La MDP est un lieu de soutien à la parentalité, ouvert à tous. Lieu chaleureux où chacun peut se sentir accueilli, dans toutes ses différences, dans la confiance et la convivialité. Lieu d'échanges, d'information, de questionnements et d'écoute, d'accompagnement et de soutien aux initiatives répondant aussi aux besoins des partenaires institutionnels; Espace d'animation, de coopération ; gratuit, confidentiel et libre d'accès.

Cette semaine se déroule depuis 4 ans au mois de mars. Elle est organisée avec nos partenaires de réseau parentalité porté et animé par le Centre Social et la ville. Pendant une semaine, diverses actions portées par les professionnels et les parents sont organisées dans tous les lieux fréquentés par les familles ; crèches, écoles, Centres de loisirs, associations du quartier et Centre social. Des actions sont aussi organisées à l'extérieurs comme les petits dejeuners des parents...

Action "le graphisme" pour favoriser les relations parents-enfants-école maternelle des familles qui résident sur l'Aire d'Accueil des Gens du Voyage 

3 temps d'actions : 

1/ Mise en place de rencontres sous forme de "P'tit déj" avec les parents en parteniariat avec les étabilissements scolaires : discussion autour de la scolarité des enfants en proposant des outils favorisant la participation. 

2/ Accompagnement des parents dans la mise en place de projets en lien avec l'accompagnement à la scolarité et les établissements scolaires. Exemple : mise en place d'une kermesse de l'école...

3/ Mise en place d'actions communes parents /enfants autour du théatre et du dessin. Nous ferons appel à des intervenants qualifés. Ces temps d'animations permettront d'aborder la citoyenneté de façon ludique. 

Cette action est à destination des ptrofessionnels pour une meilleure intervention auprès des publics.

Le centre social avec le concours du Territoire d'action sociale Caf ont initié des rencontres entre tous les partenaires de la ville ( et des alentours selon la thématique).

La rencontre a lieu tous les 3 mois a chaque fois chez un partenaire différent. Ce changement de site permet de situer le partenaire, de couvrir son fonctionnement, ses moyens et contraintes mais aussi d'impliquer tous les professionnels à tour de ro^le. La construction de la rencontre permet au centre social de renfoercer ses lien avec le partenaire en question.

Depuis 2019, la démache est copilotée par le centre social et le conseil départemental ( TISM).

Chaque rencontre accueille entre 40 et 50 professionnels d"nviron 20/25 institutions différentes.

Accueils des enfants en situation de handicaps lors de tous les temps libres toutes périodes confondues, hors vacances scolaires et pendant les vacances scolaires.

Mise en place d'outils spécifiques à l'accueil d'enfants en situation de handicaps qui définissent le cadre de cet accueil, fiches spécifiques, dossier sanitaire confidentiel.

Mise en place d'un suivi individualisé qui fixe les grandes lignes de leur accueil. Formation des équipes et accompagnement des familles.

Réaliser un catalogue de propositions d’animations possibles selon différentes situations : petite enfance au service des multi-accueils, halte-garderie, RAM, LAEP accueils de loisirs, auprès des clubs du troisième âge, Ehpad, écoles maternelles et élémentaires voire collèges, des IME, centres sociaux, médiathèques, collectivités territoriales ;  évènements locaux et journées internationales du jeu. Se déplacer sur un format décrit selon le projet de l’accueillant. Construire un partenariat avec les ludothèques locales pour les prêts de jeux. Mettre en place des formations et ouvrir le concept à d’autres encadrants.

Suite aux constats de professionnels du territoire des difficultés relationnelles des ados avec leurs parents, ce projet a eu pour objectif d'aller plus loin dans le traitement de la problèmatique des relations enfants-ados-parents, souvent au coeur des préoccupations éducatives, que ce soit au sein de la cellule familiale, ou lors des échanges entres professionnles de l'animation ou travailleurs sociaux.

La vocation de ce projet n'est pas d'apporter des réponses trop précises sur ce sujet à la fois riche et complexe, mais de faire la lumière sur un thème qui concerne bon nombre de familles sur le territoire de la Gascogne Toulousaine.

Partir des réprésentations, du vécu, de témoignages concrets nous a semblé être un bon moyen pour tenter de fédérer autour de la relations parents ados ou ados parents. Nous avons pris le parti dans le cadre de ce projet d'inverser l'approche en partant du point de vue de l'ado. 

Pour ce projet, les parents sont acteurs. C’est eux qui ont proposé ce qu’ils souhaitent partager comme savoir-faire, comme centre d’intérêt sur un ou plusieurs ateliers. Sur ces temps de partage, les parents sont mis en avant pour leurs compétences. 

Le but est de montrer aux parents qu’ils ont des capacités, des savoir-faire et leur en faire prendre conscience. De plus, l’objectif est de leur permettre de prendre petit à petit plus de confiance et d’estime en eux, des paramètres qui expliquent en partie le manque d’implication des parents dans le suivi scolaire des enfants.

Cette prise de conscience en leurs capacités devrait favoriser, à long terme, une plus grande mobilisation des parents dans le suivi scolaire de leur(s) enfant(s) et faciliter leur participation et leur engagement.

Il s'agit de proposer aux acteurs du territoire (écoles maternelle, élémentaire, collège, éducateurs de prévention, Brigade de Prévention de la Déliquance Juvénile, équipe du Centre Médico Sociale, infirmière de PMI, assistante sociale, CESF, bailleurs sociaux dans un premier temps) de se retrouver 3 ou 4 fois pas an atour d'un café/petit déjeuner sous forme de rencontre régulière et formelle permettant de favoriser la connaissance mutuelle des acteurs, de bien connaître les missions de chacun, d'échanger sur le diagnostic de territoire et d'envisager des actions communes.

L'équipe du Centre Social a mis en place tous les trimestres un temps de rencontres entre partenaires, professionnels, bénévoles. Articulé autour d'un petit déjeuner, un partenaire est invité à présenter sa structure, ses missions aux personnes présentes. Un temps d'échanges s'en suit.

Nos objectifs:

Créer un réseau de partenaires identifiés et identifiables par tous

Développer les relations entre les partenaires pour un meilleur service rendu à la population

Organiser un temps convivial de rencontres entre professionnels

Favoriser les passerelles entre les structures

Cette action a pour but de faire réfléchir les enfants et certaines participantes de l'atelier couture sur les droits de l'enfant.

Chaque enfant, après un échange/débat sur les droits des enfants avec les personnes fréquentant le centre social, devait réaliser un dessin sur un carré de tissus.

Tous les carrés ont été associé pour former un grand patchwork exposé lors de la semaine internationale des droits de l'enfant.
 

le printemps des générations est un temps fort d'une semaine où sont organisés des temps de rencontres, d'échanges, de partage entre les différentes activités et générations du centre social: en 2018, près de 200 personnes ont participé.

- Faire ensemble et partager: mini séance de yoga entre les participants de l'activité et des enfants de la crèche, jeux autour de l'écrit entre les adhérentes de l'atelier d'écriture et les enfants de l'accompagnement à la scolarité, soirée spectacle proposée par la chorale adulte et le groupe théâtre enfants.

- Transmettre: découverte et initiation à la machine à coudre avec l'activité couture et des jeune du collège, foire aux applis au collège (des jeunes accompagnent des adultes), ateliers cuisine solidaire avec des adhérents et des collégiens (participation au financement de projets du collège dont un voyage à Paris).

- laisser nos empreintes: des adultes ont laissé une empreinte d'une main à côté de celle d'un enfant avec un message destiné à l'enfant.

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une intervention d’un salarié qualifié de la Maison de Quartier Jacques Brel une demi-journée par semaine au sein de chacune des deux écoles maternelles, durant le temps scolaire. Cette intervention d’un salarié de l’association OÏKOS en poste à la Maison de Quartier Jacques Brel se déroulera en présence du professeur des écoles concerné. En lien avec le projet d’école et le projet éducatif de la Maison de Quartier Jacques Brel, l’animatrice animera des séances avec un groupe de 4 à 5 enfants (en prenant chaque semaine des enfants différents) en utilisant différents supports : cuisine, activités manuelles, jeux de coopération, en fonction des objectifs à atteindre. L’animateur et le professeur des écoles prendront un temps de préparation conjoint de ces interventions. L’intervention de l’animateur de la Maison de Quartier Jacques Brel se déroulera le lundi après-midi à l’école maternelle Martin Luther King. L’intervention de l’animateur de la Maison de Quartier Jacques Brel se déroulera le jeudi après-midi à l’école maternelle Louis Pergaud.

Ce partenariat permet également aux animatrices de pouvoir faire le lien entre l'école, la famille et la MQJB. Ce travail collaboratif a permis à certaines familles d'inscrire leurs enfants au centre de loisirs ou de participer aux animations parents-enfants.

De façon pratique, les parents sont invités à participer à des temps d'éctivités pédagogiques ou par moment à partager un petit déjeuner, avec leur enfants et ceci par petits groupes. Un groupe avec la professeure des écoles et un groupe avec l'animatrice. Ce temps d'échnages, de partages entre les enfant, les parents et l'animatrice permet de faire le lien avec les familles sur la question de la parentalité et d'aborde ce qui pourrait être développé au sein de la MQJB de façon transversale. 

une intervention d’un salarié qualifié de la Maison de Quartier Jacques Brel une demi-journée par semaine au sein de chacune des deux écoles maternelles, durant le temps scolaire. Cette intervention d’un salarié de l’association OÏKOS en poste à la Maison de Quartier Jacques Brel se déroulera en présence du professeur des écoles concerné. En lien avec le projet d’école et le projet éducatif de la Maison de Quartier Jacques Brel, l’animatrice animera des séances avec un groupe de 4 à 5 enfants (en prenant chaque semaine des enfants différents) en utilisant différents supports : cuisine, activités manuelles, jeux de coopération, en fonction des objectifs à atteindre. L’animateur et le professeur des écoles prendront un temps de préparation conjoint de ces interventions. L’intervention de l’animateur de la Maison de Quartier Jacques Brel se déroulera le lundi après-midi à l’école maternelle Martin Luther King. L’intervention de l’animateur de la Maison de Quartier Jacques Brel se déroulera le jeudi après-midi à l’école maternelle Louis Pergaud.

Ce partenariat permet également aux animatrices de pouvoir faire le lien entre l’école, la famille et la MQJB. Ce travail collaboratif a permis à certaines familles d’inscrire leurs enfants au centre de loisirs de la MQJB. De façon pratique, les parents sont invités à participer à des temps d’activités pédagogiques avec leur enfant et ceci par petits groupes. Un groupe avec la professeure de l’école et un groupe avec l’animatrice. Ce temps d’échanges, de partages entre les enfants, les parents et l’animatrice permet de faire le lien avec les familles sur la question de la parentalité et d’aborder ce qui pourrait être développé au sein de la MQJB de façon transversale.

Plusieurs objectis se croisent : 

- contribution au vivre ensemble avec une action qui investit l'ensemble du quartier

- réalisation et valorisation de créations artistiques dans le quartier - partenariat Artothèque, atelier couture, atelier FLE, jeux de piste réalisés par l'ALSH enfants

- engagement des acteurs éducatifs du quartier : collège avec médiation culturelle réalisée par les élèves de 3ème ambition réussite + contribution artistique des écoles 

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Mise en place d'ateliers créatifs sur le quartier d'intervention du centre social :

- Ateliers créatifs intergénérationnels au sein du centre social

- Création d'une fresque sur les locaux du groupe scolaire du quatier : travail sur le temps scolaire et durant les TAP avec un artiste créateur autour du théme, du dessin, de la peinture.

Réalisation de la fresque sur le temps scolaire avec les enfants mais aussi les parents.

- Travail autour de l'art urbain dans le cadre des ateliers arts plastiques du collége du quartier. Réalisation d'une fresque sur les locaux annexes du centre social à proximité du collége

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Des partenaires avec des parents s'associent pour  mettre en mouvement une refléxion autour de l'éducation bienveillante:

diffusion du documentaire "l'Odyssée de l'empathie", semaine de la parentalité avec le REAP, échanges/ débats autour de l'utilisation des écrans chez les enfants et les jeunes, mise en place de groupe de paroles, ateliers sur les émotions, partage d'albums enfants  et de livres sur le thème

L'action consiste à animer des ateliers de peinture hebdomadaires, dans la rue et en pied d'immeubles. Les ateliers sont itinérants dans 4 endroits d'Air Bel par périodes scolaires. Aussi, sont organisées des sorties culturelles et la mise en place d'expositions individuelles au sein de l'école et dans le centre Social. Enfin, pour clore le travail et projet de l'artiste, une exposition collective et festive de fin d'année est organisée dans l'espace public.

La Journée des Délégués vise à rassembler l'ensemble des délégués de classe des 2 collèges publics et du collège privé du territoire d'Annecy-le-Vieux, dans le but de les sensibiliser à des notions citoyennes, en favorisant la mixité des publics. En amont, un questionnaire a été diffusé auprès des élèves concernés.

La Journée se découpe en 2 demi-journées :

Matin : délégué(e)s 6ème/5ème ;  Après-midi : délégué(e)s 4ème/3ème.

En 2019, nous avons mis l'accent sur les notions de coopération et de compétition, à travers 3 ateliers :

- Le Chamallow challenge :

3 équipes formées de personnes qui ne se connaissent pas s'affrontent pour fabriquer la plus haute tour, au sommet de laquelle se trouve un chamallow, avec des fournitures restreintes (par équipe : 20 baguettes en bois, 30cm de ficelle, 30cm de scotch, 1 paire de ciseaux, 1 chamallow), en 15 minutes, puis 15 minutes de débriefing afin de s'interroger sur l'organisation entre des individus inconnus dans un contexte de compétition. On remarque en général que les équipes qui ont fonctionné de la manière la plus collective s'en sortent mieux.

- Le Jeu des X et Y :

4 équipes s’opposent. Le but du jeu est de gagner un maximum de points en choisissant « X » ou « Y ». On remet à chaque équipe un tableau de distribution des gains et pertes, ainsi que le tableau de fonctionnement en 10 étapes. Elles doivent choisir à chaque tour « X » ou « Y », sachant que si 1 équipe vote X, elle gagne 3 points. Si 2 équipes votent X, elles gagnent chacune 2 points. Si 3 équipes votent X, elles gagnent chacune 1 point. En revanche, si les 4 équipes votent X, elles perdent toutes 1 point. A l’inverse, si 1 équipe vote Y, elle perd 1 point. Si 2 équipes votent Y, elles perdent 2 points. Si 3 équipes votent Y, elles perdent 3 points. En revanche, si les 4 équipes votent Y, chaque équipe gagne 1 point. Il y a 10 tours. Les joueurs se concertent au sein de leur équipe pendant 2min pour le 1er tour, et pendant 1min ensuite. Ils ne doivent pas échanger avec les autres équipes. Au tour 5, les équipes ont le droit de communiquer entre elles. Les gains/pertes sont multipliés par 3. Idem au tour 8, les gains/pertes sont multipliés par 5. Une fois encore au tour 10, et les gains/pertes sont multipliés par 10. Sur chacun de ces 3 tours, les équipes discutent entre elles pendant 3min, puis à nouveau 1min dans chaque groupe. Le but du jeu est de gagner un maximum de points en suivant cette grille. Au bout de 20 min, on fait le débriefing : si toutes les équipes avaient voté Y à tous les tours, cela aurait permis à toutes les équipes de gagner le maximum de points au total. Il s’agit de faire prendre conscience que l’on peut gagner ensemble, en mettant de côté sa volonté « d’être le meilleur ». En effet, jouer X consiste à dire « Je veux que l’autre perde » (soit tout le monde joue X et tout le monde perd, soit les autres jouent Y et perdent contre X). Jouer Y consiste au contraire à penser « je veux que l’autre gagne » (soit l’autre joue X et il gagne, soit l’autre joue Y et tout le monde gagne). L’objectif est donc d’amener les joueurs à dépasser le gain individuel (à l’échelle de l’équipe) pour penser le gain de tous. On peut même faire le rapprochement avec des politiques nationales et internationales.

- Survivre sur la lune :

Jeu de rôles. Suite à l’explosion de la navette, on crée un climat de stress. On simule un crash sur la Lune et on demande aux collégiens de récupérer 6 objets sur une liste de 15. Pour survivre sur la Lune, il y a 3 objets identifiables et indispensables selon la NASA. Ils ont 3min pour décider, individuellement, sans échange. Chaque collégien fournit un double exemplaire des objets choisis avec son nom (1 pour la vérification finale, et 1 dont il se sert pour justifier ses choix devant les autres). On les rassemble ensuite par petits groupes, pendant 5min. Chaque groupe définit un responsable, ainsi que ses objets. On termine par la totalité du groupe, pendant 8min. L’objectif est un travail sur l'aide à la prise de décision. Nous pouvons concevoir la prise de décision en trois étapes, la collecte d'information, l'évaluation des informations et la régulation des informations. A l’issue des 3 étapes, on observe l'évolution des réponses et nous revenons sur ce qui correspond aux trois dimensions de la prise de décisions.

Les 3 collèges, complètement mélangés, ont été ensuite découpés en 3 groupes. Ces groupes ont ensuite tourné sur les 3 ateliers, avant une restitution collective en fin de demi-journée, qui a permis de revenir sur les réponses aux questionnaires, en lien avec les notions de compétition et de coopération dans la vie de tous les jours, au regard des comportements observés dans les différentes animations. L'objectif est ainsi de faire réfléchir les jeunes sur la manière de s'organiser en collectif, de décider ensemble en dépassant la notion de concurrence, tout en reconnaissant les bienfaits de la compétition comme moteur d'activité.

Ce projet sur 3 ans vient s’inscrire dans la suite du dernier projet triennal « les cultures urbaines » dans lequel les jeunes se sont montrés motivés et ont adhéré au projet. Ce de projet est née la volonté de pouvoir de nouveau construire un projet sur le long terme.

Ce projet va permettre aux jeunes de s’engager dans une dynamique de construction et de réalisation de projets

Permettre aux jeunes de découvrir et apprendre des nouvelles techniques, découvrir le cinéma, du montage à la réalisation, apprentissage d’une culture cinématographique, découverte des classiques français

Développer des actions de ciné-club avec la bibliothèque

Découvrir les outils de montage vidéo comme la table MashUp

Découvrir les métiers de l’audiovisuel en lien avec l’orientation des jeunes (les formations, université et débouchés…)

Le Centre Social Tsigane a accompagné les jeunes dans la réalisation d'un travail de recherche sur l'histoire, les origines et la culture tsigane. Ces recherches ont abouti à la réalisation de l'exposition "Ketenes Ni Creusa" qui a été mise en valeur lors du 1er festival culturel des familles Tsiganes en Creuse en octobre 2015.  Elle se compose actuellement de 22 panneaux qui brossent globalement 1000 ans d'histoire tsigane. Cette exposition a ensuite été présentée dans deux établissements scolaires (collège). Deux rencontres ont été organisées afin que les jeunes tsiganes et les élèves échangent autour de cette exposition et plus largement autour des éléments qu'elle contient. Nous souhaitons poursuivre cette action qui  contribue à la lutte contre le racisme, à l'engagement citoyen et au bien-vivre ensemble. La diffusion et la présentation de l'action suivies d'un débat pourra se mettre en œuvre avec des établissements scolaires ou des associations ou structures qui accueillent un public jeune. Il est souhaitable qu'au moins un événement se passe pendant la semaine  d'éducation et d'action contre le racisme et l'antisémitisme. Des contacts avec un établissement sont d'ores et déjà amorcés. Nous prévoyons de réaliser 4  interventions sur l'année 2017. Il est envisagé de réaliser un document que les jeunes non-tsiganes pourront garder reprenant les éléments phares de l'exposition. 
Le Centre Social se donne pour ambition de développer l'exposition par des "extensions" sur des thèmes précis: exemple: les tsiganes en Creuse en 39-45, etc...

3 étudiants du lycée agricole engagés en BTS agro-alimentaire ont proposé de s'associer au centre social pour une action liée au décryptage des étiquettes mises sur les produits alimentaires du quotdien.

les enfants du CLAS et les bénévoles ont été initiés par le biais d'ateliers : dégustation-devinettes / association des éléments E / confection de cookies maison

Il s'agit d'accueillir chaque mois une exposition d'artiste ou d'un collectif d'artiste au sein du Centre Social, en contrepartie d'animations permettant l'accès à a pratique artistique our tous. 

• Élaborer des programmes de santé adaptés au niveau local avec la participation des habitants.
• Réduire les inégalités sociales et territoriales en matière de santé en s’appuyant sur une dynamique partenariale.