Les actions des centres sociaux
Actions
Une main Tendue Vers l'Emploi
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL DE LA GRANDE REYSSOUZE - Ain
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
« Une Main Tendue Vers l’Emploi » vise un public en situation de précarité : femmes, jeunes et hommes, majoritairement issus des quartiers prioritaires : Reyssouze, Croix blanche, Pont des Chèvres ; sans en exclure les habitants des autres quartiers qui rencontrent également des difficultés d’insertion socioprofessionnelle.
Cette action met en évidence la nécessité d’évoluer sur un accompagnement individuel sur un lieu de proximité, au sein de la zone de vie des habitants et en lien avec les dispositifs existants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Description générale
Les habitants qui ont bénéficié de l’action sont à plus de 65% issus des quartiers prioritaires de la politique de la ville. 115 personnes ont pu bénéficier de cet accompagnement dans le cadre du projet « Main Tendue Vers l’Emploi ».
La parité entre hommes et femmes a été presque atteinte sur l’ensemble des personnes suivies (60 hommes et 55 femmes), alors que sur les quartiers prioritaires, elle a été totale (38 hommes et 37 femmes).
La mixité des publics est à l’image des quartiers concernés, essentiellement à origines étrangères à plus de 80%.
Les tranches d’âge concernées se déclinent de la manière suivante :
- les 16/25 ans : 28 personnes dont 19 garçons et 9 filles, soit 24.35% des personnes reçues,
- les 26/39 ans : 37 personnes dont 12 hommes et 25 femmes, soit 32.17% des personnes reçues,
- les 40/49 ans : 30 personnes dont 17 hommes et 13 femmes, soit 26.08% des personnes reçues,
- les 50 ans et plus : 20 personnes dont 12 hommes et 8 femmes, soit 17.39 des personnes reçues.
Aucune tranche d’âge n’est épargnée, les jeunes et les seniors restent néanmoins les plus touchés et les plus démunis face à ce qu’ils pensent être une fatalité en France.
Une des problématiques reste celle de la maîtrise de la langue. Malgré toute la bonne foi et l’envie de progresser dans la réalisation de leur projet professionnel, les personnes en carence, ont beaucoup de difficultés. Ceci à commencer par la rédaction d’un curriculum vitae. Des ateliers de réalisation de celui-ci existent bien,
Mais pas pour un public immigrants et même parfois citoyens français depuis longtemps.
Il en découle un découragement et un manque de confiance qui mène certaines personnes à ne plus croire que trouver ou retrouver un emploi ou une formation est possible.
Depuis le début de l’action en 2012, le nombre des personnes ayant besoin d’un accompagnement professionnel n’a cessé d’augmenter. Malgré les structures déjà existantes. Le Centre Socioculturel reste une des premières porte pour un public très éloigné de l’emploi. Le Centre n’a pas vocation à remplacer ces structures existante (telles que les PIE, MLJ, etc … avec lesquelles nous travaillons en partenariat, mais bel et bien à orienter, et à accompagner les personnes les plus en difficulté. Ces publics sont essentiellement issus des quartiers de la ville de Bourg-en-Bresse.
Les personnes qui ont pu bénéficier de cet accompagnement lors de permanence sur des structures caritatives, comme le Secours Populaire, ont davantage de mal à s’inscrire dans une perspective de l’emploi. En effet, lorsque les problématiques sont encore plus nombreuses et que la satisfaction de besoins primaires n’ai pas possible (manger), nous sommes amenés à essayer d’orienter vers d’autres voies plus prioritaires (se soigner, etc... )
- Ressources financières mobilisées pour cette action
29460 € dont achats 100€, services extérieurs 200€, autres services extérieurs 110 € , charges de personnel 26450€ et charges fixes de fonctionnement 2600€
Financement contrat de ville
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 profesionnelle + les partenaires.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Les bénéficiaires sont principalement issus des quartiers prioritaires de la Politique de la Ville : Reyssouze, Pont des Chèvres, Croix Blanche, sans exclure les habitants issus des autres territoires comme le centre ville notamment.
Ce sont 105 personnes, à ce jour, qui ont bénéficié de l’action.
75 % sont issus des quartiers prioritaires de la politique de la Ville : Reyssouze, Pont des Chèvres, Croix Blanche
45 % des personnes suivies, soit 47 personnes, sont bénéficiaires du RSA (socle et activité) ou l’ont été, car 45% ont un retour à l’emploi principalement en CDDI auprès des SIAE.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Cette année encore, l’action « Main Tendue Vers l’Emploi » a permis aux habitants du territoire et aux bénéficiaires venant par le biais des partenaires de bénéficier d’un suivi et d’une redynamisation de leur projet. Elle apparaît comme un premier pallier à franchir pour les personnes très éloignées de l’emploi et dans des problématiques diverses. Le partenariat et les permanences organisées avec les PIE et la MLJ permettent aux bénéficiaires d’inscrire leur projet professionnel dans leur projet de vie. C’est un service d’utilité public qui nécessite une pérennité.
Actions
en terrain connu
- Structure organisatrice
- Centre social et culturel de Bohain - Aisne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
les jeunes adhérents du CSC décident de vsiister les villes universitaires du territoire picard et nordiste durant leurs vacances scolaires
ils souhaitent être immergés dans une grande ville, prendre les transorts encommuns, vivre ensemble et utiliser les auberges de jeuensse comme espace d'hébergement
ils visitent alors Amiens, Lille et Laon et repèrent les espaces de vie étudiants, sont accueillis par des étudiants qu'il connaissent
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
les jeunes et leurs animateurs
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
besoin de travailer la mobilité des jeunes
besoin pour les jeunes d'être rassurer pour 'élargir leur champ de projection scolaire
recherche d'émancipation des jeunes
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
cette action a été menée en partenariat avec le conseil régional de Picardie
les jeuens ont pris des contacts pour leur hébergement
les jeuens ont édfini le programme des visites et des activités
ont choisi leurs modes de transport(train, bus de ville, métro, vélib)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
9800 euros
5000 euros du CRP
60*14=840 euros
caf : 420
commune de Bohain :2940
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
deux animateurs,
une coordinatrice jeunesse
- Résultat sur le territoire
mobisation des jeunes pour entrer en formation post bac
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
les parents font confiance au CSC et aux animateurs jeunesse et s'appuient sur les actions des jeunes pour compléter,
- Suite de l'action : Limites
la reconduction de l'action n'est pas systématique, alros qu'elle pourrait s'inscrire dans une dynamqiue territoriale pour encourager les jeunes à décourvrir des sites universitaires, démystifier "la grande ville", envisager une formation autre qu'au local
- Suite de l'action : Perspectives
inscrire l'action dans le projet accueil de jeunes en partenariat avecles parents, les jeunes et les établissements scolairs
Actions
Alimentation du jeune enfant
- Structure organisatrice
- Centre Social et d'Animation Culturelle - Aisne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Nous proposons des temps d'information et de mise en pratique aux familles, pour leur faire prendre conscience de l'importance de l'alimentation chez l'enfant et de les encourager à la prendre en mains.
Pour ce faire, nous proposerons un accompagnement des familles sur le marché de la commune, les lundis matin à 9H00, afin de choisir des produits frais locaux, ou encore au supermarché, pour guider dans le choix des produits (lecture des étiquettes, quantités...) dans le respect de l'équilibre alimentaire et de l'enveloppe impartie. Dans un second temps, les familles se déplaceront sans accompagnement et géreront elles-mêmes le "porte-monnaie". Au préalable, les familles réfléchiront à un "repas familial type", par le biais de recherches sur Internet, qui servira de support pour préparer celui des petits : Un boeuf-carottes par exemple, pourra simplement être mouliné et transformé en purée. Le temps du midi sera consacré à la préparation des plats, à leur transformation pour les adapter à chaque enfant, et à leur conservation (stérilisation de pots, mise sous vide...). Les familles pourront partager le reste du repas qui n'aura pas été transformé. L'activité prendra ensuite fin, vers 13H30-14H00. 16 séances seront programmées. La Référente familles coordonnera l'activité, qui sera encadrée par notre adulte-relais. Nous ferons également appel à des intervenants extérieurs et/ou du personnel qualifié en poste sur nos services, pour compléter l'accompagnement des familles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le service Multi-Accueil, dont nous assurons la gestion, nous a fait part de la nécessité d'accompagner les familles accueillies sur le service, quant à la préparation de l'alimentation de leurs enfants. Les professionnels en poste constatent, en effet, que les repas qui arrivent sur le service, ne sont pas ou sont mal adaptés aux enfants, en particulier pour les familles rencontrant des difficultés d'ordre économique et social.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Accompagnement des familles le lundi sur le marché. Nous avons fait appel à la Mutualité Française pour intervenir (à titre gratuit) autour de l'équilibre alimentaire, ainsi que l'Infirmière (Responsable) du Multi-Accueil. Cette action vient de démarrer... Avec un peu de recul, nous pourrons vous faire part des avancées sur cette action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le montant total des dépenses s'élève à 9300 €. Nous avons fait appel à des crédits Politique de la Ville (Région) et valorisé de la subvention de fonctionnement CAF et Ville.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés : la référente familles et l'adulte-relais
- Résultat sur le territoire
Non encore évalué
- Résultat pour le centre social
Non encore évalué
- Résultat pour les habitants
Non encore évalué
- Suite de l'action : Limites
Non encore évalué
- Suite de l'action : Perspectives
non encore évalué
Actions
Fête du livre jeunesse : Partir à la découverte des livres en rencontrant leurs auteurs et leurs illustrateurs
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION CROQ'LIVRES - Alpes-de-Haute-Provence
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Chaque année, pendant une semaine au mois de mai, l'association Croq'livres organise sur Forcalquier une Fête du livre jeunesse en partenariat avec l'association Eclat de lire pour Manosque. Chaque année, 10 auteurs et illustrateurs jeunesse sont invités, ce qui donne lieu à des temps de rencontre et d'atelier en milieux scolaires où lors d'évènements tous publics. A cette occasion nous proposons aussi des expositions d'originaux, des spectacles autour des livres, une projection ciné, des matinées consacrées aux tous-petits avec des îlots de lecture, des bibliothèque de rue spéciales.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Co- organisation assocition Croq'livres (Forcalquier) et Eclat de lire (Manosque)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour facilité l'accès à la lecture et aux livres au plus grand nombre, et notament aux enfants qui en sont éloignés socialement ou géographiquement. De façon ludique et vivante, cette action entend aussi d'une part promouvoir la création de littératérature jeunesse en favorisant les rencontres avec les auteurs et les illustrateurs et d'autre part faire découvrir les métiers de la chaîne du livre.
Cette action a été mise en place dans le but de familiariser dès le plus jeune âge les enfants et leur famille aux livres, de faire entrer le livre dans les familles comme outil pédagogiue mais aussi aide à la parentalité, de transformer le rapport aux livres et la culture, parfois trop assimilé à la scolarité, pour faire du livre un compagnon ludique, une plage de découverte, de jeux et de liberté.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
De juin à mai, cette action a été co-organiser avec l'association Eclat de lire de Manosque. Nous avons choisi une invitée d'honneur, Ilya Green à qui nous avons donné carte blanche. Elle a donc composer l'équipe des auteurs et des illustrateurs invités. Nous avons élaborer avec eux la programmation sur les deux territoires de Manosque et de Forcalquier. Programmation que nous avons ensuite proposée aux écoles et aux crèches pour les inviter à participer. Avec eux, nous avons préparer les moments de rencontre et d'atelier.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariées, 30 bénévoles.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Par un sondage fait à main levée, la documentaliste de Forcalquier, nous a informé qu'à l'entrée au collège en sixième, environs 80 pour cent des élèves avait rencontré un auteur ou un illustrateur au cours de leur scolarité.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
JEUNESSE EMI 12-25 ANS
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL "LA CORDELIERE" - Alpes-de-Haute-Provence
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Mixité sociale
- Résumé
- Education à l'image et aux médias par une pédagogie projet
- l'apprentissage de l'information dans une démarche journalistique
- Création d'une web radio, apprentissage vidéo
- Création d'un comité de rédaction
- Accompagnement au projet individuel ou collectif
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Infobésité des jeunes
- Méconnaissance des infrastructures locales couplée à une peur institutionnelle, plus largement de la vie locale et non recours aux droits
- Besoin d'expression, de libérer et de valoriser la parole des jeunes
- Peu d'espaces de loisirs dédiés aux plus de 18 ans
- Besoin d'accompagnement sur la vie quotidienne
- Neets dans les rues
- Décrochage scolaire, difficultés à l'orientation
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Un diagnostic en 2020 avec des jeunes adultes
- Construction du projet par groupes de travail et comités techniques incluant des jeunes
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Charges : materiel, salarié dédié
Produits: CAF, DDCS pour le salarié, DRAC pour les interventions exterieures vidéo et son, Région complément salarié et materiel
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié et des jeunes
- Résultat sur le territoire
- Visibilité du territoire
- Implication de neets sur un projet
- Résultat pour le centre social
- Reconnaissance de l'axe jeunesse
- Visibilité de la structure
- Résultat pour les habitants
- Accompagnement au projet, acquis de méthodologie
- Espace d'expression proposé
- Suite de l'action : Limites
- Participation des jeunes
- Suite de l'action : Perspectives
- Implication de jeunes dans les instances de la structure
- Développement de la radio vers tous les habitants, par les habitants
Actions
Accompagnbement Social et Médiation- Permanence d'écrivain public
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Harpèges- Les accords solidaires - Alpes-Maritimes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Démocratie & citoyenneté
- Précarité
- Résumé
La médiation sociale est une action transversale qui permet de mobiliser les compétences internes de l’association au service des usagers accueillis.
L’action consiste à assurer un accompagnement individualisé dans tous les domaines de la vie quotidienne (santé, logement, famille, emploi, éducation…) en étant à l’interface des institutions pour s’adapter aux problématiques rencontrées.
Les permanences d’écrivain public proposées, trois demi-journées par semaine, se retrouvent étroitement liée à la médiation sociale. Les personnes ayant besoin de faire un courrier, sans nécessité de suivi spécifique par les services sociaux, MSD ou CCAS, sont automatiquement orientées sur cette permanence, tenues par trois bénévoles aguerris aux pratiques sociales et de gestion dont ceux sont d’anciens directeurs de ressources humaines, la troisième ayant une longue expérience en la matière acquise dans les centres sociaux des Bouches-du-Rhône. Ces permanences, totalement complémentaires, ont été élargies par une permanence supplémentaire (d’une demi-journée par semaine) axée sur les litiges civils.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Une partie de la population (située notamment dans le centre ancien de Grasse) ne peut réaliser de démarches administratives seule. Ces difficultés sont liées à diverses problématiques : pas de maîtrise suffisante de la langue française, difficultés sévères à l’écrit (sans être nécessairement dans une situation d’illettrisme), illectronisme, ou fracture numérique, véritable frein à des démarches s’effectuant le plus souvent soit par courrier, soit par site internet.
Les retards et les absences de réalisation dans ces démarches peuvent aggraver certaines situations déjà fragiles avec ruptures de droits, etc..
Ces difficultés touchent diverses thématiques :
- Accès aux droits,
- Rédaction de courriers,
- Préparation de dossiers sociaux d’emploi, maladie, pensions, retraite,
- Etablissement de demandes de surendettement,
- Recherche de logements etc…
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Fréquence :
-
Les permanences de médiation sociale sont quotidiennes. Elles s’organisent sur rendez-vous de 9h à 13h00 et de 14h00 à 18h (sauf le vendredi où le public est accueilli jusqu’à 17h).
-
Les permanences d’écrivain public ont lieu les mardi et vendredi après-midi.
-
La permanence axée sur les litiges civils a lieu tous les mercredis matin.
Echéancier de l’action :
Les permanences d’accueil individuel se font sur rendez-vous. Un bilan de la situation globale de la personne accueillie est réalisé. Le plan d’action est élaboré avec l’usager et vise à promouvoir son autonomie en favorisant ses ressources et potentialités, en l’impliquant activement dans les démarches à effectuer. En fonction des problématiques, un suivi se met en place ou une orientation est proposée. Dans une grande majorité des situations, un travail en transversalité avec d’autres secteurs d’Harjès est proposé : cours d’alphabétisation, suivi dans le cadre de l’aide aux victimes, orientation pour les parents vers les accueils de loisirs enfants-adolescents, etc..
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Contrat de ville :
- Etat : 13 500€
- Région : 13 000€
- Commune : 24 500€
ASP ( Agence de Service et de Paiement) : 27 529 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe mixte:
- 2 médiatrices sociales
- 3 bénévoles
- Résultat sur le territoire
L’action d’accompagnement et de médiation sociale a permis l’accueil et le suivi d’un grand nombre de publics fragilisés, éloignés des dispositifs sociaux, sanitaires, de droit commun.
Cette action, très utilisées par les habitants, démontrent par le nombre d’usagers recensés le besoin existant d’accompagnement dans les difficultés et démarches de la vie quotidienne. Destiné à un public d’adultes, cet accompagnement fait l’objet d’une attention particulière en direction des personnes isolées et vieillissantes, des familles monoparentales, toutes en grand nombre sur ce territoire.
Dans un contexte économique et social particulièrement tendu ces dernières années, le service d’accompagnement et de médiation sociale occupe une place prépondérante au sein du quartier et rempli, autant que peut se faire, un rôle de « régulateur social ».
- Résultat pour le centre social
Du 1er janvier au 31 décembre 2016, 1126 personnes ont bénéficié des services de la médiation sociale.
Le nombre de bénéficiaires de l’action d’accompagnement social et de médiation est en constante augmentation depuis 2013. Ils étaient 682 en 2013, 1106 en 2014, 1423 en 2015 à la même période. (Le pic de 2015 s’explique par la fermeture de l’agence Caf de Grasse et la création du point-info CAF au centre social). L’augmentation des fréquentations des permanences de médiation démontre combien il est important de maintenir et développer ce service de proximité dans le secteur du Grand Centre et plus précisément sur le Centre Historique où les situations, d’une partie des habitants, sont particulièrement fragiles.
Destiné à un public d’adultes, cet accompagnement fait l’objet d’une attention particulière en direction des personnes isolées et vieillissantes, des familles monoparentales, toutes en grand nombre sur ce territoire.
- Résultat pour les habitants
Investis dans un partenariat riche et dynamique, les médiateurs sociaux proposent aux bénéficiaires, une prise en charge et un accompagnement social global. Ils prennent en compte, dans leur diagnostic les ressources, les potentialités, l’environnement familial et social de l’usager.
L’équipe tente, aussi souvent que possible, d’influer sur la capacité d’agir de la personne, sur son implication et sa responsabilisation dans toutes les démarches entreprises. L’objectif visé étant l’acquisition d’une plus grande autonomie.
L’accueil de partenaires, au sein du centre social, pour la tenue de leurs permanences (administrateurs Ad Hoc Actes Pelican, référent PLIE, travailleurs sociaux de la Maison des solidarités de Grasse Nord, travailleurs sociaux CAF du volet allocataires Pôle d’Interventions Sociales de Cannes.. ), permet d’offrir aux habitants d'autres prises en compte de proximité de leurs difficultés.
- Suite de l'action : Limites
Lutter contre l’illectronisme :
Les difficultés renforcées, chez certaines personnes (personnes âgées et/ou des personnes peu qualifiées en recherche d’emploi) engendrées par l’utilisation des technologies de l’information et de la communication représentent un enjeu majeur aujourd’hui avec lequel doit conjuguer le centre social.
Le problème qui se pose pour ces publics, ne se situe pas seulement par l’exclusion d’internet, mais plus fondamentalement au plan de l’information.
De plus en plus de démarches administratives passent par une plate-forme numérique (déclaration de ressources, constitution de dossier, ouverture de droits, inscription à l’Espace Activité Emploi, la plupart des annonces d’emploi sont aujourd’hui diffusées par internet…).
Afin de prévenir et limiter ces inégalités face à l’accès au savoir et aux démarches de la vie courante, il apparaît important de travailler avec le public sur l’acquisition des connaissances clés nécessaires à l’utilisation des ressources électroniques.
Aussi, si l’Espace Régional Internet Citoyen (ERIC) « hébergé » au sein même du centre social apporte déjà une plus-value aux activités de médiation sociale (près de 598 personnes reçues sur le premier semestre au sein de l’ERIC dont 90 % résident au Centre Ancien). Ce partenariat se renforcera et proposera des actions ciblées pour lutter contre cette fracture numérique (utilisation de l’environnement informatique, création d’adresse Email,..)
- Suite de l'action : Perspectives
Développement des ressources internes afin d'accompagner les demandes croissantes des usagers.
Actions
Alphabétisation-Insertion-Citoyenneté
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Harpèges- Les accords solidaires - Alpes-Maritimes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
L'action « d'alphabétisation-insertion-citoyenneté » vise à renforcer avec les bénéficiaires les bases d'un parcours d'insertion sociale et/ou professionnelle. Elle a pour objectif d'accompagner le public vers une plus grande autonomie en leur donnant quelques repères, à partir le plus souvent, de situations de la vie quotidienne, comme prendre un rendez-vous chez le médecin, téléphoner, répondre au téléphone…
Il est important de souligner que l’alphabétisation ne doit pas se limiter à l’apprentissage linguistique, c’est un outil d’autonomisation personnelle et un facteur de développement social et humain, permettant aux apprenants d’enrichir leur esprit critique.
Ces ateliers répondent donc à trois objectifs principaux :
- Progresser dans l’apprentissage de la langue française (orale ou écrite).
- Mieux connaître l’organisation de la société (démarches, emploi, culture, etc.) et développer sa capacité d’y agir de manière autonome. Les ateliers collectifs « citoyens » proposés aux bénéficiaires se construisent à partir des besoins repérés ou exposés par ce public, de ses centres d’intérêts pour favoriser une plus grande adhésion. Ces ateliers offrent aussi un espace de découverte des institutions et des espaces culturels et une meilleure connaissance des valeurs de la République, des fondements de la laïcité et des codes sociaux.
- Créer du lien social : pour nombre de personnes, des femmes le plus souvent, les ateliers sociolinguistiques permettent de partager, de faire des rencontres et de sortir de l’isolement.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Diverses demandes préalablement diagnostiquées servent de point d'ancrage à ce projet.
Ces demandes émanent :
-
des mères de famille, d’origine étrangère, désireuses de s’investir dans l’éducation de leurs enfants et acquérir globalement une plus grande autonomie,
-
des populations immigrées, installées en France depuis plus de 4 années,domiciliées prioritairement sur le Grand Centre de la ville de Grasse, pour lesquelles la barrière de la langue constitue encore un obstacle à leur insertion et à leur intégration,
-
des personnes d’origine française, notamment des jeunes,souffrant d’illettrisme et souhaitant améliorer leur compétence à l’écrit.
-
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Dans sa mise en œuvre opérationnelle, le projet d’alphabétisation-insertion-citoyenneté s’articule autour de 2 axes complémentaires : Des cours d'alphabétisation constitués par groupe de niveau et des actions collectives s’appuyant sur des thématiques spécifiques.
A l’issue, d’une phase d’évaluation, 4 groupes sont organisés en fonction du niveau de compétence des apprenants : grand débutant, débutant, intermédiaire et avancé. Chaque groupe est composé de 5 à 8 apprenants.
Les cours sont assurés par des bénévoles qui interviennent, chaque fois que possible, en binôme permettant ainsi un accompagnement parfois individualisé voire personnalisé.
Les cours ont lieu dans les locaux de l'association à raison de 2 séances par semaine. Chaque cours dure 2 heures.
Les « apprenants » bénéficient donc d'un minimum de 4 heures d'apprentissage hebdomadaire. Certains parmi eux ont opté pour plusieurs groupes de niveaux semblables, ce qui peut représenter 6 à 8 heures de participation par semaine.
La coordination de l'action est assurée par la responsable du centre social en lien avec une salariée référente, chargée de faire passer les tests de niveau, avec l’aide d’un groupe de bénévoles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Contrat de ville :
Etat: 15 000€
Région : 6 000€
Commune: 12 000€
ASP (Agence de Service et de Paiement) : 7 589€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
17 bénévoles intervenants parfois en binôme
1 médiatrice sociale
- Résultat sur le territoire
Cette action de proximité, conjuguée avec les autres activités de médiation sociale, a contribué, encore cette année, par le nombre de personnes accompagnées sur le secteur prioritaire de la politique de la ville (79 % en 2015), à prévenir l’isolement. Elle a permis de faciliter l’intégration des populations migrantes dans la vie locale mais aussi celles, nées en France, illettrées qui ont eu besoin de consolider leurs connaissances de bases à gagner encore un peu plus en autonomie.
Les ateliers sociolinguistiques ont apportés une ouverture sur les espaces sociaux et/ou culturels. Les actions citoyennes transversales aux différents ateliers ont permis de les sensibiliser aux codes sociaux, et à l’exercice des responsabilités sociales.
- Résultat pour le centre social
Les bénéficiaires des ateliers d’alphabétisation-insertion-citoyenneté ont été nombreux à s’investir sur les autres actions du centre social, démultipliant ainsi les espaces de socialisation et d’apprentissage.
Fédérateur, vecteur de bien être, d’ouverture, de partage l’ensemble des actions organisées avec les usagers des ateliers socio-linguistiques leur offrent des occasions de rencontres interculturelles et intergénérationnelles qui contribuent au mieux vivre ensemble.
- Résultat pour les habitants
D’un point de vue général, cette action a conduit une majorité de personnes à se familiariser avec la langue française et en acquérir les bases, permettant ainsi aux apprenants de communiquer plus facilement et de faire face aux situations de la vie quotidienne. Les ateliers d’alphabétisation-insertion-citoyenneté ont permis à un grand nombre de personnes d’origine étrangère, ou souffrant d’illettrisme, de capitaliser des savoirs et savoirs-faire, des compétences sociales transférables à d’autres situations de la vie personnelle et/ou professionnelles. Les ateliers citoyens ont aidé les bénéficiaires à mieux décrypter les règles et valeurs de la société française. Durant l’année, dans chaque groupe d’apprenants, au moins une sortie s’est organisée en Mairie, CPAM, … ou dans d’autres institutions, afin de les aider à mieux repérer les services publics de proximité.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
-Continuer de faire évoluer les pratiques et intégrer dans cette dynamique les nouveaux bénévoles arrivés au cours de l’année.
-Poursuivre la formation des bénévoles en ciblant la formation sur des thématiques qui les interrogent. - Mettre en place, au sein de la structure, des espaces d’échange de pratiques et de mutualisation.
-Renforcer la participation des apprenants sur l’ensemble des actions collectives portées par le centre social.
- Lutter contre l’illectronisme. Développer des actions d’initiation à l’outil informatique et de sensibilisation à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication, à l’utilisation des réseaux sociaux et plus généralement à l’utilisation d’internet.
Actions
quand les habitants retroussent leur manche !
- Structure organisatrice
- Centre Social des Perrières - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Emploi, économie
- Environnement
- Précarité
- Intégration
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
Projet collectif sur la création d'un jardin partagé sur 1800m2 de terrain.
25 personnes concernées, en cours d'écriture du réglement de fonctionnement pour débuter en février 2016
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
la demande émane des habitants lors d'une enquête conscientisante, pour l'écriture de notre projet social.
l'idée est d'avoir de la verdure dans ce quartier prioritaire et permettre également aux habitants d'avoir un espace à eux, pour cultiver des produits bio, sain.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
en lien avec la ville et accompagner par l'association "Le Mat" de valence
groupe d'habitants (25) se réunissant sur 5 réunions pour réfléchir sur le terrain, le réglement intérieur, le fonctionnement, l'eau.....
- Ressources financières mobilisées pour cette action
47 000 € environ sur la première année (gros oeuvre...)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnelles et 25 habitants
- Résultat sur le territoire
- mixité sociale : tout public confondu (personnes agées, jeunes, rsa, employé....)
- ouverture du quartier vers l'extérieur : mélange entre les habitants du quartier et des quartiers alentours
- économie : gain sur le porte monnaie des habitants
-écologie et cadre de vie : jardin bio et visibilité sur le quartier
- Résultat pour le centre social
accompagnement de projet : souhait d'autonomie du groupe vers la création d'une association
- Résultat pour les habitants
autonomie des habitants et être acteur et auteur de leur projet et de leur vie
- Suite de l'action : Limites
prévision échéancier : 5 ans,
les limites resteront les moyens financiers
- Suite de l'action : Perspectives
Accompagnemenet du projet jusqu'à la création d'une association de gestion des jardins
Actions
jardins partagés
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MULTISITES - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Précarité
- Intégration
- Résumé
Accomapgnement d'habitants des quartiers politique de la ville dans la création des jardins partagés.
Pluisieurs réunions pour réfléchir aux états de la mise en oeuvre de ce projet, en partenariat avec la collectivité, les bailleurs sociaux et des habitants
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Projet important pour les personnes habitants un immeuble, pas d'espace pour eux, cela va permettre que des familles puissent vivre de leur récoltes, de faire jouer l'entraide sur cet espace de vie, de mieux connaitre son voisins, et de mixité sociale et de territoire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
plusieurs temps de réunion pour définir les différentes étapes du projet...avec des objectif à chaque réunion..au total nous avons eu 15 réunions sur 1 an...cela à permis l'implication des habitants dans leur projet de A à Z....
- Ressources financières mobilisées pour cette action
35 000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
55
- Résultat sur le territoire
meilleurs image du quartier
respect du travail des familles par les jeunes
solidarité entre voisins
- Résultat pour le centre social
implications des habitants au conseil d'administartion ou bénévolat
projet qui se reproduit dans d'autres quartiers QPV
- Résultat pour les habitants
meilleurs alimentation
économie
vivre ensemble
- Suite de l'action : Limites
comme toujours les limites sont financières...
- Suite de l'action : Perspectives
continuité d'accompagenement jusqu'à la création d'une association avec les jardiniers pour prendre le relais
Actions
Manchest'Art
- Structure organisatrice
- Centre social Manchester - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle dans le cadre de la Nuit des Musées
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Dans le souci d’associer les jeunes dès l’élaboration du projet, une première phase de sensibilisation aux pratiques artistiques et culturelles a été prévue : rencontres avec des artistes divers (sculpteurs, peintres, dessinateurs, musiciens…), autour d’ateliers de créations artistiques, visites d’expositions, de musées.
Au fur et à mesure des rencontres, des réunions et des échanges,nous avons impliqué les jeunes au coup par coup en fonction de leurs envies : certains ont préférés s'impliquer dans la mise en place de sorties, d'autres sur la mise en place des ateliers artistiques, et d'autres pour l'installation de la manifestation.
- La conception de plaquettes d’information, d’affiches en direction des habitants
- L’organisation de sorties, de spectacles et d’un temps fort en direction de tous les habitants du quartier.
- L’élaboration d’une exposition « vivante et interactive » dans le quartier (Art éphémère, visite guidée).
- La Participation à « La nuit des musées ».
Les jeunes ont été encadrés et/ou accompagnés par des adultes référents, qui ont joué un rôle prépondérant dans la mobilisation des publics en créant des conditions favorables à leur implication et à leur participation active dans la mise en œuvre du projet
- Un animateur a été chargé de l’encadrement des jeunes tout au long du projet. Il s’agit d’une personne déjà en poste sur la structure qui a assuré le lien et la coordination du projet et a été là en soutien de toutes les démarches et initiatives des jeunes. De manière plus globale, la responsable du secteur jeune a eu un rôle de coordination du secteur et de toutes les actions s’y référent.
- Un réseau de partenaires a été constitué et associé au projet (Club de Prévention, collège, Service culturel de la ville, Musée de l'Ardenne...) et tout autre partenaire agissant dans les domaines culturels ou en milieu artistique et qui ont souhaité accompagner les jeunes dans ce projet).
- Les habitants et associations de quartier qui sont souhaité être associés à l’organisation des actions culturelles et à l’animation globale du quartier.
Ce projet aussi issu d’une volonté de recréer une dynamique partenariale sur le quartier et développer une politique commune en faveur de la jeunesse. Ont été associés les partenaires de l’insertion (Mission Locale, CIO…), les partenaires culturels (un représentant du Service culturel de la ville de Charleville-Mézières, un représentant de l’ORCCA, le directeur du musée de l’Ardenne…), les associations d’habitants (qui organisent aussi des manifestations culturelles et/ou festives sur le quartier), l’ACEPA, le collège Scamaroni…
Des liens permanents ont été établis au sein du Centre Social entre les différents secteurs (qui organisent aussi, chacun à leur niveau, des actions d’éveil artistique et de promotion de la culture).
En partant d’un projet de jeunes, c’est le développement social et l’animation globale du quartier qui ont été principaux objectifs à travers cette action.
C’est aussi une manière de mettre en valeur leurs compétences artistiques et de mettre en avant leurs aspirations culturelles, autant d’entrées permettant la mise en évidence de compétences et la valorisation des jeunes du quartier.
C’est durant l’Organisation du temps fort que l’implication des habitants du quartier a été la plus forte. Ils se sont mobilisés dans toutes les étapes de mise en place de cette manifestation sur leur lieu de vie.
Date : le 17 mai 2014(Nuit des musées)
De 18h00 à 24h00
Lieu : Quartier de Manchester
Présentation de l’évènement :
- Une structure posée sur la place de Manchester
- expositions interactives des œuvres réalisées dans le cadre des ateliers artistiques (depuis septembre 2010)
- visites guidées du musée et ateliers artistiques participatifs avec les habitants du quartier
- présence d’artistes et expositions d’artistes locaux (ORCCA…)
- Une animation musicale (groupe) en soirée
- Un espace restauration et buvette
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La loi de lutte contre les exclusions du 29 juillet 1998 stipule que "L'égal accès de tous, tout au long de la vie, à la culture, à la pratique sportive, aux vacances et aux loisirs constitue un objectif national. Il permet de garantir l'exercice effectif de la citoyenneté". L'accès à la culture placé au même titre que l'accès aux droits fondamentaux que sont le travail, le logement ou encore la santé ne doit pas rester une déclaration d'intention, et l'accès à la culture des populations les plus en difficulté pourrait être une priorité.
Le centre social veut participer à susciter dans ce sens l'intérêt de la société et des pouvoirs publics en oeuvrant pour l'accès et la pratique d'activités culturelles comme un moyen de lutter contre les exclusions. Non pas seulement dans le sens d'une appropriation de la culture classique mais d'abord pour offrir aux personnes en difficulté la possibilité d'exister autrement dans le regard des autres. Ce dont les personnes exclues souffrent le plus, ce n'est pas du manque de ressources, même si elles en parlent souvent en premier, c'est le manque de relations amicales avec d'autres et l'occasion de montrer qui elles sont réellement. Ce qu'elles pensent et ce qu'elles savent faire. En outre il faut du courage pour sortir d'un environnement que l'on maîtrise pour aller vers quelque chose dont on ne connaît pas les codes.
La dimension culturelle est une réelle amorce pour sortir de l'exclusion, se remobiliser et se projeter dans la vie. Par exemple, le simple fait d'aller au musée, permet de sortir de son entre soi, et de son environnement familier.
Loisirs et culture ne doivent pas être un luxe. Il s'agit de les faire entrer dans les quartiers populaires puis leur permettre d'intégrer des expressions nouvelles. La culture doit aussi être considéré comme un plus dans la vie (dans les relations avec les autres, dans un métier, dans un entretien d'embauche).
Les pratiques artistiques ( constituent les formes d'expression qui prennent appui sur un art, théâtre, danse, arts plastiques, écriture...et font appel à la créativité individuelle ou collective))et culturelles (ensemble des formes de diffusion, de mise en circulation, d'échange et de partage autour des biens culturels : fréquentation des musées, cinéma, monuments, écoute de la musique...) des jeunes sont un maillons essentiels de l'accès à l'autonomie, à la socialisation et à la responsabilité.
C'est à travers les activités artistiques et culturelles pratiquées dans des périodes clés d'apprentissage que sont l'adolescence et la jeunesse que chaque génération peut réinterpréter le monde, inscrire sa marque et apporter sa contribution au dialogue entre toutes les cultures: savantes, populaires et de toutes origines.
Seuls ces échanges et confrontations avec toutes les cultures dans l'espace public, permettent la reconnaissance des cultures des jeunes par les autres, autant que la reconnaissance des cultures des autres par les jeunes.
Même si les jeunes voyagent à travers la Webplanète, chambre close, ils ne grandissent pas seuls mais en harmonie avec leur entourage humain. Les adultes doivent les aider à activer un esprit critique, leur apprendre à argumenter, étayer et réfléchir pour que cela deviennent constructif et non plus négatif. Nous devons créer la rencontre Adolescents-Culture pour provoquer la protestation, ou tout du moins la réaction.
Tant que les jeunes protesteront contre "la musique de leurs parents" il y aura de l'espoir.
C'est pour cela que Manchest'art existe.
Les objectifs :
- Susciter les initiatives de jeunes du quartier en favorisant leur prise de responsabilités
- Favoriser leur autonomie en les associant à l’élaboration d’actions culturelles
- Sensibiliser les jeunes du quartier à différentes pratiques artistiques et/ou culturelles, et au-delà à la vie locale et à l’animation du quartier
- Participer à l’éveil artistique des jeunes tout en privilégiant les moments de partage intergénérationnel et de convivialité familiale.
- Aménager des espaces culturels et élaborer des moments de rencontres autour des pratiques artistiques.
- Travailler à la mise en réseau des acteurs du quartier (Centre social, Acepa, collège...)
- Inscrire le projet à l’échelle du quartier et en direction de tous les habitants
- Favoriser l’apprentissage de la vie sociale et la responsabilisation
- Permettre aux jeunes de découvrir le processus de création en privilégiant les rencontres conviviales avec les équipes artistiques et techniques
- organiser un temps fort autour des créations réalisées.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Par l'implication des jeunes dans le cadre de ce projet, nous avons recherché un réel investissement des jeunes mais également des habitants du quartier sur tous les évènements festifs qui se sont organisés durant l’année sur le quartier.
Les jeunes ont engagés toutes les démarches nécessaires à l’organisation des ateliers artistiques et culturels, à l’information, à la planification des moments forts. Les habitants ont été conviés à participer à la mise en place de ces temps forts (Nuit des musées).
L'action a débuté en janvier 2014 mais des éléments ont été construits en amont précédemment. Des rencontres conviviales ont été organisées entre les équipes artistiques et techniques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
56428 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Intervenants - en interne (équipe mobilisée)
coordinateur secteur adultes et familles
coordinatrice secteur jeunesse
animatrice secteur jeunesse
coordinatrice secteur enfance
responsable halte garderie
responsable insertion
responsable multimédia
Nombre d’intervenants participant à l’action :
1 artiste en résidence, 10 artistes (plasticien, peintre, sculpteur, graveur..) et 1 plasticien pour la mise en espace du musée
un technicien, groupe de musique...
- Résultat sur le territoire
Loisirs et culture ne doivent pas être un luxe. Il s'agit de les faire entrer dans les quartiers populaires puis leur permettre d'intégrer des expressions nouvelles. La culture doit aussi être considéré comme un plus dans la vie (dans les relations avec les autres, dans un métier, dans un entretien d'embauche).
- Résultat pour le centre social
Le centre social veut participer à susciter dans ce sens l'intérêt de la société et des pouvoirs publics en oeuvrant pour l'accès et la pratique d'activités culturelles comme un moyen de lutter contre les exclusions. Non pas seulement dans le sens d'une appropriation de la culture classique mais d'abord pour offrir aux personnes en difficulté la possibilité d'exister autrement dans le regard des autres.
- Résultat pour les habitants
C'est à travers les activités artistiques et culturelles pratiquées dans des périodes clés d'apprentissage que sont l'adolescence et la jeunesse que chaque génération peut réinterpréter le monde, inscrire sa marque et apporter sa contribution au dialogue entre toutes les cultures: savantes, populaires et de toutes origines.
Seuls ces échanges et confrontations avec toutes les cultures dans l'espace public, permettent la reconnaissance des cultures des jeunes par les autres, autant que la reconnaissance des cultures des autres par les jeunes.
Même si les jeunes voyagent à travers la Webplanète, chambre close, ils ne grandissent pas seuls mais en harmonie avec leur entourage humain. Les adultes doivent les aider à activer un esprit critique, leur apprendre à argumenter, étayer et réfléchir pour que cela deviennent constructif et non plus négatif. Nous devons créer la rencontre Adolescents-Culture pour provoquer la protestation, ou tout du moins la réaction.
- Suite de l'action : Limites
Pas de difficultés rencontrées
Tous les partenaires ont donné le meilleur d'eux même pour que le projet réussisse.
Chacun a trouvé sa place et a participé activement.
Les jeunes se sont impliqués de la conception a la réalisation du projet.
Les habitants se sont mobilisés dans les divers ateliers en amont mais également le jour de la manifestation.
Des habitants sont venus nous aider au montage ainsi qu'au démontage. D'autres étaient parfois guides ou surveillants du Musée
L'ensemble des habitants ont une réelle envie de faire des sorties culturelles et ils nous l'ont montrer lors des sorties, ils sont déjà mobilisé dans les différents ateliers. Une forte implication de leur part lors du temps fort du 17 mai 2014. Ils sont déjà venu nous demander si il y aurait une autre édition.
A ce jour, Manchest'art et la manifestation de la Nuit des Musées est toujours dans toutes les têtes.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
CARAVANE ARTISTIQUE
- Structure organisatrice
- MJC Jean Guillemin - Aube
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Mixité sociale
- Résumé
Animations de proximité grâce à un outil mobile (caravane).
Chaque semaine, nous nous installons dans un quartier différent de la ville et proposons aux habitants diverses animations culturelles, sportives et ludiques (éoliennes avec matériaux de recylage, arts du cirque, street golf, jardinage, percussions corporelles, jeux de société...).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Constat :
Une faiblesse dans l'accès à la culture et aux loisirs sur notre territoire. Des familles, en difficulté sociale et économique, peu mobiles, qui se refusent l'accès aux équipements culturels et de loisirs.
Résultats attendus :
Transmettre des activités, des pratiques, peu onéreuses, que les familles peuvent refaire chez elles.
Accroître la visibilité de la MJC Centre Social et donner envie aux familles de venir à notre rencontre.
Instaurer une relation de confiance avec le public pour lui permettre d'exprimer ses envies et besoins.
Favoriser la rencontre entre habitants d'un même quartier et de toute la ville.
Changements attendus :
Un public qui fréquenterait plus les équipements culturels, les associations locales.
Des habitants qui seraient plus solidaires avec leur voisinage.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Le projet a débuté en 2013 : Stage "Graph" sur minibus et caravane avec une quinzaine d'ados et en partenariat avec "l'Espace Animations Jeunes" de la ville.
L'action "caravane itinérante" a débuté en Mars 2014 et est animée par les animateurs MJC et quelques bénévoles Ados.
Le choix des quartiers se fait avec nos jeunes qui y habitent ou sur invitation de nos partenaires (chantier d'insertion, club de prévention, écoles, association d'handicapés spychiques...).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget total de 8 800 € :
dont achats : 2 500 €
dont services extérieurs : 300 €
dont autres services extérieurs : 1 000 €
dont charges de personnel : 4 000 €
dont bénévolat : 1 000 €
Partenaires financiers :
Politique de la Ville, Conseil Régional, CAF.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 coordinateur
2 animateurs
1 Service Volontaire Européen
5 bénévoles
- Résultat sur le territoire
La culture, les loisirs au plus près de tous les publics.
- Résultat pour le centre social
Une reconnaissance des partenaires locaux.
Une meilleure visibilité et communication de la MJC Centre Social.
Un nouveau public qui fréquente notre association.
- Résultat pour les habitants
Création de lien social entre voisins.
Meilleure relation parents/enfants par une valorisation des savoirs et compétences de chacun.
Des habitants acteurs de la vie de leur quartier.
- Suite de l'action : Limites
Action soumise aux aléas climatiques.
Des espaces non accessibles avec la caravane.
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduction de l'action.
Implication de nouveaux jeunes bénévoles.
Diversifier nos lieux d'action.
Créer de nouveaux partenariats.
Actions
Spectacle N°187
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL JEAN PAUL COSTE - Bouches-du-Rhône
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Notre centre socio-culturel a décidé de créer un "objet Culturel citoyen", spectacle vivant réflexif visant un double objectif éducatif :
- éclairer le passé
- réfléchir sur le présent
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous nous sommes rendus compte que les publics enfants et jeunes qui fréquentaient nos accueils (de loisirs et jeunesse) ne connaissaient pas l'Histoire du camp des Milles et la symbolique du "Wagon du souvenir" présent pour ne pas oublier ce qui a conduit à un génocide durant la seconde guerre mondiale. Le site Mémorial du camp des Milles est alors devenu un partenaire privilégié de notre centre. Nous avons nouer des liens et réfléchis ensemble sur la co-construction de modules éducatifs qui nous permettent de proposer un éclairage du passé pour mieux comprendre les rouages qui ont pu mener à cet épisode dramatique de notre Histoire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Une rencontre entre la directrice du centre socio-culturel Jean-Paul Coste (Béatrice Lay) et le directeur artistique de la Compagnie Mémoires Vives (Yan Gilg) en 2011 a été le point de départ.
2011 : première rencontre avec la Compagnie Mémoires Vives / décision de co-produire une œuvre
2012 - 2013 : rapprochement avec la fondation du camp des Milles. Ecriture du Projet partenarial et recherche des moyens pour la production de la création de l'oeuvre et des recherches associées (laboratoire de recherches artistiques)
2013 - 2014 : résidences artistiques et création de la pièce N° 187 (sur le mode "participatif")
2014 - 2015 : partenariat avec la camp des Milles sur la partie "contenu" de la pièce et première représentation au camp des Milles2015 : suspension du projet faute de financement
2016 : reprise du "contenu" en fonction des retours de cette première représentation et passage du modèle "participatif" au modèle "professionnel" avec 15 artistes associés au plateau. 3 représentations à guichets fermés au camp des Milles2017 : recherche de programmateurs et/ou de financement pour permettre la diffusion du spectacle
- Ressources financières mobilisées pour cette action
BP 2017 : 51 000 € de charges (pour 15 acteurs au plateau, 2 techniciens, 1 directeur artistique et 1 metteurs en scène) :
Pour 5 jours (2 jours de montage/filage + 3 jours de représentation soit 6 représentations.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe artistique : 15 acteurs au plateau, 2 techniciens, 1 directeur artistique et 1 metteurs en scène :
Equipe technique : 1 régisseur général + 1 régisseur son/vidéo
Equipe de Production : co-production CSC JP Coste et Cie mémoires Vives
- Résultat sur le territoire
Environ 750 personnes ont vu cette pièce en 2016 et sont venus au camp des Milles.
10 Centre sociaux (87 jeunes et 20 animateurs) ; 5 Addap ( 35 jeunes et 10 animateurs) ; 2 MECS (24 jeunes et 4 animateurs) ; 2 Lycées (33 jeunes et 4 accompagnateurs) ; 1 Epide (36 jeunes et 6 animateurs) ; Autres publics (491 personnes).
- Résultat pour le centre social
Suite à ce spectacle des structures ont sollicité des médiations culturelles sur la thématique "lutter contre les discriminations" (ADAPP et Lycée).
D'autres nous ont contacté car souhaitent venir voir le spectacle et visiter le camp des Milles (nous avons fait seulement 3 représentations à guichets fermés en 2016 ; certains n'ont donc pas pu venir en 2016).
- Résultat pour les habitants
Les artistes créateurs (acteurs) sont au nombre de 15.
- Ils sont également bénéficiaires car à travers le processus de création il y a pour eux aussi de la transformation et production de connaissances.
Les publics bénéficiaires (spectateurs) ont été 750 en 2016
- à partir de 12 ans / élèves de classe de 3ème (Collège) et Lycéens.
- et le tout public (adultes).
- Suite de l'action : Limites
Limite du modèle économique. Ce spectacle est produit exclusivement grâce aux subventions. Ces dernières sont à la baisse ou carrément non reconduites de 2016 à 2017.
Si des programmateurs ne nous achètent pas le spectacle (par contrat de cession par exemple) ce projet ne pourra plus être diffusé.
De plus, sans calendrier prévisionnel du planning à venir il y a un risque fort de perdre les artistes qui s'engageront sur d'autres projets et il nous faudra repasser par un temps de reprise avec de nouveau acteurs...
- Suite de l'action : Perspectives
Tout dépend de l'engagement et du soutien du camp des Milles à qui nous avons demandé officiellement de prévoir d'acheter le spectacle en 2017 (pour 6 représentations). Depuis 2014 nous jouons grâce aux subventions... Il est temps de concrétiser un vrai partenariat économique avec le Camp des Milles pour pérenniser ce projet culturel et citoyen et de ne plus dépendre des subventions.
Actions
"ADOS BIEN DANS SES BASKETS"
- Structure organisatrice
- CS MPT Croix Rouge Château Gombert - Bouches-du-Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
Cette action consiste à developper des competences artistiques facilitant l'intégration scolaire. Responsabiliser les participants dans la création et la présentation d'un spectacle.Déveloper un partenanriat de territoire oeuvrant dans le champ de l'art vivant.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous constatons dans les relations adultes/jeunes, qu’il est très important d’établir une communication basée sur l’écoute, le respect réciproque et la reconnaissance. Ce sentiment général de la jeunesse à ne pas être entendue ou estimée crée souvent par réaction, un état psychologique qu’on peut qualifier de « mal être ».Ce constat peut générer en fonction du contexte familial, social, culturel et économique du jeune, un parcours difficile avec des probabilités de dérives comportementales ou de santé.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L’action aura pour finalité de présenter auprès d’un large public différent, une scénette « d’expression vivante », sur plusieurs lieux (lycée Artaud, l’Astronef et au centre social). Le projet s’articulera sur deux périodes de l’année 2018, de janvier à juillet et de septembre à décembre Cette 1ère période démarrera juste après les fêtes de fin d’année avec un groupe qui aura été déjà constitué, l’année précédente.
Le projet s’organisera de la façon suivante :
Une séance de 2h/semaine hors vacances, à l’espace jeunes le Clos.
Un stage de 3 jours pendant les vacances de pâques, à Rose Rollandin.
Une rencontre avec un artiste à résidence sur un équipement culturel à Marseille (friche de la Belle de Mai).
Deux séances (filages /préparatifs) de 4h pendant 2 samedis après-midis à Rose Rollandin, avant les représentations.
Deux représentations en juin (lycée Artaud et Astronef).
Un séjour culturel à Paris préparé avec les jeunes pendant les vacances d’été.
Pendant la deuxième période.
Cette deuxième période qui démarrera après la rentrée scolaire, permettra aux jeunes impliqués dans le projet depuis janvier, de parrainer d’autres jeunes. Ces derniers, s’intégreront dans une dynamique déjà constituée qui sera aidante à l’apprentissage des techniques de jeux (de l’écriture à la scène).
En septembre, une soirée débat sur le thème de la pièce permettra à tous les participants de se retrouver autour d’une projection, qui aura été réalisée lors de la première période, et qui nous servira de support pour le bilan intermédiaire avec les familles.
Reprise de la séance de 2h/semaine hors vacances, à l’espace jeunes le Clos.
Un stage de découverte théâtre de trois jours pendant les vacances de la Toussaint pour mobiliser un nouveau public (jeunes/familles) sur le projet.
Une rencontre avec un artiste à résidence sur un équipement culturel à Marseille (Cité des Arts de la Rue).
En décembre, nous réaliserons l’évaluation finale de l’action avec tous les participants de ce projet. A cette occasion, nous rediffuserons en vidéo la scénette au centre social et le « making off » du déroulement de la deuxième période.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
21090 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
11 professionnels
- Résultat sur le territoire
L’impact positif sur le comportement des jeunes par une meilleure maitrise de leurs émotions, et estime d’eux-mêmes, nous confortera dans la démarche pédagogique apportée. Le jeune est devenu plus confiant avec une capacité d’analyse qui le rend plus responsable dans la réussite d’un parcours scolaire, d’ouverture sur la culture et le monde
fierté des familles avec un impact positif sur les résultats scolaires de leurs enfants.
Ils se sentiront plus en confiance eux –même dans les choix d’éducations consentis pour leurs enfants.
Ils s’orienteront plus facilement vers le centre social dans une relation d’éducation partagée pour d’autres expériences.
- Résultat pour le centre social
Ce projet facilite le partenariat du territoire: colleges, lycées, associations culturelles de proximité.
Le centre social mieux identifié comme un espace proposant des activités culturelles
- Résultat pour les habitants
Découverte pour les participants d'activités culturelles. Projet permettant la passerelle vers les sections" théâtre" des collèges et lycées
Valoriser les jeunes dans l'organisation de loisirs culturels à travers des rencontres avec des artistes à résidence, des sorties au théâtre avec les familles, des stages et un séjour.
Consolider notre travail éducatif dans un partenariat impliqué avec le collège Stéphane Mallarmé et le lycée Antonin Artaud de notre territoire mais aussi, avec d’autres partenaires.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action pourra se developper avec de nouveaux partenaires culturels tel que le théâtre national de proximité, trés interressé pour valoriser ce projet dans une programmation.
Actions
PROJET GENERATIONS SOLIDAIRES
- Structure organisatrice
- CS LA CARRAIRE - Bouches-du-Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Mixité sociale
- Résumé
Ce projet vise à développer divers modes d'intervention susceptibles de permettre aux différentes générations de partager des temps conviviaux adaptés à chacun et de s'appuyer sur le maillage partenarial dans une démarche coopérative. Il vise à créer la mise en place d'actions vectrices de solidarité et de vivre ensemble dans un cadre propice à répondre aux besoins du territoire.
Par le biais de trois axes nous proposerons donc :
-des animations séniors
-des ateliers intergénérationnels
-des actions inter secteurs pour toutes les générations
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lors de notre diagnostic partagé, nous avions relevé que l’évolution démographique notait un accroissement des personnes âgées sur les territoires, qui conduisait progressivement l’ensemble des acteurs à prendre en compte le processus de vieillissement de la population des quartiers et à soutenir des actions inscrites dans ce contexte.
Dans un souci de répondre pleinement aux besoins émanant, nous avons amorcé l’année précédente l’action « Générations solidaires » qui consiste à développer divers modes d'intervention susceptibles de permettre aux différentes générations de partager des temps conviviaux adaptés à chacun, et de s'appuyer sur le maillage partenarial dans une démarche coopérative. Cette approche nous permettant d’appréhender les différentes générations dans un objectif similaire d’agir en faveur de la citoyenneté et de favoriser les rencontres entre les publics.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Il s’agit de proposer des animations en journée partagées sur différents temps. Ces animations s’adressent directement au public sénior mais en fonction du support prévu, les publics jeunes et/ou adultes fréquentant la structure pourront être sollicités et contribuer activement à ces temps. Par exemple lors d’un repas spectacle, le groupe adultes assurera la confection, et celui des adolescents le service. Cette approche permet de créer du lien entre les générations, de lutter contre les représentations, et valorise les savoirs faires de chacun dans une démarche solidaire et citoyenne. Nous mettrons en place également des temps plus festifs (chants, danses) qui répondent aussi au bien-être des séniors et qui participent à stimuler la mémoire et la motricité.
Egalement nous mettrons en place 4 animations par an. Ces animations ne sont pas énoncées ici car elles se construisent en concertation avec les partenaires et sont organisées en fonction des saisons. Un temps convivial autour d’une collation sera toutefois prévu à chaque animation, et les différents groupes d’enfants, de jeunes et d’adultes du centre social seront pleinement associés sur ces temps.
Afin de rendre notre action pleinement globale et transversale, et de mettre en place des actions avec toutes les générations en donnant une véritable place aux séniors les plus éloignés des dispositifs existants, nous mettrons en œuvre divers ateliers tels que atelier écriture, culinaire, visite EPAHD…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Total budget: 13025€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 salariés intervenants ponctuellement et 1 salariée référente de l'action
7 partenaires à raison au moins 1 fois par mois
- Résultat sur le territoire
Cette démarche contribue non seulement à créer la rencontre mais concourt au volet solidaire et citoyen que nous développons durant l’année.
- Résultat pour le centre social
Développement de notre axe autour de l'intergénération, renfort du lien social et du vivre ensemble entre les générations
- Résultat pour les habitants
Lien social créé, entraide et solidarité, amélioration du lien entre les générations
- Suite de l'action : Limites
Difficultés envisageés liées à la fin du contrat de la personne en référence au projet, étant en contrat adulte relais
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer le l'implication partenariale afin de péréniser l'action
Actions
"Le Jardin de l'amitié"
- Structure organisatrice
- CENTRE D'ANIMATION CLEMENCEAU (Ex Union Sportive Saint-Jean Eudes) - Calvados
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Créer un jardin partagé sur le quartier Saint Jean Eudes. La notion de jardin partagé entraine une volonté d'implication forte des habitants dans la réflexion et dans la participation concrète de son animation régulière. Toutes les décisions d'aménagement, de plantations, d'animation et de gestion du jardin sont prises par un collectif d'habitants. Le jardin partagé est un moyen de répondre en même temps aux attentes des habitants et de créer du lien social. L'espace est ouvert sur le quartier aussi souvent et régulièrement que possible. Des parcelles pédagogiques seront mises en place pour les enfants de l'école et du centre de loisirs du quartier. Ce projet s'articule autour de valeurs de solidarité, de convivialité, de tolérance et de bonne entente entre les habitants jardiniers. Nous favorisons l'émergence de projets proposés par les habitants, permettant le mieux vivre sur le quartier.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le quartier Saint Jean Eudes est l'un des quartiers de Caen, où l'action sociale est prioritaire. Ce quartier manque de dynamisme tant en terme d'activité économique,qu'en terme de vie associative.
La situation financière des habitants, le chômage, les familles monoparentales, les difficultés de mobilité ou bien le manque de qualification sont des facteurs générateur d'exclusion culturelle et sociale. De plus pour les Caennais, l'image que renvoie le quartier Saint Jean Eudes est souvent négative, il est synonyme de quartier difficile. Il a une mauvaise réputation, ce qui influe sur le moral et le comportement de ses habitants.
La Création d'un jardin partagé a donné un projet phare au quartier et ce projet rayonne bien au delà de celui-ci , sur tout le secteur nord-est de la ville de Caen.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Le projet consiste en la création d'un jardin partagé sur le quartier Saint Jean Eudes. La priorité de ce projet est donc de favoriser la rencontre entre les habitants, de créer et dynamiser le lien social. La rencontre de l'autre est génératrice d'ouverture et sert de tremplin pour sortir de son isolement et s'intégrer à la vie du quartier.
Objectifs généraux :
- Développer et renforcer le lien social
- Rompre l'isolement
- Favoriser les échanges de savoir et l'entraide
- Favoriser l'esprit de gestion participative
- Ouvrir le jardin à des activités conviviales et festives
La création du jardin s'est effectuée en trois phases :
- 1er phase : information auprès du public et création d'un collectif d'habitants "jardiniers"
- 2ième phase : consiste à monter le projet avec le collectif d'habitants et les différents partenaires
- 3ième phase : permettre une appropriation collective du lieu : aménagement, culture...
Depuis trois ans, les activités du jardin partagé se sont développées :
- une vente de légumes a été mise en place une fois par semaine
- un espace convivial a été créé (fabrication d'un four à pain , d'un barbecue et d'un préau)
- plusieurs temps festifs ont été organisés
- un espace de jeux pour les enfants
a été créé
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnels et 20 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Au niveau du quartier, cette action a été mise en avant dans la presse, ce qui a permis de donner une image positive du quartier Saint Jean Eudes, sur l'agglomération caennaise et de développer les échanges avec d'autres jardins partagés.
- Résultat pour le centre social
Au niveau de la structure, le collectif d'habitants permet un appui et un soutien dans la mise en place de certaines actions. Ce collectif est également source de proposition pour de nouveaux projets
- Résultat pour les habitants
Au niveau du public, un collectif d'habitants gère le jardin partagé et celui-ci est à l'initiative de certaines manifestations. Ce projet a permis à certaines personnes de reprendre confiance en elles et de s' insérées dans des parcours de formation.
- Suite de l'action : Limites
Actuellement, le fonctionnement du jardin est géré par un collectif d'habitants. Le passage de ce collectif en association indépendante semble prématuré. Un accompagnement de ce collectif, par le centre d'animation est toujours nécessaire, malgré quelques années de fonctionnement.
- Suite de l'action : Perspectives
Le projet "jardin partagé" doit s'inscrire dans la durée, avec des habitants qui rentre et sorte du collectif au gré de leur parcours de vie. Tout l'enjeu de ce projet est qu'il ne soit pas identifié autour de quelques personnalités, mais bien autour d'un collectif.
Actions
Graine de culture
- Structure organisatrice
- LE COLIBRI CSCS LA COURONNE - Charente
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Environnement
- Résumé
Ateliers artistiques proposés à des enfants, des jeunes sur la thématique des jardins. Réalisation d’œuvres communes et valorisation des travaux réalisés lors d’une manifestation culturelle publique dans un quartier classé en zone prioritaire et au jardin de la biodiversité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Quel est le territoire du projet ? Dans quel contexte local s’inscrit-il (préciser si besoin le type de territoire) ?
Le territoire dans lequel s’inscrit ce projet est une commune de 8000 habitants comprenant notamment deux écoles maternelles totalisant 200 enfants, une école élémentaire regroupant 350 élèves, le plus gros collège du département de La Charente, un lycée agricole. Depuis 2015, il existe un quartier classé en zone prioritaire.
Quels sont les besoins auxquels votre projet entend répondre ?
Ce projet vise à contribuer à l’éveil culturel par l’ouverture d’espaces dédiés à la création. Il contribuera à l’appropriation et à la valorisation de l’espace urbain et du jardin de la biodiversité.
Ce projet pourra encourager les échanges autour des pratiques culturelles et permettra de fédérer des publics divers sur un projet artistique commun sur un territoire donné.
D’autres organismes se sont-ils impliqués localement sur cette même problématique ? Lesquels ?
Poursuivent-ils toujours leur action en ce sens ? Si non, pourquoi ?
Si oui, en quoi votre intervention est-elle complémentaire ?
Les établissements scolaires à travers différents projets ont intégré l’action culturelle comme un élément essentiel dans le parcours de l’enfant et du jeune. L’action que nous souhaitons mettre en place permettra de fédérer les acteurs du champ socioéducatif sur un projet culturel et s’adressant à un très large public. L’intervention d’artistes et Cie professionnelles apportera une dimension plus affirmée de faire de la culture un axe fort dans les projets des structures socioéducatives du territoire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
2.1 Objectifs du projet
Précisez concrètement le ou les objectifs du projet (3 ou 4 au maximum)
- Permettre à des enfants et des jeunes de découvrir et de s’initier à différentes formes artistiques, de développer leur sens critique et leur ouverture culturelle,
- Faire émerger et valoriser les potentiels artistiques et la créativité de chacun et les mettre au service d’œuvres collectives,
- Au travers de ces propositions artistiques, poursuivre le travail de sensibilisation à l’environnement et de promotion du jardin partagé.
2.2 Actions mises en œuvre
Présentez concrètement toutes les actions qui seront réalisées.
Toutes les actions artistiques seront encadrées et animés par des artistes professionnels. Pour donner une cohérence à ce projet, nous ferons appel à Johanna Perdu, artiste plasticienne chargée de réaliser la scénographie du projet dans sa globalité, qui fera le lien entre les différents intervenants. Par ailleurs, Johanna « formera » les différents professionnels animateurs, enseignants, bénévoles à des techniques pour qu’ils soient en capacité de de retransmette un savoir-faire éclairé par une approche artistique.
Actions en direction des enfants, jeunes, adolescents ; familles, adultes et seniors :
Johanna PERDU https://www.facebook.com/pg/La-DJo-243268387369
Scénographie générale + Ateliers arts plastiques
- Conception de volumes
- Fabrication de mobiles
- Peinture sur les bancs publics
- Graff sur bitume
- Mosaïque
- Street Bombing
- Travail sur l’affiche de la manifestation
Fabrice PRESSIGOUT, artiste plasticien http://www.fabrice-pressigout.fr/
Atelier réalisation de bancs publics
- Sculptures sur bois
- Customisation
Cie L’Impromptu https://cielimpromptu.jimdo.com/
Ateliers sonores,
- Captation des sons du jardin (naturels et ceux produits par les outils de jardinage) et des paroles et ressentis des jardiniers.
La matière recueillie servira à alimenter deux formes sonores :
- la première sera une nappe pouvant être diffusée en boucle lors de la manifestation
-la deuxième sera un set DJ joué en direct le soir de la restitution publique
Ateliers visuels
- Réalisation de visuels animés et d’images fixes pour créer une végétation virtuelle qui envahira les murs du quartier.
Nino COSTRINI http://www.nomad-diffusion.fr/el-mundo-costrini/87-the-crazy-mozarts
Ateliers clown + spectacle de rue
Manifestation et restitution publique
Soirée dans le quartier
- Hip Hop et /ou batucada
- Repas partagé
- Spectacle de rue
- Projection visuelle + restitution sonore
- Set DJ
- Performance in situ
Après-midi dans le jardin
- Ateliers sur la nature
- Installation Land Art
- Ateliers jeux géants
- Spectacle arts vivants « jeune public »
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Classe compta.
Dépenses
(à détailler : ne pas hésiter à insérer des lignes)
Type d’unité
Nombre unités
Coût unitaire
Coût total
(Toutes années)
2017
2018
60
Achats (matières et fournitures)
Frais techniques ateliers sonores et visuelles
Matériel pour les ateliers
800 €
2 000 €
1 000 €
800€
1 000 €
61
Services extérieurs (locations, assurances, documentations…)
Location matériel pour la manifestation
2 000 €
2000€
62
Autres services extérieurs (honoraires, missions et réceptions…)
Artiste plasticienne
Artiste plasticien
Cie Impromptu (salaire et charges administrative +ateliers en amont)
Cie Nino Costrini
(ateliers +spectacle)
Autres spectacles
arts vivant (en cours)
régie technique
Catering
Communication
5 500€
2 500 €
6 500€
2 600€
6 000€
700€
1 000€
1 200€
2 500 €
2 500 €
3 000 €
6 500 €
2 600 €
6 000 €
700 €
1 000 €
1 200 €
64
Ressources humaines dédiées au projet (salaires et charges, à détailler par fonction)
190 heures pour moi
ALSH 30 h X 3 animateurs,
Laetitia ?
Factotum ?
Valia ?
Toi ?
Anthony ?
+ DU TEMPS POUR TOUS POUR LE WEEK-END du 1 ET 2 JUIN
9 700 €
2 500 €
7 200 €
65
Autres coûts (à préciser)
Déplacements + Hébergement
800 €
800 €
6
Sous-total des coûts de fonctionnement directs
41 300 €
8 500 €
32 800 €
2
Equipements nécessaires pour le projet (investissements à lister)
2
Sous-total des investissements pour le projet
Frais administratifs (somme forfaitaire intégrant la quote-part des frais de gestion de l’organisme affectée à ce projet)
TOTAL dépenses du projet (fonctionnement, investissement, frais admin.)
41 300 €
8 500 €
32 800 €
Plan de financement
Acquis
Demandé
(ou à solliciter)
% du total
Montant
(Toutes années)
2017
2018
74
Subvention demandée à la Fondation de France
(pour toutes les années du projet)
X
48 %
20 000€
20 000 €
75
Fonds propres apportés par le porteur du projet, ou participation des usagers (à préciser)
Fonds propre CSCS pour nos salaires
2017+2018
23 %
9 700 €
2 500 €
7 200 €
70
Ventes de biens ou services (à expliquer infra)
74
Autre subvention (préciser le bailleur et le dispositif, et cocher acquis ou demandé)
Education nationale /dispositif éclore
acquis
5 %
2 000 €
2 000 €
74
Autre subvention (préciser le bailleur et le dispositif, et cocher acquis ou demandé)
COMMUNE : à calculer :
TAPS (2017 )+
Subvention culturelle (ce qui reste sur 2017)
COMMUNE :
TAPS 2018 +
Subvention culturelle 2018
Département
DRAC
GRAND ANGOULEME
Politique de la ville
8 %
5 %
4 %
5 %
2 %
3 500
2 000
1 500
2 000
600
2 000 €
2 000 €
3 500 €
1 500 €
600 €
Autres produits (à préciser)
TOTAL des ressources pour le projet
100 %
41 300 €
8 500 €
32 800 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
Animation de territoire mélant toutes les tranches d'âge depuis l'école primaire.
- Résultat pour le centre social
Une visibilité du projet culturel du CSCS
Une reconnaissance de son savoir-faire en matière d'animation de territoire.
- Résultat pour les habitants
Un ouverture d'esprit sur le champ culturel accompagnée par des artistes
- Suite de l'action : Limites
Les ressources humaines limitées sur ce type de projet. L'engagement des bénévoles pour la pérénnisation de projet de cette ampleur.
- Suite de l'action : Perspectives
Nouveau projet 2018-2019 avec le FRAC, l'Artothèque et d'autre centres sociaux du territoire.
Actions
Pôle numérique et Mobilité
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL DU BARBEZILIEN - Charente
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Depart le regroupement des 3 associations (ENSC, AAISC, CSC) ,, une offre d'activité autour du numérique et de la mobilité a vu le jour reprenant des activités existantes (animations collectives et séances de formations autour du numérique) mais surtout développer des axes nouveaux (cyber café, promeneur du net, antenne de mobilité, fablab...). Basé sur une réponse à la demande/besoin social du territoire, cet espace est amené à évoluer suivant les avancées du territoire. Le centre sicoculturel a une part importante dans ce collectif du fait de la mise à disposition d'un animateur permanent au sein de l'organisation. Il développe en m^me temps l'ensemble de la communication du pole numérique et mobilité et celle du CSC avec l'aide d'un service civique. Le projet est mis en place dans le cadre d'un développement territorial et cohérent sur le sud et ouest charente (voir l'association Mobilité Ouest et sud Charente MOSC). Les deux centres sociaux du pays de chalais et du Barbezilien développent cet axe autour de la mobilité et du numérique ensemble
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La ruralité a ses avantages et ses inconvénients. La mobilité et le numérique sont indissociables dans les thématiques évoquées dans les territoires ruraux aussi bien en politique sociale, qu'conomique ou culturelle: maintien au domiciule, accès à l'emploi, accès aux droits, dynamique territoriale.... Il est important que ces domaines d'intervention aussi bien par les associations que les collectivités locales soient le spriorités de demain. Les trois association liées à ce projet (Pole numérique et mobilité) ainsi que celles inégrant MOSC
(dont ces trois dernières) sont incitatrices et force de proposition pour , ensemble, interpeller les pouvoirs publics et défendre les territoire rural.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
En premier temps, une opportunité: Le château, pôle d'excellence rurale, souhaitait mettre en oeuvre dans ces espaces des espaces d'animation numériques.
En deuxième temps, une initiative locale des jeunes du CDJ (comité des jeunes) désirant mettre en oeuvre un espace cyber sur le territoire
En troisième temps , MOSC développait un projet de création d'antennes d emobilités sur Chalais et Barbezieux
En dernier, des actions déjà existantes autour de l'animation collective ou séances de formation, peu identifiées.
L'ensemble de ces conats réunis ont permis entre autres de réunir ces axes mais égalment à développer des réponses aux besoins ressentits.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Un budget d'investissement a été relativement important pour se doter de matériels informatiques et bureaux (financés en grande partie par les fondations) . Environ 12000euros ont été nécessaires pour démarrer l'activité en 2017. Un plan d'investissement en 2018 est en cours d'élaboration
Le partenariat avec la CDC a permis de bénéficier des locaux ainsi que la prise en charge des frais fixes du Pôle numérique et mobilité
Le financement de l'animateur et le service civique mis à disposition par le CSC a été financé par un montage financier complexe entre la CAF (aide au démarrage) , la région (aide à la création de poste) et l'Etat ( FONJEP)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 professionnels et leurs bénévoles des CA
- Résultat sur le territoire
Etant donné que l'action est en cours et a simplement débuté en septembre 2017, les effets et impacts sont difficilement évaluables. Pour autant, une fréquentation diverse et variée est à noter. Les multiples entrées permettent une mixité des publics.
- Résultat pour le centre social
Comme l'animateur et le service civique intègrent aussi bien l'animation du pôle numérique que la communication du CSC, il est clair qu'à ce jour l'impact sur le centre estd éjà mesurable. La création du site internet et son suivi (cscbarbezieux.com) ezst en est déjà un élément concret. Le fablab et promeneur du net permettent également de faire des passerelles. Des actions autour du Cyber café avec les LASH et accueil jeunes ont permis également de travailler ensemble
- Résultat pour les habitants
Le lieu est pertinent pour les habitants selon les retours de nos partenaires locaux. Il faut attendre une année de fonctionnement effectif pour en mesurer l'impact.
- Suite de l'action : Limites
Les limites sont celles de la pérénisation du poste à l'issue des trois années. Les collectivités et autres partenaires devront consolider le stravail qui aura été entrepris depuis ces trois années.
- Suite de l'action : Perspectives
Rapprochement Numérique Culture
Développement antenne de mobilité avec animations diverses (transport solidaire)
Animation du site et ouverture à d'autres acteurs asssociatifs
Actions
Expérimentation transport social et solidaire
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL ENVOL - Charente
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Emploi, économie
- mobilité / transport
- Résumé
Les 2 centres socio-culturels du Sud Charente et l’ATLEB gérant un transport social à la demande sous des organisations différentes se sont rencontrés au cours du dernier trimestre 2017 dans le cadre de leur coopération au sein de l’association MOSC pour réfléchir à la mise en place d’un service unique à l’échelle du Sud Charente. Le service mobilité (transport social à la demande) s’inscrit dans le cadre d’une démarche d’amélioration des conditions de vie des populations vulnérables et isolées en milieu rural (Personnes relevant des minimas sociaux; personnes sans permis et/ou véhicule; personnes possédant le permis et un véhicule mais dans l’incapacité de conduire pour raison médicale; personnes avec des revenus très faibles n’ayant pas les moyens financiers d’utiliser les services de transport professionnel et séniors )
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
· Préparer la promotion pour l’été 2018 d’un service transport social à la demande à l’échelle du Sud Charente (territoires des 4 B & Lavalette Tude Dronne) qui serait géré par le Centre Socio-Culturel du Pays de Chalais .
· Organiser d’ici la fin de l’année 2018 la mise en place d’un transport solidaire complémentaire reposant sur la philosophie d’une monnaie locale et intégrant des actions MONALISA autour du « bien vieillir et vieillissement actif ».
· Développer prioritairement et de manière permanente l’accès entre les bassins de vie des anciens chefs lieux de canton du Sud Charente.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Inventaire du fonctionnement de chaque service existant et des pratiques tarifaires. Détermination d’un dispositif unique (jours, horaires, modalités de réservation, tarification….) Réflexion sur la « contrepartie monnaie locale » et démarchage auprès des commerces locaux. Communication du projet auprès des associations locales et entreprises pour relais des informations. Appel à participation de chauffeurs bénévoles. Préparation supports de communication auprès du grand public et des personnes âgées (affiches, flyers…) Diffusion d’informations via les sites internet, bulletins des collectivités…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
98 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 totalisant 3.25 ETP
- Résultat sur le territoire
Optimisation et mutualisation des ressources existantes sur le territoire Sud Charente
- Résultat pour le centre social
Développement économique, service à la population, animation vie sociale, insertion par l'activité économique, engagement des habitants
- Résultat pour les habitants
service à la problématique de mobilité, engagement solidaire, participation à l'animation de la vie sociale
- Suite de l'action : Limites
Pérennité financement
- Suite de l'action : Perspectives
Gérer un seul dispositif en 2020 sur le Sud Charente réunissant le transport social à la demande et du transport solidaire combinant à la fois micro-transport collectif sur des lignes régulières desservies et transport à la carte du lundi au dimanche pour tous types de déplacements.
Actions
Lutte contre les Violences faites aux Femmes : Prévenir les violences par la sensibilisation et l’éducation
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL LE PONT DES SEUGNES - Charente-Maritime
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
La Convention Région ne prévoyait pas de reconduction de l'action
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Santé
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
Le CSP place la lutte pour l’Egalité au cœur de son projet en 2015. Volonté se traduite par la mise en œuvre d’actions en direction des publics les plus exposés aux discriminations, au premier rang desquels les femmes qui continuent de faire face à des inégalités de traitement importantes, notamment dans le monde professionnel, et demeurent les premières victimes de violences psychologiques ou sexuelles.
Campagne soutenue par le CA du CSP, les habitants, et des partenaires (Région, Ville...) pour mettre l’accent et dénoncer les stéréotypes : partage équitable des rôles, des tâches, loisirs ; parfois difficile au sein d’une famille. Le CS Pons’est engagé pour agir en termes d’éducation à la citoyennetév en faveur d’une meilleure égalité femmes-hommes.
Actions menées
- L’idée d’une affiche est prévu afin que le message passe par un slogan, une question choc ou un ton décalé. Travailler, jouer sur les stéréotypes... L’affiche doit être déclinable sur les différents stéréotypes. Pour que cela ait plus d’impacts, un personnage sera représenté sur chaque affiche tout en conservant une partie centrale commune à chaque affiche.
- Lancement de la campagne au forum des associations de Pons, avec une exposition adaptée et animée. Diffusion de la campagne à l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes en novembre 2014, dans l’ensemble du territoire, à l’aide de différents supports (cartes postales, expo, etc…), dans différents lieux du secteur (associations, commerces, etc…)
- Réalisation d’un kit pédagogique utilisable par les écoles, les centres de loisirs, etc…pour présenter la campagne de communication et permettre d’engager la discussion avec les élèves.
- Proposer un atelier théâtre forum - des séances dans les écoles, collège, lycée et au centre de loisirs, avec des sujets adaptés, afin que les enfants et jeunes puissent se rendre compte eux-mêmes de la nécessité de faire évoluer les mentalités.
- Mise en scène de petites scénettes de la vie quotidienne. La sphère familiale, privée, parait alors comme l’endroit où la possibilité d’agir est essentielle. Entrer dans le quotidien des personnes permet de changer les mentalités petit à petit. L’humour peut faire changer beaucoup de choses…
- Mettre en place des ateliers philosophiques «filles/garçons ? » proposés aux enfants et jeunes et animés par les bénévoles de l’association dans le cadre de notre action d’accompagnements à la scolarité.
- Une sensibilisation aux discriminations sexistes proposée via la littérature de jeunesse en partenariat avec la bibliothèque municipale.
- Le développement d’activités sportives et culturelles à destination des filles, des femmes dans le projet de la structure.
- Un projet pédagogique des centres de loisirs axé sur la culture, la citoyenneté et la mixité permettant de travailler sur la déconstruction des stéréotypes.
- La valorisation de parcours féminins. Réalisation d’une exposition sur l’exercice de métiers au féminin pour rappeler l’égalité professionnelle entre hommes et femmes, en lien avec une programmation confiée à des femmes artistes.
- Des aides matérielles aux associations, en partenariat avec le tissu associatif, œuvrant pour les droits et la cause des femmes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un habitant
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’association a souhaité agir pour le programme régional en faveur de l'égalité entre les hommes et les femmes en Poitou-Charentes et la lutte contre les violences faites aux femmes au travers d’un ensemble d’évènements culturels et à visée éducative.
En mobilisant des acteurs pluriels et en mixant les publics
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Les membres du conseil ne souhaitaient pas imposer un message ni un rappel à la loi mais plutôt aider au questionnement et éviter ainsi de sombrer dans le jugement déjà trop récurent… questionner pour ne pas donner de leçons ni aux hommes ni aux femmes et respecter ainsi toutes les cultures.
- Le message s’adressait donc aux enfants, aux familles.
Démarrage : conception fin 2014
Mise en place : 2015
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget couvrant : Honoraires des prestataires, Salaires, Imprimerie...
CHARGES
PRODUITS Achats 708 Produit d'activités 2 000 Services Ext 734 Subventions d'exploit° 12 006 Autres Serv. Ext 1 846 Région 8 000 Impôts / Taxes 75 Communes 1 500 Charges Personnel 10 643 CAF 500 Bénévolat 1 000 Etat 2 487 Mise à Disp. Gratuite 1 150 Fonds propres
Mise à dispo Gratuite
Bénévolat
2 419
1 150
1000
TOTAL CHARGES 16 156 TOTAL PRODUITS 16 156
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe salariée, bénévoles, partenaires : environ 45 personnes
- Résultat sur le territoire
Impact pour le territoire : Communication sur les actions qui peuvent être menées et la manière de mobiliser les habitants dans leur pouvoir d'agir En ce qui concerne les Beneficiaires de l'action sur le territoire : l'impact a présenté les caractéristiques suivantes été de cet ordre
Indications moyennes :
Public enfant : Primaire : 120
Public Jeune : Collège : 90 - classes de 6ème
Public Ado : Lycée : 30 - classes de terminales
Public Adulte : 150 toutes actions confondues
- Résultat pour le centre social
En majorité, certaines actions ont poursuivi dans la continuité et cerratines actions (pré-citées) sont devenues des rendez-vous réguliers :
- Interventions dans le cadre des Temps d’accueil périscolaires avec la radio Locale Associative « Radio Pons »
- Action Atelier discussion au collèges et lycée. Cette action a pour but de faire évoluer les mentalités et « s’attaquer » aux à priori. Ces temps d’échange permettent aux adolescents d’apprendre à dire et communiquer et de construire un argumentaire
Ecriture de théâtre
- Lecture & Ecriture : Dans le cadre des animations prévues, un atelier d’écriture a été initié pour donner la parole aux mots, en direction des publics en situation d’illettrisme. Cet atelier perdure et s'intitule "Mots de Tête"
- Le Projet a aussi permis un travail sur la sensibilisation aux discriminations sexistes au travers de la littérature de jeunesse, et en partenariat avec la bibliothèque municipale ; et ce partenariat se poursuit, en y mêlant également la ludothèque
- Danse intuitive : L’action aura permis de travailler sur une idée d’atelier de danse en direction des femmes. Espace ou elles pourraient décompenser et libérer leur corps de leurs soufrrances et leur meurtrissures au travers de la danse : musique et harmonie du corps
- Café Philo : se poursuit 2 fois par mois avec de nouvelles thématiques, après une ouverture sur les sujets en lien avec la violence et les discriminations
- Soutien et présence aux associations : avec le label PAVA
- Résultat pour les habitants
Ouverture aux habitants sur de nouvelles opportunités de participation aux actions, et sur la possibilité de se faire accompagner à partir d'idées de projets.
Communication auprès des partenaires du projet au sujet de nos missions et d'une poursuite de partenariat.
Communication sur le Centre Social comme espacce d'acceuil, de rencontres, et comme foyer d'initiatives collectives
Redynamaisation de la vie locale au travers de rencontres avec des habitants sensibilisés à la thématique, et qui n'avaient pas eu l'idée d'implication au paravant
- Suite de l'action : Limites
Limites de l'action liées au fiancement de l'action dans sa globalité
Non reconduction du financement Région
- Suite de l'action : Perspectives
L'action sur la violence a permis un travail en réseau avec :
- les Services sociaux de la Municipalité (CCAS)
- Les travailleurs sociaux (DTAS)
- Les Associations à caractère social (Restos du Coeur, Secours catholique)
- Les oragnaismes de prévention
Dans le but de mettre en place d'autres actions comme celle en lien avec :
- les violences intrafamiliales (en prévision)
- la fonction parentale
Actions
FESTIMONTI "DECOUVERTE DU PATRIMOINE ET DES ACTIVITES DE PLEINE NATURE"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL U LIAMU GRAVUNINCU - Corse-du-Sud
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Environnement
- Résumé
Après avoir passé 10 ans dans un village puis 3 ans dans un autre, FESTIMONTI s'installe à nouveau dans un autre village en conservant le même état d'esprit que les années passées. C'est à dire promouvoir toutes les richesses de tous les villages de la vallée de la Gravona. Carbuccia sera donc le village de coordination entre les villages périphériques de la Basse et Haute Vallée. Chaque village aura la possibilité de valoriser son patrimoine au travers de différentes randonnées organisées..
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Permettre à un maximum de personnes de découvrir des activités qu'elles ne découvriraient pas seules.
Proposer aux enfants des activités qu'ils ne connaissent pas et en oublier le sens commercial.
Pour que le Centre Social soit reconnu comme acteur dynamique et novateur de la région. Permettre aux habitants d'agir.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Quatre groupes travaillent sur des activités bien précises : les activités des scolaires, les animations du week-end, les randonnées, la logistique.
Chaque représentant des différents groupes se réunissent mensuellement pour faire une synthèse qui porte sur la répartition des tâches de chacun, recherche de sponsors,étude de devis pour location de chapiteaux, supports publicitaires, optimisation de la publicité, répartition des tâches du week end de façon très preécise afin que tous les stands aient l'appui d'un bénévole expérimenté.
Chaque année se traduit par un point innovateur visant à l'amélioration et à la création de nouveaux ateliers.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de l'action est de 45 000 euros.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Environ une quarantaine de personnes dont environ 20 à 25 bénévoles durant 4 jours.
- Résultat sur le territoire
Sur le territoire cela permet de faire rencontrer des personnes de différents vollages.
Cela permet aussi aux personnes de la ville de venir découvrir la vie des villages.
Les personnes attendent cette journée avec attente principale, convivialité, lien social.
- Résultat pour le centre social
Pour le Centre Social c'est l'occasion de de recenser les attentes des habitants. D'échanger avec eux et également faireconnaître ses différentes activités et ses différents services.
- Résultat pour les habitants
Cela permet aux habitants de se rencontrer et de vivre un moment de convivialité.
- Suite de l'action : Limites
Le nombre de visiteurs stagnent car il n'y a pas suffisamment de renouvellement d'activités.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action va se poursuivre mais un nouveau concept est à l'étude.
Actions
Les mercredis récréatifs
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL U LIAMU GRAVUNINCU - Corse-du-Sud
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Solidarité
- vacances / loisirs
- Résumé
Chaque mercredi le centre social accueille un groupe d'enfants (7/11 ans) et leur propose des activités culturelles, artistiques, sportives ou autres. Celles ci diffèrent chaque mercredi. Le programme est établit en début de mois et les enfants choisissent l'activité qu'ils souhaitent pratiquer. Ces activités sont basées sur l'entraide et la solidarité entre chaque enfant.
Pendant ce temps les parents ont la possibilité de s'installer au centre social et partager un moment convivial autour d'un café qui, régulièrement débouchera sur une thématique de la parentalité, l'éducation. Des moments de "pauses" que les parents apprécient.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour répondre aux demandes de plus en plus nombreuses des enfants, qui sont d'accord pour pratiquer une activité le mercredi mais qui souhaitent ne pas pratiquer toujours la même activité. La multitude d'activités se traduit par un nombre croissant d'enfants. La pause accordée aux parents permet de présenter aux parents les activités du centre social et ainsi les inviter à construire le centre social de demain.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Présentation d'un programme varié.
Animation faite par 2 salariés du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Fournitures 500 €
Salaires 5000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 bénévoles
2 salariés animateurs
1 directeur
- Résultat sur le territoire
Echanges entre jeunes pas scolarisés au même endroit.
Les parents parlent de l'action sur le territoire.
- Résultat pour le centre social
Apport de nouvelles familles au sein du centre.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
aucunes
- Suite de l'action : Perspectives
Renouveler l'action pour élargir le groupe.
Actions
FRACTURE NUMERIQUE ET ACCES AUX DROITS DES GENS DU VOYAGE
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ITINERANT AGGLO ST BRIEUC - Association Itinérance - Côtes-d'Armor
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Mise en place avec des moyens humains et matériels dédiés (5 ordinateurs portables, 5 tablettes numériques, 1 ETP animateur numérique dans le cadre d'un emploi aidé) d'un espace public numérique itinérant dédié aux gens du voyage pour lutter contre la fracture numérique qui impacte fortement ce public. L'action de l'EPN se déroule au siège de l'association et sur les aires d'accueil où nous intervenons. Les actions sont en direction des enfants et des adolescents pour les sensibiliser à partir d'applications ludiques aux outils numériques. Mais surtout en direction des adultes pour leur permettre de mieux maitriser et d'être davantage autonomse face à la dématérialisation des démarches administratives.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les voyageurs du fait de leur mode d'habitat (caravane) et des fortes situations d'illétrisme sont encore plus impactés par la fracture numérique. Cette situation provoque des difficultés d'accès aux droits voire même des ruptures de droits.
L'objectif de l'action est d'amener les voyageurs à être davantage autonomes quant à l'utilisation des outils numériques.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Achat du matériel informatique
Recrutement et formation d'un animateur numérique
Construction d'outils pédagogiques et de suivi de l'activité
Mise en place de permanences au siège de l'association et de veilles numériques sur le territoire
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget sur deux années : 57 989€
Produits : CAF : 10 000€ - DDCS : 5 000€ - CPAM : 5 000€ - Fondation AFNIC : 15 000€ - Aide emploi aidé : 29 989€
Dépenses : Matériel informatique : 5 802 € - Charges de fonctionnement : 6 229 € - Charges de personnel : 45 958 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Un animateur numérique à temps plein
Le directeur de l'association
Les intervenants sociaux de l'association (4)
- Résultat sur le territoire
Une réponse de proximité pour un public qui n'accède pas forcemment facilement aux dispositifs de droit commun.
- Résultat pour le centre social
Une réponse adaptée face à une problématique qui devenait de plus en plus importante et qui impactait fortement le travail et l'organisation du centre social.
- Résultat pour les habitants
Un meilleur accès aux droits et des ruptures de droits évités.
Une plus grande autonomie du public face aux démarches administratives.
- Suite de l'action : Limites
Les voyageurs souhaitent le plus souvent que l'on effectue les démarches à leur place et ne sont pas forcément d'emblée dans une démarche d'apprentissage et d'autonomie.
C'est objectif prend du temps et ne peut s'inscrire dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
Pérenniser le poste d'animateur numérique en trouvant des financements pour en supporter le coût.
Actions
Jardin pour tous
- Structure organisatrice
- AIRVAUDAIS - VAL DU THOUET - Deux-Sèvres
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
Il s'agit d'un jardin collectif ouvert à tous où l'ensemble des participants jardine des légumes qui sont ensuite redistribués au sein du collectif. Ce projet souhaite modifier le regard des uns sur les autres au sein d'un jardin à dimension écologique. Cette action est une possibilté de complément aux bénéficiaires de distributions solidaires ( épicerie sociale et banque alimentaire) dans la mesure où ,il s'engage à collaborer à la destiné du jardin. Il facilite l'emrgence d'autres actions comme une grainothèque au sein de la médiathèque. Des établissements scolaires viennent le visiter car ce jardin possède une variété de légumes parfois anciens. Il est également un lieu expérimentale où des habitants peuvent expérimenter des techniques inovantes telle que le BRF, ou développer un espace dédié aux plantes médicinales.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Autre
- Précision ( si autre )
Ce projet est une résultante d'un projet de développement local mis en mouvement dans le cadre d'un dispositif intitulé "Les Ateliers de l'avenir". De nombreux partenaires institutionels ont particpé à ces ateliers : CAF, MSA, Conseil Départemental des Deux-Sèvres,... Les partenaires ont collaboré à la mise en forme du futur jardin avec les habitants et suivent encore dix ans après le dispositif.
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'enjeu qui s'était dégagé lors de la réflexion autour des "Ateliers de l'avenir" correspondait à la nécessité de mettre ne mouvement un projet solidaire qui développe du lien au social autour d'une thématique environnementale. Cet enjeu fut validé par les habitants eux-mêmes qui ont particpé à deux jours de réflexions quant aux enjeux d'un territoire et les élus présents lors de ces ateliers de l'avenir. De cette concordance, le jardin pour tous est né.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
L'action a débuté en 2007. Un groupe de travail issu des "Ateliers de l'avenir" s'est constitué. Il était composé d'habitants, d'élus et de techniciens représentatifs des partenaires. Ce collectif perdure aujourd'hui dans la conduite du projet. Il s'est étoffé de nouveaux membres (principalement de nouveaux habitants). En effet, les tâches au sein du jardin sont partagées entre toutes les personnes présentes au jardin et toutes les décisions relatives au jardin sont prises collectivement lors de rencontres (5 à 6 par an). L'intérêt quant à ce projet réside dans sa capacité de mobilisation et la complémentarité des acteurs qui ont su amener chacun une pièce à l'édifice.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de l'action est très modeste. A la création du jardin, des financements de la région et du département ont permis de lancer le dispositif en facilitant l'acquisition de matériel. La collectivité locale facilite au quotidien le bon déroulement du jardin en prêtant du matériel. Le terrain est mis à disposition par la commune où réside le jardin. Les coûts correspondent essentiellement à l'achat de semis bien que de nombreuses graines sont apportés par les bénévoles. La fonction expérimentale de ce jardin l'inscrit dans une approche basée sur la récupération. Cette approche lui procure un certain charme et une identité qui lui est propre. Elle offre ainsi une approche basée sur une modélisation de cette idée de récupération. L'engagement des habitants approte de ce fait une autre qualité à un jardin aux aspects champêtres. Le collectif gèrant lui-même avec coopatation de ses partenaires le jardin, il n'y a pas de technicien désigné pour apporter une connaissance. Ce sont les membres du jardin qui partagent leurs connaissances et qui en font profiter les autres.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les personnes mobilisées sur ce projet :
- 5 techniciens (MSA, Conseil Départemental, CSC, Communuaté de communes,...)
- 3 élus ( commune de St Loup Lamairé, administrateurs du CSC,..)
- 20 habitants ( de 18 à 75 ans)
- Résultat sur le territoire
Le jardin est à présent repéré comme un lieu d'aniamtion, de soutien social, d'espace témoin sur toutes les questions liées au développement durable.
- Résultat pour le centre social
Le jardin a apporté une autre dimension au CSC quant à sa capacité à animer des collectifs d"habitants. Cette experience a permis au CSC d'aborder différement le concept de projet. En effet, les projets mis en mouvement correspondaient à des réponses aux besoins exprimés en se traduisant par des services précis : petite enfance, accueil de loisirs, prestation animation collective famille,.. Dans ce projet, il a fallu du temps pour définir l'objectivité même de l'action même si celle-ci semblait evidente. Les notions de temps et d'assimilation furent des données qui ont été prises en compte dans notre approche au quotidien. La parole des habitans n'est pas un vain mot encore faut-il trouver matière à ce qu'elle puisse se libérer. Ce projet semble y participer modestement.
- Résultat pour les habitants
Le lien social et l'échange intergénérationel avant même le simple fait de se partager les légumes cultivés, voici les premiers éléments à retenir de ce projet. Le jardin est un joli prétexte à la cohésion et à la rencontre vers l'autre.
- Suite de l'action : Limites
Les limites sont liées à l'humain lui même. Ce projet ne peut se poursuivre que si chacun souhaite s'y engagé. Les rapports humains sont des éléments déterminants au bon déroulement de l'action. Le renouvellement des habitants dans le collectif est une limite au projet.
- Suite de l'action : Perspectives
Les perspectives pour la suite sont liées au développement d'expériences qui valorisent le mieux vivre ensemble. Au-dela de son côté production de légumes, les bénévoles souhaitent que le jardin soit un lieu de visite où les habitans pourraient s'installer pour lire, échanger, discuter,.. Pour cela, ils imaginent des aménagements d'assises, de tables pour se restaurer et d'accueillir des oeuvres artistiques. Ils souhaitent également développés des espaces de production éclatés sur le territoire en proposant des bacs de plantations "libre service" aux abords de lieux publics. Il ont le souhait de collaborer sur des systèmes d'échanges : troc aux plantes ou d'échanges de savoir par le biais du jardin.
Actions
Université Populaire de Parents Pays de Montbéliard
- Structure organisatrice
- ASS GEST ACT SOC CULT BAVANS - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
L’UPP du Pays de Montbéliard … une première expérience en Bourgogne Franche-Comté
La parentalité est l’objet de toutes les attentions, mais force de constater que l’on ne donne pas d’occasion aux parents de s’exprimer, de remonter leurs difficultés, leurs besoins et leur donner la possibilité d’être acteurs, d’où l’intérêt des universités populaires de parents.
A l’initiative des Centres Sociaux de Bavans et « L’Envol » Léo Lagrange de Montbéliard, un projet d’Universités Populaires de Parents prend vie en 2017, avec les soutiens de la Caisse d’Allocations Familiales du Doubs et de Pays Montbéliard Agglomération. A travers ce projet inscrit sur 3 années, les structures s’engagent à accompagner des familles pour améliorer le mieux-être et le mieux vivre dans leur rôle de parent.
Avec la coordination de l’ACEPP[1], la 5ème « génération » d’UPP recense une quinzaine de projets dans toute la France depuis le début de l’année 2017
Cette première expérimentation, dans le grand Est, a bien l’intention de donner des idées à d’autres groupes et d’autres structures dans le Département du Doubs. C’est également dans les projets de la CAF du Doubs qui l’a inscrit dans son Schéma Départemental des Services aux Familles 2017/2020.
D’autres partenariats avec des collectivités et des institutions se construisent pour garantir sa mise en œuvre.
L’UPP du Pays de Montbéliard … c’est qui, c’est quoi ?
C’est une sorte d’auberge espagnole de dix parents qui se retrouvent deux fois par mois, les lundi soir de 18h15 à 20h, pour échanger sur des questions liées à la parentalité, partager leurs attentes et leurs expériences ainsi que des questionnements selon le vécu de chacun.
Organisé par l’ACEPP, un séminaire national a d'ores et déjà réuni l’ensemble des générations d’UPP les 15, 16, 17 et 18 Mars à Marck-en-Calaisis pour un moment d’apprentissage et de convivialité fait de rencontre, d’échanges, de diversité.
Une grande richesse pour l’UPP du Doubs qui y a participé.
En septembre 2018, ils envisagent de recruter un universitaire afin que celui-ci leur apporte un soutien méthodologique pour construire une question de recherche collective, à partir de leurs interrogations et préoccupations, et une méthode pour l’approfondir.
Pour mener à bien ces travaux de recherche, le groupe a prévu d’aller à la rencontre d’acteurs locaux et d’autres familles pour mettre leur réflexion en débat l’objet de leur recherche pour en dégager des hypothèses. En vue de faire reconnaître leur place et leur rôle, évoluer le regard des institutions sur les compétences et les ressources des parents, différentes actions citoyennes sont programmées en 2018.
Un projet ouvert à tous
Le groupe constitué est en quête de mobiliser d’autres parents qui auraient envie de se lancer dans l’aventure en fonction des possibilités et du rythme de chacun.
Devenir Parents Acteurs, Chercheurs et Citoyens
[1] ACEPP Association Collectif Enfants Parents Professionnels
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Précision ( si autre )
action pilotée par les centres sociaux de Bavans et la Passerelle à Montbéliard
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Objectifs de l'action :
1 - Créer les conditions d’un espace d'échanges et de réflexion pour les parents
2 - Qualifier et légitimer les savoirs individuels et collectifs des parents et encourager la transmission des savoirs
3 - Faire émerger une réflexion collective sur une thématique liée à la parentalité et la croiser avec les institutions et les collectivités pour faire évoluer les dispositifs
4 - Renforcer le pouvoir d'agir des habitants-citoyens en leur permettant d'être reconnus et entendus auprès des institutions
Le Centre Social AGASC et le Centre Social l’Envol, avec l’appui de PMA, ont impulsé dès 2016 une réflexion sur l’opportunité de mettre en place « Une Université Populaire de Parents » (UPP) avec des parents et une vingtaine de partenaires du territoire. Les différents temps de réunions, déplacement à un colloque à Paris ont permis de confirmer l’engagement des 2 structures dans ce projet ambitieux et novateur.
L'action s'inscrit dans le schéma départemental des services aux familles et a été soutenue par la CAF du Doubs et de PMA en premier lieu.
Pour rappel, le projet « Université Populaire de Parents » regroupe des parents, issus de différents quartiers et/ou communes de Pays Montbéliard Agglomération, ayant pour ambition de mener des travaux de recherche sur un sujet ayant attrait à l’éducation et à la parentalité. Ils visent à croiser leur réflexion avec d’autres acteurs (écoles, travailleurs sociaux, autres parents, élus…) pour rechercher ensemble comment améliorer la vie quotidienne des enfants et de leurs parents et rendre compte de leurs travaux pour faire évoluer les pratiques et les politiques. Il s’agit de modifier les regards des parents en situation d’exclusion sur les institutions et des institutions sur eux.
Un projet en 3 phases :
En 2017, un groupe de parents s'est constitué et tendra à s'étoffer en poursuivant la mobilisation de familles au sein de structures dans les quartiers, des interventions au collège, conseils citoyens, événements ... par les parents eux-mêmes.
Les prochaines étapes en 2018 sont pour le groupe le passage des questionnements individuels à la construction d’une problématique commune puis le démarrage du travail de recherche, accompagnés par les animatrices et l'universitaire en fin d’année.
L’année 2019 sera consacrée aux travaux de recherche et d’écriture ainsi qu’une présentation des travaux à Paris avec les autres groupes de parents investis dans des UPP en France.
Pour ce faire, un partenariat a également été acté avec l’ACEPP (Association des collectifs enfants parents professionnels), mouvement parental, éducatif et citoyen, centré sur la promotion du rôle et de la place des parents, en vue de bénéficier de leur expertise, d’échanges inter-UPP au niveau national et de la formation des professionnelles animant l’UPP localement.
Le pilotage du projet est assuré par les deux centres sociaux et l’animation sera confiée aux deux animatrices « référent famille » issues de celles-ci. Un chercheur sera recruté au printemps 2018 pour accompagner les parents dans leur travail de recherche.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Les Visages des Pareuses
- Structure organisatrice
- MAISON QUARTIER DES PAREUSES - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Réalisation d'une fresque avec des adolescents du quartier des Pareuses au milieu des barres HLM.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet est né de deux constats : 1) Depuis plusieurs années, les deux montées d'escalier de la barre Cordier sont taguées de manière sauvage. Ces inscriptions (insultes envers les forces de l'ordre ou encore affirmation de l'appartenance à son quartier ou à une communauté) sont régulièrement recouvertes par le bailleur social mais réapparaissent très rapidement. 2) Cette dalle à mauvaise presse, est squattée régulièrement et est considéré par ces squatteurs comme leur propriété.
L'idée était donc d'embellir et d'investir ce coin du quartier en impliquant des ados dans la réalisation d'une fresque en pariant sur le fait que le travail des plus jeunes serait respecté par les plus vieux. L'idée était également d'investir physiquement cette dalle pour y faire quelque chose de positif.Réalisation d'une fresque avec les a
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Organisation de plusieurs rencontres entre jeunes et Carole : ils découvrent le travail d'artistes de rue comme Banksy, se familiarisent avec les différentes techniques création de pochoir utilisation de bombes de peinture. Ils décident enfin la manière dont ils vont décorer ces murs. Leur idée : se mettre en scène pour faire passer des messages de tolérance, d'amitié, de liberté et montrer que dans leur quartier il se passe des choses... On peut y voir un jeune qui tire un mur gris derrière lequel apparaissent d'autres jeunes qui jouent font du sport. On y voit également une jeune fille qui tient des ballons de baudruche et qui s'envole retenue par une copine. Bref on y voit de belles choses colorées qui tranche bien avec cette dalle grise triste...
Au delà du travail technique, Véronique notre animatrice ados et Carole soulignent le fait que sur le terrain cela a amené de l'émulation; des habitants sont venus discuter, féliciter apporter des boissons des glaces. Cette fresque très colorée a balayé le temps de sa création la grisaille ambiante dans la tête de certains habitants qui et c'est paradoxal ne peuvent plus voir cette dalle en peinture...
Ce travail débuté fin 2018 s'achèvera en juin 2019 avec la valorisation de l'oeuvre réalisée à travers une inauguration.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 adolescents de 12 à 16 ans.
une artiste et une animatrice ados du centre social
- Résultat sur le territoire
Embelissement du quartier.
Ces fresques apportent de la couleur sur ces murs gris.
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Les habitants se sont montrés curieux et sont venus à la rencontre des artistes en herbes pour échanger et les féliciter.
Les jeunes artistes sont fiers de leur travail qui a été valorisé lors d'une innauguration en précense de leurs parents et d'officiels.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Nous aimerions poursuivre ce travail dans les années à venir; les murs ne manquent pas et les ados ont transmis l'envie aux plus jeunes.