Les actions des centres sociaux
Actions
journée santé bien être
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL DE TOURNON - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
Mise en place d'un réseau de thérapeutes quasi bénévole en médecines alternatives (c-à-d non remboursé par la sécu) pour des personnes en priorité empêchées pour des raisons financières.
Tarif selon quotient familial.
Ex de soins: osthéopate, sophro, massage etc...
Ex de tarif: pour une personne au RSA: 5€
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un habitant
- Précision ( si autre )
Evoqué par un habitant puis proposé par le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La question de l'accès au soin est largement partagée par les personnes qui fréquentent notre lieu ressource pour les personnes à très bas revenu.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
1- réalisation d'une journée bien-être (mars 2015) avec 10 thérapeutes dans une grande salle. journée gratuite - A permis de faire connaître le projet, de fédérer; de donner un point de référence.
2- mise en place des journées du bien être 2 mardi/mois en septembre.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- temps de travail de l'animatrice adulte et 600€ d'investissement (table de massage etc..)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
17 thérapeutes mobilisés à ce jour.
- Résultat sur le territoire
faire savoir que l'accès aux soins est un problème pour une partie de la population.
en faire écho à la com com qui établit sa politique sociale.
- Résultat pour le centre social
Nous faire identifier comme un lieu des possibles tant auprès des habitants que des partenaires
- Résultat pour les habitants
des habitants qui traînent des sciatiques (où autres) et ne peuvent jamais avoir ce type de soins améliorent leur santé, leur bien être
- Suite de l'action : Limites
dépend du bon vouloir des thérapeutes. D'où l'importance d'en avoir un grand nombre, cela permet de pas trop les mobiliser et de les conserver dans le temps
- Suite de l'action : Perspectives
Reste à se poser l'accès à la médecine de ville avec les médéciens récalcitrants à la CMU par exemple.
Actions
Navette Solidaire "Le Ptit'Bus"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL L'ODYSSEE DE SAINT AGRÈVE - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- mobilité / transport
- Résumé
Une navette pour aller au centre ville de la commune de Saint-Agrève (2400h). 4 fois par semaine, serice gratuit, il suffit d'être adhérent au centre socioculturel. Les chauffeurs bénévoles (8) vont chercher les personnes (tout public mais en majorité des seniors) chez elles, les aménent chez le médécin, maison de services au public, mairie, courses puis les ramènent chez elles. Il suffit juste de réserver la veille avant midi. Un coup de fil et on vous enmène !
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Répondre aux besoins liés à la mobilité sur une commune étirée autour d'une rue centrale (1,5 km entre l'est et l'ouest). Pour les personnes n'ayant pas de véhicule ou plus les moyens de le conduire, la difficulté quand on est fatigué, malade, de cheminer sur des trottoirs quelque fois en très mauvais état. Le projet s'adresse à tous les publics même si les bénéficiaires sont essentiellement des personnes âgées (+75 ans en moyenne). Il s'agit pour elle quelque fois de la seule sortie de la semaine, pour aller au centre socioculturel, à la mairie, à la maison de santé, faire ses courses. Cela permet aussi de rendre acteur des chauffeurs bénévoles, jeunes retraités pour la plupart, qui veulent rendre service à leurs concitoyens.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- CARSAT
- Commune
- Conseil départemental
- Fondations
- MSA
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Existence d'un comité de pilotage local sur la problématique "mobilité" très prégnante sur notre bassin de vie. Des associations locales, des habitants, des élus, le département. Après un diagnostic local, un projet de navette voit le jour en mai 2015 en s'appuyant sur des chauffeurs bénévoles et un véhicule existant (minibus 9 places) appartenant au centre socioculturel. Un groupe de travail avec un animateur du centre, le directeur et des chauffeurs bénévoles s'est constitué. 3 réunions ont été nécessaire pour définir : le territoire, le public, le coût, la communication et le planning des navettes. L'objectif est de permettre aux personnes rencontrant des difficultés à se déplacer, de les amener en centre ville pour faire des activités, les courses, des démarches administratives... Le projet a pu voir le jour avec le soutien financier de partenaires comme la MSA, la carsat, le département et la fondation de france
- Ressources financières mobilisées pour cette action
avec les charges de personnel, on est autour de 5000 euros par an
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 salariés, 8 chauffeurs bénévoles et le comité de pilotage soit 15 personnes de plus donc au total : 26 personnes
- Résultat sur le territoire
1 service supplémentaire sur le bassin de vie, pas de concurrence avec les taxiteurs locaux qui ne font que rarement des courses très locales et ils ont été contactés avant le démarrage de l'action. Un vrai service à la population, du lien social (rencontres entre personnes), de la solidarité (portage des courses), bonne image des chaffeurs qui donnent de leur temps
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance du centre socioculturel pour proposer des projets innovants et vecteur de lien social
Un budget relativemetn important pour une seule action avec des soutiens financiers importants mais qui reste à péréniser (fondation de france que pour une année)
- Résultat pour les habitants
1 service gratuit (adhésion de 11€ par an)
des rencontres entre bénéficiaires et avec les chauffeurs, des personnes qui sortent d'un isolement qui était forcé (pas de voiture en milieu rural, c'est dur)
des habitants bénéficiaires qui s'impliquent dans la vie du centre (commissions, échange, autres activités)
reconnaissance des bénévoles pour leur implication dans la vie locale
- Suite de l'action : Limites
malgré le succès de la navette qui fonctionne en moyenne 3 à 4 fois par semaine, il y a peu de personnes à chaque fois (1 à 3 max) sauf le mardi matin pour une activité particulière du centre (assiette des aînés avec 8 personnes à chaque navette)
le financement car l'action est coordonnée par des salariés (comité de pilotage, réservation, communication, dossiers) et que certains financeurs (fondation d efrance) ne finance l'action que sur une année, donc nécessité de trouver des financements pérénnes.
- Suite de l'action : Perspectives
cette action peut relativement facilement s'externaliser sur d'autres communes, souvent des véhicules d'associations, de collectivit, d'entreprises sont sous-utilisés et pourraient servir. Les bénévoles peuvent se "recruter" et des structures peuvent organiser ce genre de projets.
Actions
Ateliers sociaux linguistiques
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL L'ODYSSEE DE SAINT AGRÈVE - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Création d'ateliers animés par des bénévoles (14), à raison d'environ 10 ateliers par semaine d'une durée moyenne d'une heure. Avec l'installation d'un CADA sur la commune de Saint-Agrève, il était intéressant de proposer aux demandeurs d'asile mais aussi aux primo-arrivants sur la commune, des ateliers sociaux-linguistiques, qui permettent de favoriser l'intégration des personnes au sein de la collectivité. Ce sont des habitants déjà impliqués dans l'accompagnement des demandeurs d'asile, qui sont venus solliciter le centre socioculturel qui bénéficie de locaux fonctionnels et rénovés, du matériel nécessaire (paperboard, vidéo projection, photocopieuse, salles, internet) ainsi que des ressources humaines pour la coordination des activités (planning, réunions des bénévoles etc...)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour intégrer au mieux les nouveaux arrivants sur la commune, l'apprentissage de la langue étant primordiale. Le nombre de cours/ateliers est très important, avec une fréquentation moyenne de 6 personnes par ateliers. Il faut noter qu'il ne s"agit pas de proposer ces ateliers aux seuls demandeurs d'asile présents sur la commune, mais aussi aux primo-arrivants qui sont en moyenne 3 à 4 par an. Les personnes bénéficiant (gratuité) de ces ateliers s'intégrent mieux au sein du village en participant aux activités du centre, de la municipalité (téléthon, ardéchoise). Le fait que les ateliers se déroulent au centre socioculturel est un plus, la bâtiment est au coeur du village et est très fréquenté pour les diverses activités et services qui y sont proposés. Les demandeurs d'asile qui obtiennent leurs papiers, peuvent ainsi s'insérer plus facilement avec ce genre d'ateliers.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a débuté en septembre 2017, 10 ateliers par semaine (1h/atelier), les bénévoles se soutiennent entre eux (parrainage et doublon pour démarrer avec un/e "ancien). Le centre socioculturel assure la coordination de l'activité, son animation et son suivi. Des réunions régulières sont organisées avec les bénévoles et les partenaires. Des temps de bilan/échanges sont prévus également avec les bénéficiaires des ateliers. Chaque bénévole est responsable de la "pédagogie" qu'il emploie et qu'il peut partager lors des réunions régulières avec ses pairs (une tous les deux mois). Des formations sont prévues également à moyen-terme pour les bénévoles (actuels et futurs)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
C'est un budget relativement modeste, environ 3500€ /an, soutenu par le departement de l'ardèche (1500€). Les charges de personnel représente environ 70% du total, le matériel (photocopies, achat de livres) et la communication complétent le budget.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés (directeur pour le pilotage, agent de développement pour la coordination et animation), ainsi que 14 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Une activité de plus pour notre commune, une mobilisation importante de bénévoles, moteur et force de proposition. Surtout un outil d'intégration pour un nouveau public souvent désemparé en arrivant en France (demandeurs d'asile). Le retour du public (bénéficiaires et habitants) est plutôt largement positif.
- Résultat pour le centre social
Une fréquentation accrue dans les salles du centre, encore plus de passage et de la vie dans les salles du centre, ce qui est vraiment positif. Une reconnaissance aussi pour le centre dans son rôle de vecteur de développement de l'animation locale, un centre-ressource et un appui pour le développement de nouvelles activités et services et le soutien aux initiatives d'habitants comme c'est le cas ici
- Résultat pour les habitants
Une intégration facilitée pour les bénéficiaires qui en "maîtrisant" mieux la langue française; peuvent évidemment prévoir une installation durable sur la commune ou même ailleurs. Le ressenti de la population locale semble positif, de même que celui des partenaires du centre (commune, département, associations locales)
- Suite de l'action : Limites
Les ateliers se poursuivent, il y a cependant des demandeurs d'asile (quelques hommes surtout) qui refusent pour le moment de participer aux ateliers, nous en cherchons actuellement les raisons. De même, le délais de traitement des dossiers de demande d'asile, qui se raccourcient, font que quelque fois même avec les réponses favorables, le temps de participation aux ateliers est trop court pour un apprentissage efficace.
- Suite de l'action : Perspectives
Les bénévoles sont très motivés et les demandes pour participer aux ateliers (bénévoles ou bénéficiaires) se poursuivent. Le soutien du département même pour un montant relativement modeste, reste primordial pour assurer la suite de l'activité qui est relativement chronophage pour l'agent de développement. Avec le turn-over important au sein du CADA mais aussi avec de nouveaux primo-arrivants sur le territoire, l'action devrait perdurer dans les années futures. Le partenariat au niveau local (commune/ccas/cada/associations d'entraide) est aussi très important pour la réussite de l'action actuellement mais aussi pour sa poursuite.
Actions
jardins partagés
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MULTISITES - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Précarité
- Intégration
- Résumé
Accomapgnement d'habitants des quartiers politique de la ville dans la création des jardins partagés.
Pluisieurs réunions pour réfléchir aux états de la mise en oeuvre de ce projet, en partenariat avec la collectivité, les bailleurs sociaux et des habitants
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Projet important pour les personnes habitants un immeuble, pas d'espace pour eux, cela va permettre que des familles puissent vivre de leur récoltes, de faire jouer l'entraide sur cet espace de vie, de mieux connaitre son voisins, et de mixité sociale et de territoire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Bailleur social
- Commune
- Conseil départemental
- Conseil régional
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
plusieurs temps de réunion pour définir les différentes étapes du projet...avec des objectif à chaque réunion..au total nous avons eu 15 réunions sur 1 an...cela à permis l'implication des habitants dans leur projet de A à Z....
- Ressources financières mobilisées pour cette action
35 000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
55
- Résultat sur le territoire
meilleurs image du quartier
respect du travail des familles par les jeunes
solidarité entre voisins
- Résultat pour le centre social
implications des habitants au conseil d'administartion ou bénévolat
projet qui se reproduit dans d'autres quartiers QPV
- Résultat pour les habitants
meilleurs alimentation
économie
vivre ensemble
- Suite de l'action : Limites
comme toujours les limites sont financières...
- Suite de l'action : Perspectives
continuité d'accompagenement jusqu'à la création d'une association avec les jardiniers pour prendre le relais
Actions
Ateliers socio-linguistiques
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL L'ODYSSEE DE SAINT AGRÈVE - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Des ateliers socio-linguistiques à raison de 10 par semaine, concernant 35 personnes. Ces ateliers sont ouverts aux primo-arrivants et aux résidents du centre d'accueil de demandeurs d'asile (CADA) présent à Saint-Agrève depuis 2013. Une dizaine de bénévoles, souvent d'anciens instituteurs, animent ces ateliers, ils sont coordonnées par un animateur du centre socioculturel.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La présence d'un CADA sur notre territoire a provoqué une mobilisation de partenaires sociaux pour assurer le meilleur accueil possible de cette nouvelle population. L'intégration au sein d'une société se fait nécessairement par l'apprentissage de la langue. De nombreux demandeurs d'asile ne connaissent que très peu la langue française et quelque fois pas l'anglais non plus. La difficuté est accentuée par le fait que certains relèvent également de l'illetrisme dans leur langue maternelle. La présence régulière aux ateliers est significative, les résultats sont très bons d'autant plus que l'assuidité est importante. Certaines familles sont restées sur la commune de Saint-Agrève après leur passage au CADA, et ils se débrouillent très bien pour la grande majorité en français.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
l'action a démarré en septembre 2017. Pilotée par le centre socioculturel avec le partenariat du CADA (public et communication) et de la bibliothèque (logistique). Un comité technique se réunit régulièrement consituté des bénévoles qui interviennent dans les ateliers. un comité de pilotage existe aussi avec des partenaires institutionnels (département, commune) et des partenaires locaux (cada, bibliothèque)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
le budget prévisionnel de l'action est de 4500€ par an
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariées du centre socioculturel, le directeur et l'animateur coordinateur, les 12 bénévoles à l'année, animateur des ateliers
- Résultat sur le territoire
facilite l'intégration et le maintien sur le territoire des primoarrivants et des demandeurs d'asile
- Résultat pour le centre social
un partenariat s'est engagé avec le Cada au-delà de la diffusion des programmes d'activités, le cada devrait prochainement intégrer le CA du centre. Les ateliers établissent une certaine reconnaissance du centre sur le territoire
- Résultat pour les habitants
les demandeurs d'asile fréquentent assîdument le centre socioculturel pour y trouver des services ou des activités. c'est un lieu central sur la commune, cela facilite leur intégration. Les habitants de la commune "s'habituent" à ce nouveau public, les deux se rencontrant naturellement au sein de l'association
- Suite de l'action : Limites
pour l'instant, le centre bénéficie d'un soutien financier du département, permettant de financer l'achat de matériel (livres, fournitures administratives tableaux...). Il n'est pas toujours évident de gérer des bénéficiaires souvent différents de par leur culture. Les bénévoles sont très motivés, leur nombre est important (une dizaine chaque année), leur "gestion" demande de la diplomatie
- Suite de l'action : Perspectives
l'action devrait se poursuivre en 2020 notamment si le financement continue... Le cada ne devant pas fermer ses portes et l'existence d'un fort "turnover" des demandeurs d'asile, entraînent forcément des besoins toujours plus importants.
Actions
café associatif
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL DE TOURNON - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Entrepreneuriat social
- Résumé
Un collectif de 7 associations a porté ce projet - 6 mois de travaux portés exclusivement par les bénévoles avec des matériaux de récupération - 7 000h de bénévolat. 50 personnes impliquées.
Le lieu est un café associatif avec une scène équipée pour concerts/théâtre/conférence
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Suffisamment de personnes se sont mobilisés sur le projet. Le degré d'implication démontre l'envie de voir ce projet émergé.
Envie d'avoir sur Tournon un lieu ou on se retrouve, on peut proposer des initiatives, rencontrer des gens de tous âges et de tout milieu.
C'est un projet de lien social et d'éducation populaire
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Conseil départemental
- Europe
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Création d'un comité de pilotage avec 7 associations.
2 années de travail pour accorder les différentes asso sur un projet commun, les attendus du projet, définir la gouvernance, la relation avec le centre, trouver des financements.
8 mois de travaux de juin 2018 à janvier 2019.
Ouvert depuis le 28 janvier 2019
- Ressources financières mobilisées pour cette action
investissement : 28 000€.
A noter: nous avons transformé un local dont nous sommes propriétaires
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
50 personnes pour le chantier
et aujourd'hui autant pour le fonctionnement
1 professionnel dédié à la coordination du projet
- Résultat sur le territoire
Les effest sont attendus pour 2019 avec l'ouverture...(après 4 mois: 1300 nouveaux adhérents)
- Résultat pour le centre social
Participer à notre rayonnement et à nous identifier comme étant initiateurs de projets innovants pour le territoire
- Résultat pour les habitants
Ils ont un lieu sympa à leur disposition...et gérés que par les habitants..
- Suite de l'action : Limites
Le café voisin qui a des craintes pour son propre business
- Suite de l'action : Perspectives
faire évoluer le projet...
Actions
Dîner Quizz
- Structure organisatrice
- Centre social Fumay Charnois Animation - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Chaque dîner quizz se déroule sur une séquence
Le Centre Social organise 2 à 3 dîner quizz par an.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Santé
- Résumé
Déroulement de la soirée :
La salle est formée par des petites tables de 5 à 6 personnes
Cette disposition permet de créer des minis débats sur chaque question.
Une table « Joker » est formée avec les professionnels référents de chacun des domaines de questions liés à la thématique retenue.
En début de soirée, chaque Joker aura un temps bref de présentation. Il sera aussi identifié par son nom, sa structure et son thème.
Le quizz est formé de 20 questions : les réponses sont à choix multiples
Les questions et les possibilités de réponses sont affichées sur un écran géant visible de tous. Elles sont lues par un animateur afin de ne pas mettre les personnes en difficulté vis-à-vis de la lecture et permet de « mettre le ton » pour une meilleure compréhension des questions et réponses.
Chaque table peut solliciter un joker (professionnel) pour deux questions au cours de la soirée. Le groupe doit cibler le bon joker. Si le ciblage est bon par rapport à la thématique de la question, le joker répond et la table gagne 2 points, sinon la réponse est donnée par le bon joker mais cela ne rapporte pas de point.
Au bout d’une minute de mini débat, chaque table doit avoir écrit la/les réponses sur son ardoise ou la sollicitation à un Joker.
Les bonnes réponses apparaissent sur l’écran ainsi que le nom du bon joker.
Les points sont comptabilisés sur un tableau.
Les professionnels expliquent les réponses et apportent des informations aux participants.
Les questions sont posées en 4 séries de 5 questions. A raison d’une minute de mini débat ainsi que du relevé des réponses et des apports des jokers, cela représente un temps d’environ 30 min par série. Entre chaque série, les participants se restaurent et font une pause. (d’où le nom de dîner quizz ou goûter quizz)
découpage de la soirée
18h30/19h00 : accueil des participants puis présentation des professionnels, accompagné d’un cocktail de bienvenue.
19h00/23h00 : 5 questions / entrée - 5 questions / plat – 5 questions / salade-fromage – 5 questions /dessert
23h00 … : Réponses à des questions de la salle, échanges informels avec les professionnels.
Soit une soirée de 3h environ pour le dîner quizz auquel s’ajoute un temps informel en fin de soirée.
A la fin de la soirée, les gagnants reçoivent des lots. Chaque groupe participant recevra une malette de prévention correspondant au thème abordé.
Selon le thème de la soirée, nous sollicitons des partenaires ou intervenants qui pourront répondre aux questions abordées et que nous appelons "Joker".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
A la demande d'un partenaire local, un dîner quizz thématique peut être mis en place en partenariat (collège et infirmière scolaire - planning familial ...)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Une action dîner quizz a pour objectif de :
- sensibiliser le public sur des questions de santé,ou autre, dans une ambiance ludique et conviviale.
- provoquer des minis débats entre les participants et les inciter à réfléchir sur le thème proposé.
- présenter des référents : santé, médico-social, juridique … qui sont ainsi connus des participants et peuvent être des relais futurs suivant les besoins.
-permettre des rencontres et ainsi croiser les regards et casser des représentations.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ARS
- CARSAT
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Les thèmes choisis répondent aux éléments de diagnostic soulevés par l’équipe d’animation.
Exemple : Le dîner quizz « Relations et vie affective » a été mis en place car les professionnels ont fait émerger les constats suivants : Nombre important de grossesses précoces - Conduites à risques dans le nom respect de soi et de l’autre dans les relations sexuelles - Difficulté, voire impossibilité d’aborder la sexualité en terme de prévention entre les parents et les enfants du quartier - Méconnaissance du corps, de la contraception, non respect de l’autre,tendance à une recherche du plaisir immédiat hors du partage -Importance de l’image media - Problème du respect de la loi, etc …
Les quizz sont préparés en concertation avec les professionnels présents sur l’action : choix d’environ 20 questions.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
rémunération d'intervenants éventuellement selon les besoins
partenariats gracieux selon les thèmes
partage des frais entre partenaires
achat alimentation et fournitures d'activités
animation et coordination par le personnel du centre Social
petite participation financière des usagers
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 à 6 professionnels du Centre Social
2 à 4 intervenants spécialisés
4 à 6 bénévoles habitants
- Résultat sur le territoire
le dîner quizz mobilise davantage sur un thème choisi qu'une réunion ou une conférence
- Résultat pour le centre social
bonne participation des habitants
outil d'animation facilitant l'approche d'un thème parfois difficile avec les habitants
développement de partenariats dynamiques
- Résultat pour les habitants
40 et 50 habitants participent à chaque dîner quizz
permet des rencontres intergénérationnelles et ainsi croiser des regards et casser des représentations.
permet de rencontrer des professionnels de la santé, du juridique, du médico-social pour "désacraliser" certaines fonctions ...
apprendre en s'amusant
- Suite de l'action : Limites
tout thème peut être abordé de façon ludique et collective :
Novembre 2013 :
« Relation et vie affective »Prévention sur les questions de sexualité
1
CONSEIL DEPARTEMENTAL:conseillère conjugale et familiale
Joker sanitaire et social
1
CIDFF : Centre d'Information sur les Droits des Femmes et des familles : juriste
Joker juridique
1
CDAG : Centre de Dépistage Anonyme et Gratuit : infirmière de l’Hôpital de Manchester à Charleville-Mézières
Joker sanitaire et social
1
conseillère conjugale et familiale (indépendante)
Joker psycho-social
1
Centre Social Fumay : Référente santé
Joker culturel et sémantique
avril 2014 :
« Manger / bouger »
1
Educatrice sportive EPMM
Joker « Bouger » : activités physiques
1
Diététicien nutritionniste
Joker « Manger » : nutrition
Octobre 2014 :
« Cyber-risques »
1
CIDFF : Centre d'Information sur les Droits des Femmes et des familles : juriste
Joker juridique
1
Maison des adolescents Charleville : psychologue
Joker psycho-social
1
Centre Social Fumay : coordonateurcyberbase
Joker Technique
- Suite de l'action : Perspectives
Autres exemples axés culture : février 2014 « Culture générale » - novembre 2014 « Les deux guerres »
reconduction en 2015 :
thème prévention routière
reprise du thème "relations et vie affective" en lien avec le collège classes de 3ème
Actions
Un espace accueil pour une meilleure cohabitation des actions et une dynamique participative
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Animer un espace d’accueil pour une meilleure cohabitation des actions et une dynamique participative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
De nombreuses activités s’y côtoient aujourd’hui, entrainant parfois des difficultés de cohabitations et de lisibilité auprès du public. Un travail de réflexion sur les espaces est donc nécessaire afin d’améliorer encore l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Impossibilité d’empêcher des familles de séjourner dans le hall d’accueil malgré l’instauration d’un dialogue permanent.
Source :
(Extraits du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
Objectif stratégique :
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
Objectifs opérationnels :
Améliorer l’accueil des personnes, des familles, des associations
- Améliorer l’accueil des groupes informels, des partenaires…
- Modifier l’aménagement et l’organisation de l’espace accueil.
- Encourager les initiatives des habitants et enclencher une dynamique participative.
- Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions, renforcer les solidarités entre les personnes en les « intégrant » dans des projets collectifs leur permettant d’être acteurs et d’assumer un rôle social au sein d’un collectif ou sur le territoire.
- Installation de mobiliers et cloisons…
Résultats attendus de l’action :
- Mise en œuvre d’une démarche transversale avec l’ensemble des professionnels du centre social permettant d’organiser une fonction d’accueil et d’écoute des habitants, usagers, des familles et des groupes informels ou des associations.
- Amélioration de l’accueil des personnes, des familles et des associations.
- Appréciations des visiteurs de l’animation dans le hall d’accueil (expositions, ateliers, …) pour présenter le centre social.
- Favoriser une attente confortable, détendue, harmonieuse.
- Réaliser un hall d'accueil en vecteur d'images fortes du centre social.
- Communiquer d'emblée un message fort sur l'identité du centre social.
- Capitaliser l’expérience de cette action afin d’optimiser l’utilisation du nouveau hall d’accueil de la future maison de quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
2015 à 2018.
Déroulement :
L’accueil, basé sur une écoute attentive, s’étendra à la capacité à proposer une offre globale d’information et d’orientation. Il sera surtout organisé de manière à recueillir les besoins des habitants et leurs idées de projets collectifs.
Il sera assuré, à titre principal, par un agent d’accueil qualifié, mais sera appréhendé comme une fonction portée collectivement par l’ensemble de l’équipe d’animation du centre social. Cette fonction devra être reconnue, repérée sur le territoire d’intervention et sera considérée comme une action à part entière.
L’équipe de professionnels du centre social assurera une attention particulière aux familles et aux publics fragilisés et, le cas échéant, leur proposera un accompagnement adapté.
Créer les conditions de l’accueil et de la participation :
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents. Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il convient, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. « C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans la future maison de quartier ».
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement.
Il faudra ensuite s'interroger sur la qualité et la typologie des personnes qui transiteront par cet espace (adhérents, usagers, fournisseurs, salariés…) et sur les temps d'attente de chacun, afin de mieux définir les flux de circulation. Les questions de sécurité - gestion des accès et filtrage - doivent être examinées avec attention.
Les questions acoustiques ne sont pas à négliger. Dans un espace où transitent plusieurs dizaines de personnes chaque jour, le niveau sonore ambiant peut se révéler rapidement élevé et gênant, rendant difficiles les conversations. Il faudra utiliser des outils logiciels de simulation des phénomènes acoustiques permettant d'optimiser les traitements nécessaires.
En termes d’information :
Pérenniser le travail en lien avec les services de la Ville de Sedan, de la Caisse d’Allocations Familiales, du Conseil Général, les associations, des services publics (Pôle Emploi, Mission Locale…), les organismes HLM, afin d’être identifié comme un lieu de diffusion et d’information.
C'est un lieu où les visiteurs vont pouvoir s'informer sur le centre social, d'où l'intérêt d'y installer des outils communicants comme des moyens audiovisuels (écran géant, vidéo projecteur, tablettes numériques, ordinateurs portables…), pour améliorer l’information, la communication.
Les dirigeants du centre social pourront investir dans un logiciel destiné à planifier et automatiser la diffusion de nos contenus multimédia sur un ou plusieurs écrans informatiques ou télévisuels. L’agent d’accueil animera l’espace d’attente en diffusant, sur un ou plusieurs écrans, différentes informations issues de différents fichiers (MS PowerPoint converti en vidéo, flash, films, images. Musiques...) pour faire patienter les visiteurs.
En termes spatiaux :
L’installation de petits salons de type “lounge” pourra être envisagée afin de créer une ambiance plus conviviale et cosy que celle d'une salle de réunion. « Il s'agit de zones « d'attente active » où le visiteur peut se connecter à internet, travailler ou faire une rapide présentation à son interlocuteur ».
Il sera aussi possible d'opter pour la création de petits box où sont accueillis, par exemple, les parents, de façon plus confidentielle, sans avoir à les faire pénétrer dans les bureaux du centre social.
Ces espaces pourront être équipés d'un point café qui pourra être géré par des bénévoles, d'un canapé “lounge”, de petites tables basses ou, au contraire, de tables de type « bar » et de tabourets assis debout.
Des prises électriques et une connexion Wi-Fi peuvent être installées afin de permettre au visiteur de travailler.
Sur un plan pratique, l'éclairage est une composante importante qui concourt à l'ambiance du hall d'accueil. Aussi, un soin tout particulier devra y être apporté, surtout si l'installation d'écrans ou des bornes interactives est prévue.
Il faudra réorganiser la signalétique, l’affichage, l’implantation de plantes vertes, d’un kiosque à journaux et magazines…
En termes d’animation :
Quelques rares animations ont été proposées dans le hall d’accueil. Il s’agira de les augmenter tout en tenant compte de la promiscuité de l’espace. Il faudra faire tourner des expositions de peintures, de sculptures, du théâtre “interactif de poche” pour attirer des visiteurs qui ne viennent pas habituellement au centre social.
Le poste de travail :
L'ergonomie des postes de travail doit aussi être impérativement prise en compte. D'où l'importance d'avoir préalablement défini, avec précision, les missions du personnel d'accueil. Ainsi, lorsque le salarié est chargé du standard, son espace doit être conçu de manière à préserver la confidentialité des communications. S’il est amené à se lever pour proposer un ordinateur ou une tablette aux visiteurs, il doit pouvoir circuler facilement. « La qualité de vie au travail du personnel en poste a un impact immédiat sur la qualité de l'accueil et, par conséquent, sur l'image que renvoie le centre social”.
Ce travail s’inscrira aussi dans la perspective de l’aménagement de l’accueil dans la nouvelle maison de quartier.
Les moyens mis en œuvre :
* Humains :
Un agent d’accueil qui interviendra à raison de trente-cinq heures par semaine, en transversalité avec l’ensemble des dirigeants, bénévoles et du personnel.
* Amplitude d’ouverture :
Assurer des créneaux d’ouverture maximum, 70 heures par semaine, 6 jours sur 7, 10 mois sur 12.
* Moyens matériels :
Moyens audiovisuels (écran géant, vidéo projecteur, tablettes numériques, ordinateurs portables…).
Acquisition de mobiliers et de cloisons…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Il n'existe pas de budget spécifique pour cette fiche action. Chaque bénévole, chaque salarié est totalement partie prenante de la mise en oeuvre opérationnelle de la fiche action. Un salarié chargé d'accueil et un contrat aidé assurent une plage horaire d'ouverture de 60 heures hebdomadaires. L'espace d'accueil est aussi animé pendant les périodes de fermeture par des bénévoles. Ces éléments ne permettent pas de formaliser un budget précis.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 salariés - 80 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Améliorer l’accueil des groupes informels, des partenaires,
Encourager les initiatives des habitants et enclencher une dynamique participative,
Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions.
- Résultat pour le centre social
Créer les conditions de l'accueil et de la participation.
- Résultat pour les habitants
Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions,
Encourager les initiatives des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Le centre social Le Lac vient d'emménager dans la nouvelle maison de quartier et n'a pas pu mesurer les limites de son action.
- Suite de l'action : Perspectives
Evaluer la mise en oeuvre de la fiche action afin de définir des perspectives.
Actions
Manchest'Art
- Structure organisatrice
- Centre social Manchester - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle dans le cadre de la Nuit des Musées
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Dans le souci d’associer les jeunes dès l’élaboration du projet, une première phase de sensibilisation aux pratiques artistiques et culturelles a été prévue : rencontres avec des artistes divers (sculpteurs, peintres, dessinateurs, musiciens…), autour d’ateliers de créations artistiques, visites d’expositions, de musées.
Au fur et à mesure des rencontres, des réunions et des échanges,nous avons impliqué les jeunes au coup par coup en fonction de leurs envies : certains ont préférés s'impliquer dans la mise en place de sorties, d'autres sur la mise en place des ateliers artistiques, et d'autres pour l'installation de la manifestation.
- La conception de plaquettes d’information, d’affiches en direction des habitants
- L’organisation de sorties, de spectacles et d’un temps fort en direction de tous les habitants du quartier.
- L’élaboration d’une exposition « vivante et interactive » dans le quartier (Art éphémère, visite guidée).
- La Participation à « La nuit des musées ».
Les jeunes ont été encadrés et/ou accompagnés par des adultes référents, qui ont joué un rôle prépondérant dans la mobilisation des publics en créant des conditions favorables à leur implication et à leur participation active dans la mise en œuvre du projet
- Un animateur a été chargé de l’encadrement des jeunes tout au long du projet. Il s’agit d’une personne déjà en poste sur la structure qui a assuré le lien et la coordination du projet et a été là en soutien de toutes les démarches et initiatives des jeunes. De manière plus globale, la responsable du secteur jeune a eu un rôle de coordination du secteur et de toutes les actions s’y référent.
- Un réseau de partenaires a été constitué et associé au projet (Club de Prévention, collège, Service culturel de la ville, Musée de l'Ardenne...) et tout autre partenaire agissant dans les domaines culturels ou en milieu artistique et qui ont souhaité accompagner les jeunes dans ce projet).
- Les habitants et associations de quartier qui sont souhaité être associés à l’organisation des actions culturelles et à l’animation globale du quartier.
Ce projet aussi issu d’une volonté de recréer une dynamique partenariale sur le quartier et développer une politique commune en faveur de la jeunesse. Ont été associés les partenaires de l’insertion (Mission Locale, CIO…), les partenaires culturels (un représentant du Service culturel de la ville de Charleville-Mézières, un représentant de l’ORCCA, le directeur du musée de l’Ardenne…), les associations d’habitants (qui organisent aussi des manifestations culturelles et/ou festives sur le quartier), l’ACEPA, le collège Scamaroni…
Des liens permanents ont été établis au sein du Centre Social entre les différents secteurs (qui organisent aussi, chacun à leur niveau, des actions d’éveil artistique et de promotion de la culture).
En partant d’un projet de jeunes, c’est le développement social et l’animation globale du quartier qui ont été principaux objectifs à travers cette action.
C’est aussi une manière de mettre en valeur leurs compétences artistiques et de mettre en avant leurs aspirations culturelles, autant d’entrées permettant la mise en évidence de compétences et la valorisation des jeunes du quartier.
C’est durant l’Organisation du temps fort que l’implication des habitants du quartier a été la plus forte. Ils se sont mobilisés dans toutes les étapes de mise en place de cette manifestation sur leur lieu de vie.
Date : le 17 mai 2014(Nuit des musées)
De 18h00 à 24h00
Lieu : Quartier de Manchester
Présentation de l’évènement :
- Une structure posée sur la place de Manchester
- expositions interactives des œuvres réalisées dans le cadre des ateliers artistiques (depuis septembre 2010)
- visites guidées du musée et ateliers artistiques participatifs avec les habitants du quartier
- présence d’artistes et expositions d’artistes locaux (ORCCA…)
- Une animation musicale (groupe) en soirée
- Un espace restauration et buvette
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La loi de lutte contre les exclusions du 29 juillet 1998 stipule que "L'égal accès de tous, tout au long de la vie, à la culture, à la pratique sportive, aux vacances et aux loisirs constitue un objectif national. Il permet de garantir l'exercice effectif de la citoyenneté". L'accès à la culture placé au même titre que l'accès aux droits fondamentaux que sont le travail, le logement ou encore la santé ne doit pas rester une déclaration d'intention, et l'accès à la culture des populations les plus en difficulté pourrait être une priorité.
Le centre social veut participer à susciter dans ce sens l'intérêt de la société et des pouvoirs publics en oeuvrant pour l'accès et la pratique d'activités culturelles comme un moyen de lutter contre les exclusions. Non pas seulement dans le sens d'une appropriation de la culture classique mais d'abord pour offrir aux personnes en difficulté la possibilité d'exister autrement dans le regard des autres. Ce dont les personnes exclues souffrent le plus, ce n'est pas du manque de ressources, même si elles en parlent souvent en premier, c'est le manque de relations amicales avec d'autres et l'occasion de montrer qui elles sont réellement. Ce qu'elles pensent et ce qu'elles savent faire. En outre il faut du courage pour sortir d'un environnement que l'on maîtrise pour aller vers quelque chose dont on ne connaît pas les codes.
La dimension culturelle est une réelle amorce pour sortir de l'exclusion, se remobiliser et se projeter dans la vie. Par exemple, le simple fait d'aller au musée, permet de sortir de son entre soi, et de son environnement familier.
Loisirs et culture ne doivent pas être un luxe. Il s'agit de les faire entrer dans les quartiers populaires puis leur permettre d'intégrer des expressions nouvelles. La culture doit aussi être considéré comme un plus dans la vie (dans les relations avec les autres, dans un métier, dans un entretien d'embauche).
Les pratiques artistiques ( constituent les formes d'expression qui prennent appui sur un art, théâtre, danse, arts plastiques, écriture...et font appel à la créativité individuelle ou collective))et culturelles (ensemble des formes de diffusion, de mise en circulation, d'échange et de partage autour des biens culturels : fréquentation des musées, cinéma, monuments, écoute de la musique...) des jeunes sont un maillons essentiels de l'accès à l'autonomie, à la socialisation et à la responsabilité.
C'est à travers les activités artistiques et culturelles pratiquées dans des périodes clés d'apprentissage que sont l'adolescence et la jeunesse que chaque génération peut réinterpréter le monde, inscrire sa marque et apporter sa contribution au dialogue entre toutes les cultures: savantes, populaires et de toutes origines.
Seuls ces échanges et confrontations avec toutes les cultures dans l'espace public, permettent la reconnaissance des cultures des jeunes par les autres, autant que la reconnaissance des cultures des autres par les jeunes.
Même si les jeunes voyagent à travers la Webplanète, chambre close, ils ne grandissent pas seuls mais en harmonie avec leur entourage humain. Les adultes doivent les aider à activer un esprit critique, leur apprendre à argumenter, étayer et réfléchir pour que cela deviennent constructif et non plus négatif. Nous devons créer la rencontre Adolescents-Culture pour provoquer la protestation, ou tout du moins la réaction.
Tant que les jeunes protesteront contre "la musique de leurs parents" il y aura de l'espoir.
C'est pour cela que Manchest'art existe.
Les objectifs :
- Susciter les initiatives de jeunes du quartier en favorisant leur prise de responsabilités
- Favoriser leur autonomie en les associant à l’élaboration d’actions culturelles
- Sensibiliser les jeunes du quartier à différentes pratiques artistiques et/ou culturelles, et au-delà à la vie locale et à l’animation du quartier
- Participer à l’éveil artistique des jeunes tout en privilégiant les moments de partage intergénérationnel et de convivialité familiale.
- Aménager des espaces culturels et élaborer des moments de rencontres autour des pratiques artistiques.
- Travailler à la mise en réseau des acteurs du quartier (Centre social, Acepa, collège...)
- Inscrire le projet à l’échelle du quartier et en direction de tous les habitants
- Favoriser l’apprentissage de la vie sociale et la responsabilisation
- Permettre aux jeunes de découvrir le processus de création en privilégiant les rencontres conviviales avec les équipes artistiques et techniques
- organiser un temps fort autour des créations réalisées.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- ACSE
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Conseil régional
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Par l'implication des jeunes dans le cadre de ce projet, nous avons recherché un réel investissement des jeunes mais également des habitants du quartier sur tous les évènements festifs qui se sont organisés durant l’année sur le quartier.
Les jeunes ont engagés toutes les démarches nécessaires à l’organisation des ateliers artistiques et culturels, à l’information, à la planification des moments forts. Les habitants ont été conviés à participer à la mise en place de ces temps forts (Nuit des musées).
L'action a débuté en janvier 2014 mais des éléments ont été construits en amont précédemment. Des rencontres conviviales ont été organisées entre les équipes artistiques et techniques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
56428 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Intervenants - en interne (équipe mobilisée)
coordinateur secteur adultes et familles
coordinatrice secteur jeunesse
animatrice secteur jeunesse
coordinatrice secteur enfance
responsable halte garderie
responsable insertion
responsable multimédia
Nombre d’intervenants participant à l’action :
1 artiste en résidence, 10 artistes (plasticien, peintre, sculpteur, graveur..) et 1 plasticien pour la mise en espace du musée
un technicien, groupe de musique...
- Résultat sur le territoire
Loisirs et culture ne doivent pas être un luxe. Il s'agit de les faire entrer dans les quartiers populaires puis leur permettre d'intégrer des expressions nouvelles. La culture doit aussi être considéré comme un plus dans la vie (dans les relations avec les autres, dans un métier, dans un entretien d'embauche).
- Résultat pour le centre social
Le centre social veut participer à susciter dans ce sens l'intérêt de la société et des pouvoirs publics en oeuvrant pour l'accès et la pratique d'activités culturelles comme un moyen de lutter contre les exclusions. Non pas seulement dans le sens d'une appropriation de la culture classique mais d'abord pour offrir aux personnes en difficulté la possibilité d'exister autrement dans le regard des autres.
- Résultat pour les habitants
C'est à travers les activités artistiques et culturelles pratiquées dans des périodes clés d'apprentissage que sont l'adolescence et la jeunesse que chaque génération peut réinterpréter le monde, inscrire sa marque et apporter sa contribution au dialogue entre toutes les cultures: savantes, populaires et de toutes origines.
Seuls ces échanges et confrontations avec toutes les cultures dans l'espace public, permettent la reconnaissance des cultures des jeunes par les autres, autant que la reconnaissance des cultures des autres par les jeunes.
Même si les jeunes voyagent à travers la Webplanète, chambre close, ils ne grandissent pas seuls mais en harmonie avec leur entourage humain. Les adultes doivent les aider à activer un esprit critique, leur apprendre à argumenter, étayer et réfléchir pour que cela deviennent constructif et non plus négatif. Nous devons créer la rencontre Adolescents-Culture pour provoquer la protestation, ou tout du moins la réaction.
- Suite de l'action : Limites
Pas de difficultés rencontrées
Tous les partenaires ont donné le meilleur d'eux même pour que le projet réussisse.
Chacun a trouvé sa place et a participé activement.
Les jeunes se sont impliqués de la conception a la réalisation du projet.
Les habitants se sont mobilisés dans les divers ateliers en amont mais également le jour de la manifestation.
Des habitants sont venus nous aider au montage ainsi qu'au démontage. D'autres étaient parfois guides ou surveillants du Musée
L'ensemble des habitants ont une réelle envie de faire des sorties culturelles et ils nous l'ont montrer lors des sorties, ils sont déjà mobilisé dans les différents ateliers. Une forte implication de leur part lors du temps fort du 17 mai 2014. Ils sont déjà venu nous demander si il y aurait une autre édition.
A ce jour, Manchest'art et la manifestation de la Nuit des Musées est toujours dans toutes les têtes.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
VET'YVOIS boutique solidaire
- Structure organisatrice
- Centre social Escal en Yvois - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
ESCAL en YVOIS accompagne une equipe de bénévoles
pour faire vivre un espace ouvert deux fois par semaines
ou des vêtements à tarif solidaires sont proposés à la vente du public.
Le stock ( de la petite enfance à l'adulte (habits chaussons accessoires) est alimenté par des dons ( matériel en bel état et propre).
L'équipe tri , lave , répare repasse et met en valeur les affaires au "magasin solidaire".
La fierté de servir combiné à l'utilité sociale (lutte contre la paupérisation) visible et immédiate nous a permis de regrouper et de finaliser ce beau projet entièrement piloter par une équipe de six bénévoles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
lutter contre la paupérisation
être solidiare et participer au recyclage
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
groupes de travail.
réunion municipale pour accord de travaux et autorisation d'action.
Réalisation de travaux d'aménagement.
com et ouverture.
partenariat pour le déstockage
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4000 € annuels
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
huit
- Résultat sur le territoire
nouveau service à la pomulation locale
- Résultat pour le centre social
reconnaissance de la capacité à agir
et à concêtiser une action au service d'un besoin identifié
- Résultat pour les habitants
nouveau service utile solidaire
- Suite de l'action : Limites
impossible à l'heure actuelle de développer( espace totalement utilisé)
- Suite de l'action : Perspectives
réflexion pour un projet d'épicerie sociale
Actions
Plate forme de Redynamisation
- Structure organisatrice
- Social Animation Ronde Couture - Ardennes
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action fut mise en place suite à une demande de la sous profecture de Sedan et au regard de différents constat : Les chantiers d'insertion rencontrent des diffiucultés relatives au recrutment des béénficiaires. Ces derniers ne présentent pas forcément les pré reqis nécessaire pour suivre le dispositif. Souvent la reprise d'une activité, le respect du cadre avec l'éffort physique à fournir interfert au bon déroulement du chantier. A cet effet, il paraissait oportun de mettre un sas préparatoire aux chantiers d'insertion. Ce sas devait avoir pour mission le réentrainement au travail progressif pour un public cible: jeune de 18-25 ans et les femmes sans toutefois exclur d'autres typologie de public. La raison de ce public cible repose également sur le constat de compter peu de jeune et de femme sur les chantiers d'insertion. Le fait de préparer ces personnes a pour objectif d'optimiser leur parcours et de les préparer dans les meilleures conditions pour éviter les échecs avant et pendant les chantiers. La capacité d'intégrer des publiocs sur les chantiers d'insertion étant limité, d'autres objectifs sont visés: entrée en formation, notamment qualifiante, s'inserer dans l'emploi, créer son entreprise ou connaitre une réorientation spécifique au regard de problématique repérées,
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
La Plate forme de Redynamisation fut mise en place en 2011 suite à de multiples réunion avec les différents partenaires de l'insertion sociale et professionnelle. Ce projet porté par le centre social, fut réellement co-construit, avec les différentes instances suite à un diagnostic affiné des besoins.
Le dispositif fonctionne fonctionne toute l'année en entrées et sorties permentes. A cet effet, des comités de suivi ont lieu tous les mois en présence des référents prescripteurs, des partenaires associés (structure d'accueil) et des financeurs. Cet temps d'échange permettent d'aborder la situation individuelle de chaque bénéficaires avec une attention particulière portés sur les progrès, difficultés, perspcetives de parcours, A cette occasion, il est question de déterminer me maintient ou la sortie du bénéficaire du présent dispositif. La décision colégiale est prise en fonction de l'atteinte ou non des objectifs fixés initialement par le prescripteur.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
41 195 Euros : co financement Conseil Départemental, Contrat de Ville, Etat (Fond Jep)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
En 2015 : 42 personnes inscrites, 32 rencontrées en entretiens, 28 entrées sur l'action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Médiation sociale et culturelle de proximité
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Aider et accompagner les personnes dans leurs démarches, être une interface entre les individus et les institutions, entre les institutions elles-mêmes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Ainsi, une majorité de français (60%) interrogés sur les valeurs républicaines, 5 indiquent qu’en France, il y a de moins en moins de fraternité et l’expliquent par les conditions de vie difficiles qui amènent les gens à se replier sur eux-mêmes (47%), par la crise économique qui rend les gens moins solidaires et plus individualistes (46%).
De même, l’enquête « Conditions de vie et aspirations des français » menée par le Credoc met en évidence, de manière régulière, l’attente en termes d’équipements et de services en matière de politique familiale : une forte majorité de la population (67% en 2010) continue à considérer préférable, pour mieux aider les familles, de leur distribuer des aides sous forme d’équipements et de services plutôt que des prestations monétaires. Depuis 1998, cette préconisation reste largement majoritaire dans la population et fluctue entre 62 et 70%.
C’est pourquoi l’animation de la vie sociale constitue une réponse pertinente et adaptée car son action se fonde sur une démarche globale pour répondre aux problématiques sociales collectives d’un territoire, aux besoins des habitants et aux difficultés de la vie quotidienne des familles.
Source :
(Extrait de la circulaire 2012 CAF).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux
- Créer, développer ou favoriser le lien social.
- Prévenir et réguler des conflits en facilitant la mise en lien entre les personnes et les institutions et services publics.
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Accueillir, écouter, orienter, faciliter le dialogue et la communication.
- Aider et accompagner les personnes dans leurs démarches, être une interface entre les individus et les institutions, entre les institutions elles-mêmes.
- Réguler les tensions, les conflits entre individus, entre individus et institutions et contribuer à améliorer ou à préserver le cadre de vie.
- Susciter des projets, organiser et prendre en charge des activités permettant de créer du lien social.
- Animer et contribuer à renforcer la vie sociale et associative de proximité et s’inscrire dans des partenariats sur un territoire.
Résultats attendus de l’action :
- Une contribution active à la cohésion sociale et à la tranquillité publique.
- Le renforcement de l'implication des autres professionnels de proximité pour une coopération.
- L’augmentation de la fréquentation des équipements ou des services dans la ville de Sedan.
- La réduction des délais d'intervention ou de prise en charge de certains problèmes.
- Le signalement et la prise en compte de personnes en difficulté, avec une régularisation de droits.
- La réduction du nombre de réclamations des usagers et la baisse des plaintes ou procédures contentieuses.
- La diminution des conflits enseignants-parents d’élèves et la réduction de l’absentéisme scolaire.
- L’amélioration du cadre de vie, la responsabilisation accrue des usagers.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Les médiateurs culturels viseront à développer l’autonomie des personnes par une fonction d’interface entre les populations et les institutions, autour d’un objectif principal concernant l’accès aux droits et leur reconnaissance, pour des populations en difficulté d’insertion sociale et culturelle.
Ils amélioreront le dialogue et participeront au renforcement des liens entre l’institution scolaire, les élèves et leur famille. Ils réguleront les conflits, préviendront l’absentéisme et contribueront à améliorer la réussite éducative. Ils fluidifieront une démarche d’information et de prévention, de médiation entre les personnes et les praticiens de la santé, visant à améliorer l’accès aux soins des personnes en difficulté d’insertion sociale et culturelle.
Les médiateurs culturels, en rapport avec les services publics par une démarche d’écoute, d’information et d’accompagnement, viseront à faciliter l’accès aux services publics des personnes éprouvant des difficultés à bien les utiliser pour des raisons liées un niveau modeste d’instruction, à une mauvaise maîtrise de la langue française ou à des difficultés économiques et sociales.
Ils seront conduits à travailler avec de nombreux partenaires, que cela soit en amont ou en aval de leurs interventions, ce qui témoignera, à la fois, de leur reconnaissance par les différents métiers de l’humain et de l’importance des passages de relais pour une prise en charge adaptée des publics et des situations.
Dans le quartier du lac, les travailleurs sociaux (assistants de service social, mais également éducateurs spécialisés, voire conseillers en économie sociale et familiale) constitueront les principaux partenaires des médiateurs sociaux, suivis des personnels de l’Education Nationale, des services municipaux, des bailleurs sociaux, des éducateurs spécialisés, des coordonnateurs de conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance, des services sanitaires ou encore d’associations locales.
Moyens mis en œuvre :
Trois animateurs socioculturels interviendront sur le territoire d’intervention du Centre Social Le Lac à raison de trente-cinq heures par semaine. Ils auront un statut d’adulte-relais.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 adultes relais -
- Résultat sur le territoire
- Susciter des projets, organiser et prendre en charge des activités permettant de créer du lien social.
- Animer et contribuer à renforcer la vie sociale et associative de proximité et s’inscrire dans des partenariats sur un territoire.
- Résultat pour le centre social
- Accueillir, écouter, orienter, faciliter le dialogue et la communication.
- Aider et accompagner les personnes dans leurs démarches, être une interface entre les individus et les institutions, entre les institutions elles-mêmes.
- Résultat pour les habitants
- Réguler les tensions, les conflits entre individus, entre individus et institutions et contribuer à améliorer ou à préserver le cadre de vie.
- Suite de l'action : Limites
En raison des conditions de vie difficiles les habitants auraient tendance à se replier sur eux-mêmes et les conduire à plus d'individualisme. Il est extrêmement difficile de les mobiliser pour des actions d'intérêt général et collectives.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer l'implication des professionnels de l'action sociale pour une plus grande coopération.
Actions
A la conquête du monde des adonaissants
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
- Accompagner les jeunes dans une démarche de projet, les aider à entreprendre. Renforcer le lien social entre les jeunes, les familles, les associations pour plus de mixité sociale et intergénérationnelle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
De nombreux jeunes n’ont pu être accueillis, tout au long de l’année, en raison de l’insuffisance de salariés sur ce secteur.
La fermeture de l’Accueil jeune au mois d’août laisse les jeunes du quartier désœuvrés.
La réalité du terrain « urgence des situations », absence de personnel médico-social ou difficulté à les joindre, nous a amenés, souvent, à nous substituer aux autres professionnels.
Afin de répondre à toutes les sollicitations, il serait souhaitable de créer des postes supplémentaires pour accompagner l’animateur de l’Accueil Jeune dans son action.
Des moyens financiers supplémentaires permettraient l’intervention d’intervenants spécialisés dans divers domaines (santé, prévention, délinquance…).
Une équipe plus étoffée permettrait l’organisation de séjours collectifs qui sont des outils pédagogiques essentiels pour développer la vie en collectivité, le respect de l’autre, la coopération autour d’un projet commun.
Le retard scolaire est, au collège, plus fréquent pour les élèves résidant en ZUS que pour les collégiens résidant en unités urbaines englobantes. Enfin, les établissements ayant une plus forte part d’élèves de ZUS enregistrent des résultats, en moyenne, plus faibles aux examens, et ce, même en prenant en compte les spécificités liées à l’environnement social des établissements (à l’exception notable des filières S et ES).
Source :
(Rapport ONZUS 2013)
Le collège le lac bénéficie, en 2014, d’un Réseau d’Education Prioritaire Renforcé.
Source :
Site de l’Education Nationale,
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Encourager l’apprentissage et l’exercice de la citoyenneté chez les jeunes.
- Favoriser l’égalité entre les filles et les garçons.
- Accompagner les jeunes dans une démarche de projet, les aider à entreprendre. Renforcer le lien social entre les jeunes, les familles, les associations pour plus de mixité sociale et intergénérationnelle.
- Définir un programme d’éducation à la santé et à la citoyenneté : éducation nutritionnelle, éducation à la sexualité, prévention des conduites addictives…
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Élaborer, avec les jeunes, des projets culturels, sportifs, des projets de départ en vacances, de loisirs.
- Aider les jeunes par l’acquisition des méthodes et approches susceptibles de faciliter la réalisation de leur travail scolaire, dans le cadre des CLAS.
- Apporter un soutien aux parents de jeunes en difficulté.
- Suivre la santé des adolescents.
- Organiser des actions de prévention (bilan de santé…).
- Faire la promotion de l'activité physique pour lutter contre la sédentarité.
- Leur faire acquérir des connaissances et développer leur esprit critique.
- Les rendre capables de faire des choix responsables et d’être autonomes.
Résultats attendus de l’action :
- Créer une junior association.
- Acquisition d’une culture de l’égalité entre les sexes, du respect et de l’égalité entre les filles et les garçons.
- Imaginer des dérivatifs pédagogiques pour sortir des activités de consommation.
- Utiliser les activités de consommation dans le cadre d’une pédagogie du détournement pour favoriser l’engagement citoyen et l’intérêt général.
- Inciter les parents à jouer leur rôle d’éducateurs, relais de l’éducation citoyenne.
- Prise de conscience des familles de leurs responsabilités éducatives.
- Valorisation de leurs compétences parentales.
- Promouvoir la participation et inciter les jeunes à participer aux débats parents/jeunes.
- Implication encore plus importante des jeunes dans l’organisation de leurs activités.
- Validation de la définition de la parentalité avec l’ensemble des Co-éducateurs, à savoir « un ensemble de savoir-être et de savoir-faire qui se décline au fil des situations quotidiennes, en différentes postures, paroles, actes et plaisirs, en reconnaissance des adolescents, mais aussi en autorité, en exigence et en continuité ».
- Amélioration des résultats scolaires.
- Regard positif des adolescents et des parents sur le système scolaire.
- Coopération entre tous les Co-éducateurs (parents, enseignants, salariés du centre social…).
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Créer un lieu de vie, de référence et de repère, de rencontres, de convivialité, de convergence et de rayonnement de l’information, un lieu d’apprentissage, de confrontations, de reconnaissance et de valorisation.
Assurer un rôle de référent, de lien en permanence, pendant les activités, dans leur préparation, sur les trajets, en dehors du temps scolaire, ouvrir les portes de la citoyenneté en permanence.
Au-delà de la visée occupationnelle, l’ensemble des activités mises en place par les animateurs référents « jeunes » visera à construire l’identité de jeunes de 11 à 17 ans. Par cette action qui s’inscrit sur le long terme, ils ne chercheront pas à imposer, mais favoriser l’éducation à la citoyenneté et amener les jeunes du quartier à vivre l’adolescence afin de faciliter le processus d’intégration et d’insertion. La mission « accueil orientation » fera des animateurs permanents, dans les locaux du Centre Social Le Lac, un lien de référence et de repères, un lieu de vie, de rencontres, de convivialité, de convergences et de rayonnement de l’information.
Les activités éducatives qu’ils mettront en œuvre favoriseront les relations jeunes et adultes. Elles seront pensées et conçues comme une fonction d’animation qui consiste à recevoir les jeunes et à les associer à la vie du centre, à la vie sociale, pour devenir un espace d’initiative et de soutien aux initiatives.
Les activités serviront de support à l’action éducative. Les projets seront lisibles et explicites et particulièrement sur les intentions éducatives et pas uniquement sur les moyens. Les activités seront l’occasion, dans leur menée, d’un dialogue, d’une négociation entre les publics et les animateurs, sur des bases adaptées aux pratiques et compétences des publics.
La nouvelle maison de quartier :
- Avoir des locaux réservés uniquement à l’Accueil Jeune.
- Avoir une superficie suffisante en fonction des activités et des publics accueillis. Avoir les types de locaux nécessaires pour le fonctionnement de la structure (locaux pour l’accueil du public, locaux techniques, administratifs, sanitaires…).
- Avoir des locaux clairs, insonorisés, isolés, aérés…
- Respecter les règles de sécurité et d’hygiène.
- Aménager les espaces ouverts au public en fonction des âges, des types d’activités et des services offerts.
- Avoir du mobilier modulable et fonctionnel, adapté aux différents publics, aux jeux, aux activités.
- Avoir des locaux attrayants (couleurs, éléments décoratifs, esthétique du mobilier, propre, rangé…).
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les parents, les jeunes. Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans la future maison de quartier.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de l’Accueil Jeune.
Les moyens mis en œuvre :
Trois animateurs socioculturels mettront en œuvre le projet pédagogique agréé par la DDCSPP, chaque année, après évaluation. Leurs stratégies professionnelles seront basées sur le dialogue, l’écoute, le respect, la valorisation du public. Ils œuvreront pour le bien de tous, en donnant à chacun les armes d’une autonomie et d’une liberté future.
Ils seront garants des activités, facilitateurs, régulateurs. Au niveau des contenus, ils annonceront les objectifs, structureront les activités, inciteront à l’engagement.
Ils seront la mémoire du groupe et ceux qui synthétisent. En termes de procédure, ils faciliteront les échanges, cadreront et réguleront les interventions.
Ils rappelleront les contrats de fonctionnement et organiseront matériellement les moments de rencontres (temps, espace, matériel).
Enfin, ils réguleront les tensions, favoriseront les relations.
Ils travailleront en étroite collaboration avec le coordinateur des Contrats Locaux d’Accompagnement à la Scolarité, la responsable de l’Animation Collective Famille.
Ils participeront à des formations, très régulièrement, organisées en interne ou par des organismes extérieurs, sur les thématiques suivantes :
- Comment réagir face aux comportements à risque, aux transgressions de l’interdit ?
- Quelles activités proposer aux adolescents ?
- La légitimité de l’animateur.
- Les adolescents et la sexualité.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 salariés - 10 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Encourager l’apprentissage et l’exercice de la citoyenneté chez les jeunes.
- Résultat pour le centre social
Mettre en place des projets éucatifs pour les adolescents en prenant en compte une démarche de coéducation où les parents seront de véritables partenaires.
- Résultat pour les habitants
Créer un lieu de vie, de référence et de repère, de rencontres, de convivialité, de convergence et de rayonnement de l’information, un lieu d’apprentissage, de confrontations, de reconnaissance et de valorisation.
- Suite de l'action : Limites
Difficultés à sortir les jeunes d'une démarche consumériste. Difficultés à impliquer les parents dans une démarche éducative complémentaire de celle mise en oeuvre par les animateurs de l'Accueil de Jeunes.
- Suite de l'action : Perspectives
Améliorer les taux de fréquentation de l'Accueil de Jeunes dans toutes les tranches d'âge.
Actions
Accès à la santé
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Santé
- Résumé
- Élaborer des programmes de santé adaptés au niveau local avec la participation des habitants.
- Réduire les inégalités sociales et territoriales en matière de santé en s’appuyant sur une dynamique partenariale.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Ce sont souvent les mêmes populations, les moins favorisées (faibles revenus, peu diplômés) qui cumulent les expositions aux différents facteurs de risque pour la santé, que ce soit dans l’environnement professionnel (exposition au travail physiquement pénible, au travail de nuit, aux produits toxiques, etc...) ou dans l’environnement familial (pollutions affectant le logement comme le bruit, la mauvaise qualité de l’air ou de l’eau, etc...). Ce sont elles aussi qui ont le plus souvent les comportements défavorables à la santé (notamment en matière de nutrition, d’activité physique, de prévention, etc...). Les inégalités s’inscrivent dès le plus jeune âge : les enfants d’ouvriers, de même que les enfants scolarisés en Zone d’Education Prioritaire (ZEP)
Sources :
En termes de mortalité prématurée, la situation de la France n’est pas bonne (décès liés à tabac, alcool, accidents, suicides)
Livre des plans de santé publique (www.santé.gouv.fr)
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Élaborer des programmes de santé adaptés au niveau local avec la participation des habitants.
- Réduire les inégalités sociales et territoriales en matière de santé en s’appuyant sur une dynamique partenariale.
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Éviter la survenue des maladies en diminuant les facteurs de risque.
- Améliorer le pronostic vital et fonctionnel en dépistant et en traitant précocement les maladies.
- Eviter les rechutes, complications ou séquelles liées à la maladie.
- Améliorer les comportements alimentaires, l’activité physique, l’hygiène de vie.
- Prévenir le surpoids et l’obésité.
- Lutter contre les addictions (tabac, alcool, drogues, jeux vidéo, association de médicaments).
- Prévention et sensibilisation aux accidents de la vie courante.
- Former un groupe de jeunes et d’adultes à la création d’outils d’informations pour sensibiliser un large public à la prévention des conduites addictives.
- Mise en place d’accompagnants santé chargés d’orienter et d’accompagner les publics précaires au bilan de santé.
- Organisation de conférences, de séances d’informations sur la santé et les dépistages, avec des professionnels de santé, pour les habitants de Sedan.
- Animer des ateliers pratiques pour découvrir une alimentation équilibrée et favoriser la consommation de fruits et légumes.
- Permettre aux participants de découvrir différentes pratiques sportives et d’avoir une activité de bien-être permanente.
- Apporter des méthodes pour la gestion d’un budget.
- Créer des outils de comparaison, rapport qualité et prix pour les achats alimentaires.
- Créer des outils avec les parents d’élèves des écoles du quartier du Lac pour diffuser des messages de prévention et d’information sur le sommeil et l’hygiène de vie des enfants.
- Former des adolescents et des habitants aux messages de prévention autour des conduites addictives.
- En transversalité avec l’équipe du secteur adolescent du Centre Social Le Lac, les jeunes, mis en situation d’acteurs, réaliseront un clip vidéo. Cet outil aura un impact supplémentaire, tout en valorisant les jeunes.
- Permettre au public accueilli de visualiser concrètement les dangers domestiques vécus par les jeunes enfants, pour mieux les prévenir.
- Permettre aux jeunes enfants, au travers d’un outil ludique, interactif et adapté à leur âge, de prendre conscience des dangers de la maison de façon concrète.
- Renforcement de la politique de dépistage des cancers du sein et du côlon.
- Faire connaitre les structures de dépistage auprès des publics en difficulté.
- Développer une politique d’information, via les Ateliers Santé Ville, pour associer les partenaires sociaux, médicaux et de l’éducation.
- Développer le dépistage organisé (du sein et du colon) en termes de taux de participation : pour le dépistage du cancer du sein, passer de 60 à 70 % de participantes et pour le dépistage du cancer du côlon, de 50 à 60 % pour les personnes de plus de 50 ans.
- Créer des outils pour diffuser l’information à un large public.
- Organiser des conférences avec la Société Ardennaise de Cancérologie pour sensibiliser et inciter les jeunes à diffuser l’information auprès de leur entourage, pour les inciter à une bonne hygiène de vie pour réduire les risques de la maladie et pour leur donner les moyens de mieux comprendre et mieux gérer la maladie de leurs proches.
- Organiser des débats interactifs pour la population concernée et ainsi permettre de mieux comprendre les enjeux, la démarche et briser les tabous.
Adapter les discours en fonction des thématiques, des cultures, des demandes, des besoins et ainsi parler de la maladie librement et sans a priori.
Résultats attendus de l’action :
- Un diagnostic local de l’état de santé portant sur les publics en difficulté ou en situation de précarité.
- Une programmation locale de santé qui doit permettre une organisation cohérente d’actions, autour d’objectifs définis pour une période donnée.
- Création d’un comité de pilotage, comité technique, groupes de travail, interfaces entre partenaires et projets.
- Création d’une procédure précise d’évaluation comportant un volet qualitatif et quantitatif.
- Une prise de conscience des dangers domestiques de la part des adultes qui leur permettra de prévenir des dangers et de réaménager leur intérieur.
- Une réponse aux questionnements des parents sur l’attitude de leurs enfants.
- Une prise de conscience des enfants pour limiter leurs gestes dans la prise de risques et la compréhension des conséquences de leurs actes.
- Au travers d’une mobilisation avec nos partenaires, permettre une information de connaissance des structures de dépistage, de la maladie et des modalités d’accès aux soins, pour un large public.
- Permettre une prise de conscience des publics et une augmentation des dépistages organisés.
- Tout au long des quatre années de l’action, les partenaires évalueront, rectifieront et adapteront. Selon ces différentes analyses, un bilan commun sera réalisé dans l’objectif de continuer cette campagne au long cours.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Association nationale
- Caf
- CARSAT
- Commune
- Conseil départemental
- CPAM
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Moyens mis en œuvre :
- L’ensemble des salariés du centre social travaillera en transversalité sur cette thématique.
- Relancer les Ateliers Santé Ville pour permettre une organisation cohérente d’actions au bénéfice des publics en difficulté et en situation de précarité.
- Identifier, au niveau local, les besoins spécifiques des publics en difficulté et le déterminant de l’état de santé liés aux conditions de vie.
- Mobilisation de différents intervenants internes et externes par la relance et le soutien à des réseaux médico-sociaux.
- Diversifier les moyens d’intervention en fonction de l’analyse des besoins.
- Rendre effectif l’accès aux services publics sanitaires et sociaux de droit commun.
- Développer la participation de la population à toutes les phases des programmes (diagnostic, définition des priorités, des programmations, mise en œuvre et évaluation).
- Développer la concertation avec les professionnels et les différentes institutions du secteur sanitaire et social concernées par ces programmes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 salariés - 20 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Améliorer les comportements alimentaires, l’activité physique, l’hygiène de vie.
- Prévenir le surpoids et l’obésité.
- Lutter contre les addictions (tabac, alcool, drogues, jeux vidéo, association de médicaments).
- Développer une politique d’information, pour associer les partenaires sociaux, médicaux et de l’éducation.
- Résultat pour le centre social
- Relancer les Ateliers Santé Ville pour permettre une organisation cohérente d’actions au bénéfice des publics en difficulté et en situation de précarité.
- Mobilisation de différents intervenants internes et externes par la relance et le soutien à des réseaux médico-sociaux.
- Développer la concertation avec les professionnels et les différentes institutions du secteur sanitaire et social concernées par ces programmes.
- Résultat pour les habitants
- Améliorer le pronostic vital et fonctionnel en dépistant et en traitant précocement les maladies.
- Suite de l'action : Limites
Difficultés à mobiliser l'ensemble des partenaires dans le cadre du dispositif Ateliers Santé Ville
- Suite de l'action : Perspectives
Créer une dynamique autour des problématiques de la santé à travers la mise en oeuvre d'actions collectives (Forum santé...)
Actions
Mobiliser contre l'isolement social des personnes âgées
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Résumé
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
En 2013, un Français sur quatre de plus de 18 ans se trouve dans une situation le rendant potentiellement exposé, en cas de rupture, à l’isolement social. 5 millions de personnes de plus de 18 ans sont effectivement seules, soit 12 % des personnes, plaçant la France parmi les trois pays d’Europe les plus touchés par l’isolement relationnel. Cette précarité relationnelle est fortement ressentie. Deux tiers des Français considèrent que l’isolement et la solitude se sont aggravés et 7 Français sur 10 reprochent à la puissance publique de ne pas être suffisamment mobilisés sur cette question et considèrent que seules les associations et fondations sont mobilisées contre l’isolement. Pour les Français, ce qui contribue à améliorer la cohésion sociale est autant de l’ordre de l’engagement des citoyens que de la solidarité nationale.
La population des personnes en situation d’isolement relationnel est composée pour un quart (23 %) de personnes âgées de plus de 75 ans, soit environ 1,2 million de personnes. La part de personnes âgées isolées augmente de façon aiguë.
Sources :
(Extrait du rapport de Synthèse du rapport Monalisa).
(INSEE, statistiques Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Mieux « vivre et faire société ensemble », entre les générations.
- Mobiliser contre l’isolement social des personnes âgées.
- Encourager la participation des citoyens et des acteurs locaux volontaires pour développer la création de lien social avec les personnes fragilisées.
- Appeler à la solidarité entre citoyens contre l’isolement des âgés.
- Constituer un catalyseur permettant de renouer les liens de voisinage et de proximité, indispensable à la cohésion sociale.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
Résultats attendus de l’action :
- Construire une vision partagée des besoins, des moyens disponibles, des actions prioritaires à entreprendre, des résultats des actions entreprises et des correctives à envisager.
- Partager un diagnostic territorial, des besoins et des potentiels en veillant à consolider le lien partenarial.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- CARSAT
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Points de référence :
En 2013, un Français sur quatre de plus de 18 ans se trouve dans une situation le rendant potentiellement exposé, en cas de rupture, à l’isolement social. 5 millions de personnes de plus de 18 ans sont effectivement seules, soit 12 % des personnes, plaçant la France parmi les trois pays d’Europe les plus touchés par l’isolement relationnel. Cette précarité relationnelle est fortement ressentie. Deux tiers des Français considèrent que l’isolement et la solitude se sont aggravés et 7 Français sur 10 reprochent à la puissance publique de ne pas être suffisamment mobilisés sur cette question et considèrent que seules les associations et fondations sont mobilisées contre l’isolement. Pour les Français, ce qui contribue à améliorer la cohésion sociale est autant de l’ordre de l’engagement des citoyens que de la solidarité nationale.
La population des personnes en situation d’isolement relationnel est composée pour un quart (23 %) de personnes âgées de plus de 75 ans, soit environ 1,2 million de personnes. La part de personnes âgées isolées augmente de façon aiguë.
Sources :
(Extrait du rapport de Synthèse du rapport Monalisa).
(INSEE, statistiques Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Mieux « vivre et faire société ensemble », entre les générations.
- Mobiliser contre l’isolement social des personnes âgées.
- Encourager la participation des citoyens et des acteurs locaux volontaires pour développer la création de lien social avec les personnes fragilisées.
- Appeler à la solidarité entre citoyens contre l’isolement des âgés.
- Constituer un catalyseur permettant de renouer les liens de voisinage et de proximité, indispensable à la cohésion sociale.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
Résultats attendus de l’action :
- Construire une vision partagée des besoins, des moyens disponibles, des actions prioritaires à entreprendre, des résultats des actions entreprises et des correctives à envisager.
- Partager un diagnostic territorial, des besoins et des potentiels en veillant à consolider le lien partenarial.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié - 3 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Résultat pour le centre social
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
- Résultat pour les habitants
Le centre social deviendra un lieu de rencontres et de lien social. Il pourra devenir un café social. Des animations pourront y être organisées (accès à la culture, sortie, fête, repas, chorale intergénérationnelle,…)
- Suite de l'action : Limites
Cette action est actuellement mise en oeuvre essentiellement par le Directeur. Elle nécessitera des moyens budgétaires supplémentaires afin de recruter un salarié (service civique qui animerait des équipes de bénévoles).
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer le partenariat avec le pôle sénior de la Ville et les services du Département.
Actions
Lieu d'accueil parents/enfants
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Créer un lieu d’accueil enfants-parents pour conforter la relation parents-enfants en valorisant le rôle et les compétences des parents.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Il n’existe pas, sur le quartier du Lac, de structure qui accueille des enfants de 0 à 3 ans. La crèche municipale accueille exclusivement des enfants dont les représentants légaux habitent Sedan ou les alentours et qui ont une activité professionnelle. Le manque de structure, l’absence de lieu de rencontres et d’échanges engendrent un isolement, au quotidien, des parents ou grands-parents gardant les enfants et des professionnels de la petite enfance.
Sources :
(Extrait du diagnostic contrat de projet 2010-2014)
(Statistiques Caisse d’Allocations Familiales).
Objectifs stratégiques :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
Soutenir les parents dans leur rôle éducatif en utilisant le dispositif « REAAP », contrôlé et animé par la Caisse d’Allocations Familiales, afin d’améliorer l’accueil des personnes, des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
Créer un lieu d’accueil enfants-parents pour conforter la relation parents-enfants en valorisant le rôle et les compétences des parents.
- Il prendra en compte la diversité des structures familiales, les formes d’exercice de la fonction parentale et la reconnaissance de la place de chacun des parents en tant qu’éducateur de son enfant.
- Il favorisera le développement et l’autonomie de l’enfant en permettant la mise en évidence de ses compétences. L’enfant pourra, en sécurité, y faire l’expérience de la séparation et se confronter aux règles et aux limites, se préparant ainsi à l’entrée dans la vie sociale.
- Lieu « tiers intermédiaire » permettant aux enfants une socialisation et le passage d’un monde encore familial, à un monde déjà social. Il constituera, à travers rencontres et séparations, une expérience fondamentale pour les enfants et leurs parents.
- Il sera un lieu de prévention de l’isolement social et d’élaboration de nouvelles solidarités.
- Il sera un lieu de prévention précoce des troubles de la relation enfants-parents.
- Il contribuera à prévenir des situations de négligence ou de violence, en dehors de toute visée thérapeutique ou injonction éducative.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Accueillir des enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable, dans un lieu adapté.
- Accepter la participation des adultes, basée sur le volontariat et le respect de l’anonymat ou, au minimum, la confidentialité.
- Mettre en avant l’absence de visée thérapeutique, tant à l’égard des enfants que des familles.
- Garantir la présence, à chaque séance, d’au moins deux accueillants, formés à l’écoute et supervisés régulièrement par un professionnel compétent.
Un lieu d’accueil enfants-parents dans le Pôle Enfance :
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux réservés uniquement au Lieu d’Accueil Enfants/Parents qui disposeront d’un espace extérieur de jeu.
- Les dirigeants et les salariés proposeront une superficie suffisante en fonction des activités et des publics accueillis.
- Les dirigeants et les salariés proposeront les types de locaux nécessaires pour le fonctionnement de la structure (locaux pour l’accueil du public, locaux techniques, administratifs, sanitaires…).
Les dirigeants et les salariés faciliteront l’accès du Lieu d’Accueil Parents/Enfants aux publics : proximité des lieux d’habitation, transports en commun, parking…
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux accessibles à tous (fauteuils roulants, landaus, etc…).
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux clairs, insonorisés, isolés, aérés…
- Les dirigeants, les salariés, les usagers respecteront les règles de sécurité et d’hygiène.
- Les dirigeants et les salariés aménageront les espaces ouverts au public en fonction des âges, des types d’activités et des services offerts.
- Les dirigeants et les salariés proposeront du mobilier modulable et fonctionnel, adapté aux différents publics, aux jeux, aux activités.
- Les dirigeants, les salariés, les usagers proposeront des locaux attrayants (couleurs, éléments décoratifs, esthétique du mobilier, propres, rangés …).
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents, la Ville de Sedan, le Conseil Général, la Caisse d’Allocations Familiales… Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans le futur Pôle Enfance.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement du Lieu d’Accueil Parents/Enfants.
Résultats attendus de l’action :
- Prise en compte du besoin des familles.
- Mobiliser des acteurs autour d’un projet de la petite enfance.
- Établir un projet partenarial durable.
- Inscription du LAEP dans le cadre du contrat enfance.
Public ciblé :
Enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable.
Le public de parents accueillis ne sera pas un public spécifique : tous les parents seront invités à participer au Lieu d’Accueil Parents/Enfants. La question de l’accueil de parents ne résidant pas sur le territoire d’implantation du Lieu d’Accueil Parents/Enfants pourra se poser. Cette question devra être débattue au sein du comité de pilotage afin de définir une position sur la priorité des publics accueillis. La question de l’âge limite des enfants accueillis sera à aborder également : 3 ans, 4 ans ou 6 ans. La présence des futurs parents, des grands-parents, assistantes maternelles dans le Lieu d’Accueil Parents/Enfants devra être également précisée.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
La construction d’un projet et sa formalisation demande un temps de maturation. Il sera primordial d’inscrire le projet dans la réalité du territoire. Son élaboration devra être effectuée en partenariat avec les acteurs locaux, et par étapes.
Le diagnostic devra s’inscrire dans un travail avec les acteurs locaux issus de fonctions et d’institutions différentes : enseignants des écoles maternelles, équipements petite enfance, accueils de loisirs, élus, professionnels de santé et libéraux (médecins, sages-femmes), associations, conseillers de territoire (Caisse d’Allocations Familiales), responsables des Maisons départementales de la Solidarité …
La supervision sera indispensable, elle sera obligatoire dans le cadre d’un projet Lieu d’Accueil Parents/Enfants. Il s’agira, pour l’équipe d’accueillants, avec l’aide d’une personne extérieure, d’exprimer sa pratique, ses ressentis, afin de trouver la bonne distance vis-à-vis des accueillis et des autres accueillants. Elle facilitera la mise en parole des situations d’accueil et permettra de donner sens aux attitudes d’accueil.
La supervision sera assurée par un professionnel extérieur à l’équipe ayant une formation à la psychologie ou à la psychanalyse. Une attention devra être apportée à la qualification et l’expérience lors du choix.
Les accueillants veilleront, au préalable, à préciser leurs attentes. La supervision n’aura pas de visée thérapeutique et il ne s’agira pas de faire des études de cas. Elle favorisera la cohésion de l’équipe d’accueillants.
La bonne adéquation relationnelle entre le superviseur et les accueillants sera nécessaire pour que puisse s’installer un véritable climat de confiance.
L’équipe fera proposition du cadre et des modalités de mise en œuvre de la supervision à un comité de pilotage, pour validation.
Un comité de pilotage sera créé afin d’établir la rédaction d’un règlement de fonctionnement spécifique, l’élaboration d’une charte des accueillants. Une convention de partenariat sera proposée aux partenaires (Ville de Sedan, Caisse d’Allocations Familiales, Conseil Général…).
Le choix des jours et horaires d’ouverture sera important. Ces choix pourront avoir une incidence non négligeable sur la fréquentation et la mixité des publics accueillis. Le choix devra tenir compte des besoins exprimés par les parents, de la complémentarité avec d’autres structures d’accueil du territoire et de la disponibilité des accueillants et du lieu.
Dans la philosophie des Lieu d’Accueil Parents/Enfants, une contribution minime pourra être demandée aux familles, mais elle ne sera pas obligatoire. Le montant demandé devra rester raisonnable et ne pas être un critère d’empêchement. Cette question devra être débattue par le comité de pilotage.
Les modalités de fonctionnement du lieu devront être exprimées aux familles (sensibilisation des adultes accompagnants sur leur responsabilité pendant le temps d’accueil, respect des conditions d’accès au lieu, respect des règles de vie). Pour ces raisons, un règlement intérieur sera élaboré avec l’accueillante et communiqué à toute nouvelle famille fréquentant le Lieu d’Accueil Parents/Enfants.
Les activités proposées seront des supports à la rencontre, à l’échange, à l’apprentissage et au plaisir partagé, entre les enfants et les parents.
Les enfants et leurs parents partageront un temps autour des jeux proposés ou des activités motrices.
Les lieux d’accueil parents-enfants prévoient des espaces dédiés à une activité permettant l’apprentissage des règles.
Moyens mis en œuvre :
Deux salariés qualifiés seront chargés d’animer un espace de socialisation qui accueillera, de manière libre et sans inscription, des jeunes enfants de moins de 6 ans, accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable (mère, père, grands-parents…). Ils seront garants des règles de vie spécifiques à ce lieu. Ils mettront en valeur les compétences parentales lors de la conduite du projet qui sera un espace d’écoute, d’échange parents/enfants/accueillants, avant d’être un espace d’activités
Les accueillants seront des professionnels formés à la situation d’accueil des familles. Pour chaque accueil, deux accueillants seront présents à chaque séance et seront garants du respect du règlement de fonctionnement et des modalités organisationnelles définies dans le projet.
Les accueillants feront preuve des capacités suivantes : connaissance de l’enfant et de son développement et des enjeux relationnels parents-enfants, capacité de communication avec les familles (empathie) et travail en équipe.
Une charte de l’accueillant définira les savoir-faire et les savoir-être attendus, les conditions de recrutement, la formation et la supervision.
Une formation pour l’ensemble des accueillants sera obligatoire avant leur prise de fonction.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié - 10 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Accueillir des enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable, dans un lieu adapté.
- Résultat pour le centre social
Soutenir les parents dans leur rôle éducatif en utilisant le dispositif « REAAP », contrôlé et animé par la Caisse d’Allocations Familiales, afin d’améliorer l’accueil des personnes, des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Résultat pour les habitants
- Il sera un lieu de prévention de l’isolement social et d’élaboration de nouvelles solidarités.
- Suite de l'action : Limites
Difficulté de mobiliser les parents autour d'un projet de la petite enfance.
Difficulté à établir un projet partenarial durable.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer le partenariat avec la PMI, le Conseil Départemental et le CCAS.
Actions
Accompagner le bien vieillir sur le territoire
- Structure organisatrice
- Centre social Fumay Charnois Animation - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Santé
- Résumé
"Bien vieillir" à travers les propositions d'ateliers prévention santé, culturels et de loisirs :
exemples : ateliers mémoire, prévention des chutes, ateliers santé, découvertes culturelles et ateliers créatifs, cuisine, ateliers informatique ...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La population de notre territoire est vieillissante, le contrat de projet mentionnait la problématique de la chute démographique et du vieillissement de la population.
Suite à un diagnostic de territoire élaboré par différents acteurs et partenaires locaux dont le Centre Social, un forum séniors porté par la structure a permis de mieux connaître les attentes et les besoins de la population et les champs d'action possibles à mettre en oeuvre avec les partenaires.
Suite au forum séniors, mise en oeuvre de nouvelles actions en direction des séniors de plus de 50 ans.
Résultats attendus : "Mieux vivre de la population séniors"
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ARS
- CARSAT
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Début : 2012
Groupes de travail : Conseil, départemental, carsat, CCAS, commune
Mise en oeuvre d'actions avec des partenaires spécialisés selon les thèmes abordés. (mobilisation de ressources)
Portage et coordination par des professionnels du centre Social : responsable secteur adultes, référent santé, référent séniors ...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels réguliers du Centre Social
Partenaires extérieurs : 5
Bénévoles : 15
- Résultat sur le territoire
En 2016, 200 à 250 personnes de plus de 50 ans ont fréquenté les activités séniors du Centre Social : ce chiffre est en constante augmentation depuis 2012.
- Résultat pour le centre social
Augmentation de la fréquentation des séniors au Centre Social
- Résultat pour les habitants
Développement de l'information et des actions de prévention.
Sentiment de bien-être et de prise en compte de leurs besoins.
- Suite de l'action : Limites
Financements conventionnés et non pérennes : cela pourrait être un frein pour la pérennisation de l'action dans la durée ... alors que c'est un axe à développer pour le Centre Social et les besoins de la population du territoire.
- Suite de l'action : Perspectives
Continuer l'action, être capable de s'adapter aux besoins nouveaux : nouvelles technologies ...
Actions
Des outils de communication au service du projet social
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Améliorer la communication externe en direction des habitants, des partenaires et des collectivités locales.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence aux nouveaux diagnostics :
Réponses aux questionnaires.
Adhérents : les 4 doléances les plus souvent citées : des moyens financiers plus importants pour le pédagogique, des animations de qualité, des animateurs supplémentaires, des outils de communication plus efficaces.
On peut s’étonner de la réponse relative à la communication. En effet, le Centre Social Le Lac dispose d’un site internet, d’une lettre d’information qui touche 500 abonnés. La presse écrite, radiophonique, télévisée présente régulièrement des reportages sur le Centre Social Le Lac. Par ailleurs, des brochures papier et des affiches sont régulièrement distribuées sur le quartier.
Nous sommes interrogatifs concernant la méconnaissance de 33 adhérents qui disent ne pas connaître de salarié du centre social alors que la majorité de l’équipe travaille sur le quartier depuis plus de 20 ans.
En majorité, les non-adhérents ont entendu parler du Centre Social Le Lac et trouvent son implantation accessible. Cependant, ils considèrent que les activités sont principalement axées en direction des enfants.
Source :
Réponses aux questionnaires du bilan du contrat de projet 2011-2014.
Objectif stratégique :
Améliorer la communication externe en direction des habitants, des partenaires et des collectivités locales.
Objectif général :
Créer des outils de communication au service du projet social.
Objectif opérationnel :
Élaborer un plan de communication à l’échelle de l’agrément.
Résultats attendus de l’action :
Mettre en œuvre une communication efficiente au service des usagers.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Le centre social renouvellera son plan de communication après avoir évalué finement l’efficacité des outils utilisés.
Il est important de maintenir une communication claire et globale sur les missions et le projet auprès des habitants, des élus et des partenaires institutionnels.
Cette réflexion portera donc sur : les éléments à communiquer, les stratégies à mettre en œuvre, l’utilisation de supports existants (site internet, brochures…), l’utilisation des supports de la Communauté d’Agglomération Charleville/Sedan.
Moyen mis en œuvre :
L’ensemble des dirigeants, des salariés, des adhérents sera amené à réfléchir et a apporter des contributions pour la création d’un nouveau plan de communication.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés -
- Résultat sur le territoire
Mettre en œuvre une communication efficiente au service des usagers.
- Résultat pour le centre social
Maintenir une communication claire et globale sur les missions et le projet auprès des habitants, des élus et des partenaires institutionnels.
- Résultat pour les habitants
Meilleure compréhension sur les missions et le projet du centre social.
- Suite de l'action : Limites
En raison de l'importante diversité des actions développées par le centre social, la mise en oeuvre du plan de communication est très chronophage.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer la participation collective des usagers et des salariés sur l'ensemble des supports de communication du centre social (site internet, Facebook...).
Actions
Repas solidaires
- Structure organisatrice
- Centre social Manchester - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Intégration
- discriminations
- Résumé
Chaque jeudi matin, le centre social propose des ateliers cuisine à visé solidaire.
A partir de 10h, des habitants bénévoles se retrouvent afin de cuisiner, ensemble, des plats qu'ils iront ensuite distribuer aux personnes sans abris du quartier et sur des points stratégiques de la ville.
Les associations locales participent via le don de vétements chauds qui sont distribués lors de la période hivernale.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place afin de changer les habitudes de consommation des activités du centre social par les habitatns du quartier et de développer les solidarités.
Les habitants ne cuisinent plus simplement pour cuisiner et consommer mais dans une perspective d'entre-aide de solidarité.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Développer les solidarités, lutter contre l'isolement et lutter contre les discriminations
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"ATELIER MÉMOIRE - PEP'S EURÊKA"
- Structure organisatrice
- Centre Social et Culturel André Dhôtel - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Viellissement
- Santé
- Résumé
Outiller les seniors pour bien vieillir et en bonne santé chez soi. Les 12 "alliés" du bien vieillir :
Activités intellectuelles, physiques, nutrition, patrimoine génétique,moyens financiers, sommeil, environnement famillial, affectivité, vision et audition, loisirs et projets, environnement social, équilibre et logement.
Lors de ces ateliers nous allons initier les séniors participants aux 7 stratégies (discrimination, catégorisation, contextualisation, répétition, imagerie mentale, indiçage et association) mais également les aider à identifier les différentes formes de mémoire (mémoire de travail, mémoire topographique, mémoire des chiffres et des noms) dans le but de pouvoir s'organiser plus facilement au quotidien et à leur donner ou redonner confiance en eux.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
La Mutualité Sociale Agricole
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Vieillissement de la population sur le quartier (cause nationale)
- Prévention des maladies dégénératives cérébrales
- Action de prévention santé
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ARS
- Association locale
- Bailleur social
- Conseil départemental
- CPAM
- Entreprise privée
- FONJEP
- MSA
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Des séances sont organisées sur une demi journée à raison de 3 heures par semaine (1 fois par semaine) pendant un trimestre. Les participants aux séances se familiarisentavec la méthode (stratégies, les différentes formes de mémoire, exercices de solliciation et stimulation de la mémoire).
Ces exercices ont aussi vocation à crééer du lien, lutter contre l'isolement...
En 2018, 36 personnes ont suivi ces ateliers (3 sessions de 12 personnes)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Le Centre Social et Culturel André Dhôtel est la seule structure sur l'aglomération a proposer ce type d'action
- Résultat pour le centre social
- Toucher de nouvelles personnes
- Ces ateliers mémoires ont été le vecteur de la création d'autres actions seniors autour de la santé
- Résultat pour les habitants
- Autonomie, confiance en soi, lien social, solidarité de la part de séniors envers d'autres séniors
- Suite de l'action : Limites
- Pas de limite particulière constatée. Nous avons pratiquement un an d'attente pour les personnes qui souhaiteraient y participer
- Suite de l'action : Perspectives
- L'action va se poursuivre sur 2019 et la possibilité de "délocaliser" les ateliers est envisagée pour être au plus près de la population (contact avec des EPAHD)
Actions
Ombres chinoises pour Noël
- Structure organisatrice
- Association Thiérache Ardennaise Animation - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Renouvelable chaque année
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
Les habitants du village de Liart regrettait qu'il y avait si peu d'animations dans leur village à Noël. C'est ainsi qu'ils ont proposé de créer des ombres chinoises (technique facile qui consiste à créer des ombres qu'on colle sur du papier calques sur des vitres et on met une lampe derrière). Ces ombres sont créées par différents groupes et l'activité en elle-même créée déjà du lien entre différentes générations. Les ombres sont collées sur des vitres partout dans le village et une balade contée est proposée lors d'une soirée d'inauguration. Cette soirée festive et animée permet de découvrir les réalisations des habitants. Toutes les vacances de Noël, les ombres peuvent être admirées par tout un chacun qui passe. Cette activité crée du lien, de l'animation et valorise les habitants dans leurs compétences de créer un spectacle et une animation de qualité
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Avoir un village animé le temps de Noël. L'action a été mise sur pied car elle était demandée par les habitants qui trouvaient que le village était mort à cette époque.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Europe
- MSA
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
A partir de septembre, les habitants sont invités à se mettre en petits groupes et de développer des ombres. Ils peuvent laisser agir leur créativité ou les habitants peuvent aussi partir d'une histoire de Noël pour la représenter par des ombres. La technique est simple et abordable pour tout le monde.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
ACTION SENIORS ACTIFS
- Structure organisatrice
- OFFICE ANIMATION DES CRETES PREARDENNAISES - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Viellissement
- Résumé
MISE en place d'un programme d'actions annuel avec des ateliers créatifs (fabrication de bijoux, ateliers culinaires..), et des sorties organisées à thème (visites du Moulin aux couleurs d'Ecordal, sorties culturelles, et participations à des spectacles délocalisées
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Autre
- Précision ( si autre )
L'office d'Animation est la structure initiatrice et fédératrice qui recueillent les besoins et favorisenet les échanges entre les habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place car elle tient compte de facteurs socio-démographiques: le vieilisssement de la population est un élément du territoire. Ceci a permis de mettre en avant des besoins et des attentes exprimés par les habitants issus des communes; l'idée est de rassembler et favoriser les échanges par des actions collectives égrainées sur le territoire. les effets atytendus sont la lutte contre l'isolement et faire en sorte que les gens puissent se regrouper même si ils sont issus de communes voisines, limitrophes ou excentrées.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- MSA
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Cette action est menée avec l'aide des services de la communauté de communes et avec le soutien des associations locales (clubs séniors....); un diagnostic avec la MSA a permis aussi de mettre en avant les besoins des habitants et cela a nécessité la création de ce programme
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
Effets et impacts: prise de conscience collective des élus sur l'isolement et la pertinence d'actions sur les publics séniors
- Résultat pour le centre social
Actions valorisantes dans le but d'aller au devant des publics et de favoriser les liens entre générations; c'est aussi un acte fondateur intergénérationnel pour le travail avec ces publics
- Résultat pour les habitants
Permettre la vie en collectivité et donner du sens à l'existence quotidienne parfois difficile; rester aux contacts des institutions, des informations ; être à l'écoute des autres
- Suite de l'action : Limites
Difficile d'aller chercher des personnes réellement en situation de souffrance et d'isolement social et personnel
- Suite de l'action : Perspectives
Accompagner la démarche par le projet "pilote" "contact" en lien avec la Fédératio ndes centres sociaux
Actions
Culture "hors mes murs"
- Structure organisatrice
- OFFICE ANIMATION DES CRETES PREARDENNAISES - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Mise en place d'actions avec les publics jeunes autour de la culture . Des ateliers ont été mis en place avec un grapheur et une association de hip hop pour développer des projets dans les lieux du territoire auprès des jeunes ruraux. Nous avons réalisé des fresques en lien avec la Médiathèque de Signy l'Abbaye et l'association loisirs de Chaumont Porcien. De même des spectaclers de rues et musicaux ont été mis en place sur des actions existantes: domaine de la Vênerie, opération "artistes en campagne" à Guicourt, Barbaise..
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Ce projet a été monté avec les jeunes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action a été mise en place car les jeunes se sont portés moteur de l'opération. Nous voulons développer une itnérance sur les actiosn culturelles et apoporter une plus value sur le territoire.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Nous avons réalisé des réunions et des briefs avec les jeunes sur des temps d'échanges. Chaque action a été menée en lien avec les ressources du territoire afin d'apporter du sens.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
12 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
36 jeunes et des associations locales issues des communes rurales. Les axctions ont été mises en place en lien avec des évènementiels existantes ce qui a valorisé l'action et donné du volume en terme de fréquentation.
- Résultat sur le territoire
Plus value culturelle sur les communes rurales
- Résultat pour le centre social
Dynamique d'image et un lien social avec les actions exsitantes. C'est aussi le moyen d'aller au devant des jeunes qui omettent en lumièere des idées et des envies
- Résultat pour les habitants
avoir accès à des spectacles et des actions culturelles
- Suite de l'action : Limites
Continuer à accompagner les acteurs locaux sur ces manifestations et actions
- Suite de l'action : Perspectives
Renouveller l'opération
Actions
"Ecole de Sport Itinérante"
- Structure organisatrice
- OFFICE ANIMATION DES CRETES PREARDENNAISES - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
L'OACP fournit un accompagnement technique aux associations locales en terme de pratiques sportives ; les animateurs travaillent avec un ensemble de structures, acteurs locaux, durant la semaine avec des thématiques et des cycles sportifs et pédagogiques ; sur chaque projet de clubs ou structures accompagnés, l’OACP propose une aide de fond sur l’accompagnement du bénévole avec des outils thématiques (mallette sportive associative ; expos « So Bén’Envol »
Les animations visent également à intégrer des ateliers spécifiques éducatifs sur la citoyenneté, l’obésité, la lutte contre les discriminations et différences (etc…)
Ce projet accompagne les associations dans la réalisation de leur projet associatif. Le partenariat avec une ou plusieurs associations permet d’accompagner la structuration plus aisée de projets. Les intervenants valorisent également le développement d’activités associatives et permettre le maintien d’activités existantes (basket, tennis foot…)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action est une demande émanant des associations et acteurs du tertioire. Le Foyer la Baraudelle d'Attigny ou encore la MFR de LUCQUY se sont impliqués dans cette démarche partagée. L'opération vise à apporter de la compétence dans les strucutres et un accompagnement sur la dynamique de projets d'éducation et de citoyenneté. C'est également l'idée de construre une action partagée avec les professionnels sur les publics.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- DDCS
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Cette action a été menée avec la création d'une politique sportive, éducative avec les structures en fonction des besoins et des attentes de chacun. Des outils ont été créés afin de rendre les actions en lien avec les projets des acteurs.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
34000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 personnes animateurs sportifs et un service civique sur des temps hebdomadaires
- Résultat sur le territoire
Soutien et aide aux associations et aux clubs sportifs sur le bénévolat, l'encadrement et l'animation de séances éducatives ; maintenir de l'activité sportive sur les communes rurales; proposer des évènementiels collaboratifs
- Résultat pour le centre social
Pérenniser une dynamiique sportive en mileu rural et professionnaliser des initiatives locales provenant des publics du territoire
- Résultat pour les habitants
Avoir des activités de proximité et faire vivre le sport en milieu rural;
- Suite de l'action : Limites
Difficultés de maitriser les poltiques fédérales sur les territoires et de réaliser des mutualisations d'actions fédérales
- Suite de l'action : Perspectives
Continuer à développer les actions sportiives et répartir les actions sur les secteurs géographiques
Actions
ON RESTE EN FORME ET EVEILLE
- Structure organisatrice
- OFFICE ANIMATION DES CRETES PREARDENNAISES - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Santé
- Résumé
Mise en place d'ateliers itiinérants autour du sport et de la mémoire pour de spublics intergénrationnels. A travers des ateliers encadrés par des animateurs et éducateurs professionnels OACP, 3 à 4 exercices sont proposés sur le domaine sportif et motricité-coordination. Puis suite à ces exercices des ateliers défis mémoires sous forme de jeux sont proposés par la suite. Ces ateliers se passent dans des lieux divers et variés: halles communales, place publique, terrain de sport extérieur.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
notre ESPACE DE VIE SOCIAL ayant recueilli des demandes de clubs et de particuliers
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le confinement e tla période de crise a mis en avant la nécessité de réaliser des actuions spécifiques dans notre milieu rural. Les associations et clubs étant en stand bye, les publics ont sollicité l'OACP afin de proposer quelques choses dans différents secteurs géographiques. Du coup, nous avons imaginé en équipe ce projet en y associant un cadre ludique et formatif; C'est aussiune demande de l'équipe et des adminsitrateurs de continuer nos actions afin d'être au service des gens sur le territoire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
NOTRE ACTION a été menée en lien avec les communes et acteurs locaux (associations...) afin de répondre et de coller au mieux aux besoins
- Ressources financières mobilisées pour cette action
28796 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 ANIMATEURS ET PARFOIS des bénévoles ou enseignants
- Résultat sur le territoire
Implication des publics LUTTE CONTRE L'OBESITE ET actions pour la santé et la non sédentarisation des publics
- Résultat pour le centre social
Actions porteuses de sens et itiinérantes; image positive et professionnelle de la structure; adaptabilité face à la crise sanitaire
- Résultat pour les habitants
Actions de santé; lien social; adhésion à un projet collectif
- Suite de l'action : Limites
Continuer hors période COVID. Nous allons asocier les associations et déveloper ce projet dans les lieux divers et variés;
- Suite de l'action : Perspectives