Historique

Date du 1er agrément : 01/07/2016
Population de la zone de compétence : 3984

Une identité ancrée dans l’histoire de Sochaux et de Peugeot : Des années 50 à nos jours (in préambule projet associatif 2012) 1ère période de 1957 à 1968, bénévolat et militantisme autour d'un projet citoyen. En 1957, alors qu'il n'existait qu'une seule MJC en Franche-Comté, est né à Sochaux, le Centre Récréatif et Culturel de Sochaux (CRCS). Il s'est affilié à la Fédération Française des MJC, dès 1958. Le boom économique des années 55-60 dans le nord de la Franche-Comté entraine un apport de main d'œuvre important de France et de l'étranger, et en particulier en faveur de Peugeot et de ses filiales. Les ouvriers célibataires furent logés dans les « Hôtels Peugeot », puis dans les « foyers de jeunes travailleurs », les couples dans les « grands ensembles ». Et c’est dans les hôtels Peugeot qu'un groupe de jeunes, aidé par quelques adultes et le Maire de Sochaux, Monsieur Maurice Thiévant, décide de se structurer pour créer le CRCS, notamment grâce au don du Père Duval. Ce centre qui fonctionnait dans différents locaux prêtés, sentit vite la nécessité d'avoir ses propres locaux. Peugeot, sollicité par Mr Peltier (président du CRCS), donne deux bâtiments préfabriqués. La municipalité de Sochaux finance alors l’installation de ces deux bâtiments. En même temps, le CRCS prend contact avec la seule MJC existante en Franche-Comté, à Besançon. Il décide de devenir une MJC. La MJC de Sochaux fut donc la première du nord Franche-Comté. Bien entendu, elle allait susciter une émulation et Montbéliard décida de créer elle aussi une MJC. A cette époque, l’association est composée de deux groupes (5 membres cooptés : 3 ingénieurs, 1 médecin et 1 dessinateur qui n'habitent pas les hôtels Peugeot et l’autre de 5 membres élus par l'AG: 2 dessinateurs habitant les hôtels Peugeot, 3 ouvriers dont l'un habite les hôtels. L'esprit général du Centre est avant tout un esprit de bonne camaraderie, d'entente, d'entraide, de bonne humeur » (extrait du règlement intérieur de 1959). Il est clair que la vie de la MJC est étroitement liée aux établissements Peugeot puisque les personnes qui la créent appartiennent à l'entreprise, que le besoin est lié aux conditions de vie et que les moyens sont directement ou indirectement fournis par Peugeot. Mais, Peugeot n'intervient jamais directement. En 1961, la FFMJC nomme un directeur, formé par elle, à la tête de l'équipe de bénévoles. Les préfabriqués de l'époque avaient été démontés et remontés à l'endroit actuel. La MJC possédait une petite salle de cinéma d'une centaine de places, un foyer, un bureau, un labo photo, une salle de réunion et un petit atelier poterie. Le directeur dirigeait les MJC de Sochaux, Montbéliard et Audincourt. Le directeur de l'époque ne reste qu’une année. En 1962, la nomination d'un nouveau directeur uniquement pour Sochaux: Yves Deschamps. Jusqu'en 1968, tout fonctionnait avec le bénévolat. Les actions étaient essentiellement centrées sur la citoyenneté. Il n'y avait pas particulièrement d'activités structurées mais une excellente ambiance. La MJC était surtout un lieu de rencontres et d'échanges. À l'époque, la MJC a un club photo, un ciné-club, elle organise des sorties tous les week-ends, des conférences, elle a un orchestre et un foyer. Petit à petit, les activités de la MJC se structurent. Vers 1963, la mise en place des stages « connaissance de la France » donne un plus grand rayonnement et une meilleure notoriété à la MJC. Pour ces stages, une cinquantaine de personnes venaient de France et de l’étranger. La MJC était chargée de leur faire découvrir les environs et de leur accueil global. En 1964 naît le projet d'une nouvelle MJC. Il s'agit alors d'une structure importante, comprenant une MJC avec un foyer d'hébergement de 170 lits. Au cours des années 1965 et 1966, tous les efforts sont centrés sur ce projet de réalisation, mais celui-ci n'avance pas. 2ème période : de 1968 à 1982, début de la professionnalisation et de la structuration en « activité régulière » En 1968, Albert Matocq-Grabot arrive après sa formation de directeur, ferme temporairement la MJC pour remettre en état les locaux avec des jeunes. Les activités reprennent avec la réouverture de la maison, les premiers animateurs salariés sont embauchés. Le nombre d'adhérents augmente immédiatement. (De 150 à 316 - 50 enfants de 6 à 14 ans). En novembre 70, après de longs compromis une nouvelle activité est créée, la reliure de livres. Elle obtient tout de suite un grand succès. En 1976, Gaston Simonin est nommé à la direction de la MJC. A partir de 1976, la MJC a une histoire plus linéaire et deux problèmes apparaissent : l'essentiel de la MJC est constituée d'activités avec des « adhérents consommateurs » et apparaît la dualité du public « jeunes » et « activités ». 1980, la modification du bâtiment sur la base de 4 espaces : foyer, administration, deux espaces polyvalents l'un pour des activités ménagères et familiale et l'autre pour des activités physiques et culturelles. 3ème période : de 1983 à 1997, la MJC devient un pôle d'excellence en danse. En 1983, la MJC ouvre les portes de ses nouveaux locaux à ses adhérents. L’activité danse se développe, pour devenir « pôle ressources Danse ». 4ème période : de 1998 à nos jours, La période de réorganisation Ange Jouan et André Bochard sont alors arrivés. En 1998, sont apparues des difficultés financières. La MJC n’obtient pas de soutien de son financeur principal. Une réorganisation s’impose et l'équipe est maintenant constituée de 4 salariés. C'est à cette période que l'activité danse disparait. Les années qui suivirent ont été essentiellement caractérisées par une rigueur budgétaire, l’arrêt d'activités et une baisse du nombre d'adhérents. Un pôle multimédia a été mis en place en 2002 dans les locaux de la MJC. Le pôle est géré par la ville de Sochaux. La signature du Contrat Territorial Jeunesse soulagera les finances de la MJC et donnera des moyens au secteur Jeunes. En novembre 2007, André Bochard part en retraite et il est remplacé par Éric Alison, la situation financière est alors saine. En Juin 2008, la MJC de Sochaux fête ses 50 ans avec toutes les associations sochaliennes. C’est aussi une longue période d’absence de direction. En octobre 2010 la MJC a une nouvelle directrice, Mme xxxxxx. La dynamique repart. Puis, la directrice quitte la structure et lui succède notamment Sébastien Gonzales. Des projets de restructuration sont à l’œuvre. En 2011, la MJC décide de s’engager dans un travail de refonte de son organisation et de refonte de son projet associatif. Pour ce faire, elle décide de se faire accompagner et obtient l’aide du DLA (Dispositif Local d’Accompagnement). Cet accompagnement a pour objectifs de « mettre en exergue les points forts et points faibles de la structure et de rédiger un projet associatif après consultation des adhérents et des habitants ». Les conclusions sont transmises en décembre 2011. Ainsi, après des réunions où participaient le Conseil d’Administration, des animateurs bénévoles et le personnel permanent, ressort-il que la MJC est reconnue comme une structure d’activités pour les jeunes et les adultes : il est donc indispensable de remettre le projet à l’ordre du jour en tenant compte des valeurs de l’éducation populaire, et transformer l’image de la maison. Les projets, pour ces trois prochaines années, devront toucher tous les secteurs de la maison ainsi que tous les adhérents ». La réécriture du projet est donc finalisée en 2012. Bernard Popieul prend la direction de la MJC à partir de 2014. 5ème période : la MJC demande l’agrément Centre Social à la CAF et l’obtient en 2016.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Vie sociale et citoyenne des quartiers
• Axe 2 : Soutien à la parentalité
• Axe 3 : Culture et mixité
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1973
Population de la zone de compétence : 6087

Le centre social de Presles a été créé dans les années 1970. C'est une structure municipale en gestion directe 

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Impliquer les habitants en valorisant leurs compétences
• Axe 2 : Favoriser les actions intergénérationnelles et interculturelles
• Axe 3 : Soutenir la parentalité et le lien familial
• Axe 4 :
• Axe 5 : Œuvrer pour la solidarité et l'entraide

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1991
Population de la zone de compétence :

Ouverture en 1991

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2005
Population de la zone de compétence : 4343

2005

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Installation des instances participatives avec l'émergence de leaders porteurs de projets pour les habitants
• Axe 2 : renforcer l'animation globale (tous publics)
• Axe 3 : Améliorer les conditions d'accueil favorisant l'accès aux droits à l'information et au numérique.
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 26/04/2024
Population de la zone de compétence : 4200
Le centre social St Crépin a été créé en 1959 par les habitants du quartier, sur un terrain appartenant à l'association AMSAM, En 1972 construction d'une salle polyvalente. En 1996 construction du nouveau bâtiment et destruction du 1er datant de 1959. En 1997 cohabitation dans les mêmes locaux d'un centre social et d'un point services familles (conseillères ESF, médiatrices?...) En 2008 le centre passe d'une gestion CAF a une gestion municipale.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 02/01/1997
Population de la zone de compétence : 3500

Le Centre Social Municipal "Les Campanules" est une structure de proximité à vocation sociale globale, créée en 1992 sur le quartier du Noyer -Crapaud, classé aujourd'hui prioritaire ville, situé au nord ouest de la commune. Cette structure est agréée "Centre Social" depuis 1994.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : UN CENTRE SOCIAL VECTEUR DE LIEN SOCIAL ET DE SOLIDARITÉ
• Axe 2 : UN CENTRE SOCIAL PROMOTEUR ET ACTEUR D’UN PROJET ÉDUCATIF
• Axe 3 : UN CENTRE SOCIAL OUVERT À L’EXERCICE DE LA CITOYENNETÉ
• Axe 4 : UN CENTRE SOCIAL LIEU RESSOURCES POUR LES FAMILLES
• Axe 5 : UN CENTRE SOCIAL « SOUTIEN À LA PARENTALITÉ »

Historique

Date du 1er agrément : 01/03/2013
Population de la zone de compétence : 3711

En 1961, l’association socio-culturelle « Les Noëls » voit le jour. C’est en 1973, qu’elle obtient son premier agrément « Centre social » délivré par la Caisse d’Allocation Familiales (CAF). Pendant plus de 40 ans le Centre social développe une gestion associative organisée principalement autour de femmes bénévoles. Ainsi pendant des décennies, la vie du quartier est portée par des initiatives volontaires et actives. Certaines sont encore pérennes aujourd’hui : • La fête de quartier ; • Cours d’alphabétisation ; • Accueil petite enfance ; • Présence et permanences de travailleurs sociaux. En 2013, l’association fragilisée par une mauvaise gestion est mise en liquidation. La municipalité consciente de l’importance du maintien des actions prend alors à sa charge la structure et son animation.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Animer le territoire.
• Axe 2 : Agir pour la solidarité et la citoyenneté.
• Axe 3 : Favoriser l'épanouissement des enfants et des jeunes.
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1998
Population de la zone de compétence : 0
En 1995, la municipalité de Somain annonçait officiellement son projet de création d’une structure de type Centre Social à l’échelle de son territoire. Après une phase de diagnostic d’une année, elle lançait un travail de concertation et de débats publics autour des orientations que devait prendre le projet. 1998 marque la naissance de la structure.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : favoriser l'implication des habitants et developper le lien social et la solidarité
• Axe 2 : developper la communication renforcer la visibilité et la lisibilité du centre socioculturel et de ses actions
• Axe 3 : renforcer l'effiscience de la strucrure
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/06/1997
Population de la zone de compétence : 23087

Date de création : 17 décembre 1998 Date du premier agrément : 1er juin 1997 A l'origine, il y a le Cart, une association implantée à Sommières depuis 1967 qui gère un établissement de tourisme social de 120 lits, de plus fortement ancré dans l’Éducation populaire et largement ouverte au milieu local. Au cours des années 70 et 80, le Cart est le lieu socioculturel qui rayonne à Sommières et sur les villages voisins. En 1989, une première activité de "soutien scolaire" conduite par des bénévoles accompagnés par l'animatrice socioculturelle du Cart se développe. Puis, ce sera un point information jeunesse ; puis "l'école des femmes"; par la suite des actions "ville vie vacances" pour les jeunes. En 1995, le lieu est déjà fortement investi par la population locale, l'association Le Cart imagine un autre développement. Après un premier contact avec la CAF du Gard, le premier projet social est écrit et l'agrément octroyé. Le Cart gérera le centre social intercommunal jusqu'au 1er janvier 2000, date à laquelle l'association Calade, précédemment créée en 1998, devient autonome. 1998 - 2000 : la naissance de Calade Calade, centre socioculturel intercommunal a obtenu son premier agrément par la Caisse d’allocations familiales du Gard en 1997. Géré par une association loi 1901, l’équipement a comme territoire d’intervention l’ensemble des communes constitutives de la Communauté de communes du Pays de Sommières. Lors de la mise en place du centre social en 1997, la Communauté de communes comptait alors 8 communes, un territoire géographiquement éclaté et 8000 habitants. Les objectifs généraux du premier projet font état de développement social local et de soutien à la fonction parentale. La mission de Calade sur le territoire de la Communauté de communes du Pays de Sommières est dès lors posée. Calade assure les fonctions générales d’accueil, d’information et de prévention. Il est ouvert à tous les habitants qui souhaitent prendre des initiatives pour maintenir et développer le lien social. 2000 - 2007 : le développement de Calade Le deuxième projet social de Calade, pour la période 2000-2004, pose les bases d’un important développement du centre social. En effet, le territoire de la Communauté de communes est passé de 9 à 16 communes. Calade sollicite donc un second agrément pour un second établissement (Calade à Calvisson) et développe les secteurs Famille (développement de l’action collective familles) et Insertion (création de l’Action Collective d’Insertion : épicerie solidaire et prêt de véhicule et prise en charge du Chantier d’insertion). De 2008 à 2010 : les actions de Calade se stabilisent 2011-2013 Calade, un acteur ancré dans le paysage social du pays de Sommières Le projet social 2011-2013 s’inscrit dans la continuité des orientations et la reconduction des actions existantes, avec une fonction forte d’accueil et de recueil des demandes et besoins des habitants, en favorisant leur participation aux actions d’animation sociale, socioculturelle et familiale et une présence continue auprès des habitants dans leur vie et leurs projets. 3 orientations générales : o "Développer sur le territoire une animation sociale participative" o "Développer l’animation collective avec et pour les familles" o "Soutenir les personnes dans leur parcours de vie et favoriser les solidarités" Et une quatrième orientation pour préparer l’avenir à court et long terme : o « Animer un espace d'innovations sociales en lien avec les problématiques du territoire". Projet social 2014-2017 : Les quatre orientations du projet social 2011-2013 sont conservées et complétés par trois axes transversaux : o Aller Vers : permettre à tous les habitants de la CCPS la possibilité d'avoir accès aux services et activités du centre social et plus largement. o Pouvoir d'Agir : permettre à tous les habitants de découvrir, de développer et de mettre en œuvre leur capacité d'initiative. o Communication : permettre aux habitants, aux associations, aux institutions, aux bénévoles, aux salariés, de connaître et reconnaître le centre social comme un lieu d'écoute, un lieu relais, un lieu ressource. Projet social 2018-2022: Les trois axes transversaux sont conservés et complétées par trois orientations: o Bien vivre ensemble: Favoriser la mixité des groupes et les dynamiques de groupe, Développer l’interconnaissance - appréhender, valoriser la différence - Faciliter la prise de parole, permettre à chacun de s’exprimer en tant que citoyen - Favoriser les solidarités, o Ressources des personnes: Développer la lisibilité des actions de Calade en s’appuyant sur les ressources du territoire (partenaires, élus locaux, les commerçants, les habitants etc.) - Favoriser les circuits-courts de l’information et de la communication - Réduire les inégalités entre les territoires - Reconnaitre, former et valoriser les bénévoles - Développer l’autonomie des personnes - Favoriser l’accompagnement des personnes en situation de vulnérabilité - Impliquer les habitants de la réflexion au fonctionnement du projet et o Développement local : Faire connaître les ressources existantes - Mutualiser et mettre en réseau les ressources - Identifier et faire remonter les besoins du territoire et des habitants - Accompagner et soutenir les initiatives des habitants et des acteurs locaux - Innover-Expérimenter des réponses et services pour des besoins non satisfaits du territoire - Renforcer les liens entre les acteurs du territoire, animer le partenariat, favoriser les projets collectifs

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Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Bien vivre ensemble
• Axe 2 : Ressources des personnes, du territoire
• Axe 3 : Développement local
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 26/04/2024
Population de la zone de compétence :

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 15/08/1975
Population de la zone de compétence : 6590
Le Centre Social Rural, une réponse aux besoins HABITANTS Le Centre Social Rural de Songeons (CSR) est fortement lié à l’histoire des centres sociaux, notamment ruraux et aux dispositifs de l’action sociale et familiale de la CAF et de la MSA. A l’époque, située en zone rurale défavorisée, le canton avait besoin d’une structure de proximité pour répondre aux besoins de la population. Principal acteur social du canton pendant plus d’une vingtaine d’année, sur un territoire relativement pauvre et vieillissant, l’action s’est orientée sur les questions de l’insertion, du social et de la santé en dynamique de développement social local (DSL), on parlait à l’époque « d’animation du milieu rural ». Dès que le Centre Social Rural de Songeons a été créé en 1975, c’était surtout pour apporter aide et soutien aux personnes fragilisées socialement sur l’ancien canton de Songeons et plus particulièrement aux personnes âgées isolées. Un service d’aides ménagères est alors mis en place sous le contrôle de la directrice, assistante sociale, salariée de la Mutualité Sociale Agricole. Dès sa création, le CSR est fortement soutenu par la MSA qui représentait un relais local de sa politique d’action sociale dans le champ de l’aide à domicile et de l’économie familiale, soutien manifesté par du détachement de personnels et du soutien administratif (paie, comptabilité, ressources humaines). C’est donc, naturellement que le CSR intègre la Fédération des Centres Sociaux Ruraux de l’Oise, créée en 1971 par la MSA pour devenir en 1982, l’Association Départementale des Centres Sociaux Ruraux de l’Oise (ADCSRO). Cette dernière a repris les activités de la Fédération, dont la gestion des services communs et la fonction employeur. L’ADCSRO a œuvré, jusque fin 2010, à la reconnaissance de la fonction de l’animation globale et à la coordination des 15 CSR de l’Oise, fonction légitimée par la signature en 1995 d’une convention multipartite départementale avec le Conseil Général de l’Oise, la MSA, les CAF de Beauvais et de Creil formalisant ainsi leurs financements. Par ailleurs, de 1998 à 2012, les CSR et L’ADCSRO étaient liés aussi par une convention de partenariat confiant à chaque CSR la gestion opérationnelle du service d’aides à la personne et la représentation de l’ADCSRO dans la mise en place des contrats à conclure avec les autorités de tarifications. A la demande du Conseil général de l’Oise de verser les fonds directement à l’ADCSRO, détentrice de l’autorisation de service et non plus aux CSR, les centres sociaux dénoncent un à un leur convention. Ils remettent en cause les contrats de mandats pour les remontées des flux financiers des activités médico-sociaux réglementés inscrits aux comptes des CSR et des frais de siège, jugés trop élevés. Cela fragilise l’association départementale qui dépose le bilan fin année 2013. Depuis sa rupture avec l’ADCSRO, le CSR a dû se relever de la perte de ses activités d’aide à la personne en orientant son développement aux besoins des familles notamment ceux des accueils petites enfance et enfance afin de permettre aux familles de concilier vie s professionnelle et vie familiale sur un territoire repéré comme étant être, à la fois jeune et vieux. Aujourd’hui, le CSR de Songeons est employeur de 22 salariés (8.6 ETP). Son budget est de 960 000 € en 2017 avec pour activités principales la gestion d’un multi accueil, de sept regroupements périscolaires réparties sur l’ancien canton de Songeons, de 4 Accueils Collectifs de Mineures (trois enfance et un pour la jeunesse) ainsi que 2 services d’animation collectives familles et retraités. En gestion associative, il est représenté par un Conseil d’administration de 15 membres élus et de 12 membres de droit, adhère au SNAECSO et en fin d’année intégrera à la fédération des centres sociaux de l‘Oise, constituée en 2017. Le Centre Social Rural ne gère plus les services d’aides à domicile mais a gardé son service d’animation socioculturelle retraités et d’accompagnement au vieillissement avec, en support de travail social : des ateliers bien vieillir, des départs en vacances, encadrés par une animatrice à mi-temps et par un solide partenariat composé de : l’Instance locale de gérontologie, la maison de retraite de Songeons, les clubs des retraités et les services locaux d’aides à domicile.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser le rayonnement du Centre Social Rural en l'impliquant dans une dynamique locale
• Axe 2 : Orienter les activités en fonction du besoin des habitants en facilitant l'accès
• Axe 3 : Améliorer la qualité des activités
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2008
Population de la zone de compétence : 4675

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Etre un lieu "ressources"
• Axe 2 : Développer les solidarités locales
• Axe 3 : Agir avec et pour les familles
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 26/04/2024
Population de la zone de compétence : 7958

L e centre social a été crée en 1975 par des femmes souhaitant mutualiser l'accueil des leurs enfants et partager des loisirs

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Identite du centre social
• Axe 2 : Accueil pour tous et solidarité
• Axe 3 : Vie de la structure
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2009
Population de la zone de compétence : 18450

01/01/2009

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Développer le lien social, l’entraide et la solidarité entre les habitants
• Axe 2 : Faire du centre social un lieu fédérateur pour la dynamique de vie de quartier
• Axe 3 : Développer la fonction accueil du centre social au regard des besoins des habitants
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1995
Population de la zone de compétence :

L'association Relais Accueil des Gens du Voyage a été crée en 1993 par un groupement des 19 communes de l'agglomération rouennaise qui, comportant plus de 5000 habitants, ont l'obligation de prévoir l'accueil des gens du voyage ( stationnement et services adaptés) . L'association a souhaité développer un volet social visant à intégrer les gens du voyage habitants du territoire dans les équipements de droit commun, en mixité. Elle a donc créé le centre social agréé en 1995.Le projet social est axé sur l'accès aux droits et la citoyenneté ainsi que toutes actions de prévention de l'exclusion et d'appui éducatif aux familles qui connaissent des conditions de vie difficile et une grande précarité. Le projet est aussi fortement orienté sur des pratiques de développement social local pour impliquer les acteurs des secteurs de stationnement ou résidence des usagers. L'objectif est de prévenir, ou corriger, les effets ghetto de l'assignation de ce public sur des lieux ingrats ainsi que la non prise en compte de leur statut et habitat dans les politiques publiques. Nous essayons d'associer les autres centres sociaux, les centres sociaux, les lieux d'accueil parents-enfants. pour favoriser la mixité. Le centre social est agréée pour la domiciliation de 1000 personnes. L'équipe comporte 9 ETP. Nous sommes agréés CLAS, REAAP et ACF.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : accès aux droits : contribuer à faciliter l'accès aux droits formels et services de droit commun accessibles à chaque citoyen
• Axe 2 : Inclusion : dynamique d'implication dans la vie sociale locale et reconnaissance de l'ancrage territorial sur la commune de résidence
• Axe 3 : Émancipation-susciter la capacité d'agir : favoriser la prise d'initiatives des usagers, acteurs de leurs projets et de leur territoire
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2018
Population de la zone de compétence : 59782

associatif de 2013 à 2017, la Maison des Citoyens La Passerelle est municipale depuis le 1er janvier 2018. Il est rattaché au Centre Communal d'Action Sociale de Soustons

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : lutte contre la précarité
• Axe 2 : lutte contre l'isolement
• Axe 3 : soutien a la parentalité
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1988
Population de la zone de compétence : 7266

Déclaration en préfecture le 18 octobre 1988

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 04/03/1992
Population de la zone de compétence : 9553

créée le 8 mars 1966 sous l'influence politique de la ville de Soyaux, et d'un collectif d'habitants

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Etre un outils citoyen au service des habitants et des familles
• Axe 2 : Faciliter l'accès à la culture, au sport, au loisir, au numérique et à l'éducation
• Axe 3 : Participer à l'amélioration du cadre de vie
• Axe 4 : Etre une structure d'accueil et d'animation pour tous les publics
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2019
Population de la zone de compétence : 4202

La Margelle est une association de droit local à but non lucratif. Elle est née[1 de la volonté d’habitants et d’élus de mettre en place une structure à vocation d’animation globale, répondant aux besoins des habitants et du territoire.

L’association est créée en septembre 2009 et obtient de la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) du Haut-Rhin l'agrément « espace de vie sociale ».

Le nom « La Margelle » est choisi en référence à l’histoire du Bassin minier. Une margelle est l’assise de pierres qui forme le rebord d’un puits, également anciennement lieu de rencontres, d’échanges et de relations sociales au sein d’un village.Installée du côté Cité, à la Galerie (bâtiment communal), elle intervient sur le territoire de la commune de Staffelfelden. Ses activités, en particulier culturelles, rayonnent sur un territoire plus large : Mulhouse Agglomération, Vallée Thur-Doller, et Florival.

Les valeurs et missions initiales

À travers ses différentes actions, La Margelle s’est donnée pour missions de faciliter et développer les relations sociales, favoriser l’implication des habitants, l’entraide, la solidarité, la citoyenneté et contribuer à dynamiser le tissu social.L’association fonde son action sur des valeurs de l’éducation populaire :

• Former des citoyens actifs et responsables ;
• Démocratiser l’accès aux savoirs ;
• Promouvoir les valeurs humanistes, démocratiques et républicaines.

• Elle construit ses actions en s’appuyant sur les valeurs suivantes :

• Le droit au respect et à la dignité de tout être humain, quelle que soit son origine ou son statut social ;
• La solidarité face aux différentes formes d’exclusion et de discrimination à travers l’échange, l’entraide, le partage des connaissances et la pratique d’activités collectives ;
• L’accès pour tous à l’éducation et à l’épanouissement personnel ;
• L’action collective comme moyen de développement de projets autour de la citoyenneté ;
• La création et le maintien des liens sociaux, familiaux, des échanges intergénérationnels.

[1]À la suite de la liquidation judiciaire de l’ancienne MJC en 2008

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Renforcer la fonction accueil
• Axe 2 : Provoquer la rencontre, se mettre en relation pour (re)faire société
• Axe 3 : Agir avec les publics et sur le territoire dans une démarche de collaboration
• Axe 4 : Mettre la dimension culturelle de La Margelle au service de ses missions
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1988
Population de la zone de compétence : 8000

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : DEMOCRATIE PARTICIPATIVE ET POUVOIR D’AGIR
• Axe 2 : VALORISATION DES COMPETENCES DES HABITANTS
• Axe 3 : ACCOMPAGNEMENT DE LA JEUNESSE (15-25 ans)
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 12/01/2014
Population de la zone de compétence : 13000

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Accès au droit pour tous
• Axe 2 : Initiatives citoyennes
• Axe 3 : Chez nous, c'est chez vou
• Axe 4 : Education positive et parentalité bienveillante
• Axe 5 : Animation et séjours familles

Historique

Date du 1er agrément : 01/12/2017
Population de la zone de compétence :

Le projet de centre social est l’aboutissement d’un processus, à la fois, très lent en termes de maturation et d’appropriation des habitants de leurs quartiers, et très compressé dans le temps, en termes de réunions et de travail, aussi bien de terrain que d’écriture ! Ainsi, et à l’origine du projet du centre social de la Maison de Quartier en 2015, il y a eu deux volontés en gestation, mais sans conflit ni confrontation : 1- Une volonté des adhérents AHQM (Association des habitants du quartier du Maroc) de transformer leur territoire 2- et une volonté des élus d’accompagner cette transformation, Et au fil des mois « de grossesse », les deux tendances ont convergé vers la création d’un Centre social municipal. Ainsi, et comme l’année 2016, était l’année du désir, et de la rencontre avec les habitants…les élus et les partenaires, autour d’une gestation qui a pris des mois ; pour donner vie à un projet pensé et partagé par tous, sur un territoire déjà marqué par son histoire ; l’année 2017 était l’année de la préfiguration du projet social …et du centre social. Elle était aussi la concentration sur l’optimisation des conditions d’accueil de la grande aventure, qu’est la naissance d’un centre social ou une Maison pour chacun dans le cadre d’un projet pour tous. L’année 2017, était donc une année charnière, qui a d’abord nécessité beaucoup d’efforts pour expliquer, communiquer et accompagner les habitants et les usagers à assimiler la différence entre l’ancienne histoire du territoire et du travail social avec l’AHQM, et le nouveau cap qui se dessine et s’enracine avec l’installation d’un centre social municipal, afin de mieux absorber les besoins et les projets des habitants. Le recrutement de la responsable du centre social municipal, anciennement directrice de l’AHQM, permet de poursuivre le travail engagé depuis plusieurs années, tout en maintenant un lien étroit avec l’association. Le fait que la responsable ainsi que l’agent d’accueil soient choisies, en fonction de leurs compétences bien-sûr, mais aussi en concertation avec les habitants, a tout de suite rassuré, conforté l’ensemble des usagers qu’ils sont et seront écoutés dans leur volonté de concevoir et de construire les projets, dans un esprit de concertation, et dans le cadre d’une démarche participative, avec l’équipe municipale. Il faudra souligner dans ce contexte, que le partenariat privilégié avec l’AHQM, a favorisé un climat d’harmonie, qui a favorisé la construction d’actions dans la continuité du travail social déjà mené sur le territoire.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Soutenir l’implication des parents
• Axe 2 : Renforcer l’accès à la culture et les liens intergénérationnels
• Axe 3 : Réduire l’échec scolaire et favoriser la réussite éducative.
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 26/04/2024
Population de la zone de compétence :

le premier agrément a été délivré en 1995. Depuis, chaque renouvellement est accepté pour la durée de 4 ans.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 30/01/2008
Population de la zone de compétence : 12500

Le centre social du Habsterdick a été créé suite à la demande de la commune de réaliser des actions dites de loisirs auprès du public adolescent. L'ASBH ayant un rayonnement important s'est donc positionné et a créé une structure répondant à leur demande. L'agrément projet social AGC est déposé bien après sa création, en 2008.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser le vivre ensemble en créant des passerelles avec les différents quartiers de la ville
• Axe 2 : Lutter contre l’isolement et favoriser l’entraide et la solidarité
• Axe 3 : Accompagner les habitants à la citoyenneté et à s’inscrire dans la société afin de faciliter la vie quotidienne
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 26/04/2024
Population de la zone de compétence :

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :