre Social Fumay : coordonateurcyberbase
Joker Technique
- Suite de l'action : Perspectives
Autres exemples axés culture : février 2014 « Culture générale » - novembre 2014 « Les deux guerres »
reconduction en 2015 :
thème prévention routière
reprise du thème "relations et vie affective" en lien avec le collège classes de 3ème
Actions
VET'YVOIS boutique solidaire
- Structure organisatrice
- Centre social Escal en Yvois - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
ESCAL en YVOIS accompagne une equipe de bénévoles
pour faire vivre un espace ouvert deux fois par semaines
ou des vêtements à tarif solidaires sont proposés à la vente du public.
Le stock ( de la petite enfance à l'adulte (habits chaussons accessoires) est alimenté par des dons ( matériel en bel état et propre).
L'équipe tri , lave , répare repasse et met en valeur les affaires au "magasin solidaire".
La fierté de servir combiné à l'utilité sociale (lutte contre la paupérisation) visible et immédiate nous a permis de regrouper et de finaliser ce beau projet entièrement piloter par une équipe de six bénévoles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
lutter contre la paupérisation
être solidiare et participer au recyclage
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
groupes de travail.
réunion municipale pour accord de travaux et autorisation d'action.
Réalisation de travaux d'aménagement.
com et ouverture.
partenariat pour le déstockage
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4000 € annuels
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
huit
- Résultat sur le territoire
nouveau service à la pomulation locale
- Résultat pour le centre social
reconnaissance de la capacité à agir
et à concêtiser une action au service d'un besoin identifié
- Résultat pour les habitants
nouveau service utile solidaire
- Suite de l'action : Limites
impossible à l'heure actuelle de développer( espace totalement utilisé)
- Suite de l'action : Perspectives
réflexion pour un projet d'épicerie sociale
Actions
Médiation sociale et culturelle de proximité
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Aider et accompagner les personnes dans leurs démarches, être une interface entre les individus et les institutions, entre les institutions elles-mêmes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Ainsi, une majorité de français (60%) interrogés sur les valeurs républicaines, 5 indiquent qu’en France, il y a de moins en moins de fraternité et l’expliquent par les conditions de vie difficiles qui amènent les gens à se replier sur eux-mêmes (47%), par la crise économique qui rend les gens moins solidaires et plus individualistes (46%).
De même, l’enquête « Conditions de vie et aspirations des français » menée par le Credoc met en évidence, de manière régulière, l’attente en termes d’équipements et de services en matière de politique familiale : une forte majorité de la population (67% en 2010) continue à considérer préférable, pour mieux aider les familles, de leur distribuer des aides sous forme d’équipements et de services plutôt que des prestations monétaires. Depuis 1998, cette préconisation reste largement majoritaire dans la population et fluctue entre 62 et 70%.
C’est pourquoi l’animation de la vie sociale constitue une réponse pertinente et adaptée car son action se fonde sur une démarche globale pour répondre aux problématiques sociales collectives d’un territoire, aux besoins des habitants et aux difficultés de la vie quotidienne des familles.
Source :
(Extrait de la circulaire 2012 CAF).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux
- Créer, développer ou favoriser le lien social.
- Prévenir et réguler des conflits en facilitant la mise en lien entre les personnes et les institutions et services publics.
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Accueillir, écouter, orienter, faciliter le dialogue et la communication.
- Aider et accompagner les personnes dans leurs démarches, être une interface entre les individus et les institutions, entre les institutions elles-mêmes.
- Réguler les tensions, les conflits entre individus, entre individus et institutions et contribuer à améliorer ou à préserver le cadre de vie.
- Susciter des projets, organiser et prendre en charge des activités permettant de créer du lien social.
- Animer et contribuer à renforcer la vie sociale et associative de proximité et s’inscrire dans des partenariats sur un territoire.
Résultats attendus de l’action :
- Une contribution active à la cohésion sociale et à la tranquillité publique.
- Le renforcement de l'implication des autres professionnels de proximité pour une coopération.
- L’augmentation de la fréquentation des équipements ou des services dans la ville de Sedan.
- La réduction des délais d'intervention ou de prise en charge de certains problèmes.
- Le signalement et la prise en compte de personnes en difficulté, avec une régularisation de droits.
- La réduction du nombre de réclamations des usagers et la baisse des plaintes ou procédures contentieuses.
- La diminution des conflits enseignants-parents d’élèves et la réduction de l’absentéisme scolaire.
- L’amélioration du cadre de vie, la responsabilisation accrue des usagers.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Les médiateurs culturels viseront à développer l’autonomie des personnes par une fonction d’interface entre les populations et les institutions, autour d’un objectif principal concernant l’accès aux droits et leur reconnaissance, pour des populations en difficulté d’insertion sociale et culturelle.
Ils amélioreront le dialogue et participeront au renforcement des liens entre l’institution scolaire, les élèves et leur famille. Ils réguleront les conflits, préviendront l’absentéisme et contribueront à améliorer la réussite éducative. Ils fluidifieront une démarche d’information et de prévention, de médiation entre les personnes et les praticiens de la santé, visant à améliorer l’accès aux soins des personnes en difficulté d’insertion sociale et culturelle.
Les médiateurs culturels, en rapport avec les services publics par une démarche d’écoute, d’information et d’accompagnement, viseront à faciliter l’accès aux services publics des personnes éprouvant des difficultés à bien les utiliser pour des raisons liées un niveau modeste d’instruction, à une mauvaise maîtrise de la langue française ou à des difficultés économiques et sociales.
Ils seront conduits à travailler avec de nombreux partenaires, que cela soit en amont ou en aval de leurs interventions, ce qui témoignera, à la fois, de leur reconnaissance par les différents métiers de l’humain et de l’importance des passages de relais pour une prise en charge adaptée des publics et des situations.
Dans le quartier du lac, les travailleurs sociaux (assistants de service social, mais également éducateurs spécialisés, voire conseillers en économie sociale et familiale) constitueront les principaux partenaires des médiateurs sociaux, suivis des personnels de l’Education Nationale, des services municipaux, des bailleurs sociaux, des éducateurs spécialisés, des coordonnateurs de conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance, des services sanitaires ou encore d’associations locales.
Moyens mis en œuvre :
Trois animateurs socioculturels interviendront sur le territoire d’intervention du Centre Social Le Lac à raison de trente-cinq heures par semaine. Ils auront un statut d’adulte-relais.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 adultes relais -
- Résultat sur le territoire
- Susciter des projets, organiser et prendre en charge des activités permettant de créer du lien social.
- Animer et contribuer à renforcer la vie sociale et associative de proximité et s’inscrire dans des partenariats sur un territoire.
- Résultat pour le centre social
- Accueillir, écouter, orienter, faciliter le dialogue et la communication.
- Aider et accompagner les personnes dans leurs démarches, être une interface entre les individus et les institutions, entre les institutions elles-mêmes.
- Résultat pour les habitants
- Réguler les tensions, les conflits entre individus, entre individus et institutions et contribuer à améliorer ou à préserver le cadre de vie.
- Suite de l'action : Limites
En raison des conditions de vie difficiles les habitants auraient tendance à se replier sur eux-mêmes et les conduire à plus d'individualisme. Il est extrêmement difficile de les mobiliser pour des actions d'intérêt général et collectives.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer l'implication des professionnels de l'action sociale pour une plus grande coopération.
Actions
A la conquête du monde des adonaissants
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
- Accompagner les jeunes dans une démarche de projet, les aider à entreprendre. Renforcer le lien social entre les jeunes, les familles, les associations pour plus de mixité sociale et intergénérationnelle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
De nombreux jeunes n’ont pu être accueillis, tout au long de l’année, en raison de l’insuffisance de salariés sur ce secteur.
La fermeture de l’Accueil jeune au mois d’août laisse les jeunes du quartier désœuvrés.
La réalité du terrain « urgence des situations », absence de personnel médico-social ou difficulté à les joindre, nous a amenés, souvent, à nous substituer aux autres professionnels.
Afin de répondre à toutes les sollicitations, il serait souhaitable de créer des postes supplémentaires pour accompagner l’animateur de l’Accueil Jeune dans son action.
Des moyens financiers supplémentaires permettraient l’intervention d’intervenants spécialisés dans divers domaines (santé, prévention, délinquance…).
Une équipe plus étoffée permettrait l’organisation de séjours collectifs qui sont des outils pédagogiques essentiels pour développer la vie en collectivité, le respect de l’autre, la coopération autour d’un projet commun.
Le retard scolaire est, au collège, plus fréquent pour les élèves résidant en ZUS que pour les collégiens résidant en unités urbaines englobantes. Enfin, les établissements ayant une plus forte part d’élèves de ZUS enregistrent des résultats, en moyenne, plus faibles aux examens, et ce, même en prenant en compte les spécificités liées à l’environnement social des établissements (à l’exception notable des filières S et ES).
Source :
(Rapport ONZUS 2013)
Le collège le lac bénéficie, en 2014, d’un Réseau d’Education Prioritaire Renforcé.
Source :
Site de l’Education Nationale,
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Encourager l’apprentissage et l’exercice de la citoyenneté chez les jeunes.
- Favoriser l’égalité entre les filles et les garçons.
- Accompagner les jeunes dans une démarche de projet, les aider à entreprendre. Renforcer le lien social entre les jeunes, les familles, les associations pour plus de mixité sociale et intergénérationnelle.
- Définir un programme d’éducation à la santé et à la citoyenneté : éducation nutritionnelle, éducation à la sexualité, prévention des conduites addictives…
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Élaborer, avec les jeunes, des projets culturels, sportifs, des projets de départ en vacances, de loisirs.
- Aider les jeunes par l’acquisition des méthodes et approches susceptibles de faciliter la réalisation de leur travail scolaire, dans le cadre des CLAS.
- Apporter un soutien aux parents de jeunes en difficulté.
- Suivre la santé des adolescents.
- Organiser des actions de prévention (bilan de santé…).
- Faire la promotion de l'activité physique pour lutter contre la sédentarité.
- Leur faire acquérir des connaissances et développer leur esprit critique.
- Les rendre capables de faire des choix responsables et d’être autonomes.
Résultats attendus de l’action :
- Créer une junior association.
- Acquisition d’une culture de l’égalité entre les sexes, du respect et de l’égalité entre les filles et les garçons.
- Imaginer des dérivatifs pédagogiques pour sortir des activités de consommation.
- Utiliser les activités de consommation dans le cadre d’une pédagogie du détournement pour favoriser l’engagement citoyen et l’intérêt général.
- Inciter les parents à jouer leur rôle d’éducateurs, relais de l’éducation citoyenne.
- Prise de conscience des familles de leurs responsabilités éducatives.
- Valorisation de leurs compétences parentales.
- Promouvoir la participation et inciter les jeunes à participer aux débats parents/jeunes.
- Implication encore plus importante des jeunes dans l’organisation de leurs activités.
- Validation de la définition de la parentalité avec l’ensemble des Co-éducateurs, à savoir « un ensemble de savoir-être et de savoir-faire qui se décline au fil des situations quotidiennes, en différentes postures, paroles, actes et plaisirs, en reconnaissance des adolescents, mais aussi en autorité, en exigence et en continuité ».
- Amélioration des résultats scolaires.
- Regard positif des adolescents et des parents sur le système scolaire.
- Coopération entre tous les Co-éducateurs (parents, enseignants, salariés du centre social…).
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Créer un lieu de vie, de référence et de repère, de rencontres, de convivialité, de convergence et de rayonnement de l’information, un lieu d’apprentissage, de confrontations, de reconnaissance et de valorisation.
Assurer un rôle de référent, de lien en permanence, pendant les activités, dans leur préparation, sur les trajets, en dehors du temps scolaire, ouvrir les portes de la citoyenneté en permanence.
Au-delà de la visée occupationnelle, l’ensemble des activités mises en place par les animateurs référents « jeunes » visera à construire l’identité de jeunes de 11 à 17 ans. Par cette action qui s’inscrit sur le long terme, ils ne chercheront pas à imposer, mais favoriser l’éducation à la citoyenneté et amener les jeunes du quartier à vivre l’adolescence afin de faciliter le processus d’intégration et d’insertion. La mission « accueil orientation » fera des animateurs permanents, dans les locaux du Centre Social Le Lac, un lien de référence et de repères, un lieu de vie, de rencontres, de convivialité, de convergences et de rayonnement de l’information.
Les activités éducatives qu’ils mettront en œuvre favoriseront les relations jeunes et adultes. Elles seront pensées et conçues comme une fonction d’animation qui consiste à recevoir les jeunes et à les associer à la vie du centre, à la vie sociale, pour devenir un espace d’initiative et de soutien aux initiatives.
Les activités serviront de support à l’action éducative. Les projets seront lisibles et explicites et particulièrement sur les intentions éducatives et pas uniquement sur les moyens. Les activités seront l’occasion, dans leur menée, d’un dialogue, d’une négociation entre les publics et les animateurs, sur des bases adaptées aux pratiques et compétences des publics.
La nouvelle maison de quartier :
- Avoir des locaux réservés uniquement à l’Accueil Jeune.
- Avoir une superficie suffisante en fonction des activités et des publics accueillis. Avoir les types de locaux nécessaires pour le fonctionnement de la structure (locaux pour l’accueil du public, locaux techniques, administratifs, sanitaires…).
- Avoir des locaux clairs, insonorisés, isolés, aérés…
- Respecter les règles de sécurité et d’hygiène.
- Aménager les espaces ouverts au public en fonction des âges, des types d’activités et des services offerts.
- Avoir du mobilier modulable et fonctionnel, adapté aux différents publics, aux jeux, aux activités.
- Avoir des locaux attrayants (couleurs, éléments décoratifs, esthétique du mobilier, propre, rangé…).
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les parents, les jeunes. Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans la future maison de quartier.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de l’Accueil Jeune.
Les moyens mis en œuvre :
Trois animateurs socioculturels mettront en œuvre le projet pédagogique agréé par la DDCSPP, chaque année, après évaluation. Leurs stratégies professionnelles seront basées sur le dialogue, l’écoute, le respect, la valorisation du public. Ils œuvreront pour le bien de tous, en donnant à chacun les armes d’une autonomie et d’une liberté future.
Ils seront garants des activités, facilitateurs, régulateurs. Au niveau des contenus, ils annonceront les objectifs, structureront les activités, inciteront à l’engagement.
Ils seront la mémoire du groupe et ceux qui synthétisent. En termes de procédure, ils faciliteront les échanges, cadreront et réguleront les interventions.
Ils rappelleront les contrats de fonctionnement et organiseront matériellement les moments de rencontres (temps, espace, matériel).
Enfin, ils réguleront les tensions, favoriseront les relations.
Ils travailleront en étroite collaboration avec le coordinateur des Contrats Locaux d’Accompagnement à la Scolarité, la responsable de l’Animation Collective Famille.
Ils participeront à des formations, très régulièrement, organisées en interne ou par des organismes extérieurs, sur les thématiques suivantes :
- Comment réagir face aux comportements à risque, aux transgressions de l’interdit ?
- Quelles activités proposer aux adolescents ?
- La légitimité de l’animateur.
- Les adolescents et la sexualité.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 salariés - 10 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Encourager l’apprentissage et l’exercice de la citoyenneté chez les jeunes.
- Résultat pour le centre social
Mettre en place des projets éucatifs pour les adolescents en prenant en compte une démarche de coéducation où les parents seront de véritables partenaires.
- Résultat pour les habitants
Créer un lieu de vie, de référence et de repère, de rencontres, de convivialité, de convergence et de rayonnement de l’information, un lieu d’apprentissage, de confrontations, de reconnaissance et de valorisation.
- Suite de l'action : Limites
Difficultés à sortir les jeunes d'une démarche consumériste. Difficultés à impliquer les parents dans une démarche éducative complémentaire de celle mise en oeuvre par les animateurs de l'Accueil de Jeunes.
- Suite de l'action : Perspectives
Améliorer les taux de fréquentation de l'Accueil de Jeunes dans toutes les tranches d'âge.
Actions
Accès à la santé
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Santé
- Résumé
- Élaborer des programmes de santé adaptés au niveau local avec la participation des habitants.
- Réduire les inégalités sociales et territoriales en matière de santé en s’appuyant sur une dynamique partenariale.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Ce sont souvent les mêmes populations, les moins favorisées (faibles revenus, peu diplômés) qui cumulent les expositions aux différents facteurs de risque pour la santé, que ce soit dans l’environnement professionnel (exposition au travail physiquement pénible, au travail de nuit, aux produits toxiques, etc...) ou dans l’environnement familial (pollutions affectant le logement comme le bruit, la mauvaise qualité de l’air ou de l’eau, etc...). Ce sont elles aussi qui ont le plus souvent les comportements défavorables à la santé (notamment en matière de nutrition, d’activité physique, de prévention, etc...). Les inégalités s’inscrivent dès le plus jeune âge : les enfants d’ouvriers, de même que les enfants scolarisés en Zone d’Education Prioritaire (ZEP)
Sources :
En termes de mortalité prématurée, la situation de la France n’est pas bonne (décès liés à tabac, alcool, accidents, suicides)
Livre des plans de santé publique (www.santé.gouv.fr)
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Élaborer des programmes de santé adaptés au niveau local avec la participation des habitants.
- Réduire les inégalités sociales et territoriales en matière de santé en s’appuyant sur une dynamique partenariale.
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Éviter la survenue des maladies en diminuant les facteurs de risque.
- Améliorer le pronostic vital et fonctionnel en dépistant et en traitant précocement les maladies.
- Eviter les rechutes, complications ou séquelles liées à la maladie.
- Améliorer les comportements alimentaires, l’activité physique, l’hygiène de vie.
- Prévenir le surpoids et l’obésité.
- Lutter contre les addictions (tabac, alcool, drogues, jeux vidéo, association de médicaments).
- Prévention et sensibilisation aux accidents de la vie courante.
- Former un groupe de jeunes et d’adultes à la création d’outils d’informations pour sensibiliser un large public à la prévention des conduites addictives.
- Mise en place d’accompagnants santé chargés d’orienter et d’accompagner les publics précaires au bilan de santé.
- Organisation de conférences, de séances d’informations sur la santé et les dépistages, avec des professionnels de santé, pour les habitants de Sedan.
- Animer des ateliers pratiques pour découvrir une alimentation équilibrée et favoriser la consommation de fruits et légumes.
- Permettre aux participants de découvrir différentes pratiques sportives et d’avoir une activité de bien-être permanente.
- Apporter des méthodes pour la gestion d’un budget.
- Créer des outils de comparaison, rapport qualité et prix pour les achats alimentaires.
- Créer des outils avec les parents d’élèves des écoles du quartier du Lac pour diffuser des messages de prévention et d’information sur le sommeil et l’hygiène de vie des enfants.
- Former des adolescents et des habitants aux messages de prévention autour des conduites addictives.
- En transversalité avec l’équipe du secteur adolescent du Centre Social Le Lac, les jeunes, mis en situation d’acteurs, réaliseront un clip vidéo. Cet outil aura un impact supplémentaire, tout en valorisant les jeunes.
- Permettre au public accueilli de visualiser concrètement les dangers domestiques vécus par les jeunes enfants, pour mieux les prévenir.
- Permettre aux jeunes enfants, au travers d’un outil ludique, interactif et adapté à leur âge, de prendre conscience des dangers de la maison de façon concrète.
- Renforcement de la politique de dépistage des cancers du sein et du côlon.
- Faire connaitre les structures de dépistage auprès des publics en difficulté.
- Développer une politique d’information, via les Ateliers Santé Ville, pour associer les partenaires sociaux, médicaux et de l’éducation.
- Développer le dépistage organisé (du sein et du colon) en termes de taux de participation : pour le dépistage du cancer du sein, passer de 60 à 70 % de participantes et pour le dépistage du cancer du côlon, de 50 à 60 % pour les personnes de plus de 50 ans.
- Créer des outils pour diffuser l’information à un large public.
- Organiser des conférences avec la Société Ardennaise de Cancérologie pour sensibiliser et inciter les jeunes à diffuser l’information auprès de leur entourage, pour les inciter à une bonne hygiène de vie pour réduire les risques de la maladie et pour leur donner les moyens de mieux comprendre et mieux gérer la maladie de leurs proches.
- Organiser des débats interactifs pour la population concernée et ainsi permettre de mieux comprendre les enjeux, la démarche et briser les tabous.
Adapter les discours en fonction des thématiques, des cultures, des demandes, des besoins et ainsi parler de la maladie librement et sans a priori.
Résultats attendus de l’action :
- Un diagnostic local de l’état de santé portant sur les publics en difficulté ou en situation de précarité.
- Une programmation locale de santé qui doit permettre une organisation cohérente d’actions, autour d’objectifs définis pour une période donnée.
- Création d’un comité de pilotage, comité technique, groupes de travail, interfaces entre partenaires et projets.
- Création d’une procédure précise d’évaluation comportant un volet qualitatif et quantitatif.
- Une prise de conscience des dangers domestiques de la part des adultes qui leur permettra de prévenir des dangers et de réaménager leur intérieur.
- Une réponse aux questionnements des parents sur l’attitude de leurs enfants.
- Une prise de conscience des enfants pour limiter leurs gestes dans la prise de risques et la compréhension des conséquences de leurs actes.
- Au travers d’une mobilisation avec nos partenaires, permettre une information de connaissance des structures de dépistage, de la maladie et des modalités d’accès aux soins, pour un large public.
- Permettre une prise de conscience des publics et une augmentation des dépistages organisés.
- Tout au long des quatre années de l’action, les partenaires évalueront, rectifieront et adapteront. Selon ces différentes analyses, un bilan commun sera réalisé dans l’objectif de continuer cette campagne au long cours.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Association nationale
- Caf
- CARSAT
- Commune
- Conseil départemental
- CPAM
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Moyens mis en œuvre :
- L’ensemble des salariés du centre social travaillera en transversalité sur cette thématique.
- Relancer les Ateliers Santé Ville pour permettre une organisation cohérente d’actions au bénéfice des publics en difficulté et en situation de précarité.
- Identifier, au niveau local, les besoins spécifiques des publics en difficulté et le déterminant de l’état de santé liés aux conditions de vie.
- Mobilisation de différents intervenants internes et externes par la relance et le soutien à des réseaux médico-sociaux.
- Diversifier les moyens d’intervention en fonction de l’analyse des besoins.
- Rendre effectif l’accès aux services publics sanitaires et sociaux de droit commun.
- Développer la participation de la population à toutes les phases des programmes (diagnostic, définition des priorités, des programmations, mise en œuvre et évaluation).
- Développer la concertation avec les professionnels et les différentes institutions du secteur sanitaire et social concernées par ces programmes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 salariés - 20 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Améliorer les comportements alimentaires, l’activité physique, l’hygiène de vie.
- Prévenir le surpoids et l’obésité.
- Lutter contre les addictions (tabac, alcool, drogues, jeux vidéo, association de médicaments).
- Développer une politique d’information, pour associer les partenaires sociaux, médicaux et de l’éducation.
- Résultat pour le centre social
- Relancer les Ateliers Santé Ville pour permettre une organisation cohérente d’actions au bénéfice des publics en difficulté et en situation de précarité.
- Mobilisation de différents intervenants internes et externes par la relance et le soutien à des réseaux médico-sociaux.
- Développer la concertation avec les professionnels et les différentes institutions du secteur sanitaire et social concernées par ces programmes.
- Résultat pour les habitants
- Améliorer le pronostic vital et fonctionnel en dépistant et en traitant précocement les maladies.
- Suite de l'action : Limites
Difficultés à mobiliser l'ensemble des partenaires dans le cadre du dispositif Ateliers Santé Ville
- Suite de l'action : Perspectives
Créer une dynamique autour des problématiques de la santé à travers la mise en oeuvre d'actions collectives (Forum santé...)
Actions
Mobiliser contre l'isolement social des personnes âgées
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Résumé
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
En 2013, un Français sur quatre de plus de 18 ans se trouve dans une situation le rendant potentiellement exposé, en cas de rupture, à l’isolement social. 5 millions de personnes de plus de 18 ans sont effectivement seules, soit 12 % des personnes, plaçant la France parmi les trois pays d’Europe les plus touchés par l’isolement relationnel. Cette précarité relationnelle est fortement ressentie. Deux tiers des Français considèrent que l’isolement et la solitude se sont aggravés et 7 Français sur 10 reprochent à la puissance publique de ne pas être suffisamment mobilisés sur cette question et considèrent que seules les associations et fondations sont mobilisées contre l’isolement. Pour les Français, ce qui contribue à améliorer la cohésion sociale est autant de l’ordre de l’engagement des citoyens que de la solidarité nationale.
La population des personnes en situation d’isolement relationnel est composée pour un quart (23 %) de personnes âgées de plus de 75 ans, soit environ 1,2 million de personnes. La part de personnes âgées isolées augmente de façon aiguë.
Sources :
(Extrait du rapport de Synthèse du rapport Monalisa).
(INSEE, statistiques Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Mieux « vivre et faire société ensemble », entre les générations.
- Mobiliser contre l’isolement social des personnes âgées.
- Encourager la participation des citoyens et des acteurs locaux volontaires pour développer la création de lien social avec les personnes fragilisées.
- Appeler à la solidarité entre citoyens contre l’isolement des âgés.
- Constituer un catalyseur permettant de renouer les liens de voisinage et de proximité, indispensable à la cohésion sociale.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
Résultats attendus de l’action :
- Construire une vision partagée des besoins, des moyens disponibles, des actions prioritaires à entreprendre, des résultats des actions entreprises et des correctives à envisager.
- Partager un diagnostic territorial, des besoins et des potentiels en veillant à consolider le lien partenarial.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- CARSAT
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Points de référence :
En 2013, un Français sur quatre de plus de 18 ans se trouve dans une situation le rendant potentiellement exposé, en cas de rupture, à l’isolement social. 5 millions de personnes de plus de 18 ans sont effectivement seules, soit 12 % des personnes, plaçant la France parmi les trois pays d’Europe les plus touchés par l’isolement relationnel. Cette précarité relationnelle est fortement ressentie. Deux tiers des Français considèrent que l’isolement et la solitude se sont aggravés et 7 Français sur 10 reprochent à la puissance publique de ne pas être suffisamment mobilisés sur cette question et considèrent que seules les associations et fondations sont mobilisées contre l’isolement. Pour les Français, ce qui contribue à améliorer la cohésion sociale est autant de l’ordre de l’engagement des citoyens que de la solidarité nationale.
La population des personnes en situation d’isolement relationnel est composée pour un quart (23 %) de personnes âgées de plus de 75 ans, soit environ 1,2 million de personnes. La part de personnes âgées isolées augmente de façon aiguë.
Sources :
(Extrait du rapport de Synthèse du rapport Monalisa).
(INSEE, statistiques Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Mieux « vivre et faire société ensemble », entre les générations.
- Mobiliser contre l’isolement social des personnes âgées.
- Encourager la participation des citoyens et des acteurs locaux volontaires pour développer la création de lien social avec les personnes fragilisées.
- Appeler à la solidarité entre citoyens contre l’isolement des âgés.
- Constituer un catalyseur permettant de renouer les liens de voisinage et de proximité, indispensable à la cohésion sociale.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
Résultats attendus de l’action :
- Construire une vision partagée des besoins, des moyens disponibles, des actions prioritaires à entreprendre, des résultats des actions entreprises et des correctives à envisager.
- Partager un diagnostic territorial, des besoins et des potentiels en veillant à consolider le lien partenarial.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié - 3 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Résultat pour le centre social
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
- Résultat pour les habitants
Le centre social deviendra un lieu de rencontres et de lien social. Il pourra devenir un café social. Des animations pourront y être organisées (accès à la culture, sortie, fête, repas, chorale intergénérationnelle,…)
- Suite de l'action : Limites
Cette action est actuellement mise en oeuvre essentiellement par le Directeur. Elle nécessitera des moyens budgétaires supplémentaires afin de recruter un salarié (service civique qui animerait des équipes de bénévoles).
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer le partenariat avec le pôle sénior de la Ville et les services du Département.
Actions
Lieu d'accueil parents/enfants
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Créer un lieu d’accueil enfants-parents pour conforter la relation parents-enfants en valorisant le rôle et les compétences des parents.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Il n’existe pas, sur le quartier du Lac, de structure qui accueille des enfants de 0 à 3 ans. La crèche municipale accueille exclusivement des enfants dont les représentants légaux habitent Sedan ou les alentours et qui ont une activité professionnelle. Le manque de structure, l’absence de lieu de rencontres et d’échanges engendrent un isolement, au quotidien, des parents ou grands-parents gardant les enfants et des professionnels de la petite enfance.
Sources :
(Extrait du diagnostic contrat de projet 2010-2014)
(Statistiques Caisse d’Allocations Familiales).
Objectifs stratégiques :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
Soutenir les parents dans leur rôle éducatif en utilisant le dispositif « REAAP », contrôlé et animé par la Caisse d’Allocations Familiales, afin d’améliorer l’accueil des personnes, des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
Créer un lieu d’accueil enfants-parents pour conforter la relation parents-enfants en valorisant le rôle et les compétences des parents.
- Il prendra en compte la diversité des structures familiales, les formes d’exercice de la fonction parentale et la reconnaissance de la place de chacun des parents en tant qu’éducateur de son enfant.
- Il favorisera le développement et l’autonomie de l’enfant en permettant la mise en évidence de ses compétences. L’enfant pourra, en sécurité, y faire l’expérience de la séparation et se confronter aux règles et aux limites, se préparant ainsi à l’entrée dans la vie sociale.
- Lieu « tiers intermédiaire » permettant aux enfants une socialisation et le passage d’un monde encore familial, à un monde déjà social. Il constituera, à travers rencontres et séparations, une expérience fondamentale pour les enfants et leurs parents.
- Il sera un lieu de prévention de l’isolement social et d’élaboration de nouvelles solidarités.
- Il sera un lieu de prévention précoce des troubles de la relation enfants-parents.
- Il contribuera à prévenir des situations de négligence ou de violence, en dehors de toute visée thérapeutique ou injonction éducative.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Accueillir des enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable, dans un lieu adapté.
- Accepter la participation des adultes, basée sur le volontariat et le respect de l’anonymat ou, au minimum, la confidentialité.
- Mettre en avant l’absence de visée thérapeutique, tant à l’égard des enfants que des familles.
- Garantir la présence, à chaque séance, d’au moins deux accueillants, formés à l’écoute et supervisés régulièrement par un professionnel compétent.
Un lieu d’accueil enfants-parents dans le Pôle Enfance :
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux réservés uniquement au Lieu d’Accueil Enfants/Parents qui disposeront d’un espace extérieur de jeu.
- Les dirigeants et les salariés proposeront une superficie suffisante en fonction des activités et des publics accueillis.
- Les dirigeants et les salariés proposeront les types de locaux nécessaires pour le fonctionnement de la structure (locaux pour l’accueil du public, locaux techniques, administratifs, sanitaires…).
Les dirigeants et les salariés faciliteront l’accès du Lieu d’Accueil Parents/Enfants aux publics : proximité des lieux d’habitation, transports en commun, parking…
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux accessibles à tous (fauteuils roulants, landaus, etc…).
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux clairs, insonorisés, isolés, aérés…
- Les dirigeants, les salariés, les usagers respecteront les règles de sécurité et d’hygiène.
- Les dirigeants et les salariés aménageront les espaces ouverts au public en fonction des âges, des types d’activités et des services offerts.
- Les dirigeants et les salariés proposeront du mobilier modulable et fonctionnel, adapté aux différents publics, aux jeux, aux activités.
- Les dirigeants, les salariés, les usagers proposeront des locaux attrayants (couleurs, éléments décoratifs, esthétique du mobilier, propres, rangés …).
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents, la Ville de Sedan, le Conseil Général, la Caisse d’Allocations Familiales… Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans le futur Pôle Enfance.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement du Lieu d’Accueil Parents/Enfants.
Résultats attendus de l’action :
- Prise en compte du besoin des familles.
- Mobiliser des acteurs autour d’un projet de la petite enfance.
- Établir un projet partenarial durable.
- Inscription du LAEP dans le cadre du contrat enfance.
Public ciblé :
Enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable.
Le public de parents accueillis ne sera pas un public spécifique : tous les parents seront invités à participer au Lieu d’Accueil Parents/Enfants. La question de l’accueil de parents ne résidant pas sur le territoire d’implantation du Lieu d’Accueil Parents/Enfants pourra se poser. Cette question devra être débattue au sein du comité de pilotage afin de définir une position sur la priorité des publics accueillis. La question de l’âge limite des enfants accueillis sera à aborder également : 3 ans, 4 ans ou 6 ans. La présence des futurs parents, des grands-parents, assistantes maternelles dans le Lieu d’Accueil Parents/Enfants devra être également précisée.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
La construction d’un projet et sa formalisation demande un temps de maturation. Il sera primordial d’inscrire le projet dans la réalité du territoire. Son élaboration devra être effectuée en partenariat avec les acteurs locaux, et par étapes.
Le diagnostic devra s’inscrire dans un travail avec les acteurs locaux issus de fonctions et d’institutions différentes : enseignants des écoles maternelles, équipements petite enfance, accueils de loisirs, élus, professionnels de santé et libéraux (médecins, sages-femmes), associations, conseillers de territoire (Caisse d’Allocations Familiales), responsables des Maisons départementales de la Solidarité …
La supervision sera indispensable, elle sera obligatoire dans le cadre d’un projet Lieu d’Accueil Parents/Enfants. Il s’agira, pour l’équipe d’accueillants, avec l’aide d’une personne extérieure, d’exprimer sa pratique, ses ressentis, afin de trouver la bonne distance vis-à-vis des accueillis et des autres accueillants. Elle facilitera la mise en parole des situations d’accueil et permettra de donner sens aux attitudes d’accueil.
La supervision sera assurée par un professionnel extérieur à l’équipe ayant une formation à la psychologie ou à la psychanalyse. Une attention devra être apportée à la qualification et l’expérience lors du choix.
Les accueillants veilleront, au préalable, à préciser leurs attentes. La supervision n’aura pas de visée thérapeutique et il ne s’agira pas de faire des études de cas. Elle favorisera la cohésion de l’équipe d’accueillants.
La bonne adéquation relationnelle entre le superviseur et les accueillants sera nécessaire pour que puisse s’installer un véritable climat de confiance.
L’équipe fera proposition du cadre et des modalités de mise en œuvre de la supervision à un comité de pilotage, pour validation.
Un comité de pilotage sera créé afin d’établir la rédaction d’un règlement de fonctionnement spécifique, l’élaboration d’une charte des accueillants. Une convention de partenariat sera proposée aux partenaires (Ville de Sedan, Caisse d’Allocations Familiales, Conseil Général…).
Le choix des jours et horaires d’ouverture sera important. Ces choix pourront avoir une incidence non négligeable sur la fréquentation et la mixité des publics accueillis. Le choix devra tenir compte des besoins exprimés par les parents, de la complémentarité avec d’autres structures d’accueil du territoire et de la disponibilité des accueillants et du lieu.
Dans la philosophie des Lieu d’Accueil Parents/Enfants, une contribution minime pourra être demandée aux familles, mais elle ne sera pas obligatoire. Le montant demandé devra rester raisonnable et ne pas être un critère d’empêchement. Cette question devra être débattue par le comité de pilotage.
Les modalités de fonctionnement du lieu devront être exprimées aux familles (sensibilisation des adultes accompagnants sur leur responsabilité pendant le temps d’accueil, respect des conditions d’accès au lieu, respect des règles de vie). Pour ces raisons, un règlement intérieur sera élaboré avec l’accueillante et communiqué à toute nouvelle famille fréquentant le Lieu d’Accueil Parents/Enfants.
Les activités proposées seront des supports à la rencontre, à l’échange, à l’apprentissage et au plaisir partagé, entre les enfants et les parents.
Les enfants et leurs parents partageront un temps autour des jeux proposés ou des activités motrices.
Les lieux d’accueil parents-enfants prévoient des espaces dédiés à une activité permettant l’apprentissage des règles.
Moyens mis en œuvre :
Deux salariés qualifiés seront chargés d’animer un espace de socialisation qui accueillera, de manière libre et sans inscription, des jeunes enfants de moins de 6 ans, accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable (mère, père, grands-parents…). Ils seront garants des règles de vie spécifiques à ce lieu. Ils mettront en valeur les compétences parentales lors de la conduite du projet qui sera un espace d’écoute, d’échange parents/enfants/accueillants, avant d’être un espace d’activités
Les accueillants seront des professionnels formés à la situation d’accueil des familles. Pour chaque accueil, deux accueillants seront présents à chaque séance et seront garants du respect du règlement de fonctionnement et des modalités organisationnelles définies dans le projet.
Les accueillants feront preuve des capacités suivantes : connaissance de l’enfant et de son développement et des enjeux relationnels parents-enfants, capacité de communication avec les familles (empathie) et travail en équipe.
Une charte de l’accueillant définira les savoir-faire et les savoir-être attendus, les conditions de recrutement, la formation et la supervision.
Une formation pour l’ensemble des accueillants sera obligatoire avant leur prise de fonction.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié - 10 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Accueillir des enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable, dans un lieu adapté.
- Résultat pour le centre social
Soutenir les parents dans leur rôle éducatif en utilisant le dispositif « REAAP », contrôlé et animé par la Caisse d’Allocations Familiales, afin d’améliorer l’accueil des personnes, des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Résultat pour les habitants
- Il sera un lieu de prévention de l’isolement social et d’élaboration de nouvelles solidarités.
- Suite de l'action : Limites
Difficulté de mobiliser les parents autour d'un projet de la petite enfance.
Difficulté à établir un projet partenarial durable.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer le partenariat avec la PMI, le Conseil Départemental et le CCAS.
Actions
Accompagner le bien vieillir sur le territoire
- Structure organisatrice
- Centre social Fumay Charnois Animation - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Santé
- Résumé
"Bien vieillir" à travers les propositions d'ateliers prévention santé, culturels et de loisirs :
exemples : ateliers mémoire, prévention des chutes, ateliers santé, découvertes culturelles et ateliers créatifs, cuisine, ateliers informatique ...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La population de notre territoire est vieillissante, le contrat de projet mentionnait la problématique de la chute démographique et du vieillissement de la population.
Suite à un diagnostic de territoire élaboré par différents acteurs et partenaires locaux dont le Centre Social, un forum séniors porté par la structure a permis de mieux connaître les attentes et les besoins de la population et les champs d'action possibles à mettre en oeuvre avec les partenaires.
Suite au forum séniors, mise en oeuvre de nouvelles actions en direction des séniors de plus de 50 ans.
Résultats attendus : "Mieux vivre de la population séniors"
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ARS
- CARSAT
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Début : 2012
Groupes de travail : Conseil, départemental, carsat, CCAS, commune
Mise en oeuvre d'actions avec des partenaires spécialisés selon les thèmes abordés. (mobilisation de ressources)
Portage et coordination par des professionnels du centre Social : responsable secteur adultes, référent santé, référent séniors ...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels réguliers du Centre Social
Partenaires extérieurs : 5
Bénévoles : 15
- Résultat sur le territoire
En 2016, 200 à 250 personnes de plus de 50 ans ont fréquenté les activités séniors du Centre Social : ce chiffre est en constante augmentation depuis 2012.
- Résultat pour le centre social
Augmentation de la fréquentation des séniors au Centre Social
- Résultat pour les habitants
Développement de l'information et des actions de prévention.
Sentiment de bien-être et de prise en compte de leurs besoins.
- Suite de l'action : Limites
Financements conventionnés et non pérennes : cela pourrait être un frein pour la pérennisation de l'action dans la durée ... alors que c'est un axe à développer pour le Centre Social et les besoins de la population du territoire.
- Suite de l'action : Perspectives
Continuer l'action, être capable de s'adapter aux besoins nouveaux : nouvelles technologies ...
Actions
Des outils de communication au service du projet social
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Améliorer la communication externe en direction des habitants, des partenaires et des collectivités locales.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence aux nouveaux diagnostics :
Réponses aux questionnaires.
Adhérents : les 4 doléances les plus souvent citées : des moyens financiers plus importants pour le pédagogique, des animations de qualité, des animateurs supplémentaires, des outils de communication plus efficaces.
On peut s’étonner de la réponse relative à la communication. En effet, le Centre Social Le Lac dispose d’un site internet, d’une lettre d’information qui touche 500 abonnés. La presse écrite, radiophonique, télévisée présente régulièrement des reportages sur le Centre Social Le Lac. Par ailleurs, des brochures papier et des affiches sont régulièrement distribuées sur le quartier.
Nous sommes interrogatifs concernant la méconnaissance de 33 adhérents qui disent ne pas connaître de salarié du centre social alors que la majorité de l’équipe travaille sur le quartier depuis plus de 20 ans.
En majorité, les non-adhérents ont entendu parler du Centre Social Le Lac et trouvent son implantation accessible. Cependant, ils considèrent que les activités sont principalement axées en direction des enfants.
Source :
Réponses aux questionnaires du bilan du contrat de projet 2011-2014.
Objectif stratégique :
Améliorer la communication externe en direction des habitants, des partenaires et des collectivités locales.
Objectif général :
Créer des outils de communication au service du projet social.
Objectif opérationnel :
Élaborer un plan de communication à l’échelle de l’agrément.
Résultats attendus de l’action :
Mettre en œuvre une communication efficiente au service des usagers.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Le centre social renouvellera son plan de communication après avoir évalué finement l’efficacité des outils utilisés.
Il est important de maintenir une communication claire et globale sur les missions et le projet auprès des habitants, des élus et des partenaires institutionnels.
Cette réflexion portera donc sur : les éléments à communiquer, les stratégies à mettre en œuvre, l’utilisation de supports existants (site internet, brochures…), l’utilisation des supports de la Communauté d’Agglomération Charleville/Sedan.
Moyen mis en œuvre :
L’ensemble des dirigeants, des salariés, des adhérents sera amené à réfléchir et a apporter des contributions pour la création d’un nouveau plan de communication.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés -
- Résultat sur le territoire
Mettre en œuvre une communication efficiente au service des usagers.
- Résultat pour le centre social
Maintenir une communication claire et globale sur les missions et le projet auprès des habitants, des élus et des partenaires institutionnels.
- Résultat pour les habitants
Meilleure compréhension sur les missions et le projet du centre social.
- Suite de l'action : Limites
En raison de l'importante diversité des actions développées par le centre social, la mise en oeuvre du plan de communication est très chronophage.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer la participation collective des usagers et des salariés sur l'ensemble des supports de communication du centre social (site internet, Facebook...).
Actions
Ombres chinoises pour Noël
- Structure organisatrice
- Association Thiérache Ardennaise Animation - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Renouvelable chaque année
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
Les habitants du village de Liart regrettait qu'il y avait si peu d'animations dans leur village à Noël. C'est ainsi qu'ils ont proposé de créer des ombres chinoises (technique facile qui consiste à créer des ombres qu'on colle sur du papier calques sur des vitres et on met une lampe derrière). Ces ombres sont créées par différents groupes et l'activité en elle-même créée déjà du lien entre différentes générations. Les ombres sont collées sur des vitres partout dans le village et une balade contée est proposée lors d'une soirée d'inauguration. Cette soirée festive et animée permet de découvrir les réalisations des habitants. Toutes les vacances de Noël, les ombres peuvent être admirées par tout un chacun qui passe. Cette activité crée du lien, de l'animation et valorise les habitants dans leurs compétences de créer un spectacle et une animation de qualité
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Avoir un village animé le temps de Noël. L'action a été mise sur pied car elle était demandée par les habitants qui trouvaient que le village était mort à cette époque.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Europe
- MSA
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
A partir de septembre, les habitants sont invités à se mettre en petits groupes et de développer des ombres. Ils peuvent laisser agir leur créativité ou les habitants peuvent aussi partir d'une histoire de Noël pour la représenter par des ombres. La technique est simple et abordable pour tout le monde.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Restaurant éphémère en faveur de l'emploi
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL OUEST AVENUE - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Le Centre Social Ouest Avenue est situé en Quartier Prioritaire de la Ville. Un nombre important de la population est en situation de recherche d'emploi, et ne parvient pas à obtenir un entretien d'embauche avec des employeurs. Un groupe de travail constitué des partenaires du service public de l'emploi et des partenaires en contact direct avec le public a été constitué. Le principe est de repérer les personnes en recherche d'emploi issus des quartiers, de contacter des employeurs intéressés par la démarche et de mettre en application les apprentissages appris pendant l'atelier cuisine du Centre Social en proposant l'outil en faveur de rencontres entres employeurs et demandeurs d'emploi sous forme de "Restaurant épéhémère". Les partenaires du SPE et ceux en contact avec les habitants en recherche d'emploi les informe des entreprises présentes, les orientent vers l'action et les accompagnent le jour de l'évènement pour faciliter les échanges avec les entreprises. Le jour de l'action, la salle polyvalente est transformée en Restaurant avec une table ronde pouvant accueillir 8 personnes (important car plus convivial que table carrée ou rectangle). Chaque table représente un secteur d'activité sur laquelle sera installée un employeur, un partenaire, et 6 personnes en recherche d'emploi maximum. A chaque table, les personnes se présentent mutuellement, expliquent leur parcours, ... L'employeur échange avec les personnes sur le secteur d'activité de l'entreprise, les besoins en main d'oeuvre, le mode de recrutement, le savoir être, le savoir faire et la motivation. Suite à quoi chaque personne entretient un échange avec l'employeur pour se faire connaître. Pendant ces échanges, le repas préparé par l'atelier cuisine est servi sur assiette à table. A la fin du repas, une pochette est remise à chaque entreprise avec les profils. Chaque candidat sera ensuite recontacté pour de plus amples informations par l'entreprise. Le premier échange aura permis une première approche, et de se rendre au prochain entretien de manière plus détendue.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour réduire les inégalités et permettre aux habitants des QPV de rencontrer des employeurs, réduire ainsi le taux de chômage en QPV.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Séjour /Camp Monts d'Olmes pour les enfants du CLAS
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action renouvellée tous les ans.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
,
Ce camp préparé en parallèle des cycles d’accompagnement à la scolarité (élèves du primaire fréquentant les écoles de LAVELANET) s’est déroulé du 28 avril au 2 mai 2014 à la station de ski des MONTS D’OLMES. Cette année le thème choisi portait sur la « comédia del arte ».
L’organisation est définie en partenariat avec les travailleurs sociaux de l’ADS, de la CAF ainsi que les animateurs de la commune.
Suite à l’évaluation annuelle des CLAS, qui tient compte de plus en plus de la place des parents, il nous a semblé important de compléter ce séjour.
Un week-end familles à été organisé les 25 et 26 octobre à Auzat Vicdessos.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Il s'agit d'une action de prévention à visée collective permettant de travailler autour du respect de l’autre, de la vie en collectivité, en associant parents et enfants (nombreux problèmes d’incivilités repérés dans les écoles ainsi qu’un comportement agressif de parents à la sortie de l’école ; difficultés intra-familiales en terme de place et de relation parents-enfants).
Resultats attendus :
Relations entre pairs, et adultes et enfants,
Participation et motivation, engagement tout au long du projet. Favoriser la place de chaque enfant, de chaque adulte pendant le déroulé de l’action.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- DDCS
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Tout au long de l’année scolaire, au cours du CLAS primaire, ce séjour est préparé avec les enfants.
Lors des vacances de printemps, les enfants sont partis en séjour aux Monts d’Olmes pendant lequel ils ont découvert la vie en collectivité, diverses activités de plein air, et ont élaboré une pièce de théâtre et réalisét les décors et les costumes au cours d’ateliers arts plastiques.
Le vendredi, en fin d’après-midi (fin du séjour), les familles ont été invitées afin de voir le travail réalisé par les enfants, assister au spectacle et partager un goûter.
Au mois de juin, une soirée a été programmée avec les enfants et leur famille au cours de laquelle tous les partenaires ont été invités. Les enfants ont joué « leur pièce », une exposition photo était mise en place et la soirée s'est terminée par un repas convivial.
Pour compléter le travail auprès des familles, un week-end familles a été organisé au mois d’octobre 2014.
La préparation du séjour demande un temps de rencontre suffisant avec les parents qui ont besoin d’échanges avec les travailleurs sociaux avant de confier leurs enfants. Nous relevons l’importance de ces échanges pour rassurer les parents, leur expliquer l’organisation et le contenu du séjour.
Un travail en partenariat est également lié avec les travailleurs sociaux de l’ADS qui exercent des mesures éducatives auprès de certains enfants. L’observation faite durant la semaine et dans la pratique au quotidien permet de mieux appréhender le comportement de l’enfant et donc d’en dégager un meilleur suivi éducatif.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CAMP DES MONTS D'OLMES COMPTE DE RESULTAT 2014 N° Compte Libellés Montant N° Compte Libellés Montant 62828 Hébergement ( Lum d'Amont) 4 437,60 60683 Alimentation 61,60 70642 Participations Familles (Chèq + esp) 745,00 6228 Rémunération d'intermédiaires (Lum d'Amont ) 701,04 70642 Dotation Vacances (ATL) 1 670,00 62828 La ferme des Lamas 100,00 708881 Conseil Général 09 5 000,00 60641 Librairie Surre - Fact n°00103182 75,73 62828 Cie Anoki - Théâtre 450,00 Subvention équilibre Caf 143,24 62828 Maison du patrimoine 68,50 62828 Bus 450,00 60641 Librairie Surre - Fact n°00103182 67,40 60683 Super U - Alimentation 120,93 60688 king jouet 110,94 62828 Hébergement 914,50 S/TOTAL 7 558,24 S/TOTAL 7 558,24
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Nbre de professionnels : 13 au total dont équipe médico sociale ADS ( Conseil départemental), animateur Mairie, travailleur sociaux CAF, intervenants exterieurs
Les parents: 38
- Résultat sur le territoire
Le travail en partenariat et la mise en reseau des différents intervenants et institutions.
Une meilleure connaissance par les parents et par les enfants du rôle de chaque professionnel de l'enfance et du travail social.
- Résultat pour le centre social
Le centre social est à la fois organisateur et animateur du projet, il mobilise également les financements.
la préparation se déroule sur le centre social ainsi que les rencontres avec les parents.
- Résultat pour les habitants
La situation sociale des familles concernées est connue de l’équipe du projet, favorisant la relation de confiance entre les parties ainsi que la préparation du départ de l’enfant.
Il est à noter une grande motivation de la part des enfants et des parents pour participer à ce projet.
- Suite de l'action : Limites
Cette action est reconduite tous les ans sous reserve des financements.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
FORMATION PARENTALE à LA CNV
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
L'association de parents "monen'partagés" s'est mobilisée pour mettre en place une formation à la "communication non violente" dans le cadre de la parentalité à la demande des parents adhérents. Une recherche de financements ( reaap, Fondation de France, communauté de communes) soutenue par le centre social était le préaleable pour financer les intervenants qualifiés. Deux modules ont pu être proposés au parents, en mai et septembre (46 parents), suivie tous les 15 jours, de rencontres de groupes de pratique assidûment fréquentés .
L’association reste mobilisée pour la recherche de nouveaux financements pour les formations complémentaires et répondre à la demande de nouveaux parents intéressés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cettte formation permet aux parents de consolider des repéres, de se sentir reconnus dans leur compétences .
Des temps d'échanges qui produisent des nouveaux projets.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Deux modules de formation hébergés au centre social,
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 46 parents, un intervenat qualifié
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
UN DEFI FAMILLE A ALIMENTATION POSITIVE (FAAP), en Aiège à St-Girons
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Environnement
- développement durable
- Résumé
Le principe du défi est simple : des équipes d’une dizaine de foyers (personnes seules, couples, foyers avec enfants) se regroupent pour relever le défi d’augmenter leur consommation de produits bio locaux tout en conservant un budget constant et en se faisant plaisir ! Il s’agit d’un accompagnement gratuit avec au programme : visites de ferme, échanges avec un diététicien-nutritionniste sur l’intérêt des produits bio locaux et leurs apports nutritionnels, cours de cuisine, trucs et astuces pour consommer bio et pas cher.
Pour sa deuxième année consécutive, le PNR Pyrénées Ariègeoises et le CIVAM Bio 09 , ont proposé ce concept au centre social pour le déployer, sur notre département. Un nouveau partenariat , des actions inédites pour interroger, voire déconstruire, l’idée selon laquelle l’accessibilité à des denrées saines serait déterminée par les conditions socioéconomiques de chacun.
Durant toute la durée du défi, des temps forts sont organisés (environ 1 fois par mois) :
- une soirée de lancement : pour expliquer le défi, créer de la cohésion entre les membres de l' équipe et donner le top départ du défi,
- une soirée d’échange avec un diététicien-nutritionniste pour parler de l’intérêt des produits bio et découvrir les protéines végétales, apprendre des recettes, de saison et locale,
- 5 cours de cuisine avec un chef cuisinier,
- une visite de ferme bio, d'un commerce bio, d'un marché de plein vent,
- une soirée de clôture,
- les relevés des achats alimentaires.
Tout au long du défi, les participants peuvent évaluer l’évolution de leur consommation de produits bio et du coût de leur repas ! Pour cela, chaque foyer effectue des relevés d’achats pendant une période de 14 jours, et cela 2 à 3 fois durant le défi : T0 (états des lieux de la consommation), T1, T2. Seuls les résultats de l’équipe comptent. Les saisies des achats se font via le site internet "du défit faap". Très accessible, un accompagnement a été organisé au besoin.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ainsi, en proposant aux familles d’examiner ce qu’elles font pour adapter leurs pratiques en fonction des objectifs qu’elles se donnent, le Défi FAAP a pour ambition, et pour originalité, de rendre ces citoyens acteurs de la transition alimentaire. Elles ont pu :
- Bénéficier d’un accompagnement gratuit vers une alimentation savoureuse et équilibrée
- Connaître les trucs et astuces pour consommer des produits bio locaux tout en maîtrisant son budget
- Faire des rencontres et des échanges conviviaux avec les autres familles participantes
- S’informer sur l’agriculture biologique
- Connaître les lieux d’achats de produits bio dans son quartier/dans sa ville
- Partager des recettes de plats bio locaux de saison peu coûteux
- Visiter des fermes, rencontrer des agriculteurs
- Participer à une aventure de groupe
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
De décembre à juillet, deux équipes d’une dizaine de foyers fédérées par une structure relai (une équipe centre social St-Girons et une équipe PNR constituée sur Foix) se regroupent pour relever le défi d’augmenter leur consommation de produits bio et locaux tout en conservant un budget constant.
Le plus important est de progresser en équipe et de partager de bons moments !
Plusieurs temps forts (un à deux par mois) sont proposés à chaque équipe, autour des villes retenues :
- Visite de deux fermes bio;
- Rencontre avec un nutritionniste pour apprendre à équilibrer ses repas;
- 5 Ateliers cuisine pour découvrir des recettes de saison savoureuses et peu coûteuses;
- Visite d'un magasin bio.
Sans oublier les soirées de lancement et de clôture de ce défi qui réuniront les deux équipes !
Deux périodes de suivi des achats alimentaires ont été programmées, en début et fin de défi, afin de voir la progression des équipes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'action a été financée complétement par les deux partenaires le PNR Pyrénées Ariègeoises et le CIVAM Bio 09
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés du Civam bio et du Pnr, la conseillère du centre social, des prestataires ponctuels (diététicienne, cuisinier)
- Résultat sur le territoire
- conforter l'acte d'achat local.
- Résultat pour le centre social
Ouverture sur un nouveau public et nouveaux partenaires
- Résultat pour les habitants
Au terme de ce long parcours, nous avons pu observer une amorce de changements chez l’ensemble des participants. Ainsi, répertorier leurs aliments a permis à ces volontaires de réaliser pleinement ce qu’ils consommaient et dépensaient, les amenant à réfléchir aux routines qu’ils souhaitaient conserver ou modifier.
Par ailleurs, les ateliers ont renforcé leur propre confiance pour cuisiner ou cultiver par eux-mêmes ; éveillé une attention plus grande à leurs choix en matière de points de vente, avec une préférence pour les circuits courts ou encore à l’égard des aliments achetés, où la part des produits locaux, bio ou en vrac a progressivement augmenté. Enfin, grâce à des échanges directs avec les producteurs, les participants, plus avertis, émettent désormais le souhait de soutenir certaines pratiques et productions plus en phase avec leurs nouvelles sensibilités : qualité des produits, meilleures conditions de travail et de rémunération des producteurs. Et même si leur budget est limité, ils s’estiment dorénavant être en capacité de choisir en toute conscience un aliment auquel ils sont prêts à consacrer de l’argent.
- Suite de l'action : Limites
La mobilisation et l'assiduité des personnes engagées.
Le financement de l'action par les partenaires
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduction du défit avec une nouvelle équipe.
Actions
Sensibilisation au développement durable et création d'un jardin partagé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Solidarité
- Résumé
Les travailleurs sociaux du centre social accompagnent un groupe d'habitants du quartier qui s'est mobilisé autour du compostage des déchets ménagers.
Pour donner du sens à cette action les habitants mobilisés se sont transformés en jardiniers qui se retrouvent trois fois par semaine afin de cultiver le jardin qui jouxte le centre social. Cette activité est l'occasion d'échanges de pratiques autour de l'agriculture raisonnée ou de la permaculture. Les produits récoltés sont échangés entre jardiniers ou utlisés en atelier cuisine au centre social, ces produits devraient être utilisés pour la préparation d'un repas populaire dès que la récolte sera suffisante.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Prise de conscience de la quantité des déchets ménagers
Activité intergénérationnelle qui intéresse les habitants de la cité HLM et de plus en plus des habitants venus du centre ville
Possibilité d'avoir une activité dans un jardin alors que les logements de la cité n'ont pas de jardins
Transmission de savoirs faire
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action qui a débuté en début d'année 2015 autour de la permaculture, les habitants ont été aidés par un jardinier, par le secteur jeunesse de la ville (mise en place d'une serre), les services municipaux ou le SMECTOM qui ont apporté une aide technique (livraison de terre, installation d'un point d'eau pour l'arrosage, élagage des arbres...)
Les jardiniers ont écrit une charte afin que chaque participant respecte "l'esprit du jardin partagé"
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 bénévoles, 1 élu, 1 stagiaire, 2 travailleurs sociaux
- Résultat sur le territoire
Le jardin suscite beaucoup de curiosité et de convivialité pour tout le quartier, les habitants qui ne participent pas de façon concréte dispensent très régulièrement des conseils de culture.
- Résultat pour le centre social
Bel environnement !
Questionnement de la part des usagers du centre social, mobilisation plus grande des habitants autour du compostage
Utilisation des fruits de la culture pour animer les ateliers culinaires
- Résultat pour les habitants
De plus en plus de convivialité
- Suite de l'action : Limites
Pour le moment les habitants mobilisés ne sont qu'une dizaine, il est difficile pour de nouveaux jardiniers de comprendre la philosophie du jardin partagé
- Suite de l'action : Perspectives
L'action prend de l'ampleur et est amenée à s'étendre, le but est d'organiser des repas populaires avec les récoltes du jardin.
Actions
DISPOSITIF PANIERS SOLIDAIRES
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action a été suspendue faute de financement pour organiser la distribution des paniers trop chronophage pour le centre social et les intervenants sociaux associés (MSA, Conseil Départemental)
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Environnement
- Précarité
- Résumé
Développer de manière pérenne une politique sur la transition alimentaire pour favoriser l‘accès de tous à des produits de saison et locaux.
L’enjeu est double : inciter les familles à manger mieux pour préserver leur santé et les aider à adopter des gestes éco-responsables favorisant les circuits courts et le partenariat local.
Pour les bénéficiaires ou familles en difficulté : bénéficier d’une offre de produits frais permettant une alimentation saine et variée tout en faisant oeuvre utile en exprimant sa solidarité vis-à-vis du monde agricole. Il s’agit d’une offre « découverte » qui pourrait inspirer de nouvelles habitudes alimentaires et pratiques culinaires.
Pour les agriculteurs : leur permettre d’écouler leur production et/ou avoir de nouveaux réseaux de vente sécurisés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Favoriser le changement des comportements en matière de consommation et d’alimentation.
Répondre à cette double solidarité et cette attention croisée entre des publics fragilisés et les agriculteurs assumant leur rôle nourricier avec une sensibilité à l’environnement, aux territoires et au lien social.
Mise en place d’un système de distribution de paniers solidaires pour permettre aux ménages ou familles en fragilité budgétaire d’accéder à une alimentation de qualité.
Critères d’attribution sont définis par les partenaires, tout comme les modalités de distribution (fréquence, valeur du panier, contenu...).
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- MSA
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action développée de décembre 2020 à juillet 2021.
Distribution de paniers - constitués de produits bruts ou transformés issus de l’agriculture locale - vendus à prix solidaire dans le cadre d’un dispositif pérenne.
L’abondement d’un fonds inter-partenarial pour le dispositif permet aux producteurs une juste rémunération (convention 2020).
Pour éviter toute stigmatisation et préserver la dignité de chacun, la recherche de points de distribution classiques et ouverts à tous (point physique et/ou plate-forme d’achat en ligne) constitue également un principe fondateur.
Cette offre peut s’inscrire dans le cadre de la mise en place des parcours « attentionnés ».
Des actions collectives diverses ont été mises en oeuvre pour associer les bénéficiaires et leurs familles dans une dynamique de changement durable des comportements (ateliers cuisine, repas partagés, ateliers diététiques et de prévention santé, visite de fermes, sorties familiales...).En décembre 2020, l’action a pu être mise en oeuvre pour un test sur 100 paniers pour les deux secteurs définis.
Mobilisation d’un prestataire : l’épicerie mobile, «Le Château Ambulant ». Positionnée sur la vente de produits locaux, majoritairement bio, elle déploie son activité commerciale (entreprise individuelle créée en 2018) sur les petits marchés du Couserans, notamment celui de La Bastide de Sérou.
- Marché de La Bastide de Sérou : deux distributions de 25 paniers ont été réalisés. Afin de la soutenir dans ce surcroît d’activité, sollicitation d’un salarié en insertion issu d’un dispositif expérimental (PEP’S), encadré par l’association Casta (préparation et la distribution des paniers),
- Pour Saint-Girons : souhait d’une distribution à l’identique sur le marché. Une seule distribution de 25 paniers a pu être réalisée en fonction de la disponibilité de Mme Fleury qui n’est pas présente sur ce marché habituellement. La mobilisation des différents prescripteurs, a conduit rapidement à dépasser le seuil fixé par notre prestataire. Recherche dans l’urgence et choix d’un autre prestataire (Orgascic : société coopérative d’intérêt collectif à Montagagne) pour la constitution de 10 paniers distribués au centre social.
A noter que nos deux prestataires, bénéficiaires du RSA, tentent de consolider leur activité professionnelle, comme 2 des 15 producteurs locaux impliqués dans cette action.
Contenu du panier pour une famille et pour 15 jours : produits de consommation courante, qui se cuisinent facilement avec du matériel de cuisine de base : équilibre de produits bruts et produits frais, épicerie issue de l’agriculture locale et/ou raisonnée ou bio.
Valeur moyenne du panier 50€ en 2020, revue à la baisse à 30 € en 2021 avec participation de 5€ du bénéficiaire.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
En 2020 : 87 paniers distribués, d’une valeur de 50 € soit un engagement financier de 4350 € dont une participation des bénéficiaires par panier à hauteur de 5 €, soit 435 €.
En 2021 : 323 paniers distribués, d’une valeur de 30 € soit un engagement financier de 9690 € dont une participation des bénéficiaires par panier à hauteur de 5 €, soit 1615 €.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Personnels CAF, MSA, DSD, Espace Séronais, CASTA, CCAS Saint Girons, la Bastide de Sérou : mobilisation et suivi des bénéficiaires à l’appui de supports de communication
1 agent PNR : soutien au projet, mise à disposition des outils créés pour précédent défi FAAP
2 agents CIVAM : proposition de faire le lien avec les producteurs répondant au choix du contenu du panier et animation d’un défi famille alimentation positive
2 agents CASTA : soutien au projet, mobilisation des salariés, aide à la distribution
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Rencontre de nouveau public et nouveau partenariat.
- Résultat pour les habitants
En 2020 :
- 87 paniers distribués : 67 familles soit 87 adultes et 99 enfants
- 38 familles monoparentales et 37 foyers bénéficiaires du RSA.
- 10 partenaires impliqués ;
- 2 prestataires bénéficiaires RSA ainsi qu’un salarié en insertion – mobilisation du programme PEP’S ;
- plus de 15 producteurs sollicités dont 2 bénéficiaires RSA ;
En 2021 :
- 323 paniers ont été distribués à raison de 2 distributions par mois sur chaque territoire (153 à La Bastide de Sérou et 168 à St-Girons).
- 91 familles ont bénéficié de cette opération dont 117 adultes et 138 enfant.
- 59 ménages sont allocataires CAF, 30 MSA, 2 sont non allocataires.
- 49 familles monoparentales
- 52 foyers bénéficiaires du RSA
- Suite de l'action : Limites
Nous avons mesuré le fort investissement nécessaire dans la logistique de cette opération et par ailleurs la notion d’équité territoriale qui impose d’engager un budget plus conséquent dans le cadre d’appels à projet, ou manifestations d’intérêt que ne peuvent solliciter directement les institutions.
Réponse défavorable à l'appel à projet.
- Suite de l'action : Perspectives
Maintien des actions collectives des "défis à alimentation positive" sans distribution de paniers.
Actions
"Ce soir je sors mes parents"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Ce pojet consiste à travailler avec des familles autour de thématiques culturelles en partenariat avec la scène nationale de Foix, L'Estive.
Plusieurs sessions distinctes sont proposées dans l'année. Chaque session est découpée en 2 axes:
- un ou plusieurs ateliers parents-enfants autour d’une pratique artistique (marionnettes, cirque, atelier numérique, danse théâtre, arts plastiques…) animés par un artiste et co-animés avec les travailleurs sociaux du centre social.
- des places de spectacle offertes pour chaque famille ayant participé à l'atelier
Il existe toujours un lien entre l'atelier et le spectacle (l'artiste lui-même, le support utilisé, la thématique...)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La loi de 1998 relative à la lutte contre les exclusions souligne que l’égal accès de tous, tout au long de la vie, à la culture, à la pratique sportive, aux vacances et aux loisirs constitue un objectif national. Il permet de garantir l’exercice effectif de la citoyenneté.
L’accompagnement de familles vulnérables vers l’Estive est un enjeu important pour l’équipe du centre social qui observe le manque d'utilisation des structures et supports culturels proposés sur le territoire.
L'objectif est d'offrir un temps privilégié et de qualité concernant le culturel et d'accompagner les familles vers cet espace, "l'art", qui peut parfois faire peur ou sembler inaccessible. Cette action permet également de travailler l'accompagnement de la parentalité et la mixité, et ouvre des portes aux enfants dont les parents sont peu concernés par le domaine artistique.
Il est attendu que ces portes ouvertes puissent être plus facilement franchies par la suite, ou entrainer la curisosité, l'imaginaire, la créativité. Les relations parents-enfants peuvent être médiatisées, apaisées via l'outil culturel. C'est également un lieu où de nombreux sujets peuvent être abordés et discutés en fonction du thème.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
La scène nationale de l'Estive reçoit un finacement Reaap pour cette action.
Le centre social met à disposition ses 2 salariés pour mobiliser les familles, les inscrire, co-animer les ateliers et accompagner au spectacle.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels, 1 à 2 artistes
- Résultat sur le territoire
Connaissance de la scène nationale l'Estive et d'artistes, notamment locaux, par le public du centre social. Mixité sociale des publics
- Résultat pour le centre social
Partenariat fort permettant de bénéficier de prestations artistiques et culturelles de grande qualité au sein du centre social. Permet d'avoir une activité culturelle à proposer à des publics éloignés de ce champ.
- Résultat pour les habitants
Ouverture sur l'axe culturel par le biais d'activités artistiques. Bénéfice de spectacles gratuits de grande qualité. Accompagnement de la parentalité via un support plaisant, ludique mais necessitant de la rigueur.
- Suite de l'action : Limites
Difficile de maintenir la participation des familles le mercredi après midi en raison de leur disponibilité (activités et rdv divers le mercredi après midi). Spectacles en soirée et en semaine pas toujours adaptés pour le sommeil des enfants. Activité sur inscription necessitant le rappel des familles qui oublient facilement. Souvent présence de fratries necessitant des activités à large tranche d'âge.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de l'action avec plusieurs thématiques et spectacles renouvelés. Réajustements réalisés avec le partenaire pour coller au plus près de la réalité des familles.
Actions
Le centre social du Léo, résidence apprentis-etudiants, avec restauration sociale collective.
- Structure organisatrice
- LE LÉO LAGRANGE DE FOIX - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Depuis 2017, le centre social est gestionnaire d'une résidence apprentis-étudiants, a laquelle est adossée de la restauration sociale collective.
Une convention centre socailet centre de formation des apprentis - Chambre des Métiers de l'Ariège a permis la création de la résidence étudainte.
Au total, une moyenne de 15 apprentis est hébergée durant toute l'année scolaire et bénéficie dans ce cadre là d'une possibilité de restauration sur place; En outre ils sont invités à prendre part à l'ensemble des activités d'animation du centre socail.
A titre d'exemple, ces jeunes participent à la selection des films du Festival Résistance, événemant culturel organisé annuellement sur la ville de FOIX ou participent à l'organisation du Forum des associations.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Le CFA de L'Ariège
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Constat dréssé dans le cadre du diagnostic PDV, absence de mode d'hébergement pour les jeunes sur le centre ancien, constat partage par le centre universitaire de Foix.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action co-construite et intégrée au projet social du centre social, valorisée dans un des axes d'intervention.
Action correspondante à un volet économique du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le centre social met à disposition les locaux, asume les charges des fluides, l'entretien des locaux, frais de blanchisserie ( assurée par un prestataire) et prend en charge le poste de veilleur de nuit.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2.5 ETP
- Résultat sur le territoire
Fonction d'hébergement et de restauration sociale et collective présente sur le QPV.
- Résultat pour le centre social
Dimension marchande et économique du centre social.
Capacité d'autofinancement dégagée par cette activitée.
- Résultat pour les habitants
Offre de service pour un public jeune.
- Suite de l'action : Limites
Reconduction de l'action.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Le centre social du Léo, résidence apprentis-etudiants, avec restauration sociale collective.
- Structure organisatrice
- LE LÉO LAGRANGE DE FOIX - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Depuis 2017, le centre social est gestionnaire d'une résidence apprentis-étudiants, a laquelle est adossée de la restauration sociale collective.
Une convention centre socailet centre de formation des apprentis - Chambre des Métiers de l'Ariège a permis la création de la résidence étudainte.
Au total, une moyenne de 15 apprentis est hébergée durant toute l'année scolaire et bénéficie dans ce cadre là d'une possibilité de restauration sur place; En outre ils sont invités à prendre part à l'ensemble des activités d'animation du centre socail.
A titre d'exemple, ces jeunes participent à la selection des films du Festival Résistance, événemant culturel organisé annuellement sur la ville de FOIX ou participent à l'organisation du Forum des associations.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Le CFA de L'Ariège
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Constat dréssé dans le cadre du diagnostic PDV, absence de mode d'hébergement pour les jeunes sur le centre ancien, constat partage par le centre universitaire de Foix.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action co-construite et intégrée au projet social du centre social, valorisée dans un des axes d'intervention.
Action correspondante à un volet économique du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le centre social met à disposition les locaux, asume les charges des fluides, l'entretien des locaux, frais de blanchisserie ( assurée par un prestataire) et prend en charge le poste de veilleur de nuit.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2.5 ETP
- Résultat sur le territoire
Fonction d'hébergement et de restauration sociale et collective présente sur le QPV.
- Résultat pour le centre social
Dimension marchande et économique du centre social.
Capacité d'autofinancement dégagée par cette activitée.
- Résultat pour les habitants
Offre de service pour un public jeune.
- Suite de l'action : Limites
Reconduction de l'action.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Parcours « Valorisation, Estime de soi, Retour à l’Emploi »
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Parcours « Valorisation, Estime de soi, Retour à l’Emploi »
Objectif : redonner confiance aux demandeurs d’emploi, leur apprendre à travailler leur image, pour aborder les employeurs : par la "privatisation" (2 heures) des deux bourses aux vétements (organisées pas le centre social et l'association créée spécifiquement),hors les murs compte tenu de l'ampleur de l'évênement. Il s'agit d'accuellir, de relooker un groupe de stagiaires de "Pôle Emploi" en vu d'un entretien professionnel. Cette séance de "shopping" coatchée, par des professionnels et des bénévoles (retraités de la vente) est suivie d'un repas convivial au centre social qui permet de prolonger les échanges avec les professionnels (intervenants Pôle Emploi).
Retrouver une dynamique dans leur recherche d’emploi et favoriser la promotion de profils… Mais également recréer du lien social. Respect, Convivialité et Bienveillance sont les maîtres mots de ce parcours.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Autre
- Précision ( si autre )
L'association Couserans Bourses échanges gérées par un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le partenaire Pôle Emploi s'est saisi du service rendu, pour rendre concret des ateliers théoriques. Ainsi les stagiaires peuvent acquerir à moindre coût une tenue adaptée à un entretien d'embauche.
Cet accès privilégié créé des liens avec l'équipe des bénévoles qui les encouragent à utiliser le service.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 agents de Pôle Emploi (2 conseillés, et un psychologue), la conseillère en ESF du centre social, et 5 à 6 bénévoles selon la taille du groupe de stagiaires.
- Résultat sur le territoire
Une autre promotion des bourses déja trés repérées sur le territoire (plus de 350 déposants et 500 acheteurs par bourse).
- Résultat pour le centre social
Rencontre d'un public pas forcément connu.
Promotion de l'outil "bourses" et centre social
- Résultat pour les habitants
Utilisation d'un service ponctuel : "les bourse" et de l'ensemble des services proposés par le centre social.
- Suite de l'action : Limites
Le nombre de bénéficiares, le temps dédié (2 heures en VIP par bourse)
- Suite de l'action : Perspectives
Maintien de l'action
Actions
Atelier relaxation
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Santé
- Résumé
Il est proposé aux usagers de s'inscrire sur une session de 7 séances de relaxation avec une professionnelle formée. La séance se pratique en groupe de 8 à 10 personnes maximum. Un groupe reste fixe pour la session dans son entiereté. Ceci permet de créer une véritable dynamique de groupe et des liens sociaux entre les participants. Chaque séance dure entre 1 heure et 1h30.
Une séance se déroule comme suit: Phase d'accueil et de présentation du groupe, on revient éventuellement sur la séance précédente et sur les bénéfices ressentis depuis. Il y a ensuite la présentation de la séance de relaxation dans laquelle les exercices sont détaillés et expliqués, puis la séance en elle-même. Elle se termine par un échange, un retour ''sur la séance'', où chacun peut exprimer ce qu’il a vécu, ses ressentis, ses sentiments.
La méthode employée est la relaxation issue de la sophrologie. Détente guidée, apprendre à respirer et l'importance de bien respirer, exercices de respiration, détente corporelle, visualisation, …
La relaxation, la détente s’acquière grâce à la répétition, c'est pourquoi l'inscription se fait sur une session de 7 séances. Ceci permet de ressentir de plus en plus les bienfaits de la pratique et de mettre en place de
nouvelles habitudes de vie.Il n'y a pas de visée thérapeutique à cet atelier même si des effets thérapeutiques peuvent avoir lieu.Les participants pouvait apporter une participation symbolique qui a permis de réaliser un goûter en fin d'année. Ce goûter a été l'occasion de faire un bilan de son ressenti, de poursuivre la création de liens, et d'échanger sur certains vécus.
Pendant les vacances scolaires l'atelier a été proposé à des parents avec leurs enfants, autour d'exercices spécialement conçus pour eux (autour des sons notamment).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lors d'une expérimentation avec un groupe d'usagers, nous avons pu observer de nombreux bénéfices à la pratique d'exercices de relaxation et aux échanges qui ont eu lieu au sein du groupe à la fin de la séance.
Les participants abordent de nombreux thèmes personnels, parfois intimes (mort, angoisses, sommeil, inquiétudes...). Ces échanges se font dans un grand respect, avec confiance vis-à-vis de l'intervenante et permettent d'exprimer et de vivre les émotions (pleurs, rires...) sans gêne. De plus, l'idée d'amener ces ateliers chaque semaine permet un travail plus approfondi sur le rapport au corps, le stress et l'image de soi.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Suite à une expérimentation dans un projet partenarial (Conseil départemental - Centre social Caf). Un groupe en insertion était accompagné sur plusieurs dimensions (insertion sociale, professionnelle, estime de soi). Le choix des ateliers se faisait en lien avec les participants qui se sont orientés vers la relaxation. Après avoir mis en place ces ateliers, lles participants ont évoqué les bénéfices retirés et les professionnels ont perçu l'intérêt de cet atelier et ont souhaité l'élargir à un public plus vaste et plus nombreux.
Le centre social a donc mis en place cet atelier ouvert à tous (jeunes adultes, adultes, séniors). La démarche: partenariat avec le prestataire, communication, inscriptions (dont proposition faite à certains bénéficiaires d'accompagnement social), réalisation de l'action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1650€ pour 15 séances
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (2 salariés centre social, l'intervenante)
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Nouveau public découvrant le centre social
- Résultat pour les habitants
Personnes retraitées ou avec des pathologies qui ont pu trouver sur ce temps un espace d'apaisement, d'expression et de bien-être.
Accès à une pratique trop couteuse à l'extérieur du centre social.
- Suite de l'action : Limites
Réflexions à mener sur l'assiduité des participants (au vu du nombre important de demandes par rapport aux places disponibles, et en raison du coût de l'action, il n'est pas envisageable d'être trop souple sur des absences injustifiées)
La participation symbolique à chaque séance, bien qu'ayant un intérêt indiscutable est difficile à mettre en place (rappel à chaque séance notamment). Peut être envisager une participation à donner en une fois, en début de session.
- Suite de l'action : Perspectives
Ajuster les modalités (inscriptions, participation symbolique, assiduité).
Co-financement Carsat qui sera sollicité car un nombre important de retraités est présent et évoquent des retours très positifs de l'atelier.
Proposer peut être 2 ou 3 sessions dans l'année, ne pas réaliser l'action en continu sur l'année.
Retenter les séances parents-enfants mais en formalisant les modalités d'inscriptions et le fonctionnement.
Actions
"Atelier d'écriture - Au clair de ma plume"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Santé
- Résumé
Atelier visant à travailler sur l'expression, l'imagination, le lâcher prise, la confiance en soi et l'émancipation à travers l'écriture.
En appui sur des textes, des auteurs, des thèmes ou des formes d'écriture, l'intervenante donne des consignes d'écriture.
Le travail réalisé est ensuite partagé au sein du groupe.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'objectif de l'action est de travailler sur la confiance en soi et le bien-être. Par le vecteur du travail l'écriture et de la dynamique de groupe, les participants prennent peu à peu leurs marques pour lâcher les freins à leur imagination ou à leur expression. L'orientation de l'atelier est avant tout de prendre du plaisir, de s'amuser avec les mots et de partager cette réjouissance de la création. Plusieurs dimensions de l'individu peuvent alors s'exprimer et conduire à un mieux être, parfois à une meilleure compréhension de ses émotions, de son histoire. Il n'y a pas d'objectif thérapeutique mais l'élaboration et la production necessaire au travail d'écriture conduit parfois à l'expression d'éléments intimes ou d'émotions fortes. Chacun peut évoquer des vécus profonds ou non, peut les mêler à de la fiction et ainsi se protéger tout en l'exteriorisant, d'autres sont parfois plus direct... Chacun fait à son rythme, selon ses envies et son état d'âme du jour. Certains font le choix d'être plus portés sur un travail littéraire.
Le cadre de l'atelier est très important et permet la sécurité de chacun des participants, indispensable à la possibilité d'écrire sans contraintes. Il est précisé que ce qui est dit, et écrit dans cet atelier n'a pas à sortir de l'atelier (sauf décision commune d'exposer les textes), qu'il n'y a pas de jugement de valeur sur les écrits des uns et des autres, qu'il est possible de ne pas lire sa production mais que le partage est souhaité.
A travers cet atelier le centre social souhaite ouvrir les portes de l'imaginaire personnel, du dépassement de soi et de la prise de confiance, d'apporter du soulagement et un mieux être à des usagers parfois angoissés, isolés ou qui se trouvent dans une forme d'ennui. Evidemment d'autres effets indirects sont positifs :
- rencontres et échanges entre usagers (notamment retraités et personnes plus jeunes);
- développement de projets en parralèle: exposition de textes dans le quartier avec petites animations.
Durant la période 2020, l'atelier a pu se poursuivre par échanges de mails coordonné par le centre social.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Débuté en 2019 suite une rencontre avec une retraitée formée aux ateliers d'écriture, le centre social a fait le choix de proposer cette action et de voir si cela interesserait certains de ses usagers. Les supports de communication ont été réalisés, une information dans le journal local, une information orale auprès des usagers.
Il a fallu 6 mois pour qu'un groupe perenne se dégage mais désormais un groupe de 8 usagers est fixe et régulier.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1350 € pour 30 séances dans l'année (45€ par séance).
La totalité du coût est pris en charge par la CAF de l'Ariège.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 intervenant rémunéré, 1 salarié du centre
- Résultat sur le territoire
Accès pour tous à une activité habituellement onéreuse.
Exposition/animation dans le quartier.
Rencontres entre habitants de la cité (le centre social est implanté dans une cité HLM) et habitants du centre ville ou de la périphérie.
- Résultat pour le centre social
Possibilité d'organiser des animations en appui sur le groupe d'écriture.
Offre diversifiée d'activités (des usgaers ont pu passer d'une autre action à celle-ci avec des bénéfices exprimés)
- Résultat pour les habitants
Les participants expriment retirés un grand bénéfice de cet atelier ("cela me fait beaucoup de bien", "on se sent en confiance dans le groupe").
- Suite de l'action : Limites
Le fait de fonctionner à distance par mail ne convient pas à tous les participants. Certains ont le besoin d'être en présentiel car la part de partage "vivant", de relation effective et "physique" leur est indispensable. Cette modalité temporaire liée à la crise est donc interessante car a permis de poursuivre le fonctionnement en groupe mais n'est pas satisafisante pour autant.
Nous souhaitions faire participer symboliquement les participants (le centre social n'a pas d'adhésion car en gestion directe CAF). Or ce processus a des limites car certaines personnes oublient et ce versant du cadre est compliqué à imposer. Le choix en 2020 a été de plutôt proposer un goûter en fin d'année ou chacun porterait un plat. En raison de la crise cela n'a pu être réalisé.
D'autre part, il nous est impossible d'intégrer de nouveaux participants car le groupe ne peux excéder 10 personnes. Nous avons donc stopper la communication.
- Suite de l'action : Perspectives
De nouvelles expositions sont envisagées dans la ville.
Actions
Exposition atelier d'écriture
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Il s'agit d'une exposition en extérieur, dans la résidence HLM Pierre Faur à Foix, des textes des écrivants qui participent à l'atelier d'écriture du centre social.
L'atelier d'écriture du centre social s'est poursuivi à distance pendant les confinements. Un projet est né de partager les textes des écrivants en les exposant à plusieurs endroits de la résidence Pierre Faur. Ils sont restés accrochés quelques jours et une animation a été proposée un mercredi autour de ces textes. Certains traitant des insectes, nous avons proposé aux visiteurs et aux curieux de créer un nom d'insecte imaginaire à partir de noms d'insectes bien réels, et d'ensuite dessiner la bestiole. De nombreux enfants du quartier se sont prêtés au jeu. Cette animation a permis de créer des points de discussion dans la cité et de valoriser les écrivants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
L'animatrice de l'atelier
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'objectif était de faire sortir les textes hors du centre social, d'investir l'espace public pour créer des échanges, susciter la curiosité, permettre la rencontre entre les habitants.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action s'est déroulée en février 2021, le gros du travail a consisté en la mise en page des textes, leur illustration par certains usagers, leur accrochage à des points clés du quartier et la mise en place de l'animation le mercredi.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Appui logistique de la Caf 09 pour l'édition et la plastification des textes ainsi que pour le matériel de l'animation. Action sans coût majeur.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariées, 1 prestataires et 8 écrivants usagers
- Résultat sur le territoire
L'exposition a permis d'animer le quartier durant la journée du mercredi et de proposer une animation différente directement dans l'espace public.
- Résultat pour le centre social
Mise en valeur de l'activité écriture et valorisation des écrivants.
- Résultat pour les habitants
les habitants ont pu bénéficier d'un partage de textes et de l'animation au pied de leurs immeubles.
- Suite de l'action : Limites
Nous aurions pu penser que plus d'habitants seraient venus à la rencontre des textes et des écrivants.
- Suite de l'action : Perspectives
Il serait interessant de réaliser à nouveau cette action avec plus de préparation de manière à proposer une lecture à voix haute, des jeux d'écriture, un espace plus convivial... Il faudra également trouver le moyen de chercher à amener les habitants vers l'action, à attirer leur attention
Actions
DISPOSITIF PANIERS SUSPENDU - ACCESSIBILITE ALIMENTAIRE - LA BIO POUR TOUS
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Santé
- Précarité
- Résumé
La bio pour tous est un programme lancé en juin 2022 ayant pour objectif la lutte contre la précarité alimentaire, via une a expérimentation dans le Couserans en Ariège et qui se compose de 2 actions complémentaires :
- des « paniers suspendus » : l'appui pour un accès à la bio dans les magasins Biocoop via une caisse de solidarité portée par la Croix Rouge.
- des ateliers d’information et de sensibilisation pour une autre alimentation
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Permettre à tous les habitants d’accéder à une alimentation de qualité et choisie ;
Construire une gouvernance territoriale agroécologique et alimentaire (sensibilisation en amont).
Cette action permet par ailleurs de contribuer à appuyer la structuration d’un approvisionnement durable et résilient.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Inspirés d’une expérience menée par le GAB65 et ses partenaires, depuis de nombreuses années, le Centre social CAF et ses partenaires Bio Ariège Garonne (BAG), Croix Rouge, MSA MP, Biocoop de St Girons) ont lancé une démarche de paniers suspendus fin 2021 sur le secteur de St Girons. A la différence des paniers solidaires (expériementation menés en 2020/2021 dans le contexte sanitaire du COVID), ces paniers sont financés par des « dons » de consommateurs (qui alimentent une caisse de solidarité portée par la Croix Rouge). Ils permettent aux foyers le souhaitant de bénéficier d’un avoir ou réduction sur un panier alimentaire de son choix en magasin Biocoop de manière anonyme (passage en caisse sans remise de chèques ou bons alimentaires spécifiques).
Le magasin Biocoop de Saint Girons a mis en place les paniers suspendus. Cela consiste à appliquer une remise pour des foyers bénéficiaires, leur permettant un accès à la bio indépendamment de leur niveau de vie. Ces familles ont eu l’information sur le dispositif via la CAF, la MSA, la Croix Rouge ou en participant à des activités du défi foyers à alimentation positive porté par Bio Ariège Garonne (BAG). Pour rendre possible la mise en place de ce dispositif, une caisse de solidarité, portée par la Croix Rouge est mise en place et alimentée par plusieurs moyens au sein du magasin.
Les produits solidaires (10 tous les mois) sont majorés pour alimenter directement la caisse de solidarité.
Comment ça marche ?
1/ les structures sociales partenaires vont informer des foyers/personnes de la possibilité de ce dispositif.
2/ La famille/personne bénéficiaire se rend en magasin Biocoop et fait ses courses, simplement.
3/ En caisse, sur la base du compte-client nominatif possible pour chaque client, une remise lui est appliquée : -50% dans la limite de 60€ d'achats par mois. Les 50% restants sont financés par la caisse de solidarité et ses 3 composants :
La participation du magasin Biocoop qui fait un don de 9€ par bénéficiaire.
Le don solidaire qui peut se faire spontanément en caisse.
Des ateliers collectifs :
Proposés par le centre social de la CAF et co-animés par la MSA MPS type "Défis Foyers A Alimentation Positive". Ces ateliers proposés par Bio Ariège Garonne permettent un accompagnement gratuit sur une année pour mieux maitriser ses achats bio locaux dans un budget restreint avec des visites de ferme, de points de vente, des ateliers cuisine, diététique, ateliers/débats… Ils sont cycliquement organisés au centre social depuis 2019.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Depuis octobre 2022, l'expérimentation sur 5 foyers est autofinancée par la caisse de solidarité créée et abondé par la Biocoop via la marge encaissée sur les produits solidaires. Les partenaires sont mis à disposition, Bio Ariège Garonne est financé par une subvention de la Région Occitanie.
Une extantion de l'expérimentation est envisagée fin 2023, les dépenses envisagées comprendront :
- Une dotation pour alimenter la caisse alimentaire pour 30 paniers en 2023
Pour 30 paniers, besoin = 30 euros*12mois*30 personnes=10 800 €
Contributions visées :
❖ Biocoop : 1080 €
❖ Caisse (dons consommateurs) = 120*12=1440 €
❖ CAF/mairie/communauté de communes/Croix Rouge/ fondation=8280 €
- Un financement de l'ingénierie de projet : animation du copil, mise en œuvre des animations magasins et des ateliers collectifs pour les consommateurs - le financement ici concerne les actions de BAG (dossier déposé à la fondation CARASSO, à la Région), les autres acteurs seront également impliqués dans cette mise en œuvre mais dans le cadre de mise à disposition de personnel.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels
- Résultat sur le territoire
En Ariège et plus particulièrement en Couserans, de plus en plus de personnes portent les valeurs d’une démocratie alimentaire qui permettrait de défendre une notion de droit à l’alimentation. Ces questions sont d’autant plus marquées que :
La précarité y est forte (9.2% de taux de chômage et 18% de taux de pauvreté contre respectivement 7.3% et 15.1% au niveau national – INSEE 2022).
Les systèmes agricoles alternatifs y sont fortement développés (29% des fermes en bio en Ariège en 2021 – contre 13.4% au niveau Français – Agence bio 2022 et 34% contre 25% au niveau national développent la vente directe).
Dans ce contexte, en Ariège depuis 2019, le centre social aux côtés de différents partenaires du territoire : producteurs, distributeurs, structures sociales et d’aide alimentaire (MSA MPS, CAF, Croix Rouge), institutionnels (PNR PA et collectivités locales), chercheurs (INRAE/ISTHIAH), associations (tiers-lieu ORRIS) portent des actions visant une construction locale de l’accès à tous les habitants à une alimentation choisie contribuant au déploiement d’un système agricole durable et résilient.
- Résultat pour le centre social
- Rencontre de nouveaux publics qui pourront se saisir des autres propositions d'activité du centre social.
- Consolidation et dynamisation d'un partenariat varié.
- Résultat pour les habitants
- Atteindre un volume de 30 paniers suspendus sur l’année 2023 (30 foyers sur un an à raison d’un panier de 60 euros- remise de 30 euros/mois) ;
- Poursuivre les animations magasins/sensibilisation pour les dons consommateurs : 3 animations/an ;
- Mettre en place des actions d’accompagnement sur les adaptations des pratiques alimentaires, la prise en main des enjeux de la transition par les foyers bénéficiaires : ces actions seront pensées à la croisée entre les dispositifs défi FAAP et les autres expériences d’ateliers mis en place notamment par les acteurs sociaux. Le projet sera de proposer un cycle de 5 ateliers/an aux foyers participants en lien avec leurs besoins (visite de ferme, de marché, projection de film sur les enjeux, atelier cuisine, atelier diététique, etc…).
- Suite de l'action : Limites
- Implication des partenaires, du public.
- Obtention des financements.
- Suite de l'action : Perspectives
Pour les différentes actions présentées ci-dessous, une première phase concernera le déploiement du dispositif « paniers suspendus » tel qu’expérimenté en 2022 sur l’année 2023. Une deuxième phase visera son « ouverture » vers un système intégrant la participation des habitants, s’ouvrant à davantage de publics et visant d’autres lieux d’achat – vers un dispositif s’inspirant de la SSA (Sécurité Sociale de l’Alimentation). Ces actions seront travaillées en étroit lien avec les partenaires de développement et de la recherche au niveau régional (sus-mentionnés) afin de s’inspirer d’actions engagées sur d’autres territoires notamment…
Actions
Ateliers de mobilisation cuisine-insertion
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Santé
- Intégration
- Résumé
Permettre à des personnes bénéficiaires de minima sociaux de sortir de l'isolement, remobiliser des compétences, être accompagnées sur un projet personnel et trouver les ressorts d'une réinsertion sociale et professionnelle.
3 axes :
- Atelier cuisine une fois par mois, autour des produits de saison suivi d’un repas partagé.
- Travail avec les participants sur leur projet et les ateliers de l'après midi.
- Ateliers de l'après midi selon les souhaits et besoins des participants (balades/glanage, boxe, découverte entreprise d'insertion…).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
En collaboration avec le centre local de Foix (service social du département)
Accompagner sous forme collective des personnes en insertion et porteuse d'un projet quel qu'il soit (reconversion professionnelle, recherche d'un logement, d'un emploi...). L'objectif étant de les remobiliser sur leurs perspectives en leur apportant confiance et estime de soi, et outils (connaissances des différents dispositifs liés à l'emploi, relais pôle emploi ou entreprises d'insertion...), levée des freins par pair émulation et ateliers participatifs.
Cet atelier permet à des personnes se sentant isolées dans leur projet d'insertion, ou en manque de dynamique, de retrouver une énergie par le groupe et les professionnels accompagnateurs.
L’atelier cuisine permet un travail autour du « fait maison », de sortir du quotidien, de partager un temps autour de la nouveauté et des savoirs faire. Valorisation des compétences et création de lien social (les recettes sont proposées et expliquées par les participants eux-mêmes). L’entraide entre participants est facilitante, les ateliers sont chaleureux et conviviaux avec de nombreux échanges concernant les habitudes et pratiques personnelles.
La réflexion commune sur les projets personnels et le développement des ateliers collectifs permet la mise en pratique des compétences de chacun, l'implication et le développement de l'estime de soi.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Travail commun sur l'orientation des personnes entre les publics connus par le centre local dans le cadre des suivis rsa, et le public accueilli au centre social. Réunion préparatoire de présentation du projet aux participants potentiels et entrée tout au long du dispositif.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Environ 400€ (alimentaire et intervention de prestataires) + etp des professionnels
Subvention insertion PDI, budget centre social Caf.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels
- Résultat sur le territoire
Durant les années passées, via cette action, plusieurs personnes (notamment femmes isolées avec enfants) ont pu préciser un projet professionnel, se former et trouver un emploi (formation AFC FLE, auxiliaire de vie, pâtissière, agent d'entretien, aide à domicile, contrats d'insertion). Un participant du groupe actuel est déjà entré dans un dispositif de retour à l'emploi (PEP's), D'autres commencent à préciser un projet et trouver des appuis (financement de formation notamment).
- Résultat pour le centre social
Cette action offre un outil d'accompagnement plus poussé sur la question du retour à l'emploi, concernant des personnes qui fréquentent ponctuellement les ateliers du centre. Des relais ont lieu entre accompagnement de l'assistante sociale Caf (séparation notamment) - ateliers bien-être ou français du centre social - et suivi d'insertion professionnelle. Ces ponts créent un cercle vertueux dans les accompagnements proposés.
- Résultat pour les habitants
Une offre de proximité, conviviale et collective sur l'insertion, qui se distingue des accompagnements pôle emploi ou rsa en étant complémentaire.
- Suite de l'action : Limites
Il faut veiller à ce que les personnes suivies dans le cadre du rsa ne se sentent pas obligées de participer mais soient réellement volontaires. Il est parfois compliqué d'expliquer clairement les objectifs au départ. Une grande hétérogénéité dans les profils est présente, c'est une richesse mais il faut pouvoir médiatiser les relations et trouver un juste équilibre. L'irrégularité des présences séances après séances ne permet pas toujours de prévoir précisément les choses. Des habitants peuvent demander à participer aux ateliers cuisine mais ne répondent pas aux critères car leur demande est avant tout occupationnelle (parfois difficile à expliquer). Pas toujours facile de mettre en œuvre les ateliers proposés par les participants.
- Suite de l'action : Perspectives
Tout au long de l'année, il convient de faire entrer de nouveaux participants. Ce principe, ainsi que le développement des ateliers de l'après midi au fil de l'eau et selon les échanges avec les participants, permet à l'action de se renouveler sans cesse.