Le Centre Social l’Agora a toujours été un lieu de fermentation et d’échange où les gens se rencontrent. L’Agora des créateurs naît à la croisée des champs d’un désir artistique, d’une demande sociale et d’une volonté d’un centre social de valoriser les talents présents et à venir d’un territoire. En ce sens, ce projet est nécessairement politique : il se propose d’être un outil au service du pouvoir d’agir des habitants des quartiers populaires.

En pratique, nous souhaiterions pouvoir valoriser ces pratiques par l'organisation mensuelles d'expositions et de vernissages des créations réalisées par les habitants, dans des espaces dédiés au sein du Centre Social l'Agora et/ou sur le territoire de vie et en valorisant préalablement ces événements par des campagnes de communication largement diffusées sur le territoire marseillais, afin de mieux faire connaitre ces initiatives auprès d'un public plus large. 

A ce titre, le Centre Social l’Agora, a pris l’engagement d’assurer à la fois une fonction de coordination de ce groupe de travail et d’assurer une forme de représentation et de relais avec les maitrises d’ouvrages du PRU (SRL2, MRU, HMP, LOGIREM, …), ainsi que la mise en œuvre, le développement et la promotion d’ateliers de pratiques et d’apprentissages aux techniques  picturales et artistiques en direction de publics jeunes et adultes du territoire. 

Afin de coordonner et œuvrer à la mise en place de ces ateliers, nous mobiliserons différentes compétences internes dans la promotion et le pilotage des ateliers.   

Pour accompagner et mettre en œuvre ce projet et l'ensemble de la programmation, une commission de suivi et de coordination sera créée, composée d'habitants, de salariés du Centre Social ainsi que de représentants d'associations et/ou d'acteurs culturels du territoire marseillais œuvrant également sur le champ culturel et artistique. Cette commission de travail, sera rattachée à notre pôle de compétences  « Savoirs & Culture », qui sera également chargée de procéder régulièrement à des évaluations et bilans d'étapes, de telle sorte à préfigurer les orientations et perspectives de développement à venir. 

Participation du territoire à une manifestation d'envergure communale et départementale;

Elargissement du public accueilli en termes d'âge, de mixité sociale;

Bonne fréquentation ; participation de bénévoles;

Bon travail en partenariat avec l'association;;

Nécessité de renforcer la mobilisation des habitants du territoire sur cette action;

Animation à insérer dans des ateliers parents / enfants et/ou ados  à mener en amont?

- renforcement du partenariat  avec l'association;

- mise en place d'une collaboration dans le cadre d'ateliers parents / enfants ou de l'ACM ;

aires

Dans les communes où les contacts ont pu déboucher sur une réunion de quadrillage cela a créé une réelle dynamique et une prise de conscience de l'existant et des besoins. Les personnes conviées s'investissent dans la réflexion et témoignent que cela crée une attention et une vigilance particulière. La réflexion collective permet d'organiser une vérification systématique, quartier par quartier ou hameau par hameau. Des questionnements émergent sur tel ou tel habitant, maison,  réseaux se créent pour se renseigner. Cela met parfois en valeur ou en évidence des solidarités naturelles et permet de les entretenir ou de les consolider. 

On constate aussi pour certains des réticences à se poser ces questions. 

Evolution de l'ancrage territorial. reconnaissance.

Nous n’avions pas expérimenté le quadrillage dans les communes : une démarche systématique qui s’appuie sur la connaissance fine des habitants. Cela est rendu possible par le croisement des connaissances des habitants. C’est pour nous une nouvelle méthode

L’action n’a pas atteint l’objectif initial de toucher « tout public », hormis les personnes âgées, la rencontre avec d’autres habitants passe sans doute par une approche spécifique que nous n’avons pu engager.

Dans la construction du projet , les outils de suivi imaginés n'ont pas parus appropriés à l'épreuve de la mise en oeuvre et de la réalité, jugés "trop administratifs ou contrôle" (carnet de visite, fiches synthètique trimestrielle, liste des typologies) . Les personnes visitées parlent plus de besoin d erencontres que d'aides.

Une réflexion et confrontation en interne sur le sens d'un tel projet pour le centre social,  l'accompagnement individuel ou collectif, comment partir de l'individuel pour aller vers le collectif? la construction même du projet , la place du pouvoir d'agir et du centre.

Nous avons le sentiment de ne pas avoir abouti et avons souhaité lors d’un comité de pilotage  nous doter de moyens supplémentaires pour

• Maintenir des liens quand un quadrillage dans une commune mobilise ses habitants
• Renforcer ou recréer des liens avec les travailleurs sociaux, les associations locales, afin de co-construire avec eux des solutions adaptées pour aller vers les publics plus jeunes et isolés. Si cela aboutit, alors une mobilisation de nouveaux habitants « visiteurs » est à imaginer. Ainsi, lors d’une réunion partenariale « le groupe rencontre », des travailleurs sociaux de la MDS, de la CAF et du CCAS ont indiqué que des personnes expriment leur isolement et leurs besoins de rencontre. Ils se sont portés partenaires pour chercher comment faire des passerelles vers les actions existantes.
• L’idée retenue dans un premier temps serait d’accueillir un stagiaire en travail social qui viendrait en complément de l’action de la coordinatrice, action que nous souhaitons poursuivre sur les fonds qui restent et que nous n’avons pas mobilisés.  Faire le point avec la fondation de France .
• faire du lien avec l'action des" ateliers du lundi" mise en place au centre elle-même en évolution.
• envisager une action différente pour le public plus jeune, la visite à domicile, ne semble pas être adaptée.

Pas d'impact concret, le chantier initialement prévu par des élus a trouvé des freins techniques. Ce qui a modifié le contenu donc l'issu du projet..

Une sensibilisation des administrateurs aux problèmes des jeunes, notamment sur le volet de l'insertion professionnelle.

Action qui a besoin de financement. La DDCS n'a pas reconduit son aide.

Sensibiliser le tissu local, artisans, commerçants et entreprise locale sur les problèmes que rencontrent notre jeunesse. L'objectif étant de trouver des réponses rapides à nos jeunes.

Collecte fructueuse de déchets : environ 300 Kgs

Nombreuses photos dans la presse ( Cf Le journal du Gers du 29 mai et La Dépêche du 8 juin )

Journée très appréciée par son impact citoyen avec souhait de poursuivre cette action

L'EVS EPISODE a été l'un des moteurs de cette journée principalement au niveau de l'organisation. Son implication sur de nombreuses animations du Territoire est reconnue

Renouveler des actions de ce type au moins une fois par an lors de la Fête de la Nature

Maintien du lien social autour de l'alimantation et la santé

Solidarité avec les personnes vulnérables et convivialité

Espace ressource pour appréhender la transition écologique

Mixité des publics

Création d'une grainothèque 

Formation du professionnel et des bénévoles

Limites: périmètre, nombre de jardiniers, budget.

L'action se poursuit avec la participation d'acteurs spécialisés sur la quête et la réserve de l'eau. 

L'impact attendu pour le territoire est de permettre aux habitants du territoire et du Mans d'identifier l'existence  une réelle dynamique dans la vie associative locale.

Les impacts attendus pour le centre social sont de faire connaitre et de promouvoir, auprès des habitants, la capacité du centre social à soutenir des actions et des événements proposer par les acteurs du territoire.

Cette action a été pensée comme unique, une édition particulière et exceptionnelle afin de célébrer le double anniversaire de l'année 2018.

Néanmoins, il est prévu d'ouvrir l'organisation de la fête aux habitants en sus des associations déjà présentes dans le collectif d'organisation. 
Cela pourra ce faire par la présence d'habitants, à titre individuel, dans le collectif ; par la constitution d'un groupe de bénévoles dédié à la mise en place de l'événement ; ou encore par un appel aux idées et propositions des habitants pour les prochaines éditions de Fest'île.

Découverte de l'ensemble des actions du centre social et participation à des activités

Renforcement du partenariat avec diverses structures.

Dans le cadre des actions en lien avec la parentalité, la totalité des familles ne se mobilise pas .

Des actions et projets qui naissent des échanges avec les familles.
 

Ces ateliers permettent de développer la mixité sociale dans toutes ces activités.

Création d'un lieu d'échanges et développement de la cohésion sociale.

Développement important des échanges. Aide à la socialisation.

Appréhension par rapport aux livres et au Théâtre.

Difficulté à mobiliser les personnes pour la lecture.

Persévérer.

Dans le cadre de l’action mise en œuvre cette année, l’intervention d’un travailleur social en soutien des services civiques a permis de prendre en charge ce risque et d’apporter des réponses adaptées :

• réaliser  une médiation entre la personne et l’institution
• réorienter vers les services sociaux ou administratifs lorsque la demande était trop complexe pour être traitée sur place et sans connaissance du dossier de la personne.

Concernant la résolution des situations complexes une réflexion approfondie et une mise en œuvre sont en cours afin de faciliter la connexion entre institutions pour faire face aux urgences. Des démarches ont été réalisées dans ce sens dans le cadre du l’expérimentation Accès au Droit du plateau de Haye courant de l’année 2017, avec la nomination de réfèrent « accès au droit » dans les institutions.

Nous avons ainsi pu accélérer le déblocage de plusieurs situations complexes en recourant à l’intervention de ces référents.

Le Centre Social du fait de sa grande amplitude d’ouverture et de son accueil est un réel repère vers lequel les personnes se tournent lorsque les autres structures du quartier sont fermées.

L’activité réalisée par les services civiques mis à disposition par la CAF a permis de renforcer les moyens humains pour garder une accessibilité minimum des publics à l’institution.

Lorsqu’il s’est agi d’une demande simple (demande d’information, aide pour une démarche en ligne, explication d’un courrier, prise de rendez-vous…) le service civique a pu apporter une réponse immédiate en veillant à la compréhension de la démarche par la personne accueillie.

Les services civiques ont été facilitateurs pour ces publics fragilisés en proposant des actions. Au-delà de l’aide concrète apportée, les permanences ont également permis aux personnes les plus éloignées du système administratif de trouver un soutien et une écoute face à leurs difficultés.

En faisant connaître leur démarche auprès des acteurs locaux et notamment de la Mairie de quartier, des relais d’information ont pu être mobilisés et ont permis d’aller au contact des publics plus éloignés du centre social et d’élargir la communication autour de la mise en place de séances d’information collectives.

Au-delà, la réflexion porte aussi vers les publics dits “invisibles”. Comment atteindre les personnes qui ne franchissent pas le seuil du Centre Social mais dont les besoins en termes de mise en place, de maintien ou de renouvellement de droits sont bien présents.

Cette notion d’”aller vers” également étudiée dans le cadre du plan de lutte contre la précarité et la pauvreté avec les partenaires du territoire du Plateau de Haye nous semble un aspect qu’il faut continuer à développer dans notre action.

Force est de constater aussi que beaucoup de structures et institutions présentes sur le quartier partagent les mêmes constats quant aux problématiques d’accès aux droits, certaines réponses sont proposées selon les moyens disponibles ou les spécificités de chacune d’elles.  Connaître les actions des uns et des autres et partager une analyse des situations rencontrées est aussi un axe à travailler au sein de l’action pour apporter de la cohérence aux réponses.

La présence de moyens humains dans cet accompagnement est sans conteste un atout permettant un accompagnement individuel plus adapté aux besoins spécifiques des personnes.

Mais concernant les publics plus éloignés des outils numériques, l’accès à l’autonomie ne peut se faire que dans un cadre pédagogique plus construit :

• Pour compléter des connaissances liées aux logiques administratives et au fonctionnement institutionnel
• Pour compléter des compétences dans l’utilisation des outils informatiques, dans   l’organisation des démarches familiales
• Pour favoriser la prise de confiance en soi

C'est pourquoi, le Centre Social s'est appuyé sur des paretenaires comme la fondation Orange pour mener une expérimentation spécifique vers les publis en difficulté avec la maîtrise de la langue française.

• Mise en œuvre d’une réflexion portant sur une démarche pédagogique partagée avec les différents acteurs de l’action d’apprentissage de la langue française, afin de construire un mode d’action adapté aux besoins du public et permettant sa familiarisation avec les outils numériques.
• La proposition est de travailler en premier lieu sur la thématique de l’accès aux droits qui requiert de fait l’utilisation des outils numériques et qui est au cœur des préoccupations des apprenants.
• L’Association Orange Solidarité pourra être un appui complémentaire pour soutenir la réalisation des outils pédagogiques qui constitueront une base documentaire à partager avec d’autres acteurs du centre social ou d’autres structures engagées dans un projet similaire.

Ainsi avec avec l’intervention des salariés de l’Association Orange Solidarité, le centre social a pu mettre l'accent sur la formation des encadrants bénévoles et salariés du Centre social Caf « La Clairière » pour

• Se familiariser avec l’utilisation de l’équipement  mis en place.
• Se former à l’outil numérique pour soi afin de s’assurer dans son utilisation et fixer des compétences souvent acquises de manière empirique.
• Et pour être en capacité de construire des outils pédagogiques adaptés au public mêlant le numérique et l’apprentissage de la langue française.

• Reconduction l'action 
• Reconnaissance par la CAf 54: Point e-numérique
• Reconnaissance par la Fondation Orange: Maison digitale ( en cours)

Service de proximité proposé aux habitants, en réponse à un besoin exprimé par les familles et les établissements scolaires.

Afin de répondre aux attentes :

- Réorganisation du temps d'accueil et de prise en charge des enfants et jeunes de collège.

- Mise en place de temps d'accueil personnalisé parents / enfants.

L’équipe d’encadrement n’ayant pas les qualifications nécessaires, un accueil ne pourra pas être proposé aux enfants :

- relevant d’une mesure MDPH (ULIS, SESSAD…)

- relevant d’actions linguistiques.

En effet, ces derniers relèvent de mesures d’accompagnement et de prise en charges individuelles et personnalisées.

Protocole de collaboration avec les équipes enseignantes, sans se substituer aux enseignants

Pérennisation des activités existantes avec le souhait d'un travail plus concerté avec les équipes enseignantes.

Mise en place d'actions en direction des parents afin de favoriser leur investissement dans leur rôle de 1er éducateur.

Mise en place de nouveaux projets sur la Commune

Mobilisation des habitants sur des projets structurants

Les projets qui n'aboutissent pas. Ce qui n'est pas une limite en soi, juste une prise de conscience.

Développer ces accompagnements

Le CSC est reconnu sur son territoire pour ses activités de loisirs en direction des enfants et des adultes. A la suite de ce projet, il
souhaite être reconnu comme lieu ressource pour ce public précis.
Notre souhait est d'encourager les filles à s’inscrire dans cette démarche émancipatrice.

Inscrire l'activité sportive régulière dans l'offre proposée par le centre social.

Les réticences des familles.
 

Reproduire ce type d'action sur une autre pratique sportvie.

A partir de cette expérience, l’association a  cofondé l’auto-école sociale d’EMCP avec Desbals Services, Tremplin, le CIDFF

Au centre social, l’action est complémentaire d’autres actions que les usagers peuvent mobiliser : alphabétisation, accès aux droits (écrivain public), ateliers pour adultes, sorties et activités en famille, ateliers parents enfants, espace jeux...

Il est important que, à l'issue de la formation, les personnes s'inscrivent dans une auto-école.

Poursuite de l'action et formalisation de partenariat avec desprescripteurs

Elargissement des offres d'accueils et de loisirs en direction de la jeunesse sur le territoire

Une meilleur cohérence d'action des équipes

Une mixité de jeune qui s'inscit en plus grand nombre et qui ne fréquentaient pas nos structures.

Depuis 2013, pérénisation d'une moyenne de 80 jeunes touchés sur le centre social Sainte-Beuve soit 20% de l'ensemble des adhérents de la structure qui correspond de façon plus pertinente à la population recensée en toute proximité du centre.

Une dynamique jeunesse qui s'inscrit en complémentarité de nos publics majoritaire sur le centre : public enfant et familial. 

Cette action s'est développée et pérénisée à partir des moyens existants et réorganisés du centre, tant au niveau financier, qu'au niveau humain.

Des financements particuliers sont exploités mais restent de l'ordre du ponctuel.

Les limites de développement restent donc liés aux moyens qui sont aujourd'hui optimisés à leur maximum.

Péréniser le nombre de jeunes qui fréquentent le centre social :

- en poursuivant les actions jeunesse développées,

- en restant toujours en phase avec les attentes et besoins des jeunes et de leurs familles,

- en cohérence d'action avec le territoire.

Rupture de l'isolement pour certains habitants

L’association a su profiter de cette période de fête pour établir le lien avec des personnes du quartier se trouvant dans une situation d’isolement, afin de rompre cette situation. 

Nombre limité de personnes touchées

Meilleure connaissance des hébitants, notamment ceux qui quittent rarement leur habitat.

1 - Développer l’appétence aux arts plastiques du jeune public des quartiers prioritaires de Pays de Montbéliard Agglomération

2 – donner les clés de compréhension aux parents en leur permettant de participer aux ateliers en fonction de leur compétence

Visibilité sur les communes à travers les réalisations du centre social.

Ouvrir des ateliers partagés parents - enfants

Ouvrir une Artothèque et un musée dédié au jeune public.

- Mixité sociale entre les habitants issus de cultures et de quartiers différents : lien social, partage, solidarité...

- Participation à divers événements municipaux (les fêtes de quartier, le Carnaval...) : lutte contre l'isolement des populations précaires

- Promotion de la santé

- Implication et mobilisation des habitants sur des actions municipales : accès au droit commun

- Création de solidarités

- Impulsion d'une dynamique de groupe porteuse de prises d'initiatives et de projets collectifs

- Inscriptions limitées en fonction de la capacité d'accueil de la cuisine pédagogique (15 personnes), ce qui engendre des frustrations.

- Créneau du mercredi matin non adapté pour permettre aux parents qui garde leurs enfants de venir participer à l'atelier cuisine.
 

- Développement de deux nouveaux ateliers en réponse aux sollicitations des familles : atelier parent/enfants, ateliers parents
 

Les partenaires s'approprient l'exposition "Aux Arts Citoyens". Ils se servent de ce support et l'intègrent dans leur propre projet de structure. L'exposition est ainsi enrichie par des actions créées par ces partenaires sur leur territoire avec les habitants. Les partenaires déclarent être très satisfaits de pouvoir utiliser "Aux Arts Citoyens" à leur façon, en fonction de leurs propres objectifs.

L'action a dépassé le territoire du centre social. Elle favorise les échanges avec les habitants et les partenaires des autres territoires. Elle crée du lien entre ces acteurs qui se retrouvent autour d'un objet commun, et seront invités pour mesurer le chemin parcouru lors du retour de l'exposition à Calvisson en2017.

Les deux centres sociaux de l'association Calade ont participé au projet. Une part importante des groupes partipant à des activités dans les centres sociaux ont produit des oeuvres. L'impact est donc transversal à l'ensemble de l'association.

Le centre social renforce son partenariat en proposant un outil que les autres acteurs peuvent s'approprier.

Le financement de la CAF pour cette action a été attribué dans le cadre d'un appel à projets qui n'est pas renouvelé en 2016. Le centre social continue ce projet sur ses fonds propres. La limite sera donc le temps qu'il sera possible d'y consacrer, faute de nouveaux financements. Cette limite est pour l'instant dépassée par la volonté de l'association de poursuivre l'action coûte que coûte.

L'exposition poursuit son parcours itinérant. Pour le retour de "Aux Arts Citoyens !" en 2017 à Calvisson, avec les nouvelles oeuvres récoltées auprès des hôtes de l'exposition, plusieurs idées sont mises au travail pour faire de ce moment un lieu d'échanges, de réflexion, et de convivialité.

Rayonnement hors commune de Paulhac
Mise en réseau interassociative et interinstitutionnelle
Rencontres riches et qui se sont poursuivies par la suite hors action evs
 

Rencontres motivantes pour les projets à venir
Partenariats renforcés avec les collaborateurs de l'action
Identité de la structure renforcée dans l'étendue de ses actions autour du lien social

 

Manque de visibilité, de communication suffisante des actions
Local réduit, jauge réduite en intérieur !
Difficultés à faire reconnaitre cette action par la Communauté de Communes
 

Ces interactions et propositions fédératrices sont le terreau d'actions plus larges au niveau :

Du territoire : inscription plus globale dans les projets intercommunaux, mutualisation de projets-rencontres, habitants et structures associatives et institutionnelles
Des usagers : intégrer d'autres types de publics à ces actions (axes sur les situations de handicap, précarité, isolement). Donner encore plus de la voix aux habitants.
Des partenariats : renforcer l'axe familles, soutien à la parentalité, mais aussi développement durable, éco-citoyenneté

Objectifs du projet

La prise en compte des seniors est une réalité historique du centre social OHS Beauregard. La nouveauté de ce projet réside plus dans une expérimentation ambitieuse qui s’inscrit dans une sphère jusque là non exploitée:

• Dans la prise en compte du senior dans son environnement (logique écologique), tant au travers du domicile, que l’espace du territoire, ou encore dans la cité au sens « population » en tant qu’objet

• Au travers d’un programme qui valorise autant la dimension matérielle et technique, que la dimension sociale et culturelle

   

   

  Objectifs généraux

• Accompagner les seniors dans leur objectif de vie
• Favoriser le maintien à domicile, dans le quartier

Objectifs spécifiques

• Permettre à la personne d’anticiper un bon vieillissement actif au sein de son domicile

   

• Permettre à la personne d’anticiper et de vivre un bon vieillissement au sein de la cité et du quartier

   

   

  Objectifs opérationnels

  • Permettre à la personne de comprendre et prévenir de l’évolution physiologique, psychique et mentale

    • Comprendre le fait biologique (ex : simulateurs de vieillesse)

    • Saisir les nécessités de prévenir et ralentir la survenue du fait biologique par une hygiène de vie compensatoire

  • Permettre aux seniors d’anticiper leur vieillissement et leur maintien à domicile

    • Découvrir les aménagements possibles accessibles

    • Bénéficier de conseils pour un accompagnement prévisionnel technique

    • Prévenir des dangers domestiques, et de la dépendance

       

  • Engager un travail de diagnostic participatif sur la place des seniors dans le paysage du quartier avec pour point d’orgue la questiontechnique de l’accessibilité et remonter les points d’amélioration sur le plan urbanistique

  • Favoriser la découverte du quartier, son histoire pour les jeunes et moins jeunes pour une inscription dans le territoire (rupture de l’isolement social, et le repli chez soi)

  • Promouvoir les relations intergénérationnelles et l’action chez les seniors

     

De nombreuses actions sont organisées en direction des habitants des Clairs Bassins. Ces habitants sont devenus usagers du centre social pour certains et bénévoles pour d'autres.

Les demandeurs d'asile restent entre 6 mois à 1 an  puis partent dans d'autres villes aux alentours pour certain lorsque leurs demandes d'asile est acceptées. Pour les refus, ils sont obligés de retourner dans leur pays d'origine.

Le travail d'accompagnement est alors à refaire avec les suivants.

Création d'un collectif quartier.

Le territoire est relativement pauvre, et éloigné des "centres commerciaux". La politique de l'échange sans argent n'est pas pour autant dans les mentalités, ou n'y est plus (zone rurale vivant assez traditionnellement dans une forte autarcie).

La manifestation ayant désormais plusieurs années, elle est "attendue" : les gens préfèrent donner sur le Bric à Troc que dans des bornes anonymes...

C'est une fête un peu magique pour les enfants.

Cette fête a un rôle dans l'image de l'EVS, associée au don, à la gratuité, à la mobilisation de bénévoles, à la solidarité... Cette fête a aussi pour but de montrer le sérieux accordé aux questions de sobriété volontaire et de transition écologique, au sein de l'EVS.
 

Tout le monde ne se sent pas concerné, la gratuité restant synonyme d'absence de valeur, ou étant vu comme réservée aux plus démunis.

Cette action exige beaucoup de bénévolat.

Boîte à livres, magasin gratuit, développement d'u groupe de réflexion sur les questions de valeur, de "zéro déchet", etc