Présentation synthétique du diagnostic partagé réalisé de décembre 2016 à février 2017 suite à des rencontres individuelles et collectives jardiniers, habitants, partenaires et élue :

Suite à ce diagnostic, il nous a semblé important que le projet d’action pour 2017 porte sur la valorisation du jardin partagé de Claires Fontaines à Coutances, en tant qu’outil de développement social local : « prendre soin de la terre et des personnes ».

début de l'action mars 2018

groupe d travail composé d'habitants du quartier

avec un partenariat avec la compagnie charivari palace

Moyens Humains : Sandrine Boisbunon, référente famille centre d’animation et Jean-Jacques Piquet, animateur centre d’animation.

3 clowns de la Compagnie Charivari Palace.

Moyens financiers :

- prestations extérieures : 5450 €

- achat tricycle : 2000 €

Partenaires :

Mairie, FJT

Les différentes formes des Rendez-vous familles durant l’année 2018 :

• Des Animations Parents Enfants  pendant les vacances « matinées et fin d'après-midi. » : 8 en 2018 soit 221 participations.

• Des soirées jeux lors des vacances scolaires (20h30-23h30) : 4 organisées. Deux ont dû être annulées faute de participants. La troisième a eu lieu dans le cadre du projet AVS soit 25 participants. Le format des soirées familles a été repensé à l’échelle des ACM. La première soirée organisée dans ce cadre a eu lieu le 26 octobre et a réunit 7 familles soit 21 personnes.

• Des sorties familles (le soir, en journée le week-end): 3 sorties en 2018. 87 participations et 8 participations supplémentaires en lien avec ciné-familles inter-centres des ACM.

• Des  temps forts inter-services : Action Fort-Boyard (40 participants), Action Carnaval (150 participants) et Action « semaine de Noël » avec 5 jours d’animations (500 participants)

Soit 1 052 participations en 2018

EVALUATION : 

1 - La participation régulière des familles, et la nature des échanges permettent de conforter le constat de l'impact positif de ces actions sur plusieurs axes transversaux et complémentaires : Le renforcement des liens inter et intra familiaux, L’opportunité de sortir du domicile, faire des rencontres et rompre  "l’isolement",Le renforcement de notre action autour de la parentalité, Le renforcement des liens familles-professionnels, La création d'une dynamique plus participative et l'orientation facilitée vers les instances de participation.

2 - Ces rendez-vous permettent de faire se rencontrer les parents et enfants du territoire dans une réelle mixité.

3 - La complémentarité d'actions itinérantes et d'autres plus centrales favorise la participation de tous et lutte contre les inégalités d'accès.

4 - Les « Rendez-vous familles…", désormais pleinement identifiés sont de vrais instants festifs propices à la consolidation des liens intra et inter-familiaux et la création de lien social. Ils ont permis d'asseoir la dynamique inter-services autour du projet familles et de fédérer les services autour de l'axe: "Accompagner et soutenir les familles du territoire et valoriser les parents dans leur rôle éducatif.", orientation majeure du Projet Centre social.

5 - C’est le travail de proximité réalisé au quotidien par l’ensemble des équipes de la Maison du pays de Lessay et l’articulation inter services du projet familles qui assoie l’impact et la réussite du projet familles.

6 - Des partenariats sont régulièrement mis en œuvre avec les médiathèques, les bibliothèques, les Ehpad, les municipalités, cinémas, communauté de communes, municipalités, associations divers etc.... Cette recherche perpétuelle de nouveaux partenariats permet alors de favoriser l’implication des habitants dans la vie locale mais aussi d’être dans une dynamique constante d’innovation

7 - Jeu FORT BOYARD : Le taux de participation excellent nous permet d’affirmer que ce Grand jeu répond à un besoin des familles sur ce genre d’action. Les échanges observésau sein de la famille au travers des jeux proposés valorisent les liens entre parents et enfants. 

L'action a vu le jour suite à une réflexion commune entre l'animateur sportif et l'animatrice de 2 EHPAD sur l'organisation d'un tournoi sportif Intermaisons de retraite. Suite à cela a été associée la dernière maison de retraite dont les infirmières étaient totalement partie prenante pour participer au projet. Il a suffit de quelques rencontres, environ 4, pour la réflexion du contenu des ateliers, le nombre d''équipe, le nombre de résidents dans chaque atelier, le transport des résidents, en fait sur l'organisation même de la journée tout en sachant qu'il y aurait des résidents valides et non valides et des résidents d'une unité alzheimer. Donc il fallait que tout soit adapté. En plus, la maison de retraite qui recevait les Olympiades offrait le repas à l'ensemble des résidents et c'était barbecue.

Le personnel du centre social a participé à la journée pour l'accueil, l'animation des ateliers, le déplacements des personnes non valides...par contre il faut que le personnel soignant des EHPAD soit vraiment investi dans cette journée car sinon elle n'a pas le même sens.

Début de l'action: octobre 2015 - Fin de l'action: juin 2016

1ère étape: mai à juillet : Construire un projet ACIP en corélation avec le cahier des charges donnés par le conseil général. Validation par les instances décisionnelles

2ème étape: Présentation du projet aux travailleurs sociaux qui sont dans la face de recrutement du groupe

3ème étape: septembre: La CESF de la circonscription Jadart transmet la liste des adultes présentis à la coordinatrice ACIP de la maison de quartier. La CESF convoque le groupe à la réunion d'information

4eme étape: fin septembre: Réunion d'information du projet où sont conviés: les stagaires acip présentis, les travailleurs sociaux (assistantes sociales, chargés de mission, CESF, coordinatrice territoriale Insertion et logement social du Conseil Général) et l'équipe de la maison de quartier (Le président du conseil d'orientation, la directrice, la coordinatrice acip, les animateurs d'atelier acip)

5ème étape: d'octobre à juin: le déroulement des ateliers avec un bilan intéremediaire avec tous les acteurs à mi parcours

6ème étape: juin: bilan final avec tous les acteurs. suite à ce bilan, les travailleurs sociaux proposent une orientation aux stagiaires.

Description de l’action

L'action vise essentiellement à travailler avec des jeunes majeurs dans le but de leur apporter un soutien dans la construction de leur avenir dans un contexte difficile économiquement ou personnellement.

Ce soutien apporte aux jeunes des outils (temps collectif et accompagnement individuel) et apporte à la collectivité un outil de prévention des risques en termes de délinquance, déviances, addictions...

Notre intervention est modeste mais peut être déterminante pour des jeunes adultes dont la caractéristique est le manque de repère et la rupture avec la société. Le professionnel accompagne ces jeunes adultes et connaît les problématiques spécifiques de ce public. Il fait tiers entre le jeune et la société, il est un élément structurant de sa construction personnelle.

Par ailleurs, cette action vise à travailler avec les jeunes sur leurs zones de regroupement autour d'une notion "d'aller vers".

Un accompagnement éducatif viendra renforcer l’équipe d’animateurs jeunes. Cet accompagnement permettra de trouver des solutions concrètes pour de nombreux jeunes en termes d’emploi, de stage, de solutions administratives…

L’équipe travaillera sur 3 soirées sur les temps collectifs, ces soirées pourront  aussi servir de temps d’arpentage sur le territoire afin d’aller à la rencontre des jeunes. Les temps collectifs seront des prétextes à la relation et à l’échange et devront permettre aux jeunes d’exprimer des difficultés et des besoins qui pourraient nécessiter un soutien. Ces moments permettront également de faire passer des messages en termes de prévention, de susciter des débats et de créer du lien.

En parallèle, des temps d’accompagnement individualisé seront mis en place essentiellement en matinée ou début d’après-midi. Ces temps seront aussi l’occasion d’accompagner physiquement les jeunes dans le besoin. Le travail d’accompagnement individualisé s’appuiera sur les principes de la prévention spécialisée et sur une contractualisation avec le jeune.

L’action est dédiée prioritairement aux jeunes adultes de plus de 18 ans jusqu'à 25 ans. Un accès est possible aux jeunes de 16 à 18 ans dans le cas de déscolarisation. Pour la partie animation, nous envisageons de travailler avec environ 50 jeunes sans caractéristiques précises. Pour la partie accompagnement individualisé,  nous travaillerions essentiellement avec les jeunes qui sont en rupture avec le système scolaire, en recherche de solutions d'insertion socioprofessionnelle, en besoin d'informations et d'accompagnement vers les structures classiques de l'insertion qui est l’objectif pour l’année 2015.

Nous travaillerons sur l’année 2015 à la réalisation des points de difficulté de l’année 2014 qui sont essentiellement autour de la visibilité et la connaissance du dispositif par les jeunes et donc en terme de communication, sur le continuité de l’accompagnement avec des ruptures de rendez-vous (liées à la spécificité du public), sur une mobilisation des temps collectifs notamment en laissant une souplesse pour permettre de répondre à des besoins ou des demandes émergentes (arpentage, baisse de fréquentation l’hiver, mobilisation d’un groupe de jeune) et l’approfondissement du lien entre le dispositif et le service départemental de prévention.

Pour l'année 2015-2016 une réorganisation des horaires de l'éducateur a eu lieu afin de simplifier la grille horaire et faciliter le repérage pour les jeunes. De ce fait le temps de travail sera répartit comme suit : le mardi 13h45/17h00 accompagnement individualisé ou réunion d’équipe, le jeudi 8h30/11h30 accompagnement individualisé et le vendredi 17h00/19h30 temps collectif ou accompagnement individualisé.

Du fait du peu de fréquentation jeune lors des  samedis après-midi, il a été décidé d’arrêter ces temps d'animation pour l'année 2015. Cependant, nous accentuerons nos temps d'animation collectifs lors des mercredis après-midi avec la mise ne place d'une activité sportive et fédératrice : le futsal. Celle-ci se déroulera conjointement avec le secteur jeunesse 14.18 ans du Centre Social, DE 15H00 0 17H00.

 L'action s'est déroulée sur 6 séances, une fois par mois de 18h00 à 20h00 avec la possibilité de garde d'enfants. Groupe de 12 parents identifiés.

La première séance a permis de définir les besoins et les  attentes des parents (questionnaires, échanges participatifs, jeux...).Cette première séance a été également essentielle pour permettre aux participants de se connaitre et de créer un climat de confiance favorisant la parole de chacun sur les futurs ateliers.

Lors des autres ateliers, différents contenus ont été abordés sous forme d'outils participatifs (métaplan, théatre, récit de situations vécues...)

- l’évolution de l'éducation

-  apprendre à reconnaitre ses émotions

- écouter les émotions de l'enfant

- échange sur des situations vécues concrètes...

La Co-animation psychologue/référent famille a été une réelle force sur ce projet. Les compétences de l'animatrice alliées aux connaissances de la psychologue ont été un gage de réussite.

Nous mettons en place une réunion plénière en janvier de l'année pour décider avec les bénévoles et salariés de la maison du thème et de l'animation.

Nous mettons ensuite en place des commissions de préparation sur des thèmes comme la communication, l'animation ou encore la logistique.

Cette action demande beaucoup de mobilisation humaine. Environ 20 bénévoles et une dizaine de salariés.

L'action débute en octobre de chaque année pour ce finir en juin de l'année d'après.

Une animatrice salariée de la maison de quartier prépare régulièrement avec les bénévoles les méthodes d'accompagnement des enfants.

Elle gére la coordination et les projets a mettre en place sur l'année.

Les bénévoles les accompagnent pendant une heure dans leur apprentissage et les aident à faire leurs devoirs.

Ils travaillent parfois sur un projet commun avec d'autres activités de la  maison de quartier comme sur le " vivre ensemble" en 2015 où ils ont pu s'exprimer sur les discrimination à travers un petit train de phrases et de mots.

Un bilan est fait régulièrement avec les parents et parfois avec les établissements scolaires. Un carnet d'échanges et de suivi de l'enfant à été mis en place.

Un bilan est fait  par l'animatrice avec les bénévoles en juin.

L'équipe déploie son activité au sein et à l'extérieur de la structure.

Les collaborations entre les animateurs et animatrices conduisent à créer des passerelles entre les différents segments d'activités.

Une organisation suivie et planifiée hebdomadairement permet d'ajuster en temps réel les projets pédagogiques et définir des plans tactiques quand l'équipe se confronte à des difficultés sévères ( conflits, conduites addicives, violence, incivilités...)

La programation des actions et activités est contextualisée en permanence en regard des remontées venant des jeunes, de leur parents, de l'équipe  et/ou de l'environement partenarial.

Bien qu'une programation prévisionnelle soit étéblie en début d'année, l'équipe adpate ses interventions en regard de propositions partenariales et tout évènement visant à adapter les animations.

Suite à un appel à projet de la fondation de france sur la lutte contre le gaspillage alimentaire nous avons mis en place un partenariat avec le Super U du quartier pour récuperer les denrées un peu abimées et invendables mais bonnes à la consommation.

Des personnes bénévoles cuisinent ses aliments le samedi et partagent un repas le dimanche midi avec ses petits plats préparés.

Il y a à chaque repas environ 30 personnes issues du quartier essentiellement et en situation d'isolement ou de précarité pour la plupart.

Le poste plein temps de référent familles a été cré en 2012 au sein de la Maison de Quartier Billard. Il préexistait depuis plusieures années sur la base d'un mi-temps.

La réferente familles construit ses actions en faisant participer son environnement professionnel et partenarial. Elle s'efforce d'impliquer le plus grand nombre de familles dans l'élaboration, la mise en oeuvre et l'évaluation des projets.

Néanmoins, seul un groupe restreint de mamans s'implique réellemnt dans la globalité du processus et les psotures "conuméristes" forment une constante difficile à inverser.

Toutefois, certains projets sont plus que d'autres des espaces d'implication pour les familles. En particulier les séjours familiaux qui appellent à mener des activités d'autofinancement. C'est également le cas des lieux d'accueil parents enfants qui, du fait d'une fréquentation importante, demandent à ce que des mamans s'investissent dans l'animation de petits ateliers pour seconder la référente familles.

Nous constatons que les animations en salle d'attente PMI sont peu producteurs de participation et que le travail avec les familles  se résume souvent à une solicitation laborieuse à participer aux jeux mis en place.

D'ailleurs, la question du sens de ces animations est souvent posé car du fait des entrées et sorties échelonnées sur rendez-vous des parents, les conditions du collectif ne sont que très rarement réunies.

A l'opposé, les actions familiales en lien avec l'animation de la vie sociale du territoire forment des terrains d'engagement et de participation toujours dynamiques.

Les actions en direction de l'enfance ont débutées dès la création du Centre Social

L'accueil collectif de mineurs fait partie intégrante du projet social de la Maison de Quartier. Il fonctionne sur tous les mercerdis et périodes de vacances scolaires. Depuis deux ans, un effort particulier est fait pour impliquer les parents et générer une dynamique participative attachée à développer les liens entre les parents et les professionnels  au profi de l'enfant.

Depuis deux années également, un travail est mené pour appeler les enfants à s'impliquer dans la définition des activités et de l'organisation du temps de vie collective. Cela a pour effet de renforcer des  dynamiques de groupe nécessaires à l'épanouissement psychosocial des enfants.

Malgré ces investissemnts, l'équipe chargé du pilotage et de l'animation des Accueils Collectifs de Mineurs se confrontent  à des situations individuelles relevant à notre sens de l'éducation spécialisée. Cela signifie que la population accueillie rencontre dans son quotidien scolaire, familial et social de graves difficultés liées à la géorgraphie socioéconomique et socioculturelle du territoire.

La proportion majoritaire d'enfants dont les familles relèvent des minimas sociaux et du dispositif rémois de résussite éducative n'est pas sans poser de de question  quant à la mixité sociale au sein de la structure. 

Dans ce contexte, l'ensemble des ressources éducatives et d'animation de la Maison de Quartier est régulièrement mobilisé pour soutenir l'équipe d'encadrement qui est composées comme partout, de jeunes étudiants non professionnels et peu préparés à l'encadrement d'enfants porteurs de difficultés éducatives  sévères.

Néanmoins, la mobilisation de l'équipe dirigeante de la Maison de Quartier favorise le maintien d'une cohérence pédagogqiue favorisée par des volontés évidentes de bien faire et faire le bien de la part de jeunes qui découvrent des réalités parfois boulversantes.

L'animation des activités périscolaires révèle une similitude quant aux difficultés éducatives. Néanmoins, du fait de se dérouler dans un temps restreint d'une heure à une heure quinze par séance et du fait  que la Maison de Quartier mobilise des personnels qualifiés et expérimentés, les conditions pédagogiques apparaisent moins problématiques

Le partenariat actif avec l'institution scolaire et le service éducation de la Ville est également facilitateur. Néanmoins l'équipe fait part de situations éducatives particulièrement pointues et ces remontées d'expérience participent à dresser un tableau de la situation des enfants d'âge primaire plutôt alarmante.

La récurence des témoignages et des constats effectués par les services éducation de la Ville, des enseignants des animateurs des éducateurs et des services sociaux convergent tous pour affirmer que la situation des enfants sur le territoire s'agrave d'années en années.

Les problèmes de langage du fait de l'origine cosmopolite de la population sont considérés comme le facteur premier des difficultés  d'apprentissage et d'intégration des enfants sur le territoire.

RESULTAT:

A / LES REUNIONS DE COORDINATION DES ASL

Madame Kane, Adulte Relais au Centre Social et Culturel Rive Gauche assure la coordination du projet TERRE D’ECHANGE avec les deux autres référentes ASL (animatrices Adultes Familles) des CSC Schmit et Verbeau avec une équipe de 15 bénévoles au total. L’implication des usagers dans les projets a été très appréciée dans le projet 2014.

- 27/03/2014 Bilan intermédiaire avec les bénévoles

Lieu : CSC Rive Gauche.

Participants : Bénévoles, coordinatrice des ASL, référents ASL des trois CSC (Rive Gauche, Verbeau, Schmit).

Ordre du jour:

Bilan intermédiaire

Point sur les différentes activités écoulées et à venir du 1er semestre

Questions diverses

Rencontre des représentants de l’ADOMA (foyer d’hébergement et d’accueil des demandeurs d’Asile)

            Questions diverses

- 27/06/2014 Réunion de concertation avec les bénévoles

Lieu : CSC Schmit.

Participants : Bénévoles, coordinatrice des ASL, référents ASL des trois CSC (Rive Gauche, Verbeau, Schmit).

Ordre du jour:

Bilan avec les bénévoles suite à leur formation à ARIFOR (thème 1 : de l’illettrisme et l’Orthographe ; thème 2 : utiliser les jeux dans l’apprentissage du français)

Derniers points d’organisation de la Soirée Géorgienne à Schmit du 27 juin 2014

Modification des supports de communication des ASL (affiches et flyers)

Perspectives des activités envisagées de septembre à décembre2014

Questions diverses

- 11/09/2014 Réunion de préparation de la rentrée

Lieu : CSC Verbeau.

Participants : Bénévoles, coordinatrice des ASL, référents ASL des trois CSC (Rive Gauche, Verbeau, Schmit)

Ordre du jour:

Réflexion autour des ASL

Mise en place du calendrier des nouvelles activités

Questions diverses

- 10/12/14 Réunion de fin d’année avec les bénévoles

Lieu : Réunion déjeuner bilan au Centre ALFOR

Participants : Bénévoles, coordinatrice des ASL, référents ASL des trois CSC (Rive Gauche, Verbeau, Schmit), coordinatrice des CSCM, Responsable des CSC Rive Gauche et Verbeau

Ordre du jour:

Remerciements et mise en valeur des bénévoles dans leur implication

Bilan de fin d’année sur les ASL et les groupes

Concertation sur projet 2015

Recueil des besoins des bénévoles

Questions diverses

- 26/06/14 Goûter-bilan de fin de saison CSC Rive Gauche

Lieu : Au centre Social et Culturel Rive Gauche Mont Saint-Michel

Participants : Bénévoles, Référente ASL Rive Gauche, 26 apprenants

Temps de détente convivial organisé par les apprenants eux-mêmes. Les encadrants des ASL ont pu profiter ce temps propice aux échanges pour dresser un bilan avec les usagers et mener une concertation sur les perspectives de rentrée en septembre et des activités de fin d’année.

- 17/12/14 Goûter-bilan de fin d’année CSC Rive Gauche

Lieu : Au centre Social et Culturel Rive Gauche Mont Saint-Michel

Participants : Bénévoles, Référente ASL Rive Gauche, 35 apprenants

Au centre Social et Culturel Rive Gauche, avant les vacances de Noël, un temps de détente convivial organisé par les apprenants eux-mêmes et les jeunes ados du quartier autour d’un spectacle de conte musical. Les ASL et les Jeunes ont invité les familles du quartier à partager ce goûter. Les encadrants des ASL ont pu profiter ce temps propice aux échanges pour dresser un bilan avec les usagers sur l’année 2014 et mener une concertation sur les perspectives du projet TERRE D’ECHANGE 2015.

- de mai à juin 2014 Réunion de coordination d’action CSC Schmit

Lieu : Au centre Social et Culturel Emil Schmit

Participants : Bénévoles, Référente ASL Schmit, 2 apprenantes et 2 lycéennes (enfants)

Pour préparer l’action « Soirée Géorgienne » de fin de saison, plusieurs rencontres de mai à juin 2014 ont eu lieu pour coordonner l’action.

B / Action du Centre Social et Culturel Schmit

Nombre d’inscrits : 38

Intervenants bénévoles : 2

Déroulement :

Ateliers tous les vendredis de 9H30 à 11H00.

Apprenants répartis en 2 groupes (débutants et initiés)

Difficultés :

Encore des irrégularités dans la participation.

De même les difficultés persistent quant à la participation des apprenants à d’autres actions que les ateliers notamment les sorties.

Les raisons formulées de cette « non participation » sont :

• le budget : une participation financière est demandée pour chaque sortie, pour certains elle pose des problèmes.
• la question des enfants : même en planifiant ces sorties sur le temps scolaire, l’amplitude pose des questions d’organisation pour les parents (déposer et aller chercher les enfants à l’école).

Point fort 2014 :

• La soirée Géorgienne du vendredi 27 juin

Deux apprenantes issues de cette communauté, dont une artiste de théâtre, ont été à l’origine de cette soirée culturelle.

Très proches du milieu artistique elles avaient très envie d’organiser une soirée pour s’exprimer sur scène et promouvoir la culture de leur pays.

Ainsi avec leurs enfants (2 lycéens) et après une préparation de 2 mois (tous les lundis de mai et juin de 17H30 à 19H30) ils nous ont proposé un spectacle d’une heure environ composé de pantomime, de danses traditionnelles et de présentation de costumes.

Ces prestations étaient d’une grande qualité artistique. Elles ont été suivies d’un temps de danses collectives auquel chacun pouvait participer spontanément.

Cette soirée s’est clôturée par un buffet de spécialités géorgiennes entièrement préparées par les apprenants et leurs familles.

110 personnes ont assisté à cette soirée dont environ la moitié issue de la communauté géorgienne et l’autre d’origines diverses.

C / Action du Centre Social et Culturel Verbeau

La communication a été faite auprès des différents partenaires de notre quartier : UDAF, épicerie sociale, bibliothèque, CCAS, Croix Rouge,…

Les apprenants au nombre de 20 inscrits ont participé  régulièrement aux séances hebdomadaires du lundi après-midi de 14h à 16h. La fréquentation par atelier varie entre 8 et 12 apprenants présents. 18 pays différents sont représentés au travers de nos inscrits.

La fréquentation des ateliers reste instable et varie en fonction de rendez-vous impromptus, de la météo, de problèmes de santé,…

Les séances sont encadrées par 5 bénévoles pour le 1er semestre et 4 bénévoles pour le dernier trimestre.

Nos 5 intervenants ont pu profiter de formations délivrées par l’Arifor :

• thème de l’illettrisme et l’Orthographe
• utiliser les jeux dans l’apprentissage du français.

Les bénévoles doivent s’adapter à chaque séance selon les adultes présents. Les méthodes pédagogiques utilisées sont basées sur l’interactivité, l’enrichissement du langage simple et la familiarisation avec l’écriture. Les apprenants souhaitent des échanges oraux pour être plus à l’aise au quotidien.

Certains de nos apprenants participent aux ateliers du CSC Rive Gauche.

Depuis la rentrée de septembre 2014, l’animatrice familles contacte les apprenants lorsqu’ils sont absents plus de 2 séances, en effet les bénévoles ressentaient des inquiétudes lorsque certains apprenants manquaient les séances sans « raison » apparente.

Pour aider les bénévoles à la préparation de leur séquence, nous avons complété notre bibliothèque avec l’achat de méthodes pédagogiques récentes. Pour 2015, les bénévoles souhaiteraient utiliser un lecteur CD pour agrémenter leur séance.

L’ensemble des supports existants sur le Verbeau a été recensé, cela peut permettre à d’autres bénévoles de découvrir rapidement le contenu de notre bibliothèque.

Pour agrémenter les ateliers, nous avons proposé les sorties suivantes :

• Découverte du Centre d’Interprétation de Suippes en lien avec la 1ére Guerre Mondiale le 17 avril 2014.
• Visite de la Biscuiterie Fossier, de la Cathédrale de Reims et du Fort de la Pompelle le jeudi 6 novembre
• Sortie à la représentation du CNAC pour la restitution de spectacle de fin d’année le jeudi 11 décembre
• Sortie à Paris pour visiter le Panthéon et le Musée du Quai Branly le jeudi 18 décembre.

Ces sorties permettent aux apprenants d’enrichir leur culture, découvrir les manifestations locales et participer à la vie de la cité. Chaque visite a été appréciée par les inscrits, il est cependant difficile pour certains apprenants de se libérer sur des journées complètes. Le tarif de ces sorties est très attractif ce qui permet à tous de pouvoir s’organiser avec leur budget.

Pour les bénévoles :

• Le partage de la galette des rois avec l’équipe du CSC
• 1 découverte de l’Epicerie Sociale était prévue mais a dû être reportée au dernier moment.
• 1 rencontre trimestrielle pour échanger sur les pratiques de chacune, découvrir des formations, préparer les sorties
• Repas de convivialité pour remercier l’engagement de chacun dans nos structures respectives.

Nous constatons que certains apprenants participent également aux sorties ou activités que le Centre Social peut proposer ; en effet lors de l’accueil du groupe aux séances hebdomadaires l’animatrice familles les informe des activités prévues sur le Centre Social et Culturel mais également de la programmation des évènements châlonnais.

D / Action du Centre Social et Culturel Rive Gauche

LES ATELIERS SOCIO LINGUISTIQUES REGULIERS (NOTIONS DE FRANÇAIS)

Les Ateliers Socio linguistiques (ASL) au CSC Rive Gauche sont assurés par 8 bénévoles qui sont encadrés par un Adulte Relais, Marlène Kane.

Les ASL du CSC Rive Gauche se sont déroulés à la fréquence suivante :

• Les lundis, mardis et jeudis de 14h à 16h, hors vacances scolaires, à l’antenne Mont St-Michel du CSC Rive Gauche
• Mercredis de 14h à 16h, hors vacances scolaires, à l’antenne Orléans du CSC Rive Gauche

Les apprenants fréquentant les ateliers sociolinguistiques peuvent échanger leurs expériences, discuter de la vie quotidienne, faire connaître leurs pays, leur langue, leurs coutumes mais surtout intégrer le langage, les usages et codes de la société française. Tous ces éléments permettent le renforcement du lien social. Les apprenants sont orientés dans les différents groupes correspondant à leur niveau suite à un entretien individuel afin de mieux répondre à leurs besoins.

 L’intervention des bénévoles a été basée sur l’acquisition de compétences linguistiques en 3 phases : découverte, exploration, appropriation.  Les bénévoles ont articulé leurs interventions autour des thématiques de la vie quotidienne : savoir se présenter, aller dans les commerces, chez le médecin, prendre un rendez-vous par téléphone, rencontrer les enseignants, mieux connaître son quartier, sa ville, etc…

Deux moments conviviaux ont été organisés en fin de saison à la veille des vacances scolaires d’été et en fin d’année avant les vacances de Noël. Les apprenants ont partagé ces temps d’échanges autour de d’un goûter fait par eux-mêmes. Chacun apportant gâteaux, jus de fruits, thermos de café, théières de thé à la menthe et autres confiseries. Les participants à ces temps conviviaux ont beaucoup échangé sur la vie quotidienne, leurs expériences, leurs recettes de cuisine mais surtout en utilisant uniquement la langue commune à tous les apprenants d’origines différentes : le français. Il est à noté que ces temps conviviaux sont propices à une mixité hommes/femmes difficilement retrouvable sur d’autres temps de rencontre avec ce public d’origine étrangère. Au-delà de la convivialité, ces deux temps de rencontre-détente étaient des supports à l’action de l’Adulte Relais pour la concertation avec les habitants. Ces goûters de fin de saison, pour ne pas les nommer « réunion bilan », ont offert un terrain propice à la participation active avec les apprenants. Ils ont pu faire part de leurs besoins et leurs attentes, les confronter avec le cadre du projet et l’investissement des bénévoles. Cela a permis aussi de donner plus de confiance en eux à certains apprenants afin qu’ils deviennent acteurs au sein du projet (sur de la co-animation d’ateliers cuisine par exemple) ou sur d’autres projets de la structure.

LES ATELIERS SPECIFIQUES ET LES SORTIES

Sur l’année 2014, l’apprentissage en ASL réguliers des notions de base de la communication en français a été complété par une mise en pratique en ateliers spécifiques et par des ouvertures sociales et culturelles.

La connaissance des dispositifs et structures pouvant favoriser l’intégration est une partie essentielle du contenu des informations qui sont véhiculées dans les ateliers. Les participants ont été encouragés à découvrir leur cadre de vie et les structures de proximité présentes dans leur quartier. Un lien avec les autres activités du CSC Rive Gauche et des partenaires était fait à chaque séance. Plus particulièrement avec l’actualité culturelle évènementielle locale et nationale. 100% des inscrits aux ASL de Rive Gauche ont participé  à plusieurs évènements et actions portés ou relayés par le CSC comme la journée Internationale de la femme, la campagne d’Octobre Rose, les parcours du Cœur, Carnaval…

Des intervenants spécialisés, des professionnels, des partenaires, des sorties, la découverte de monuments, la visite d’institutions ont été autant de vecteurs qui ont  favorisé l’intégration du public des ASL au fonctionnement du quartier et de la société française.

En ce sens, une sensibilisation spécifique à la commémoration en 2014 de la Première Guerre Mondiale a été proposée aux ASL pour sensibiliser ce public l’impact de cet événement sur notre région et au devoir de mémoire.

Le CSC Rive Gauche a également mis en place sur la saison 2014 des ateliers « INVERSION ». Certains apprenants ont pris la place des bénévoles le temps d’une séance pour faire connaître quelques notions de base de leur langue maternelle (bonjour, s’il vous plaît, merci, comment ça va ? au revoir…) et leurs usages de la vie quotidienne. Ces ateliers ont été une grande réussite. Beaucoup de découverte culturelle de partage et de rires. Au-delà de cette expérience linguistique, c’est la découverte de cultures différentes qui a renforcé une cohésion au sein des groupes et faciliter l’ouverture entre les individus.

Le Centre Social et Culturel Rive Gauche a donc ponctué les séances régulières d’acquisition des notions de français par des ateliers de mise en pratique, des ateliers de sensibilisation et quelques sorties socioculturelles au cours de l’année 2014.

Ces sorties ont été proposées aux trois CSC participant au projet TERRE D’ECHANGE.

Activités spécifiques et ouvertures sociales et culturelles :

Récolte de fonds autour d'actions simples

- vente de goûters dans les activités

- fabrication d'objets avec les familles du mutli accueil et vente aux adhérents

- médiatisation de l'action pour la mise en valeur de l'association aidée

- mise en valeur de l'action des bénévoles et de la solidarité exercée envers une communauté dans le besoin.

Pour mettre en place ces objectifs, le centre social a choisi d’encadrer ses actions par des professionnels spécialisés dans les domaines de la jeunesse et de l’insertion professionnelle. Elle est composée d’un coordinateur jeunesse, de deux animateurs jeunesse et d’un éducateur ou conseiller en insertion professionnelle.

Les locaux du centre social permettront d'accueillir les jeunes sur des temps de loisirs et d'accompagnement individualisés. Les ouvertures se feront, au minimum sur 3 après-midi et 3 soirées. Les locaux seront aménagés par le Centre Social (outillage administratif, informatique, téléphone, ...). Le projet peut s’appuyer sur l’ensemble de l’équipement pédagogique disponible au sein du centre social.

Les jeunes et leurs familles doivent être en capacité de connaitre le dispositif, des informations régulières sont faites dans le cadre de nos outils de communication (journal communal, facebook, affichage,…). Pour accéder au dispositif, nous demandons aux jeunes de s’engager et d’au moins fournir les premiers éléments de leur état civil.

Les moyens comprennent aussi la mobilisation des acteurs de l'agglomération de l'insertion socioprofessionnelle (Pôle Emploi, Mission Locale, Prévention Spécialisée, Assistantes sociales, la ligue de l'enseignement ...)

Nous avons à disposition l’équipement présent sur la commune : véhicules, gymnase, …

Mise en place d'ateliers d'écriture et de photographie par 2 professionnels. Mobilisationdes habitants et des usagers de la structure pour une participation aux ateliers à raison de 2 fois par semaine sur une période de 6 mois.

Les habitants ont été amenés à concevoir l'histoire, à prendre les photos d'éléments qu'ils souhaitaient valoriser. Une réunion entre les partenaires (cohésion sociale, Pôle Animation Seniors, Culture) permettaient d'orienter le projet au mieux et de créer les conditions techniques idéales.

Sur plusieurs séances, les enfants ont répétés les chants commémoratifs et ont fabriqué des bleuets portés le jour J.

Plusieurs répétitions ont eu lieu pour connaitre le protocole.
 

Un groupe de pilotage a été constitué avec: des habitants, le bailleur social, la maison de quartier, les représentants du contrat ville, de l'ANRU et  l'équipe de la télé associative.

Ce groupe de pilotage a défini collectivement le projet, ses objectifs, le déroulement de l'action et le calendrier sur 2 ans. Ce groupe de pilotage s'est réuni tous les semestre pour faire un état de l'avancé du projet, envisager les évolutions et faire le points sur les difficultés et freins rencontrés. Parallèlement un groupe réduit habitants/animateurs/équipe télé, s'est rencontré de façon hebdomadaire pour construire les supports permettant d'aller au contact des habitants, de préparer les différents interviews et de dérusher les séquences filmées. l'accompagnement technique des habitants s'est déroulé en plusieurs phases (expression orale et écrite, créer du contact,construire des questions ouvertes, faire face à la caméra, enregistrement des voix off,...)

Le film a entièrement été monté par l'équipe technique de TCB, mais toutes les présentation en public ont été animées par les habitants eux-mêmes. Le film a été projeté sur le quartier même dans plusieurs lieux et plusieurs contextes, il a été valorisé dans le cadre des quarante ans de la politique de la ville et a été projeté lors de la signature de l'inscription de la ville de Reims dans l'ANRU en présence du ministre du logement.

Un groupe de pilotage a été constitué avec: des habitants, le bailleur social, la maison de quartier, les représentants du contrat ville, de l'ANRU et  l'équipe de la télé associative.

Ce groupe de pilotage a défini collectivement le projet, ses objectifs, le déroulement de l'action et le calendrier sur 2 ans. Ce groupe de pilotage s'est réuni tous les semestre pour faire un état de l'avancé du projet, envisager les évolutions et faire le points sur les difficultés et freins rencontrés. Parallèlement un groupe réduit habitants/animateurs/équipe télé, s'est rencontré de façon hebdomadaire pour construire les supports permettant d'aller au contact des habitants, de préparer les différents interviews et de dérusher les séquences filmées. l'accompagnement technique des habitants s'est déroulé en plusieurs phases (expression orale et écrite, créer du contact,construire des questions ouvertes, faire face à la caméra, enregistrement des voix off,...)

Le film a entièrement été monté par l'équipe technique de TCB, mais toutes les présentation en public ont été animées par les habitants eux-mêmes. Le film a été projeté sur le quartier même dans plusieurs lieux et plusieurs contextes, il a été valorisé dans le cadre des quarante ans de la politique de la ville et a été projeté lors de la signature de l'inscription de la ville de Reims dans l'ANRU en présence du ministre du logement.

Des ateliers ont lieu toute la semaine auprès des différents publics.

Les artistes sont en résidence toute la semaine au Centre Social et Culturel.

Le vendredi et le samedi, des spectacles en extérieur sont poposés en libre accès.

Deux axes ont été développées dans le cadre de ce projet

• La fabrication d’un tandem avec un charriot, afin de se déplacer sur le quartier et d’offrir un café en valorisant les actions de la structure.
• La création de différents ateliers dans un espace mis à disposition par l’organisme logeurs.

Ces ateliers de création et d’échanges de savoirs sont principalement portés par des bénévoles de la maison de quartier.

Le 22 septembre 2019, dans le parc du château de Dormans,  ce sont 115 personnes qui ont participé à cette manifestation dont 65 enfants (du tout petit à l’adolescent de 17 ans).