Le quartier du Bois du Château accueille une grande diversité de population aux cultures très diverses. C'est une grande richesse mais c'est aussi parfois difficile de co-habiter. Mieux se connaître c'est aussi mieux vivre ensemble. L'intervention d'une personne "de l'extérieur" peut-être aidant dans cette dynamique.

C'est aussi un quartier enclavé où les jeunes, notamment, peuvent avoir des problèmes de mobilités... L'accueil d'un SVE est une illustration des possibles qui s'offrent à eux pour sortir du quartier avec un projet et de manière constructive,...

Il s'agit de lutter contre l'isolement social des familles monoparentales du quartier et redonner du sens à leur rôle de parent en tant que premier éducateur de leur enfant. Le but est de proposer des activités simples et peu couteuses que les familles peuvent reproduire soit chez soit entre elles.

Il s'agit de lutter contre l'isolement social des familles monoparentales du quartier et redonner du sens à leur rôle de parent en tant que premier éducateur de leur enfant. Le but est de proposer des activités simples et peu couteuses que les familles peuvent reproduire soit chez soit entre elles.

En octobre 2013, Mme Ina Moldoveanu, psychologue à la clinique des Augustines de Malestroit, a sollicité le Centre Social du Pays de Guer pour un soutien dans la mise en place d’un projet, appuyé par l’Agence Régionale de Santé (ARS), dans le cadre du programme de prévention de suicide. Il s’agissait d’organiser des groupes d’échanges et de paroles au sein de la Clinique, destinés aux personnes âgées isolées et animés par deux psychologues. L’objectif principal était de sortir ces personnes de leur isolement et de leur solitude en leur proposant des activités créatives.

Au terme de cette action, le groupe de participants composé essentiellement d’habitants du territoire de Guer a souhaité perdurer ces rencontres. L’objectifs étaient pour le Centre Social de :

• Rompre la solitude de personnes isolées sur le territoire de Guer
• Restaurer le lien social et intergénérationnel
• Favoriser les solidarités, l’échange de savoir-faire, l’utilité sociale des séniors
• Proposer des activités de loisirs et culturelles

Aller à la rencontre des habitants qui ne fréquantent pas le centre social

prendre la rempérature du quartier

communiquer sur les actions à venir

Aller à la rencontre des habitants qui ne fréquantent pas le centre social

prendre la rempérature du quartier

communiquer sur les actions à venir

Prise en compte plus pertinente et efficiente des problématiques jeunesses sur le territoire.

Réinterrogation avec la population de la place des jeunes sur le territoire.

Transformations des rapports sociaux.

Transformation des rapports jeunes institutions.

Transformation des rapports entre institutions.

Ce projet a été mis en place pour répondre à plusieurs problématiques et besoins identifiés, exprimés par des habitants :

- Répondre à une problématique d'accueil des habitants : sur notre territoire rural nous n'avons pas de lieu regroupant les habitants. Notre accueil est un lieu administratif, les activités se dérouel en rotation sur les différentes communes du territoire. Il n'est donc pas facile de développer un accueil convivial pour les personnes non inscrite à une activité.

- Répondre à des demandes/besoins d'habitants : Des habitants (principalement personnes isolées, retraités ou ayant des problèmes de santé) souhaitaient pouvoir se retrouver autour d'une activité (échange de savoir) ou simplement de prendre un café dans un cadre un peu informelle et assez ouvert. Il y avait aussi des souhait autour de dynamiuqes de solidarité : troc, surplus de légume,s prêt de matériel, coup de maian , covoiturage...

- Développer la participation des habitants dans le projet social et dynamiser le bénévolat  :demande auprès du centre social de nouveaux habitants qui souhaitait s'investir dans une action collective.

- Développer de nouveaux axes de notre projet : ouverture à un public plus large (seniors, adultes seuls...) et sur de nouveaux champs d'actions comme la solidarité
 

Former et accompagner des jeunes du territoire à l'animation volontaire, au pouvoir d'agir. Sur le volet éducatif : passer de l'autre côté / ce dispositif est entré dans les usages de l'association et devient un outil identifié par les jeunes

Répondre aux besoins d'animateurs des ALSH du centre social / Lever les incertitudes liées à la disponibilité de personnel formé résidant dans la proximité. Contribuer à lisser l'animation globale sur l'ensemble des secteurs y compris la jeunesse / Préserver la dimension éducative en relation avec des mineurs ou jeunes majeurs.

Donner à voir l'engagement de jeunes sur le territoire : familles, usagers, habitants, partenaires / Retour très positif des familles et habitants qui modifient leur regard porté sur le secteur jeunesse de l'association. Le projet est repris par l'intercommunalité sur d'autres territoires excentrés (Malestroit, La Gacilly).

Certains constats sont faits depuis quelques années par la Maison Pour Tous et dans le cadre d'un travail en commun mené avec la CAF.  

- Femmes en difficulté d’insertion professionnelle

- Jeunes mères seules     

- Jeunes filles et femmes enceintes dont  le fait d’être mère leur permet d’exister socialement et d’obtenir un statut qui peut génèrer des  difficultés tant au niveau   de l’insertion sociale que professionnelle.

- Femmes souffrant  d’un problème d’estime de soi

- Femmes en situation d’obésité morbide

- Femmes subissant des violences physiques et/ou psychologiques

- Jeunes filles et jeunes femmes peu présentes sur l’espace public ou au sein des actions développées au sein de la Maison Pour Tous.

- Femmes qui se retrouvent "assignés" à domicile pour s’occuper des enfants, des tâches ménagères...

...

Le projet  mis en œuvre se déclinera en plusieurs axes de travail et sera coordonné par le collectif Place des Femmes initié par la Maison Pour Tous en septembre 2015.

Ce collectif  a pour principal but en s’inscrivant dans le champ de l’égalité femme/homme a pour principal objectif  de : 

• Réinterroger la place des femmes et la condition féminine sur le territoire en se positionnant  dans le champ de l’Education Populaire qui vise, en permanence, à ce  que les actions menées s’inscrivent dans une logique de transformation sociale en réinterrogeant  les rapports déterminés dans lesquels nous sommes sans en avoir conscience et qui assignent à des places sociales.

Ce collectif ouvert, auquel participent à l’heure actuelle des associations agissant sur le quartier, le territoire communal et/ou départemental (CIDFF, Centre Social de Lanester, MPT, CSF, FOLCLO, Centre Social du polygone, Mission Locale...), des acteurs institutionnels (Ville de Lorient, Etat, CCAS...) et des habitants et/ou artistes sensibles à cette problématique, s’est fixé comme objectifs de :

• Identifier plus finement les missions des associations et institutions,  afin de pouvoir imaginer les platebandes à défricher dans un premier temps afin de pouvoir les cultiver en commun dans un second temps. 

• Construire de la relation et une meilleure interconnaissance génératrice de relations de confiance entre les acteurs et les différentes associations et institutions. 

• S’informer sur les projets et/ou dispositifs mis au sein des différentes organisations.

• Donner de la lisibilité aux actions mises œuvre dans le cadre de la promotion de l’égalité femme/homme au sein des quartiers et sur le territoire.

Pour  au final :

• Etre plus efficient dans nos réponses faites aux demandes des femmes sur le territoire.
• Mieux travailler en complémentarité, coopérer et mutualiser dans le cadre des actions mises au service des habitantes.
• Etre en capacité de les orienter, de les mettre en relation, voire de les accompagner dans leur démarche auprès des  associations et institutions les plus pertinentes dans les réponses qu’elles peuvent apporter aux demandes des femmes

Questionnements liés aux déterminismes sociaux assignant les femmes à des rôles sociaux déterminés.

Questionnements liés aux déterminismes sociaux assignant les femmes à des rôles sociaux déterminés.

Questionnements liés aux déterminismes sociaux assignant les femmes à des rôles sociaux déterminés.

Questionnements liés aux déterminismes sociaux assignant les femmes à des rôles sociaux déterminés.

Questionnements liés aux déterminismes sociaux assignant les femmes à des rôles sociaux déterminés.

Ce projet, développé en lien avec les habitants, le tissu institutionnel et associatif du quartier  a commencé en 2016 à prendre une dimension différente que celle des années passées. En 2017 et dans les années à venir en lien avec le programme de rénovation urbaine les principaux enjeux seront de :

• Favoriser l’appropriation des espaces publics par les habitants (anciens et nouveaux) en renforçant leur pouvoir d’agir au sein de ces derniers.
• Mettre en œuvre un processus de co-construction du  Vivre Ensemble qui permette également de mieux identifier la place qu’ils prennent sur la place publique.
• Reprendre contact avec des habitants que l’on ne voit plus et éloignés des dispositifs de droit commun.

Ce projet  visera à la mise en œuvre  d’animations  de rue, en priorité sur le nord du quartier, sans pourtant occulter le centre et le sud de ce dernier. Ces animations seront autant de prétextes à la rencontre avec l’ensemble des habitants mais seront tout autant des moyens qui nous permettront  d’entrer en relation avec des habitants enfants, jeunes, adultes, éloignés des structures car n’en possédant pas le mode d’emploi ou les codes et clefs  pour y entrer ou, tout simplement, comme cela est de plus en plus fréquent, en situation de pauvreté qui, car ne voulant pas s’endetter, ayant honte de cette situation, ne voulant pas demander l’aumône, fait barrage à l’accès aux services existants sur le quartier.

Il s’agira dans ce cadre de redonner   la possibilité aux habitants pour qui cela ne va pas de soi, en ayant des lieux pour dire et faire, d’agir au sein et sur la vie du quartier.       

Dans ce cadre il s’agira de :

• Générer des dynamiques collectives par la mise en place de temps d’animation permettant aux habitants, en s’appuyant sur les pratiques sociales et culturelles de ces derniers, de prendre une place publique sur l’espace public.
• Créer des temps d’échange, de rencontre, d’observation et des lieux  permettant d’identifier les usages propres à chaque groupe des espaces publics.
• Mettre en place des temps de confrontation avec les groupes favorisant la  co-construction  d’une "charte" d’utilisation commune des espaces publics. 
• Permettre aux habitants de s’approprier de façon éphémère ou pérenne les espaces publics.
• Favoriser la mise en scène des savoirs et la transmission adultes/enfants/jeunes de ces derniers afin de créer des relations de confiance. 
• Prêter une attention particulière à la participation des jeunes filles.
• Développer notre projet éducatif hors les murs auprès des enfants et jeunes éloignés de nos structures d’accueil se retrouvant régulièrement sur les espaces publics au bas des immeubles et étant parfois en conflit avec le voisinage. 

D’un point de vue plus opérationnel seront mis en place :

• Des animations collectives co-construites sur les espaces publics en bas des habitations qui permettent de créer des contacts avec l’ensemble de la population (Enfants, jeunes, adultes).
• Des temps de rencontre qui permettent aux enfants, jeunes et adultes d’identifier les problématiques inhérentes à chaque tranche d’âge et de la sorte favoriser une meilleure intercompréhension des générations.
• Des temps de concertation qui, en partant des observations faites lors des temps d’animation, des paroles tenues par la population quant à l’appropriation des espaces  permettent aux participants  de se construire un socle commun de connaissance et   définir le minimum de valeurs et de normes à partager pour vivre ensemble sur ces espaces.

Pour au final :

• Contribuer à la co-construction et à la co-production d’un Mieux Vivre Ensemble sur les espaces publics du quartier et au sein de ce dernier de façon plus globale.  

Des exemples d’animations :   
 

• Jeux de société géants
• Jardin de Jean
• Grands jeux dans le quartier
• Spectacle de rue 
• Barbecues, pique-nique…
• Sorties intergénérationnelles des groupes  contactés
• Débats
• Hall café
• …

Ces propositions sont les contenus "de base". Les ateliers pourront s'enrichir et se diversifier au fil du temps, selon les enfants, les jeunes, les adultes contactés (âge, sexe, centres d'intérêts), et selon leurs propositions  en prenant appui sur leurs pratiques sociales et culturelles, leurs savoir-faire. Les ateliers seront itinérants. 

Ce projet, développé en lien avec les habitants, le tissu institutionnel et associatif du quartier  a commencé en 2016 à prendre une dimension différente que celle des années passées. En 2017 et dans les années à venir en lien avec le programme de rénovation urbaine les principaux enjeux seront de :

• Favoriser l’appropriation des espaces publics par les habitants (anciens et nouveaux) en renforçant leur pouvoir d’agir au sein de ces derniers.
• Mettre en œuvre un processus de co-construction du  Vivre Ensemble qui permette également de mieux identifier la place qu’ils prennent sur la place publique.
• Reprendre contact avec des habitants que l’on ne voit plus et éloignés des dispositifs de droit commun.

Ce projet  visera à la mise en œuvre  d’animations  de rue, en priorité sur le nord du quartier, sans pourtant occulter le centre et le sud de ce dernier. Ces animations seront autant de prétextes à la rencontre avec l’ensemble des habitants mais seront tout autant des moyens qui nous permettront  d’entrer en relation avec des habitants enfants, jeunes, adultes, éloignés des structures car n’en possédant pas le mode d’emploi ou les codes et clefs  pour y entrer ou, tout simplement, comme cela est de plus en plus fréquent, en situation de pauvreté qui, car ne voulant pas s’endetter, ayant honte de cette situation, ne voulant pas demander l’aumône, fait barrage à l’accès aux services existants sur le quartier.

Il s’agira dans ce cadre de redonner   la possibilité aux habitants pour qui cela ne va pas de soi, en ayant des lieux pour dire et faire, d’agir au sein et sur la vie du quartier.       

Dans ce cadre il s’agira de :

• Générer des dynamiques collectives par la mise en place de temps d’animation permettant aux habitants, en s’appuyant sur les pratiques sociales et culturelles de ces derniers, de prendre une place publique sur l’espace public.
• Créer des temps d’échange, de rencontre, d’observation et des lieux  permettant d’identifier les usages propres à chaque groupe des espaces publics.
• Mettre en place des temps de confrontation avec les groupes favorisant la  co-construction  d’une "charte" d’utilisation commune des espaces publics. 
• Permettre aux habitants de s’approprier de façon éphémère ou pérenne les espaces publics.
• Favoriser la mise en scène des savoirs et la transmission adultes/enfants/jeunes de ces derniers afin de créer des relations de confiance. 
• Prêter une attention particulière à la participation des jeunes filles.
• Développer notre projet éducatif hors les murs auprès des enfants et jeunes éloignés de nos structures d’accueil se retrouvant régulièrement sur les espaces publics au bas des immeubles et étant parfois en conflit avec le voisinage. 

D’un point de vue plus opérationnel seront mis en place :

• Des animations collectives co-construites sur les espaces publics en bas des habitations qui permettent de créer des contacts avec l’ensemble de la population (Enfants, jeunes, adultes).
• Des temps de rencontre qui permettent aux enfants, jeunes et adultes d’identifier les problématiques inhérentes à chaque tranche d’âge et de la sorte favoriser une meilleure intercompréhension des générations.
• Des temps de concertation qui, en partant des observations faites lors des temps d’animation, des paroles tenues par la population quant à l’appropriation des espaces  permettent aux participants  de se construire un socle commun de connaissance et   définir le minimum de valeurs et de normes à partager pour vivre ensemble sur ces espaces.

Pour au final :

• Contribuer à la co-construction et à la co-production d’un Mieux Vivre Ensemble sur les espaces publics du quartier et au sein de ce dernier de façon plus globale.  

Des exemples d’animations :   
 

• Jeux de société géants
• Jardin de Jean
• Grands jeux dans le quartier
• Spectacle de rue 
• Barbecues, pique-nique…
• Sorties intergénérationnelles des groupes  contactés
• Débats
• Hall café
• …

Ces propositions sont les contenus "de base". Les ateliers pourront s'enrichir et se diversifier au fil du temps, selon les enfants, les jeunes, les adultes contactés (âge, sexe, centres d'intérêts), et selon leurs propositions  en prenant appui sur leurs pratiques sociales et culturelles, leurs savoir-faire. Les ateliers seront itinérants. 

Ce projet, développé en lien avec les habitants, le tissu institutionnel et associatif du quartier  a commencé en 2016 à prendre une dimension différente que celle des années passées. En 2017 et dans les années à venir en lien avec le programme de rénovation urbaine les principaux enjeux seront de :

• Favoriser l’appropriation des espaces publics par les habitants (anciens et nouveaux) en renforçant leur pouvoir d’agir au sein de ces derniers.
• Mettre en œuvre un processus de co-construction du  Vivre Ensemble qui permette également de mieux identifier la place qu’ils prennent sur la place publique.
• Reprendre contact avec des habitants que l’on ne voit plus et éloignés des dispositifs de droit commun.

Ce projet  visera à la mise en œuvre  d’animations  de rue, en priorité sur le nord du quartier, sans pourtant occulter le centre et le sud de ce dernier. Ces animations seront autant de prétextes à la rencontre avec l’ensemble des habitants mais seront tout autant des moyens qui nous permettront  d’entrer en relation avec des habitants enfants, jeunes, adultes, éloignés des structures car n’en possédant pas le mode d’emploi ou les codes et clefs  pour y entrer ou, tout simplement, comme cela est de plus en plus fréquent, en situation de pauvreté qui, car ne voulant pas s’endetter, ayant honte de cette situation, ne voulant pas demander l’aumône, fait barrage à l’accès aux services existants sur le quartier.

Il s’agira dans ce cadre de redonner   la possibilité aux habitants pour qui cela ne va pas de soi, en ayant des lieux pour dire et faire, d’agir au sein et sur la vie du quartier.       

Dans ce cadre il s’agira de :

• Générer des dynamiques collectives par la mise en place de temps d’animation permettant aux habitants, en s’appuyant sur les pratiques sociales et culturelles de ces derniers, de prendre une place publique sur l’espace public.
• Créer des temps d’échange, de rencontre, d’observation et des lieux  permettant d’identifier les usages propres à chaque groupe des espaces publics.
• Mettre en place des temps de confrontation avec les groupes favorisant la  co-construction  d’une "charte" d’utilisation commune des espaces publics. 
• Permettre aux habitants de s’approprier de façon éphémère ou pérenne les espaces publics.
• Favoriser la mise en scène des savoirs et la transmission adultes/enfants/jeunes de ces derniers afin de créer des relations de confiance. 
• Prêter une attention particulière à la participation des jeunes filles.
• Développer notre projet éducatif hors les murs auprès des enfants et jeunes éloignés de nos structures d’accueil se retrouvant régulièrement sur les espaces publics au bas des immeubles et étant parfois en conflit avec le voisinage. 

D’un point de vue plus opérationnel seront mis en place :

• Des animations collectives co-construites sur les espaces publics en bas des habitations qui permettent de créer des contacts avec l’ensemble de la population (Enfants, jeunes, adultes).
• Des temps de rencontre qui permettent aux enfants, jeunes et adultes d’identifier les problématiques inhérentes à chaque tranche d’âge et de la sorte favoriser une meilleure intercompréhension des générations.
• Des temps de concertation qui, en partant des observations faites lors des temps d’animation, des paroles tenues par la population quant à l’appropriation des espaces  permettent aux participants  de se construire un socle commun de connaissance et   définir le minimum de valeurs et de normes à partager pour vivre ensemble sur ces espaces.

Pour au final :

• Contribuer à la co-construction et à la co-production d’un Mieux Vivre Ensemble sur les espaces publics du quartier et au sein de ce dernier de façon plus globale.  

Des exemples d’animations :   
 

• Jeux de société géants
• Jardin de Jean
• Grands jeux dans le quartier
• Spectacle de rue 
• Barbecues, pique-nique…
• Sorties intergénérationnelles des groupes  contactés
• Débats
• Hall café
• …

Ces propositions sont les contenus "de base". Les ateliers pourront s'enrichir et se diversifier au fil du temps, selon les enfants, les jeunes, les adultes contactés (âge, sexe, centres d'intérêts), et selon leurs propositions  en prenant appui sur leurs pratiques sociales et culturelles, leurs savoir-faire. Les ateliers seront itinérants. 

Ce projet, développé en lien avec les habitants, le tissu institutionnel et associatif du quartier  a commencé en 2016 à prendre une dimension différente que celle des années passées. En 2017 et dans les années à venir en lien avec le programme de rénovation urbaine les principaux enjeux seront de :

• Favoriser l’appropriation des espaces publics par les habitants (anciens et nouveaux) en renforçant leur pouvoir d’agir au sein de ces derniers.
• Mettre en œuvre un processus de co-construction du  Vivre Ensemble qui permette également de mieux identifier la place qu’ils prennent sur la place publique.
• Reprendre contact avec des habitants que l’on ne voit plus et éloignés des dispositifs de droit commun.

Ce projet  visera à la mise en œuvre  d’animations  de rue, en priorité sur le nord du quartier, sans pourtant occulter le centre et le sud de ce dernier. Ces animations seront autant de prétextes à la rencontre avec l’ensemble des habitants mais seront tout autant des moyens qui nous permettront  d’entrer en relation avec des habitants enfants, jeunes, adultes, éloignés des structures car n’en possédant pas le mode d’emploi ou les codes et clefs  pour y entrer ou, tout simplement, comme cela est de plus en plus fréquent, en situation de pauvreté qui, car ne voulant pas s’endetter, ayant honte de cette situation, ne voulant pas demander l’aumône, fait barrage à l’accès aux services existants sur le quartier.

Il s’agira dans ce cadre de redonner   la possibilité aux habitants pour qui cela ne va pas de soi, en ayant des lieux pour dire et faire, d’agir au sein et sur la vie du quartier.       

Dans ce cadre il s’agira de :

• Générer des dynamiques collectives par la mise en place de temps d’animation permettant aux habitants, en s’appuyant sur les pratiques sociales et culturelles de ces derniers, de prendre une place publique sur l’espace public.
• Créer des temps d’échange, de rencontre, d’observation et des lieux  permettant d’identifier les usages propres à chaque groupe des espaces publics.
• Mettre en place des temps de confrontation avec les groupes favorisant la  co-construction  d’une "charte" d’utilisation commune des espaces publics. 
• Permettre aux habitants de s’approprier de façon éphémère ou pérenne les espaces publics.
• Favoriser la mise en scène des savoirs et la transmission adultes/enfants/jeunes de ces derniers afin de créer des relations de confiance. 
• Prêter une attention particulière à la participation des jeunes filles.
• Développer notre projet éducatif hors les murs auprès des enfants et jeunes éloignés de nos structures d’accueil se retrouvant régulièrement sur les espaces publics au bas des immeubles et étant parfois en conflit avec le voisinage. 

D’un point de vue plus opérationnel seront mis en place :

• Des animations collectives co-construites sur les espaces publics en bas des habitations qui permettent de créer des contacts avec l’ensemble de la population (Enfants, jeunes, adultes).
• Des temps de rencontre qui permettent aux enfants, jeunes et adultes d’identifier les problématiques inhérentes à chaque tranche d’âge et de la sorte favoriser une meilleure intercompréhension des générations.
• Des temps de concertation qui, en partant des observations faites lors des temps d’animation, des paroles tenues par la population quant à l’appropriation des espaces  permettent aux participants  de se construire un socle commun de connaissance et   définir le minimum de valeurs et de normes à partager pour vivre ensemble sur ces espaces.

Pour au final :

• Contribuer à la co-construction et à la co-production d’un Mieux Vivre Ensemble sur les espaces publics du quartier et au sein de ce dernier de façon plus globale.  

Des exemples d’animations :   
 

• Jeux de société géants
• Jardin de Jean
• Grands jeux dans le quartier
• Spectacle de rue 
• Barbecues, pique-nique…
• Sorties intergénérationnelles des groupes  contactés
• Débats
• Hall café
• …

Ces propositions sont les contenus "de base". Les ateliers pourront s'enrichir et se diversifier au fil du temps, selon les enfants, les jeunes, les adultes contactés (âge, sexe, centres d'intérêts), et selon leurs propositions  en prenant appui sur leurs pratiques sociales et culturelles, leurs savoir-faire. Les ateliers seront itinérants. 

- Proposer aux parents ou adultes accompagnant, des activités ludiques,  manuelles ou de bien être : petit bricolage (découpage, gommette, collage, peinture…), jeux d’éveil musical ou sensoriel,        intervenants extérieurs, etc …

- Permettre aux parents de partager des moments de convivialité.

- Valoriser et conforter l’adulte dans sa fonction éducative et parentale à partir de l’acquisition de nouveaux savoirs faire,

- Permettre à l’enfant une préadaptation à la vie en collectivité.

Pour les activités proposées, le but pour l’enfant et l’accompagnant n’est pas d’attendre un résultat final trop abouti mais de ... "profiter des séances et de l'instant présent !"

cette action a été mise en place pour élargir les activités du centre social et répondre à un lacune du centre

Les loisirs et en particulier les vacances ne sont pas accessibles à un bon nombre de familles sur notre territoire rural. Cela nous a été confirmé par des échanges avec les familles en particulier lors des sorties d’été. Les familles témoigne du fait qu’elles ne font pas ce type de sortie seule pour diverses raisons : cout (des activités, du transport), problème de mobilité et…. De plus, elles expriment souvent de la crainte, de l’angoisse du fait de ne pas avoir l’habitude : peur de ne pas trouver sa route, de ne pas savoir comment s’organiser etc…

Lors des sorties les familles témoigne du fait que ces journées sont un véritable bol d’air pour elles, et ont exprimé l’envie de pouvoir partir plus longtemps.

Nous avons donc travaillé sur un projet de vacances en famille mis en œuvre depuis 2012.

La finalité du projet est de permettre à des familles qui ne sont jamais ou très peu parti d’avoir accès aux vacances. Il vise aussi à rendre progressivement autonome les familles et à développer leur capacités pour porter seul leurs futurs projets de vacances. L’organisation de la préparation permets aux familles de s’approprier, de personnaliser leur séjour.