Les actions des centres sociaux
Actions
Nounou Dating
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DAUPHINE SAINT-MARCEAU - ANIM ORLEANS - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
L'action fait suite à un échange avec un de nos partenaires présent hebdomadairement sur le centre social.
Le Relais Assistants Martenels observe la difficulté pour les assistantes maternelles de rencontrer les familles potentiellement intéressées par le dispositif.
Nous échangeons sur le centre social avec des familles habitant le quartier de leur difficulté de trouver le l'information sur les différents modes de garde pour leurs petits enfants.
L'action prend également vie à la suite du diagnostique effectué auprès des familles dans le cadre du renouvellement du centre social.
Nous mettons donc en place deux rencontres annuelles qui permettent aux parents et aux assistantes maternelles d'entrer en contact.
Déroulement :
- Pot d'accueil
- Les assistantes maternelles et les parents se situent sur une carte du quartier
- La salariée du RAM explique aux parents comment il fonctionne
- Moment de rencontre sous la forme d'un speed dating - 7 minutes pour se présenter; prendre rendez-vous.
Cette action mobilise 2 salariés sur une matinée.
Pour l'instant, nous avons mobiliser une vingtaine d'assiqtantes maternelles et une trentaine de familles intéressées et/ou nouvellement arrivées.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le centre social souhaite avoir une utilité concrète fixée dans le quotidien des familles.
Cette action répond à une vraie demande de mise en relation.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Les deux salariées (centre social et RAM) se sont réunies 3 fois pour préparer l'action.
Une communication à été diffusée à l'échelle du quartier par le biais d'un groupe d'habitants (garde-champêtre). Cette communication a été réalisée par le service communication de la ville d'Orléans.
L'action à débuté en 2017 sur les mois de mai et décembre.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget nécessaire a cette action ne comprend qu'un salaire sur 3 h de travail et de dépenses pour le pot d'accueil.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié centre social
1 salarié RAM
Les assistantes matenelles/Bénévoles ce jour là.
- Résultat sur le territoire
Nous n'avons pas de retours des familles concernant les impacts.
Nous espérons faire connaître encore plus cette action par le bouche à oreille.
Par contre, il y a beaucoup d'appels de personnes qui souhaitent avoir des précisions sur cette action; cela ne concerne t-il que le quartier St Marceau? Je suis assistante maternelles sur une autre commune, puis-je participer?....
- Résultat pour le centre social
Cette action a été la première action mise en place avec le RAM. Nous espérons qu'elle pourra se faire l'écho d'autres actions avec le RAM et avec d'autres partenaires présents sur la structure (la crèche par exemple).
- Résultat pour les habitants
Nous espérons faire connaître cette action au plus grand nombre de familles.
Plusieurs familles ont trouvé et signé avec une assistante sociale suite à la rencontre.
- Suite de l'action : Limites
Nous ne pourrons pas multiplier cette action.
Les deux sessions sont suffisantes et surtout elles correspondent à des moments de l'année où il y a une nécessité.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer l'information
Actions
Atelier cuisine "du goût à la cuisine"
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Santé
- développement durable
- Résumé
Il s'agit de mettre en place 7 séances de formation cuisine pour un groupe de 10 parents encadrés par un cuisinier professionnel. Les séances sucessives permettent d'apprendre à cuisiner des produits locaux, de saison, parfois inconnus ou aussi connus mais en les cuisinant de façons différentes. Le cuisinier doit se positionner comme un formateur permettant au public d'expérimenter. Il montre comment faire puis il laisse le public réaliser l'exercice tout en étant présent pour modifier les gestes s'ils ne sont pas corrects. Ainsi, les parents peuvent apprendre de nombreuses choses: diminuer les graisses dans les cuissons, utiliser correctement les épices, réaliser des mets peu chers, associer des produits pour améliorer le goût, cuisiner les légumes de différentes façons. Les cours portent également sur d'autres points: respecter la chaine du froid en fermant le frigo, savoir organiser sa cuisine, savoir émincer les aliments sans se couper. Les parents travaillent sur les saveurs, ce qui amène le plaisir de manger et donne envie aux enfants de manger de tout.
A la suite d'un repas nous invitons une diététicienne à venir répondre aux différentes questions qui ont pu ressortir lors des ateliers. Nous sollicitons également le SMIRTOM pour une intervention de sensibilisation sur le tri sélectif des déchets.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place suite à différents constats:
* les personnes cuisinent moins et achètent plus facilement des produits tout préparé
* le budget de la plupart des habitants est peu élevé (beaucoup viivent en dessous du seuil de bas revenu). Cette situation a 2 incidences: d'une part, ils achètent prioritairement des aliments "premier prix" souvent de moindre qualité et d'autre part, les choix alimentaires se réduisent encore plus en fin de mois pour ces personnes qui ont parfois du mal à gérer leur budget nourriture.
* l'alimentation n'est pas toujours adaptée aux enfants notamment en ce qui concene les sucreries dont la consommation est souvent excessive.
* beaucoup de produits frais vont à la pubelle faute de savoir les cuisiner, de surveiller les dates limites de consommation ou simplement faute d'une bonne tenue du réfrigérateur. Ces produits périmés gonflent alors le poids des sacs poubelles de déchets ménagers.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Bailleur social
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Un bénévole a aménagé au préalable un local en atelier cuisine comprenant un plan de travail pour 10 personnes (avec 5 plaques vitrocéramiques + 2 fours).
Nous avons lancé le premier atelier le 10/10/17 avec une dizaine de mamans encadrée par un cuisinier et une animatrice.
Le public est issu de plusieurs associations partenaires: 1000 Sourires qui est une association d'aide aux familles sur un autre quartier de Montargis, Coallia qui héberge des familles en grandes difficultés et nous-mêmes. En ce qui nous concerne, nous avons également communiqué sur cette action auprès de nos usagers.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5462 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Pour une année: 2 groupes de 10 personnes, 1 animatrice salariée de l'association, 1 cuisinier professionnel, 1 diététicinne, 1 ambassadeur du tri SMIRTOM
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
A la suite de cette formation cuisine, les mamans ont mis en pratique beaucoup d'astuces et ont reproduit plusieurs plats avec le plaisir de les voir appréciés par les enfants qui en redemandaient.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Nous souhaitons poursuivre l'action avec le même principe: un groupe d'une dizaine de parents qui se retrouveraient sur 7 séances et qui apprendraient de nombreuses choses grâce à l'intervention d'un cuisinier, une diététicienne et un ambassadeur du tri.
Actions
Sentez-vous bien !
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DU PONT BORDEAU - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
Cette action s’articule autour de quatre volets :
- un volet "information/communication" ;
- un volet "dépistage, prévention" ;
- un volet "alimentation/nutrition"
- un volet "activités physiques/bien-être".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans le cadre du renouvellement du projet du Centre Social courant 2016, l'équipe du Centre Social a engagé un diagnostic participatif et partagé, en lien avec les habitants du quartier et des partenaires, autour de 7 questions sociales dont celle de l'accès à la santé. Plusieurs thématiques sont ainsi apparues comme essentielles à traiter dans le champ de la santé (l'information : déficit global d'information sur les droits de santé...; l'alimentation, constat récurrent de conduites alimentaires peu réfléchies ou néfastes pour la santé ; le suivi médical restreint ou absence de suivi ; souffrance psychologique/psychique des personnes (enfants, jeunes, adultes, parents) ; accès limité aux pratiques sportives ; conduites à risque chez les jeunes ; isolement des seniors).
Par ailleurs, les habitants regrettent le manque de structure de santé de proximité sur le quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Commune
- CPAM
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Programmation diversifiée en lien avec les 4 volets du projet. Action à destination du tout public et action avec des publics captifs (enfants et jeunes du CLAS).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Financement Ville/Contrat de Ville
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels
- Résultat sur le territoire
En l'absence de structure de santé, une thématique qui reste prisée des habitants.
.
- Résultat pour le centre social
Centre Social mieux repéré par les partenaires comme abordant la thématique santé.
- Résultat pour les habitants
Difficulté à mesurer l'impact à court terme sur les pratiques des habitants. Projet qui sera développé sur 4 ans.
- Suite de l'action : Limites
Difficulté à mobiliser les personnes pour qu'elles s'inscrivent dans une pratique physique régulière
- Suite de l'action : Perspectives
renforcer le partenariat avec l'école de secteur.
renforcer l'action auprès des seniors isolés.
poursuivre le travail auprès de groupes constitués (suivi régulier et impact plus fort)
Actions
Mobilud' : la ludothèque de rue estivale
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ASCA GARE - Loiret
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- vacances / loisirs
- Résumé
La Mobilud' est une animation hors les murs de la ludothèque. Elle est mise en place en été et fonctionne 5 soir par semaine. Elle est repérable à son camion qui s'installe chaque soir dans un lieu différent de la commune. Des espaces de jeux, complémentaires et adaptés pour tous, sont installés :
- jeux de règles (3-6 ans, 6-10 ans, jeunes, seniors)
- espace petite enfance
- jeux de construction
- jeux de plein air et grands jeux en bois
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet est né du constat que, sur la période estivale, la ludothèque touchait souvent les mêmes familles, les locaux ne permettait pas l'accroissement du public, et peu d’animations ludiques étant proposées sur la ville durant cette période.
Afin de valoriser la ludothèque et de toucher de nouvelles populations, la stratégie de l'équipe a été de sortir l’activité de ses murs et d'investir de nouveaux quartiers.Cette animation a aussi pour objectifs de favoriser le vivre ensemble, permettre l'accès aux loisirs pour tous, favoriser l'exercice de la parentalité, développer des actions éducatives auprès de la jeunesse.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a débuté en 2015. L'équipe du Centre Social de la Gare a construit le projet. Le nom a été choisi en consultant les salariés des 3 centres sociaux de l'association (ASCA), le visuel du camion en consultant les usagers. Le projet a été présenté aux usagers dans chaque centre.
Chaque année, l'équipe ludothèque sélectionne les jeux. Les lieux d'animation sont choisis en concertation avec les équipes des 3 centres sociaux. Et l'animation est menée en alternance par l'ensemble des animateurs des 3 centres sociaux et des bénévoles.
L'action est financée en partie par le REAAP et 2 bailleurs sociaux de la commune.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Environ 7300€ comprenant la location du camion, l'achat de matériel, la communication et les salaires des animateurs.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
15 animateurs et 2 bénévoles sont présents en alternance à raison de 3 animateurs par soir.
- Résultat sur le territoire
La Mobilud' permet l'animation de l'ensemble des quartiers de la ville sur la période estivale.
- Résultat pour le centre social
L'action permet de nous faire connaître auprès d'un public plus large.
- Résultat pour les habitants
Mobilité du public sur de nouveaux territoires car certains habitants suivent la Mobilud' de jour en jour et pas seulement à proximité de leur quartier.
La découverte de l'outil ludique, pour certains c'est aussi l'occasion de jouer en famille pour la première fois ou également de valoriser les compétences dans la transmission de règles.
- Suite de l'action : Limites
Implication des habitants: à ce jour, l'action n'est pas constuite en amont avec eux.
Impact à long terme: beaucoup d'habitants sont touchés par cette action mais ne fréquentent pas d'autres animations de centres sociaux le reste de l'année.
Action tous publics mais qui touche peu les jeunes et les personnes isolées.
- Suite de l'action : Perspectives
Depuis 2015, cette action est reconduite chaque année.
Actions
Conseil de maison
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS JEAN VILAR - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Un conseil de maison s'est constitué suite à des réunions de travail ménees avec ces mêmes habitants, pour l'écriture du projet centre social. Il est constitué d'environ 12 personnes présentes régulièrement.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour permettre aux habitants qui le souhaitent de s'exprimer sur le fonctionnement de la Maison pour Tous, les actions à venir et l'évaluation de celles-ci toujours en lien avec le projet centre social. Cela répond à notre axe de travail de celui-ci qui est d'accroître la participation des habitants au quotidien.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action a débuté en janvier 2017 où les habitants ont souhaité pouvoir continuer de se retrouver et participer au fonctionnment de la structure (proposition, mise en place d'actions, évaluation des actions, échanges autour de la vie de la structure et du quartier). Ce groupe se réunit pour le moment 1 fois tous les deux mois voir une fois par mois quand cela le nécessite. Ces rencontres sont animées pour l'instant par la directrice et le référent accueil/famille.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
pas de budget.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnels, 15 habitants
- Résultat sur le territoire
Une meilleure communication des actions menées puisque portées par des habitants. Cela contribue à une meilleure connaissance de la structure.
- Résultat pour le centre social
Des habitants qui connaissent mieux le fonctionnement de la strcuture et qui s'investissent aussi en connaissance de cause et portent davantage les décisions prises par le conseil de maison.
- Résultat pour les habitants
Une meilleure aisance à s'exprimer au fil des rencontres, se sentent pris en compte et valorisés.
Certains se sont investis également dans le conseil citoyen.
- Suite de l'action : Limites
-veiller à maintenir le rythme et la dynamique des rencontres
-veiller à avoir une approche de groupe et non pas individuelle
- Suite de l'action : Perspectives
-que des habitants s'ils le souhaitent puissent s'essayer à l'animation de ces rencontres...
Actions
Groupe de paroles de parents au sein d'une école
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DU CLOS DE L'ARCHE - Loiret
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Groupes de parole de parents d'élèves, animés par une psychologue, en présence d'une animatrice "accueillante", au sein d'une école, sur la thématique "mes préoccupations de parents"
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
SOUTIEN A LA FONCTION PARENTALE
Témoins de difficultés de certains parents dans leur rôle et en réponse à certaines demandes, les groupes de parole ont pour objectifs de :
- Positionner les parents comme experts : leur faire prendre conscience de leur capacité à remplir leur rôle en facilitant leur expression, en valorisant leurs apports, en favorisant l'échange d'expériences et la réflexion collégiale
- Porter une attention particulière aux parents fragilisés dans leur rôle parental
- Informer les parents sur des questions liées à la santé, l’hygiène de vie, le développement de l’enfant et de ses besoins
Depuis 2009, des groupes de parole de parents sont mis en place dans les centres sociaux de l'ASCA, animés par une psychologue. Ils concernent entre 3 et 12 personnes selon les séances, d'1h30 environ. Diverses modalités ont été testées : en journée, en soirée, avec ou sans la présence d'un professionnel de l'équipe, avec une thématique précise ou plus générale : "préoccupations de parents". Jusqu'à 2016/2017, ils avaient toujours lieu dans les centres sociaux dans le prolongement d'une des pauses café hebdomadaires, environ 2 fois/trimestre hors été.
L'une des limites de ces groupes de parole est qu'ils sont fréquentés par les seuls adhérents ou usagers des centres sociaux et non par un public plus large, malgré une large communication.
Dans le but d'aller vers d'autres parents et de rendre plus visible l'action des centres, et grâce au partenariat étroit établi avec certaines écoles (dans le cadre des actions CLAS), 4 groupes de parole ont été organisés en 2017/2018 au sein de 2 écoles élémentaires du territoire.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
En amont :
Pour que des groupes de parole puissent avoir lieu au sein d'une école, obtenir l'aval des équipes enseignantes concernées, convaincre que la teneur des échanges ne dériverait pas vers une critique de l'école ou de son équipe, une rencontre avec l'inspectrice de circonscription de l'EN a eu lieu en amont mais cela n'a pas en réalité apporté le soutien espéré : l'essentiel est que l'équipe (ou la direction) soit convaincue de l'intérêt de l'action.
En novembre 2017, sur les 6 écoles élémentaires ou primaires de la commune avec lesquelles nous travaillons, 2 ont donné leur accord, les autres évoquant des problèmes de sécurité, d'organisation, de temps... Pour l'une des 2 écoles mobilisées, une rencontre préalable avait eu lieu avec l'ensemble de l'équipe enseignante. Pour l'autre, il a eu juste une rencontre avec la direction. La confiance établie au préalable dans le cadre du CLAS a beaucoup facilité les échanges.
Le cadre de ces groupes, programmés en décembre 2017 et mars/avril 2018, est défini comme suit :
Mise à disposition d'une salle propice à la convivialité (bibliothèque, salle de réunion, autour d'une boisson chaude), en présence de la psychologue et d'une animatrice de l'ASCA, et en l'absence d'enseignant ou de la direction (pour ne pas bloquer la parole). Les groupes se sont déroulés à l'heure de la rentrée des classes, de 8h45 à 10h30, de sorte que les parents n'aient pas à retourner chez eux pour y participer.
En début de séance, le cadre a été précisé et notamment la condidentialité des échanges durant la séance.
Communication :
Des affiches avaient été apposées dans les écoles concernées et des mots collés dans les cahiers des élèves avec coupon réponse (cf pièces jointes). Mais le plus efficace est encore de mobiliser les parents la veille ou le matin même (animatrice CS + direction de l'école ou enseignant).
Présence de 7 et 8 parents pour les 2 groupes de parole dans une école, la moitié d'entre eux ne connaissant l'action des CS au départ
Présence de 1 et 3 parents pour les 2 groupes de parole dans l'autre école, aucun ne connaissant l'action des CS au départ
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Interventions de la psychologue pour la conduite des groupes de parole d'1h30 environ : 100€/séance
Heures coordinatrice du centre et animatrice référente familles : 2h/séance + temps de prise de contact, réunion avec chaque école et réalisation de la communication : environ 15h/école
Une partie des dépenses (correspondant au montant de la prestation du psychologue, prise en charge par le REAAP.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (2 de l'animation + 1 psychologue)
- Résultat sur le territoire
Offre hors centre social de soutien à la parentalité, en cohérence avec des écoles du territoire
- Résultat pour le centre social
Prise de contact avec 12 familles du territoire jusqu'alors inconnues et promotion de nos actions
Renforcement du partenariat avec certaines écoles
Visibilité des actions du centre social
- Résultat pour les habitants
Les parents ayant participé aux différents groupes de parole se sont dits satisfait de l'action d'avoir pu exprimer et échanger sur leurs préoccupations de parents.
- Suite de l'action : Limites
- A ce jour aucun nouveau parent n'est venu au centre social pour le connaître davantage. Pour autant nous ne pouvons mesurer si cela leur a donné plus d'assurance pour prendre part à des actions extérieures menées par celui-ci (Fête du Jeu, animations de quartier...)
- Un réel investissement de l'équipe enseignante est indispensable pour informer et mobiliser les parents d'élèves, ce qui demande temps et énergie, dont il faut s'assurer avant la mise en oeuvre de l'action, sans pour autant décourager les enseignants !
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduite de l'action prévue dans l'une des 2 écoles, et suspension de celle-ci dans l'autre, vu le trop petit nombre de participants aux 2 séances.
Contact en cours avec une école maternelle dans la perspective d'y organiser 1 groupe de parole.
Les liens continus avec les autres écoles - et l'expérience positive de l'action en 2017 permettront peut-être de convaincre les équipes enseignantes...
Actions
CLAS Primaire
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ASELQO POT D'ARGENT - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Le Contrat d'Accompagnement à la Scolarité sur l'ASELQO Pot d'Argent s'adresse à des élèves scolarisés du CE2 au CM2.
Nous proposons deux séances CLAS par semaine (mardi et jeudi):
- goûter fourni par le centre (17h00-17h15)
- aide à la scolarité de façon individuelle et/ou collective (17h15-18h00)
- ateliers/animations d'ouverture culturelle (18h00-18h45)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous avons mis cette action en place suite au déménagement de notre centre social Aselqo Marie Stuart/Rouget de Lisle dans de nouveaux locaux.
En septembre 2017, l'ASELQO Marie Stuart/Rouget de Lisle a déménagé dans les anciens locaux de la Maison de l'Animation de la CAF (maintenant ASELQO Pot d'Argent) qui proposait un accompagnement à la scolarité pour les primaires dans le cadre du CLAS. Nous avons souhaité reconduire ce projet et le mettre en place dès novembre sur la structure Pot d'Argent.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action a débuté le 6 novembre 2017.
- Réunions
3 réunions collectives (enfants, parents, salariés ASELQO et bénévoles) ont été organisées durant l'année scolaire:
- 1ère réunion: dès le début de l'action, pour présenter le centre, l'équipe, le dispositif, ses objectifs, son contenu, son fonctionnement.
- 2ème réunion: 22 février 2018, pour faire un bilan à mi parcours de l'action. Le directeur de l'école Nécotin était présent.
- 3ème réunion: 28 juin 2018, pour clôturer l'année scolaire 2017/2018 et présenter les suites de l'action pour l'année scolaire 2018/2019.
- Partenariat
Le partenariat s'est construit dès le début de l'action. L'équipe d'animation Pot d'Argent est allée à la rencontre des directeurs des écoles publiques (Nécotin et Gutenberg) pour se présenter et présenter le dispositif CLAS ainsi que nos autres actions.
Notre partenariat repose sur:
- des contacts réguliers
- la participation aux temps forts respectifs (réunion portée par l'ASELQO, remise des bulletins des écoles, Téléthon)
- la mise en place de projet ("10 jours sans écran")
- le suivi des familles orientées par les écoles
- Animations d'ouverture culturelle
- Jeux éducatifs
- Activités artistiques dans le cadre de l'exposition éphémère La Grande Lessive
- Activités artistiques dans le cadre du Festival du Livre
- Animations familiales dans le cadre du projet "10 jours sans écran" (projet partenarial entre différents acteurs éducatifs du quartier)
- Sortie culturelle et familiale au Muséum d'Histoires Naturelles à Paris.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
6500 € dont une partie financée par la CAF via le dispositif CLAS
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Notre capacité d'accueil est de 15 élèves.
L'action fonctionne avec deux salariées ASELQO et deux bénévoles.
- Résultat sur le territoire
- Travailler en partenariat avec les écoles du quartier
- Développer une action d'intervention sociale adaptée aux besoins du territoire, en l'occurence un quartier classé Zone Sensible Prioritaire avec toutes ses problématiques socio économiques
- Résultat pour le centre social
- Apporter une réponse aux besoins des familles
- Assurer une attention particulière aux familles et aux publics fragilisés en leur proposant un accompagnement adapté
- Résultat pour les habitants
- Aider les parents à mieux se saisir de leur rôle éductif
- Accompagner les parents dans le suivi de la scolarité de leurs enfants
- Renforcer la confiance des élèves dans leur capacité à réussir
- Encourager l'ouverture culturelle, le plaisir de découvrir
- Suite de l'action : Limites
Actuellement, nous ne rencontrons pas de difficultés particulières.
Cette action pourrait disparaitre si les bénévoles venaient à stopper leur engagement.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action va se poursuivre dès la rentrée de septembre. Nous resterons avec le même fonctionnement que l'année scolaire 2017/2018.
Les axes de travail seronT les suivants:
- Axe 1: développer les actions liée à parentalité
- mettre en place une sortie culturelle et familiale
- mettre en place une "conférence" sur un sujet de préoccupation des parents
- mettre en place une fois par mois une séance CLAS avec les parents
- Axe 2: entretenir le partenariat avec deux écoles du quartier (Gutenberg et Nécotin)
- mettre en place un outil de suivi COMMUN des élèves
- mettre en place des actions ou projet dans le cadre des animations d'ouverture culturelle
- participer aux temps forts respectifs (remise de bulletins des écoles, réunions collectives portées par l'ASELQO)
Actions
FAITES ENSEMBLE
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS SUD / ESPACE ROL TANGUY - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
Amener et accompagner les habitants du quartier à construire la fête de quartier annuelle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les habitants des quartiers participent peu aux animations culturelles proposées sur le plan local, qu’elles soient gratuites ou payantes. Nous observons un repli communautaire des différentes cultures présentes sur les quartiers où les uns sont peu curieux de ce que font les autres. Nous rencontrons également des difficultés à toucher et même à rencontrer une partie de la population au sein des centres sociaux de la ville. La jeunesse est également une partie de la population que nous touchons peu sur des projets culturels et avec lequel nous ne partageons pas assez. Enfin, les habitants s’adressent aux centres sociaux avec une demande de faire POUR eux et la participation des habitants dans la vie locale est très difficile à mettre en place. Le bilan de la fête de quartier des Chaises (fête des couleurs) illustre ces constats : Les habitants sont venus en nombre important mais avec une implication faible dans l’organisation. Les associations locales étaient présentes sur leur stand, juxtaposées l’une à coté des autres, sans établir de lien durable qui pourraient les rassembler.
En s’appuyant sur ces constats, le projet se résume à « Mieux connaitre l’autre pour mieux vivre ensemble ». Le partage culturel est le préalable pour établir le lien avec des habitants que nos structures ne rencontrent pas ou que ponctuellement. Ce partage culturel serait un premier pas qui permettrait aux centres sociaux de travailler sur l’ouverture culturelle des publics et d’initier le montage d’un projet commun. Il s’agit de faire ensemble une manifestation à l’échelle d’un quartier pour ensuite accompagner les habitants dans une plus grande implication dans la vie locale.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette manifestation a réuni plus de 300 personnes avec la participation d’une vingtaine de bénévoles qui s’est impliqué dans l’organisation. Ces bénévoles sont principalement des membres d’associations locales mais nous comptons 4 habitantes, adhérentes du centre social actives dans cette préparation. Cette manifestation s’est construite avec les habitants et tous les agents municipaux impliqués et présents (11 agents) dans cette action se sont positionnés en soutien des habitants. Nous n’avons pas proposé d’activités de consommation. En parallèle, nous avons mis à disposition une scène ouverte qui a permis de valoriser les différents projets artistiques menés toute l’année par les habitants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
Prévision
Réalisation
%
PRODUITS
Prévision
Réalisation
%
Charges directes affectées à l’action
Ressources directes affectées à l’action
60 – Achat
70 – Vente de produits finis, prestations de services, marchandises
Prestations de services
8900
5300
Achat matières et fournitures
2700
2200
74 – Subventions d’exploitation (2)
Autres fournitures
État : (précisez le(s) ministère (s) sollicité (s)
61 – Services extérieurs
-CGET
5000
5000
Locations mobilières et immobilières
2000
1600
Établissements publics d’État (préciser) :
Entretien et reparation
- ACSE
Assurance
- Agence de services et de paiement
Documentation
-
Divers
Région(s) : (à préciser)
62 – Autres Services extérieurs
-
Rémunérations intermédiaires et honoraires
Département(s) :
Publicité, publication
-
Déplacements, missions
Intercommunalité (EPCI) :
Services bancaires, autres
-
63 – Impôts et taxes
Commune(s) :
Impôts et taxes sur remuneration
-Saint Jean de la Ruelle
17056
15361
Autres impôts et taxes
Organismes sociaux (à détailler) :
64 – Charges de personnel
- CAF (prestation ALSH)
Rémunération des personnels
5832
6732
- CAF (Contrat de Ville)
Charges sociales
2624
3029
- CAF (autres fonds locaux)
Autres charges de personnel
- CAF (REEAP)
65 – Autres charges de gestion courante
Fonds européens :
66 – Charges financières
-
67 – Charges exceptionnelles
Aides privées
68 – Dotations aux amortissements
-
75 – Autres produits de gestion courante
Dont cotisations, do ns manuels ou legs
76 – Produits financiers
77 – Produits exceptionnels
78 – Ressources non utilisées d’exercices
antérieurs
Charges indirectes
Charges fixes de fonctionnement
0
1500
Frais financiers
Autres
Total des charges
Total général des charges
22056
20361
Total général des produits
22056
20361
Contributions volontaires
86 – Emploi des contributions volontaires en nature
87 – Contributions volontaires en nature (3)
Bénévolat
5000
3000
Bénévolat
5000
3000
Prestations en nature
Prestations en nature
Dons en nature
Dons en nature
Total général des charges
27056
2.361
Total général des produits
27056
23361
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
300 personnes ont participé à cette manifestation et une petite vingtaine s'est investi dans la préparation, la mise en oeuvre et le rangement de cette journée.
- Résultat sur le territoire
Sur le quartier sud, nous avons mis en lumière et partagé les pratiques culturelles que nous trouvons sur les quartiers et mis en place des temps forts de valorisation. L’enjeu de ces actions a été d’engager avec les habitants une démarche de participation, de citoyenneté pour favoriser le bien vivre ensemble.
La mise en place d’une dynamique participative nécessite que toutes les équipes d’animation soient dans une posture d’accompagnement des habitants. C’est bien cet objectif que nous avons atteint permettant à chaque habitant de prendre une autre place dans le quartier. Nous observons en fin d’année 2017 que de plus en plus d’habitants donnent de leur temps et participent aux actions que nous menons. Ces derniers se positionnent de moins en moins dans la consommation pure d’activité et prennent petit à petit gout à s’impliquer dans les différentes actions proposées.
Le nombre d’habitants et le temps d’implication reste faible mais en constante évolution.
- Résultat pour le centre social
Le processus de participation et d’engagement des habitants dans le quartier s’est mis en marche sur 2017 et se construit au quotidien avec les équipes de terrain. Professionnels et habitants prennent leur place dans la perspective d’une citoyenneté active sur les quartiers.
Nous avons touché plus d’une centaine de personnes qui ne connaissait pas les centres sociaux de la ville et 12 personnes parmi elles se sont impliquées dans la mise en place de la manifestation.
Notre action a permis d’installer une nouvelle relation entre les habitants et les équipes des centres sociaux orientant nos actions futures sur une plus grande implication des habitants. Mais cette démarche est un processus long que nous devons inscrire dans le temps.
- Résultat pour les habitants
Nous observons en fin d’année 2017 que de plus en plus d’habitants donnent de leur temps et participent aux actions que nous menons. Ces derniers se positionnent de moins en moins dans la consommation pure d’activité et prennent petit à petit gout à s’impliquer dans les différentes actions proposées.
Le nombre d’habitants et le temps d’implication restent faibles mais en constante évolution.
- Suite de l'action : Limites
Le bilan de la fête de quartier sud en 2017 amorce le changement de posture professionnelle des équipes d’animation qui cherchent avant tout à faire avec les habitants.
- Suite de l'action : Perspectives
Dans la continuité de l’année 2017, le projet traite du « Mieux connaitre l’autre pour mieux vivre ensemble ». Le partage culturel est le préalable pour établir le lien avec des habitants que nos structures ne rencontrent pas ou que ponctuellement. Ce partage culturel serait un premier pas qui permettrait aux centres sociaux de travailler sur l’ouverture culturelle des publics et d’initier le montage d’un projet commun. Il s’agit de faire ensemble une manifestation à l’échelle d’un quartier pour ensuite accompagner les habitants dans une plus grande implication dans la vie locale. En alternance avec le quartier sud, en 2018, le quartier nord va construire sa fête de quartier en y associant les habitants.
Mais nous poursuivons d'ores et déja la dyynamque participative pour la fête de quartier sud 2019.
Actions
Atelier Bien être
- Structure organisatrice
- Centre social municipal Terre en couleurs - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Semaine de la famille
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ASELQO POT D'ARGENT - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- vacances / loisirs
- Résumé
Semaine d'animations dédiée à la famille sur chaque période de vacances scolaires. Programmation construite par les familles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce type d'actions a pour objectif premier, de créer du lien intrafamilial et de la solidarité entre les familles. Ces actions permettent ainsi aux habitants du quartier de partager des moments de loisirs hors du quotidien. Les sorties ont aussi pour objectif de promouvoir des temps de loisirs mais aussi d'indentifier des problématiques et de proposer par la suite un accompagnement.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Démarche participative ... réunions collectives ...groupes de travail ... rencontre avant chaque programmation
- Ressources financières mobilisées pour cette action
budget du projet Famille
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
52 (enfants, ados, parents)
- Résultat sur le territoire
proposition d'animations familiales durant les périodes scolaires
- Résultat pour le centre social
participation
- Résultat pour les habitants
rencontre, solidarité, lien social et familial
- Suite de l'action : Limites
inscriptions limitées (moyens humains et financiers)
- Suite de l'action : Perspectives
à poursuivre
Actions
Sensibilisation aux accidents domestiques
- Structure organisatrice
- CENTRE D'ANIMATION SOCIALE BOURGOGNE - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action réalisée lors de la semaine de la parentalité
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le choix de la thématique est parti d’un constat partagé par les 3 centres sociaux participants (Bourgogne, Carmes et Gare) et confirmé par les professionnels de la Protection Maternelle et Infantile en permanence dans nos locaux : de nombreux accidents domestiques se produisent encore dans les familles. Ces accidents peuvent être des brûlures, des chutes, des blessures des mains...
.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Pour mettre en place la journée de sensibilisation, 5 rencontres se sont déroulées entre les différents partenaires, dont 2 avec le FRAPS et une avec la Maison du Département et la PMI.
En effet, les différents partenaires de l’action étaient :
-Le FRAPS dans l’animation et le prêt de matériel (jeux et exposition)
- La Maison du Département avec 2 puéricultrices et 1 assistante sociale qui sont intervenues dans l’animation de cette journéeLes publics cibles ont été toutes les familles, grands-parents et assistants maternels, en particulier les familles avec de jeunes enfants. En effet, l’action était plus centrée sur les accidents domestiques chez les enfants et jeunes enfants, avec une exposition, des jeux interactifs pour différents âges et des échanges entre les familles et les professionnels.
De multiples supports de communication ont été utilisés, avec la réalisation d’une affiche et d’un flyer, un article sur la page Facebook de chaque centre, et également sur le site ASELQO. L’action était aussi visible sur le livret « semaine de la parentalité ». Enfin, les équipes et les partenaires MDD et PMI de chaque centre ont communiqué oralement auprès des familles
L’action de sensibilisation aux accidents domestiques s’est déroulée sur une journée : mercredi 14 novembre 2018.
Sur la matinée, les différents intervenants ont animé 4 tables d’activités (1 professionnel par table) et ont échangé avec les parents sur le contenu de l’exposition.
Les partenaires présents étaient 2 puéricultrices et 1 assistante sociale.
2 groupes du centre de loisirs (3-5 et 6-12 ans) de l’ASELQO Gare ont été accueillis. Il nous semblait pertinent de sensibiliser aussi directement les enfants, qui peuvent être porteurs de messages auprès de leurs parents et petits frères et sœurs. Cela peut également leur éviter de se mettre en situation de danger. Les enfants ont été très intéressés et ont partagé leurs expériences.L’après-midi, les 4 tables d’activités et l’exposition ont également été proposées aux familles. La présence du FRAPS a permis de nombreux échanges et une animation supplémentaire : une maquette de maison dans laquelle il faut retrouver les dangers et les sécurités possibles.
La plupart des familles sont venues l’après-midi. L’équipe a également accueilli 1 groupe d’enfants de l’activité d’anglais ludique.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
244,97 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
9 professionnels-21 parents et 75 enfants dont 43 des centres de loisirs
- Résultat sur le territoire
mieux connaître des partenaires comme le FRAPS pour mener ensemble d'autres actions
- Résultat pour le centre social
Poursuivre les partenariats- Proposer d'autres actions en fonction des demandes des familles-
- Résultat pour les habitants
Les parents n’avaient pas d’attente particulière car le thème a été choisi suite à un constat de professionnels.
Néanmoins, les jeux ont permis aux parents d’échanger avec leurs enfants sur la thématique et de leur faire passer des messages. Par exemple, un échange d’une maman avec son enfant « tu vois quand tu te mets debout dans le bain... tu glisses »
Les échanges entre les différents intervenants et les parents ont été enrichissants et ponctués d’expériences, de faits vécus dans la famille.
Nous pouvons souligner qu’il reste difficile de mobiliser les familles sur un tel sujet, même si la manière de l’aborder est ludique et non moralisatrice. De plus, le constat venait des professionnels et le sujet n’était donc pas une demande directe des parents. D’où notre difficulté à mobiliser les familles qui auraient le plus besoin de discuter de ce sujet. Les réflexions et les perspectives sont nombreuses.
- Suite de l'action : Limites
- Face aux difficultés de mobilisation et de mobilité, même accompagnées, de faire venir les familles d’un centre à un autre, il paraît opportun de les sensibiliser directement dans le centre de leur quartier. Le centre de loisirs, les activités enfants et parents/enfants nombreuses dans les centres, ou encore la présence de la PMI sont autant de moments propices à la sensibilisation des parents sur les accidents domestiques.
L’action serait donc à réitérer dans chacun des centres.
- Suite de l'action : Perspectives
De nombreuses perspectives ont émergé, notamment dans les échanges avec les parents :
-Proposer une initiation aux premiers gestes de secours afin de savoir, comment réagir suite à un accident domestique. Cette demande est régulièrement abordée par les parents.
Cette initiation serait un bon moyen de mobiliser les familles et de faire un temps en amont de l’initiation sur les différents accidents domestiques et comment les éviter.- Expliquer aux familles comment agir, quel comportement adopter face aux chiens qu’on ne connait pas. Cela pourrait être mis en place avec un partenariat avec des maitres-chiens.
Actions
"Un moment pour soi", un temps pour des parents en attente d'échange sans les enfants
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Suite à la demande de plusieurs mamans participant aux ateliers parents/enfants de l'AMA d'avoir un temps pour elles sans les enfants, nous avons organisé une première réunion afin de concrétiser cette envie. Les souhaits étaient de 2 ordres
* autour des loisirs et de la détente: maquillage, pédicure, massage, découvrir un restaurant le midi, activités physiques. L'intérêt de faire des sorties culturelles (musées,…) était également ressorti.
* autour de discussions portant sur la défense des femmes, se prendre en charge, l’éducation des enfants.
Il a été défini que cet accueil appelé « un moment pour soi » aurait lieu, à partir de septembre 2018, un vendredi après-midi tous les 15 jours.
A partir de septembre 2018, avec l’aide d’Odette BRAZ, consultante en parentalité, les mamans ont ressorti différents thèmes sur lesquels elles souhaitaient approfondir la réflexion et ainsi être « plus outillées » pour réagir dans leur quotidien éducatif : le sommeil et plus particulièrement les problèmes d’endormissement, les conflits parents-enfants et ados, les frustrations, l’apprentissage, l’hyperactivité.
Elles ont pu également tester la sophrologie grâce à une intervenante.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
* Informer et sensibiliser les parents pour les accompagner dans leurs choix éducatifs
* Renforcer les relations familiales et interfamiliales
* Favoriser et accompagner l'envie d'agir des parents
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L’action prend son origine dans la demande de plusieurs mamans participant aux ateliers parents – enfants de créer un temps réservé pour elles afin de discuter librement et avoir ainsi un moment pour soi.
Une communication a été effectuée grâce à une affiche et un flyer afin d’inviter les mamans qui le souhaitaient à venir réfléchir à la création d’un lieu d’accueil et de rencontres pour elles. Un affichage grand public a été réalisé, le PIMMS (Point Information Médiation Multi-Services) a également contribué à l’information en en parlant aux mamans qu’il connaissait tout particulièrement.
A notre niveau, nous avons effectué une information auprès de différents ateliers, les ateliers parents – enfants mais aussi la halte-garderie, l’accompagnement scolaire, les ateliers cuisine et les départs en vacances.
Trois rencontres avec plusieurs mamans ont eu lieu sur le premier semestre. Elles ont permis d’évaluer les besoins et/ou les souhaits.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget prend en compte la prestation de service des intervenantes et le temps de travail de l'animatrice soit 3150 € pour 2018.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
15 mamans de 28 à 45 ans ont participé à une ou plusieurs séances. Huit d’entre elles résident dans des quartiers prioritaires Politique de la Ville. La plupart sont d’origine étrangère.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Deux partenaires différents ont animé plusieurs temps :
- Odette BRAZ, consultante en parentalité sur 4 rencontres.
Elle a utilisé différents outils (jeux et mises en situation sur l’entraide et l’écoute de l’autre) afin de donner confiance aux participantes et libérer ainsi la parole. Plusieurs thèmes sont ressortis : le sommeil et notamment les problèmes d’endormissement, les conflits entre parents et enfants, la gestion des frustrations, l’hyperactivité.
Pour certaines mamans, des solutions ont été apportées par l’ensemble du groupe, solutions qui étaient à mettre en pratique pour la séance suivante. Ainsi aux démarrages des réunions suivantes, les échanges portaient sur les difficultés pour mettre en pratique les solutions et valoriser les réussites, minimes soient-elles. Les mamans ont également découvert la pyramide des besoins de Maslow et après un travail individuel, elles ont pu également en débattre.
- Céline LEGER, sophrologue (3 séances)
Ces séances d’1 heure répondaient à une attente du groupe.
Les ateliers portaient sur la respiration, l’évacuation des tensions, des techniques pour évacuer la colère (pour l’adulte comme pour l’enfant) et des techniques de relaxation pour un meilleur endormissement (ce qui répondait également à une attente du groupe).
Les animatrices de l’AMA ont également proposé d’autres temps d’échange autour de sujets liés à la parentalité suite aux visionnages de vidéos humoristiques de Véronique GALLO présentant différentes situations de la vie courante avec ses enfants.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Mobiliser des parents pour venir échanger sur leur vie quotidienne et notamment sur leurs responsabilités éducatives est difficile. Quelques mamans nous ont fait une demande d’un temps pour elles qui correspondait, en grande partie, à cet objectif. Le bouche à oreille a fait venir plus de mamans que l’affichage. Nous souhaitons poursuivre cet accueil parents en lui donnant une régularité et en continuant à travailler avec les intervenantes afin d’aider les parents à approfondir leurs réflexions et ainsi être « plus outillés » pour réagir dans leur quotidien éducatif.
Actions
FRIPERIES
- Structure organisatrice
- Maison de l'Animation Sociale et de la Solidarité - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Environnement
- Résumé
Le Centre Social récupère toute l'année les dons de vêtements, linge ,chaussures.
Ceux ci sont triés par des bénévoles, puis une "friperie" a lieu chaque trimestre au cours de laquelle les vêtements sont revendus à 1 € le kilo à l'ensemble des habitants.Le surplus et invendus sont cédés à l'association RESPIRE pour un ré emploi.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Plusieurs objectifs :
- ré emploi des vêtements dans une optique de développement durable et de lutte contre le gaspillage
- permettre l'accès au plus grand nombre à des vêtrements à tout petit prix
- objectif de solidarité entre les habitants
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'action existe depuis de nombreuses années.
Des réunions régulières avec les bénévoles de l'action sont organisées pour repréciser le fonctionnement.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget de fonctionnement d'envirion 50 à 100 € par an pour du ré assort de petit matériel.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionels (les jours de vente); une dizaine de bénévoles
- Résultat sur le territoire
Impact environnemental et social
- Résultat pour le centre social
La friperie constitue l'un des engagements de la structure dans le développement durable
Lors des dépôts de dons ou lors des ventes, des habitants qui ne fréquentent pas la structure peuvent la découvrir et y revenir par la suite.
Le produit des vente est intégré au recettes du Centre Social
- Résultat pour les habitants
Dons de vêtements facilité et plus "incarné" que dans les box de dépôt
Accès aux vêtements à petit prix
- Suite de l'action : Limites
Stockage important nécessitant un local spécifique
Manipulation nombreuses
Pérénité du travail avec RESPIRE en question ? Quid de la 3ème vie des vêtements si poursuite impossible
Lourd investissement des bénévoles
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Projet "interculturalité"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DU PONT BORDEAU - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Organisation durant l'année 2018, de plusieurs temps d'échanges autour des questions de laïcité, des faits religieux, des préjugés et des discriminations. Avec 2 étapes principales :
1ère étape : animation avec différents publics (adultes, jeunes) du jeu l'Arbre à défis conçu par l'Association "Enquête". Cet outil ludo-éducatif, en partant de questions traitant du quotidien, tout en incluant tant le cadre laïque que les préjugés et stéréotypes, articule l’éducation à la laïcité à l’enseignement des faits religieux. Il a permis une première découverte des faits religieux en éveillant au respect, sous un angle laïque et non confessionnel.
2ème étape : organisation d'une journée interculturelle autour d'une rencontre-échange avec Eric Vinçon de l'Association "Enquête" et d'un repas partagé avec les spécialités culinaires apportées par chacun. Cette rencontre a réuni plus d'une quarantaine de personnes, de cultures, de confessions et de milieux sociaux différents, a été riche d'enseignement et d'échanges. Plusieurs grands sujets ont été abordés : la considération de la langue dans chaque religion ; l’imbrication entre politique et religieux ; l'identité culturelle de la France construite sur plusieurs siècles et la transformation du pays en profondeur depuis peu… Un élément primordial a été mentionné : l’importance du regard porté sur ces questions. Il y a une immense variété d’opinions, de façons de croire très différentes d’un individu à l’autre. La laïcité, bien sûr, n'a pas été exlue du débat. Ses visées ont été rappelées : elle est là pour protéger les croyants et les incroyants. Elle permet la liberté de conscience, de religion et de culte. Pour conclure, il a été précisé que la connaissance peut aider à la tolérance et qu’il est important d’identifier les causes qui nous amènent au rejet. « Les religions sont humaines, elles ont toute une histoire. On a plus en commun que de choses qui nous séparent. Il faut rechercher ensemble une sagesse commune. Il ne faut pas traiter les complexités par des idées trop simples ou se cantonner au silence. Il faut aujourd’hui accepter de regarder la complexité en face. » L'intervenant est resté échanger avec les adhérents sur le temps du repas.
En parallèle, différents repas ont été programmés avec l'implication des adhérents dans une logique de découverte et de partage.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Précision ( si autre )
L'équipe a lancé le projet avec une 1ère intervention (animation de l'Arbre à défis sur une pause-café, temps d'échanges et de convivialité entre habitants). A l’issu de cette initiative, plusieurs adhérents ont exprimé l’envie d'aller plus loin : « Il faut que l’on connaisse mieux les différentes religions pour mieux se comprendre ».
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'équipe a souhaité proposer des animations sur l’interculturalité afin de travailler sur l’un des objectifs du projet du Centre Social : favoriser la connaissance et la reconnaissance mutuelle pour agir sur le vivre-ensemble. L'idée était notamment de commencer à aborder de front la question des religions et de la palce du fait religieux, d'identifier le commun entre tous pour apaiser les relations les uns aux autres.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'ensemble de l'équipe s'est mobilisée pour développer les échanges avec les différents publics (jeunes et adultes). Construction de l'action en réunion d'équipe avec échanges réguliers avec les adhérents présents sur la pause-café (identifier leurs envies, leurs attentes ; leur présenter les pistes d'actions identifiées...).
Lors de la journée interculturelle, les membres de l'équipe ont recueilli à chaud les réactions des participants et ont organisé une action de" crieurs publics" dans le Centre Social en proclamant les paroles notées.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Intervention association Enquête : 650 € + frais de déplacement
+ salaires
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 salariés
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Echanges plus respectueux entre les adhérents. Meilleure connaissance mutuelle.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Le projet se prolongera à l'avenir avec l'idée d'aller plus loin : visite de lieux de cultes, ciné-débat...
Nécessité de poursuivre la formation des salariés sur ces questions et l'organisation de débat.
Actions
Téléthon solidaire
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CARMES - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
un groupe de 10 personnes travaille toute l'année pour réaliser des oeuvres à vendre pour le téléthon. depuis 3 ans, une collecte de plus de 5000 euros est faite. cette action a un écho fort de par le caractère citoyen et solidaire que dégage son groupe
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action a un ancrage au sein du centre sociale. elle traverse les objectifs du centre social et les valeurs de son groupe. les actions socilaes et solidaires tiennent une place importante dans le quotidien de nos actions
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
elle est menée de manière hebdomadaire, tous les mardi matin
- Ressources financières mobilisées pour cette action
moins de 300 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 qui constituent le groupe et autant autour de l'action
- Résultat sur le territoire
cette action conforte et consolide les orienation du centre social
- Résultat pour le centre social
poursuivre la dimebnsion participation, échange de pratique et solidarité
- Résultat pour les habitants
les mois de novembre et décembre mobilisent les habiatants pour faire et acheter pour le téléthon
- Suite de l'action : Limites
aujourd'hui, l'action est inscrite dans nos temps d'accueil et d'animation
- Suite de l'action : Perspectives
Elargir le groupe pour le soutenir
Actions
Ateliers pédagogiques "Je Nettoie Ma Loire"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DE LA MADELEINE - Loiret
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Vous les avez certainement déjà vus arpenter les bords de Loire. Qui ? Les bénévoles du collectif citoyen indépendant "Je Nettoie Ma Loire". Initiée en avril 2015, par 2 orléanaises sous l'égide de l'association "Temps Danse Loire", cette opération regroupe de plus en plus de citoyens engagés individuellement qui veulent contribuer à réveiller les consciences !
A raison d'un dimanche par mois, ils assainissent les rives ligériennes (Orléans, St Jean de Braye, St Jean de la Ruelle et Jargeau). Des bouteilles, des cannettes, des pneus, des tapis, des carcasses de vélos, etc... rien ne reste dans la Loire. Avec joie, dans la bienveillance, ils mutualisent leurs efforts pour rendre au fleuve royal, autant que faire se peut, toutes ses marques de noblesse. Parce que la sensibilisation passe par l'action bien plus que par la moralisation, cette démarche se veut citoyenne, pédagogique, pacifiste et initiatique. Les usagers du centre social sont informés mensuellement de ces opérations auxquelles ils peuvent participer.
En parallèle de ces opérations mensuelles de nettoyage sur les quais de Loire, le collectif organise des ateliers pédagogiques à l'ASELQO Madeleine dans le but de créer des outils (pédagogiques de type vitrines, jeux, éléments d'exposition etc...), à partir de matériaux de récup dont beaucoup de déchets issus de la récolte des opérations de nettoyage mensuelles. Ces outils sont ensuites utilisés dans les écoles, les forums, les festivals, les centres de loisirs pour sensibiliser à l'impact de nos déchets sur la faune et la flore ligérienne. Pour sensibiliser à l'environnement dans son sens large et à nos modes de consommation.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Afin de sensibiliser aux enjeux de nos déchets issus de nos modes de consommation & leur impact sur le vivant.
Comment pouvons-nous, chacun à notre niveau, faire notre part et diminuer cet impact.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Préfecture
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Elle a débuté il y a deux ans juste à l'occasion du Festival de Loire pour lequel le collectif "Je Nettoie Ma Loire" avait été sollicité pour présenter son action via un stand.
La nécessité de créer des outils s'est faite ressentir. Le collectif n'avait pas de lieu pour les réaliser, ni les ressources. L'ASELQO Madeleine a créé un partenariat gratuit permettant à ce collectif de réaliser ses propres outils, mensuellement, afin de répondre à une demande de plus en plus importante d'écoles, de centres de loisirs, de comités d'entreprises, de festivals, d'associations mais aussi de communes, qui souhaitent faire appel au collectif pour sensibiliser aux enjeux environnementaux. Des usagers de l'ASELQO participent également à ces ateliers.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
0 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Entre 8 et 25 à chaque atelier
- Résultat sur le territoire
Cette action s'additionne et est complémentaire avec les actions liées au Jardin Partagé d'Emmanuel, aux Incroyables Comestibles, aux boîtes à livres, aux Trocs Party 3-11 ans et Trocs Plantes. Elle donne au quartier Madeleine une couleur de terrain d'expérimentation dans lequel l'habitant prendrait part à l'amélioration de son habitat et à son environnement proche
- Résultat pour le centre social
Le centre social ASELQO Madeleine s'entoure et se nourrit de plus en plus d'initiatives qui contribuent à éveiller les consciences sur les enjeux de l'environnement, de la biodiversité, le recyclage, les économies d'énergie, le mieux manger, le développement durable.
La démarche n'est pas du tout politique. Elle se veut neutre, pour éveiller les consciences en partant du postulat que ces enjeux concernent tout le monde, petits et grands, et que chacun peut y contribuer à sa façon. En fonction de ses envies, de son degré de sensibilité.Le centre social a plus que jamais son rôle a jouer dans le respect du vivant. Car pour aider l'autre, il faut être attentif à l'individu. Individu qui fait parti d'un ensemble qui ne peut se composer sans une attention apportée à toute la chaine du vivant.
- Résultat pour les habitants
Dynamique d'habitants de plus en plus sensibilisés aux enjeux environnementaux
- Suite de l'action : Limites
L'action ne s'adresse pas qu'au quartier Madeleine. Elle rayonne à l'échelle d'Orléans Métropole et des autres communes du département.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action a deux ans et l'ASELQO Madeleine souhaite continuer à travailler en partenariat avec ce collectif d'habitants pour étendre sa sensibilisation aux enjeux du vivant sur le quartier. Grâce à ce partenariat, une "plastique attack" a pu être menée en collaboration avec le Carrefour Market du quartier qui continue, un an après, à proposer deux bacs de trie en sortie de caisse (plastique et carton) pour inciter les clients à se débarasser de leurs emballages inutiles et gonfler inutilement leurs poubelles.
Puis un atelier jeu ludique a été proposé à l'école de la Madeleine en 2018 par l'ASELQO Madeleine avec le collectif Je Nettoie Ma Loire, afin de sensibiliser les enfants dès leur plus jeune âge à l'impact des déchets sur l'environnement.
L'idée est de poursuivre ces actions dans toutes les écoles du quartier Madeleine.
Actions
Prévention des risques liés aux déplacements sur la voie publique des plus de 60 ans
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action répond à un objectif d'information et de prévention qui a pu entièrement être réalisé sur l'année 2019.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- mobilité / transport
- Résumé
Objectifs
- Sensibiliser aux risques encourus sur la voie publique en tant que piétons, cyclistes, automobilistes
- Remettre à jour ses connaissances concernant le code de la route et la signalisation routière
- Donner les moyens au public d’évaluer ses aptitudes à conduire en toute sécurité
Le projet se décline en 3 temps forts :
- Une information – sensibilisation sur 1 séance portant sur la prévention des risques liés aux déplacements sur la voie publique. A partir d’un power point, le public pourra échanger autour de différentes situations abordant notamment le partage des voies entre piétons, cyclistes et automobilistes. A la suite, le public devra également trouver 10 erreurs placées dans une voiture, cet exercice permettra d’aborder, entre autre, le gilet jaune, le triangle, l’éthylotest, le téléphone, les médicaments,…Cette information sera assurée par l’Association de Prévention Routière.
Ce premier temps permettra de mobiliser sur les 2 actions suivantes :
- Un enseignement théorique sur 3 séances portant sur « la règlementation du code de la route et la signalisation routière » dispensé par une auto-école. Des tests psychotechniques pourront être utilisés pour aider le public à se positionner par rapport à ses connaissances et certaines aptitudes et ainsi préciser le contenu des interventions suivantes.
- Un enseignement pratique dans un véhicule par groupe de 3 personnes réalisé par l’auto-école.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’AMA est un centre social implanté sur un quartier Politique de la Ville mais qui s’adresse à l’ensemble des habitants de l’Agglomération Montargoise voire du milieu rural proche. Une partie important de notre public est composée de personnes de plus de 60 ans. Afin d’informer notre public mais également pour écouter les besoins, nous organisons plusieurs rencontres dans l’année autour d’un petit déjeuner. Ces temps conviviaux sont l’occasion d’échanger et de réfléchir à de nouvelles actions. Des seniors nous ont ainsi exprimé le besoin d’avoir une remise à jour de leur code de la route. En effet, ayant passé leur permis de conduire il y a plus de 40 ans pour certains, la règlementation du code de la route et la signalisation routière ont évolué sans que ceux-ci aient eu obligation de se former. Ils se sont donc adaptés mais aimeraient se mettre à jour et éviter des erreurs qui, jusque-là, n’ont pas eu d’incidences.
De plus, nous pouvons être confrontés à accueillir des personnes qui présentent potentiellement un danger lorsqu’elles prennent leur véhicule. Pour exemple, en 2018, une bénévole d’un atelier de loisirs créatifs nous a sollicité pour trouver une solution face à une adhérente qui prenait sa voiture mais qui semblait ne plus avoir les aptitudes pour conduire en toute sécurité.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2358 € prenant en compte les 2 prestataires (Comité Départementale de Prévention Routière et l'auto-école de Montargis)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L'information a circulée par le biais des salariés et bénévoles responsables d'activité ainsi que par le biais des réseaux (associations, Conseils Citoyens,...) et réseaux sociaux.
2 salariés ont été mobilisés par l'action ainsi que 2 personnes pour la Prévention Routère et 2 pour l'auto-école.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
L’information réalisée par l’AMA a mobilisé de nombreux seniors au sein de ses différentes activités (ateliers de loisirs créatifs par exemple,…) mais aussi en dehors grâce à une bonne communication (media et réseaux notamment).
40 personnes ont participés à tout ou partie des 4 interventions.
La plupart des personnes qui ont répondus au questionnaire final ont témoigné que l’action leur avait permis de prendre conscience de plusieurs éléments (risques sur la voie publique, vitesse, alcool,…), d’avoir un rappel de la signalisation routière et des règles de conduite complété par les nouveaux panneaux et dispositifs routiers récents (intersections 4 stops,…). Ils ont indiqué vouloir mettre en pratique un certain nombre d'informations: avoir un bon comportement face aux feux, dans les sens giratoires, dans les intersections, pour adapter la conduite en fonction des indications apportées par les panneaux.
9 personnes ont apprécié de se confronter à la réalité en prenant le volant avec les conseils d’un moniteur auto-école permettant de réajuster sa pratique et les éléments abordés lors des différentes interventions.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Action ponctuelle répondant à une demande du public senior.
Actions
En route vers le festival "l'Embrayage": préparation d'un espace grands jeux en bois scénarisé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ASCA GARE - Loiret
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle, liée à un évènement.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Environnement
- Résumé
Projet participatif, l'objectif était d'imaginer et fabriquer les décors d'un espace grands jeux en bois et d'animer cet espace lors du festival culturel de la ville "l'Embrayage". Nous avons travaillé avec une plasticienne pour accompagner les habitants dans la conception des décors.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le Festival culturel de la ville est un festival participatif. Toutes les associations (dont la nôtre) sont encouragées à y participer. Il est également attendu que les projets proposés soient participatifs en amont et/ou lors du festival. L'accent y est également mis sur le développement durable.
Entre les valeurs défendues et la visibilité de l'évènement, ils nous apparaissait indispensable d'y participer.
De ce projet, nous attendions:
- une implication d'habitants de toutes générations confondues sur un projet "citoyen" (dans le sens, participer à la vie de la cité) / CITOYENNETE
- des rencontres, échanges entres participants des différentes activités du centre social / VIVRE-ENSEMBLE
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Le projet a été préparé par un groupe de travail composé de: 2 salariés, 1 jeune en service civique, 1 habitante ayant une formation artistique, 1 plasticienne. Il y a eu 3-4 réunions.
Des ateliers ont été programmés de mars à juin, en parallèle des animations itinérantes de la ludothèque (dans 3 centres sociaux) et en animations de quartier:
- conception des décors par des méthodes participatives (photolangage, brainstorming) - 2 séances
- découverte de techniques artistiques, à partir d'objets de récupération: fleurs, animaux et chapeaux en fils électriques, structures en bouchons plastiques - 2 séances
- fabrication des différents éléments de décors - 5 séances
Des groupes d'activités ont également été impliqués:
- les jeunes du CLAS collégiens (fabrication de structures en bouchons sur la thématique de l'espace) - 4 séances
- les seniors de l'atelier tricotin'âge (fabrication de fleurs et papillons en fils électriques et couture de nappes à partir de tissus récupérés) - 4 séances
- des adultes du jeudi jeu (installation et animation de l'espace) - les jours J
1 carnet de bord des ateliers a été réalisé par la volontaire en service civique, pour informer sur les ateliers vécus et encourager à participer au suivants.
L'espace a été mis en place (décors et jeux en bois) puis animé avec des habitants lors des 2 journées du Festival
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Charges
Produits
Intervention d’une plasticienne (pour accompagner le public à la conception des décors)
640€
Participation de l’ASCA
390€
Location d’un barnum de 100m2 (avec montage et démontage)
370€
Mise à disposition d’un barnum par la ville
370€ (valorisation)
Location d’un utilitaire pour le transport du matériel
240€
Transport assuré par les CTM
240€ (valorisation)
Matériel divers pour les décors (peinture, colle, grillage, bois,...)
250€
Subvention de la ville
500€
TOTAL
1500€
TOTAL
1500€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels, 1 volontaire en service civique, 1 prestataire (plasticienne)
77 habitants (adhérents ou non) ont participé aux ateliers
5 bénévoles ont aidé à l'animation de l'espace
- Résultat sur le territoire
Contribution à la vie culturelle.
Echanges et rencontres entre habitants, contribution au vivre-ensemble.
- Résultat pour le centre social
Visibilité
Brassage des publics
- Résultat pour les habitants
Valorisation des compétences: certains ont appris des techniques et les ont ensuite transmises, d'autres ont démontré leurs savoir-faire,...
Rencontres intergénérationnelles, entre personnes de quartier et milieux sociaux différents
Sensibilisation à l'environnement (utilisation de matériel de récupération)
- Suite de l'action : Limites
Nous souhaitions constituer un groupe d'habitants qui s'impliquent sur le projet du début à la fin, moteurs du projet pour tous ceux qui l'intégreraient ponctuellement. Malheureusement, il n'y a eu que des implications ponctuelles, les personnes ont peu participé en dehors de leurs temps d'activités habituels. Et ceux présents le jour J pour l'animation, n'étaient pas ceux qui avaient créé les décors. Pas de réelle appropriation du projet.
- Suite de l'action : Perspectives
Mise en place d'un projet similaire pour le prochain festival, mais en impliquant les habitants dès la conception du projet
Actions
Accompagner les familles pour l’acquisition et l’utilisation d’outils numériques dans le cadre du travail scolaire à domicile
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action a été totalement réalisée en 2021 et devrait être reconduite en 2022.
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Le projet consistait à former des familles à l'utilisation d'un ordinateur et à l'utilisation des supports de l'Education Nationale (ENT et Pronote) puis à les équiper d'un ordinateur reconditionné et d'une imprimante.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pendant le confinement, les enfants n’ont pas pu aller à l’école. Les cours ont donc eu lieu en distanciel par les enseignants. En ce qui concerne les écoles du quartier, les familles avaient la possibilité de récupérer les devoirs, en version papier, auprès de leur école. En parallèle et surtout à partir du collège, les enseignants ont utilisé les outils numériques pour envoyer les cours et les exercices à faire. Il s’agissait notamment :
- Sites dédiés type pronote où enfants et parents pouvaient se connecter pour savoir le travail à faire
- Echanges entre un enseignant et un ou plusieurs enfants par le biais de visio
- Envoi de mails avec le travail à faire
Cette situation a mis de nombreuses familles en difficulté :
- D’une part, les parents ont dû assurer le suivi scolaire mais également les cours alors que certains étaient déjà en difficultés (mauvaise compréhension orale et mauvaise maîtrise de l’écrit ; petit niveau de scolarisation voire en décrochage scolaire,…) pour aider leurs enfants dans les devoirs à faire
- D’autre part, la situation a fait apparaitre des difficultés pour beaucoup de familles en ce qui concerne l’utilisation des outils numériques. En effet, les familles possèdent souvent un smartphone qui peut permettre de communiquer avec l’établissement scolaire mais cette réalité cache de nombreuses lacunes :
- -) le temps que l’enfant a accès au smartphone peut être limité en fonction du temps de présence du parent qui l’utilise au sein du foyer. Des parents ont recopié des exercices de leur smartphone sur papier afin que leurs enfants puissent faire le travail demandé.
- -) la compréhension pour utiliser les sites dédiés
- -) la réalisation de tout travail écrit
- -) les conséquences sur le corps, la vue lors d’utilisation prolongée de petits écrans notamment ceux des smartphones
Le confinement a renforcé l’utilisation des outils numériques qui étaient déjà présent dans l’organisation scolaire. Il a mis en exergue la rupture numérique d’un public tant du point de vue de l’absence d’outils que de connaissances pratiques pour les utiliser.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Dans le cadre de cette démarche expérimentale, le projet serait donc d’aider 10 familles à acquérir les outils numériques nécessaires au travail scolaire mais aussi de former parents et enfants à l’utilisation de ces outils.
Etape 1 : aider les familles dans l’acquisition d’outils numériques
- Achat d’ordinateurs
Il s’agirait d’aider les familles à acquérir un ordinateur (+écran + clavier + souris) afin de répondre aux besoins décrits précédemment. Nous ne souhaitons pas axé cette démarche vers du matériel neuf coûteux mais plutôt de proposer du matériel reconditionné et sensibiliser par la même occasion, aux démarches de développement durable. Pour se faire, nous travaillerions en partenariat avec le chantier d’insertion ICARE de FAP.
Le matériel est vendu 80 €. Les familles auraient 50 € à prendre en charge avec éventuellement un échelonnement du paiement sur 5 mois maximum. Nous sollicitons le contrat de ville pour apporter une aide à l’acquisition de l’ordre de 30 € par famille.
L’achat d’ordinateurs comprendrait également l’installation des ordinateurs au domicile des familles pour celles qui auraient du mal à configurer, paramétrer le matériel bien qu’ayant suivi la formation décrite ci-dessous.
- Acquisition d’imprimantes : achats groupés
Ordinateur, tablette, smartphone sont nécessaires pour communiquer avec les établissements scolaires mais certains périphériques comme les imprimantes sont également indispensable dès que l’élève doit rendre un travail écrit (exercices, expo,…). Une action serait donc de proposer aux familles intéressées de réaliser un achat groupé et de négocier avec un distributeur.
Si cette démarche se concrétise, nous orienterons également vers le remplissage des cartouches au lieu d’en racheter de nouvelles, ce qui représenterait un autre aspect de sensibilisation au développement durable.
Etape 2 : former les parents et les enfants
Les parents sont plus en difficulté que les enfants dans l’utilisation des outils numériques. Face à ce constat, nous aimerions proposer une formation qui tienne compte de cette réalité.
Les familles seraient divisées en 2 groupes et chaque groupe bénéficierait du cursus suivant :
- 1 module de 5 séances pour les parents sur l’utilisation générale de l’ordinateur
- 1 module de 2 séances pour les parents sur l’utilisation de l’outil spécifiquement dans le cadre scolaire
- 1 module de 2 séances pour les enfants sur l’utilisation de l’outil spécifiquement dans le cadre scolaire
- 1 module de 2 séances pour une mise en commun parents et enfants
- 1 module complémentaire de 2 séances en lien avec la FRAPS pour prévenir les dangers issus des écrans
Le premier module serait encadré par un intervenant d’orange Solidarités, les 3 suivants par cette même personne et l’animatrice – référente famille de l’AMA et le dernier module par notre animatrice et la FRAPS.
Les séances seraient de 2 heures.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés et un intervenant en mécénat de compétence
10 familles soit 10 parents et 18 enfants
- Résultat sur le territoire
* des familles qui ne se connaissaient pas ou de vue ont appris à se connaitre et discutent désormais ensemble.
- Résultat pour le centre social
* création de supports de formation (initiation PC, la messagerie électronique, Pronote,…) pouvant être réutilisés
* répondre aux orientations de notre projet centre social
- Résultat pour les habitants
* public réceptif en attente de cette aide, content qu’une structure s’occcupe de lui et lui explique
* reconnaissant de lui fournir un matériel en bon état de fonctionnement et abordable financièrement
* apprentissage du Libre Office qui ne demande pas de mises à jour payantes
* capacité du public à créer une boite mail puis à rédiger, envoyer et recevoir un mail, utilisation de la copie carbone et de la copie invisible
* capacité des parents à utiliser Pronote grâce à des exercices pratiques
* développement du travail parents-enfants en utilisant Pronote comme un outil de travail commun et pas uniquement un moyen de contrôle des notes
* capacité des parents comme des enfants à rédiger et présenter un courier en traitement de texte
* prise de confiance. Un des papas qui avait des problématiques linguistiques était plutôt fermé. Les autres parents l’ont soutenu, une maman lui a traduit parfois en arabe les informations qu’il avait du mal à comprendre. Lors des temps collectifs, ses 2 filles l’ont beaucoup aidées et nous avons vu une réelle progression dans l’utilisation de l’ordinateur.
* apprentissage de l’écoute et notamment de celle du parent envers son enfant
* prise de conscience des risques liés aux écrans grâce à des vidéos de prevention et grâce aux ateliers de la FRAPS. Les discussions ont permis de libérer la parole, de prendre conscience de ce que les familles connaissent et surtout les situations auxquelles les enfants ont pu être confrontées. Ainsi en partant de ces constats, les parents ont pris conscience qu’ils devaient être plus attentifs à ce que leurs enfants regardant.
* forte entraide entre les participants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action devrait être reconduite en septembre 2022.