Les actions des centres sociaux
Actions
VET'YVOIS boutique solidaire
- Structure organisatrice
- Centre social Escal en Yvois - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
ESCAL en YVOIS accompagne une equipe de bénévoles
pour faire vivre un espace ouvert deux fois par semaines
ou des vêtements à tarif solidaires sont proposés à la vente du public.
Le stock ( de la petite enfance à l'adulte (habits chaussons accessoires) est alimenté par des dons ( matériel en bel état et propre).
L'équipe tri , lave , répare repasse et met en valeur les affaires au "magasin solidaire".
La fierté de servir combiné à l'utilité sociale (lutte contre la paupérisation) visible et immédiate nous a permis de regrouper et de finaliser ce beau projet entièrement piloter par une équipe de six bénévoles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
lutter contre la paupérisation
être solidiare et participer au recyclage
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
groupes de travail.
réunion municipale pour accord de travaux et autorisation d'action.
Réalisation de travaux d'aménagement.
com et ouverture.
partenariat pour le déstockage
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4000 € annuels
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
huit
- Résultat sur le territoire
nouveau service à la pomulation locale
- Résultat pour le centre social
reconnaissance de la capacité à agir
et à concêtiser une action au service d'un besoin identifié
- Résultat pour les habitants
nouveau service utile solidaire
- Suite de l'action : Limites
impossible à l'heure actuelle de développer( espace totalement utilisé)
- Suite de l'action : Perspectives
réflexion pour un projet d'épicerie sociale
Actions
Logithèque
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- Résumé
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Avec une proportion de non diplômés et de ménages non imposés, deux fois supérieure dans la ZUS du Lac, le quartier présente des risques élevés d’une forte fracture numérique.
Le niveau d’équipements à domicile (ordinateurs et abonnement) est inférieur dans la ZUS du Lac.
Les freins économiques à l’acquisition de l’équipement demeurent une des raisons majeures.
Les habitants interrogés à ce sujet expliquent qu’il s’agit avant tout d’un problème de coût.
Les pratiques et usages numériques marquent une nette fracture et sont générateurs d’exclusion.
Plus que sur les réseaux et les équipements, ce sont dans les usages que nos équipes de salariés ont observé une fracture numérique importante par rapport au reste de la population.
Certaines évolutions sociales, communes à de nombreux territoires, interrogent et/ou ont un impact sur la notion de « vivre ensemble ».
Le développement des nouvelles technologies modifie également les formes du lien social et réinterroge les notions de proximité et de voisinage. Plus globalement, l'accélération du changement technologique peut fragiliser la société qui n'a plus le temps de faire de cette innovation technologique un apprentissage social.
Source :
(Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
(Extrait de la circulaire relative à l’animation de la vie sociale 2012).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Organiser des ateliers d’initiation et de formation aux nouvelles technologies au bénéfice des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Accès et initiation.
- Apprentissage, initiation à internet.
- Utiliser des CD-Rom éducatifs pour une remédiation de la lecture et de l'écriture.
- Apporter à chaque participant la compréhension des mécanismes de fonctionnement d'internet.
- Découvrir les principaux outils de connexion et de recherche d'informations.
- Utiliser la messagerie électronique.
- Etre capable d'assurer la saisie, la mise en forme, l’impression et l'archivage de documents dans le pack office de Microsoft ou de Libre Office.
Résultats attendus de l’action :
- Réduction du nombre d’adhérents de notre territoire d’intervention n’utilisant pas internet.
- Sensibilisation du plus grand nombre aux bonnes pratiques, en référence aux finalités du Centre Social Le Lac.
- Amélioration des usages pour améliorer les conditions de vie, le développement de l’éducation et de l’expression culturelle, la prévention et la réduction des exclusions…
- Utilisation des nouvelles technologies dans le cadre d’un apprentissage social.
- Participation à une activité collective des habitants de différentes générations.
- Réponse aux besoins des habitants.
- Insertion sociale d’un maximum de familles dans l’environnement des nouvelles technologies pour favoriser les liens sociaux et la cohésion sociale, en référence aux finalités du centre social.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Etat
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
La logithèque, le cyberbase, Informatique pour tous.
Création de multiples actions dédiées à la micro-informatique, internet et aux multimédias au bénéfice de familles défavorisées de la ville du territoire d’intervention. Elles s'adresseront à des publics qui sont à l'écart du développement de la société, de l'information et de la communication. Deux espaces ont été créés : la logithèque et le cyberbase.
Afin d'éviter la reproduction de pratique d'exclusion sociale, les structures seront ouvertes à un large public sans limite, en termes d'âge, de catégories socioprofessionnelles, d'origine culturelle. Elles viseront ainsi à favoriser la mixité sociale, la rencontre, l'éco- apprentissage.
Le recours à l'outil informatique se présente comme un plus dans le cadre des missions du Centre Social Le Lac pour servir l'accompagnement des publics défavorisés : soutien à l'alphabétisation, accompagnement scolaire, recherche d'emploi, apprentissage d'initiation à l'usage d'internet, communication (mails, chats, etc...).
La nouvelle maison de quartier :
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents. Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans la future maison de quartier.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de la logithèque.
Les moyens mis en œuvre :
Deux animateurs socioculturels et des animateurs bénévoles organiseront des animations, des cours, des formations…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés - 5 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
- Résultat pour le centre social
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
- Résultat pour les habitants
- Organiser des ateliers d’initiation et de formation aux nouvelles technologies au bénéfice des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Suite de l'action : Limites
Cette action est principalement financée par les collectivités et le contrat de ville qui apporte un financement essentiel complémentaire.
Cependant, la précarité du dispositif remet en question régulièrement la pérennité des postes de salariés.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer le bénévolat afin d'étendre les créneaux et accueillir plus d'habitants.
Actions
Accueil de Loisirs Sans Hébergement
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- vacances / loisirs
- Résumé
Soutenir la fonction parentale et faciliter les relations parents-enfants en utilisant le principe de la coéducation dans une structure contrôlé par les services de la D.D.C.S.P.P.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Les familles monoparentales représentent une très forte proportion d’allocataires de la ZUP.
Cette situation suppose de nouvelles façons d'exercer l'autorité parentale.
Source :
(Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Mettre en œuvre le projet éducatif et pédagogique (horaires de fonctionnement, tranches d’âge, aménagement, accueil d’enfants à partir de deux ans, dans le futur « Pôle enfance » du Pôle enfance…) et en s’appuyant sur des activités à finalité éducative, culturelles ou de loisirs.
- Associer les parents à l’évolution et à la transformation du projet éducatif et pédagogique.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Les dirigeants du centre social ont souhaité que la directrice de l’ACM soit aussi la référente famille.
Cette double fonction permettra de renforcer de manière efficiente le soutien à la fonction parentale à travers de nombreuses actions. En effet, une cinquante de famille bénéficie de cette action qui s’inscrit une démarche de soutien à la parentalité.
L’ALSH dans le pôle enfance :
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents, la Ville de sedan, le Conseil Général, la Caisse d’Allocations Familiales… Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. « C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans le futur Pôle Enfance ».
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de l’ALSH.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 salariés - 5 personnes -
- Résultat sur le territoire
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
- Résultat pour le centre social
Adapter et renforcer les services existants.
- Mettre en œuvre le projet éducatif et pédagogique (horaires de fonctionnement, tranches d’âge, aménagement, accueil d’enfants à partir de deux ans, dans le futur « Pôle enfance » du Pôle enfance…) et en s’appuyant sur des activités à finalité éducative, culturelles ou de loisirs.
- Résultat pour les habitants
- Associer les parents à l’évolution et à la transformation du projet éducatif et pédagogique.
- Suite de l'action : Limites
Importantes difficultés à mobiliser les parents dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
- Associer les parents à l’évolution et à la transformation du projet éducatif et pédagogique.
Actions
Contrats Locaux d'Accompagnement à la Scolarité
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
- Accompagner les familles dans leurs responsabilités éducatives et valoriser leurs compétences parentales dans le dispositif Contrats Locaux d’Accompagnement à la Scolarité contrôlé par l’ACSE et la Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes.
- Renforcer le lien entre familles et école
- Faciliter l’accès au savoir des jeunes par des approches différentes de l’école et fournir un appui qu’ils ne trouvent pas toujours dans leur environnement familial et social
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Les élèves résidant en ZUS sont nettement plus souvent issus de catégories sociales défavorisées que les autres élèves résidant dans leur unité urbaine. L’inactivité professionnelle (notamment féminine) des parents, y est aussi plus importante. Ces phénomènes peuvent expliquer le moindre recours à la demi-pension. En termes d’orientation, les élèves résidant en ZUS sont deux fois moins nombreux en 1ère générale et s’orientent majoritairement vers les filières professionnelles. Résider en ZUS atténue les différences d’orientation observées par âge ou PCS, mais renforce celles liées au sexe. Le retard scolaire est au collège plus fréquent pour les élèves résidant en ZUS que pour les collégiens résidant en unités urbaines englobantes. Enfin, les établissements ayant une plus forte part d’élèves de ZUS enregistrent des résultats, en moyenne, plus faibles aux examens, et ce, même en prenant en compte les spécificités liées à l’environnement social des établissements (à l’exception notable des filières S et ES).
Source :
(Rapport ONZUS 2013)
Le collège Le Lac bénéficie, en 2014, d’un Réseau d’Education Prioritaire Renforcé.
Source :
Journal l’Union
Le ministère chargé de l’Education Nationale a, à cette fin, construit un indice social permettant de mesurer les difficultés rencontrées par les élèves et leurs parents, et leurs conséquences sur les apprentissages. Cet indice prend en compte la part d’élèves dont les parents appartiennent aux catégories socioprofessionnelles défavorisées, la part d’élèves boursiers, la part d’élèves résidant en zones urbaines sensibles et la part d’élèves arrivant en sixième avec au moins un an de retard.
Source :
(Ministère de l’Education Nationale)
Objectifs stratégiques :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
Par des stratégies diversifiées et une pédagogie du détour, l’accompagnement à la scolarité visera à :
Soutient à la fonction parentale
- Aider les jeunes par l’acquisition des méthodes et approches susceptibles de faciliter la réalisation de leur travail scolaire.
- L’acquisition des savoirs (savoir-être, savoir-faire).
- Élargir les centres d’intérêt des enfants et adolescents, promouvoir leur apprentissage de la citoyenneté par une ouverture sur les ressources culturelles, sociales et économiques de la ville ou l’environnement proche.
- Valoriser leurs acquis afin de renforcer leur autonomie personnelle et leur capacité de vie collective, notamment par la pratique de l’entraide et de l’encouragement du tutorat entre les jeunes.
Résultats attendus de l’action :
- Prise de conscience des familles de leurs responsabilités éducatives.
- Valorisation de leurs compétences parentales.
- Validation de la définition de la parentalité avec l’ensemble des Co éducateurs, à savoir « un ensemble de savoir-être et de savoir-faire qui se déclinent au fil des situations quotidiennes en différentes postures, paroles, actes et plaisirs, en reconnaissance de l’enfant, mais aussi en autorité, en exigence et en continuité ».
- Amélioration des résultats scolaires.
- Regard positif des enfants et des parents sur le système scolaire.
- Coopération entre tous les Co éducateurs (parents, enseignants, salariés du centre social…).
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- Commune
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Le projet Clas vise à fournir aux enfants et aux jeunes des méthodes et des approches susceptibles de faciliter l’acquisition des savoirs et de développer leur autonomie :
Par un appui et une aide méthodologique
Par une aide au travail personnel
Par un accompagnement à l’usage du numérique
Par des activités scientifiques et techniques
Par des jeux éducatifs
Le projet Clas vise à élargir les centres d’intérêt des jeunes et promouvoir leur apprentissage de la citoyenneté par une ouverture sur les ressources culturelles sociales et économiques de la ville et de son environnement :
En créant des contextes de recherche, d’informations, débats
En développant des capacités de vie collective
En mobilisant la pédagogie de « détour » par des activités ludiques, artistiques, culturelles ou sportives
En proposant des sorties et visites (accompagner vers des centres ressources en vue d’une ouverture sur les ressources culturelles, sociales de la ville ou de l’environnement proche
Le projet Clas vise à mettre en valeur les compétences et acquis des enfants et des jeunes :
Par la présentation des actions conduites par les enfants
Par l’organisation et l’encouragement de l’entraide au sein du groupe
Par l’organisation d’activités liées à la citoyenneté
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 salariés - 5 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Prise de conscience des familles de leurs responsabilités éducatives.
- Valorisation de leurs compétences parentales.
- Validation de la définition de la parentalité avec l’ensemble des Co éducateurs, à savoir « un ensemble de savoir-être et de savoir-faire qui se déclinent au fil des situations quotidiennes en différentes postures, paroles, actes et plaisirs, en reconnaissance de l’enfant, mais aussi en autorité, en exigence et en continuité ».
- Résultat pour le centre social
- Coopération entre tous les Co éducateurs (parents, enseignants, salariés du centre social…).
- Résultat pour les habitants
- Amélioration des résultats scolaires.
- Regard positif des enfants et des parents sur le système scolaire.
- Suite de l'action : Limites
Malgré un excellent partenariat avec les enseignants et l'Education Nationale en général, il est pratiquement impossible d'organiser des réunions de travail communes permettant la coconstruction du projet et des actions éducatives.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer la formation des animateurs afin qu'ils bénéficient d'un CQP.
Actions
Ludothèque
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
La ludothèque se définit comme un espace culturel, une institution socio-éducative, un lieu d’animation autour du jeu et du jouet.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic précédent :
Les familles monoparentales représentent une très forte proportion d’allocataires de la ZUP.
Cette situation suppose de nouvelles façons d'exercer l'autorité parentale.
Source :
Extrait du diagnostic « familles monoparentales ».
Statistiques Caisse d’Allocations Familiales
Objectifs stratégiques :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
Favoriser le lien parents/enfants.
Revaloriser les parents dans leur fonction parentale
Favoriser la solidarité entre parents et les échanges d’expériences
La Ludothèque favorisera l’expérimentation, la socialisation, l’éducation, l’intégration, l’appropriation de la culture.
Elle se définit comme un espace culturel, une institution socio-éducative, un lieu d’animation autour du jeu et du jouet.
Objectifs opérationnels
Adapter et renforcer les services existants.
Cet espace dédié aux jeux et aux jouets permettra le prêt et le jeu sur place.
Résultats attendus de l’action :
- Avoir du personnel salarié diplômé. Avoir du personnel en nombre suffisant en fonction du projet et des activités. Avoir du personnel qualifié dans les domaines d’activités exercées.
- Avoir le jeu et le jouet au centre de tout projet et de toute action entreprise en Ludothèque. Promouvoir l’activité ludique et faire partager le plaisir de jouer. Favoriser et promouvoir le jeu libre (libre choix du matériel, de son utilisation et de ses partenaires de jeu), Valoriser le patrimoine ludique en possédant des jeux de différentes époques et de différentes cultures. Permettre aux adhérents d’expérimenter une grande diversité de jeux pour favoriser l’esprit critique. Préserver le jeu des récupérations pédagogiques, thérapeutiques, commerciales, idéologiques… Etre vigilant à maintenir la neutralité du lieu ludothèque. S’informer sur les conditions de fabrication des jeux et jouets.
- Avoir un règlement intérieur. Avoir des jours et heures d’ouverture réguliers adaptés aux publics visés et aux projets. Etablir un emploi du temps : ouverture aux publics, accueil de l’ALSH et du CLAS du Centre Social Le Lac, interventions extérieures, manifestations, rangement, entretien…
- Avoir des tarifs (adhésion, prêt) accessibles à tous. Avoir des temps spécifiques et suffisants pour la sélection, la découverte, l’apprentissage, la préparation et la gestion du matériel ludique, l’aménagement des lieux… Avoir une gestion rigoureuse et statistique de la fréquentation des publics, des prêts, des adhésions… Avoir une adéquation entre projets et budgets et réaliser un rapport annuel d’activités.
- Avoir une bonne connaissance matérielle, technique, psychologique, pédagogique, historique, culturelle des jeux et jouets et actualiser ses connaissances. Avoir du matériel ludique diversifié, en quantité suffisante en fonction des projets, des activités et des publics accueillis. Proposer du matériel ludique conforme aux normes de sécurité. Avoir des jeux et jouets en bon état, complets, bien conditionnés et propres.
- Préparer la mise en service des jeux et jouets : protection, cotation, inventaire, enregistrement, marquage, apprentissage… Utiliser une classification commune aux ludothèques pour analyser le matériel ludique. Utiliser une méthode de rangement des jeux et jouets adaptée aux publics (repérage simple et accessibilité). Gérer le stock de jeux et jouets de l’achat à la mise hors service (connaissance de l’état du stock, renouvellement régulier…). Faire connaître, promouvoir et valoriser tous les éléments du fond de jeux/jouets. Connaître les différents réseaux de fabrication, d’édition, de distribution du matériel ludique et les auteurs de jeux
- Savoir présenter la Ludothèque et son fonctionnement. Diffuser une plaquette de présentation de la Ludothèque et de son fonctionnement. Avoir une bonne signalisation permettant de localiser la Ludothèque. Afficher diverses informations sur le fonctionnement à l’entrée et à l’intérieur de la Ludothèque et du Centre Social Le Lac. Figurer dans les répertoires accessibles au public sous la dénomination Ludothèque et dans les répertoires professionnels. Organiser des manifestations ouvertes à tous et participer aux événements de la vie locale dans le but de promouvoir la Ludothèque.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Les deux salariés de la Ludothèque proposeront quatre types de service :
- Le jeu sur place libre ou animé ;
- Le prêt des jeux ou jouets gratuits et payants ;
- L’organisation de manifestations, création d’animations thématiques autour du jeu et du jouet.
- Du conseil et de l’information sur les jeux, les jouets et la mise en jeu.
Les deux salariés de la Ludothèque organiseront des ateliers de fabrication et de création de jeux, des formations sur le jeu, le jouet et l’activité ludique. Mise en œuvre de services itinérants dans d’autres quartiers de la Ville de Sedan.
Les deux salariés de la Ludothèque interviendront dans les nouvelles activités périscolaires. Par ce biais, le Centre Social Le Lac s’impliquera dans la réforme des temps éducatifs et pédagogiques des établissements maternels et élémentaires. Il accompagnera cette réforme dans le respect de ses objectifs propres. Les dirigeants du Centre Social Le Lac sont heureux d’aider à la concordance globale des enjeux autour de la réforme des rythmes éducatifs et au développement d’activités périscolaires de qualité.
La Ludothèque dans le pôle enfance :
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux réservés uniquement à la Ludothèque qui disposeront d’un espace extérieur de jeu.
- Les dirigeants et les salariés proposeront une superficie suffisante en fonction des activités et des publics accueillis.
- Les dirigeants et les salariés proposeront les types de locaux nécessaires pour le fonctionnement de la structure (locaux pour l’accueil du public, locaux techniques, administratifs, sanitaires…).
Les dirigeants et les salariés faciliteront l’accès de la Ludothèque aux publics : proximité des lieux d’habitation, transports en commun, parking…
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux accessibles à tous (fauteuils roulants, landaus, etc…).
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux clairs, insonorisés, isolés, aérés…
- Les dirigeants, les salariés, les usagers respecteront les règles de sécurité et d’hygiène.
- Les dirigeants et les salariés aménageront les espaces ouverts au public en fonction des âges, des types d’activités et des services offerts.
- Les dirigeants et les salariés proposeront du mobilier modulable et fonctionnel, adapté aux différents publics, aux jeux, aux activités.
- Les dirigeants, les salariés, les usagers proposeront des locaux attrayants (couleurs, éléments décoratifs, esthétique du mobilier, propres, rangés …).
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents, la Ville de Sedan, le Conseil Général, la Caisse d’Allocations Familiales… Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans le futur Pôle Enfance.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de la Ludothèque.
Moyens mis en œuvre :
- Les deux salariés de la Ludothèque accueilleront les différents publics sans discrimination d’âges, de cultures, de handicaps…
- Ils favoriseront les rencontres et les échanges entre ces publics.
- Ils seront à l’écoute des attentes des différents publics et sauront s’adapter à leurs demandes.
- Ils auront des connaissances sur le développement de l’enfant, la psychologie de la personne, les particularités des publics spécifiques.
- Ils respecteront le rythme et les compétences des publics dans leur appropriation du jeu.
- Ils responsabiliseront le public dans l’utilisation du jeu et du lieu.
- Ils permettront aux joueurs le partage des connaissances et des savoir-faire concernant les jeux.
- Ils favoriseront la relation parents/enfants par la pratique du jeu.
- Ils iront à la rencontre de nouveaux publics.
- Ils favoriseront l’implication des adhérents dans la vie de la Ludothèque (établissement d’un règlement intérieur, achats de nouveaux jeux…).
- Les deux salariés de la ludothèque seront disponibles et auront une attitude accueillante.
- Ils présenteront les règles de vie et le fonctionnement de la Ludothèque.
- Ils auront une bonne connaissance du public pour personnaliser l’accueil.
- Ils aménageront l’espace, sélectionneront et prépareront les jeux en fonction des publics attendus.
- Ils seront attentifs à ce qui se passe, observeront et créeront les conditions permettant à chacun de trouver sa place dans le respect des autres.
- Ils feront preuve de souplesse en s’adaptant au cas par cas tout en faisant respecter le règlement intérieur.
- Ils sauront écouter sans jugement et rester discret.
- Ils auront le souci de rester dans leur rôle de ludothécaire et, en fonction des demandes, orienteront vers d’autres professionnels.
- Ils sauront être non interventionnistes, respecteront le jeu et le non-jeu.
- Ils sauront jouer avec les jeux, les présenter, transmettre les règles et les adapter aux différents publics (âges, handicaps…) et aux différentes situations.
Ils seront garants des règles des jeux, de la règle du lieu et seront vigilants sur le respect entre joueurs.
Le directeur définira les rôles, les tâches et les responsabilités de chacun. Il favorisera la complémentarité des compétences et la mixité. Il créera une dynamique d’équipe et motivera le personnel. Les deux salariés de la Ludothèque participeront à des actions de formation continue dans les domaines du jeu, du jouet et des ludothèques. Ils assisteront à des réunions d’équipe régulières avec le directeur du Centre Social Le Lac. Le Directeur favorisera la stabilité de l’équipe.
Les dirigeants du Centre Social Le Lac affirmeront son identité Ludothèque vis à vis des partenaires. Ils participeront activement au réseau des ludothèques, développeront les échanges et mettront en place des actions communes.
Ils seront affiliés au réseau national des ludothèques. Ils identifieront les partenaires (institutionnels et associatifs) potentiels sur le secteur géographique d’implantation, connaîtront leur fonctionnement et leurs missions.
Ils se feront connaître auprès de ces partenaires potentiels en entrant en relation avec les diverses institutions et structures de l’environnement de la Ludothèque. Ils identifieront les différents financeurs possibles, leurs domaines d’intervention et leurs exigences.
Ils auront connaissance des orientations et des choix politiques des collectivités territoriales (communes, départements, régions). Ils connaîtront l’environnement socioculturel et éducatif et se situeront dans la complémentarité.
Ils développeront des partenariats avec d’autres structures en construisant des projets communs ou en participant à des activités qu’ils mettront en place. Ils établiront des liens, voire des partenariats, avec les professionnels du jeu et du jouet (créateurs, distributeurs, fabricants…).
Ils définiront la place et les actions de chacun dans le partenariat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 salariés - 3 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
La Ludothèque favorisera l’expérimentation, la socialisation, l’éducation, l’intégration, l’appropriation de la culture.
- Résultat pour le centre social
Favoriser les rencontres et les échanges entre différents publics sans discrimination d'âge, de culture, de handicap...
- Résultat pour les habitants
Favoriser le lien parents/enfants.
Revaloriser les parents dans leur fonction parentale
Favoriser la solidarité entre parents et les échanges d’expériences
- Suite de l'action : Limites
Importantes difficultés à mobiliser les parents dans la durée afin qu'ils s'impliquent dans le fonctionnement de la ludothèque. Ils viennent pour l'instant, consommer un service.
- Suite de l'action : Perspectives
Favoriser une implication beaucoup plus importante dans la participation des parents afin de les sortir d'une démarche purement consumériste et les amener à s'impliquer concrètement dans la gestion (règlement intérieur, projet pédagogique...).
Actions
Médiation sociale et culturelle de proximité
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Aider et accompagner les personnes dans leurs démarches, être une interface entre les individus et les institutions, entre les institutions elles-mêmes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Ainsi, une majorité de français (60%) interrogés sur les valeurs républicaines, 5 indiquent qu’en France, il y a de moins en moins de fraternité et l’expliquent par les conditions de vie difficiles qui amènent les gens à se replier sur eux-mêmes (47%), par la crise économique qui rend les gens moins solidaires et plus individualistes (46%).
De même, l’enquête « Conditions de vie et aspirations des français » menée par le Credoc met en évidence, de manière régulière, l’attente en termes d’équipements et de services en matière de politique familiale : une forte majorité de la population (67% en 2010) continue à considérer préférable, pour mieux aider les familles, de leur distribuer des aides sous forme d’équipements et de services plutôt que des prestations monétaires. Depuis 1998, cette préconisation reste largement majoritaire dans la population et fluctue entre 62 et 70%.
C’est pourquoi l’animation de la vie sociale constitue une réponse pertinente et adaptée car son action se fonde sur une démarche globale pour répondre aux problématiques sociales collectives d’un territoire, aux besoins des habitants et aux difficultés de la vie quotidienne des familles.
Source :
(Extrait de la circulaire 2012 CAF).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux
- Créer, développer ou favoriser le lien social.
- Prévenir et réguler des conflits en facilitant la mise en lien entre les personnes et les institutions et services publics.
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Accueillir, écouter, orienter, faciliter le dialogue et la communication.
- Aider et accompagner les personnes dans leurs démarches, être une interface entre les individus et les institutions, entre les institutions elles-mêmes.
- Réguler les tensions, les conflits entre individus, entre individus et institutions et contribuer à améliorer ou à préserver le cadre de vie.
- Susciter des projets, organiser et prendre en charge des activités permettant de créer du lien social.
- Animer et contribuer à renforcer la vie sociale et associative de proximité et s’inscrire dans des partenariats sur un territoire.
Résultats attendus de l’action :
- Une contribution active à la cohésion sociale et à la tranquillité publique.
- Le renforcement de l'implication des autres professionnels de proximité pour une coopération.
- L’augmentation de la fréquentation des équipements ou des services dans la ville de Sedan.
- La réduction des délais d'intervention ou de prise en charge de certains problèmes.
- Le signalement et la prise en compte de personnes en difficulté, avec une régularisation de droits.
- La réduction du nombre de réclamations des usagers et la baisse des plaintes ou procédures contentieuses.
- La diminution des conflits enseignants-parents d’élèves et la réduction de l’absentéisme scolaire.
- L’amélioration du cadre de vie, la responsabilisation accrue des usagers.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Les médiateurs culturels viseront à développer l’autonomie des personnes par une fonction d’interface entre les populations et les institutions, autour d’un objectif principal concernant l’accès aux droits et leur reconnaissance, pour des populations en difficulté d’insertion sociale et culturelle.
Ils amélioreront le dialogue et participeront au renforcement des liens entre l’institution scolaire, les élèves et leur famille. Ils réguleront les conflits, préviendront l’absentéisme et contribueront à améliorer la réussite éducative. Ils fluidifieront une démarche d’information et de prévention, de médiation entre les personnes et les praticiens de la santé, visant à améliorer l’accès aux soins des personnes en difficulté d’insertion sociale et culturelle.
Les médiateurs culturels, en rapport avec les services publics par une démarche d’écoute, d’information et d’accompagnement, viseront à faciliter l’accès aux services publics des personnes éprouvant des difficultés à bien les utiliser pour des raisons liées un niveau modeste d’instruction, à une mauvaise maîtrise de la langue française ou à des difficultés économiques et sociales.
Ils seront conduits à travailler avec de nombreux partenaires, que cela soit en amont ou en aval de leurs interventions, ce qui témoignera, à la fois, de leur reconnaissance par les différents métiers de l’humain et de l’importance des passages de relais pour une prise en charge adaptée des publics et des situations.
Dans le quartier du lac, les travailleurs sociaux (assistants de service social, mais également éducateurs spécialisés, voire conseillers en économie sociale et familiale) constitueront les principaux partenaires des médiateurs sociaux, suivis des personnels de l’Education Nationale, des services municipaux, des bailleurs sociaux, des éducateurs spécialisés, des coordonnateurs de conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance, des services sanitaires ou encore d’associations locales.
Moyens mis en œuvre :
Trois animateurs socioculturels interviendront sur le territoire d’intervention du Centre Social Le Lac à raison de trente-cinq heures par semaine. Ils auront un statut d’adulte-relais.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 adultes relais -
- Résultat sur le territoire
- Susciter des projets, organiser et prendre en charge des activités permettant de créer du lien social.
- Animer et contribuer à renforcer la vie sociale et associative de proximité et s’inscrire dans des partenariats sur un territoire.
- Résultat pour le centre social
- Accueillir, écouter, orienter, faciliter le dialogue et la communication.
- Aider et accompagner les personnes dans leurs démarches, être une interface entre les individus et les institutions, entre les institutions elles-mêmes.
- Résultat pour les habitants
- Réguler les tensions, les conflits entre individus, entre individus et institutions et contribuer à améliorer ou à préserver le cadre de vie.
- Suite de l'action : Limites
En raison des conditions de vie difficiles les habitants auraient tendance à se replier sur eux-mêmes et les conduire à plus d'individualisme. Il est extrêmement difficile de les mobiliser pour des actions d'intérêt général et collectives.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer l'implication des professionnels de l'action sociale pour une plus grande coopération.
Actions
A la conquête du monde des adonaissants
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
- Accompagner les jeunes dans une démarche de projet, les aider à entreprendre. Renforcer le lien social entre les jeunes, les familles, les associations pour plus de mixité sociale et intergénérationnelle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
De nombreux jeunes n’ont pu être accueillis, tout au long de l’année, en raison de l’insuffisance de salariés sur ce secteur.
La fermeture de l’Accueil jeune au mois d’août laisse les jeunes du quartier désœuvrés.
La réalité du terrain « urgence des situations », absence de personnel médico-social ou difficulté à les joindre, nous a amenés, souvent, à nous substituer aux autres professionnels.
Afin de répondre à toutes les sollicitations, il serait souhaitable de créer des postes supplémentaires pour accompagner l’animateur de l’Accueil Jeune dans son action.
Des moyens financiers supplémentaires permettraient l’intervention d’intervenants spécialisés dans divers domaines (santé, prévention, délinquance…).
Une équipe plus étoffée permettrait l’organisation de séjours collectifs qui sont des outils pédagogiques essentiels pour développer la vie en collectivité, le respect de l’autre, la coopération autour d’un projet commun.
Le retard scolaire est, au collège, plus fréquent pour les élèves résidant en ZUS que pour les collégiens résidant en unités urbaines englobantes. Enfin, les établissements ayant une plus forte part d’élèves de ZUS enregistrent des résultats, en moyenne, plus faibles aux examens, et ce, même en prenant en compte les spécificités liées à l’environnement social des établissements (à l’exception notable des filières S et ES).
Source :
(Rapport ONZUS 2013)
Le collège le lac bénéficie, en 2014, d’un Réseau d’Education Prioritaire Renforcé.
Source :
Site de l’Education Nationale,
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Encourager l’apprentissage et l’exercice de la citoyenneté chez les jeunes.
- Favoriser l’égalité entre les filles et les garçons.
- Accompagner les jeunes dans une démarche de projet, les aider à entreprendre. Renforcer le lien social entre les jeunes, les familles, les associations pour plus de mixité sociale et intergénérationnelle.
- Définir un programme d’éducation à la santé et à la citoyenneté : éducation nutritionnelle, éducation à la sexualité, prévention des conduites addictives…
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Élaborer, avec les jeunes, des projets culturels, sportifs, des projets de départ en vacances, de loisirs.
- Aider les jeunes par l’acquisition des méthodes et approches susceptibles de faciliter la réalisation de leur travail scolaire, dans le cadre des CLAS.
- Apporter un soutien aux parents de jeunes en difficulté.
- Suivre la santé des adolescents.
- Organiser des actions de prévention (bilan de santé…).
- Faire la promotion de l'activité physique pour lutter contre la sédentarité.
- Leur faire acquérir des connaissances et développer leur esprit critique.
- Les rendre capables de faire des choix responsables et d’être autonomes.
Résultats attendus de l’action :
- Créer une junior association.
- Acquisition d’une culture de l’égalité entre les sexes, du respect et de l’égalité entre les filles et les garçons.
- Imaginer des dérivatifs pédagogiques pour sortir des activités de consommation.
- Utiliser les activités de consommation dans le cadre d’une pédagogie du détournement pour favoriser l’engagement citoyen et l’intérêt général.
- Inciter les parents à jouer leur rôle d’éducateurs, relais de l’éducation citoyenne.
- Prise de conscience des familles de leurs responsabilités éducatives.
- Valorisation de leurs compétences parentales.
- Promouvoir la participation et inciter les jeunes à participer aux débats parents/jeunes.
- Implication encore plus importante des jeunes dans l’organisation de leurs activités.
- Validation de la définition de la parentalité avec l’ensemble des Co-éducateurs, à savoir « un ensemble de savoir-être et de savoir-faire qui se décline au fil des situations quotidiennes, en différentes postures, paroles, actes et plaisirs, en reconnaissance des adolescents, mais aussi en autorité, en exigence et en continuité ».
- Amélioration des résultats scolaires.
- Regard positif des adolescents et des parents sur le système scolaire.
- Coopération entre tous les Co-éducateurs (parents, enseignants, salariés du centre social…).
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Créer un lieu de vie, de référence et de repère, de rencontres, de convivialité, de convergence et de rayonnement de l’information, un lieu d’apprentissage, de confrontations, de reconnaissance et de valorisation.
Assurer un rôle de référent, de lien en permanence, pendant les activités, dans leur préparation, sur les trajets, en dehors du temps scolaire, ouvrir les portes de la citoyenneté en permanence.
Au-delà de la visée occupationnelle, l’ensemble des activités mises en place par les animateurs référents « jeunes » visera à construire l’identité de jeunes de 11 à 17 ans. Par cette action qui s’inscrit sur le long terme, ils ne chercheront pas à imposer, mais favoriser l’éducation à la citoyenneté et amener les jeunes du quartier à vivre l’adolescence afin de faciliter le processus d’intégration et d’insertion. La mission « accueil orientation » fera des animateurs permanents, dans les locaux du Centre Social Le Lac, un lien de référence et de repères, un lieu de vie, de rencontres, de convivialité, de convergences et de rayonnement de l’information.
Les activités éducatives qu’ils mettront en œuvre favoriseront les relations jeunes et adultes. Elles seront pensées et conçues comme une fonction d’animation qui consiste à recevoir les jeunes et à les associer à la vie du centre, à la vie sociale, pour devenir un espace d’initiative et de soutien aux initiatives.
Les activités serviront de support à l’action éducative. Les projets seront lisibles et explicites et particulièrement sur les intentions éducatives et pas uniquement sur les moyens. Les activités seront l’occasion, dans leur menée, d’un dialogue, d’une négociation entre les publics et les animateurs, sur des bases adaptées aux pratiques et compétences des publics.
La nouvelle maison de quartier :
- Avoir des locaux réservés uniquement à l’Accueil Jeune.
- Avoir une superficie suffisante en fonction des activités et des publics accueillis. Avoir les types de locaux nécessaires pour le fonctionnement de la structure (locaux pour l’accueil du public, locaux techniques, administratifs, sanitaires…).
- Avoir des locaux clairs, insonorisés, isolés, aérés…
- Respecter les règles de sécurité et d’hygiène.
- Aménager les espaces ouverts au public en fonction des âges, des types d’activités et des services offerts.
- Avoir du mobilier modulable et fonctionnel, adapté aux différents publics, aux jeux, aux activités.
- Avoir des locaux attrayants (couleurs, éléments décoratifs, esthétique du mobilier, propre, rangé…).
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les parents, les jeunes. Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans la future maison de quartier.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de l’Accueil Jeune.
Les moyens mis en œuvre :
Trois animateurs socioculturels mettront en œuvre le projet pédagogique agréé par la DDCSPP, chaque année, après évaluation. Leurs stratégies professionnelles seront basées sur le dialogue, l’écoute, le respect, la valorisation du public. Ils œuvreront pour le bien de tous, en donnant à chacun les armes d’une autonomie et d’une liberté future.
Ils seront garants des activités, facilitateurs, régulateurs. Au niveau des contenus, ils annonceront les objectifs, structureront les activités, inciteront à l’engagement.
Ils seront la mémoire du groupe et ceux qui synthétisent. En termes de procédure, ils faciliteront les échanges, cadreront et réguleront les interventions.
Ils rappelleront les contrats de fonctionnement et organiseront matériellement les moments de rencontres (temps, espace, matériel).
Enfin, ils réguleront les tensions, favoriseront les relations.
Ils travailleront en étroite collaboration avec le coordinateur des Contrats Locaux d’Accompagnement à la Scolarité, la responsable de l’Animation Collective Famille.
Ils participeront à des formations, très régulièrement, organisées en interne ou par des organismes extérieurs, sur les thématiques suivantes :
- Comment réagir face aux comportements à risque, aux transgressions de l’interdit ?
- Quelles activités proposer aux adolescents ?
- La légitimité de l’animateur.
- Les adolescents et la sexualité.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 salariés - 10 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Encourager l’apprentissage et l’exercice de la citoyenneté chez les jeunes.
- Résultat pour le centre social
Mettre en place des projets éucatifs pour les adolescents en prenant en compte une démarche de coéducation où les parents seront de véritables partenaires.
- Résultat pour les habitants
Créer un lieu de vie, de référence et de repère, de rencontres, de convivialité, de convergence et de rayonnement de l’information, un lieu d’apprentissage, de confrontations, de reconnaissance et de valorisation.
- Suite de l'action : Limites
Difficultés à sortir les jeunes d'une démarche consumériste. Difficultés à impliquer les parents dans une démarche éducative complémentaire de celle mise en oeuvre par les animateurs de l'Accueil de Jeunes.
- Suite de l'action : Perspectives
Améliorer les taux de fréquentation de l'Accueil de Jeunes dans toutes les tranches d'âge.
Actions
Accès à la santé
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Santé
- Résumé
- Élaborer des programmes de santé adaptés au niveau local avec la participation des habitants.
- Réduire les inégalités sociales et territoriales en matière de santé en s’appuyant sur une dynamique partenariale.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Ce sont souvent les mêmes populations, les moins favorisées (faibles revenus, peu diplômés) qui cumulent les expositions aux différents facteurs de risque pour la santé, que ce soit dans l’environnement professionnel (exposition au travail physiquement pénible, au travail de nuit, aux produits toxiques, etc...) ou dans l’environnement familial (pollutions affectant le logement comme le bruit, la mauvaise qualité de l’air ou de l’eau, etc...). Ce sont elles aussi qui ont le plus souvent les comportements défavorables à la santé (notamment en matière de nutrition, d’activité physique, de prévention, etc...). Les inégalités s’inscrivent dès le plus jeune âge : les enfants d’ouvriers, de même que les enfants scolarisés en Zone d’Education Prioritaire (ZEP)
Sources :
En termes de mortalité prématurée, la situation de la France n’est pas bonne (décès liés à tabac, alcool, accidents, suicides)
Livre des plans de santé publique (www.santé.gouv.fr)
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Élaborer des programmes de santé adaptés au niveau local avec la participation des habitants.
- Réduire les inégalités sociales et territoriales en matière de santé en s’appuyant sur une dynamique partenariale.
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Éviter la survenue des maladies en diminuant les facteurs de risque.
- Améliorer le pronostic vital et fonctionnel en dépistant et en traitant précocement les maladies.
- Eviter les rechutes, complications ou séquelles liées à la maladie.
- Améliorer les comportements alimentaires, l’activité physique, l’hygiène de vie.
- Prévenir le surpoids et l’obésité.
- Lutter contre les addictions (tabac, alcool, drogues, jeux vidéo, association de médicaments).
- Prévention et sensibilisation aux accidents de la vie courante.
- Former un groupe de jeunes et d’adultes à la création d’outils d’informations pour sensibiliser un large public à la prévention des conduites addictives.
- Mise en place d’accompagnants santé chargés d’orienter et d’accompagner les publics précaires au bilan de santé.
- Organisation de conférences, de séances d’informations sur la santé et les dépistages, avec des professionnels de santé, pour les habitants de Sedan.
- Animer des ateliers pratiques pour découvrir une alimentation équilibrée et favoriser la consommation de fruits et légumes.
- Permettre aux participants de découvrir différentes pratiques sportives et d’avoir une activité de bien-être permanente.
- Apporter des méthodes pour la gestion d’un budget.
- Créer des outils de comparaison, rapport qualité et prix pour les achats alimentaires.
- Créer des outils avec les parents d’élèves des écoles du quartier du Lac pour diffuser des messages de prévention et d’information sur le sommeil et l’hygiène de vie des enfants.
- Former des adolescents et des habitants aux messages de prévention autour des conduites addictives.
- En transversalité avec l’équipe du secteur adolescent du Centre Social Le Lac, les jeunes, mis en situation d’acteurs, réaliseront un clip vidéo. Cet outil aura un impact supplémentaire, tout en valorisant les jeunes.
- Permettre au public accueilli de visualiser concrètement les dangers domestiques vécus par les jeunes enfants, pour mieux les prévenir.
- Permettre aux jeunes enfants, au travers d’un outil ludique, interactif et adapté à leur âge, de prendre conscience des dangers de la maison de façon concrète.
- Renforcement de la politique de dépistage des cancers du sein et du côlon.
- Faire connaitre les structures de dépistage auprès des publics en difficulté.
- Développer une politique d’information, via les Ateliers Santé Ville, pour associer les partenaires sociaux, médicaux et de l’éducation.
- Développer le dépistage organisé (du sein et du colon) en termes de taux de participation : pour le dépistage du cancer du sein, passer de 60 à 70 % de participantes et pour le dépistage du cancer du côlon, de 50 à 60 % pour les personnes de plus de 50 ans.
- Créer des outils pour diffuser l’information à un large public.
- Organiser des conférences avec la Société Ardennaise de Cancérologie pour sensibiliser et inciter les jeunes à diffuser l’information auprès de leur entourage, pour les inciter à une bonne hygiène de vie pour réduire les risques de la maladie et pour leur donner les moyens de mieux comprendre et mieux gérer la maladie de leurs proches.
- Organiser des débats interactifs pour la population concernée et ainsi permettre de mieux comprendre les enjeux, la démarche et briser les tabous.
Adapter les discours en fonction des thématiques, des cultures, des demandes, des besoins et ainsi parler de la maladie librement et sans a priori.
Résultats attendus de l’action :
- Un diagnostic local de l’état de santé portant sur les publics en difficulté ou en situation de précarité.
- Une programmation locale de santé qui doit permettre une organisation cohérente d’actions, autour d’objectifs définis pour une période donnée.
- Création d’un comité de pilotage, comité technique, groupes de travail, interfaces entre partenaires et projets.
- Création d’une procédure précise d’évaluation comportant un volet qualitatif et quantitatif.
- Une prise de conscience des dangers domestiques de la part des adultes qui leur permettra de prévenir des dangers et de réaménager leur intérieur.
- Une réponse aux questionnements des parents sur l’attitude de leurs enfants.
- Une prise de conscience des enfants pour limiter leurs gestes dans la prise de risques et la compréhension des conséquences de leurs actes.
- Au travers d’une mobilisation avec nos partenaires, permettre une information de connaissance des structures de dépistage, de la maladie et des modalités d’accès aux soins, pour un large public.
- Permettre une prise de conscience des publics et une augmentation des dépistages organisés.
- Tout au long des quatre années de l’action, les partenaires évalueront, rectifieront et adapteront. Selon ces différentes analyses, un bilan commun sera réalisé dans l’objectif de continuer cette campagne au long cours.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Association nationale
- Caf
- CARSAT
- Commune
- Conseil départemental
- CPAM
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Moyens mis en œuvre :
- L’ensemble des salariés du centre social travaillera en transversalité sur cette thématique.
- Relancer les Ateliers Santé Ville pour permettre une organisation cohérente d’actions au bénéfice des publics en difficulté et en situation de précarité.
- Identifier, au niveau local, les besoins spécifiques des publics en difficulté et le déterminant de l’état de santé liés aux conditions de vie.
- Mobilisation de différents intervenants internes et externes par la relance et le soutien à des réseaux médico-sociaux.
- Diversifier les moyens d’intervention en fonction de l’analyse des besoins.
- Rendre effectif l’accès aux services publics sanitaires et sociaux de droit commun.
- Développer la participation de la population à toutes les phases des programmes (diagnostic, définition des priorités, des programmations, mise en œuvre et évaluation).
- Développer la concertation avec les professionnels et les différentes institutions du secteur sanitaire et social concernées par ces programmes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 salariés - 20 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Améliorer les comportements alimentaires, l’activité physique, l’hygiène de vie.
- Prévenir le surpoids et l’obésité.
- Lutter contre les addictions (tabac, alcool, drogues, jeux vidéo, association de médicaments).
- Développer une politique d’information, pour associer les partenaires sociaux, médicaux et de l’éducation.
- Résultat pour le centre social
- Relancer les Ateliers Santé Ville pour permettre une organisation cohérente d’actions au bénéfice des publics en difficulté et en situation de précarité.
- Mobilisation de différents intervenants internes et externes par la relance et le soutien à des réseaux médico-sociaux.
- Développer la concertation avec les professionnels et les différentes institutions du secteur sanitaire et social concernées par ces programmes.
- Résultat pour les habitants
- Améliorer le pronostic vital et fonctionnel en dépistant et en traitant précocement les maladies.
- Suite de l'action : Limites
Difficultés à mobiliser l'ensemble des partenaires dans le cadre du dispositif Ateliers Santé Ville
- Suite de l'action : Perspectives
Créer une dynamique autour des problématiques de la santé à travers la mise en oeuvre d'actions collectives (Forum santé...)
Actions
Mobiliser contre l'isolement social des personnes âgées
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Résumé
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
En 2013, un Français sur quatre de plus de 18 ans se trouve dans une situation le rendant potentiellement exposé, en cas de rupture, à l’isolement social. 5 millions de personnes de plus de 18 ans sont effectivement seules, soit 12 % des personnes, plaçant la France parmi les trois pays d’Europe les plus touchés par l’isolement relationnel. Cette précarité relationnelle est fortement ressentie. Deux tiers des Français considèrent que l’isolement et la solitude se sont aggravés et 7 Français sur 10 reprochent à la puissance publique de ne pas être suffisamment mobilisés sur cette question et considèrent que seules les associations et fondations sont mobilisées contre l’isolement. Pour les Français, ce qui contribue à améliorer la cohésion sociale est autant de l’ordre de l’engagement des citoyens que de la solidarité nationale.
La population des personnes en situation d’isolement relationnel est composée pour un quart (23 %) de personnes âgées de plus de 75 ans, soit environ 1,2 million de personnes. La part de personnes âgées isolées augmente de façon aiguë.
Sources :
(Extrait du rapport de Synthèse du rapport Monalisa).
(INSEE, statistiques Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Mieux « vivre et faire société ensemble », entre les générations.
- Mobiliser contre l’isolement social des personnes âgées.
- Encourager la participation des citoyens et des acteurs locaux volontaires pour développer la création de lien social avec les personnes fragilisées.
- Appeler à la solidarité entre citoyens contre l’isolement des âgés.
- Constituer un catalyseur permettant de renouer les liens de voisinage et de proximité, indispensable à la cohésion sociale.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
Résultats attendus de l’action :
- Construire une vision partagée des besoins, des moyens disponibles, des actions prioritaires à entreprendre, des résultats des actions entreprises et des correctives à envisager.
- Partager un diagnostic territorial, des besoins et des potentiels en veillant à consolider le lien partenarial.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- CARSAT
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Points de référence :
En 2013, un Français sur quatre de plus de 18 ans se trouve dans une situation le rendant potentiellement exposé, en cas de rupture, à l’isolement social. 5 millions de personnes de plus de 18 ans sont effectivement seules, soit 12 % des personnes, plaçant la France parmi les trois pays d’Europe les plus touchés par l’isolement relationnel. Cette précarité relationnelle est fortement ressentie. Deux tiers des Français considèrent que l’isolement et la solitude se sont aggravés et 7 Français sur 10 reprochent à la puissance publique de ne pas être suffisamment mobilisés sur cette question et considèrent que seules les associations et fondations sont mobilisées contre l’isolement. Pour les Français, ce qui contribue à améliorer la cohésion sociale est autant de l’ordre de l’engagement des citoyens que de la solidarité nationale.
La population des personnes en situation d’isolement relationnel est composée pour un quart (23 %) de personnes âgées de plus de 75 ans, soit environ 1,2 million de personnes. La part de personnes âgées isolées augmente de façon aiguë.
Sources :
(Extrait du rapport de Synthèse du rapport Monalisa).
(INSEE, statistiques Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Mieux « vivre et faire société ensemble », entre les générations.
- Mobiliser contre l’isolement social des personnes âgées.
- Encourager la participation des citoyens et des acteurs locaux volontaires pour développer la création de lien social avec les personnes fragilisées.
- Appeler à la solidarité entre citoyens contre l’isolement des âgés.
- Constituer un catalyseur permettant de renouer les liens de voisinage et de proximité, indispensable à la cohésion sociale.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
Résultats attendus de l’action :
- Construire une vision partagée des besoins, des moyens disponibles, des actions prioritaires à entreprendre, des résultats des actions entreprises et des correctives à envisager.
- Partager un diagnostic territorial, des besoins et des potentiels en veillant à consolider le lien partenarial.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié - 3 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Résultat pour le centre social
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
- Résultat pour les habitants
Le centre social deviendra un lieu de rencontres et de lien social. Il pourra devenir un café social. Des animations pourront y être organisées (accès à la culture, sortie, fête, repas, chorale intergénérationnelle,…)
- Suite de l'action : Limites
Cette action est actuellement mise en oeuvre essentiellement par le Directeur. Elle nécessitera des moyens budgétaires supplémentaires afin de recruter un salarié (service civique qui animerait des équipes de bénévoles).
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer le partenariat avec le pôle sénior de la Ville et les services du Département.
Actions
Lieu d'accueil parents/enfants
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Créer un lieu d’accueil enfants-parents pour conforter la relation parents-enfants en valorisant le rôle et les compétences des parents.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Il n’existe pas, sur le quartier du Lac, de structure qui accueille des enfants de 0 à 3 ans. La crèche municipale accueille exclusivement des enfants dont les représentants légaux habitent Sedan ou les alentours et qui ont une activité professionnelle. Le manque de structure, l’absence de lieu de rencontres et d’échanges engendrent un isolement, au quotidien, des parents ou grands-parents gardant les enfants et des professionnels de la petite enfance.
Sources :
(Extrait du diagnostic contrat de projet 2010-2014)
(Statistiques Caisse d’Allocations Familiales).
Objectifs stratégiques :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
Soutenir les parents dans leur rôle éducatif en utilisant le dispositif « REAAP », contrôlé et animé par la Caisse d’Allocations Familiales, afin d’améliorer l’accueil des personnes, des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
Créer un lieu d’accueil enfants-parents pour conforter la relation parents-enfants en valorisant le rôle et les compétences des parents.
- Il prendra en compte la diversité des structures familiales, les formes d’exercice de la fonction parentale et la reconnaissance de la place de chacun des parents en tant qu’éducateur de son enfant.
- Il favorisera le développement et l’autonomie de l’enfant en permettant la mise en évidence de ses compétences. L’enfant pourra, en sécurité, y faire l’expérience de la séparation et se confronter aux règles et aux limites, se préparant ainsi à l’entrée dans la vie sociale.
- Lieu « tiers intermédiaire » permettant aux enfants une socialisation et le passage d’un monde encore familial, à un monde déjà social. Il constituera, à travers rencontres et séparations, une expérience fondamentale pour les enfants et leurs parents.
- Il sera un lieu de prévention de l’isolement social et d’élaboration de nouvelles solidarités.
- Il sera un lieu de prévention précoce des troubles de la relation enfants-parents.
- Il contribuera à prévenir des situations de négligence ou de violence, en dehors de toute visée thérapeutique ou injonction éducative.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Accueillir des enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable, dans un lieu adapté.
- Accepter la participation des adultes, basée sur le volontariat et le respect de l’anonymat ou, au minimum, la confidentialité.
- Mettre en avant l’absence de visée thérapeutique, tant à l’égard des enfants que des familles.
- Garantir la présence, à chaque séance, d’au moins deux accueillants, formés à l’écoute et supervisés régulièrement par un professionnel compétent.
Un lieu d’accueil enfants-parents dans le Pôle Enfance :
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux réservés uniquement au Lieu d’Accueil Enfants/Parents qui disposeront d’un espace extérieur de jeu.
- Les dirigeants et les salariés proposeront une superficie suffisante en fonction des activités et des publics accueillis.
- Les dirigeants et les salariés proposeront les types de locaux nécessaires pour le fonctionnement de la structure (locaux pour l’accueil du public, locaux techniques, administratifs, sanitaires…).
Les dirigeants et les salariés faciliteront l’accès du Lieu d’Accueil Parents/Enfants aux publics : proximité des lieux d’habitation, transports en commun, parking…
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux accessibles à tous (fauteuils roulants, landaus, etc…).
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux clairs, insonorisés, isolés, aérés…
- Les dirigeants, les salariés, les usagers respecteront les règles de sécurité et d’hygiène.
- Les dirigeants et les salariés aménageront les espaces ouverts au public en fonction des âges, des types d’activités et des services offerts.
- Les dirigeants et les salariés proposeront du mobilier modulable et fonctionnel, adapté aux différents publics, aux jeux, aux activités.
- Les dirigeants, les salariés, les usagers proposeront des locaux attrayants (couleurs, éléments décoratifs, esthétique du mobilier, propres, rangés …).
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents, la Ville de Sedan, le Conseil Général, la Caisse d’Allocations Familiales… Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans le futur Pôle Enfance.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement du Lieu d’Accueil Parents/Enfants.
Résultats attendus de l’action :
- Prise en compte du besoin des familles.
- Mobiliser des acteurs autour d’un projet de la petite enfance.
- Établir un projet partenarial durable.
- Inscription du LAEP dans le cadre du contrat enfance.
Public ciblé :
Enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable.
Le public de parents accueillis ne sera pas un public spécifique : tous les parents seront invités à participer au Lieu d’Accueil Parents/Enfants. La question de l’accueil de parents ne résidant pas sur le territoire d’implantation du Lieu d’Accueil Parents/Enfants pourra se poser. Cette question devra être débattue au sein du comité de pilotage afin de définir une position sur la priorité des publics accueillis. La question de l’âge limite des enfants accueillis sera à aborder également : 3 ans, 4 ans ou 6 ans. La présence des futurs parents, des grands-parents, assistantes maternelles dans le Lieu d’Accueil Parents/Enfants devra être également précisée.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
La construction d’un projet et sa formalisation demande un temps de maturation. Il sera primordial d’inscrire le projet dans la réalité du territoire. Son élaboration devra être effectuée en partenariat avec les acteurs locaux, et par étapes.
Le diagnostic devra s’inscrire dans un travail avec les acteurs locaux issus de fonctions et d’institutions différentes : enseignants des écoles maternelles, équipements petite enfance, accueils de loisirs, élus, professionnels de santé et libéraux (médecins, sages-femmes), associations, conseillers de territoire (Caisse d’Allocations Familiales), responsables des Maisons départementales de la Solidarité …
La supervision sera indispensable, elle sera obligatoire dans le cadre d’un projet Lieu d’Accueil Parents/Enfants. Il s’agira, pour l’équipe d’accueillants, avec l’aide d’une personne extérieure, d’exprimer sa pratique, ses ressentis, afin de trouver la bonne distance vis-à-vis des accueillis et des autres accueillants. Elle facilitera la mise en parole des situations d’accueil et permettra de donner sens aux attitudes d’accueil.
La supervision sera assurée par un professionnel extérieur à l’équipe ayant une formation à la psychologie ou à la psychanalyse. Une attention devra être apportée à la qualification et l’expérience lors du choix.
Les accueillants veilleront, au préalable, à préciser leurs attentes. La supervision n’aura pas de visée thérapeutique et il ne s’agira pas de faire des études de cas. Elle favorisera la cohésion de l’équipe d’accueillants.
La bonne adéquation relationnelle entre le superviseur et les accueillants sera nécessaire pour que puisse s’installer un véritable climat de confiance.
L’équipe fera proposition du cadre et des modalités de mise en œuvre de la supervision à un comité de pilotage, pour validation.
Un comité de pilotage sera créé afin d’établir la rédaction d’un règlement de fonctionnement spécifique, l’élaboration d’une charte des accueillants. Une convention de partenariat sera proposée aux partenaires (Ville de Sedan, Caisse d’Allocations Familiales, Conseil Général…).
Le choix des jours et horaires d’ouverture sera important. Ces choix pourront avoir une incidence non négligeable sur la fréquentation et la mixité des publics accueillis. Le choix devra tenir compte des besoins exprimés par les parents, de la complémentarité avec d’autres structures d’accueil du territoire et de la disponibilité des accueillants et du lieu.
Dans la philosophie des Lieu d’Accueil Parents/Enfants, une contribution minime pourra être demandée aux familles, mais elle ne sera pas obligatoire. Le montant demandé devra rester raisonnable et ne pas être un critère d’empêchement. Cette question devra être débattue par le comité de pilotage.
Les modalités de fonctionnement du lieu devront être exprimées aux familles (sensibilisation des adultes accompagnants sur leur responsabilité pendant le temps d’accueil, respect des conditions d’accès au lieu, respect des règles de vie). Pour ces raisons, un règlement intérieur sera élaboré avec l’accueillante et communiqué à toute nouvelle famille fréquentant le Lieu d’Accueil Parents/Enfants.
Les activités proposées seront des supports à la rencontre, à l’échange, à l’apprentissage et au plaisir partagé, entre les enfants et les parents.
Les enfants et leurs parents partageront un temps autour des jeux proposés ou des activités motrices.
Les lieux d’accueil parents-enfants prévoient des espaces dédiés à une activité permettant l’apprentissage des règles.
Moyens mis en œuvre :
Deux salariés qualifiés seront chargés d’animer un espace de socialisation qui accueillera, de manière libre et sans inscription, des jeunes enfants de moins de 6 ans, accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable (mère, père, grands-parents…). Ils seront garants des règles de vie spécifiques à ce lieu. Ils mettront en valeur les compétences parentales lors de la conduite du projet qui sera un espace d’écoute, d’échange parents/enfants/accueillants, avant d’être un espace d’activités
Les accueillants seront des professionnels formés à la situation d’accueil des familles. Pour chaque accueil, deux accueillants seront présents à chaque séance et seront garants du respect du règlement de fonctionnement et des modalités organisationnelles définies dans le projet.
Les accueillants feront preuve des capacités suivantes : connaissance de l’enfant et de son développement et des enjeux relationnels parents-enfants, capacité de communication avec les familles (empathie) et travail en équipe.
Une charte de l’accueillant définira les savoir-faire et les savoir-être attendus, les conditions de recrutement, la formation et la supervision.
Une formation pour l’ensemble des accueillants sera obligatoire avant leur prise de fonction.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié - 10 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Accueillir des enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable, dans un lieu adapté.
- Résultat pour le centre social
Soutenir les parents dans leur rôle éducatif en utilisant le dispositif « REAAP », contrôlé et animé par la Caisse d’Allocations Familiales, afin d’améliorer l’accueil des personnes, des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Résultat pour les habitants
- Il sera un lieu de prévention de l’isolement social et d’élaboration de nouvelles solidarités.
- Suite de l'action : Limites
Difficulté de mobiliser les parents autour d'un projet de la petite enfance.
Difficulté à établir un projet partenarial durable.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer le partenariat avec la PMI, le Conseil Départemental et le CCAS.
Actions
Des outils de communication au service du projet social
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Améliorer la communication externe en direction des habitants, des partenaires et des collectivités locales.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence aux nouveaux diagnostics :
Réponses aux questionnaires.
Adhérents : les 4 doléances les plus souvent citées : des moyens financiers plus importants pour le pédagogique, des animations de qualité, des animateurs supplémentaires, des outils de communication plus efficaces.
On peut s’étonner de la réponse relative à la communication. En effet, le Centre Social Le Lac dispose d’un site internet, d’une lettre d’information qui touche 500 abonnés. La presse écrite, radiophonique, télévisée présente régulièrement des reportages sur le Centre Social Le Lac. Par ailleurs, des brochures papier et des affiches sont régulièrement distribuées sur le quartier.
Nous sommes interrogatifs concernant la méconnaissance de 33 adhérents qui disent ne pas connaître de salarié du centre social alors que la majorité de l’équipe travaille sur le quartier depuis plus de 20 ans.
En majorité, les non-adhérents ont entendu parler du Centre Social Le Lac et trouvent son implantation accessible. Cependant, ils considèrent que les activités sont principalement axées en direction des enfants.
Source :
Réponses aux questionnaires du bilan du contrat de projet 2011-2014.
Objectif stratégique :
Améliorer la communication externe en direction des habitants, des partenaires et des collectivités locales.
Objectif général :
Créer des outils de communication au service du projet social.
Objectif opérationnel :
Élaborer un plan de communication à l’échelle de l’agrément.
Résultats attendus de l’action :
Mettre en œuvre une communication efficiente au service des usagers.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Le centre social renouvellera son plan de communication après avoir évalué finement l’efficacité des outils utilisés.
Il est important de maintenir une communication claire et globale sur les missions et le projet auprès des habitants, des élus et des partenaires institutionnels.
Cette réflexion portera donc sur : les éléments à communiquer, les stratégies à mettre en œuvre, l’utilisation de supports existants (site internet, brochures…), l’utilisation des supports de la Communauté d’Agglomération Charleville/Sedan.
Moyen mis en œuvre :
L’ensemble des dirigeants, des salariés, des adhérents sera amené à réfléchir et a apporter des contributions pour la création d’un nouveau plan de communication.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés -
- Résultat sur le territoire
Mettre en œuvre une communication efficiente au service des usagers.
- Résultat pour le centre social
Maintenir une communication claire et globale sur les missions et le projet auprès des habitants, des élus et des partenaires institutionnels.
- Résultat pour les habitants
Meilleure compréhension sur les missions et le projet du centre social.
- Suite de l'action : Limites
En raison de l'importante diversité des actions développées par le centre social, la mise en oeuvre du plan de communication est très chronophage.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer la participation collective des usagers et des salariés sur l'ensemble des supports de communication du centre social (site internet, Facebook...).
Actions
Atelier cuisine et santé: oxygéne et Partage.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
Ateliers mensuels, animés par l'association Groupe d'Entraide Mutuelle et la CESF du centre social. A partir des souhaits du groupe d'usagers, réalisation d'un menu, des courses et élaboration des plats en commun dans la cuisine du centre social. Le repas est ensuite partagé.
Il s'agit de valoriser les savoirs des participants et de rechercher leur implication au sein de l'atelier. Des notions d'équilibre alimentaires, de budget quotidien sont données. Une ambiance conviviale prévaut.
La limite de l'action réside dans la fluctuation de la particiaption des usagers directement liée à leur état de santé psychologique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action a été mise en place à la demandes des usagers de l'assocaition, ces usagers présentant des problémes de santé d'ordre psychologique.
Public ciblé en lien avec l'association "Groupe d'Entraide" .
Le centre social a proposé de s'associer à l'action d'accompagnement de ce groupe d'usagers.
Le principal résultat attendu est à la fois de rompre l'isolement de ces participants et les aider à mieux évoluer dans la vie locale.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action démarrée en juin 2013 et prolongée toute l'année 2014.
Travail de concertation avec l'association ( 1er étape), rencontre et échanges avec les usagers pour préciser le contenu du projet. Les usagers ont exprimé le souhait de pratiquer une activité cuisine en proposant le choix des réalisations . Le partage des repas leur est apparu essentiel pour mieux se connaitre.
Mobilisation des locaux du centre social , de la professionnelle CESF;
Le budget est supporté par l'association, une participation financiére minime est demandée aux participants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une animatrice de l'association, monitrice-éducatrice,
La Cesf du centre social.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Effets positifs sur le groupe.
- Suite de l'action : Limites
Action reconduite en fonction de la demande des usagers.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Séjour /Camp Monts d'Olmes pour les enfants du CLAS
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action renouvellée tous les ans.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
,
Ce camp préparé en parallèle des cycles d’accompagnement à la scolarité (élèves du primaire fréquentant les écoles de LAVELANET) s’est déroulé du 28 avril au 2 mai 2014 à la station de ski des MONTS D’OLMES. Cette année le thème choisi portait sur la « comédia del arte ».
L’organisation est définie en partenariat avec les travailleurs sociaux de l’ADS, de la CAF ainsi que les animateurs de la commune.
Suite à l’évaluation annuelle des CLAS, qui tient compte de plus en plus de la place des parents, il nous a semblé important de compléter ce séjour.
Un week-end familles à été organisé les 25 et 26 octobre à Auzat Vicdessos.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Il s'agit d'une action de prévention à visée collective permettant de travailler autour du respect de l’autre, de la vie en collectivité, en associant parents et enfants (nombreux problèmes d’incivilités repérés dans les écoles ainsi qu’un comportement agressif de parents à la sortie de l’école ; difficultés intra-familiales en terme de place et de relation parents-enfants).
Resultats attendus :
Relations entre pairs, et adultes et enfants,
Participation et motivation, engagement tout au long du projet. Favoriser la place de chaque enfant, de chaque adulte pendant le déroulé de l’action.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- DDCS
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Tout au long de l’année scolaire, au cours du CLAS primaire, ce séjour est préparé avec les enfants.
Lors des vacances de printemps, les enfants sont partis en séjour aux Monts d’Olmes pendant lequel ils ont découvert la vie en collectivité, diverses activités de plein air, et ont élaboré une pièce de théâtre et réalisét les décors et les costumes au cours d’ateliers arts plastiques.
Le vendredi, en fin d’après-midi (fin du séjour), les familles ont été invitées afin de voir le travail réalisé par les enfants, assister au spectacle et partager un goûter.
Au mois de juin, une soirée a été programmée avec les enfants et leur famille au cours de laquelle tous les partenaires ont été invités. Les enfants ont joué « leur pièce », une exposition photo était mise en place et la soirée s'est terminée par un repas convivial.
Pour compléter le travail auprès des familles, un week-end familles a été organisé au mois d’octobre 2014.
La préparation du séjour demande un temps de rencontre suffisant avec les parents qui ont besoin d’échanges avec les travailleurs sociaux avant de confier leurs enfants. Nous relevons l’importance de ces échanges pour rassurer les parents, leur expliquer l’organisation et le contenu du séjour.
Un travail en partenariat est également lié avec les travailleurs sociaux de l’ADS qui exercent des mesures éducatives auprès de certains enfants. L’observation faite durant la semaine et dans la pratique au quotidien permet de mieux appréhender le comportement de l’enfant et donc d’en dégager un meilleur suivi éducatif.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CAMP DES MONTS D'OLMES COMPTE DE RESULTAT 2014 N° Compte Libellés Montant N° Compte Libellés Montant 62828 Hébergement ( Lum d'Amont) 4 437,60 60683 Alimentation 61,60 70642 Participations Familles (Chèq + esp) 745,00 6228 Rémunération d'intermédiaires (Lum d'Amont ) 701,04 70642 Dotation Vacances (ATL) 1 670,00 62828 La ferme des Lamas 100,00 708881 Conseil Général 09 5 000,00 60641 Librairie Surre - Fact n°00103182 75,73 62828 Cie Anoki - Théâtre 450,00 Subvention équilibre Caf 143,24 62828 Maison du patrimoine 68,50 62828 Bus 450,00 60641 Librairie Surre - Fact n°00103182 67,40 60683 Super U - Alimentation 120,93 60688 king jouet 110,94 62828 Hébergement 914,50 S/TOTAL 7 558,24 S/TOTAL 7 558,24
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Nbre de professionnels : 13 au total dont équipe médico sociale ADS ( Conseil départemental), animateur Mairie, travailleur sociaux CAF, intervenants exterieurs
Les parents: 38
- Résultat sur le territoire
Le travail en partenariat et la mise en reseau des différents intervenants et institutions.
Une meilleure connaissance par les parents et par les enfants du rôle de chaque professionnel de l'enfance et du travail social.
- Résultat pour le centre social
Le centre social est à la fois organisateur et animateur du projet, il mobilise également les financements.
la préparation se déroule sur le centre social ainsi que les rencontres avec les parents.
- Résultat pour les habitants
La situation sociale des familles concernées est connue de l’équipe du projet, favorisant la relation de confiance entre les parties ainsi que la préparation du départ de l’enfant.
Il est à noter une grande motivation de la part des enfants et des parents pour participer à ce projet.
- Suite de l'action : Limites
Cette action est reconduite tous les ans sous reserve des financements.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
SOUTIEN A L’ASSOCIATION : « DECOUVERTE TERRES LOINTAINES »
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Accueillie dans les locaux du centre social, l’association « Découverte Terres Lointaines » a pour but de faire découvrir des pays, des régions et des cultures.
Elle organise notamment des manifestations culturelles et gastronomiques, des animations pédagogiques et met en place des échanges et des actions communes avec d’autres associations.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Accueillir au sein du Centre social une association dont l’objectif est de créer du lien social, culturel et pédagogique, reliant les générations, les origines, les cultures, les individus.
- Renforcement de la mixité sociale et culturelle.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Ces actions et manifestations sont destinées aux enfants et aux jeunes des accueils de loisirs et des établissements scolaires, aux personnes âgées (établissement ou associations), aux enfants, aux jeunes et adultes handicapés en établissement ainsi qu’à l’ensemble des structures en lien avec le secteur social.
Certaines manifestations sont tout public.
Un pays est mis à l'affiche par année.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
NC
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Environ 200
- Résultat sur le territoire
Création de lien social, action constitutive d'une animation culturelle qui s'adresse à tous public
La culture doit être un bien commun, une source de connaissance et de découvertes pour les habitants du territoire. C'est aussi un lieu de partage et de rencontres. C’est objectif implique un investissement et une volonté de tous les habitants fédérés au sein de l’association « Découverte terres lointaines ».
Les différents partenaires sollicitent de plus en plus fréquemment l’association afin de prévoir leur intervention
- Résultat pour le centre social
Pleinement investi dans le déroulé, dans la méthodologie de projet et son suivi.
- Résultat pour les habitants
Rencontres et echanges autour d'animations et de manifestations culturelles et festives.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduction avec chagement de théme tous les ans.
Actions
FORMATION PARENTALE à LA CNV
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
L'association de parents "monen'partagés" s'est mobilisée pour mettre en place une formation à la "communication non violente" dans le cadre de la parentalité à la demande des parents adhérents. Une recherche de financements ( reaap, Fondation de France, communauté de communes) soutenue par le centre social était le préaleable pour financer les intervenants qualifiés. Deux modules ont pu être proposés au parents, en mai et septembre (46 parents), suivie tous les 15 jours, de rencontres de groupes de pratique assidûment fréquentés .
L’association reste mobilisée pour la recherche de nouveaux financements pour les formations complémentaires et répondre à la demande de nouveaux parents intéressés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cettte formation permet aux parents de consolider des repéres, de se sentir reconnus dans leur compétences .
Des temps d'échanges qui produisent des nouveaux projets.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Deux modules de formation hébergés au centre social,
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 46 parents, un intervenat qualifié
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"Mots tissés et bouches décousues"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
L'action s'adresse aux familles d'enfants de 0 à 4 ans résidant sur la Communauté des communes de Pamiers et saintJean du Falga. Une analyse des données socio-démographiques mettait en avant sur le territoire Appaméen l'augmentation des naissances et un taux de familles monoparentales elevées. Le projet a donc recherché à proposer à des familles monoparentales un espace d'échange et de rencontres autour d'un objectif de découverte des comtes et comptines. La MJC est porteur du projet.
L'atelier est libre d'accés et gatuit, il a lieu tous les 1er, 2ème et 3 ème vendredi du mois de 10 heures à 11 heures. Une conteuse anime l'atelier qui réuni parents et enfants au sein d'un local désigné au sein du quartier du Foulon. Un aménagement a été pensé en partenariat avec la CDC, la médiathéque intercomunale de Pamiers.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
médiatheque,
MJC,
PMI
RAM de Pamiers
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action vise à :
- favoriser le lien social entre enfants et adultes, rompre l'isolement des familles,
-soutenir les parents dans leur rôle éducatif en participant à l'éveil de leur enfants,
-développer l'imaginaire de l'enfant, sa créativité, sa curiosité,
- d'aborder d'autres questions relatives au quotidien de l'enfant,
- retrouver une culture du chant, du conte,qui perpetue la tradition orale comune à tous,
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action est menée en partenariat avec la Pmi qui joue un rôle prépondérant dans l'orientation du public.
La présence d'un travailleur social à chaque séance facilite l'acceuil des familles; libére la parole des participants.
Un intervenant" conteuse" anime veritablement la séance.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
NC
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Nombre de séance et public touché 295
Nombre de séance 23
Enfants inscrits 71
Trois professionnels au total par séance.
- Résultat sur le territoire
Action d'animation existante au sein d'un quartier.
- Résultat pour le centre social
Action externalisée pour le centre social à l'initiative du projet.
- Résultat pour les habitants
Action gratuite et accéssible à tout public.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
séjour vacances familles accompagnées
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action annuelle
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Tout au long de l'année, rencontres avec les familles pour préparer un séjour vacances d'une durée d'une semaine :
Une semaine en juillet, en montagne dans le Quérigut. Moments de découvertes, de partages, d'échanges.
Soirée bilan au mois d'octobre avec tous les partenaires.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le projet est né de l’idée que le départ en vacances en famille en présence de travailleurs sociaux peut être un excellent outil d’accompagnement socio-éducatif.
Le projet est élaboré sur la base d’un diagnostic commun aux partenaires des deux territoires qui met en évidence des problématiques liées à une précarité économique et sociale commune à la majorité des familles accompagnées par les services ASE, PMI, CAF et Polyvalence de secteur. Les familles qui s’inscrivent dans ce projet, pour 70% monoparentales, sont non- acculturées aux pratiques vacancières.
Les vacances sont d’abord un temps pour « soi », sa « santé », son « équilibre » dans un cadre différent. Partir en vacances, dans un environnement en rupture avec le cadre de vie habituel, c’est partir à la découverte d’autres cultures, s’enrichir par des rencontres inattendues, appréhender d’autres savoir-faire et savoir être …
Le temps des vacances, est devenu aujourd’hui un temps socialement valorisé et nécessaire à tous pour se retrouver et recréer des liens sociaux. Il est aussi et surtout un moyen de resserrer les liens familiaux, de rétablir des solidarités dans l’espace familial, voire de reconstruire la figure parentale.
La persistance du chômage, la précarisation de l’emploi, l’éclatement de la cellule familiale, les difficultés éducatives importantes dans certains cas, sont autant de facteurs qui rendent difficile voire impossible la construction d’un projet de vacances.
Sans accompagnement, la plupart des familles suivies de manière globale par nos services ne seraient pas parties. La mise à distance culturelle et sociale du temps des vacances, conjuguée aux freins logistiques, psychosociaux et budgétaires de ces familles font de l’accompagnement une condition au départ.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ANCV
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Plusieurs rencontres entre travailleurs sociaux sont nécessaires pour la préparation du projet (demandes de financements, rencontres des élus....).
Des réunions entre les partenaires sociaux et les familles se déroulent une fois par mois dès le mois de janvier, au cours desquelles sont abordés : les freins au départ en vacances, l'élaboration des menus, le choix des activités de loisirs sur site....
Les équipes des centres locaux ADS et du centre social CAF de Lavelanet travaillent tout au long de l’année la préparation du séjour en impliquant les familles qu’elles ont préalablement pressenties.
En plus des rencontres avec les familles en collectif (mais aussi en individuel), l’organisation du séjour nécessite une logistique importante : visites sur site, contacts avec les communautés de communes, recherche de moyens de transport, préparation des repas de midi. L’organisation collective et définitive repose sur l’équipe médico-sociale avant et pendant chaque séjour.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
VACANCES FAMILLES - BUDGET PREVISIONNEL 2016 Libellés Montant Libellés Montant Hébergement 3 645,00 Participations familiales 800,00 Gas oil 100,00 Subvention : CAF 1 530,00 Alimentation 2 000,00 Subvention : ADS - Conseil Général 2 500,00 Location mini-bus 725,00 Subvention : Communautés de communes 600,00 Loisirs 800,00 Subvention : Vacances Ouvertes 2 000,00 Adhésion vacances ouvertes 160,00 S/TOTAL 7 430,00 S/TOTAL 7 430,00 Salaires (mises à disposition de personnel / CAF ADS) 9 240,00 CAF 3 680,00 Transport aller retour 1 200,00 ADS 6 760,00 Véhicule de service Conseil Général 600,00 Communautés de Communes / Mairies 1 200,00 Véhicule de service CAF 600,00 S/TOTAL 11 640,00 S/TOTAL 11 640,00 TOTAL 19 070,00 TOTAL 19 070,00
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Tous les professionnels médico-sociaux des équipes des centres locaux ADS de Lavelanet et de Tarascon et l'équipe du centre social CAF sont mobilisées sur le projet. Sur le séjour, en accompagnement sont présents deux groupes de 3
travailleurs sociaux.
16 familles participent au projet soit 60 personnes.
- Résultat sur le territoire
Création de lien social
Intérêt suscité pour manifestations culturelles organisées sur territoire.
- Résultat pour le centre social
Action permettant ensuite de mobiliser ces personnes sur d'autres projets.
Par la suite, parents, enfants souvent force de propositions pour d'autres actions.
Projet facilitant la relation de confiance entre travailleurs sociaux et familles.
- Résultat pour les habitants
Premier temps de vacances pour les habitants concernés par le projet
Ouverture culturelle
Lien parents enfants
- Suite de l'action : Limites
Pour des raisons financières, les familles ne peuvent repartir en autonomie. Pour certaines orientation vers le dispositif VACAF.
- Suite de l'action : Perspectives
Au vu du bilan très positif : renouvellement de l'action
Actions
jardins partagés
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Ce projet a pour objectif principal de lutter contre l’isolement et les phénomènes d’exclusion. Il s’inscrit dans un processus d’accompagnement global. Le jardin collectif est utilisé comme support de remobilisation et s’adresse à des personnes fragilisés, n’arrivant plus à être acteurs de leur vie sociale car ils n’ont plus de désir ni de projet.
Le jardinage est une activité de plein air qui permet de se prouver mais aussi de montrer aux autres que l’on est capable de faire quelque chose de ses mains, c’est un outil favorisant la revalorisation des publics souvent stigmatisés par la situation de précarité dans laquelle ils se trouvent. Il permet de faire émerger et mettre en exergue des savoirs-faires peu mis en avant dans la vie de tous les jours.
La constitution d’un groupe qui favoriserait la mixité des publics, associé à la présence de travailleurs sociaux, a pour objectif de favoriser l’émergence de liens d’entraide et de solidarité.
Au delà du travail autour de la culture, cette action permet d’aborder et de sensibiliser le public à d’autres questions comme l’alimentation et le respect de l’environnement (en lien avec les modes de culture).
L’intérêt de cette activité réside dans le fait d’associer les participants à la globalité du projet à savoir de sa conception à sa réalisation (technique de culture, choix des plantations, entretien de la parcelle, cueillette etc...)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les objectifs généraux :
- Sortir de l’isolement
- Favoriser l’émergence de lien social, d’entraide et de solidarité
- Travailler autour de la revalorisation de soi et valoriser les savoirs faire au travers d’un autre mode d’accompagnement
- De façon transversale, aborder tous les domaines de la vie quotidienne et familiale (vie familiale, gestion du quotidien, alimentation, préparation des repas…)
- Permettre les liens avec les autres organismes, associations, particuliers qui disposent de parcelles au travers de temps collectifs partagés
- A terme, permettre aux personnes d’être à nouveau acteur de leur vie, de faire des projets, de se mobiliser autour d’une activité
-Les objectifs opérationnels :
Cultiver des légumes en fonction des saisons avec des méthodes respectueuses de l’environnement, cuisiner ces produits ensemble pour les partager autour d’un repas éventuellement.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
création d'un groupe de travail partenarial pour fixer les modalités d'intervention auprès du public visé
4 rencontres organisés avec des habitants potentiellement interressés et en situation d'isolement social : présentation générale de l'action, implication de ces habitants dans la mise en oeuvre de l'action (choix des denrées cultivées, fréquence de travail sur site et nombre d'intervenants en fonction des saisons)
début de l'action au mois de mars 2017 avec particiaption de travailleurs sociaux et l'appui de 2 personnes "resources" ayant des compétences poussées dans le jardinage
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
PRODUITS
Cotisation association
30.00
PDI Conseil Départemental : AFI collective
600.00
Achat de matériel
250.00
CAF
330.00
Achat de plans et graines
350.00
Denrées / cuisine
300.00
TOTAL
930
930
SUPPLETIF
SUPPLETIF
CAF
1000
Mise à dispo de personnel
3500
DSD
2500
TOTAL
4430
TOTAL
4430
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels travailleurs sociaux en alternance
2 bénévoles
21 habitants
- Résultat sur le territoire
rencontres entre habitants favorisant e lien social
échanges de savoirs faire et developpement de solidarités
dynamique collective et citoyenne contribuant à la revalorisation du territoire
- Résultat pour le centre social
participation d'usagers du centre social à l'action
mise en place au sein du centre social d'ateliers cuisine utilisant les produits récoltés
- Résultat pour les habitants
rupture de l'isolement (partages/échanges)
renforcement de l'estime de soi
redynamisation personnelle
- Suite de l'action : Limites
la superficie de la parcelle cultivée contraint à limiter le nombre de participants
Le renouvellement du public compte tenu du succès de l'action peut s'avérer difficile à opérer
- Suite de l'action : Perspectives
dans la perspective d'innover et de s'initier à la permaculture , un habitant projette de demander une parcelle supplémentaire mise à diposition du groupe .
Solliciter un chef cuisinier de la "Cité du gout et des saveurs" afin d' utiliser, mettre en valeur différemment et conserver les légumes produits. Un repas convivial sera organisé à cette occasion.
Actions
"Des usages des écrans au sein des familles : quel cadre ? quels risques ?Comment être en relation avec ses enfants ?"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Mixité sociale
- Résumé
3 temps sur un trimestre proposés aux parents enfants du territoire.
Objectif : - sensibiliser et informer les parents sur les risques pour le développement de l'enfant, à trop utiliser les écrans
- soutenir les parents dans leur rôle et leur posture éducative, modifié avec l'invasion des écrans au sein des foyers : comment poser un cadre et comment être en relation avec ses enfants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les différents professionnels intervenants auprès d'enfnats (crèches, écoles, collèges, travailleurs sociaux) constatent les effets nocifs de l'usage des écrans sur le développement des enfants.
Les parents peuvent verbaliser leurs difficultés à poser un cadre visant à restreindre l'usage des écrans et l'avantage des écrans dans la vie de tous les jours : les enfants paraissent plus calme devant un écran, ne se disputent plus ou moins, sont occupés.
Face à ce double constat, les professionnels partagent le besoin d'informer et de sensibiliser les parents sur les risques liés aux usages des écrans et de soutenir les parents dans leurs relations aux enfants.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- DDCS
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action menée en 3 étapes :
- une près midi "jeux" à l'attention des familles du territoire, afin de montrer comment être en relation différemment avec son enfant. Présence d'un clown réalisant des animations sur le thème des écrans et d'un lieu d'échanges avec les parents. Animation par des professionnels.
- une conférence - débat organisée à l'attention de tout public, animée par une psychologue. Objectif : expliquer les conséquences sur le développement de l'enfnat d'un usage non adapté des écrans (risque de myopie, troubles du sommeil, de l'attention, retard scolaire, retard dans le langage...) et de rappeler les règles à respecter (3-6-9-12)
- création de scénettes par des enfnats du primaire et du collège sur la thématique des écrans avec représentation des productions des enfants. temps d'échanges dans la salle avec les parents, les enfants, animé par des professionnels entre chaque scénettes.
Les actions constituant le projet, ouvertes à tous publics. Afin de mobiliser les familles les plus en difficultés dans leurs relations avec els enfants, il a été choisi de mettre en place des actions parents/enfnats et d'organiser, le temps de ces actions ludiques, des temps d'échange et de sensibilisation sur la thématique des écrans.
Les actions ont eu vocation de s'adresser aux enfants de 1 à 15 ans. Ce public étant le plus particulièrement en risque face à un usage inadapté aux écrans.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Projet partenarial avec un engagement financier de tous les partenaires. Projet financé dans le cadre du contrat de territoire (CGET).
Outre les mises à disposition de personnels, de salles, ont été financé les intervenants extérieurs
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
professionnels : 22
parents enfants : 250
- Résultat sur le territoire
Après midi jeux organisée lors de la journée des sports. Animation deans la ville qui a rencontré un franc succès.
- Résultat pour le centre social
Centre social porteur de projet d'une action action partenariale, mobilisant plusieurs professionnels d'institutions différentes. Usagers du centre et familles suivies dans le cadre de l'action sociale bénéficiaires de l'action.
- Résultat pour les habitants
Les parents les enfants ont apprécié ces temps d'animation, que se soit l'après midi jeux ou le théâtre. il sont pu mesurer l'intérêt du "faire ensemble", du partage. Nombreux parents nous ont sollicité afin de mettre en place d'autres expériences de ce type, sorties familles ou autre.
- Suite de l'action : Limites
Cette action était ponctuelle, a duré de septembre à décembre.
Bien qu'elle ait été bénéfique pour les familles, les effets sur le long terme sont difficilement mesurables.
- Suite de l'action : Perspectives
Au travers de toutes les actions parentalité mises en oeuvre au sein du centre social," l'éducation au numérique" est abordée, de façon claire ou détournée. Sont mis en avant les temps partagés parents enfants au travers d'activités communes, de sorties, de vacances....
Actions
Parcours « Valorisation, Estime de soi, Retour à l’Emploi »
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Parcours « Valorisation, Estime de soi, Retour à l’Emploi »
Objectif : redonner confiance aux demandeurs d’emploi, leur apprendre à travailler leur image, pour aborder les employeurs : par la "privatisation" (2 heures) des deux bourses aux vétements (organisées pas le centre social et l'association créée spécifiquement),hors les murs compte tenu de l'ampleur de l'évênement. Il s'agit d'accuellir, de relooker un groupe de stagiaires de "Pôle Emploi" en vu d'un entretien professionnel. Cette séance de "shopping" coatchée, par des professionnels et des bénévoles (retraités de la vente) est suivie d'un repas convivial au centre social qui permet de prolonger les échanges avec les professionnels (intervenants Pôle Emploi).
Retrouver une dynamique dans leur recherche d’emploi et favoriser la promotion de profils… Mais également recréer du lien social. Respect, Convivialité et Bienveillance sont les maîtres mots de ce parcours.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Autre
- Précision ( si autre )
L'association Couserans Bourses échanges gérées par un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le partenaire Pôle Emploi s'est saisi du service rendu, pour rendre concret des ateliers théoriques. Ainsi les stagiaires peuvent acquerir à moindre coût une tenue adaptée à un entretien d'embauche.
Cet accès privilégié créé des liens avec l'équipe des bénévoles qui les encouragent à utiliser le service.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 agents de Pôle Emploi (2 conseillés, et un psychologue), la conseillère en ESF du centre social, et 5 à 6 bénévoles selon la taille du groupe de stagiaires.
- Résultat sur le territoire
Une autre promotion des bourses déja trés repérées sur le territoire (plus de 350 déposants et 500 acheteurs par bourse).
- Résultat pour le centre social
Rencontre d'un public pas forcément connu.
Promotion de l'outil "bourses" et centre social
- Résultat pour les habitants
Utilisation d'un service ponctuel : "les bourse" et de l'ensemble des services proposés par le centre social.
- Suite de l'action : Limites
Le nombre de bénéficiares, le temps dédié (2 heures en VIP par bourse)
- Suite de l'action : Perspectives
Maintien de l'action
Actions
"L'ARBABULLE" LAEP
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Le LAEP est un lieu pour enfants de moins de 6 ans et leur(s) parent(s) et/ou adultes référents qui les accompagnent. Il s’adresse aussi aux futurs parents pendant la grossesse pour les accompagner dans leur nouveau rôle et échanger autour des questions relatives à l’éducation et à la santé d’un enfant.
Cet espace peut permettre de rompre un certain isolement et favorise la rencontre entre les parents et les enfants hors du cadre familial. Les échanges et observations pourront permettre de dédramatiser certaines situations éducatives, de valoriser ses compétences en tant que parents, de mieux connaître le développement psychomoteur de son enfant, et de renforcer sa relation avec son enfant.
L’enfant dispose d’un espace de jeux libres favorisant sa socialisation et se prépare ainsi à la séparation avec ses parents pour faciliter l’entrée en collectivité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
A l’initiative du centre social CAF et de la « Commission parentalité/violences faites aux femmes/violences intrafamiliales" du CISPD (Conseil Intercommunal de Sécurité et de Prévention de la Délinquance), différents acteurs locaux du territoire ont été mobilisés. Leurs échanges ont permis d’analyser les besoins du territoire en matière d’accompagnement à la parentalité. Ils notent des besoins en prévention. En effet, encouragé par la PMI, les accueils d’enfants à la crèche se multiplient pour que les enfants fassent l’expérience de la socialisation et bénéficient d’un environnement stimulant, adapté et sécurisé. Pour d’autres parents, il semble difficile de confier leur enfant alors qu’ils ne travaillent pas et la dépense engendrée par un mode de garde peut être compliquée à prévoir dans le budget familial limité. Le sentiment d’isolement est alors possible. La présence de parents aux ateliers proposés par le RAM est le reflet d’un besoin de rencontre et d’échanges. Ces constats confirment la nécessité de mettre en place un projet permettant d’accompagner les parents dans leur rôle.
Le territoire du Pays d’Olmes dispose trois services petite enfance : un multi-accueil de 28 places, un accueil familial de 20 places et un Relais Assistantes Maternelles, trois services gérés par le Centre Intercommunal d’Action Sociale Pays d’Olmes.
Il est constaté l’absence de LAEP sur ce territoire composé de 24 communes. Lavelanet est la commune la plus importante de la Communauté de Communes du pays d’Olmes c’est pourquoi, la localisation du futur LAEP sur la commune de Lavelanet permet de centraliser ce service sur le territoire et de toucher le maximum de public.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Depuis de nombreuses années le centre social faisait le constat d'une absence de lieu de rencontre pour les parents et leurs jeunes enfants sur le territoire. Plusieurs réunions avaient eu lieu, sans aboutissement de projet.
Suite à l'écriture du contrat de territoire, l'inscription d'une ficha action et de la reprise des commissions parentalité du CISPD, à l'initiative des travailleurs sociaux CAF, des réunions partenariales sur ce thème ont eu lieu. Après constat, diagnostic, les partenaires(CAF? centre social, CIAS, DSD, PMI) ont élaboré le projet. Le Centre communal d'action sociale du Pays d'Olmes a été proposé comme porteur de projet (le CIAS ayant la compétence petite enfance) et le centre social comme lieu d'accueil du LAEP. L'action a débuté au mois d'octobre 2019.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Charges de personnel (A)
5 123
Autres charges (B)
5300
Total des dépenses (A)+(B)
10 423
Montant PS
3500
Participation MSA
Autres subvention
Subvention de la collectivité
6 923
Subvention conseil départemental
Total des recettes
10 423
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Deux accueillants sont présents à chaque séance. Il s'agit d'une éducatrice de jeunes enfants (mise à disposition CIAS) et d'un travailleur social (mis à disposition CAF) ayant suivi la formation d'accueillant LAEP.
Une fois tous les 2 mois, une séance d'analyse de pratiques est animée par une psychologue.
- Résultat sur le territoire
Nouveau lieu à destination des parents, nouvelle offre de service concernant la parentalité.
- Résultat pour le centre social
Lieu d'accueil du LAEP, lieu convivial qui permet de faire connaître le centre social, ses missions, ses activités, ses services aux futurs ou nouveaux parents.
- Résultat pour les habitants
Lieu anomyme permettant de rompre l'isolement de certaines jeunes mamans, habitantes du territoire, parfois éloignées de leur famille.
Moments d'échanges, de convivialité permettant de sortir du quotidien. Lieu adapté aux jeunes enfants alliant espace bébé, jeux, motricité....
- Suite de l'action : Limites
Nombre d'enfnats et d'accompagnants limités.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de l'action et éventuellement, en fonction de la participation, extension à un horaire d'ouverture supplémentaire. Il pourrait également être envisagé un délocalisation (dans petites communes très rurales) afin de se rendre au plus près des habitants
Actions
UN DEFI FAMILLE A ALIMENTATION POSITIVE (FAAP), en Aiège à St-Girons
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Environnement
- développement durable
- Résumé
Le principe du défi est simple : des équipes d’une dizaine de foyers (personnes seules, couples, foyers avec enfants) se regroupent pour relever le défi d’augmenter leur consommation de produits bio locaux tout en conservant un budget constant et en se faisant plaisir ! Il s’agit d’un accompagnement gratuit avec au programme : visites de ferme, échanges avec un diététicien-nutritionniste sur l’intérêt des produits bio locaux et leurs apports nutritionnels, cours de cuisine, trucs et astuces pour consommer bio et pas cher.
Pour sa deuxième année consécutive, le PNR Pyrénées Ariègeoises et le CIVAM Bio 09 , ont proposé ce concept au centre social pour le déployer, sur notre département. Un nouveau partenariat , des actions inédites pour interroger, voire déconstruire, l’idée selon laquelle l’accessibilité à des denrées saines serait déterminée par les conditions socioéconomiques de chacun.
Durant toute la durée du défi, des temps forts sont organisés (environ 1 fois par mois) :
- une soirée de lancement : pour expliquer le défi, créer de la cohésion entre les membres de l' équipe et donner le top départ du défi,
- une soirée d’échange avec un diététicien-nutritionniste pour parler de l’intérêt des produits bio et découvrir les protéines végétales, apprendre des recettes, de saison et locale,
- 5 cours de cuisine avec un chef cuisinier,
- une visite de ferme bio, d'un commerce bio, d'un marché de plein vent,
- une soirée de clôture,
- les relevés des achats alimentaires.
Tout au long du défi, les participants peuvent évaluer l’évolution de leur consommation de produits bio et du coût de leur repas ! Pour cela, chaque foyer effectue des relevés d’achats pendant une période de 14 jours, et cela 2 à 3 fois durant le défi : T0 (états des lieux de la consommation), T1, T2. Seuls les résultats de l’équipe comptent. Les saisies des achats se font via le site internet "du défit faap". Très accessible, un accompagnement a été organisé au besoin.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ainsi, en proposant aux familles d’examiner ce qu’elles font pour adapter leurs pratiques en fonction des objectifs qu’elles se donnent, le Défi FAAP a pour ambition, et pour originalité, de rendre ces citoyens acteurs de la transition alimentaire. Elles ont pu :
- Bénéficier d’un accompagnement gratuit vers une alimentation savoureuse et équilibrée
- Connaître les trucs et astuces pour consommer des produits bio locaux tout en maîtrisant son budget
- Faire des rencontres et des échanges conviviaux avec les autres familles participantes
- S’informer sur l’agriculture biologique
- Connaître les lieux d’achats de produits bio dans son quartier/dans sa ville
- Partager des recettes de plats bio locaux de saison peu coûteux
- Visiter des fermes, rencontrer des agriculteurs
- Participer à une aventure de groupe
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
De décembre à juillet, deux équipes d’une dizaine de foyers fédérées par une structure relai (une équipe centre social St-Girons et une équipe PNR constituée sur Foix) se regroupent pour relever le défi d’augmenter leur consommation de produits bio et locaux tout en conservant un budget constant.
Le plus important est de progresser en équipe et de partager de bons moments !
Plusieurs temps forts (un à deux par mois) sont proposés à chaque équipe, autour des villes retenues :
- Visite de deux fermes bio;
- Rencontre avec un nutritionniste pour apprendre à équilibrer ses repas;
- 5 Ateliers cuisine pour découvrir des recettes de saison savoureuses et peu coûteuses;
- Visite d'un magasin bio.
Sans oublier les soirées de lancement et de clôture de ce défi qui réuniront les deux équipes !
Deux périodes de suivi des achats alimentaires ont été programmées, en début et fin de défi, afin de voir la progression des équipes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'action a été financée complétement par les deux partenaires le PNR Pyrénées Ariègeoises et le CIVAM Bio 09
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés du Civam bio et du Pnr, la conseillère du centre social, des prestataires ponctuels (diététicienne, cuisinier)
- Résultat sur le territoire
- conforter l'acte d'achat local.
- Résultat pour le centre social
Ouverture sur un nouveau public et nouveaux partenaires
- Résultat pour les habitants
Au terme de ce long parcours, nous avons pu observer une amorce de changements chez l’ensemble des participants. Ainsi, répertorier leurs aliments a permis à ces volontaires de réaliser pleinement ce qu’ils consommaient et dépensaient, les amenant à réfléchir aux routines qu’ils souhaitaient conserver ou modifier.
Par ailleurs, les ateliers ont renforcé leur propre confiance pour cuisiner ou cultiver par eux-mêmes ; éveillé une attention plus grande à leurs choix en matière de points de vente, avec une préférence pour les circuits courts ou encore à l’égard des aliments achetés, où la part des produits locaux, bio ou en vrac a progressivement augmenté. Enfin, grâce à des échanges directs avec les producteurs, les participants, plus avertis, émettent désormais le souhait de soutenir certaines pratiques et productions plus en phase avec leurs nouvelles sensibilités : qualité des produits, meilleures conditions de travail et de rémunération des producteurs. Et même si leur budget est limité, ils s’estiment dorénavant être en capacité de choisir en toute conscience un aliment auquel ils sont prêts à consacrer de l’argent.
- Suite de l'action : Limites
La mobilisation et l'assiduité des personnes engagées.
Le financement de l'action par les partenaires
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduction du défit avec une nouvelle équipe.
Actions
DISPOSITIF PANIERS SOLIDAIRES
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action a été suspendue faute de financement pour organiser la distribution des paniers trop chronophage pour le centre social et les intervenants sociaux associés (MSA, Conseil Départemental)
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Environnement
- Précarité
- Résumé
Développer de manière pérenne une politique sur la transition alimentaire pour favoriser l‘accès de tous à des produits de saison et locaux.
L’enjeu est double : inciter les familles à manger mieux pour préserver leur santé et les aider à adopter des gestes éco-responsables favorisant les circuits courts et le partenariat local.
Pour les bénéficiaires ou familles en difficulté : bénéficier d’une offre de produits frais permettant une alimentation saine et variée tout en faisant oeuvre utile en exprimant sa solidarité vis-à-vis du monde agricole. Il s’agit d’une offre « découverte » qui pourrait inspirer de nouvelles habitudes alimentaires et pratiques culinaires.
Pour les agriculteurs : leur permettre d’écouler leur production et/ou avoir de nouveaux réseaux de vente sécurisés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Favoriser le changement des comportements en matière de consommation et d’alimentation.
Répondre à cette double solidarité et cette attention croisée entre des publics fragilisés et les agriculteurs assumant leur rôle nourricier avec une sensibilité à l’environnement, aux territoires et au lien social.
Mise en place d’un système de distribution de paniers solidaires pour permettre aux ménages ou familles en fragilité budgétaire d’accéder à une alimentation de qualité.
Critères d’attribution sont définis par les partenaires, tout comme les modalités de distribution (fréquence, valeur du panier, contenu...).
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- MSA
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action développée de décembre 2020 à juillet 2021.
Distribution de paniers - constitués de produits bruts ou transformés issus de l’agriculture locale - vendus à prix solidaire dans le cadre d’un dispositif pérenne.
L’abondement d’un fonds inter-partenarial pour le dispositif permet aux producteurs une juste rémunération (convention 2020).
Pour éviter toute stigmatisation et préserver la dignité de chacun, la recherche de points de distribution classiques et ouverts à tous (point physique et/ou plate-forme d’achat en ligne) constitue également un principe fondateur.
Cette offre peut s’inscrire dans le cadre de la mise en place des parcours « attentionnés ».
Des actions collectives diverses ont été mises en oeuvre pour associer les bénéficiaires et leurs familles dans une dynamique de changement durable des comportements (ateliers cuisine, repas partagés, ateliers diététiques et de prévention santé, visite de fermes, sorties familiales...).En décembre 2020, l’action a pu être mise en oeuvre pour un test sur 100 paniers pour les deux secteurs définis.
Mobilisation d’un prestataire : l’épicerie mobile, «Le Château Ambulant ». Positionnée sur la vente de produits locaux, majoritairement bio, elle déploie son activité commerciale (entreprise individuelle créée en 2018) sur les petits marchés du Couserans, notamment celui de La Bastide de Sérou.
- Marché de La Bastide de Sérou : deux distributions de 25 paniers ont été réalisés. Afin de la soutenir dans ce surcroît d’activité, sollicitation d’un salarié en insertion issu d’un dispositif expérimental (PEP’S), encadré par l’association Casta (préparation et la distribution des paniers),
- Pour Saint-Girons : souhait d’une distribution à l’identique sur le marché. Une seule distribution de 25 paniers a pu être réalisée en fonction de la disponibilité de Mme Fleury qui n’est pas présente sur ce marché habituellement. La mobilisation des différents prescripteurs, a conduit rapidement à dépasser le seuil fixé par notre prestataire. Recherche dans l’urgence et choix d’un autre prestataire (Orgascic : société coopérative d’intérêt collectif à Montagagne) pour la constitution de 10 paniers distribués au centre social.
A noter que nos deux prestataires, bénéficiaires du RSA, tentent de consolider leur activité professionnelle, comme 2 des 15 producteurs locaux impliqués dans cette action.
Contenu du panier pour une famille et pour 15 jours : produits de consommation courante, qui se cuisinent facilement avec du matériel de cuisine de base : équilibre de produits bruts et produits frais, épicerie issue de l’agriculture locale et/ou raisonnée ou bio.
Valeur moyenne du panier 50€ en 2020, revue à la baisse à 30 € en 2021 avec participation de 5€ du bénéficiaire.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
En 2020 : 87 paniers distribués, d’une valeur de 50 € soit un engagement financier de 4350 € dont une participation des bénéficiaires par panier à hauteur de 5 €, soit 435 €.
En 2021 : 323 paniers distribués, d’une valeur de 30 € soit un engagement financier de 9690 € dont une participation des bénéficiaires par panier à hauteur de 5 €, soit 1615 €.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Personnels CAF, MSA, DSD, Espace Séronais, CASTA, CCAS Saint Girons, la Bastide de Sérou : mobilisation et suivi des bénéficiaires à l’appui de supports de communication
1 agent PNR : soutien au projet, mise à disposition des outils créés pour précédent défi FAAP
2 agents CIVAM : proposition de faire le lien avec les producteurs répondant au choix du contenu du panier et animation d’un défi famille alimentation positive
2 agents CASTA : soutien au projet, mobilisation des salariés, aide à la distribution
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Rencontre de nouveau public et nouveau partenariat.
- Résultat pour les habitants
En 2020 :
- 87 paniers distribués : 67 familles soit 87 adultes et 99 enfants
- 38 familles monoparentales et 37 foyers bénéficiaires du RSA.
- 10 partenaires impliqués ;
- 2 prestataires bénéficiaires RSA ainsi qu’un salarié en insertion – mobilisation du programme PEP’S ;
- plus de 15 producteurs sollicités dont 2 bénéficiaires RSA ;
En 2021 :
- 323 paniers ont été distribués à raison de 2 distributions par mois sur chaque territoire (153 à La Bastide de Sérou et 168 à St-Girons).
- 91 familles ont bénéficié de cette opération dont 117 adultes et 138 enfant.
- 59 ménages sont allocataires CAF, 30 MSA, 2 sont non allocataires.
- 49 familles monoparentales
- 52 foyers bénéficiaires du RSA
- Suite de l'action : Limites
Nous avons mesuré le fort investissement nécessaire dans la logistique de cette opération et par ailleurs la notion d’équité territoriale qui impose d’engager un budget plus conséquent dans le cadre d’appels à projet, ou manifestations d’intérêt que ne peuvent solliciter directement les institutions.
Réponse défavorable à l'appel à projet.
- Suite de l'action : Perspectives
Maintien des actions collectives des "défis à alimentation positive" sans distribution de paniers.
Actions
Bougez avec le centre social de Lavelanet
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Une heure 15 par semaine est proposée une activité physique adaptée aux capacités, aux besoins, aux envies des habitants. Activité se déroulant au sein du centre social ou en extérieur.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le centre social de Lavelanet souhaite permettre à ses allocataires et aux habitants de pratiquer gratuitement une activité physique adaptée. Il propose des cours collectifs d’activités physiques adaptées hebdomadaires qui seront assurées par une animatrice de l’association SIEL BLEU. Cet accompagnement s’adresse à tout public et plus particulièrement aux publics les plus fragiles, en situation de précarité, de difficulté ou d’isolement social.
Objectifs :
- Faire évoluer les représentations sur l’activité physique (difficulté, pénibilité) et la notion d’effort (quels bénéfices ?)
- Initier un changement de comportement durable pour lutter contre les effets de la sédentarité
- Permettre de retrouver une hygiène de vie limitant le risque de maladies chroniques
- Permettre de reprendre goût à une activité simple, remotiver, (re) prendre confiance en soi
- Rendre les participants acteurs de leur santé
- Permettre de retrouver un bon niveau de condition physique au travers d’une activité régulière
- Instaurer une démarche volontaire facilitant une réinsertion dans la vie active (objectifs)
- Encourager la pratique individuelle en dehors des séances au CS
- Favoriser les rencontres et le lien social au sein du groupe de participants
- Changer quelques habitudes alimentaires grâce aux « fiches minutes nutrition » et aux ateliers « hydratation »
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
2 cycles : de mars à juin et de septembre à décembre
- 18 séances de cours collectifs hebdomadaires par cycle
- 1h15 par séance
- En salle ou en extérieur
- Evaluation en début et fin de programme par des tests et questionnaires
- 1 séance d’essai et de découverte en début de programme
En complément :
- Tous les 15 jours présentation d’une “fiche minute nutrition” (9 fiches)
- Une séance “hydratation” en fin de programme (confection de boissons fraiches à base de fruits et de légumes frais fournis par l’animatrice)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget 2 559 €
- 2 cycles de séances : 2385 €
- 9 fiches minutes nutrition : 144 €
- Séance hydratation : 15 €
- Adhésion SIEL BLEU : 15 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
42 personnes ont fréquenté cette activité.
L’orientation était faite par les partenaires suivants :
- Entreprises de service à la personne “Bouillotte et Chaudron”, Ariège Assistance
- CCAS
- Association L’ÂGE D’OLMES
- CLIC
- Associations caritatives
- Groupe d’alphabétisation UDAF 09
- Association PATCHWORK
- CIAS et les structures de la petite enfance de Lavelanet
- Centre Local DSD
- CMP
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
¾ du public accueilli pour cette activité ne fréquentait pas auparavant le centre social.
Le bouche à oreille a bien fonctionné, a permis d’élargir le public et de faire connaître les autres activités.
- Résultat pour les habitants
Accéder à une activité physique adaptée par un professionnel gratuitement
Permettre des rencontres, des échanges entre différents publics.
- Suite de l'action : Limites
le coût
- Suite de l'action : Perspectives
Renouvellement de l’action pour le premier semestre 2023
En complément, mise en place à la demande des participants d’ateliers de sophrologie.
Actions
DISPOSITIF PANIERS SUSPENDU - ACCESSIBILITE ALIMENTAIRE - LA BIO POUR TOUS
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Santé
- Précarité
- Résumé
La bio pour tous est un programme lancé en juin 2022 ayant pour objectif la lutte contre la précarité alimentaire, via une a expérimentation dans le Couserans en Ariège et qui se compose de 2 actions complémentaires :
- des « paniers suspendus » : l'appui pour un accès à la bio dans les magasins Biocoop via une caisse de solidarité portée par la Croix Rouge.
- des ateliers d’information et de sensibilisation pour une autre alimentation
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Permettre à tous les habitants d’accéder à une alimentation de qualité et choisie ;
Construire une gouvernance territoriale agroécologique et alimentaire (sensibilisation en amont).
Cette action permet par ailleurs de contribuer à appuyer la structuration d’un approvisionnement durable et résilient.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Inspirés d’une expérience menée par le GAB65 et ses partenaires, depuis de nombreuses années, le Centre social CAF et ses partenaires Bio Ariège Garonne (BAG), Croix Rouge, MSA MP, Biocoop de St Girons) ont lancé une démarche de paniers suspendus fin 2021 sur le secteur de St Girons. A la différence des paniers solidaires (expériementation menés en 2020/2021 dans le contexte sanitaire du COVID), ces paniers sont financés par des « dons » de consommateurs (qui alimentent une caisse de solidarité portée par la Croix Rouge). Ils permettent aux foyers le souhaitant de bénéficier d’un avoir ou réduction sur un panier alimentaire de son choix en magasin Biocoop de manière anonyme (passage en caisse sans remise de chèques ou bons alimentaires spécifiques).
Le magasin Biocoop de Saint Girons a mis en place les paniers suspendus. Cela consiste à appliquer une remise pour des foyers bénéficiaires, leur permettant un accès à la bio indépendamment de leur niveau de vie. Ces familles ont eu l’information sur le dispositif via la CAF, la MSA, la Croix Rouge ou en participant à des activités du défi foyers à alimentation positive porté par Bio Ariège Garonne (BAG). Pour rendre possible la mise en place de ce dispositif, une caisse de solidarité, portée par la Croix Rouge est mise en place et alimentée par plusieurs moyens au sein du magasin.
Les produits solidaires (10 tous les mois) sont majorés pour alimenter directement la caisse de solidarité.
Comment ça marche ?
1/ les structures sociales partenaires vont informer des foyers/personnes de la possibilité de ce dispositif.
2/ La famille/personne bénéficiaire se rend en magasin Biocoop et fait ses courses, simplement.
3/ En caisse, sur la base du compte-client nominatif possible pour chaque client, une remise lui est appliquée : -50% dans la limite de 60€ d'achats par mois. Les 50% restants sont financés par la caisse de solidarité et ses 3 composants :
La participation du magasin Biocoop qui fait un don de 9€ par bénéficiaire.
Le don solidaire qui peut se faire spontanément en caisse.
Des ateliers collectifs :
Proposés par le centre social de la CAF et co-animés par la MSA MPS type "Défis Foyers A Alimentation Positive". Ces ateliers proposés par Bio Ariège Garonne permettent un accompagnement gratuit sur une année pour mieux maitriser ses achats bio locaux dans un budget restreint avec des visites de ferme, de points de vente, des ateliers cuisine, diététique, ateliers/débats… Ils sont cycliquement organisés au centre social depuis 2019.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Depuis octobre 2022, l'expérimentation sur 5 foyers est autofinancée par la caisse de solidarité créée et abondé par la Biocoop via la marge encaissée sur les produits solidaires. Les partenaires sont mis à disposition, Bio Ariège Garonne est financé par une subvention de la Région Occitanie.
Une extantion de l'expérimentation est envisagée fin 2023, les dépenses envisagées comprendront :
- Une dotation pour alimenter la caisse alimentaire pour 30 paniers en 2023
Pour 30 paniers, besoin = 30 euros*12mois*30 personnes=10 800 €
Contributions visées :
❖ Biocoop : 1080 €
❖ Caisse (dons consommateurs) = 120*12=1440 €
❖ CAF/mairie/communauté de communes/Croix Rouge/ fondation=8280 €
- Un financement de l'ingénierie de projet : animation du copil, mise en œuvre des animations magasins et des ateliers collectifs pour les consommateurs - le financement ici concerne les actions de BAG (dossier déposé à la fondation CARASSO, à la Région), les autres acteurs seront également impliqués dans cette mise en œuvre mais dans le cadre de mise à disposition de personnel.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels
- Résultat sur le territoire
En Ariège et plus particulièrement en Couserans, de plus en plus de personnes portent les valeurs d’une démocratie alimentaire qui permettrait de défendre une notion de droit à l’alimentation. Ces questions sont d’autant plus marquées que :
La précarité y est forte (9.2% de taux de chômage et 18% de taux de pauvreté contre respectivement 7.3% et 15.1% au niveau national – INSEE 2022).
Les systèmes agricoles alternatifs y sont fortement développés (29% des fermes en bio en Ariège en 2021 – contre 13.4% au niveau Français – Agence bio 2022 et 34% contre 25% au niveau national développent la vente directe).
Dans ce contexte, en Ariège depuis 2019, le centre social aux côtés de différents partenaires du territoire : producteurs, distributeurs, structures sociales et d’aide alimentaire (MSA MPS, CAF, Croix Rouge), institutionnels (PNR PA et collectivités locales), chercheurs (INRAE/ISTHIAH), associations (tiers-lieu ORRIS) portent des actions visant une construction locale de l’accès à tous les habitants à une alimentation choisie contribuant au déploiement d’un système agricole durable et résilient.
- Résultat pour le centre social
- Rencontre de nouveaux publics qui pourront se saisir des autres propositions d'activité du centre social.
- Consolidation et dynamisation d'un partenariat varié.
- Résultat pour les habitants
- Atteindre un volume de 30 paniers suspendus sur l’année 2023 (30 foyers sur un an à raison d’un panier de 60 euros- remise de 30 euros/mois) ;
- Poursuivre les animations magasins/sensibilisation pour les dons consommateurs : 3 animations/an ;
- Mettre en place des actions d’accompagnement sur les adaptations des pratiques alimentaires, la prise en main des enjeux de la transition par les foyers bénéficiaires : ces actions seront pensées à la croisée entre les dispositifs défi FAAP et les autres expériences d’ateliers mis en place notamment par les acteurs sociaux. Le projet sera de proposer un cycle de 5 ateliers/an aux foyers participants en lien avec leurs besoins (visite de ferme, de marché, projection de film sur les enjeux, atelier cuisine, atelier diététique, etc…).
- Suite de l'action : Limites
- Implication des partenaires, du public.
- Obtention des financements.
- Suite de l'action : Perspectives
Pour les différentes actions présentées ci-dessous, une première phase concernera le déploiement du dispositif « paniers suspendus » tel qu’expérimenté en 2022 sur l’année 2023. Une deuxième phase visera son « ouverture » vers un système intégrant la participation des habitants, s’ouvrant à davantage de publics et visant d’autres lieux d’achat – vers un dispositif s’inspirant de la SSA (Sécurité Sociale de l’Alimentation). Ces actions seront travaillées en étroit lien avec les partenaires de développement et de la recherche au niveau régional (sus-mentionnés) afin de s’inspirer d’actions engagées sur d’autres territoires notamment…