Les actions des centres sociaux
Actions
Permanence d'aide administrative
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Précarité
- Résumé
Une permanence d'accueil ouverte à tous, permet l'écoute et la compréhension des actes à réaliser pour faciliter une réponse pratique à des problématiques diverses (ex :demande de logement social, demande d'aide juridictionnelle, demande d'allocation, courrier avocat, orientation des structures spécialisées, obtention d'un rendez-vous auprès d'un travailleur social, information sur des dispositifs d'aide...).
Cette permanence accueille les habitants sans rendez-vous sur plusieurs quartiers de la Ville d'Angers. Elle est encadrée par un agent de formation juridique avec de l'expérience. En 2014, 1342 entretiens ont été réalisés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La ville d'Angers accueillant de nombreuses personnes issues de l'immigration, logées dans des quartiers de logement sociaux (quartiers en Politique de la Ville notamment) très touchés par la crise, économique et sociale, il est devenu nécessaire d'accompagner les habitants à travers un service d'accueil de proximité.
Cette action permet de soutenir les services institutionnels en proposant aux usagers de ces services un déchiffrage des formulaires ou des démarches nécessaire pour leur permettre d'accéder à leurs droits et apporter des réponses pratiques à leurs problématiques personnelles afin de faciliter leur intégration sociale.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a été mise en oeuvre en 2011 suite à la réflexion des partenaires institutionnels (CAF, Conseil Départemental, Préfecture, Commune, Centre Social). Ces partenaires se retrouvent deux fois par an au sein d'un Comité de Pilotage de l'action pour accompagner sont développement et sa pérennisation.
La réussite de l'action a été possible par le profil et l'expérience du titulaire du poste et par la qualité des relations avec les partenaires.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le coût des permanences d'aide administrative est principalement le coût du salarié en charge des permanences soit 33.000 € dont 25.000 € financés par la Politique de la Ville (Commune, CAF, Conseil Départemental).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnel
- Résultat sur le territoire
Dimension de facilitateur inter-services auprès des partenaires, rôle de médiation en plus des activités de production d’écrits, informations et orientations. Souplesse de la saisine des permanences grâce à leur situation géographique et à l’accès sans rendez-vous qui permet une auto-régulation et un report le cas échéant sur les autres sites.
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance par les habitants de la qualité du service apporté.
Intérêt de la mutualisation de compétences au sein des Maisons de quartier au profit des habitants conformément à leurs missions en particulier pour celles qii sont agrées « Centre social ».
- Résultat pour les habitants
Les permanences ont permis de répondre aux besoins exprimés et aux personnes de trouver une réponse a leurs préoccupations: déblocage de situations administratives et de la vie courante, obtention de droits suite à la constitution de dossier et l'exercice de recours. Renforcement de l'autonomie du public. Amélioration de la compréhension des situations : 75% des habitants qui fréquentent les permanences ont une autonomie faible ou très faible. Beaucoup cumul des difficultés subies : insuffisante maîtrise de la langue (écrit, lecture), compréhension insuffisante des situations personnelles, difficultés financières sévères.
Les permanences participent à une meilleuire cohésion sociale sur le quartier.
- Suite de l'action : Limites
Cette action est financée uniquement sur les subventions de la Politique de la Ville.
- Suite de l'action : Perspectives
Recherche de financement pour la péreniisation de la l'action.
Actions
Local jeunes 16/25 ans : un lieu de sociabilité pour tous les jeunes adultes
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Le local jeunes est un espace implanté en dehors de toute institution pour accueillir les jeunes adultes de 16 à 25 ans dans un quartier populaire où un tiers de la population vit sous le seuil de pauvreté. Il est ouvert du mardi au samedi en périodes scolaires et du lundi au vendredi en périodes de vacances scolaires de 17h00 à 22h00. Le local jeunes est un espace aménagé pour bien accueillir les jeunes (bar, canapé, baby-foot, jeux de société) qui s'adapte au temps des jeunes (ouverture encore plus tardive en fonction des demandes).
L'équipe d'animation composée de trois professionnels met en place un service d’aide : documentation, mise en relation avec des institutions et des partenaires, aide à la recherche d’emploi, de stage, de formation, ou d’orientation.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le projet du Local jeunes s'inscrit dans un projet de développement local, complémentaire et cohérent avec l’offre existante :
- Favoriser la mixité entre jeunes (sociale et de genre)
- Promouvoir la participation des jeunes
- Capter des publics « NEET »/«hors-circuit » dans le but de les inscrire dans des parcours d’insertion sociale et professionnelle en lien avec les différents acteurs jeunesse
La commande de la Ville exprime, dans le cahier des charges, cet objectif d’accueil en lui attribuant trois modalités opérationnelles :
- « Être ouvert aux différentes jeunesses du quartier.
- Leur permettre de se rencontrer de façon informelle.
- Être adapté aux temps des jeunes. L’accueil doit être souple, sans inscription obligatoire, il doit être organisé en fonction des besoins et réalités locales. »
A ces trois modalités de mise en œuvre du local jeunes, s’ajoute la recherche de visibilité dans la mesure où il s’agit aussi de remettre les jeunes au cœur du quartier. Le Local jeunes a ainsi été implanté le long d'une artère de communication importante. Le lieu a vocation à accueillir tous les jeunes du quartier, sans exception, dans une optique d’« espace de sociabilité ».
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
A l’été 2009, un appel à projet dans le cadre d’un marché public à procédure adapté (MAPA) a été lancé par la Municipalité en vue d’en confier la gestion et l’animation à un opérateur. La Maison pour tous de Monplaisir (MPTM) a répondu à l'appel à projet et s’est vue confier la gestion et l’animation de ce nouveau lieu.
Le local jeunes a officiellement ouvert ses portes en novembre 2010 pour une expérimentation d’un an. Il a ensuite été reconduit dans sa phase expérimentale. En 2016, à la fin de la phase expérimentale, la gestion du local jeunes a été intégré à la Covention Pluriannuelle d'Objectifs de la Maison pour tous.
Le local jeunes est doté de deux instances de gouvernance : l’une chargé du pilotage du projet et l’autre du suivi de sa mise en œuvre. Le comité de pilotage réunit les élus de la Ville et de la Maison pour tous. Il a pour a pour objectif de faire le bilan de l’activité du local, prendre des décisions quant à ses orientations et son financement et opérer, le cas échéant, des arbitrages. Le comité technique représente l’instance opérationnelle de la mise en œuvre du projet du local jeunes. Il a pour objectif le suivi et la régulation des activités qui y sont menées. Le comité technique réunit les acteurs suivants : Maison pour tous, Direction jeunesse de la Ville, Association pour la Sauvegarde de l’enfance et l’Adolescence (ASEA), le chef de projet du pôle de territoire de la Ville, la Mission Locale Angevine (MLA). Dans cette instance, les animateurs proposent un retour de leur activité et de leur expérience, présentent ce qui pose question ou problème et le mettent en débat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
100.200 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (Conseiller ESF, Moniteur-éducateur, animateur socio-culturel)
- Résultat sur le territoire
Les 180 jeunes qui fréquentent le local durant l'année sont majoritairement des garçons âgés de 16 à 22 ans. Près d'un tiers de ces jeunes sont des jeunes "hors-circuit". Les filles sont très marginales. Nombreux sont les témoignages recueillies au niveau de l’évaluation pour faire part de la baisse des tensions dans les espaces publics, aujourd’hui plus apaisé grâce au local jeunes.
- Résultat pour le centre social
Le local jeunes a permi à la Maison pour tous d'élargir son offre et de retisser du lien avec un public de jeunes adultes. Elle peut désormais intégrer des jeunes adultes aux activités intergénérationnelles qu'elle mène sur le territoire.
- Résultat pour les habitants
Les jeunes qui le fréquentent l’apprécient avant tout en tant que lieu de sociabilité avec différents « services » : café, baby foot, télé, presse. La présence des animateurs leur offre un repère et donne parfois du sens à leur présence :
« C’est comme un petit café où on est posé. On peut discuter, s’amuser, c’est une zone de rencontre. Ici, ce qu’il y a de plus, c’est le dialogue avec les animateurs, on peut même échanger entre nous, on fait des débats. Ici, on a l’esprit ouvert : on discute, on échange des idées. » (Jeune de 22 ans).
Les jeunes utilisent également l'appui des animateurs pour un soutien dans leurs parcours scolaires ou professionnels.
- Suite de l'action : Limites
Depuis plusieurs années, aux côtés des formes traditionnelles d’accueil (dans le cadre d’actions programmées), on constate une montée en charge progressive de nouveaux modes d’accueil : non formels, informels. Aujourd'hui, le non formel est quasi intégré comme un mode d'intervention au cœur des pratiques du Local jeunes mais le projet éducatif dans lequel il s'inscrit est encore à faire évoluer.
- Suite de l'action : Perspectives
La configuration des locaux pose quelques problèmes et ne facilite pas toujours la tâche des animateurs au quotidien. Dans cette perspective, et en s'appuyant sur l'expertise d'usage de la Maison pour tous, un nouveau lieu d'accueil est envisagé dans le cadre de la rénovation urbaine du quartier.
Actions
Prévenir l'implication des plus jeunes dans les trafics
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Une recherche-action a été réalisée à la demande du groupe Jeunesse du quartier de Monplaisir d’Angers constitué depuis 2007 à l’initiative de la Maison pour tous (MPT) et de l’Association pour la sauvegarde de l’enfance et de l’adolescence (ASEA). Une demande qui relaie les questionnements des professionnels qui interviennent auprès de jeunes impliqués dans le trafic de drogues : comment établir un climat de confiance avec eux sans que cela soit perçue comme une forme d’acceptation du trafic ? Quelle part peut prendre la prévention ? Cette recherche-action a produit une lecture plus fine du trafic de drogues et a permis de construire un cadre éthique d’intervention qui permette aux professionnels de la proximité d’être mieux aidants vis-à-vis de ces jeunes, et de leur proposer des alternatives fortes et crédibles. Elle s’inscrit dans le cadre d’une sociologie clinique du travail qui repose sur le principe de la coopération entre chercheurs et professionnels sur le terrain même de la production des connaissances afin de gagner en puissance d’agir individuelle et collective. Les participants inscrivent leur activité professionnelle dans des champs divers (EN, TS, animation, insertion, médiation, justice), travaillent dans des cadres institutionnels divers (ASEA, SAEMO, MPT, MDS, Ville, régie de quartier, école élémentaire, collèges, lycées, Mission locale et PJJ), rencontrent les jeunes à différents moments de leur parcours dans le trafic. Ils ont en commun d’être déstabilisés dans leur pratique par l’irruption de ce trafic et surtout un positionnement éthique, le fait de ne pas s’en accommoder. Chacun a pu s’autoriser à poser une parole authentique parce qu’il savait que les autres partageaient des difficultés semblables aux siennes mais aussi parce qu’il était conscient de ce qu’il pouvait apprendre en échangeant avec eux sur les pratiques et les positionnements.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
La démarche ici proposée s’inscrit dans le cadre d’une sociologie clinique du travail qui repose sur le principe de la co-construction des savoirs, de la coopération entre chercheurs et professionnels sur le terrain même de la production des connaissances ; cela, afin de gagner en puissance d’agir individuelle et collective.
L’entretien collectif répété avec retour a constitué l’outil privilégié. Le fait de répéter les rencontres permet de créer la confiance nécessaire à la mise en oeuvre d’une démarche reposant d’abord sur la prise de parole. Le fait de faire retour entre deux séances de travail aux participants de ce qu’ils ont dit et des mises en perspectives et analyses des chercheurs favorise leurs postures réflexives.Le volontariat et l’engagement de ne pas sortir du groupe ce qui s’y dit sans l’accord de tous ont constitué ses principales règles. Leur respect a conditionné sa poursuite.
Enfin, la composition du groupe est décisive. Les participants inscrivent en effet leur activité professionnelle dans des champs divers comme ceux de l’Education nationale, du travail social,de l’animation, de l’insertion, de la médiation, de la justice… Ils appartiennent à des culturesprofessionnelles différentes et notamment à des cultures éducatives différentes (Education nationale, Education spécialisée, Education populaire…). Ils travaillent dans des cadres
institutionnels divers : l’Association de sauvegarde de l’enfance (ASEA49) ; Maison pour tous (MPT) de Monplaisir ; Maison départementale des solidarités (MDS) ; Ville ; régie de quartier ;école élémentaire Voltaire ; collège Jean Lurçat ; lycée (Henri Dunant, Emmanuel Mounier), Mission locale et PJJ… Ils rencontrent les jeunes à différents moments de leur parcours dans le trafic. Certains les rencontrent alors même qu’ils n’y sont pas engagés mais courent le risque de l’être ; d’autres dès leurs premiers pas en tant que guetteurs ; d’autres, encore, alors qu’ils y sont installés en tant que revendeurs, parfois même enkystés ; d’autres, enfin, alors qu’ils sont sous main de justice. Certains sont plutôt dans la prévention de l’implication dans le trafic ; d’autres
dans la réduction des risques ; d’autres, enfin, dans la prévention de la récidive. Mais ils ont tous en commun d’être déstabilisés dans leur pratique par l’irruption du trafic et surtout un positionnement éthique, le fait de ne pas s’en accommoder. Chaque professionnel, dans ce groupe, a pu s’autoriser à poser une parole toujours plus authentique parce qu’il savait que les autres partageaient des difficultés semblables aux siennes et exprimaient, comme lui, un fort désir de les surmonter mais aussi parce qu’il était conscient de tout ce qu’il pouvait découvrir et apprendre en échangeant avec eux sur les pratiques et les
positionnements. Le sens a ainsi cheminé au travers de tout ce qui, dans les paroles des uns et des autres, se faisait écho, entrait en résonnance, avait pouvoir d’évocation, donnait lieu à association d’idées.
La coordination de la recherche action a été assurée par la MPT Monplaisir et l’ASEA 49.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
MSAP - Accompagnement accès au droit
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL RIVES DE LOIRE - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Mise en place d'une Maison de Service Au Public au sein du centre socioculturel afin de développer l'accès au droit des habitants avec le développement de permanences de partenaires (CAF, CPAM, Mission Locale, CAP Emploi, conciliateur de justice, Stemo, MDS: assistante sociale et puériculturice, et autres partenaires); accompagnement des habitants dans les démarches administratives dématérialisées (cartes grises, permis de conduire etc...) mise en place d'initiation au numérique pour lutter contre la fracture numérique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Maintenir la présence de partenaires sur le territoire, favoriser l'arrivée de nouveaux partenaires permettant de proposer une offre globale d'accès au droit pour les habitants du territoire
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Prise de contact avec tous les partenaires possibles pour déterminer avec eux les formes de partenariats et d'interventions possibles.
Etude avec la Préfecture de l'éligibilité du territoire à la création d'une MSAP.
Présentation au conseil municipa du projet
Demande de reconnaissance de MSAP effectuée auprès de la Préfecture.
Formation des salariées du centre par les partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
43700 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariées du centre ont été formées par les parenaires pour donner un premier niveau de réponses aux habitants
- Résultat sur le territoire
Maintient et développement de nouvelles permanences de partenaires sur le territoire dans les locaux du centre. Cela permet une offre globale de services pour les habitants
- Résultat pour le centre social
Augmentation forte de la fréquentation du centre. Accueil d'un nouveau public qui ne serait pas forcément venu au centre autrement.
- Résultat pour les habitants
Un ensemble de services accessibles aux habitants regroupés dans un lieu unique.
- Suite de l'action : Limites
le nombre de services proposés, les compétences à acquérir par les salariés dans des domaines très divers (de la carte grise au dossier d'inscription en Ehpad); des inconnus sur la pérennité et le montant des financements de l'Etat;
- Suite de l'action : Perspectives
Proposer des permanences sur rdv de la MSAP dans les différentes communes du territoire pour accompagner les habitants
Actions
Terrain d'aventure
- Structure organisatrice
- CENTRE JACQUES TATI - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
Le Terrain d'Aventure est un lieu d'accueil libre, ce qui signifie sans inscription et qui donne la liberté à
l'enfant de venir idéalement lorsqu'il le souhaite. A travers des activités telles que la construction, la
réalisation d'un jardin potager, la création dans des ateliers divers (bois, récupération, terre), l'enfant
développera des notions de respect à l'environnement, de socialisation, de citoyenneté, de solidarité et
d'autonomie.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet est né en 2018, avec une première réflexion et expérimentation, à partir de plusieurs constats
sur le quartier. Une première phase de test de 5 jours a été programmée fin juillet 2018. Durant tout le
mois de juillet, des salariés de différents secteurs du Centre Jacques Tati et des CEMEA ont préparé
cette semaine d’expérimentation. Le projet a véritablement vu le jour en 2019 avec l'accueil du terrain
d'aventure sur une durée d'un mois et demi, avec plus de 1000 fréquentations du lieu. Le projet a été très
bien accueilli par les habitants et les objectifs pédagogiques ont été remplis. Ces constats positifs ont
amené à une volonté de poursuivre le projet en 2020.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
55000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels, 10 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Tiers lieu numérique
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL HORIZON - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
La finalité du projet consiste en la création d’un « tiers lieu » dédié au numérique de type « Fablab ». Celui-ci s’étalera sur l’ensemble du projet social 2021/2024.
Un « tiers lieu » est un espace convivial où les habitants peuvent se rencontrer, se réunir, échanger de façon informelle. Il permet l’expression de la solidarité, le partage libre de ressources, de compétences et de savoirs et est source d’innovations sociales. Celui que nous souhaitons mettre en place sera essentiellement tourné vers le numérique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Le numérique prend aujourd’hui une place de plus en plus centrale dans l’organisation et la transformation de la société. Cette « transition numérique » est perçue comme une opportunité de développer de nouveaux outils au service de tous. Cependant le numérique peut-être facteur d’exclusion s’il y a une absence d’accompagnement dans les usages. On évalue en France que 13 millions de personnes rencontrent des difficultés avec le numérique.
- Cette « transition du numérique » est accélérée par l’ambition gouvernementale d’une dématérialisation à 100% des démarches administratives à l’horizon 2022. Cette échéance donne un coup d’accélération à la nécessité d’une médiation numérique pour accompagner tous les individus dans ce nouveau modèle de société.
- La fracture numérique se mesure tant d’un point de vue de l’outil, que de l’usage. Il ne suffit pas de pouvoir se payer un ordinateur et une connexion internet, mais aussi d’être capable de s’en servir.
- L’utilisation d’Internet révolutionne notre mode de fonctionnement quotidien, les moyens de communiquer, les liens sociaux. Il en découle des questions de prévention : quelles sont limites, comment utiliser les applications Internet de façon lucide, à partir de quand passe-t-on trop de temps devant les écrans… ? Ces questions se posent principalement pour le jeune public.
- La fracture numérique entraine l’exclusion sociale. Faire ses démarches administratives, inscrire ses enfants à des activités sportives, payer la cantine scolaire…avec la multiplication des démarches en ligne et la dématérialisation des services publics, avoir accès à internet est indispensable. Pourtant les freins sont nombreux et pour beaucoup de personnes, la barrière de la langue pour les personnes d’origine étrangère, l’âge, la situation économique, sont autant de facteurs discriminants.
- Le confinement que nous venons de vivre récemment, démontre l’importance du numérique dans la communication avec nos proches, mais également avec les institutions.
- Nous avons régulièrement des demandes d’habitants pour leurs démarches administratives, faire un CV, imprimer des documents reçus depuis leur smartphone.
- Les seniors qui fréquentent le Centre Social sont très demandeurs pour apprendre à utiliser leur ordinateur. Comment envoyer des mails, comment envoyer ou lire les photos envoyées par la famille, comment naviguer sur le net… ? Ils ont également certaines appréhensions avec l’outil numérique, peur de se faire pirater, peur de ne pas savoir l’utiliser correctement.
- Les enfants que nous accueillons dans le cadre du CLAS notamment ne sont pas tous équipés d’ordinateurs à la maison. Cela creuse les inégalités et l’accès à l’apprentissage.
- Les familles qui fréquentent le Centre Social exprime ne pas être à l’aise avec l’informatique. Les causes les plus souvent exprimées :
La méconnaissance de l’informatique, la complexité des sites : les sites qui se ressemblent (j’ai des difficultés à trouver le bon site), les mots de passe pour chaque compte, le blocage des comptes, la difficulté des tâches numériques, peur de perdre le réseau, ne pas avoir le bon matériel numérique, ne pas avoir un outil informatique, ne pas maîtriser la longue française, le langage administratif est difficile.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Dans un premier temps, nous allons mettre en place une quinzaine autour du numérique pour sensibiliser nos différents publics (enfants, jeunes familles, seniors) à l’usage numérique. Celle-ci est programmée en avril 2021 soit une semaine avant les vacances scolaires de printemps et la première des vacances. Cela dans le but de pouvoir travailler en amont avec les écoles et pour donner envie aux familles de venir sur la deuxième semaine.
Tout au long de ces deux semaines, nous allons proposer différents ateliers de découverte des soirées débats, des conférences, dont les contenus sont encore en cours d’élaboration. Ce projet est travaillé conjointement avec les Centres Sociaux Pasteur et le Verger de Cholet.
Quelques exemples toutefois d’ateliers que nous pourrions proposer :
-
- Accès aux droits et démarches administratives
- Découverte de l’outil numérique
- Découverte des logiciels libres
- Découverte des métiers liés au numérique
- Modélisation 3D
- Imprimante 3D
- Casques de réalité virtuelle
- Robotique
- Logiciels libres
- Brodeuse numérique
- Découpe laser
- Visite culturelle virtuelle
- Jeux vidéo
- Vidéo/audiovisuel
- Effets spéciaux
- Codage
- Liseuses numériques
- Conférences/débats…
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
en cours
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié médiateur numérique
Une commission numérique composée de 5 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Réduction de la fracture numérique
Développement des liens sociaux sur le quartier
- Résultat pour le centre social
Placer le Centre Social comme un acteur incontournable dans l'accompagnment des publics vers le numérique
- Résultat pour les habitants
Avoir un lieu ressources pour les démarches adminstratives et l'accès au numérique
- Suite de l'action : Limites
Pérennité des financments pour le poste du salarié
- Suite de l'action : Perspectives
Inscrire l'action dans la durée
Actions
DEMOS
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JEAN VILAR ANGERS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
DEMOS est un projet de démocratisation culturelle centrée sur la pratique musicale en orchestre
Le projet s’adresse à des enfants de 7 à 12 ans habitant en QPV
Chaque enfant se voit confier durant 3 ans un instrument de musique
-Encadré par des professionnels de la musique (Conservatoire à Rayonnement Régionnal) et du champ social, (Réferente famille et animateur.rice famille du Centre Jean Vilar) il suit 3 à 4 heures de cours par semaine en moyenne
et retrouve une fois par mois les autres enfants du même territoire pour une répétition en orchestre (« tutti »)
-Un grand concert est organisé en fin d’année dans un lieu emblématique du territoire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Autre
- Précision ( si autre )
Philharmonie de Paris
Caisse d'allocation familiale du Maine et Loire
Les familles
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les impacts sociaux et familiaux
Le développement personnel de l’enfant:
Evolution de la relation des enfants aux apprentissages (capacité d’attention, concentration, goût de l’effort, rigueur et assiduité)
Confiance en soi (regards positifs portés par les familles, encadrement éducatif, valorisation des enfants)
Respect de l’autre (empathie au travers du vécu partagé, socialisation)
Le soutien à la parentalité et à la famille:
Les parents sont de véritables acteurs du projet > introduction de l’instrument à la maison
Approche sensible en permettant aux parents de venir à des ateliers
L'accompagnement de l'équipe famille du CJV
Repérer les enfants sans le filtre de la réussite scolaire mais plus en quoi cette dynamique d’ouverture culturelle peut prendre sens pour l’enfant et sa famille, aider l’enfant dans son parcours de vie, son inscription dans un groupe, partager une identité quartier avec les autres quartiers de la ville au titre d’un projet commun
-Faire le lien entre ce qui se passe dans les ateliers et la famille
- Faire de Démos un soutien à la fonction parentale
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Equipements majeurs du territoire, le Centre Social Jean Vilar est:
-par le pacte de coopération, les maisons de quartier/ La Ville/ La CAF reconnaissent:
Etre un acteur éducatif en complémentarité avec les autres acteurs de l’éducation et au premier rang desquels la famille
- en accompagnant les familles dans la fonction de parent, à travers les loisirs, l’action culturelle, en soutien à la parentalité,
- en faisant vivre l’éducation populaire dans sa dimension d’émancipation, en donnant les moyens à tous, tout au long de la vie, de s’épanouir et de vivre pleinement sa citoyenneté
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"Les canards du confinement"
- Structure organisatrice
- Maison Montesquieu (Centre social centre-ville) - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
A l’annonce du premier confinement le 16 mars 2020, La Maison Montesquieu s’est retrouvée fermée.
Equipe et bénévoles se sont alors questionnés pour inventer d’autres manières de maintenir le lien social entre les habitants du territoire.
Plusieurs initiatives ont vu le jour dans ce contexte qui reste, encore aujourd’hui, inédit :
- Plateforme téléphonique,
- Ateliers collectifs à distance,
- Initiatives solidaires et citoyennes : confection de masques, aide aux courses, entraide entre habitants, etc,
- Médiation et accompagnement numérique,
- Médiation éducative et accompagnement à la parentalité.
Les bénévoles de la Maison Montesquieu ont souhaité garder une trace de ce premier confinement, mais aussi de l’année 2020 et de l’évolution de la situation sanitaire.
Suite à un appel à contributions, une centaine de photos et de petits poèmes (appelés « haïkus ») ont été recueilli et mis en page sous forme de livrets en quatre volumes :
- « Le canard confiné »
- « Le canard déconfit »
- « Le canard retrouvé »
- « Le canard libéré »
A travers une démarche participative et citoyenne, ce travail de mémoire a été entièrement réalisé par les bénévoles du centre social. 10 d’entre eux se sont rencontrés à 9 reprises (dont parfois à distance) pour recueillir l’ensemble des photos et des poèmes, faire une sélection, réaliser la mise en page sur un logiciel libre, rédiger un dossier de demande de subvention auprès du Fond de Participation des Habitants, faire le lien avec l’imprimeur, etc.
Afin de conserver ce témoignage pour les générations futures, les quatre « canards du confinement » seront remis au pôle archives et mémoire de la Ville d’Agen à la Médiathèque Lacépède.
Le partenariat avec la Médiathèque Lacépède a également permis de proposer une exposition entièrement élaborée par les bénévoles intitulée « Le canard confiné s’expose ». Cette exposition sera itinérante dans différents lieux de la Ville d’Agen à partir du mois de mars 2021.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Immortaliser la période de confinement, dé confinement et reprise des activités sur le centre social,
- Créer une trace pérenne pour les générations futures sous forme de livrets, mais aussi sous forme d’exposition,
- Maintenir le lien entre habitants et avec la Maison Montesquieu
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Prise de vue de la ville lors du confinement et du dé confinement.
- Écritures de textes sur cette même période, avec découverte de Haïkus. Ceci a permis un certain nombre d’adhérents de rejoindre ce projet.
- Lancement d'un appel à contributions (photos + textes) via une plateforme numérique collaborative.
- Mise en page du journal au travers d’ateliers à distance (skype) puis lors des ateliers en présentiel.
- Mise à disposition du livret à l’ensemble des agenais et remise officielle aux archives municipales.
- Exposition à la médiathèque ouverte aussi à tous publics.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Coût total du projet "Canards du confinement" : 5 194€
Coût total du projet "Le canard confiné s'expose" : 2 269€
Action ayant bénéficié du soutien du Fond de participation des habitants à hauteur de 1 000€ et de la participation de la Direction de l'Action Culturelle de la Ville d'Agen à hauteur de 829€.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Equipe de la Maison Montesquieu : 1 directrice + 1 référente démarche participative et citoyenne
- 10 adhérents/bénévoles
- Direction de l'Action Culturelle de la Ville d'Agen : 1 directrice + 1 médiatrice
- Communication : 1 chargée de communication + 1 imprimeur
- Résultat sur le territoire
- Création d'un travail de mémoire collectif.
- Développement de partenariats culturels.
- Résultat pour le centre social
- Favoriser la visibilité du centre social.
- Résultat pour les habitants
- Maintien des liens sociaux en période de confinement.
- Valorisation de la place des habitants dans la réalisation d'un projet citoyen.
- Permettre l'échange et le dépôt de paroles face aux périodes vécues.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
L'exposition "Le canard confiné s'expose" a vocation a être itinérante sur l'ensemble du territoire d'intervention du centre social.
Différents acteurs du territoire souhaitent accueillir l'exposition : acteurs institutionnels, équipements culturels, associations locales, etc
Actions
Groupe de travail MOBILITE
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL Robert Doisneau - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- mobilité / transport
- Résumé
Le comité des usagers a réfléchi toute l'année 2017 autour de la thématique de la mobilité. Cette thématique est apparue comme une évidence au groupe et une envie de faire "bouger les choses" dans ce domaine a conduit 5 habitants à se mobiliser.
Une exposition sur les transports anciens, un questionnaire en direction des usagers du centre social, la participation aux assises départementales de la mobilité, la rencontre d'associations de co-voiturage ont conduit le groupe à l'élaboration d'une synthèse de réflexion qui a été présentée aux élus de la communauté de communes ainsiqu'à la participation à l'hackcélérathon Mobilité organisé par la Préfecture du Lot.
Le groupe travaille actuellement sur l'élaboration de solutions en lien avec la synthèse.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le travail mené a pour objectif de pouvoir être force de propositions et d'apporter aux élus une expertise de terrain sur cette problématique de la mobilité
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Echanges
Elaboration d'un questionnaire
Rédaction d'une synthèse
Travaux de recherche
Rencontre de partenaires
Participation à des rencontres d'intelligence collective
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 habitants
Directrice du centre social
- Résultat sur le territoire
Prise de conscience de la problématique par les élus
Valorisation du travail des habitants par les institutions (Préfecture,..)
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance du travail de mobilisation des habitants et d'expertise du centre social
- Résultat pour les habitants
Valorisation des compétences et des savoir-faire
- Suite de l'action : Limites
Risque que les habitants ne puissent pas faire aboutir leurs propositions, qu'ils ne soient pas entendus et impliqués dans les décisions
- Suite de l'action : Perspectives
Mise en oeuvre de propositions
Actions
SERVICE DE CO-VOITURAGE LOCAL et SOLIDAIRE
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL Robert Doisneau - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- mobilité / transport
- développement durable
- Résumé
Depuis 2017, le comité des usagers du centre social et culturel travaille sur la question de la moblité. En 2018, après différentes réunions, rencontres et échanges, le comité a été sollicité par la Préfecture pour expérimenter en 2019 un service de co-voiturage solidaire.
Le centre social et culturel R. Doisneau expérimente, en partenariat avec la Préfecture du Lot et la Fédération ECOSYST’M, à partir du mois de mai et jusqu’à la fin de l’année 2019 un dispositif de co-voiturage local adossé à une monnaie locale.
Contrairement aux systèmes de co-voiturage classique, Ecosyst’m donne accès au service de co-voiturage sur des trajets de courte et moyenne distance ponctuels ou réguliers. Ce service n’a pas été conçu à des fins lucratives mais dans un esprit de citoyenneté active. Ce mode de co-voiturage évite toute transaction financière entre co-voitureur et co-voituré par l’usage de fichets kilométriques d’une valeur de 5 cts du km et la mise en place d’une monnaie locale le « Cauvaldor ». Cette dernière sera utilisée pour bénéficier des services payants du centre social et culturel R. Doisneau (cinéma, ateliers cyberbase, sorties,…).
Vous souhaitez participer activement à une mobilité durable, vous avez des difficultés pour vous déplacer, vous cherchez à partager vos déplacements ou avez envie de rendre service, n’hésitez plus et devenez « Ecosyst’m ».
Si vous souhaitez être conducteur ou passager ou même les deux rien de plus simple, rendez-vous dans votre centre social et culturel à Biars sur Cère pour vous informer et vous inscrire. Il suffit de remplir une fiche d’inscription, signer le pacte de co-voiturage et fournir les justificatifs nécessaires (permis, assurance,…)
En adhérant à ce dispositif soutenu par votre collectivité CAUVALDOR, vous participez donc activement à une mobilité éco-durable favorisant la vie sociale et l'entraide solidaire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action portée par des habitants a pour objectif premier de pouvoir apporter une des réponses posibles à la mobilité :
- Favoriser les déplacements pour les personnes les plus en difficulté et isolées
- Développer de la solidarité dans la mobilité : créer un réseau local de co-voiturage
- Mettre en oeuvre un projet ascendant : impulser une dynamique participative en croisant des démarches d'habitants avec des décisions politiques d'élus
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Le comité des usagers travaille depuis 2017 sur cette thématique. Depuis 2 ans, le groupe s'est réunit à plusieurs reprises, à participer à différentes rencontres (assises départementales de la mobilité, hackélératon Mobilité,...) et à mener une enquête afin d'affiner cette problématique au niveau de notre territoire. Une étude (diagnostic et propositions) a été réalisée et présentée aux élus. La Préfecture a sollicité en parallèle le centre social pour expérimenter un dispositif inoovant de co-voiturage qui correspondait aux besoins soulevés par l'étude.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
La Préfecture prend en charge l'adhésion à la fédération Ecosyst'm
La collectivité CAUVALDOR prend en charge les copies (affiches, tracts,...) et finance les postes des agents du centre social engagés dans l'expérimentation (la directrice du CS animatrice du comité des usagers, l'agent d'accueil)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnels du CS = la directrice et l'agent d'accueil
L'équipe (10 professionnels) est mobilsée pour diffuser l'information auprès des usagers de chaque service
5 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Apporter une solution à la problématique de la mobilité
- Développer une dynamique innovante solidaire et éco-responsable
- Résultat pour le centre social
- Renforcer sa visibilité et son impact sur le territoire
- Développer les partenariats
- Renforcer l'implication des usagers/habitants dans la vie du centre social
- Résultat pour les habitants
- Facilitation des déplacements et rupture de l'isolement
- Participation à une démarche citoyenne et éco-responsable
- Suite de l'action : Limites
Risque que la solution proposée ne soit pas adaptée au territoire et/ou aux besoins mais finalement cela permettra de pouvoir quand même d'avancer sur cette question
Une demande de déplacements supérieure à l'offre de déplacements et donc de ne pas pouvoir apporter les destinations demandées par les passagers
- Suite de l'action : Perspectives
Développer ce service à l'échelle de la Communauté de Communes (77 communes/47 400 habitants), multiplier les points relais et les sites acceptant la monnaie
Actions
Bienvenue ! Accueil de nouvelles populations en Ségala-Limargue
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION SEGALA LIMARGUE CENTRE SOCIAL LEYME-LACAPELLE MARIVAL - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Accompagnement à l'insertion sociale et professionnelle de familles réfugiées d'origine syrienne, accueillies courant 2018 par des communes du Ségala-Limargue dans le cadre du dispositif européen FAMI "Fonds Asile Migration et Intégration".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Autre
- Précision ( si autre )
L'Etat et les municipalités.
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Première année d'accompagnement réalisée par l'association nationale AURORE (sur appel d'offre).
- Relai progressif par le Centre Social Ségala-Limargue, acteur de proximité.
- En soutien des habitants bénévoles qui se sont constitués en équipes par commune.
- Accueil de nouvelles familles sur un territoire vieillissant et en perte de population.
- Dimension d'accueil solidaire et citoyen.
- Ouverture vers plus de tolérance envers la différence.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
- Accueil en 2018.
- Groupes de travail qui se réunissent régulièrement : Association AURORE - Centre Social - Travailleurs Sociaux du Département - Représentants des bénévoles - Elus municipaux - Madame la Sous-Préfète / Monsieur le Préfet - Services de la Préfecture.
- Passation AURORE => Centre Social début 2019.
- Accompagnement individuel des familles avec travailleurs sociaux du Département / CAF / CPAM / Pôle Emploi.
- Actions collectives d'insertion sociale via ateliers cuisine par exemple.
- Soutien à la parentalité / accueil en crèche / ALSH / RAM / Pratique Sportive, etc,...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
S'inscrit dans la mission "d'Animation Collective Familles" du Centre Social. Attribution de 0.5 ETP sur 2 ans (2019 et 2020) par la CAF 46.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 1 personne Conseillère ESF / 0.5 ETP.
- la direction ASL.
- la coordinatrice de projet ASL.
- Résultat sur le territoire
- Installation de nouvelles familles, avec de jeunes enfants et des enfants scolarisés.
- Une dynamique collective, globalement fédératrice.
- Résultat pour le centre social
S'inscrire plus encore dans ses missions auprès des acteurs du territoire : accompagnement des familles migrantes, soutien des équipes bénévoles, appui / conseils auprès des municipalités, interface / veille sociale, lien avec les services administratifs et de l'Etat, etc,...
- Résultat pour les habitants
- Ouverture culturelle / relations sociales / partage avec des personnes très éloignées dans leur culture et leurs vécus des repères habituels des habitants du territoire.
- Une communauté locale qui se soude autour de cet accueil solidaire.
- Quelques animosités qui se réveillent.
- Suite de l'action : Limites
- Complexité et lourdeur des démarches administratives pour l'accès aux droits des familles syriennes.
- L'invalidation des permis syriens par l'Etat Français est un frein majeur à la perennisation de l'installation de ces familles dans notre territoire rural où il n'y a pas d'organisation de transport en commun. Comment gérer l'emploi, la formation, la santé, la quotidienneté, etc,... ! Si on ne peut pas se déplacer de manière autonome ?
- La barrière de la langue pour les adultes : pas de possibilité d'apprentissage du français en proximité géographique.
- Suite de l'action : Perspectives
- Les mois à venir seront décisifs sur le maintien possible et sur le souhait ou non de ces familles à rester vivire dans le Ségala-Limargue, notamment par rapport à l'évolution de leur mobilité.
Actions
Bienvenue ! Accueil de nouvelles populations en Ségala-Limargue
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION SEGALA LIMARGUE CENTRE SOCIAL LATRONQUIERE SOUSCEYRAC - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Accompagnement à l'insertion sociale et professionnelle de familles réfugiées d'origine syrienne, accueillies courant 2018 par des communes du Ségala-Limargue, dans le cadre du dispositif européen FAMI "Fonds Asile Migration et Intégration".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Autre
- Précision ( si autre )
L'Etat et les municipalités.
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Première année d'accompagnement réalisée par l'association nationale AURORE (sur appel d'offre).
- Relai progressif par le Centre Social Ségala-Limargue, acteur de proximité.
- En soutien des habitants bénévoles qui se sont constitués en équipes par commune.
- Accueil de nouvelles familles sur un territoire vieillissant et en perte de population.
- Dimension d'accueil solidaire et citoyen.
- Ouverture vers plus de tolérance envers la différence.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
- Accueil en 2018.
- Groupes de travail qui se réunissent régulièrement : ,Association AURORE - Centre Social - Travailleurs Sociaux du Département - Représentants des bénévoles - Elus municipaux - Madame la Sous-Préfète / Monsieur le Préfet - Services de la Préfecture.
- Passation AURORE => Centre Social début 2019.
- Accompagnement individuel des familles avec travailleurs sociaux du Département / CAF / CPAM / Pôle Emploi.
- Actions collectives d'insertion sociale via ateliers cuisine par exemple.
- Soutien à la parentalité / accueil en crèche / ALSH / RAM / Pratique Sportive, etc,...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
S'inscrit dans la mission "d'Animation Collective Familles" du Centre Social. Attribution de 0.5 ETP sur 2 ans (2019 et 2020) par la CAF 46.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 1 personne Conseillère ESF / 0.5 ETP.
- la direction ASL
- la coordinatrice de projet ASL.
- Résultat sur le territoire
- Installation de nouvelles familles, avec de jeunes enfants et des enfants scolarisés.
- Une dynamique collective, globalement fédératrice.
- Résultat pour le centre social
S'inscrire plus encore dans ses missions auprès des acteurs du territoire : accompagnement des familles migrantes, soutien des équipes bénévoles, appui / conseils auprès des municipalités, interface / veille sociale, lien avec les services administratifs et de l'Etat, etc,...
- Résultat pour les habitants
- Ouverture culturelle / relations sociales / partage avec des personnes très éloignées dans leur culture et leurs vécus des repères habituels des habitants du territoire.
- Une communauté locale qui se soude autour de cet accueil solidaire.
- Quelques animosités qui se réveillent.
- Suite de l'action : Limites
- Complexité et lourdeur des démarches administratives pour l'accès aux droits des familles syriennes.
- L'invalidation des permis syriens par l'Etat Français est un frein majeur à la perennisation de l'installation de ces familles dans notre territoire rural où il n'y a pas d'organisation de transport en commun. Comment gérer l'emploi, la formation, la santé, la quotidienneté, etc,... ! Si on ne peut pas se déplacer de manière autonome ?
- La barrière de la langue pour les adultes : pas de possibilité d'apprentissage du français en proximité géographique.
- Suite de l'action : Perspectives
Les mois à venir seront décisifs sur le maintien possible et sur le souhait ou non de ces familles à rester vivre dans le Ségala-Limargue, notamment par rapport à l'évolution de leur mobilité.
Actions
ATELIER PETITS CHEFS
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION CENTRE TECHNICO SOCIAL CADURCIEN - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Santé
- développement durable
- Résumé
Les ateliers petits chefs ont lieu chaque mois et se déclinent en deux formules : une formule où l’on réalise un repas complet que l’on partage, bien souvent le samedi en période scolaire, ou lors des vacances scolaires en semaine, et une formule le mercredi après-midi en tant qu’action périscolaire pour les enfants qui ne bénéficient d’aucune activité en semaine.
L’idée étant de partager un moment autour de la confection d’un repas/ d’un goûter de saison tout en véhiculant des messages de prévention/santé et d’équilibre alimentaire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Depuis la réforme des rythmes scolaires, nous proposons des actions qui permettent de pratiquer une activité les mercredis après-midi. Les familles sont en demande d'action répondant à ce critère. Elles demandent également des actions dont l'application dans la vie quotidienne des enfants et adolescents est rapidement possible. Nous avons identifié des problématiques sur l'alimentation : surconsommation de sucrerie, peu d'enthousiasme à la découverte de nouvelles saveurs.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
En ce sens nous avions mis en place les ateliers petits chefs qui se déroulent de la manière suivante :
- Prise de contact + découverte de la recette sous forme de jeu
Les enfants/ adolescents doivent s’inscrire aux ateliers pour y participer. L’atelier débute toujours sous la forme d’un jeu. Nous présentons aux enfants différents ingrédients et regardons ensemble ce qu’il est possible de réaliser. Nous pouvons également faire deviner les ingrédients sous forme d’un mot croisé.
- Hygiène et sécurité
Les enfants doivent prendre conscience de l’absolue nécessité d’avoir une hygiène irréprochable en cuisine. Ainsi nous avons des consignes simples : S’attacher les cheveux, se laver les mains avant et régulièrement lors de manipulations, ne pas goûter les aliments avec les ustensiles communs ou avec ses doigts.
De même, il est important à chacune des séances de rappeler les règles de sécurité : ne pas jouer avec un couteau, ne pas toucher les surfaces chaudes (four, plaque de cuisson). Nous en profitons pour renouveler notre demande auprès des enfants, de toujours cuisiner en présence des parents et de ne jamais utiliser les outils de cuisson sans la supervision d’un adulte.
- Confection des plats
Les enfants ressentent une certaine liberté dans ces ateliers, car ils nous avouent bien souvent qu’au sein de leur foyer ils n’ont pas le droit de cuisiner mais sont plutôt affectés aux tâches ménagères comme : mettre la table, débarrasser la table…Aussi nous devons d’abord développer leur autonomie en leurs confiants des taches simples : éplucher des légumes, découper les légumes… Puis selon l’âge et le degré d’autonomie que nous évaluons, nous pouvons aller plus loin dans la démarche : cuisson des aliments notamment.
Nous enchainons ainsi les plats jusqu'à la réalisation de l’ensemble des plats prévus.
- Nettoyage et rangement
La cuisine est un vecteur pour la transmission de valeurs. Parmi celles-ci, il est important de garder à l’esprit qu’une cuisine doit être rangée et propre. Cela s’effectue entre chaque préparation ainsi qu’à la fin de la confection des plats avant de se mettre à table pour partager le repas ensemble.
- Installation de la table
L’installation de la table se fait par l’ensemble du groupe, chacun y prend part et contrairement aux idées reçues, les enfants adorent la mettre. Bien souvent ils sont impatients de goûter à leurs plats.
- Repas partagé :
Ces ateliers nous servent de supports pour faire passer des messages importants en terme d’équilibre alimentaire, et le fait de le faire sous forme d’atelier cuisine est plus parlant et plus ludique. De plus, le meilleur moyen d’adopter de bons réflexes et de découvrir le plaisir que l’on éprouve en goûtant.
L’équilibre alimentaire passe souvent par la découverte des légumes et autres plats peu sucré, salé, gras. Le fait de goûter un plat peut rendre l’enfant adepte.
Nous dialoguons avec eux sur leur manière de manger, de partager un repas, sur ce qu’ils aiment manger ou ce qu’ils n’aiment pas… Et bien souvent le fait de cuisiner, même un légume qu’ils n’apprécient pas en temps normal, les pousse à le manger ou du moins à le goûter.
À travers ces ateliers nous tentons également de faire découvrir aux enfants des produits de saisons, des manières de consommer qui peuvent être différentes de ce qu’ils ont l’habitude de consommer au quotidien au sein de leur famille, mais nous axons aussi ces ateliers sur le gaspillage, les économies d’eau, l’équilibre alimentaire. Tous ces thèmes sont abordés sous forme d’une discussion pendant le repas.
- Temps d’écriture de la recette, questions, échanges, jeux...
Après le repas, une fois la table débarrassée et la salle nettoyée, nous gardons un temps plus ou moins important pour retranscrire la recette. Les enfants doivent sous forme d’un jeu de mémoire retrouver tous les ingrédients et les méthodes utilisées afin de réaliser la recette. C’est aussi à ce moment que l’on peut éclaircir les points qui ne seraient pas bien compris.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 personnels du Centre Social
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Grâce à cette action, nous pouvons travailler avec les plus jeunes sur l’équilibre alimentaire et développer leur autonomie.
- Résultat pour les habitants
Ils acquièrent de l’expérience et au retour à la maison leurs parents les laissent plus ou moins refaire la recette qu’ils ont apprise. Les parents nous font régulièrement des retours sur la prise d’initiative de leurs enfants concernant les recettes qui réalisent de nouveau à la maison.
- Suite de l'action : Limites
La limite de l'action est le nombre de participants pouvant être accueillis.
- Suite de l'action : Perspectives
Redémarrage de l'action en cours après la période de COVID. De plus, nous tenterons d'impliquer les parents sur l'année à venir.
Actions
Les Jardins participatifs et collectifs des Peupliers, un lieu ou nous récoltons bien plus que ce que l'on sème.
- Structure organisatrice
- L'Escale. Centre Social et Culturel de Pradines - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action est terminée en tant que projet accompagné par le Centre Social et Culturel. Elle se poursuit maintenant sous la forme d'une association.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Environnement
- Mixité sociale
- Résumé
C'est le parcours remarquable d'habitants déterminés à voir naître des jardins participatifs sur leur commune. Convaincus des bienfaits du travail de la terre, de ce qu'il est porteur de lien au delà du rapport alimentaire d'une production respectueuse de l'environnement.
Cette expérience va mener une dizaine d'habitants à apprendre à construire un collectif, puis à rélaiser des actions dont le fruit sera la naissance d'une association, Les Jardins des peupliers.
C'est aujourd'hui un lieu de partage au bord des rives du Lot, qui invite au jardinage et la culture des lien humains.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le contexte:
Depuis le premier confinement, la commune de Pradines par l’action de son centre social et culturel l’Escale s’est positionnée pour poursuivre sa mission d’intérêt collectif tout en s’adaptant aux contraintes sanitaires. Dans un premier temps, ses actions se sont tournées en priorité vers les publics les plus fragiles et isolés. Le centre social et culturel a assuré la distribution du pain, l’acheminement des courses, le soutien à la parentalité, la médiation avec les jeunes… Au fil du temps, les restrictions et l’isolement social qu’elles ont mis en exergue un besoin impérieux de se retrouver à l’extérieur.
Le projet qui suit trouve son origine derrière la mairie où se situent sept petites parcelles potagères « des P’tits cabanons colorés » de Pradines, crées en 2007. Ces dernières ont fait l’objet d’un engouement des jardiniers et ont suscité une recrudescence de sollicitations d’habitants, intéressés pour disposer à leur tour d’une parcelle. Le contexte sanitaire a révélé un point commun chez bon nombre d’habitants de différentes origines sociales et culturelles, celui de renouer avec l’extérieur et ce qu’il offre comme possibilités de rencontre. De surcroît, pour des personnes ne disposant pas d’extérieurs, un besoin s’est vite imposé à savoir l’accès à un jardin, tout en y intégrant une dimension jusqu’alors peut investies, le désir d’y cultiver en plus des légumes et autres fruits, des interactions sociales tout aussi nourrissantes.
Face à ce constat, nous avons réfléchi à accélérer le développement d’un projet de création de nouvelles parcelles sur un terrain municipal aux abords du Lot, tout en étant à proximité des lieux d’habitations. L’intention est d’être dans le prolongement de l’esprit de convivialité des précédents jardins en mettant l’accent sur une dimension qui nous tient à cœur, celle de la participation collaborative à la réalisation de ces futurs jardins, faire ensemble pour vivre ensemble chaque étape de leur réalisation, entre les services techniques de la Mairie, l’équipe des jardiniers et celle du centre social. Les jardins participatifs et collectifs de Pradines sont nés.
Ce lancement de jardins collectifs et participatifs a aussitôt créé un intérêt de la part de la population. Nous avons démarré la première phase des jardins avec 8 parcelles en février 2021. Ces huit parcelles ont été opérationnelles à compter du 13 mai 2021 avec la participation de 12 jardiniers.
La première phase du projet à peine terminée, les premiers échos des Pradinois vont dans le sens d’une demande croissante de pouvoir y participer. Grace au soutien du dispositif France Relance nous avons lancé l’extension des jardins participatifs dès l’été 2021.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Début de l'action:
- Fin septembre 2020.
Objectifs du projet:
- Valoriser les valeurs de vivre et faire ensemble par des dynamiques collectives et d’entraide.
- Favoriser l’amélioration et la diversification d’une alimentation saine avec un budget abordable.
- Sensibilisation à la protection de l’environnement et au développement durable (biodiversité).
- Développer l’implication et a terme la participation autonome des habitants.
- Proposer des parcelles potagères supplémentaires pour répondre aux besoins repérés par la population.
Pilotage du projet
Dans le cadre d’un partenariat au service de la population pradinoise, la commune de Pradines, propriétaire d’un terrain aux abords du Lot, a porté le projet temporairement par l’intervention du coordonnateur de la vie locale. Celui- ci a travaillé en étroite collaboration avec le Centre social et Culturel de Pradines et tout particulièrement avec l’éducateur spécialisé afin d’être au plus proche de la population notamment les personnes en difficultés.
Depuis Mars 2021, le coordonnateur a mobilisé les futurs jardiniers afin qu’ils soient impliqués dès la création des jardins avec une dimension participative.
Ainsi le collectif appelé « Le Conseil des Jardiniers » est né. Quatre commissions ont été créé à savoir secrétariat, communication, aménagement et une commission travaux.
Les commissions se sont réunies régulièrement en toute autonomie. Le coordonnateur en présence de l’éducateur ont assisté aux premières rencontres de chaque commission afin de donner l’impulsion.
Une rencontre avec l’ensemble des jardiniers a été proposé une fois par mois afin d’assurer une bonne circulation de l’information et une bonne cohésion.
L’association des Jardins des Peupliers a été créée le vendredi 10 décembre 2021 avec la validation des statuts de l’association et de son règlement intérieur. Un Conseil d’administration a été mise en place avec la participation de 11 personnes.
L’association prendra le pilotage des jardins participatifs dès la nouvelle saison 2022 à partir du mois de janvier 2022.
Les ambitions du projet des jardins collectifs et participatif
La démarche participative a permis une dynamique d’appropriation de la part des jardiniers actuels qui font la promotion de leur projet auprès de la population.
Sur l’ensemble des étapes, la dimension participative a été « le ciment » de nos actions.
Une des premières actions collectives a été la construction des cabanons. Cette construction est pilotée par l’animatrice paysagiste et l’éducateur spécialisé du centre social de Pradines. Cette action a permis de créer une dynamique au sein du collectif des jardiniers et permis d’obtenir un résultat très valorisant pour tous.
Calendrier de réalisation
A partir du mois de juin, avec l’attribution du programme Plan de France Relance, nous avons ouverts 27 jardins soit 18 parcelles supplémentaires. Ces jardins supplémentaires ont été cultivés durant tout l’été et l’automne 2021.
Pour la nouvelle saison 2022, la future association disposera d’une quarantaine de parcelles allant de 20 m2 (micro jardin) à 100 m2 soit 18 nouveaux jardins supplémentaires. Ce résultat dépasse l’objectif initial d’agrandissement des parcelles. Ce résultat a été rendu possible grâce à la participation et l’imagination active de tous les acteurs.
Les étapes opérationnelles de l’agrandissement seront :
- L’extension des réseaux (eau et électricité) pour alimenter l’ensemble des jardins
- La réalisation de 4 cabanons avec les jardiniers
- La réalisation et stabilisation des chemins avec de la castine
- La végétalisation des jardins et parties communes (arbres et arbustes)
- La mise en place d’un récupérateur d’eau de pluie et du composteur collectif.
- L’aménagement d’espaces conviviaux.
La progression des jardins a pris du retard par rapport au calendrier initial du fait d’une pénurie des matériaux et équipements suite à la crise sanitaire ainsi qu’une augmentation des prix des matières premières comme le bois, autres consommables. Les jardiniers ont dû faire des choix sans compromettre le développement du projet. Le nombre de cabanons est réduit à 4. Néanmoins, ces cabanons sont plus spacieux pouvant ainsi accueillir davantage de jardiniers.
Le public visé
Pour cette première saison, nous avons eu un public mixte qui provenait essentiellement de la commune de Pradines et quelques personnes de Cahors. Le centre social de Pradines a aussi utilisé une parcelle pour le public jeunes et adolescents.
Préservation du pouvoir d’achat
La préservation du pouvoir d’achat est un axe majeur des jardins collectifs et participatifs. La parcelle est louée à raison d’1€ le m2 par an. Cette cotisation revient indirectement aux jardiniers via la future association qui devrait officiellemnt être créer début 2022.
L’association proposera des facilitées de paiement.
A ce jour, nous avons parmi les jardiniers des familles aux revenus modestes qui arrivent à produire très correctement des fruits et légumes sains à très faible coût. Les jardins participatifs facilitent les échanges entre les jardiniers et ainsi les échanges et dons de plants. Une maman vivant seule avec ses 3 enfants nous disait « vous savez pour moi, c’est comme si j’avais gagné au loto, on est en famille et on remplit notre frigo ».
Les jardiniers ont aussi la volonté de partager une partie de leurs récoltes avec des personnes dans le besoin notamment pour compléter les colis alimentaires distribuées par le centre social.
Respect de l’environnement
Avec le Syded Des composteurs collectifs ont été posés pour sensibiliser les jardiniers à la bonne pratique et les encourager au compostage de leurs déchets alimentaires.
Plusieurs actions sont menées avec un intervenant membre du projet participatif et pédagogique pour aller vers l'autonomie alimentaire L'Agora d'Agriculture Urbaine. Elles visaient entre autre à sensibiliser les jardiniers sur le respect de la terre en banissant l'utilisation de produits phytosanitaires.
Les agriculteurs « voisins » nous ont aussi permis de faciliter la préparation de la terre et nous ont donné de précieux conseils.
Un partenariat a été mise en place avec le club hippique de Pradines afin de récupérer le fumier pour enrichir la terre et les services techniques pour récupérer les copeaux de bois (BRF) pour limiter l’arrosage.
Partenariat étroit
Ce projet a été rendu possible grâce à une très belle coopération des services de la commune et tout particulièrement les services techniques qui ont été présents depuis la création des jardins jusqu’à son extension.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
France Relance: 10000€
CAF: 13000€ + 8000€
Centre Social: 5000€
Mairie: 20000€ (à travers la contribution des matériaux et la valorisation de la mise à disposition des agents techniques)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Personnes mobilisées régulièrement:
Jardiniers 12 Bureau
CSC 12
CAF 1
Mairie 7
Autres acteurs bénévoles:
4 maçons, 1 conseiller en irrigation, 1 paysan,1 intervenant pour les conseils en agriculture, 1 animatrice paysagiste.
- Résultat sur le territoire
L'effet majeur est, à l'issue de la crise sanitaire, celui de renouer avec une cohésion sociale entre des habitants à travers la dynamique collective, la mixité sociale, dans une dimension intergénérationnelle.
- Résultat pour le centre social
Illustration concrête de l'utilité du Centre Social sur l'accompagnement d'un projet dont les besoins repérés par les habitants
Illustration du pouvoir d'agir dans la forme de pilotage du projet.
Partenariats futurs entre l'association et le Centre Social.
- Résultat pour les habitants
Disposer d'un espace extérieur.
S'initier à la création collective.
Expérimenter la dimension participative et l'implication bénévole.
Comprendre et expérimenter les enjeux de la démarche participative à travers la crétaion d'une association.
Accéder et s'initier à des techniques de jardinage et accéder à une alimentation saine.
La sensibilisation aux enjeux des ressources naturelles.
L'acquistion collective et individuelle de compétences et connaissances en terme de développement de projet. Ce qui pour certains jardiniers pouvait être un frein par méconnaissance de l'univers associatif qu'ils ne connaissaient pas.
- Suite de l'action : Limites
Les principales limites se trouvent dans l'animation de la vie du collectif associatif et la gestion d'une jeune association. Le centre social reste dans ce cadre en appui pour du conseil et au besoin de la médiation.
- Suite de l'action : Perspectives
L'intégration de l'association dans le tissu associatif local.
La création de partenariats avec les acteurs locaux comme les écoles, les structures à vocation sociale (Maison relais, GEM autisme, EHPAD, ...).
Le développement de ressources financières autres que les adhésions (constitution d'une trésorerie).
Actions
L'ACCES AUX DROITS, UN PREALABLE A LA CITOYENNETE
- Structure organisatrice
- ESPACE SOCIAL ET CITOYEN DE TERRE ROUGE / VIEUX CAHORS - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Précarité
- Résumé
Faire de l'accès aux droits une priorité à travers un maillage tant territorial que de compétences au plus près des quartiers populaires (et prioritaires) à travers plusieurs actions :
1 - Proposer une première réponse de proximité, sécurisée et diversifiée à tous les publics en s'appuyant sur les centres sociaux positionnés dans chacun des quartiers populaires de Cahors. Cette première réponse reste généraliste et globale, elle permet un premier contact rassurant, dans un lieu sécure et repéré par les habitants. Elle permet à la personne de se sentir pris en compte et favorise la lutte contre le non recours aux droits par une première écoute bienveillante et active. Elle est possible au quotidien sur les heures d'ouverture des centres sociaux
2- Développer des permanences hebdomadaires du Bus France Services en proximité immédiate des centres sociaux pour apporter un niveau de réponse plus spécifique et plus pointue. Ces permanences ont lieu sur une demi-journée régulière qui facilite le repérage pour les habitants qui sont accueillis de manière libre par les deux conseillères France Services. Accompagnement et lien avec les opérateurs ou partenaires prennent une dimension plus importante. Les situations les plus complexes qui nécessitent un travailleur social sont accompagnés par les professionnelles.
3- Faciliter le lien avec les opérateurs mais également les travailleurs sociaux du Département par des rencontres régulières, des informations collectives sur site, des permanences régulières ou ponctuelles selon les besoins.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour les professionnels des centres sociaux ou des France Services, avoir accès à ses droits est un préalable à l'exercice de la citoyenneté et souvent à la participation au sein de nos structures. Lutter contre le non recours aux droits ou les situations complexes favorisent la confiance des habitants, le sentiment de vivre le centre social comme un lieu ressource et bienveillant.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les France Services (anciennement MSAP) sont des structures nouvelles qui essaie de se réinventer régulièrement. Nous nous sommes appuyés sur le renouvellement des permanences du Bus France Services qui a lieu tous les deux ans et qui s'appuie sur une consultation des élus du territoire, de la Préfecture pour donner à voir les besoins en zone urbaine en termes d'accès aux droits dès 2019. Le contrat de projet des centres sociaux de la ville de Cahors ont été également l'occasion de faire remonter des besoins sur cette thématique (enquête habitants, retour des partenaires) et de croiser avec le travail de réflexion pour les France Services, facilité car sous la même direction adjointe.
Depuis 2019, où nous avons commencé l'expérimentation, le dernier renouvellement en 2023 permet d'atteindre un équilibre très intéressant pour le territoire et d'y engager de nombreux partenaires. Ce qu'il y a 4 ans posait question est aujourd'hui reconnu comme une organisation complète et pertinente pour les habitants et pour les professionnels.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'action n'a pas demandé de budget supplémentaire si ce n'est pour la communication. C'est dans la concertation, la coopération et la construction de liens qui ont impliqué les professionnels des différentse structures que ce projet a pu voir le jour. Il est le fruit d'un travail de partenariat et d'une recherche de cohérence sur le territoire et au regard des missions communes ou croisées.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les chargées d'accueil des centres sociaux de la Ville de Cahors (4) + les conseillères France Services du BFS (2)
La direction adjointe DSS + les élus du Grand Cahors + les partenaires de l'Etat + les opérateurs
L'enquête auprès des habitants des quartiers sur les besoins (400 réponses sur l'ensemble des 4 structures)
- Résultat sur le territoire
Moins de non recours aux droits ( à partager avec les partenaires)
Présence des services publics et des opérateurs au coeur du quartier pour des informations collectives
- Résultat pour le centre social
Diversification du public au sein des centres sociaux favorisant la mixité sociale, générationnelle et culturelle
Identification du centre social par de nouveaux publics qui en l'auraient pas connu sans cette entrée "accès aux droits"
Structures vécues par les partenaires comme des lieux ressource et reconnues dans leurs compétences
Montée en compétences des chargées d'accueil et partenariat fort
- Résultat pour les habitants
Sentiment d'une prise en considération par les habitants des quartiers sur la question des droits
Services de proximité plus diversifié
Plus de facilité à aller vers les opérateurs car réassurance après cet accompagnement
- Suite de l'action : Limites
Nous entamons en septembre 2023 un nouveau roulement qui intègre le quartier des Badernes, très fragile. Nous serons très vigilants à rester à notre place et sur nos missions et ne pas faire empiéter sur les missions des opérateurs.
Les limites que nous risquons de rencontrer très rapidement concerne la fréquentation qui est de plus en plus importante dans les quartiers de Cahors et qui devra être analyser pour y apporter les réponses adaptées selon le niveau de compétences de chacun et ses missions.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcement des liens entre chargées d'accueil des centres sociaux et conseillères France Services, notamment avec les nouvelles professionnelles.
Actions
Inclustion sociale des personnes disposant d'une domiciliation administrative au Centre Social
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DU PONT BORDEAU - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Logement
- Précarité
- vacances / loisirs
- Résumé
Depuis fin 2015, optimisation de l'accueil et du suivi des personnes domiciliées pour favoriser leur inclusion sociale.
Entretien pour mieux identifier la situation de la personne, de la famille. Accompagnement et orientation dans la recherche de logement, d'aides d'urgence, d'aides sociales, l'accès aux services de soins...
Temps de convivialité et d'écoute d'active.
Lien avec le dispositif "Cultures du Coeur" pour favoriser l'accès à des sorties, des spectacles, des événements sportifs.
Valorisation des compétences, des savoir-faire des personnes pour les impliquer dans des projets du Centre Social ou d'autres habitants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Mieux prendre en compte à l'accueil du Centre Social les personnes domiciliées. Développement d'un accompagnement social global des personnes.
Impacts attendus :
- renforcement du lien entre les personnes et le Centre Social ;
- bien-être des personnes ;
- inclusion sociale des personnes.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
18142 € (montant total des moyens humains).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les chargés d'accueil. Environ 0,4 ETP.
- Résultat sur le territoire
Développement ou émergence de projets sur le Centre Social (ou le quartier) à l'initiative des personnes domiciliées (ex : perspective de mise en place d'une sorte de repair café, implication sur un projet de jardin partagé...).
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Inclusion sociale.
Développement de l'estime de soi.
Valorisation des compétences (savoir-faire, savoir-être).
- Suite de l'action : Limites
Difficulté de créer du lien avec des personnes en grande précarité sur une longue durée.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Ateliers pédagogiques "Je Nettoie Ma Loire"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DE LA MADELEINE - Loiret
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Vous les avez certainement déjà vus arpenter les bords de Loire. Qui ? Les bénévoles du collectif citoyen indépendant "Je Nettoie Ma Loire". Initiée en avril 2015, par 2 orléanaises sous l'égide de l'association "Temps Danse Loire", cette opération regroupe de plus en plus de citoyens engagés individuellement qui veulent contribuer à réveiller les consciences !
A raison d'un dimanche par mois, ils assainissent les rives ligériennes (Orléans, St Jean de Braye, St Jean de la Ruelle et Jargeau). Des bouteilles, des cannettes, des pneus, des tapis, des carcasses de vélos, etc... rien ne reste dans la Loire. Avec joie, dans la bienveillance, ils mutualisent leurs efforts pour rendre au fleuve royal, autant que faire se peut, toutes ses marques de noblesse. Parce que la sensibilisation passe par l'action bien plus que par la moralisation, cette démarche se veut citoyenne, pédagogique, pacifiste et initiatique. Les usagers du centre social sont informés mensuellement de ces opérations auxquelles ils peuvent participer.
En parallèle de ces opérations mensuelles de nettoyage sur les quais de Loire, le collectif organise des ateliers pédagogiques à l'ASELQO Madeleine dans le but de créer des outils (pédagogiques de type vitrines, jeux, éléments d'exposition etc...), à partir de matériaux de récup dont beaucoup de déchets issus de la récolte des opérations de nettoyage mensuelles. Ces outils sont ensuites utilisés dans les écoles, les forums, les festivals, les centres de loisirs pour sensibiliser à l'impact de nos déchets sur la faune et la flore ligérienne. Pour sensibiliser à l'environnement dans son sens large et à nos modes de consommation.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Afin de sensibiliser aux enjeux de nos déchets issus de nos modes de consommation & leur impact sur le vivant.
Comment pouvons-nous, chacun à notre niveau, faire notre part et diminuer cet impact.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Elle a débuté il y a deux ans juste à l'occasion du Festival de Loire pour lequel le collectif "Je Nettoie Ma Loire" avait été sollicité pour présenter son action via un stand.
La nécessité de créer des outils s'est faite ressentir. Le collectif n'avait pas de lieu pour les réaliser, ni les ressources. L'ASELQO Madeleine a créé un partenariat gratuit permettant à ce collectif de réaliser ses propres outils, mensuellement, afin de répondre à une demande de plus en plus importante d'écoles, de centres de loisirs, de comités d'entreprises, de festivals, d'associations mais aussi de communes, qui souhaitent faire appel au collectif pour sensibiliser aux enjeux environnementaux. Des usagers de l'ASELQO participent également à ces ateliers.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
0 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Entre 8 et 25 à chaque atelier
- Résultat sur le territoire
Cette action s'additionne et est complémentaire avec les actions liées au Jardin Partagé d'Emmanuel, aux Incroyables Comestibles, aux boîtes à livres, aux Trocs Party 3-11 ans et Trocs Plantes. Elle donne au quartier Madeleine une couleur de terrain d'expérimentation dans lequel l'habitant prendrait part à l'amélioration de son habitat et à son environnement proche
- Résultat pour le centre social
Le centre social ASELQO Madeleine s'entoure et se nourrit de plus en plus d'initiatives qui contribuent à éveiller les consciences sur les enjeux de l'environnement, de la biodiversité, le recyclage, les économies d'énergie, le mieux manger, le développement durable.
La démarche n'est pas du tout politique. Elle se veut neutre, pour éveiller les consciences en partant du postulat que ces enjeux concernent tout le monde, petits et grands, et que chacun peut y contribuer à sa façon. En fonction de ses envies, de son degré de sensibilité.Le centre social a plus que jamais son rôle a jouer dans le respect du vivant. Car pour aider l'autre, il faut être attentif à l'individu. Individu qui fait parti d'un ensemble qui ne peut se composer sans une attention apportée à toute la chaine du vivant.
- Résultat pour les habitants
Dynamique d'habitants de plus en plus sensibilisés aux enjeux environnementaux
- Suite de l'action : Limites
L'action ne s'adresse pas qu'au quartier Madeleine. Elle rayonne à l'échelle d'Orléans Métropole et des autres communes du département.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action a deux ans et l'ASELQO Madeleine souhaite continuer à travailler en partenariat avec ce collectif d'habitants pour étendre sa sensibilisation aux enjeux du vivant sur le quartier. Grâce à ce partenariat, une "plastique attack" a pu être menée en collaboration avec le Carrefour Market du quartier qui continue, un an après, à proposer deux bacs de trie en sortie de caisse (plastique et carton) pour inciter les clients à se débarasser de leurs emballages inutiles et gonfler inutilement leurs poubelles.
Puis un atelier jeu ludique a été proposé à l'école de la Madeleine en 2018 par l'ASELQO Madeleine avec le collectif Je Nettoie Ma Loire, afin de sensibiliser les enfants dès leur plus jeune âge à l'impact des déchets sur l'environnement.
L'idée est de poursuivre ces actions dans toutes les écoles du quartier Madeleine.
Actions
la plage "les pieds dans la Fontaine": animation de rue et lien social
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL DE LA FONTAINE - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Intégration
- vacances / loisirs
- Résumé
Aménagement chaque été d'une plage artificielle au coeur du quartier pour ses habitants avec présence de professionnels et d'habitants bénévoles, afin de proposer des loisirs, des initiations sportives et culturelles, une alternative aux vacances , un espace de rencontres et de partages pour toutes les générations, une intervention éducative et préventives en direction des enfants et des jeunes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Occuper un espace public fréquenté par des jeunes en recherche d'occupation, troublant la tranquilité des habitants.
Impliquer les jeunes dans des projets de territoire au profit de tous les habitants pour les valoriser au regard des générations plus agées et améliorer les relations.
Offrir un environnement et une ambiance de vacances estivale pour les familles qui ne quitent pas le quartier.
Offrir aux enfants et aux jeunes des activités sportives et culturelles dans une logique de médiation.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action qui a débuté en 2011 et qui est reconduite chaque été.
Elle a pris naissance à partir de difficultés constatées par les professionnels du centre, entre jeunes et habitants plus agés du territoire (incivilité, nuisances nocturnes, sentiment d'insécurité...)
Réflexion menée par les professionnels avec les jeunes qui aboutit à la mise en place de la plage le premier été. Plage fortement fréquentée par les jeunes qui nuit malheureusement à la tranquilité des riverains.
Après l'été, les riverains sont invités à exprimer les gênes que procure la plage et à s'associer aux jeunes pour ajuster l'action.
L'action est revue afin de répondre aux exigences des uns et des autres et depuis 4 ans elle ne cesse d'évoluer pour prendre en compte l'expression de chacun et s'adapter aux différents usagers.
Aujourd'hui la plage est organisée et animée par un collectif d'habitants ouvert à de nouveaux participants.
Les associations et clubs sportifs locaux, l'école de musique et la médiathèque de la ville sont sollicités pour proposer des animations sur la plage. Ces découvertes pour une partie des enfants et des jeunes favorisent et génèrent des envies nouvelles qui se traduisent par des inscriptions annuelles auprès des partenaires locaux.
Chaque été la soirée de clôture de la plage est un moment privilégié pour valoriser les autres actions estivales et les initiatives de jeunes.
Tous les animateurs du centre interviennent aujourd'hui sur la plage pour un travail concerté et intergénérationnel, favorisant le lien social et le vivre ensemble.
Au regard de la fréquentation et de l'implication des habitants qui évoluent au fil du temps, nous sollicitons le soutien financier de partenaires divers.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
un budget total de 10100€ sur deux mois de fonctionnement, subventionné en 2014 par le FiPD et la commune
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 animateurs permanents du CSC
2 animateurs saisonniers
La coordinatrice du CSC
16 habitants bénévoles (jeunes, adultes et plus de 6 ans)
personnel de la ville (les techniques pour l'aménagement de la plage, un salarié de l'école de muique, un salarié de la médiathèque)
12 bénévoles et salariés d'associations ou de clubs sportifs
deux groupes locaux de musiciens bénévoles pour animer la clôture
3 prestataires d'activités
- Résultat sur le territoire
Tranquilité sociale sur la quartier en période estivale.
Un lieu sûre proposé aux enfants du quartier : les enfants rencontrés dans la rue durant l'année fréquentent la plage l'été,
Un pôle attractif pour un quartier stigmatisé
Après la découverte d'activités sportives ou culturelles, certains enfants et jeunes s'inscrivent dans les associations, clubs sportifs, ou équipements de la ville, sur l'année.
- Résultat pour le centre social
Rencontre de publics nouveaux : information, communication et invitation à fréquenter le centre.
La plage est un lieu d'observation des pratiques des habitants, un lieu de recueil de paroles et un lieu d'émergence de nouveaux projets.
- Résultat pour les habitants
Meilleure cohabitation des générations: reconnaissance et respect mutuels, sentiment d'insécurité qui s'estompe.
Image de l'autre qui se modifie: les jeunes sont valorisés et les anciens écoutés par les jeunes.
- Suite de l'action : Limites
Sa durée limitée à deux mois par an.
le risque d'appropriation de l'espace par un groupe d'ages
la difficulté d'entrer en relation avec certains parents d'enfants qui fréquentent seuls la plage.
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduire l'action chaque année tant que les habitants la réclament et qu'elle apporte des réponses aux problématiques sociales locales.
Etre vigilent sur la fréquentation intergénérationnelle et multiculturell de la plage
Maintenir la participation de tous les animateurs du centre pour assoir les relations avec les habitants sur le reste de l'année.
Actions
Festival BOUGE : un copil, des jeunes en action
- Structure organisatrice
- MQMP - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Le festival BOUGE et son action culturelle sont imaginés par un groupe de jeunes nazairiens. Porté par les équipes de la mqmp, ce projet vise à accompagner des jeunes à prendre place en faisant du territoire un espace d'expression des jeunesses et en valorisant leurs compétences.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Le groupe de jeunes élabore et réalise le festival et son action culturelle aux côtés des professionnels et en relation avec les élus municipaux et associatifs.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
95k€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
150
- Résultat sur le territoire
impact positif concernant la représentation des jeunesses
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
« Le passé composé à la Bottière »
- Structure organisatrice
- ACCOORD BOTTIERE - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Chaque lundi matin et chaque jeudi après-midi ont lieu à la Maison de Quartier de la Bottière les ateliers de « Français au Quotidien » (niveau alphabétisation-perfectionnement).
Destinés à un public étranger, ces ateliers ont pour objectif l’apprentissage de la langue : lecture, écriture, communication orale.
La connaissance et la compréhension de l’environnement dans lequel les stagiaires vivent tous les jours font également partie intégrante des séances.
Ainsi, des sorties sont parfois organisées : elles permettent de (re)découvrir Nantes ; elles peuvent donner ensuite l’occasion de travailler les compétences linguistiques : « le passé-composé » étant au programme depuis le mois de janvier, les stagiaires ont été amenés à raconter, par écrit, le récit de leur après-midi du jeudi 19 mars.
Voici le résultat :
Un joli après-midi à Nantes sous le soleil mais avec du vent !
Jeudi après-midi, nous avons eu rendez-vous à l’arrêt Souillarderie. Nous avons pris le tram et sommes descendus à Médiathèque. Nous avons traversé pour la première fois « la passerelle du tribunal », nous y avons pris des photos. Nous avons longé la Loire et nous sommes arrivés à notre sortie du jour : l’Ecole d’Architecture. Nous n’avons pas visité l’école, nous sommes montés (pour la première fois) sur son toit (c’est ouvert au public gratuitement) pour voir Nantes « en hauteur ». Arrivés là-haut à pied (cela grimpe un tout petit peu), nous avons vu un beau panorama sur la ville et nous avons encore fait des photos !
Nous sommes ensuite redescendus et avons continué notre balade. La Loire étant basse, nous sommes passés (pour la première fois encore) sous le Pont Anne de Bretagne pour rejoindre l’Eléphant et le Carrousel. Nous avons eu aussi l’occasion de voir le Belem.
Nous avons décidé de rentrer vers 16h00 mais avant nous avons fait une pause le long de la Loire : surprise Melouka a préparé un goûter : du jus d’orange et de délicieux gâteaux à la noix de coco.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
budget de fonctionnement de l'atelier soit 150€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
11 personnes
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
plus grande visibilité de l'atelier d'alphabétisation. lien créé entre les apprenants et l'équipe du CSC.
- Résultat pour les habitants
valorisation du travail effectué par les usagers
- Suite de l'action : Limites
l'atelier de français continue avec cette volonté d'ouverture et d'inclusion des publics dans le droit commun.
- Suite de l'action : Perspectives
Des temps de rencontres réguliers et la présence dur la rencontre annuelle des usagers.
Actions
Scop Ados "Les p'tits chefs"
- Structure organisatrice
- ACCOORD Centre socioculturel de la Boissière - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Entrepreneuriat social
- Résumé
Le projet "Scop ados" permet à un groupe de jeunes agés de 11 à 15 ans de s'engager dans un projet calqué sur le mode de fonctionnement des Scop (sociétés coopératives ouvrières de production).
Las "scop ados" n'a pas de forme juridique particulière mais le fonctionnement du groupe permet aux jeunes de s'initier à l'économie sociale et solidaire et à envisager une autre façon d'entreprendre :
- Le groupe s'inscrit dans une démarche de "production de services" qui doit être le résultat d'une réflexion économique. En l'occurence, les "P'tits chefs" propose des prestations de repas collectifs à destination des associations du quartier lors de moments festifs (fête de quartier, spectacles, repas à thèmes...),
- L'excédent résultant de ces actions est réparti entre autofinancement individuel, investissement dans le développement de l'activité et financement de projets d'intérêt collectif.
- Dans la conduite du projet, chacun a voix au chapitre (un homme / une voix) que l'on soit jeune ou animateur. Les décisions sont donc collectives.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
Le concept des "scops ados", inspiré d'une initiative toulousaine, est porté par l'association Accoord et décliné sur plusieurs territoires.
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Deux finalités à cette action :
- Faire découvrir aux ados l'entreprenariat dans le champ de l'économie sociale et solidaire,
- Développer des activités solidaires portées par les ados et destinées aux habitants du quartier.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les animateurs ont fait le choix dans un premier temps de mobiliser les ados autour d'une activité "cuisine" en les invitant à participer à des moments festifs.
Lorsque le groupe a été constitué, les animateurs ont présenté le projet de scop comme un développement possible.
L'idée était, comme pour toute entreprise, de d'abord se centrer sur le projet pour ensuite réfléchir à la façon de le développer.
Une fois la "scop ados" formalisée, le groupe a commencé à s'approprier l'environnement de l'ESS et à développer son activité.
Dans une logique de "services", la scoop développe peu à peu de nouvelles activités (chantier peinture par exemple)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Un investissement de 2000 € a permis d'acquérir le matériel nécessaire (four, matériel de cuisine...)
Ensuite chaque "chantier" constitue l'économie du projet en générant un excédent, étant entendu que les salaires des animateurs ne sont pas pris en compte.
En 2017, 5 chantiers ont générés 1500 € de dépenses pour 2800 € de recettes.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 animateurs
12 jeunes
- Résultat sur le territoire
A travers l'activités "cuisine", les ados ont participé à des temps collectifs réunissant les habitants et à des évènement culturels.
Ainsi en 2017, ils ont réalisé : 2 repas à destination d'une association de retraités, 1 repas "en famille", 1 catering lors d'un évènement culturel et 1 stand lors d'une fête de quartier.
Cette activité a ainsi créé du lien intergénérationnel, une sensibilisation à l'organisation d'un évènement culturel, une participation au "mieux vivre ensemble".
De par leur rôle bien identifié, le sérieux avec lequel ils agissent, le groupe contribue à valoriser l'image des ados et leur capacité à s'engager.
- Résultat pour le centre social
Cette action portée par des adolescents apermis de renforcer la place des ados dans le centre social par une action transversale et valorisante.
L'éducation à l'économie sociale et solidaire commence à être observée par l'ensemble des secteurs et pourra constituer un lien.
- Résultat pour les habitants
Pour le moment , limpact reste limité aux habitants ayant rencontré les ados en activité. La sensibilisation à l'ESS et l'image positive renvoyée par les ados se fera sur du plus long terme, lorsque la "Scop ados" sera plus développée et plus visible.
- Suite de l'action : Limites
L'action doit, pour répondre à son objectif "d'objet expérimental éducatif" s'inscrire dans le long terme.
Le renforcement du fonctionnement démocratique et ouvert à tous est une condition importante pour que le groupe, qui est amené à se renouveler, trouve suffisament de motivation.
Il ne s'agit pas de s'appuyer sue un "petit groupe" motivé qui, lorsqu'il partira un jour, mettra en péril l'activité.
- Suite de l'action : Perspectives
Il s'agit aujourd'hui :
- D'asseoir l'activité en stabilisant le mode de fonctionnement (stratégie collective de développement),
- de faire connaître le projet pour trouver de nouveaux "chantiers".
Actions
"Ca se discute à Malakoff" CINE-DEBAT 16-25 ANS
- Structure organisatrice
- ACCOORD MALAKOFF - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- discriminations
- Résumé
Nous avons organisé des soirées ciné-débat mensuelles intitulées «Ça se discute à Malakoff» (visionnages de films + débat).
Nous avons proposé 4 temps de « Ciné-Débat » (Février, Mars, Mai et Juin) « Ça se discute à Malakoff » encouragés par le PIA (Programme d'Investissements d'Avenir) avec un financement "Contrat de Ville" . Les objectifs de ces temps furent de co-construire des animations avec les acteurs « acteurs jeunesse locaux » (Service Jeunesse Ville de Nantes, Préfecture, Prévention spécialisée, associations locales...), de favoriser l’apprentissage de la prise de parole (oralité), la défense son point de vue, etc., et amener le débat sur des sujets d’actualité qui doivent permettre l’ouverture, la découverte d’autres opinions et permettre de déconstruire certaines représentations sociales.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les objectifs de ces temps furent de co-construire des animations avec les acteurs mentionnés « acteurs jeunesse locaux », de favoriser l’apprentissage de la prise de parole (oralité), la défense son point de vue, etc., et amener le débat sur des sujets d’actualité qui doivent permettre l’ouverture, la découverte d’autres opinions et permettre de déconstruire certaines représentations sociales.
D’une façon générale, nous estimons que ces objectifs furent atteints étant donné que des thèmes de société (solidarité, violence, préjugés, scolarité, mixité, etc.) furent abordés et discutés entre le public « 16/25 [30] ans » et les partenaires présents.
Le PIA a financé cette action autour des thématiques «Éducation et insertion sociale et professionnelle
des jeunes » et « Citoyenneté et engagement des jeunes ».
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Nous avons proposé 4 temps de « Ciné-Débat » (Février, Mars, Mai et Juin 2018) « Ça se discute à Malakoff » encouragés par le PIA (Programme d'Investissements d'Avenir) avec un financement "Contrat de Ville" . Les objectifs de ces temps furent de co-construire des animations avec les acteurs " acteurs jeunesse locaux » (Service Jeunesse Ville de Nantes, Préfecture, Prévention spécialisée, associations locales...), de favoriser l’apprentissage de la prise de parole (oralité), la défense son point de vue, etc., et amener le débat sur des sujets d’actualité qui doivent permettre l’ouverture, la découverte d’autres opinions et permettre de déconstruire certaines représentations sociales.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5 000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 personnes pour l'organisation.
une cinquantaine ont participipé aux 4 séances.
- Résultat sur le territoire
Nous estimons que les objectifs de l'action ont été atteints étant donné que des thèmes de société (solidarité, violence, préjugés, scolarité, mixité, etc.) furent abordés et discutés entre le public « 16/25 [30] ans » et les partenaires présents.
Ces séances ont permis le débat sur des sujets de l’actualité qui favorisant l’ouverture, la découverte d’autres opinions et de déconstruire certaines représentations sociales.
- Résultat pour le centre social
Un climat plus apaisé, une meilleur connaissance et des relations renforcées entre les jeunes adultes, les animateurs 16-25 ans du CSC Malakoff et les partenaires.
- Résultat pour les habitants
Pour les jeunes, cela a permis le débat sur des sujets d’actualité favorisant l’ouverture, la découverte d’autres opinions et permettre de déconstruire certaines représentations sociales
- Suite de l'action : Limites
Participation très variable suivant les séances.
En juillet 2018, des émeutes ont eu lieu sur le quartier de Malakoff avec l'incendie partiel de la Maison de quartier dans laquelle est installé le CSC ACCOORD. La Maison de quartier est depuis fermée et ne rouvrira pas avant 2 ou 3 ans. Cela a complètement perturbé notre organisation et la mise en oeuvre de nos actions, notamment ces séances de Ciné-débat.
- Suite de l'action : Perspectives
En juillet 2018, des émeutes ont eu lieu sur le quartier de Malakoff avec l'incendie partiel de la Maison de quartier dans laquelle est installé le CSC ACCOORD. La Maison de quartier est depuis fermée et ne rouvrira pas avant 2 ou 3 ans. Cela a complètement perturbé notre organisation et la mise en oeuvre de nos actions, notamment ces séances de Ciné-débat.
Nous les avons reprises en 2019 dans une autre salle du quartier mais avec moins de public.
Actions
Forum Bouge pour ton Avenir
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL VALLÉE DE GERE - Isère
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Depuis plusieurs années nous travaillons en partenariat avec le collège Ponsard, avec lequel nous avons
développer différents projets dont le forum Bouge pour ton avenir qui est organisé sur le temps scolaire.
Cette année, nous allons les amener un groupe de jeunes (Vallée de Gère/ Malissol/ extèrieur) au forum
des métiers qui se déroule du 7 au 10 Février à Eurexpo Lyon. Nous associerons les parents à cette
sortie. Cette visite permettra aux jeunes de découvrir concrètement différents métiers et de rencontrer des
professionnels. Nous prévoyons de prendre des photos à cette occasion, pour ensuite réaliser une
exposition présenté le jour du forum au collège avec les témoignages des jeunes et des parents.
Le Forum aura lieu début avril au collège pour les élèves de 4ème et 5ème SEGPA. Le matin sera
consacré aux ateliers de préparation pour la recherche de stage en entreprises (Quizz/posture/rédaction
de CV et lettre de motivation/Attentes du stage) qui seront animés par les partenaires: le BIJ, les
éducateurs de prévention, le collège, les centre sociaux (Vallée de gère et Malissol), CIO, École de la 2nd
chance.
L'après-midi nous voulons mobiliser des parents ayant différents secteurs d'activités professionnelles pour
expliquer leurs parcours auprès des jeunes. Ces parents qui pour certains sont aussi membres de jury de
l'oral du stage pour le brevet, pourront témoigner de cette expérience et donner des conseils aux élèves.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Permettre aux jeunes de faire un stage en entreprise en lien avec leur "ambition" professionnelle.
- Sensibiliser les parents à l’intérêt du stage de découverte de l'entreprise.
- Assurer le lien avec le collège et les choix d'orientations des jeunes pour atténuer une orientation
scolaire par défaut.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Une réunion de préparation a été organisé avec les différents partenaires mobilisés sur les ateliers (Quizz/posture/rédaction
de CV et lettre de motivation/Attentes du stage).Le forum Bouge pour ton avenir est organisé sur le temps scolaire pour les élèves de 4e Général et 5e SEGPA.
Les classes sont répartis en demi-groupe et les élèves et les enseignants tournent sur les différents ateliers pendant 30 minutes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une quinzaine de professionnels (animateurs, éducateurs, enseignants, CPE, Directeur et Principale), 3 jeunes de E2C (Ecole de la Deuxième Chance) pour accompagner les 200 élèves.
- Résultat sur le territoire
La mobilisation des partenaires (BIJ, CIO, E2C, Centre Sociaux, éducateurs de prévention) qui interviennent sur le temps scolaire de manière complémentaire avec les professionnels du Collège.
- Résultat pour le centre social
La reconnaissance pour le centre social de sa complémentarité éducative et son identification auprès des parents des collègiens qui n'habitent pas le quartier.
- Résultat pour les habitants
Les élèves et les familles identifient le centre social comme un lieu d'accompagnement aux enjeux de la scolarité et de l'insertion professionnelle.
- Suite de l'action : Limites
Accompagnement des élèves dans leur recherche de stage de découverte en milieu professionnel et dans la préparation de leur oral de stage qui donne une note pour le brevet des collèges.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer sur la thématique de la citoyenneté et du savoir-être dans la relation avec les adultes.
Actions
CAFE DES PARENTS
- Structure organisatrice
- Association socioculturelle Courteline - Indre-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- vacances / loisirs
- Résumé
- Chaque mardi, un temps est proposé aux parents pour échanger et apprendre ensemble par le biais de projets et de débats.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Faciliter les relations au sein des familles en créant des échanges entre parents : favoriser l’épanouissement familial Faciliter les liens entre les familles sur le quartier Accompagner les parents dans leurs responsabilités Susciter et accompagner la dynamique de projet
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Tous les mardis en période scolaire, les parents se retrouvent autour d’un café, dans une ambiance conviviale et respectueuse afin d’échanger, de partager des réflexions et des expériences en lien avec des thématiques parentales. Nous avons pu discuter de la scolarité des enfants, des règles, des vacances, des jeux en famille, de l’utilisation des réseaux sociaux….. Différents outils et débats ont été proposés, alliant le ludique au partage de savoirs. Nous avons également fait intervenir des associations : WECF nous a permis de décortiquer nos habitudes de consommation et de mieux lire les étiquettes et les produits afin que nos maisons soient plus saines. En lien avec d’autres actions de notre service, nous avons également fait intervenir l’Assad. Puis des parents ont pu participer à des temps fort lors de l’action « trajectoires de femmes vers l’emploi ». Si de nouvelles personnes ont été accueillies tout au long de l’année, c’est un groupe de parents réguliers qui permet la dynamique conviviale et motivée de ce temps d’échanges. Ainsi différents projets ont pris naissance lors de ce temps : celui de passer une journée entre femmes, sans enfant, sans mari et sans téléphone. Pour ce faire, les femmes ont cuisiné des gâteaux et ont pu les vendre à différents évènements proposés par notre association. Puis des mini-sorties ont été organisées : une visite au château de Tours, et une sortie rencontre découverte métiers de la couture. Lors de la quinzaine de la parentalité deux rencontres ont été l’occasion d’échanger : une à la Rabière et une à Courteline. Le Café des parents est aussi un temps privilégié pour renseigner les parents sur les activités proposées à l'association Courteline et recueillir leurs idées et leurs propositions. Le temps du café des parents est un temps fort qui a permis cette année de constituer une vraie dynamique de projet et de transversalité avec les différentes actions. Nous souhaitons continuer à travailler à permettre cette dynamique. Suite à un bilan avec les mamans présentes elles ont émis les objectifs suivants pour l’année 2018-2019 : - l’envie de continuer des interventions sur des axes de thème liés à la parentalité en faisant également intervenir des professionnels pour échanger sur des thématiques. - Continuer à participer à la programmation des vacances. - Continuer à apprendre des choses
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 1 salariée (référente famille) / 2 volontaires en service civique / Ponctuellement : une intervenante psychologue, une stagiaire Assistante Service Social...
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
- Développer la dimension d'accompagnement par la présence régulière de la psychologue. Varier les lieux de réunion dans le quartier pour développer la mixité du public.
Actions
Amélioration de l'accompagnement des victimes de violences sexistes et sexuelles
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LE PART'AGES - Indre
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Santé
- Résumé
CONTEXTE
En France en 2017, une femme mourrait tous les trois jours suite aux coups de son compagnon ou de son ex-conjoint. Il s'avère que la qualité d'accueil et d'écoute des victimes de violences peut permettre de les orienter et de les extraire du milieu où elles (et leurs enfants) sont en danger
Le Centre social est (au travers de la Caf de l’Indre) signataire du " protocole départemental de lutte contre les violences faites aux femmes ". Le Centre est à ce titre engagé dans ce domaine.
L’année 2018 a été marquée par la venue au Centre social de plusieurs victimes
L’équipe du Centre social prend conscience de la difficulté à orienter ou aider des victimes dans l’urgence.
OBJECTIFS généraux
Permettre à des habitants et des partenaires de se rencontrer pour envisager des actions d’information contre les violences sexistes et sexuelles.
OBJECTIFS opérationnels
Organiser un collectif avec des partenaires et des habitants sensibilisés au sujet,
Accompagner le collectif pour mettre en réseau des structures locales.
PUBLIC CONCERNÉ
Habitants et partenaires sensibilisés au sujet.
ACTIONS
- mobilisation du public et participation à la journée départementale,
- mise en place de rencontres partenariales visant à réaliser la fiche, à favoriser l’interconnaissance et débuter la mise en réseau.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’année 2018 a été marquée par la venue au Centre social de plusieurs victimes
L’équipe du Centre social prend conscience de la difficulté à orienter ou aider des victimes dans l’urgence.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
MOYENS
humains : 2 salariés, 2 partenaires et 5 habitantes.
matériels :
- salles pour les réunions,
- matériel informatique (diaporamas et bureautique),
Déroulement de l’action
3 réunions nécessaires à l’organisation de la rencontre des partenaires en avril,
1 rencontre pour rassembler les informations nécessaires à l’élaboration de la fiche,
1 rencontre en juillet pour valider la fiche et envisager les suites à donner,
Budget prévisionnel
Des financements spécifiques pourront être demandés en fonction des actions mises en place,
Date de l’action
à partir du 20 novembre 2018 et en fonction de l’investissement des membres du collectif.
PARTENAIRES
P.N.R. (Contrat Local de Santé), Déléguée départementale aux droits des femmes et à l’égalité entre les femmes et hommes,
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES Montant
PrévisionnelPRODUITS Montant
PrévisionnelAchats spécifiques au projet 100,00 € Matières et fournitures 100,00 € Cotisations usagers 0,00 € Services extérieurs spécifiques au projet 4 500,00 € Psychologue (25 séances de 2 h) 4 500,00 € Autres services spécifiques au projet 500,00 € Subventions 5 000,00 € Frais postaux Subvention Droits des femmes 5 000,00 € Publicité, publications 500,00 € Charges de personnel spécifiques au projet 576,00 € Salariées du centre 576,00 € Autres charges de gestion courante spécifiques au projet 1 501,00 € Contribution Centre Social 2 177,00 € Part logistique 1 501,00 € Total 7 177,00 € Total 7 177,00 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés, 2 partenaires et 5 habitantes.
- Résultat sur le territoire
7 femmes participant au groupe de parole animé par un psychologue
8 femmes participant aux consultations individuelles avec un psychologue
51 partenaires participant à la réalisation d'une fiche d'accueil d'urgence sur le territoire,
120 personnes étaient présentes au colloque et au théâtre forum le 4 décembre 2019 au Blanc
- Résultat pour le centre social
Le Centre social est reconnu par les partenaires du territoire qui orientent le public vers le Centre.
L'équipe de salarié·e·s a été sensibilisée à l'accueil des victimes ; elle est en mesure de répondre de façon adaptée aux questions des victimes et de les orienter.
- Résultat pour les habitants
A ce jour 11 victimes se sont rendues au Centre pour y trouver un accompagnement.
- Suite de l'action : Limites
Les consultations sont saturées, un roulement est nécessaire pour permettre à chacune d'être accueillie par le psychologue.
Il serait nécessaire d'augmenter les heures du psychologue, pour répondre aux besoins.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action est renouvelée pour 2020 et devrait l'être aussi en 2021.