Les actions des centres sociaux
Actions
jardinage/échanges/convivialités
- Structure organisatrice
- Maison de quartier Plaine - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Environnement
- Résumé
Développement d'une parcelle de terrain par les habitants dénommées ''le carré vert''.
10 parcelles individuelles de 2x3m ont été remis à des habitants aprés tirage aux sorts,ils les exploitent
librement dans le cadre d'une chartre d'utilisation .
Des espaces en commun sont mis eux à disposition des autres habitants .
l'élaboration de la chartre et la gestion des lieux s'élaborent avec l'ensemble des utilisateurs.
Plaisir,experimentation,fêtes et rencontres ponctuent la gestion du lieu et des projets nouveaux se forme pour le territoire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
l'appropriation de cette parcelle et le travail autour du jardinage ,du recyclage et du dévelopement durable et un élement important de l'urbanité d'aujourd'hui,la rencontre autour des lopins individuelles d'habitants ne se connaissant pas crée des échanges et des connexions qui produisent de l'envie de développer des actions et des projets.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association nationale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
le pilotage du projet à été confié par la Maison de quartier à une association specialisé dans l'accompagnement
de ce type d'action ''Les robins des villes'',des demandes contrat de ville ont financé les dépenses et la partie rémuneration des robins.
Réunions d'informations,concertation ,prises de décisions avec les habitants sur le devenir ont été la démarche de travail
- Ressources financières mobilisées pour cette action
6000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
30 habitants
10 professionnels
- Résultat sur le territoire
Les habitants s'extasie maintanant de cette parcelle et de sa transformation ,c'est un point repére du territoire .
Il y a un va et vient incessant des personnes gérant une parcelle individuelle ou commune accompagnées de famille ou d'amis.
- Résultat pour le centre social
L'équipe de la Maison de quartier a pris possession d'une parcelle qu'elle exploite ,cette relation à la terre a créée des liens étroits avec les habitants impliqués .
l'arrosage et la circulation des habitants sur les temps de fermeture de la Maison de quartier améne une reflexion sur l'accés autonome au centre pour acceder au carré vert.
- Résultat pour les habitants
Le carré vert et une réélle bouffée d'air frais et un veritable délassement qui permet une proximité entre tous
et une liberation de la parole ainsi qu' une édification constructive des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Nous sommes dans la phases expansion et nous ne voyons pas encore de limites
- Suite de l'action : Perspectives
Auguementer les parcelles, réaliser du compost,,experimenter des formes de légumes,installer des ruches,
faire construire des fours à pains et de potier etc..... voici quelques une des idées émises par les habitants .
Actions
"En réflexion"
- Structure organisatrice
- CS DES 4 CHEMINS - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Orgemont s'habille pour l'emploi
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL FÉLIX MERLIN - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle d'une durée de 7 semaines, reconduite chaque année suite au bilan d'évaluatin avec les partenaires
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Action d'insertion professionnelle basée sur l'estime de soi et la dynamique collective
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour remettre les demandeurs très loin de l'emploi dans une dynamique, pour certains le retour à l'emploi est très envisageable
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
stage intensif sur 7 semaines, tous les matins de 9 à 12 h 00.
8 intervenants pour travailler l'estime de soi, le positionnement professionel, le : un intervenant en développement personnel, un intervenant en informatique, un professionnel de l'emploi pour les CV et lettre de motivation, un intevenant en informatique, une sophrologue, une socioesthéticienne, une psychologue, un intervenant conseil en image
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5685 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
12
- Résultat sur le territoire
retour à l'emploi pour certains en CDD et en CDI, toufefois, la perte de l'emploi après une période d'essai est un problème assez récurrent.
- Résultat pour le centre social
Les bénéficiaires du stage viennent témoigner l'année suivante de l'effet positif que le stage a eu sur leur comportement face à l'emploi
- Résultat pour les habitants
Certains habitants ont retrouvé un emploi ou un stage
- Suite de l'action : Limites
Action reconduites chaque année suite au bilan positif
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Résidence d'artiste
- Structure organisatrice
- Maison de quartier ESPERANTO, centre social et culturel - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Résumé
Dans le cadre d'un partenariat entre le théâtre des Roches de Montreuil, la bibliothèque de quartier, l'antenne de vie de quartier et le centre social, une compagnie de théâtre a été invitée à opérer une résidence d'artiste sur le terrain d'action du centre social Espéranto.
Cela s'est concrétisé par 2 volet : animation d'atelier théâtre intergénérationnel aboutissant à un spectacle sur le Festival Transit et le théâtre des Roches + mise en scènes de criées spectaculaires sur le territoire à partir des mots des habitants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le territoire d'action du centre social est peu doté en termes d'offres culturelles. Mis à part la bibliothèque et une partie des activités du centre social, il ne dispose pas d'équipements culturels dédiés, ce qui suscite une forte demande des habitants. Cela se manifeste dans le projet social qui consacre un axe à l'accès aux pratiques culturelles et de loisirs.
L'idée était donc d'instaurer une action culturelle de long terme dans le territoire qui laisse place à l'habitant (mots déposés dans les boites à cris, ateliers d'écriture... et ateliers théâtre) mais qui donne à voir également le travail des artistes (criées spectaculaires)
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a nécessité plusieurs rencontres entre partenaires pour préciser le projet, et assurer son suivi et son bilan.
Les ressources mobilisés sont celles de plusieurs services cumulées.
Cela s'est concrétisé par 2 volet : animation d'atelier théâtre intergénérationnel aboutissant à un spectacle sur le Festival Transit et le théâtre des Roches + mise en scènes de criées spectaculaires sur le territoire à partir des mots des habitants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Environ 10 000 euros.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Conception et pilotage : 5 personnes
Mise en oeuvre et suivi : 2 personnes
- Résultat sur le territoire
Habitude de spectacles
- Résultat pour le centre social
Propositions de nouvelles actions de qualité dans le domaine culturel.
- Résultat pour les habitants
Demande pour des actions culturelles
- Suite de l'action : Limites
Une année était trop courte, il a été souhaité poursuivre suite à la fin de l'action en juin 2015. Ceci n'avait pas été anticipé et ne pourra se poursuivre qu'à partir de janvier 2016 faute de financements.
- Suite de l'action : Perspectives
Une année était trop courte, il a été souhaité poursuivre suite à la fin de l'action en juin 2015. Ceci n'avait pas été anticipé et ne pourra se poursuivre qu'à partir de janvier 2016 faute de financements.
Actions
Action de prévention sur la rumeur en milieu scolaire
- Structure organisatrice
- CS ASS AGG CSC LES MARNAUDES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Une action de prévention sur la compréhension de la rumeur , les conséquences et comment nait une rumeur . L'association ETHNOART est intervenue sur l'ensemble des classes de sixième.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Suite à des problèmes dans le collège, cette action a été mise en place afin de répondre aux problèmes de rumeur. Le résultat attendu est que les jeunes comprennent et changent de comportement.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
cette action a été mise en place sur des créneaux de deux heures avec un support de vidéo.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de l'action a été de dégager 1200 euros pour l'intervention des ethnologues au collége et la présence de salariés sur 2 jours
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 ethnologues, 3 salariés et 6 professeurs
- Résultat sur le territoire
L'impact sur le terrtoire est d'améliorer les relations filles et garçons ainsi que dans le monde scolaire dans le quartier.
- Résultat pour le centre social
L'impact pour le centre social est de bienle positionner dans le quartier et de le légitimer au sein du collège.
- Résultat pour les habitants
Les effets : une prise de conscience auprès des jeunes et parents sur la notion de rumeur.
- Suite de l'action : Limites
Une telle action doit être faite sur tous les niveaux de la sixième à la troisième . L'aspect financier nous bloque à un seul niveau.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action doit être développer sur tous les niveaux et faire d'autres interventions : le harcelèments scolaire, les dangers des réseaux sociaux.
Actions
prevention délinquance en direction des jeunes
- Structure organisatrice
- Maison de quartier EDMOND MICHELET - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Collectif jeunesse :
La création du collectif jeunesse relève de l'initiative des services sociaux du Conseil Général (DPAS de Sevran) et de celle de la Ville de Sevran. La Mission prévention des conduites à risques du Conseil Général (qui depuis a fusionné avec la Mission Drogues de PARIS) a alors été missionnée,plus particulièrement Betty Azocar, pour réaliser un diagnostic de la situation. En avril 2012, une restitution a été proposée aux professionnels.
Du côté des publics, plusieurs problématiques ont été identifiées : apporter des informations en particulier sur l'alcool et le cannabis, prendre en compte les différents publics (jeunes scolarisés, jeunes consommateurs, environnement familial), travailler autour de l'engagement des jeunes dans le trafic, la déscolarisation (absentéisme, décrochage, exclusions), l'insertion professionnelle (renforcer l'insertion des jeunes dans les activités structurantes), la question du genre (rapports filles/garçons, sexualité à risque, grossesses précoces, violences), les souffrances psycho-sociales (estime de soi, construction identitaire, santé mentale, besoin d'écoute, d'espace de paroles et d'expression). Du côté des professionnels, plusieurs problématiques ont émergé : un manque de visibilité de la politique jeunesse, des questions liées à l'organisation (un défaut d'articulation et de coordination des acteurs, un défaut de connaissances des missions de chacun), le besoin d'un travail autour des postures et pratiques, développer des actions concrètes et communes.
Plusieurs objets de travail ont été cités : consommation de produits, trafic et économie de la rue, déscolarisation, insertion socio-professionnelle, question de genre et souffrances psycho-sociales
Des modalités de travail ont été proposées : formations, groupes de travail , actions et évaluation.
Lors du Comité de pilotage d'avril 2013 présidé par l'élu à la jeunesse, et afin de relancer la dynamique engagée par la formation prévention lancé en 2012 par la Mission du Conseil Général, il est décidé de recruter un coordinateur. Au cours de ce comité, des axes de travail sont également identifiés : autonomiser le réseau de professionnels, la mise en place d'un groupe de travail sur la prévention du trafic et l'organisation de deux séances de formations en direction des cadres et pour les professionnels de terrain n'ayant pas pu bénéficier des sessions précédentes. En juin 2013, un coordinateur est donc nommé, chargé d'assurer le pilotage du collectif en lien avec la Mission Métropolitaine de Prévention des Conduites (Paris/ Seine Saint Denis).
Quatre groupes de travail thématiques sont constitués par les professionnels à l'issue des formations prévention : estime de soi, prévention en milieu scolaire, le réseau inter-professionnel, la prévention du trafic.
La question de l'addiction est retenue; c'est un choix cohérent avec le contenu des formations proposées par la Mission Métropolitaine des conduites à risques.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour répondre au besoin de la prévention de la délinquance et dans le cadre de prevention des addictions
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Collectif jeunesse :
Le bilan qui est proposé s'est donc effectué à partir du travail réalisé dans ces quatre groupes qui se sont réunis en ateliers de septembre 2013 à juin 2014. Ces quatre groupes sont composées par des professionnels issus du secteur du social, de l'animation, de l'insertion, de l'éducation nationale, du médical, même si ce secteur demanderait à être davantage représenté.
2 agents participent à 2 groupes, un dans le groupe « estime de soi » et le second dans le groupe de « prévention de l'engagement dans les trafics »
L'estime de soi est un concept qui a été beaucoup développé en Amérique du Nord, notamment par les canadiens (Québec). Il renvoie au concept d'emporwement (le pouvoir d'agir de l'individu) la capacité de l'individu à développer et à s'appuyer sur son propre potentiel.
L'estime de soi s'attache donc à travailler autour de la notion de renforcement des compétences psycho-sociales de la personne. Pierre Arwindson décrit le développement de ces programmes en 3 étapes : la première étape a été le constat de l'échec des programmes de prévention primaire des toxicomanies qui reposaient sur la peur, dans les années 70'. C'est à partir de ce constat que les professionnels ont fait appel à la psychologie sociale et aux pratiques cognitivistes qui s'appuient sur l'étude du comportement humain et sur l'apprentissage. Ces techniques sont spécialisées sur les formes conscientes du psychisme. La deuxième étape a consisté à élaborer des programmes où les promoteurs cherchaient à renforcer les compétences des adolescents pour les aider à faire face à la pression sociale, à l'échec, au stress sans avoir recours aux psychotropes. Ces nouveaux programmes étaient limités dans le temps et dans leurs objectifs mais ils ont semblé efficaces par rapport aux consommations des jeunes qui ont baissé . La troisième étape a vu la généralisation de cette approche dans les années 85-90'. Ils proposent des activités éducatives destinées à promouvoir la santé, en particulier mentales des élèves et des étudiants. Cette nouvelle approche s'inscrit dans les textes de l'Organisation Mondiale de la Santé qui propose en 1993 une définition :
« les compétences psychosociales sont la capacité d'une personne à répondre avec efficacité aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne. C'est l'aptitude d'une personne à maintenir un état de bien-être mental en adaptant un comportement approprié et positif à l'occasion de relations entretenues avec les autres, sa propre culture et son environnement. » Une liste de dix compétences psychosociales (ou aptitudes essentielles) a été établie : savoir résoudre le problèmes / savoir prendre les décisions / se calmer-réfléchir avant d'agir / exprimer le problème et ce qui et ressenti / choisir un but positif/ imaginer toutes le solutions possibles / évaluer les conséquences/ essayer le premier plan / avoir une pensée créatrice / avoir une pensée critique.
Le groupe Estime de soi du collectif s'est réuni à plusieurs reprises cette année (5 rencontres) dans de lieux différents (CS Marcel Paul, Collège Painlevé, PEIF,) avec une visite à la Mission Métropolitaine à Pantin. Une quinzaine de professionnels a participé de manière active à ce groupe. L'essentiel des échanges aura porté sur la présentation d'outils qui permettent de travailler autour de l'estime de soi avec les publics; la présentation de ces outils s'est faite par des collègues qui en ont une bonne pratique comme M.-T. Gaudier de la Mission Métropolitaine ou G. Desricourt de la Mission Locale et les collègues du service RSA . Il existe ainsi pléthore d'outils, souvent ludiques qui permettent de travailler, de mettre en valeur les compétences des personnes.
Groupe prévention en milieu scolaire :
L'école est un lieu important pour travailler cette question de consommation de produits avec les adolescents . Le groupe s'est réuni à 4 reprises, groupe composé des professionnels de l' Education Nationale et des éducateurs de l'association de prévention spécialisée Arrimage.
Ces différentes rencontres auront permis d'élaborer un projet d'intervention que nous avons présentés aux différents établissements scolaires de Sevran. Le coordonateur du collectif s'est également rapproché du CRIPS -Ile de France. Au cours de cette année, à l'initiative de notre collègue Sonia Marossa, assistante sociale au collège Painlevé à Rougemont, une matinée d'échanges autour de la prévention, consommation de cannabis, tabac a été organisée, animée par le Docteur H. Touitou. Cette rencontre a réuni une dizaine de personnes du collège.
Ce projet pour 2014-2015 a pour objectif global de proposer un travail visant à développer les compétences de chaque élève à faire des choix et à se positionner de manière favorable pour sa santé .
Au niveau du déroulé , 3 temps seront proposés :
-
1er temps: informations, échanges avec les élèves autour de leurs connaissances des produits , de leurs représentations, de leurs environnement (rapport avec les pairs)
-
2ème temps: :réflexions sur la question des comportements de consommation et eds conduites à risques au travers d'interventions théâtrales. Le théatre Forum peit-être un outil pertinent dans la mesure où il propose au public d'être acteur dans des situations de conduites à risques (mise en scène) Possibilité de disposer de l'espace F. Mauriac.
-
3ème temps: création de messages de prévention par les élèves ( concours d'images et de scénaris en utilisant des supports numériques)
Ce projet pourrait concerner 2 à 4 classes par établissement, en ciblant à priori les élèves les plus âgés.
Groupe prévention de l'engagement dans les trafics :
Cette démarche est expérimentale, peu de villes l'ont initiée en France. Cinq rencontres ont eu lieu sur ce thème dans notre groupe. La rencontre avec les collègues de Marseille (ADDAP 13) aura été importante. A-M Tagawa et L Choulak nous ont fait part de leur expérience dans ce domaine. L'idée est d'arriver à prévenir l'entrée des jeunes dans cette économie de la débrouille et de faciliter la sortie de certains de ces jeunes pris dans l'engrenage ds trafics.
Leur groupe de travail est issu du CLSPD (conseil prévention de la délinquance). Elles ont constitué un groupe de 15 personnes, se réunissant tous les mois. Ce groupe est accompagné par un tiers, sociologue. L'objectif est de réfléchir et de mettre en place des actions sur le territoire, en abordant également la question de la méthodologie. Trois axes sont retenus : les trajectoires familiales, le contexte des quartiers et le travail social communautaire. Ils ont aussi constitué un groupe habitants qui se réunit une fois par mois et qui n'est pas en lien direct avec les professionnels.
Le groupe des professionnels a réfléchi sur leurs modalités de fonctionnement et des critères ont été établis : régularité ds rencontres (1 fois par mois), cooptation pour l'entrée dans le groupe, constitution d'un groupe pour une année (une personne absente ne se fait pas remplacer par un autre collègue du service), restitution du travail effectué sachant que le comptes-rendus ne sont diffusés qu'aux membres du groupe.
De nombreux thèmes ont été abordés par ce groupe de Marseille intitulé « questions de réseaux » : les postures professionnelles, connaissances du problèmes et du public, le statut des participants, le soutien aux parents et aux adultes encadrants, les facteurs de compréhension de la situation de ces jeunes et de ces familles, l'expertise des habitants et des jeunes concernés, les allers et retour dans le trafic, la sortie de ces trafics, les rapports avec la Police, l'intervention en milieu carcéral, l'accès aux droits pour ces jeunes et leurs familles .
A Sevran, nous allons pouvoir nous appuyer également sur l'expérience de l'équipe de la Mission Métropolitaine des Conduites Risques et plus particulièrement celle de Catherine Jouaux qui à lancé ce type de travail dans un quartiers du Nord de Paris .
Concernant le collectif, nous sommes entrain de mettre en place un groupe d'une quinzaine de personnes en nous inspirant des modalités décrites par nos collègues de Marseille. Le groupe devrait être définitivement constitué fin juin 2014. Nous avons aussi retenu des critères de fréquence des rencontres, de confidentialité, de stabilisation du groupe afin que les personnes se sentent en confiance par rapport à un sujet très délicat. Dans un premier temps, nous allons travailler sur un état des lieux de ce qui se passe sur le territoire de Sevran. Cette première étape nous semble nécessaire afin de savoir de ce que l'on parle et de sortir des fantasmes. Mieux connaître la situation doit permettre d'envisager des actions collectives et s'outiller soi-même pour les suivis individuels. Ceci devrait nous permettre de mieux appréhender l'impact de ces trafics sur la vie des quartiers (espace public, délitement du lien social). D'autres axes pourront être ensuite proposer à la réflexion : la question du partenariat à mobiliser (justice, bailleurs sociaux, accès aux droits pour les familles ), la question de l'apport théorique pour mieux comprendre les facteurs de vulnérabilité sociaux et psychologiques qui interviennent dans les « décrochages » de ces jeunes, la compréhension des réponses pénales face aux actes posés par ces jeunes, la place des habitants et des acteurs associatifs dans ce travail préventif qui vise à prévenir l'entrée des jeunes et faciliter leurs sorties des trafics. Ce travail de réflexion, d'échanges et de rencontres, s'avère nécessaire avant d'aborder la phase opérationnelle , en direction du public.
Groupe réseau inter-professionnel :
Un double objectif a participé au travail de ce groupe:
- d'une part, identifier les différents acteurs du territoire intervenants dans le secteur de l'addictologie ;
- d'autre part, créer du lien entre les membres du collectif et ces structures qui peuvent être des points d'appui en termes de conseils, d'orientation pour le public suivi par les professionnels du collectif
Trois rencontres ont donc été organisées cette année avec le CSAPA GAINVILLE (consultation jeunes), le CAARUD Aurore (ex FIRST) et le secteur addictologie de l'hôpital R. Muret. Une vingtaine de personnes du collectif a participé régulièrement à nos rencontres.
Le groupe a noué un partenariat avec la Commission Addiction du CHSCT de la Ville de Sevran. animée par Sami Melliti. En effet, le coordinateur du collectif a été invité à participer aux différente réunions de cette commission. Ainsi , nous avons été partenaires dans l'organisation de la manifestation autour de la prévention des addictions qui s'est déroulée le 3, 4 et 5 juin 2014 à l'Espace F Mauriac.
Par ailleurs, cette commission a organisé une journée de formation sur la consommation de produits animée par Alcool Assistances qui a réunit une trentaine d'agents de la Ville. Un travail de coordination sera, à termes, sans doute nécessaire dans le cadre de formations proposées en direction des agents de la ville.
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
3500€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
200 jeunes
45 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Bla-Bla de l'accueil
- Structure organisatrice
- Centre socioculturel CLARA ZETKIN - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Cours de français pour adultes
- Structure organisatrice
- CS ROUGEMONT - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cours de français pour adultes - viens de terminer car durée septembre/juin
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Objectifs pour les ELF de manière générale :
· Promouvoir l'autonomie des apprenants par une meilleure connaissance des espaces sociaux et culturels du quartier, de la commune et de la Région en commençant par la structure au sein de la quelle ils sont inscrits pour les ateliers ELF. La démarche des ateliers d'expression en langue française (ELF) part, de manière systémique, de l’espace social,et détermine les actes de langage environnants.
·Favoriser l'appropriation de la langue française orale et écrite, ainsi que les codes sociaux en lien avec la vie quotidienne et professionnelle. Le travail menant à l'autonomisation met en situation concrète l'apprenant, au sein d'un espace social qu'il va apprendre à découvrir, à explorer et à s'approprier, via des capacités nouvelles de communication. On tend donc à amener les stagiaires à s'approprier leurs besoins linguistiques de façon contextualisée, sans toutefois négliger les éléments syntaxiques, grammaticaux, phonétiques, qui leur permettront d'exploiter ces connaissances nouvelles. Ce dispositif tient donc compte des réalités et spécificités locales.
· Accompagner l’équipe de formateurs bénévoles grâce à la mise en commun de ressources pédagogiques (manuels et ressources numériques, formation en interne et par des partenaires comme la fédération des centres sociaux de Seine Saint Denis, les relais culturels de la Mission « vivre ensemble » dont, par exemple, le musée du Louvre, le centre Pompidou, le château de Versailles, etc…, l’association Radya) et d’outils de coordination pour suivre l’assiduité et la progression des apprenants.
· Consolider les partenariats avec les autres acteurs sociaux afin de favoriser l’accès aux droits (y compris le droit à l’accès à la formation linguistique), l’insertion professionnelle des apprenants (d’abord par l’accès à la formation) et leur implication dans le tissu social. Il s’agit de concevoir et d’animer le dispositif d’accompagnement et de formation en s’appuyant sur l’ensemble des ressources locales et des personnes qui interviennent dans les différents domaines du service public, tels que les bibliothèques municipales, les théâtres de la Poudrerie à Sevran et celui de la ferme Godier à Villepinte, l’atelier santé-ville, le PEIF, le CCAS, les PMI, mais aussi les associations de prévention santé et les structures culturelles ed la Région Île-de-France.
Objectifs primordiaux en ces temps de crise sanitaire, sociale et économique :
·Renforcer les interactions des personnes marginalisées du fait de leur isolement linguistique : offrir un cadre d’apprentissage convivial et bienveillant permettant la rencontre avec les autres (formateurs et co-apprenants), l’émulation par les pairs et l’ouverture sur l’environnement social et professionnel.
Sept ateliers ELF (contant 8 à 9 participant·es en raison des mesures prises contre l’expansion de la Covid) se dérouleront au cours de l’année 2020. Animés par une équipe de constituée d’une coordinatrice et formatrice salariée ainsi que d’une dizaine de formateur·rices bénévoles, ils se déploient du lundi au vendredi, à la fois en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30).
Les horaires et les jours d’ateliers tiennent compte des contraintes des apprenants : entrée et sorties d’école, pas de cours le mercredi à cause de présence des enfants à la maison, cours en soirée pour les travailleurs et les mères faisant garder leurs enfants par leur conjoint.
A noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF. Le planning des séances d’ateliers (2heures) est ainsi couplé à des créneaux de garde Halte-jeu (3heures), dans la limite de 10 enfants par créneau et à raison de 4 demi-journées par semaine.
Voici le détail des différents groupes ELF :
-
Groupe 1, A1/A2 (niveaux du CECRL, cadre commun de références pour les langues) à l’oral et à l’écrit, le matin ;
-
Groupe 2, ayant une aisance à l’oral (vers le B1) ou francophones et débutants à l’écrit (A1.1 à A1), le matin ;
-
Groupe 3, débutants à l’oral et à l’écrit (infra A1.1 à A1), le mardi après-midi ainsi que le jeudi et vendredi matin ;
-
Groupe 4, vers le A2 à l’oral et à l’écrit, l’après-midi ;
-
Groupe 5, vers le B1, l’après-midi et le soir ;
-
Groupe 6, A1/A2 à l’écrit, B1 à l’oral, le soir ;
-
Groupe 7, ayant une aisance à l’oral (vers le B1) ou francophones débutants à l’écrit (infra A1.1 à A1) ;
-
Projection-débat : séances sur différentes thématiques telles que l’emploi des femmes, l’école, la confiance en soi, l’appartenance multiculturelle, à la médiathèque L’@telier.
Visites d’exposition : préparation des visites en amont et médiation adaptée au niveau linguistique pendant la visite. Choix des musées en accord avec les apprenant·e·s dans le cadre de la mission «Vivre ensemble».
Atelier informatique : 4 à 6 séances de 2 heures pour trois groupes, animées par l’animateur informatique de la médiathèque L’@telier. Cet atelier vise à faire acquérir les compétences de bases en traitement de texte et utilisation d’Internet (recherche, démarches en ligne,apprentissage des langues via QIOZ). Pour les plus avancés, un atelier d’écriture collaborative autour du projet
auxquels s’ajouteront éventuellement deux à quatre ateliers supplémentaires à partir de janvier grâce un partenariat que nous espérons établir avec l'association SOS Solidarités ASFAM. En effet nous ne réussissons jamais (et cette année c'est encore plus affligeant de devoir refuser un aussi grand nombre de personnes) à répondre aux nombreuses demandes des habitants . Ce public hétérogène de primo-arrivants, de résidents ne maîtrisant pas la langue Française à l’écrit et/ou à l’oral sont identifiés comme prioritaires dans tous les ateliers participatifs, les conseil de usagers et donc dans les objectifs de travail de la MdQ . La langue et les supports utilisées par les services et les différentes administrations pour communiquer n’en facilite pas toujours l’accès. Les courriers ou supports de communication informant les publics de leurs droits ne sont pas toujours accessibles. Ces populations connaissent des difficultés spécifiques, la non maîtrise de la langue constitue un frein important en matière d’accès aux droits, d’exercice de la parentalité, et d’insertion socio professionnelle. Certains se découragent et finissent par renoncer à une démarche, une requête, un droit.
Nous essayons de faire au mieux et chaque groupe est présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représente un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures sont réparties entre des temps en classe et des temps découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc). Un calendrier est établi pour toutes les actions « hors les murs » s’inscrivant dans l’apprentissage du français et des espaces sociaux/professionnels.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF correspondant à leur niveau (obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour). Plusieurs ateliers ou temps de partage seront aussi proposés en collaboration avec nos partenaires:
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les Maisons de quartier de Sevran font face à une très forte demande concernant l'accompagnement sociolinguistique (qui reste en grande partie insatisfaite du fait du manque de moyens humains et matériels alloués à l'action). Les habitants en demande de formation sociolinguistique nous sollicitent directement à l'accueil des MdQ et peuvent être orientés par les établissements scolaires, les services sociaux (service RSA), le Pôle Emploi, les clubs de prévention et les différentes structures du territoire. Les tests de positionnement permettent dans un second temps de définir plus finement les attentes des bénéficiaires. Dans le cadre des ateliers, les stagiaires sont ensuite invités à exprimer leurs attentes quant aux contenus de l'accompagnement sociolinguistique. Celui-ci doit donc être développé en constante adéquation avec les besoins primordiaux exprimés. Les ateliers sont volontairement mixtes en genre, culturellement divers, socialement inclusifs et sans discrimination aucune. Nous travaillons sur une dynamique de groupe qui favorise un climat de bienveillance et d'entraide parmi les stagiaires.
Ces ateliers se donnent pour vocation, entre autres, de transmettre les valeurs fondatrices de la République, mais aussi la laïcité, la démocratie, la solidarité, le respect des cultures. Les ateliers sont ouverts à tous les adultes, hommes et femmes habitants de la ville de Sevran. Ceux-ci s'engagent à respecter une charte rappelant les valeurs de la république, de la laïcité, spécifiant que les les ateliers sont mixtes et à respecter les locaux et les personnes franchissant le seuil de la maison de quartier.
La démarche pédagogique que nous adoptons, pensée en direction des adultes, est fondée sur les principes suivants :
·Prendre en compte les centres d’intérêts des apprenants pour définir les contenus des apprentissages.
·Solliciter les connaissances et l’expérience de chacun.
·Repérer et prendre en compte le profil d’apprentissage de chaque apprenant en prêtant attention à ce raisonnement mis en oeuvre et à la sensibilité propre à chacun qui pourrait favoriser ou gêner la démarche
formative.
·Solliciter l’interactivité entre les apprenants pour susciter l’activité de tous, l’entraide et l’émulation au sein
du groupe.
·Favoriser un processus d’auto-évaluation progressif.
·Proposer des animations de travail en situation de communication réelle (démarche actionnelle).
L'apprentissage de la langue est alors un moyen et non le but unique des ateliers. La finalité, à la suite
d'un processus dynamique, aboutira à l'autonomie complète de la personne.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'appropriation des contenus s'effectue dans un va-et-vient continu entre « ateliers complémentaires au sein de la structure » et « visites des espaces sociaux et culturels de proximité ». Tout apprenant inscrit aux ateliers ELF participe au préalable à un test de positionnement qui détermine ses acquis linguistiques et ses capacités d'autonomie dans la vie quotidienne. Il en ressort que les besoins principaux des stagiaires s'articulent autour : - de la nécessité de communiquer dans la sphère sociale et d'être autonome dans ses démarches quotidiennes (administratives, scolaires, professionnelles)
- de la maîtrise des réalités socioculturelles du pays d'accueil - de l'affermissement, de l'estime de soi, et de la confiance en ses capacités de communication et d'insertion.
L'appropriation des contenus s'effectue dans un va-et-vient continu entre « ateliers complémentaires au sein de la structure » et « visites des espaces sociaux et culturels de proximité ». Tout apprenant inscrit aux ateliers ELF participe au préalable à un test de positionnement qui détermine ses acquis linguistiques et ses capacités d'autonomie dans la vie quotidienne. Il en ressort que les besoins principaux des stagiaires s'articulent autour : - de la nécessité de communiquer dans la sphère sociale et d'être autonome dans ses démarches quotidiennes (administratives, scolaires, professionnelles)
- de la maîtrise des réalités socioculturelles du pays d'accueil - de l'affermissement, de l'estime de soi, et de la confiance en ses capacités de communication et d'insertion.
L'appropriation des contenus s'effectue dans un va-et-vient continu entre « ateliers complémentaires au sein de la structure » et « visites des espaces sociaux et culturels de proximité ». Tout apprenant inscrit aux ateliers ELF participe au préalable à un test de positionnement qui détermine ses acquis linguistiques et ses capacités d'autonomie dans la vie quotidienne. Il en ressort que les besoins principaux des stagiaires s'articulent autour : - de la nécessité de communiquer dans la sphère sociale et d'être autonome dans ses démarches quotidiennes (administratives, scolaires, professionnelles)
- de la maîtrise des réalités socioculturelles du pays d'accueil - de l'affermissement, de l'estime de soi, et de la confiance en ses capacités de communication et d'insertion.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
10.000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 Coordinatrice ASl
20 benevoles (13 actifs pendant le confinement)
- Résultat sur le territoire
La crise sanitaire a complètement bouleversé la vie de millions de personnes en cette dernière année. 2020 a été une année hors normes. L'épidémie de coronavirus a changé nos vies et bouleversé la vie économique du pays.
Le 17 mars 2020, tout bascule : l'économie s'arrête, et depuis les français découvrent le télétravail.
Dans ce contexte les Maisons de quartier de Sevran ont toujours maintenu le lien avec les habitants. Elles ont porté soutien et accompagnement, elles ont continués les activités là où elles étaient possible avec tous les moyens qui leurs étaient données.
Le CLAS et les ELF ont continué pendant le confinement et après, les jeunes et surtout les apprenants ont eu la possibilité de s'exprimer et d’être accompagnés.
Tout ne s'est, certes, pas passé comme on l'avait prevu et dans ce contexte il est difficile de faire appel aux indicateurs qui étaient prévus. Il est difficile d’évaluer la qualité des cours dispensés via Zoom ou sur un banc du canal de l'Ourq …
Au vu de la situation, ce qu'il paraît à l'humble rédacteur de ce bilan c'est que les objectifs ont été largement atteints parce que malgré toute les difficultés l’apprentissage s'est fait, le lien et le care ont continué à exister, l'envie d'apprendre et d’évoluer ou de s’intégrer ont trouver un objet pour les satisfaire
.
Comment faire face aux difficultés engendrés par l’épidémie et concevoir un nouveau futur c'est le défis qui nous relevons pour 2021 et les années à venir.
- Résultat pour le centre social
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Grâce à l’étonnante capacité d'anticipation de l’équipe composé par la coordinatrice/formatrice et par les bénévoles nous avons étés capables de reprendre des cours en ligne depuis le mardi 17 mars.
Le groupe de formateurs avait prevu l’éventualité d'un confinement et il s'y était préparé.
Ainsi des groupes What's app ont étés crées pour les apprenants qui n’étaient pas positionnés sur aucun (il faut dire que les bénévoles ont l'habitude d'envoyer des compléments de cours via le groupes – une classe = un groupe Wapp)
Une bénévole était référente pour l'installation des logiciels (Wapp et Zoom, House party etc) elle fournissait assistance en ce domaine.
3 cours en moyenne, voir 4 selon la disponibilité des bénévoles ont eu lieu pendant toute la période du confinement et dès que possible des cours en plein air ont eu lieu sur les berges du canal et sur la terrasse de la MdQ quand celle ci a rouvert au public et pendant toute l'été. (cela évidemment dans le respect des règles de distanciation)
Depuis juin 5 groupes groupes ont fonctionné pendant ce période, avec une présence totale plutôt aléatoire de 35/40 personnes.
La MdQ Rougemont accueille parmi ses adhérents et cela depuis sa création les résidents des trois résidences sociales avoisinantes, pendant la période confiné l’équipe s'est fait relais de leurs besoins en terme de colis alimentaires et aussi des masques, car beaucoup parmi les résidents ont continué le travail mais sans en être équipés. Ils ont étés destinataires du premier lot produit par la MdQ.
De septembre à décembre :
Les ateliers se déroulent du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h00-19h30). Nombre de cours (séances) par semaine : 21.
Il se déroulent dans le plus stricte respect des normes de sécurité et sont portés par une Coordinatrice formatrice et 10 bénévoles. 10 stagiaires max par groupe. Un certains nombre de bénévoles avec des profiles à risque a mis en stand by son engagement pour le moment. Par contre l’équipe de bénévoles du Secours catholique avec lequel on collaborait nous a rejoint pour donner main forte sur les cours.
Nombre d’apprenants : 96
11 groupes au total ainsi repartis :
1 groupe débutant A1.1
2 groupes ateliers écritures du quotidien/ prépa A1
1 groupe A1
1 groupe ASL, depuis octobre Courses alimentaires et Santé (en lien avec la PMI et en association avec Ethnologues en herbe)
2 groupes A2, prépa DELF A2
1 groupe A2, renforcement écrit, prépa DELF A2
1 groupe A2/ B1, prépa DELF B1 ou A2 + atelier avec Ethnologues en herbe « Récits de vie et portraits des femmes du quartier »
1 groupe B1, prépa DELF B1, préparation démarche de naturalisation
1 groupe B1, renforcement écrit et prépa DELF B1A ce propos nous décomptons :
29 inscrits au DELF depuis septembre 2020 :
20 admis
2 non admis
2 reportés
5 en attente de résultatsAteliers ASSFAM : ASL emplois d’octobre à janvier,
ASL Accès aux droits (3 sessions, 1e de février à mars) 10 personnes max
- Résultat pour les habitants
Malgré la période une liste d’attente est ouverte qui donne la possibilité à toute personne désirant s’inscrire à une formation linguistique d’être reçue lors d’une permanence (à raison de deux mercredis par mois) avec la coordinatrice-formatrice. Après un test de positionnement, ces personnes intègrent les groupes déjà constitués (quand il y a de places) ou sont orientées vers des structures partenaires dans la mesure des capacités d’accueil de ces dernières, mais ce n'est pas malheureusement le cas actuellement.
- Suite de l'action : Limites
Impossibilité de faire face aux nombre des demandes. Cette action est très demandée elle represente un enjeu dans la vie des apprenants :
un travail ou un meilleur travail, un permis de sejour, la naturalisation sont en jeu.
- Suite de l'action : Perspectives
La formation linguistique des adultes est un processus d’adaptation et d’élargissement identitaire, empathie et discernement sont à développer côté enseignants et côté
apprenants. Il y va du vivre ensemble et de la compréhension de soi et de l’autre. Nous nous retrouvons en présence des publics de plus en plus hétéroclites, au quotidien cela veut dire une diversification des répertoires langagiers et des niveaux scolaires. Nous devons donc nous attacher à déterminer les éléments langagiers manquants à leur répertoire afin de favoriser la communication dans toutes les situations qu’ils rencontrent. Les besoins langagiers des adultes migrants sont difficiles à déterminer car il existe autant de besoins qu’il existe de sujets.
Ceci oblige à une réflexion renouvelée sur les besoins des personnes, les manuels et matériels utilisés en situation de formation, l'appréhension des compétences orales et écrites et leur évaluation. De plus, de nouveaux usages liés au numérique viennent bouleverser les pratiques de formation. La formation et l'accompagnement que nous proposons sont aussi une écoute de l’autre dans son originalité et dans toutes ses dimensions. C’est une manière d’accompagner autrui dans son processus de croissance, vers plus de maturité et de liberté intérieure.
C'est en conséquence un grand cycle d'accompagnement des adultes et des enfants qui se préfigure, les paroles des habitants et des professionnels ainsi que les observations directes incitent la Maison de quartier vers un accroissement dans l'implication du travail éducatif. Au sein de cette démarche se déligne un pôle important concernant communication et linguistique. Ce type d’apprentissage a une portée directe sur la vie quotidienne, les apprenants ont un projet et un objectif précis puisqu’il s’agit pour eux de s’intégrer dans la société d'accueil. Quand un apprenant s’engage, c'est une démarche consciente, volontaire et observable et qui a pour but l’appropriation de la langue et de outils communicationnels du pays d’accueil pour évoluer dans sa société de façon durable, souvent définitive.
Actions
OPERATION "Les Maraudes" à Saint-Ouen : Les jeunes s'impliquent et sont solidaires des plus démunis.
- Structure organisatrice
- CS MAISON DE QUARTIER PASTEUR - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Résumé
Description de l’action :
L'opération, démarrée en novembre 2013, s’est poursuivie en 2014, puis en 2015, et sera maintenue en 2016. La Maison de quartier Pasteur accompagne l'engagement citoyen et solidaire des jeunes. Ils vont, avec des adultes et des enfants fréquentant la structure, s'impliquer dans un projet commun, afin d'améliorer l’image au quartier, de créer du lien entre les habitants, de lutter contre l’exclusion sociale et la stigmatisation. Faire des réunions de bilan après chaque opération avec les différents acteurs.
1°/- La Maison de quartier Pasteur mobilise les habitants : les mamans du quartier préparent des repas et les conditionneront avec la participation d’une dizaine d’enfants de moins de 12 ans, et de certains jeunes (5 ados et 10 majeurs).
Aussi nous allons constituer une banque alimentaire à partir des collectes faites par les jeunes et les mères auprès des commerçants et la grande distribution, pour distribuer les produits alimentaires aux plus nécessiteux. Renforcer le partenariat avec Resto du cœur pour mieux orienter les nécessiteux qui viennent nous voir.
Travailler avec des traiteurs pour récupérer les surplus de produits de restauration (encore consommables) afin de les distribuer régulièrement aux familles nécessiteuses du quartier.
2°/- La fondation Jeunesse Feu Vert, le Service Jeunesse, les associations D’Brouy Jeuness et ADT (association des talents), mobilisent les jeunes du quartier pour le conditionnement des repas aux côtés des familles (parents et enfants), ainsi que pour la distribution des repas aux personnes les plus démunies.
3°/- En outre, une formation au premier secours, sera mise en place pour permettre aux participants (10 jeunes et 10 adultes) d'acquérir des compétences en matière de protection civile. Cette formation sera coordonnée par Jeunesse Feu Vert. Un mode de garde sera organisé pour les enfants (0-5 ans) pour permettre aux parents de suivre cette formation qui dure toute la journée.
Objectifs généraux :
- Renforcer la solidarité et le lien entre les habitants
- Prévenir la délinquance juvénile en impliquant les jeunes en situation de pré-marginalisation.
-
Objectifs pédagogiques :
- Valoriser les compétences de chacun
- Concourir à l’amélioration de l’image du quartier
- Lutter contre l’isolement
- Favoriser les liens intergénérationnels.
-
Objectifs opérationnels :
- Acheter des denrées alimentaires et le matériel nécessaire
- Collecter des produits chez les commerçants, les restaurants, et les hôtels
- Organiser la préparation et le conditionnement des repas
- Effectuer la distribution
- Organiser des réunions pour des bilans intermédiaires après chaque action, pour préparer la suivante opération.
Porteurs du projet et intervenants dans l'action:
- Maison de quartier Pasteur
-
Jeunesse Feu vert
Service Jeunesse
D’Brouy Jeuness
ADT
Familles du quartier et Seniors
Nombre de séances dans l'année:
Une séance par mois, soit 12 séances dans l’année, du 15 janvier au 31 décembre 2016.
Population ciblée:
-D’abord, les jeunes en risque de marginalisation suivis par la fondation Jeunesse Feu Vert, qui n’ont pas bonne réputation auprès des habitants adultes du quartier, participeront à une action commune avec les habitants.
Groupe de 15 jeunes (8 garçons, 7 filles),
Les familles (10 parents et 10 enfants), surtout les mamans du quartier.
- Concernant le public des « plus démunis », en moyenne 100 repas à servir à chaque maraude, soit une moyenne de 1200 repas à servir au cours de l’année 2016.
Un public essentiellement adulte masculin, même si nous comptons toucher les mères avec leurs enfants.
Informations complémentaires :
Les maraudes seront distribuées par un groupe de 15 jeunes (18-20 ans) du quartier.
La présence des animateurs (Maison de quartier Pasteur, Service Jeunesse), des éducateurs de Jeunesse Feu Vert, d'encadrant des associations (D-Brouy Jeuness, ADT), sera utile et complémentaire.
Acheter des produits alimentaires pour la préparation. Former des groupes pour la distribution. Démarcher des commerçants pour collecter les produits alimentaires, les hôtels pour les kits d’hygiène.
Enfin, une formation au premier secours sera organisée pour 10 jeunes (et 5 adultes), afin de leur donner les moyens d’être plus réactifs face à des situations. Mais également pour qu’ils acquièrent plus de connaissance dans l’approche du public en fragilité.
Territoire de réalisation de l’action : Ville de Saint-Ouen,
Quartiers Arago/Zola, Garibaldi/Charles Schmidt, Porte Montmartre, Emile Cordon, Debain.
Moyens mis en œuvre :
Humains:
2 animateurs de la Maison de quartier Pasteur,
2 éducateurs spécialisés de la fondation Jeunesse Feu Vert,
1 animateur du service Jeunesse,
1 encadrant de l'association D-Brouy Jeuness,
1 encadrant de l’association des talents (ADT).
Matériels et logistiques :
Salle polyvalente, cuisine,
Mise à disposition de local (salle polyvalente de la Maison de quartier Pasteur), de matériels bureautique et informatique (ordinateurs, imprimante, scanner, photocopieuse, téléphone, papier), de matériels et ustensiles (cuisine) à la MDQ Pasteur.
Financiers :
Location de véhicule, Achat de matériels de cuisine, de couverts
Achat de denrées alimentaires – Formation au premier secours.
Méthode d'évaluation et indicateurs choisis:
- Fréquentation des jeunes et des habitants,
- Réunions régulières entre les différents groupes de participants (Adultes, Jeunes, Animateurs et Educateurs, associations) pour faire le bilan d’étape après chaque opération, en général la semaine suivant l’initiative.
- Réalisation de la formation « premier secours ».
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
1°/- Les jeunes et les adultes du quartier ont du mal à échanger, à s'entrevivre, parce que les jeunes "tiennent le mur" à longueur de journée ce qui gêne la quiétude des familles. Les adultes se méfient des jeunes à cause des attroupements tardifs , des nuisances sonores des motos, les allers et venues incessants. Tout ceci crée une ambiance de méfiance les uns à l'égard des autres.
2°/- Trouver un moyen de rapprocher les deux publics dans une action qui valoriserait les uns et les autres: s'impliquer dans une action de solidarité tout au long de l'année serait une occasion de construire du lien, et briserait cette défiance entre les deux publics: Participer à des réunions de préparation, se répartir les tâches, à savoir les mamans prépareraient des repas chauds dans la journée, les jeunes se chargeraient de la distribution le soir aux personnes démunies dans les quartiers de la ville. Les deux publics se rencontrent toujours en fin de journée pour finir la préparation des sandwichs, et se rappeler les consignes de préparation et de distribution.
3°/- Ouvrir un champ de formation premier secours aux deux publics: les jeunes et les adultes apprennent les gestes essentiels pour sauver des vies.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Depuis 2013, des rencontres de travail avec le SAMU social, Interlogement, les restos du coeur, nous ont permis de comprendre la réalité de ce qui était dejà mis en place sur la ville de Saint-Ouen, de cibler au plus près le public nécessiteux
D'autre part, les jeunes avaient montré leur souhait de se rendre utile en s'impliquant dans une action de solidarité. Les mamans du quartier voulaient également apporter un peu de chaleur aux personnes sans abri.
La rencontre avec la Fondation Jeunesse Feu Vert (éducateurs spécialisés) agissant auprès des jeunes du quartier a permis de sensibiliser les jeunes sur la question. L'association D-Brouy Jeuness qui met en place des activités d'accompagnement scolaire a également mobilisé les jeunes de l'association à participer à l'action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Etat (Contrat de ville) : 6000 €
Commune de Saint-Ouen : 3970 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Groupe de 15 jeunes majeurs (8 garçons, 7 filles)
Groupe de 20 parents adultes (essentiellement les mamans du quartier)
Groupe de 18 enfants et jeunes mineurs aident à la préparation des sandwichs
Pour l'encadrement : 6 professionnels, 4 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Un groupe d'adultes s'est constitué et se mobilise sur le projet. Un groupe de jeunes se mobilise également.
Les relations entre les adultes et les jeunes deviennent plus cordiales, les jeunes discutent plus aisément avec les adultes lorsqu'ils se croisent dans le quartier. Ils s'informent mutuellement des initiatives qui ont lieu au sein de la structure et dans le quartier.
1253 repas ont été distribués aux personnes démunies au cours de l'année 2016.
- Résultat pour le centre social
La participation des jeunes aux actions de la maison de quartier est plus significative, même aux côtés des adultes et des parents.
Les différents acteurs peuvent maintenant proposer d'autres initiatives auxquelles participent de nouveaux acteurs.
- Résultat pour les habitants
Les actions de solidarité (exemple: les maraudes) ont permis aux habitants de mieux discuter de la vie du quartier, d'échanger sur leurs problèmes familiaux, de l'éducation des enfants et de l'accompagnement qu'ils doivent apporter aux plus jeunes.
Le jeunes ont mieux compris la situation de précarité que vivent les personnes démunies.
Les adultes ont un regard plus valorisant des jeunes du quartier qui participent à l'action de solidarité.
Les habitants viennent donner des vêtements chauds à distribuer.
Certains se mobilisent pour collecter des denrées alimentaires auprès des commerçants les jours de marché.
- Suite de l'action : Limites
Les maraudes n'ont pas réglé les problèmes de troubles de voisinage des jeunes dans le quartier. Ni d'ailleurs le trafic qui en est le corollaire. La participation des bénévoles est tournante et il n'est pas facile de fidéliser les jeunes sur toute une année: le groupe évolue.
La mixité (garçons et filles) n'est pas encore tout à fait au point.
- Suite de l'action : Perspectives
- Poursuivre cette action de solidarité
- Inciter les jeunes, et surtout les mamans du quartier, à participer nombreux aux formations de premier secours
- Pour mieux répondre aux besoins exprimés par les personnes bénéficaires, il faut organiser la sensibilisation des commerçants, des pharmacies, des hotels pour collecter des denrées non périssables, des kits d'hygiène et des produits de premier soin.
Actions
Action de prévention sur les rumeurs en milieu scolaire
- Structure organisatrice
- CS ASS AGG CSC LES MARNAUDES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
l'action a été fait sur l'année 2014/2015
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
L'action s'est déroulée sur plusieurs séances de deux heures sur l'ensemble des classes de sixièmes. c'est une action pour comprendre la génèse d'une rumeur, les conséquences . Cette action s'est faite sur deux jours au collège auprès des sixièmes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Suite à des problèmes de rumeur sur les réseaux sociaux , des jeunes ont été victimes de rumeurs. Le résultat est de faire comprendre aux jeunes qu'une rumeur peut "détruire" un individu.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Cette action a été menée par des ethnologues sur deux jours avec des séances de deux heures par classe. des supports vidéo , réflexions et échanges avec les jeunes
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1200 euros pour l'intervention des ethnologues et 3 salariés mis à disposition sur les deux jours ( 4850 euros)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 ethnologues, 3 salariés, 6 professeurs
- Résultat sur le territoire
L'action sur les rumeurs est de travailler la relation filles et garçons dans le quartier. La rumeur peut être destructrice dans un quartier et rendre difficle d'y vivre d'où travailler cette prise de conscience auprès des jeunes.
- Résultat pour le centre social
L'impact est de légitimer le centre social en tant qu'acteur social au coeur du collège .
- Résultat pour les habitants
L'impact auprès des habitants est de les accompagner avec les nouvelles technologies : comment paramétrer les téléphones, une photo sur un téléphone peut être dangereux si celle ci n'est pas uitilisée à bon escient. Tenir des propos sur un individu doit être ^prise de conscience collective au sein du quartier en commançant par les parents.
- Suite de l'action : Limites
Les limites sont l'aspect financier. cette action devrait être mise sur tous les niveaux de sixème à la troisième.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer sur l'ensemble des classes du collège avec d'autres thèmatiques : harcèlement au collège, les réseaux sociaux
Actions
La Maison de mes Aïeux
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ORANGE BLEUE - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Logement
- Résumé
Ce projet a débuté en 2013 et a pris toute son ampleur en 2014. Au rythme des phases, au noyau dur de participants a été constutué, permettant tout de même à d'autres habitants de participer à certaines rencontres et de contribuer ainsi au projet final. En définitive, cette action partenariale a concerné de 6 à 25 habitants différents. Si une représentation finale devait voir le jour en octobre 2014, un manque de temps a conduit le groupe à décaler le spectacle final en 2015. En remplacement une lecture publique a été proposée le 17 octobre 2014. Cette initiative a été bénéfique ca elle a permis de recueillir le ressenti du public face à ce premier dévoilement de cette création citoyenne et artistique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'espression, dans son plus simple apparat, qu'elle soit spontanée, réfléchie, artistique, théatrâle,contestataire, personnelle ou encore construite collectivement, qu'elle soit orale ou visuelle est un moyen essentiel, voire primordial pour permettre aux personnes de se forger une opinion sur la société dans laquelle elles évoluent. C'est aussi l'opportunité d'expliciter les difficultés que l'on peut rencontrer, les incompréhensions que l'on peut vivre parfois et tenter de les comprendre afin de les dépasser. Il s'agit ici du fondement de ce projet de création théatrâle et citoyenne.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
A un rythme lent ( deux fois par mois) puis plus soutenu ( une à deux fois par semaine) un groupe de personnes s'est réuni pour travailler à la création d'une oeuvre artistique mêlant travaux d'écriture, théâtre et interviews filmés. Les premières rencontres avaient pour objectif de permettre le partage de souvenirs d'enfance, ici ou ailleurs, bons ou moins bons. Cette collecte allait construire la trame de cette pièce.
Puis collecte de mots, couleurs, odeurs, sensations objets illustrant un intérieur se sont ajoutés pour venir solidifier cette construction. A partir de là les souvenirs ont été écrits, prenant en considération les aspects artistiques d'une véritable pièce de théatre.
S"en sont suivies les répétions pour aboutir à la représentation.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
8145€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 professionnels ; 25 habitants
- Résultat sur le territoire
A travers cette démarche artistique et citoyenne, les habitants ont été invités à paticiper à une réflexsion collective autour des thèmes de l'habitat, du savoir vivre ensemble et du quartier.
- Résultat pour le centre social
Effet médiatique puisque le journal de la ville,en passant par Bondy Blog ( du 23 février 2015) jusqu'au Parisien ( en date du vendredi 13 mars 2015) ont relaté cet évènement d'un spectacle participatif.
- Résultat pour les habitants
A travers cette démarche artistique et citoyenne, les habitants ont été invités à participer à une réflexion collective autour des thèmes de l'habitat, du savoir vivre ensemble et du quartier. Ces sujets ont été abordés en évoquant " LA" maison. Cette maison est celle qui a marqué notre mémoire, celle où nos souvenirs d'enfance résident : odeurs, sensations, musiques, ambiance, l'histoire de nos aïeux, notre histoire.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Le projet s'est construit sur des bases solides, valorisant la place et les compétences de chacun. Plusieurs repésentations ont eu lieu en 2015 dont notamment le Festival Transit.
L'action se poursuit, au jour d'aujourd'hui, avec une nouvelle pièce de théâtre en création, sur la même approche de mobilisation des habitants.
Actions
Etre parent(s) aujrd'hui
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS JARDIN DES SOURCES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
1) Contexte : En lien avec la journée des droits des enfants qui se déroule le 20 novembre de chaque année, les professionnels et les associations liés au thème de la famille et de la parentalité se réunissent depuis 2005 pour organiser sur le territoire de Noisy-le-Grand l’évènement « Etre parent(s) aujourd’hui » (ou « Semaine de la parentalité»). L’année 2015 a correspondu aux 10 ans de l’action Etre parents(s) aujourd’hui. Il a été souhaité de marquer cet anniversaire en organisant un temps fort, sur une seule journée, rassemblant l’ensemble des partenaires.
2) Préparation et conception :
-
Groupe de pilotage : l’évènement a été coordonné par un groupe de pilotage constitué de représentants locaux du soutien à la parentalité : la Maison pour tous du Jardin des sources, l’agence Famille CAF de Noisy le grand, la circonscription du service social du Conseil général de Seine-Saint-Denis, l’association d’éducation spécialisée La Sauvegarde 93., L’éducation nationale. Le groupe de pilotage s’est rencontré régulièrement tout au long de l’année et a assuré la gestion et l’organisation générale de l’action.
-
Des réunions plénières mensuelles : pilotées par la MPT DU JARDIN DES SOURCES, celles-ci a rassemblé les acteurs associatifs, institutionnels et municipaux du soutien à la parentalité sur le territoire de Noisy-le-Grand. En tout, 6 réunions ont été organisées, auxquelles ont assisté régulièrement entre 20 et 30 personnes. Chaque réunion a eu lieu dans les locaux de partenaires différents, lesquels présentaient également leurs missions et leur équipe. L’objectif étant que l’ensemble du réseau puisse connaitre les lieux des acteurs de la parentalité, ainsi que leur mission dans le domaine du soutien à la parentalié
3) L’action
L'action s’est déroulée le mercredi 9 décembre 2015 de 14h à 19h. L’objectif était de proposer un temps festif, rassemblant tous les éléments festif d’un ANNIVERSAIRE, pendant lesquels les familles noiséennes peuvent à la fois passer un moment de partage avec leurs enfants et rencontrer les professionnels et acteurs du réseau Etre(s) parents() aujourd’hui ».
La journée s’est articulée autour des actions suivantes :
-
La présentation du GUIDE DE LA PARENTALITÉ
-
Un stand INFO avec toutes les informations en présence des acteurs du réseau
-
Un grand atelier JEU assuré par le prestataire LES ENFANT DU JEU et les ludothèques des Maison pour tous
-
Un temps de rencontre PARENT-ENFANT-ELISABETH BRAMY autour des albums créés par Elisabeth Bramy
-
Une EXPOSITION rétrospective
-
Un goûter, avec ateliers maquillage
-
Un CONCERT musical
4) Le guide ETRE PARENT(S) AUJOURD’HUI :
Le guide Etre parent(s) aujourd’hui a été présenté aux familles noiséènnes. Il permet de disposer d’un outil pratique et complet sur tous les aspects de la parentalité (loisirs, éducation, santé, mode de garde…). Le guide a été diffusé à 8700 exemplaires, et envoyé par courrier auprès de toutes les familles ayant un enfant scolarisé jusqu’à la fin du primaire, les familles ayant un enfant inscrit en crèche ou ayant fait une demande de placement en crèche. Le guide est également disponible dans tous les équipements municipaux, institutionnels ou associatifs en lien avec la parentalité.
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
-
Favoriser la participation des habitants et des familles autour de rencontres et d’évènements festifs et conviviaux liés à la parentalité
-
Mobiliser les partenaires de la parentalité et construire une dynamique de mutualisation et de mise en réInformer les parents sur leurs rôles de parents et sensibiliser les familles à la fonction parentale.
-
Informer les parents sur leurs rôles de parents et sensibiliser les familles à la fonction parentale.
-
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- ACSE
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
18279€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
521
- Résultat sur le territoire
Non précisé
- Résultat pour le centre social
Non précisé
- Résultat pour les habitants
Non précisé
- Suite de l'action : Limites
Non précisé
- Suite de l'action : Perspectives
Non précisé
Actions
Actions emploi et insertion
- Structure organisatrice
- Maison de quartier ESPERANTO, centre social et culturel - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- Intégration
- Résumé
Suite au renouvellement du projet social 2014 2017, la thématique de l'insertion et de l'emploi ressort comme un besoin fondamental sur le territoire d'intervention du centre social. La première année 2014 2015 donne lieu à un diagnostic centré sur les jeunes. Depuis la rentrée de septembre 2015, le centre social lance de nouveaux ateliers relatifs à l'emploi.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les dispositifs d'insertion sont très nombreux sur le territoire communal. Cependant, certains habitants en sont encore éloignés. Le centre social joue le rôle de relais avec des premières actions dans le centre social. Cela a permis à 30%, une reprise d'activité salariée. Une partie des habitants est en formation. Pour d'autres, l'accompagnement a permis d'identifier des freins qu'il faut d'abord lever avant d'envisager une reprise d'activités.
Cette action s'inscrit d'abord dans l'axe jeunesse du centre social mais les actions ont très rapidement touché un public plus large.
Nous inscrivons également dans cette orientation les activités de découverte des métiers pour collégiens que nous menons dans le cadre d'un CLAS Collège.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- ACSE
- Association locale
- Association nationale
- Caf
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les activités ont démarré à la rentrée 2015 (permanences individuelles, ateliers collectifs). Elles sont ensuite enrichies à la rentrée 2016 (atelier informatique emploi, mise en place d'un réseau d'acteurs locaux, organisation d'un forum local, mise en place d'une communication affichage, plaquette).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget du centre social n'a pas été impacté par les actions. C'est une réorientation des ressources humaines.
Une association partenaire a déposé un Contrat de ville pour pouvoir mener des ateliers collectifs dans les maisons de quartier de Montreuil. La ville de Montreuil cofinance cette action.
La mise en synergie des acteurs locaux ne nécessite pas non plus de budget de fonctionnement supplémentaire.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
CS : 1 apprenti + 1 coordinatrice Enfance jeunesse insertion + 1 directeur
Association Aurore : 1 conseillère
- Résultat sur le territoire
Synergie d'acteurs autour de l'insertion. De nouveaux acteurs se mobilisent autour de l'insertion. Il y avait donc une mise en réseau à opérer.
Nouveaux Acteurs :
- bibliothèque avec constitution d'un fond documentaire
- antenne jeunesse avec accueil d'un Point Information Jeunesse
- Résultat pour le centre social
Le bouche à oreille commence à identifier le centre social comme acteur de l'emploi et l'insertion. Cependant, cette image reste à développer.
- Résultat pour les habitants
Les parcours individuels et les données plus collectives chiffrées rendent compte d'un impact positif pour les habitants.
- Suite de l'action : Limites
Réticences des acteurs publics de l'emploi à décentraliser leurs actions dans les quartiers.
Légitimité du centre social à intervenir dans ce champs face à la multitude d'acteurs.
- Suite de l'action : Perspectives
Améliorer l'articultation entre le CS et les partenaires emploi locaux et extérieurs au quartier.
Actions
Atelier cuisine
- Structure organisatrice
- CS ASS AGG CSC LES MARNAUDES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
cet atelier alieu tous les jeudis après midis; Le centre social organsie des temps de rencontres autour d'une préparation d'un goûter au vue des problèmes de la cuisine non adaptée. Cependant, 25 adultes (femmes) et 12 séniors(2 hommes et 10 femmes) partagent ce temps dans la préparation et dans l'échange. Chacun apporte la recette qui sera réalisé sur un jeudi à tour de rôle. Tous les jeudis de 14 h à 16 h, cet atelier est devenu le rendez vous incontournable autour d'une patisserie et d'un café. La convivilaité est au rendez vous.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'atelier cuisine est un atelier dont les familles et les séniors aiment partager ce moment de convivilialité. Cette rencontre permet aussi d'identifier les personnes en difficultés, se soutenir et de comprendre l'autre.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Chaque atelier est un goûter . le centre social entre les denrées pour le goûter et le café s'évalue environ à 30 euros par atelier . 52 séances s'élèvent à une estimation de 1530 euros annuel
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
35 personnes par atelier dont 25 femmes et 12 séniors (10 femmes et 2 hommes)
- Résultat sur le territoire
L'atelier cuisine a pris une dimension intergénérationnelle. Les personnes âgées échangent sur le rôle de parents : leurs difficultés, leur joie et leur angoisse . Les mamans écoutent, posent des questions et exposent leur problème. le volet parentalité est omniprésent même dans un atelier cuisine.
- Résultat pour le centre social
Cet atelier est un outil pour le centre social et permet de travailler aussi sur leurs besoins;
- Résultat pour les habitants
les habitants se retrouvent avec plaisir et c'est un lieu d'écoute, de détente.
- Suite de l'action : Limites
La cuisine sera rénovée et c'est une attente des habitants afin développer des repas à grande dimension.
- Suite de l'action : Perspectives
développer les ateliers cuisines : rajouter un créneau supplémenatire
Actions
LAICITE ET FAITS RELIGIEUX
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DES HAUTS DE GAGNY - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Formation de 4 jours qui s'est terminé le 26 mars 2018
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
travail sur la laïcité.
on a fait intervenir 2 intervenants sur ce sujet pour redefinir le terme et l'historique avec l'équipe salariés/ bénévoles et les habitants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Au vue de l'actualité et a la demande des habitants.
L'objectif etait de redefinir le terme LAICITE avec les profesionnels, bénévoles et les habitants.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Par 2 intervenants de l'association ENQUETE
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 EUROS
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L EQUIPE DU CENTRE SOCIAL(6 personnes) ET 2 INTERVANTS EXTERIEURS
- Résultat sur le territoire
connaisances de terme pratique
- Résultat pour le centre social
travailler sur 1 sujet d'actualité trés sensible
- Résultat pour les habitants
comprendre l'actualité et surtout leurs droits et leurs devoirs
- Suite de l'action : Limites
pour l'instant je ne sais pas
- Suite de l'action : Perspectives
je ne sais pas(pas de budget)
eventuellement continuer a travailler avec l'association ENQUETES
Actions
Atelier d'écriture "D'un monde à l'autre, elles sont passées"
- Structure organisatrice
- CS MAISON DE QUARTIER PASTEUR - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action ayant débuté en 2016, s'est poursuivie au cours de l'année 2017 pour aboutir à la réalisation d'un livret illustré qui a été présenté par les apprenantes lors d'une soirée à la Médiathèque Persépolis en présence des familles, des élus, et de certains partnaires qui ont soutenu l'action.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Objectifs généraux :
- Favoriser l’insertion sociale à travers la mise en place d’actions culturelles.
- Favoriser les liens entre les différents habitants du quartier.
- Lutter contre la fracture numérique.
Objectifs pédagogiques :
- Développer les expressions orales et écrites des publics primo-arrivants.
- Familiariser les participants aux outils informatiques de bureautique et de retouche d’images.
Présentation du projet :
Malika ABINA anime des ateliers sociolinguistiques, auprès d’un groupe de femmes, à la Maison de quartier Pasteur, depuis plusieurs années.
Pour permettre aux participantes de s’exprimer et créer des dynamiques de groupe, elle les accompagne régulièrement dans l’élaboration de projets culturels (réalisation de pièces de théâtre, détournement d’affiches à partir de films visionnés par le groupe…).
- Malika ABINA, intervenante bénévole qui anime des ateliers sociolinguistiques, auprès d’un groupe de femmes, à la Maison de quartier Pasteur.
- Jacques LUDER, référent informatique sur la Maison de quartier Pasteur.
Nombre de séances prévu : 1 dizaine de séances.
10 séances de février à mai (les dates des sessions de l’atelier peuvent être changées en fonction des disponibilités de l’animateur, planning à finaliser)
2 séances par mois avec pour objectif de présenter le livret lors du festival Transit
Les apprenantes de l’atelier ASL du mercredi soir.
Le projet a été financé par :
- La Ville
- L’Etat ( CGET)
Les participantes à l’atelier de Malika ont pu élaborer un texte pour présenter leur parcours de vie. En fonction de leur maîtrise de la langue, de l’écrit, les approches de prises de paroles, à la mise en texte étaient différentes, de la personne autonome qui élabore son propre récit, à la personne qui écrit partiellement (impliquant un travail de réécriture), jusqu’à la personne qui ne parle que très peu le français et ne maîtrisant pas du tout l’écrit avec qui il a parfois fallu travailler avec une traductrice.
Des personnes ne participant pas à l’atelier de Malika, mais intéressés par ce travail d’écriture, ont également pu apporter leur témoignage.
Pour amener les participants à se confier, sur les raisons, l’organisation de leur départ, leurs sentiments, les conditions d’arrivée…, un questionnaire a été élaboré.
Les parcours sont divers, parfois chaotiques, violents, c’est pour cette raison que les témoignages sont restés anonymes.
L’atelier a également été ponctué de sorties : visites de la médiathèque, visionnage de films au cinéma qui a d’ailleurs donné lieu à un travail de détournement d’affiches des films visionnés par les participantes (ateliers informatiques bureautique et retouche d’image), musée du Louvre, théâtre et atelier danse au Centre National de danse à Pantin. Une soirée interculturelle a aussi eu lieu au mois de juin 2016 où les dames ont pu réaliser et présenter des panneaux d’informations sur leur pays d’origine, ainsi que les affiches détournées, l’ensemble autour d’un grand repas-temps convivial.
Au mois de juin 2017, le recueil "D’un Monde à l’autre, elles sont passées" est créé. Le contenu, tout comme la mise en page du livret ont été effectués, en grande partie par les participantes. Pour ce faire, elles ont réalisé une série de panneaux (proportionnels au format du livret) mêlant jeux de collages de leur propre textes et décorations diverses. Puis l’ensemble a été photographié.
Les éléments que les participantes n’ont pas pu finaliser ont été aboutis par des bénévoles intéressés par la démarche.
Lors du premier temps de restitution qui a eu lieu au mois de juin 2017 à la Maison de quartier Pasteur, Jean Luc, bibliothécaire à la médiathèque Glarner, accompagné de Juliette Piedevache, comédienne, nous ont offert une lecture des témoignages, et la chanteuse-slameuse Tata Milouda qui avait bénéficié d’ateliers ASL avant d’entamer une carrière d’artiste professionnelle, était également présente.
Bilan quantitatif :
- Nombre d’apprenants ayant participé au projet : 16
- Nombre d’habitants ne participant aux ateliers ASL de Malika mais ayant témoigné de leur parcours de vie : 3
- Nombre d’habitants ayant participé bénévolement dans la mise en œuvre du projet (aide à la traduction de textes ou de paroles de participants ne maitrisant pas du tout la langue, ou aide à la réalisation de panneaux) : 8
- Nombre total de séances : 25
Coût financier :
Le projet s’est finalement déroulé sur deux ans au lieu d’un an initialement prévu. En effet, Au cours de la première année, un certain nombre de participantes ont déménagé ou trouvé un travail, ainsi le nombre de témoignages obtenus n’a pas été suffisant et nous n’avons pas eu suffisamment de temps pour réaliser le travail de mise en page.
Cependant, à travers les diverses actions mises en place pendant le temps du projet et les nombreuses personnes qui sont venues apporter leur soutien, le projet a dépassé le simple cadre initial, et il n’est d’ailleurs pas terminé.
Afin de valoriser ce travail, une exposition suivie d’échanges autour de la présentation des panneaux et du livret sera organisée à la médiathèque Persepolis entre au mois de novembre 2017. D’ailleurs, la médiathèque s’inscrit dans une dynamique d’ouverture en direction des participants ASL et FLE. Cette réalisation, même si elle ne s’adresse pas strictement au public ASL, peut être l’occasion de créer des passerelles avec ce public puisque l’exposition et le recueil qui en est issu donnent à voir et lire les paroles de femmes autour de leur exil, départ de leur pays et arrivée en France.
Cette exposition devrait être présentée aux autres groupes ASL et FLE de la ville qui seront amenés à visiter la médiathèque du 17 octobre à mi-novembre. Le livret pourra ainsi servir d’élément de travail, discussions, valorisation des parcours de vies des apprenantes. Et pour d’autres bénévoles encadrant des ateliers ASL et FLE, il pourra également servir d’exemple de projet d’action culturelle à monter, en direction de leur public.
Une grande rencontre sera également organisée vers fin du mois de novembre, avec lecture de texte, soit par des professionnels du spectacle, soit par des dames d’ateliers ASL. Lors de cet évènement, nous allons aussi travailler avec des jeunes afin d’obtenir un retour de leur parole, car ils/elles sont souvent un des effets de ce déplacement. La forme est à déterminer avec les jeunes et nous espérons que le CAP J, service jeunesse de la Ville, participera au projet.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'apprentissage du français, la socialisationn par le langage ont été les éléments déclencheurs de cette action qui a permis aux apprenantes de se dépasser, de s'impliquer sur plusieurs mois dans un projet où elles ont pu collecter les souvenirs de leur parcours de vie, de leur pays d'origine jusqu'à leur pays d'accueil qui est la France. C'est une façon de parler de leur combat pour dépasser les difficultés de vie, leur tendance à l'isolement pour s'ouvrir aux autres et partager la richesse de leur culture, à la rencontre de l'autre.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
ACCOMPAGNEMENT SOCIAL ET ADMINISTRATIF
- Structure organisatrice
- CS MAROC CHATENAY POETES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Précarité
- Résumé
Cet action consiste à recevoir, informer et accompagner les habitants des quartiers nord et gare de la ville de Pierrefitte sur Seine, sur l’ensemble des horaires d’ouverture du centre.
Les habitants sont accompagnés sur l’ensemble des problématiques qu’ils peuvent rencontrer liées aux administrations et aux institutions. Nous leur prodiguons une information globale et une assistance personnelle pour les démarches à destination de la caf, de la cpam, des impôts, de la préfecture...
Nous les informons, les orientons, pouvons remplir leurs dossiers et rédiger des courriers. Le centre social est investi par les habitant, bénéficie d’un lien de confiance particulier avec la structure.
Les agents du centre travaillent en transversalité avec les institutions et font office de veille sociale. L’accueil est réalisé par un adjoint administratif et nous avions mis en place une prise en charge individualisé.
L’agent dédié doit impérieusement veiller à la confidentialité des informations qui lui sont communiquées. Prioriser les demandes du public selon leur urgence, ou parfois de leur bien-fondé. Les demandes initiales des personnes portent souvent sur la maîtrise des outils numériques mais bien plus sur l’accès à leurs droits et prestations auxquels elles peuvent prétendre.
Nous essayons de les informer sur les modalités de fonctionnement des sites des différentes administrations (via les espaces personnels) dans la perspective de favoriser leur autonomie à long terme, et à l’accès aux droits à court terme.
Les habitants du quartier sont souvent les plus démunis par la dématérialisation et la déshumanisation des services publics. Nous rencontrons un grand nombre de personnes originaires des anciens territoires français parlant peu la langue, des personnes âgées ou porteuses de handicap, rencontrant ou cumulant de lourdes difficultés sociales.
Il nous est impossible, au vu du volume de démarches réalisées de les quantifier finement, nous devons l’estimer en recensant les courriers et justificatifs des démarches. (L'accés auxx droits, La CAF, Rédaction des courriers, Logement, Poles emploi, CPAM, CVAV, Préfecture, Divers(Transport, mutuel, assurance, amande...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
végétalisation de la terrassé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Maison de quartier SéMARD - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Le projet de végétalisation de la terrasse de la maison de quartier est né dans l’esprit de deux habitantes du quartier Pierre SEMARD qui s’y sont investies, de la conception à la mise en réseau et l’animation. Il ouvre trois grandes perspectives : créer des espaces autogérés au sein de la structure, établir un lien avec le jardin partagé, établir un lien avec l’école SEMARD. Il est pensé sur le long terme comme un outil évolutif visant à appuyer l’implication d’habitant.e.s dans la vie de leur quartier et s’inscrit dans l’axe Pouvoir d’agir du projet social 2017-2020.
Les objectifs sont:
- Impulser une appropriation et une autogestion de certains espaces (bricothèque, terrasse suspendue, jardin partagé) par des habitant.e.s pour les impliquer dans la vie collective locale et celle de la structure
- Mettre en réseau des habitant.e.s et des bénévoles ; tendre à créer un collectif jardins
- Organiser des événements promouvant les espaces autogérés, et les modes d’adhésion au projet
- Valoriser le volontariat du binôme habitantes initiatrices du projet et les renforcer dans la confiance en leurs capacités et compétences
- Accompagner le binôme dans son appropriation des espaces et la prise en main du projet
- Accompagner le binôme dans une mise en posture d’animation d’ateliers, de collectifs habitant.e.s et partenaires
- Consolider l’articulation entre la Maison de Quartier, l’école Pierre SEMARD, et des familles
- Exploiter les ateliers scolaires organisés par le binôme d’habitantes pour créer des formes de partenariats avec les instituteurs.trices
- Utiliser les ateliers scolaires comme outil d’adhésion au projet à destination des familles
- Impulser une appropriation et une autogestion de certains espaces (bricothèque, terrasse suspendue, jardin partagé) par des habitant.e.s pour les impliquer dans la vie collective locale et celle de la structure
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Les habitant.e.s du quartier se projettent à une échelle familiale ou par petits groupes. Beaucoup d’entre eux.elles vivent la Maison de Quartier comme un lieu de consommation d’activités avec peu de propositions collectives à visée interculturelle et intergénérationnelle. La structure est tout de même repérée comme le lieu de convivialité du quartier et des habitant.e.s sont identifié.e.s pour leurs mobilisations régulières et leur volonté de participer à des mouvements collectifs, telles que les initiatrices de ce projet.
- De par son statut hybride (convivialité, animation, accès au droit…) le fonctionnement de la maison de quartier dépend de la disponibilité des locaux, des intervenants, vacataires, ou bénévoles, et s’articule sur des temps planifiés. Ce système ne correspond pas toujours à l’organisation de la vie des habitant.e.s, à leurs besoins psychiques du moment. L’espace convivialité est la seule proposition à usage spontané disponible sur toute l’amplitude des horaires de la structure, bien que des animations planifiées y soient également parfois organisés (rencontres culinaires, café des séniors…). Cette gestion des temps et des espaces freine les possibilités d’implication des habitant.e.s dans la vie de la structure.
- Le jardin partagé situé derrière la Maison de Quartier est unanimement reconnu comme une richesse du quartier Pierre SEMARD, au même titre que la promenade Jean AMBLARD. Ceci étant dit il s’agit essentiellement d’une richesse esthétique puisque les associations et le peu d’habitantes qui en assurent la gestion se plaignent du manque de mobilisation à l’égard de cet outil collectif, de plantations abimées ou de légumes volés, tout en ayant du mal à accepter d’autres modes de fonctionnement que ceux qui leurs sont propres.
- La Maison de Quartier a effectué plusieurs tentatives afin de travailler plus étroitement avec l’école Pierre SEMARD qui se sont révélées peu fructueuses.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
A l’origine du projet se trouve une idée, une envie, simple, celle de deux habitantes quotidiennement impliquées dans la vie de la Maison de Quartier, à la vue d’une terrasse encombrée et peu exploitée : la végétaliser, l’orner d’une parure visible de l’extérieur, retrouver dans cet espace la quiétude et les senteurs méditerranéennes de leurs enfances.
Il a suffi d’une validation par l’équipe de la Maison de Quartier, de quelques vidéos sur le net, de quelques brochures promotionnelles de supermarchés en cette périodes de plantations printanières, pour imaginer le future décor, et voir quotidiennement s’amarrer devant la structure la petite voiture du binôme d’habitantes, coffre ouvert et sièges arrières rabattus, remplie d’encombrants en bois chinés ici et là : meubles, palettes, tourets de chantier… Parfois, parce que le créneau disponible entre le dépôt du plus grand à l’école et le rendez-vous chez le docteur de la plus petite était trop court, la Maison de Quartier recevait un appel invitant tout membre de l’équipe disponible, ou éventuellement tout.e adolescent.e/enfant errant sur le quartier, à bien vouloir se déplacer, parce qu’un objet précieux avait été repéré du côté du stade, de l’amicale des locataires, ou de la boucherie hallal de l’allée Camélinat.
Il a alors fallu retrousser ses manches pour construire le futur mur végétal. Le binôme a d’abord eu besoin d’être accompagné pour investir la bricothèque et la terrasse, utiliser les outils électriques et enfoncer les premières vis ; des ateliers ont donc été planifiés. Puis, l’assurance s’étant suffisamment installée, il n’y avait plus qu’à se rendre à la Maison de Quartier lors des temps libres et demander à l’accueil la clé de la bricothèque pour continuer les travaux.
En parallèle, toutes deux déléguées des parents à l’école Pierre SEMARD, le binôme avait évoqué le projet auprès d’institutrices qui avaient exprimé leur enthousiasme et leur envie d’y adjoindre l’empreinte de leurs élèves. Le groupe a acté la fabrication de pochoirs au sein de l’école, pour ensuite venir peindre les structures en bois avant d’y effectuer les plantations, dans le cadre d’ateliers planifiés en concertation avec la Maison de Quartier, et animés par le binôme.
Il fallait répondre à l’échéance. La petite voiture a repris le large, en quête de peinture, quincaillerie, et plantes vivaces, la Maison de Quartier a usé de son carnet d’adresses, serres communales pour récupérer du terreau et des plants, ferme de l’université de paris 13 pour récupérer des grandes jardinières afin de créer un espace destiné à l’école dans le jardin partagé. Deux bénévoles ont mis à contribution pour penser et aménager un espace d’animation respectueux afin d’accueillir les enfants le jour J.
Le premier atelier scolaire a eu lieu. Une classe de CP est venue étendre sur les structures en bois de la terrasse, de grands aplats de couleurs, pastelles et chatoyantes, et apposer, de leurs pochoirs, de petits animaux. Ils ont pu mettre leurs mains dans la terre pour y déposer les premières fleurs. De prochaines séances sont planifiées avec d’autres classes. Il s’agira ensuite de récupérer auprès des serres communales du terreau et des plantes, également du fumier à la ferme de l’université Paris 13. En fonction des besoins restants et des envies des jardinier.ères, de faire les achats nécessaires en jardinerie, l’objectif étant d’avoir fini les plantations et érigé le mur végétal à la fin du mois de Juin pour organiser un apéritif inaugurant les espaces, valorisant ici le travail effectué, et promouvant les futures étapes, notamment la construction de mobilier pour la terrasse pendant l’été, cherchant de nouvelles adhésions au projet
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Terre : 250€
Plantes : 550€
Bricolage : 200
Total : 1000€ (financement du contrat de ville Parentalité et du REAAP-DM1)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 bénévoles; 2 classes de 12 élèves, 2 professionnels, les serres municipales, la ferme urbaine
- Résultat sur le territoire
Faire connaître la maison de quartier aux familles de l'école Pierre Sémard; renforcer les liens au sein de la communauté éducative
- Résultat pour le centre social
Valorisation du bénévolat; aménagement d'un espace peu ou pas utilisé;
- Résultat pour les habitants
renforcement de l'estime de soi; valorisation des compétences
- Suite de l'action : Limites
De la terrasse au jardin partagé; faire en sorte que les habitants du quartier s'approprient le jardin partagé
- Suite de l'action : Perspectives
Faire venir plus d'enfants; construire un calendrier avec l'école en début d'année scolaire
Actions
Création d'un café intergénérationnel
- Structure organisatrice
- CS DU HAUT ET PETIT PANTIN - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Objectifs :
-
Créer un espace convivial et de lien social intergénérationnel
-
Mettre en place des ateliers cuisine
-
Développer un véritable lieu de vie dans le quartier
-
Travailler la gestion d'une programmation relative à cet espace avec les associations
Dans le cadre du projet social 2015-2018 :
Cet espace est un levier idéal à la dynamique du quartier, souhaitée par les habitant-e-s et les associations.
Il s’articulera autour de :
-
La mise en place d'ateliers cuisine et de repas partagés
-
L'accueil d'une habitant-e-s ayant pour projet un café associatif afin de lui permettre de lancer son activité
-
L’investissement des associations dans cette cuisine afin de proposer une programmation : par exemple des cafés-débat, des repas ouverts, des échanges culinaires....
Après un appel aux publics, cet espace est dénommé "Culture Pom'".
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le manque de dynamiqme du quartier des Pommiers (haut Pantin) a clairement été identifié dans le cadre de la construvction du projet social 2015/2018. Nous avons eu parallèlement l'opportunité de bénéficier d'un nouvel espace dans le centre social et avons choisi d'y développer un projet participatif, axé autour de la cuisine et de la culture, afin de permettre une grande mixité des publics et une programmation de développement culturel afin de dynamiser l'espace et le quartier.
Les habitant-e-s s'impliquent au fli du temps das la mise en place de cette action
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Bailleur social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Premières réunions participatives à partir de septembre 2016. l'amménagement à base de matériaux de récupération ainsi que la programmation (concerts, projections, café philo...) sont en cours avec les habitant-e-s et associations locales. Des ateliers cuisine parents-enfants ont été menés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
3 000€ (budget municipal uniquement)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 habitant-e-s
5 associations
L'équipe salariée de 8 personnes (1 référent du projet)
- Résultat sur le territoire
Ce projet amène d'ores et déjà un dynamisme entre habitant-e-s et associations. L'impact réel en terme de dynamisme de territoire sera à évaluer l'année prochaine
- Résultat pour le centre social
Mobilisation des publics et concertation habtant-e-s - associations
- Résultat pour les habitants
Les habitant-e-s se retrouvent pour échanger sur le projet, donner leurs idées, aménager le lieu
- Suite de l'action : Limites
A définir
- Suite de l'action : Perspectives
L'aénagement du lieu et l'installation d'une restauration les midis + café l'après midi avec une habitant-e-s du quartier, afin de permettre aux habitant-e-s de se retrouver et de créer des liens.
Actions
Entrainement et formation aux entretiens d’embauche
- Structure organisatrice
- Maison pour Tous Henri Roser - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Précarité
- Résumé
Recevoir les personnes identifiées par les partenaires pour composer les groupes en fonction des besoins : rdv individuels pour définir et composer les groupes en fonction des typologies et besoins de chaque participant.
Retravailler les CV et lettres de motivations
Ateliers par groupes de 5 ou 10 en fonction des objectifs :
- Donner infos sur questions classiques, pièges à éviter, réponses à donner,… (documentation DRH, brainstorming des écueils et pièges à éviter, …)
- Conseils sur présentation personnelle (ce qui doit être valoriser lors des échanges) sur codes communications verbales et non verbales (positions du corps, élocution, respiration conseil vestimentaire, posture,…) pour donner confiance.
- Mise en pratique et en situation avec entretien filmés et échanges avec les participants pour débriefer.
- Entrainement en condition réelle avec entretien d’embauche en appui avec des professionnels du recrutement (DRH)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Permettre à un groupe d’habitant d’avoir l’accompagnement de partenaires ou de professionnels travaillant dans l’insertion professionnelle en bénéficiant d’ateliers et de soutien réguliers autour de l’embauche.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
5 à 10 séances sur l’année en fonction des besoins des publics rencontrées, les vendredis après-midi à partir de février 2017 jusqu’à décembre 2017.
15 à 20 personnes :
Jeunes de moins de 25 ans (Sports dans la Ville et ERA 93, Jeunesse Feu Vert)
Demandeurs d’emploi : (BIJ, Mission locale)
Public précarisé : peu de diplôme ou peu d’expérience professionnelle
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 PROFESSIONNELS ET 1 BENEVOLE
- Résultat sur le territoire
N.C
- Résultat pour le centre social
Répondre à un de ces objectifs
- Résultat pour les habitants
Les habitants sont formés sur les rouages de la communication verbale et non verbale lors de l’entretien professionnel et pour faciliter le recrutement (associations ERA 93 ,…).
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Pérenniser l’action dans la durée
Former sur connaissance des rouages de la communication verbale et non verbale lors de l’entretien professionnel et pour faciliter le recrutement (associations ERA 93 ,…).
Actions
petit déjeuner des habitants
- Structure organisatrice
- CS ASS AGG CSC LES MARNAUDES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Mixité sociale
- Résumé
Le petit déjeuner des habitants est réalisé une fois par mois le vendredi de 9 h 30 à 11 h. Ce temps permet de rencontrer une personne d'une institution : le commissariat, la réussité éducative, la direction éducation... Ce temps d'échange est à la fois une passerelle vers les institutions et aussi de recueillir les besoins des habitants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un habitant
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place à la demande des habitants et par une identification d'une méconnaissance des services proposés sur le territoire. Par ce temps de rencontre une fois par mois, les habitants découvrent et connaissent lesprocédures, les services et relayent l'information sur le territoire
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Bailleur social
- Caf
- Commune
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
cette action est animée par la directrice du CSC des marnaudes autour d'un petit déjeuner.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnel des Marnaudes et 1 partenaire
- Résultat sur le territoire
Les effets sont : permettre aux habitants de connaître les institutions et les personnes salariées.
- Résultat pour le centre social
Le centre social est facilitateur entre les institutions et les habitants
- Résultat pour les habitants
les habitants ont une meilleure connaissance de leur territoire et des services proposés.
- Suite de l'action : Limites
La mobilisation reste encore faible.
- Suite de l'action : Perspectives
Augmenter la fréquence des petits déjeuners : 2 par mois
Actions
Le mois de la parentalité "Être parent(s) aujourd'hui"
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS JARDIN DES SOURCES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Solidarité
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
- Un mois de la parentalité destiné à informer et sensibiliser les familles à une problématique choisie. Durant ce mois divers actions sont proposé par un réseau de partenaires institutionnels, associatif et bénévoles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Action mise en place pour accompagner et soutenir les parents dans leur rôle éducatif. Les résultats attendus sont améliorer la relation au sein de la cellule familiale, donner ou redonner aux parents les outils pour accompagner leurs enfants dans leur évolution.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Association nationale
- Bailleur social
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Un groupe de pilotage constitué de la référente famille du centre social et d'acteurs associatif et institutionnels (CAF, Département). 5 Réunions plénières de Janvier à Octobre avec l'ensemble des acteurs intervenant dans le champs du soutien à la parentalité afin de définir les actions et élaborer une programmation variée sur le mois. Des financement Politique de la ville, REAAP et département sont sollicités.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- 23 000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 80 professionnels et 20 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Création et consolidation d'un réseau de partenaires. Le public s'informe sur les différentes ressources du territoire. Des liens se crées entre les différents partenaires et un suivi des situations des familles est rendu plus facile.
- Résultat pour le centre social
- Identification de la structure par un public nouveau. Émergence de nouveaux projets.
- Résultat pour les habitants
- Création de lien de solidarité entre habitants qui partagent une même expérience. Dédramatisation et déculpabilisation de parents qui découvrent ne pas être les seul en difficulté.
- Suite de l'action : Limites
- Les impacts sont difficilement mesurable à court terme. Difficulté à innover dans le choix des thèmes. Difficultés à maintenir une synergie d'acteurs aux objectifs différents.
- Suite de l'action : Perspectives
- Intégrer de plus en plus d'habitants dans la phase de réflexion mais également dans la phase de réalisation. Multiplier les échanges de pratiques.
Actions
ATELIER D'ACCOMPAGNEMENT A L'INTEGRATION ET A LA SOCIALISATION
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MAISON DES INITIATIVES ET DE LA CITOYENNETé - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
En 2018, 5 ateliers encadrés par des intervenants bénévoles, habitants de l'Ile-Saint-Denis, consistant à permettre aux participants (essentiellement un public d'origine étrangère et non francophone) d'acquérir des compétences en communication, ce qui représente un vecteur essentiel de l'intégation sociale. Ces ateliers visent également à permettre au public, à travers l'apprentisage du français, d'acquérir davantage d'autonomie en faciliant l'orientation dans leur vie professionnelle, personnelle et sociale. Les ateliers ont été pensé pour répondre aux attentes du public et d'aller au delà des classiques cours de langue française.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce besoin a été identifié par l'équipe du centre social qui a pu observer une demande sans cesse et croissante des habitants. Les partenaires du centre social ont également fait remonter ce besoin.
Ces ateliers ont été mis en place pour répondre aux difficultés langagières chez certains habitants de la ville, ne maîtrisant pas ou peu le français à l'écrit comme à l'oral.
Constat de demandes et de besoins de plus en plus importants dans la maîtrise de la langue et l'appropriation de valeurs.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Ouvert à tous.
Ateliers animés par des bénévoles, sur plusieurs créneaux afin de répondre aux disponibiltés des participants; ateliers en matinée, soirées et le samedi matin (non payant).
Sur la forme des ateliers, les intervenants bénévoles privilégient un apprentissage ludique adpaté aux besoins et attentes des participants.
Principaux domaines et axes d'intervention : vie professionnelle, vie sociale et culturelle, vie admonitrative et juridique, vie citoyenne.
Des sorties culturelles, institutionnelles, de loisirs ou de santé telles que des sorties à l'Assemblée Nationale, à la médiathèque, au musée, au théâtre... Afin de permettre aux participants à travers des temps ludiques de découvrir différents lieux, d'améliorer leurs connaissances et compétences en ce qui concerne la langue française. Leur permettre également de se sociliaser en créant des liens entre eux et les autres Ilodyonisiens et de mettre en pratique leurs connaissances. Mais également des interventions des partenaires sociaux du territoire (Maison de l'Emploi, CAF...).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 bénévoles en 2018
2 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Apprentissage de la natation par un groupe d'adultes
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL FRANC MOISINS BEL AIR - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
La phase d'initiation du projet est terminée, l'aisance aquatique est acquise pour la plus part des participantes. La nage sportive reste à acquérir.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- Résumé
Un groupe d'habitants s'est mobilisé pendant 6 mois pour financier via des buvettes une journée à la mer en famille. Au moment de tirer le bilan, de ce projet une partie des adultes fait le constat qu'elles ne savent pas nager et font le pari de revenir à la mer en étant capable de se baigner avec leurs enfants.
L'une des habitantes réalise de façon autonome le médiation et d'inscription dans le quartier, l'équipe du centre social est chargé de trouver un créneau à la piscine, un professeur et des financements pour le rémunérer.
Le groupe se rend ensuite toutes les semaines pendant 6 mois à la piscine pour apprendre à nager.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action n'a pu se dérouler que grace à la volonté d'une habitante qui a su fédérer autour d'elle un groupe de personnes.
Un débat sur le règlement intérieur de la piscine ( port du voile et mixité du cours) a eu lieu. Chacune a librement choisi de poursuivre ou de se retirer du projet dans le respect des convictions de chacune. Le fait que la médiation ait été portée par une habitante a largement faciliter le débat sur les questions de laicité: renvoyant les prises de position à des opinions personnelles et non à un clivage entre l'institution et les habitants.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Un groupe de travail s'est mis en place réunissant habitants et professionnels. Le CS a ensuite communiqué auprès du service politique de la ville afin de valoriser l'initiative et de trouver un financement adapté.
Le montage financier s'est avéré très complexe compte tenu du fait que le CS n'est pas une association mais un service municipal: le CS n'était pas éligible. Par ailleurs, le collectif d'habitants, constitué pour l'occasion, et sans personnalité juridique ne pouvait pas non plus être porteur du projet. Il a donc fallu trouver un tiers ( le club de natation), mais cela n'a pas rendu visible le volet participatif du projet.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1700 € de cotisation au club de natation
le temps de travail des salariés et de la bénévole
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Au CS: Direction et chargée de mission
1 club de sport ( président, 1 educateur sportif et son assistant)
L'association de l'atelier ville-santé ( 1 chargée de mission)
1 habitante porteuse du projet et 2 autres habitantes bénévoles pour le fonctionnement
- Résultat sur le territoire
Une trentaine d'habitantes ont participé au débat sur le règlement intérieur de la piscine.
- Résultat pour le centre social
Le projet a permis d'illustrer le fait que les projets initiés ne se cantonnent pas à ce qui peut se passer dans le centre social et dans le quartier. La piscine est située à 2 km.
- Résultat pour les habitants
Très motivées par le projet, les habitantes ont trouvé les réponses aux questions de mobilité malgré le froid, la neige et l'absence de véhicule.
- Suite de l'action : Limites
Complexité du montage juridique pour permettre à un collectif de récupérer des financements.
L'apprentissage de la natation a été difficilement reconnu en tant que tel comme activité. Les financeurs tendant à en faire une application des dispositifs " sport santé" déjà existant alors que les participantes n'étaient pas prioritairement dans une démarche de santé ( perte de poids, régulation cardio-vasculaire...) mais plutôt dans une démarche d'autonomie sur un apprentissage fondamental.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Atelier chanson
- Structure organisatrice
- Maison de quartier Plaine - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La population seniors n'est pas beaucoup touchée par la Maison de quartier ,cette action se veut être une porte d'entrée ,un point de rendez-vous autour
du chant, ce préalable doit permettre la rencontre d'habitants seniors et donner l'envie de construire une vrai politique d'action dans la direction de ce public.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Recontre hebdomadaire le jeudi de 14h à 16h avec l'animatrice de l'association ,d'abord autour d'un temps convivial(thé et café),
et ensuite,accompagné avec divers instruments,le travail vocal .
L'action a débuté en septembre 2018 et doit perdurer en ayant comme impact ,l'ancrage des séniors sur la structure ,la création d'une instance participative concernant cette population,
et la mise en oeuvre d'activités diverses :sorties ,fêtes ETC...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget est de 3200€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animatrice musical,la ccordinatrice vie social de l'équipement
- Résultat sur le territoire
Trop tôt encore pour pouvoir tirer des élements de bilan ,un de nos premier but est atteint :créer une action dédiée aux seniors ,et nscrire cette tranche horaire
dans la vie du quartier et de l'équipement pour la population sénior .
- Résultat pour le centre social
Avoir à travers cette action une vrai politique desormais en direction de la population des séniors.
- Résultat pour les habitants
Difficile à mesurer à cette étape du projet ,6 personnes suivent l'action et se sont inscrites au fil de l'eau tout au long de
l'automne 2018 ,nous misons sur un effet boule de neige qui permette d'amplifier la participation et d'atteindre nos buts secondaires (instance participative,programme d'actions)
- Suite de l'action : Limites
Manque de participation,volonté uniquement des participants de consommer des actions ou des services
- Suite de l'action : Perspectives
Création d'une instance participative specifiquement sénior.