Meilleur pris en compte par les partenaires de l'expertise du centre socioculturel.

Développent des actions partenariales à destination des familles de la commune

Le nombre de demandes en constante augmentation implique un temps de travail supplémentaire dans l'organisation, dans l'animation du café des parents. Ce temps ne peut donc plus être utilisé pour mobiliser, accompagner les familles.

Cette année, l'implication des parents n'a pas atteint entièrement l'objectif que s'était fixé le comité de pilotage du café des parents. Une réflexion sur l'organisation des temps de réunion de préparation pour les parents est à mener pour 2016.

Répondre aux problèmes de parentalité rencontrés et évoqués par les parents afin d’aider ceux-ci à les résoudre, et de leur permettre de vivre leur fonction parentale le plus sereinement possible dans un climat relationnel apaisé avec leurs enfants.

- Création du premier Conseil Citoyen de la Métropole.

- Etablissement d'un diagnostic partagé du territoire prioritaire Soupetard-La Gloire.

- Mobilisation d'habitants et développement citoyen.

- Ancrage partenarial du centre social pour les thématiques de citoyenneté et de gouvernance locale.

- Relais vers le dispositif ADMQ et implication des membres du Conseil Citoyen dans les projets proposés au dispositif ADMQ.

- Reconnaissance du centre social par les acteurs de la citoyenneté sur le territoire.

- Connaissance/reconnaissance du centre social dans le paysage partenarial associatif et les collectifs habitants (l'antenne de Soupetard venant d'ouvrir ses portes).

- Contribution à l'axe prioritaire du Contrat-Projet : "Développement de la Gouvernance"

- Connissance/reconnaissance de la place du centre social pour les habitants et augmentation des adhésions.

Le risque est que le Conseil Citoyen s'essouffle (perte de membres, non renouvellement...).

Le chef de projet DCVRU continue son appui au Conseil Citoyen et veille aux respect des règles de fonctionnement par une présence ponctuelle encore parfois nécessaire.

Le Conseil Citoyen Soupetard-La Gloire est désormais autonome et fonctionne sur des régles de gouvernance bien définies et qui lui sont propres.

Le Conseil Citoyen est membre de plusieurs instances du territoire (à titre consultatif) : Commission de quartier ; Comité technique de la Politique de la Ville : Comité de gestion ADMQ....

Le Conseil Citoyen est une instance identifiée et représentative sur le territoire de Soupetard-La Glorie, il est l'expression d'une démocratie locale participative active. Ses membres sont conviés à la large majorité des réunions de coordination thématique du territoire (coordination parentalité par exemple).

Le Conseil Citoyen a développé des commissions de travail dont certaines assurent des permanences et des réunions dans les locaux du centre social (antenne de Soupetard).

L’action d’accompagnement et de médiation sociale a permis l’accueil et le suivi d’un grand nombre de publics fragilisés, éloignés des dispositifs sociaux, sanitaires, de droit commun.

Cette action, très  utilisées par les habitants, démontrent par le nombre d’usagers recensés le besoin existant d’accompagnement dans les difficultés et démarches de la vie quotidienne. Destiné à un public d’adultes, cet accompagnement fait l’objet d’une attention particulière en direction des personnes isolées et vieillissantes, des familles monoparentales, toutes en grand nombre sur ce territoire.

Dans un contexte économique et social particulièrement tendu ces dernières années, le service d’accompagnement et de médiation sociale occupe une place prépondérante au sein du quartier et rempli, autant que peut se faire, un rôle de « régulateur social ».

Du 1er janvier au 31 décembre 2016, 1126 personnes ont bénéficié des  services de  la médiation sociale.

Le nombre de bénéficiaires de l’action d’accompagnement social et de médiation est en constante augmentation depuis 2013. Ils étaient  682 en 2013,  1106 en 2014, 1423 en 2015 à la même période. (Le pic de 2015 s’explique par la fermeture de l’agence Caf de Grasse et la création du point-info CAF au centre social). L’augmentation des fréquentations des permanences de médiation démontre combien il est  important de maintenir et développer ce service de proximité dans le secteur du Grand Centre et plus précisément sur le Centre Historique où les situations, d’une partie des habitants, sont particulièrement fragiles.

 Destiné à un public d’adultes, cet accompagnement fait l’objet d’une attention particulière en direction des personnes isolées et vieillissantes, des familles monoparentales, toutes en grand nombre sur ce territoire.

Lutter contre l’illectronisme :

Les  difficultés renforcées, chez certaines personnes (personnes âgées et/ou des personnes peu qualifiées en recherche d’emploi) engendrées par l’utilisation des technologies de l’information et de la communication représentent un enjeu majeur aujourd’hui avec lequel doit conjuguer  le centre social.

Le problème qui se pose pour ces publics, ne se situe pas seulement  par l’exclusion d’internet, mais plus fondamentalement au plan de l’information.

De plus en plus de démarches administratives passent par une plate-forme numérique (déclaration de ressources, constitution de dossier, ouverture de droits, inscription à l’Espace Activité Emploi, la plupart des annonces d’emploi sont aujourd’hui diffusées par internet…).

Afin de prévenir et limiter ces inégalités face à l’accès au savoir et aux démarches de la vie courante, il apparaît important de travailler avec le public sur l’acquisition des connaissances clés nécessaires à l’utilisation des ressources électroniques.

Aussi, si l’Espace Régional Internet Citoyen (ERIC) « hébergé » au sein même du centre social apporte déjà une plus-value aux activités de médiation sociale (près de 598 personnes reçues sur le premier semestre au sein de l’ERIC dont 90 % résident au Centre Ancien). Ce partenariat se renforcera et proposera des actions ciblées pour lutter contre cette fracture numérique (utilisation  de l’environnement informatique, création d’adresse Email,..)

Développement des ressources internes afin d'accompagner les demandes croissantes des usagers.

Cette action de proximité, conjuguée avec les autres activités de médiation sociale, a contribué, encore cette année, par le nombre de personnes accompagnées sur le secteur prioritaire de la politique de la ville (79 % en 2015), à prévenir l’isolement. Elle  a permis de faciliter l’intégration des populations migrantes dans la vie locale mais aussi celles, nées en France, illettrées qui ont eu besoin de consolider leurs connaissances de bases à gagner encore un peu plus en autonomie.

Les ateliers sociolinguistiques ont apportés une ouverture sur les espaces sociaux et/ou culturels. Les actions citoyennes transversales aux différents ateliers ont permis de les sensibiliser aux codes sociaux, et à l’exercice des responsabilités sociales.

Les bénéficiaires des ateliers d’alphabétisation-insertion-citoyenneté ont été nombreux  à s’investir sur les autres actions du centre social, démultipliant ainsi les espaces de socialisation et d’apprentissage.

Fédérateur, vecteur de bien être, d’ouverture, de partage l’ensemble des actions organisées avec les usagers des ateliers socio-linguistiques leur offrent des occasions de rencontres interculturelles et intergénérationnelles qui contribuent au mieux vivre ensemble.

-Continuer de faire évoluer les pratiques et intégrer dans cette dynamique les nouveaux bénévoles arrivés au cours de l’année.

-Poursuivre la formation des bénévoles en ciblant la formation  sur des thématiques qui les interrogent. - Mettre en place, au sein de la structure, des espaces d’échange de pratiques et de mutualisation.

-Renforcer la participation des apprenants sur l’ensemble des actions collectives portées par le centre social.

- Lutter contre l’illectronisme. Développer des actions d’initiation à l’outil informatique et de sensibilisation à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication, à l’utilisation des réseaux sociaux et plus généralement à l’utilisation d’internet.

Soutien aux projets des association puisque chaque association a fait des bénéfices (237€ en moyenne).

Echange entre les associations : prêt de matériel, émergence de projets communs à Caucriauville, entraide entre les associations sur les soirées, échange de recettes entre les assos et avec le public.

Mixité du public avec des habitants du centre-ville, voire de la périphérie, mélangés avec des habitants de Caucriauville (552 repas servis en 2016).

Les partenaires institutionnels ont une image positive du projet et l’ont sollicité pour « animer » différents temps forts : LH Forum, journée mondiale du bénévolat notamment.  Ce qui amène une retombée positive en termes de valorisation sur les associations participantes et sur le centre social.

Ce projet a eu une porté importante au delà du territoire. Il a fait l'objet de plusieurs articles dans la presse locale. Il a apporté une certaine reconnaissance au centre social dans son travail avec les associations.

Le projet a fait connaitre le centre social à de nouveaux habitants, notamment sur la dimension accès aux droits et accompagnement des familles (séjours familiaux).

Toutes les associations ne sont pas représentées aux soirées et difficulté à mobiliser les associations sur les temps de réunions.

Valorisation insuffisante des associations en 2016 (pas de présentation formelle des associations durant les soirées, sauf une).

Renouvellement du projet en 2017 avec 11 associations parties prenantes.

Travail sur les outils de communication propres  à chaque association.

Amélioration de la visibilité du projet, notamment du lieu (flammes).

Valorisation des publis jeunes

Valorisation de notre service jeunesse

Financement du projet

 Participation en 2018 à une fouille archéologique.

Rayonnement de l'action des jeunes auprès d'acteurs locaux du quartier(théâtre, comité des fêtes, associations locales,...) et auprès d'un large public, enfants, jeunes adultes sur l'animation de l'exposition.

Implication de jeune sur une manfestation culturelle sur le territoire et au sein du centre social

Implication des familles sur cette action 

Action fédératrice regroupant de multiple partenaires

Ouverture culturelle auprès de nos publics souvent éloignés de ce champ d'intervention

Cette action a été trés riche d'échanges et de rencontres mais reste une expérience courte à renouveler sous d'autres formes.

L'exposition peut-être mise a disposition sur d'autres structures.

Un fait de société auquel il faut s’adapter
La génération d’aujourd’hui utilise, dès le plus jeune âge, les outils de communication, tels que les smartphones ou les tablettes, pour surfer sur les réseaux sociaux. Formidables outils d’ouverture sur le monde, il est difficile d’en décrypter et d’en filtrer toutes les informations pour protéger nos jeunes.

C’est dans ce cadre que la notion de prévention intervient. Il est nécessaire de leur donner un moment où ils puissent apprendre à avoir du recul, être libres de réagir en privilégiant l’écoute et le débat à travers les outils proposés au sein de l’exposition.

Reconnaissance des Institutions sur la pertinence de nos Associations d'Education Populaire sur ces questions de société.
 

Durée de l'Exposition

Achat ou location a terme de l'exposition par la FRMJC Centre

Cette action permet aux jeunes d’être acteurs de leurs vacances. De vivre en collectivité et de se prendre en charge, de se responsabiliser et de s’impliquer dans la création de projets, de prendre part aux décisions collectives. Action citoyenne par la participation à un projet au service d’une collectivité, elle permet aux jeunes d’acquérir connaissances, savoir-faire, autonomie…Il permet les rencontres, des jeunes des différentes communes. Il constitue un moment fort d’intégration sociale.

Cette action permet un autre regard de la population sur les jeunes.

Cette action permet de toucher les jeunes de 14 à 17 ans du territoire du centre.

Continuité du chantier et de son extension à la Toussaint.

Développer la mise en relation et articuler le chantier avec d’autres activités du centre social (le club marche dans le cadre de chantier nature, C' mon projet pour l’information et l’orientation, le collectif santé pour la prévention….)

Des participants jeunes et adultes ont exprimé leurs souhaits de s’inscrire dans un atelier afin de poursuivre leur activité: atelier d’écriture, atelier chant, atelier dessin

L’engagement et l’assiduité des participants sur les actions proposées.

La principale difficulté a été le calage du calendrier que nous avons du modifier. Nous n’avons pas pu démarrer les ateliers comme nous l’aurions souhaité à la suite des assemblées de l’élection des représentants des usagers dans les centres, Les rencontres avec les intervenants pour valider avec eux les objectifs des ateliers et les confirmations des contrats nous ont pris plus de temps que prévu. Sur cette période de lancement nous avons eu le sentiment de courrir après le temps!  Nous n’avons pas regroupé les groupes pour monter l’exposition photos comme nous l’avions prévu. La realisation des panneaux dans chaque groupe a demandé plus de temps que prévu pour l’intervenante. Nous avions sous estimé le nombre d’heures necessaries sur ces ateliers.

Notre objectif était de favoriser la participation des habitants dans les instances représentatives de quartier. Nous envisageons ainsi de communiquer auprès des participants afin de les amener à s'inscrire auprès du Comité consultatif de quartier ainsi que du conseil citoyen. En 2018  nous serons en renouvellement du projet social de territoire. dés 2017 nous allons démarrer notre démarche diagnostic partagé ; nous allons nous appuyer sur ces habitants pour être le relais afin de participer aux comités techniques opérationnels qui seront constitués.  

Découverte d'un autre territoire, d'une région plus vaste et plus urbanisé

Favoriser le lien intersecteur et permettre d'accueillir des nouvelles familles

Les habitants n'ont pas fait le pique-nique ni le goùter en commun car il faisait trop froid. L'organisation n'était pas facile et cela leurs a demandé beaucoup de temps.

Les habitants ont fait un repas en janvier pour faire le bilan avec tous les participants afin d'organiser ensemble d'autres sorties familiales. Il y a eu  53 participants.l

le médiateur dispose d’un réseau « informel » de professionnels de santé avec lesquels il collabore et entretient des liens de confiance autour de situations individuelles mais n’inscrit pas encore son action dans le cadre de partenariats formels. . L’institutionnalisation de ces relations reste cependant un axe à travailler, d’autant plus difficile lorsqu’il s’agit de professionnels de santé libéraux

Du point de vue de la dimension collective de l’action, des efforts restent à fournir. Le diagnostic établi en partenariat avec la CPAM en 2015 met en évidence un certain nombre de phénomènes objectivement partagés par le public (diabète de type 2, surpoids …). Cependant, cela n’a pas garanti la possibilité de « faire collectif », la population " gens du voyage" étant tout aussi hétérogène que le reste de la population générale concernant son rapport à la santé et à la mobilisation collective.

L’une des principales difficultés rencontrée est  de saisir les attentes du public destinataire de l’action. En effet, la santé ne fait pas l’objet d’une attention particulière pour une partie du public, elle le devient lorsque les conséquences de la maladie ne peuvent plus être ignorées. De ce fait, l’approche par la prévention et la promotion de la santé est difficilement recevable pour le public

Malgré des résultats probants depuis plusieurs années, l’accès à la santé pour les gens du voyage reste difficile et suppose un travail de long terme. Plusieurs éléments peuvent tout de même être améliorés :

• La démarche globale de santé communautaire sous-jacente au projet demande à être travaillée
• Elle suppose le développement d’actions collectives plus fréquentes et à évaluer de façon appropriée
• L’éducation et la promotion de la santé sont des enjeux à mieux saisir pour la suite du projet
• L’amélioration de nos capacités de mobilisation du public peut répondre à cet objectif en proposant une offre attractive capable de répondre aux attentes et besoins des personnes

L'accueil de volontaires permet non seulement de permettre des engagements citoyens mais également d'abonder notre projet sur les thématiques interculturelles.

L'accueil de jeunes volontaires de pays étrangers (Roumanie, Espagne, Equateur, Allemagne, Italie ...) permet des sensibilisations dans nos activités au quotidien. Des repas et découvertes culinaires ont vu le jour au Café du P'tit bois, des expositions ont sensibilisé les habitants sur la connaissance de leurs pays, des animations contes en langue étrangère (via différents outils) ont animé l'espace des 0-3 ans durant une année, des échanges linguistiques ont permis de s'initier aux langues étrangères et d'aider des jeunes à la mobilité Européene (collective ou individuelle). A travers toutes ces animations qui ne sont ques des outils, un prétexte, nous avons échangé sur les sujets de fond tel que l'immigration, les réfugiés, l'emploi, la méconnaissance, la peur de l'autre ...

Leur présence au quotidien à amené une inter-connaissance. Elle permet de rompre des stéréotypes et d'éviter de tomber dans des préjugés.

Idem

Accueil de nouveaux volontaires (nécéssite une capacité humaine d'accompagnement)

Accueil de nouveaux volontaires

2 habitants présents lors de la matinée avaient dans leur famille des situations de radicalisation.

Elles ont pu en parler, trouver des personnes ressources et surtout des liens avec d'autres habitants.

Mobilisation de certaines personnes présentes pour s'engager dans l'accueil de réfugiés qui sont arrivées en fin d'année dans le cadre de la création d'un CADA sur notre secteur.

Envie de multiplier des espaces de ce type pour créer l'échange et la discussions sur des sujets de société, nationaux et locaux.

Découverte d'un nouveau mode d'échanges entre les générations.

Les moyens financiers actuels via les politiques publiques ne permettent pas de financer durablement des actions de ce type.

Formation d'animateurs à l'animation de ce type de rencontre, avec des risques.

Trouver des intervenants suffisament expérimentés pour savoir s'adapter et prendre le risque de sortir du confort du format "conférence".

Construire des actions concrètes pour permettre la discussion et surtout combattre la fermeture et la peur de l'autre.
 

La mise en œuvre de ce projet permet aux populations primo arrivantes sur le territoire  ou non de bénéficier d’un accompagnement de qualité afin qu’il acquière une autonomie quant à  leur intégration sociale, mais aussi leur réinsertion professionnelle.

Pour le territoire, il s’agira d’offrir aux habitants quel que soit leur statut social, une offre de services leur permettant d’accéder  au statut de citoyen intégré, informé et soutenu et de mieux vivre leurs différents statuts sociaux (parent d’élève, salarié, consommateur, usagers des transports publics…).

La mise en pace de cette action permet au centre social d'agir pour et vers le public cible. Plus généralement de lutter contre l'isolement de certains habitants, de favoriser les liens sociaux, et la mixité sociale.

La barrière de la langue, le manque de mode de garde pour les mères, le manque d'investissement de certains  apprenants dans la vie du centre social hors de la mise en oeuvre de cette action.

Encourager et développer d'avantage la transversalité entre les ASL et les différentes actions et projets de la structure

a renforcé l'interconnaissance et réseau partenarial professionnel, mise en réseau professionnel de proximité

vraiment lancé la réflexxion pour une prévention des violences faites aux femmes en milieu rural
 

interactions entre différents champs, agir en proximité avec les élus locaux

entretenir cette dynamique territoriale de réseau

poursuivre travail prévention violences faites aux femmes

Proposition innovante venant compléter les dispositifs de soutien à la parentalité, et pouvant être mobilisée par les partenaires, notamment les professionnels du centre médico-social.

Contribue à la reconnaissance du centre social dans son action auprès des parents, et pour sa capacité à développer des propositions qui répondent aux besoins exprimés par les familles et identifiés par les partenaires.

Les locaux du centre social sont trop petits pour accueillir cet atelier.

• Renforcer la communication autour de cet atelier.
• Co-construire l'atelier avec les familles
• Nous envisageons de déplacer cet atelier à la Maison des Familles et des Solidarités de Calvisson.

Le FabLab junior a permis de créer une dynamique de partage entre jeunes et plus âgés à partir des savoirs faires et envies des jeunes leur permettant d'être acteurs de leurs loisirs. De plus, celui-ci étant au sein d’un centre social où sont présents toutes les générations, cette initiative favorise les interconnaissances et améliore beaucoup l’image des jeunes sur la ville.

Dans le centre social, le premier impact a concerné le volet intergénérationnel. Si l’action est initialement à destination des jeunes, beaucoup de bénévoles de l’ODDAS s’y sont intéressés et ont partagé leurs compétences avec les adolescents (menuiserie, construction, mécanique, programmation….).

D’ailleurs depuis novembre 2016, un projet autour d’un FabLab pour tous, porté par les habitants, a commencé à être mis en place.

Le FabLab junior, projet novateur sur notre territoire, a aussi apporté une reconnaissance du centre social et a entraîné de nouveaux partenariats notamment auprès de structures éducatives.

De nombreuses nouvelles structures nous contactent pour créer de nouveaux partenariats. Cependant, le suivi d’une telle action, malgré l’implication très significative de nos bénévoles, demande davantage de moyens humains salariés.

Le FabLab junior a continué à fonctionner en 2017. L’ODDAS a fait l’acquisition de nouvelles machines ce qui a notamment permis de mettre en place un espace couture avec brodeuse numérique, machine à coudre et surjeteuse.

 A l’avenir, l’ODDAS envisage de développer plus amplement  l’implication des jeunes dans le lieu afin de favoriser leur autonomie. En 2017, ils ont déjà été porteurs d’un projet autour d’un Raspberry (ordinateur miniature) pour créer une borne d’arcade sur le retrogaming. Ils ont aussi pu fabriquer des lampes et un râtelier pour canne de billard pour la structure.

Les jeunes se sentent utiles, responsbles. Toutes les démarches sont réalisées par leurs soins. 

Prise d'autonomie de la part des jeunes

Valorisation des projets de jeunes

Identification du centre social comme un lieu d'accompagnement d'initiatives de jeunes avec un regard porté sur la thématiuqe culture, qui et un levier vers l'insertion sociale et professionnelle pour les jeunes.

Manque de moyen financiers pour conserver l'ampleur de l'action.

autonomisation du groupe de jeunes, ils peuvent poursuivre leur projet en parte sans adultes. Mais ils ont une demande en terme d'accompganement artistique. Le referent jeunesse poursuivra son accompagnement collectif et individuel

Reconnaissance des partenaires dans la capacité à travailler ensemble;

Dynamisme,

Capacité à fédérer, ouverrtue au partenariat, identification et reconnaissance de la qualité du projet famille.

Remise en cause du poste d'enseignante tous les ans.
 

Poursuite ...

une autre session nde forma

Valorisation de l'investissement des bénévoles dans la structure et sur le territoire des Clayes sous Bois.

Valorisation du travail sur l'évolution des droits des femmes auprès des partenaires locaux (centres sociaux, associations) 

Travail collaboratif des bénévoles sur un temps important (6 mois) 

Très belle exposition réutilisable pour le fil conducteur sur le droits des femmes dans la structure.

Fin du Collectif du Centenaire, action non reconduite.

Le Sémaphore avait déjà engagé une suite d'actions de sensibilisation à la condition féminine par le biais d'un projet sur la journée de la femme, ce projet entre donc dans la continuité de cet axe de développement. La perspective est d'inscrire la fresque collaborative dans la prochaine action sur le 8 mars 2018. 

Les partenaires « acteurs » se sont impliqués dans cette action, de la préparation jusqu’au bilan. Les partenaires financiers et logistiques sollicités ont répondu présent.

1530 personnes ont participé à une ou plusieurs des 32 actions proposées. 

Les publics ont été multiples : tous les âges ont été concernés, le public était représentatif de la population locale, les moments d’échanges et de débat ont bien fonctionné, cependant nous n’avons pas eu de propositions de la part des publics, les réactions étaient spontanées, notamment lors des micros-trottoirs, des cafés citoyens et des discussions d’après spectacles. La qualité des intervenants a beaucoup fait pour la réussite de cet événement.

Les bénévoles de la MJC Centre social se sont énormément impliqués dans ce projet, tant dans sa construction que dans son suivi et son déroulement. 

Les objectifs ont été respectés et donnent d’ores et déjà des pistes pour la poursuite de cette action. Le conseil d’administration de la MJC Centre social s’engage à poursuivre cet événement et en conserver le pilotage. 

Nous avons constaté un déficit de la diffusion de la communication sans lequel nous aurions pu toucher un public encore plus large. Il faudra améliorer cela pour aller encore plus vers les publics les plus éloignés des structures.

Le comité de pilotage, sous la conduite de la MJC Centre social, a redémarré son travail, à raison d'une réunion mensuelle avec les partenaires et au sein de ses instances. Une deuxième édition de "Casse ta carapace" aura lieu fin 2018-début 2019.

- Présence éducative sur internet : 6h par semaine

- 112 amis sur Facebook

- 103 personnes « Followers » sur Instagram

- 23 personnes sur Snapchat

L'effet le plus intéressant pour le centre social est certainement l'appartenance à un réseau inter-professionel. Cela permet au responsable du PIJ de rencontrer, échanger, travailler avec des éducateurs spécialisés, des animateurs, des informateurs jeunesse...

La communication est en l’état peu visible auprès des jeunes, qui ne repère pas ou peu le dispositif.

- Il est envisagé d’éditer des supports permettant davantage d’identification de l‘action sur le territoire.

- Organisation de concours sur les réseaux sociaux (photos,...)