L'atelier est hebdomadaire dans chaque EVS, quelquefois dans les hauts. Les choeuristes  se sont organisés pour créer leurs costumes de scène dans les ateliers couture des EVS. Karl Lauret est sollicité pour accompagner à la guitare les chanteurs. Pour le clip qui est diffusé sur YOUTUBE , les habitants sont allés en studio, avec des habitants  des hauts sur un projet financé conduit par l'association par des fonds européens.  L'action a débuté dans les EVS avant même l'obtention de l'agrément EVS par l'association. 

A partir de septembre, les habitants sont invités à se mettre en petits groupes et de développer des ombres. Ils peuvent laisser agir leur créativité ou les habitants peuvent aussi partir d'une histoire de Noël pour la représenter par des ombres. La technique est simple et abordable pour tout le monde.

Le jardin a été installé progressivement sur plusieurs année. Des animateurs de l'associations le font vivre en proposant de nombreuses animations pour tous. Des partenariats sont ménés avec la maison de retraite, les écoles et ALSH, les associations locales, le CPIE de la Lozere  (Centre Permanent d'Initiative à l'Environnement), l'école superieur Supagro, la mutualité, l'APE (association des parents et des educateurs)... 

L'action a débuté en novembre 2019.

Le partenariat:

-Le service prévention des déchets de la communauté d’agglomération du cotentin

-Association « la Réparette » de lutte contre l’obsolescence

-Association tous dans le même panier (circuit court)

-Association les francas de la Manche (alsh)

-L’association des parents d’élèves de l’école L.Blum

Le centre social et les parftenaires cités ci-dessus se sont réunis en groupe de travail pendant 4 mois pour mettre en oeuvre cette action dans un esprit de partenariat véritable.

Accompagement du groupe de jeunes ados, qui avaient 12-13 ans au démarrage du projet, par les animateurs du centre social avec un partenariat poussé avec le collège. Des liens étaient faits entre le projet et les cours, notamment histoire-géo.

Pour les jeunes, nous avons travaillé la notion d'engagement, de coopération, de montage de projet (objectifs, finalité, recherche de finacement, présentation devant des élus...). Pui la 1ère année a nécessité une formation plus appronfondi des jeunes sur la notion de développement durable (données théoriques en lien avec l'enseignants, intervention d'aceteurs locaux, visites de site...).

Les jeunes se réunissaient avec l'animatrice soit au collège (pause méridienne), soit les mercredis, samedis et/ou vacances soclaires à raison d'au moins au fois par semeine au démarrgae du projet puis après au grès des besoins et des actions menées.

Le voyage s'est déroulé sur les vacances d'Automne 2018 pendant 10 jours avec 2 accompagnatrices Centre Social et 2 accompagnatrices collège.

Ce projet se propose d'assurer une continuité aux trois (3) actions développées en 2018 dans le cadre du dispositif "alphabétisation et français langue étrangère (FLE) " de l'ESAAC. Il intègre ainsi trois (3) composantes afin de renforcer l'articulation, la synergie et la cohérence du dispositif : 1) les ateliers d'apprentissage ; 2) la plateforme de coordination à l'échelle du territoire d'intervention ; 3) l'atelier spécifique au FLE Parents - enfants. Composante 1 : Les ateliers visent l'apprentissage de la langue française à l'oral et à l'écrit en utilisant comme supports des méthodes spécifiques en fonction des groupes de niveau (livres, journaux, actualités, animations du centre, etc). Six niveaux sont mis en place (A1 à B2 en lien avec le cadre européen). Les cours ont lieu le lundi et le jeudi (14h-16h), le mercredi matin (9h30-11h30) et le mardi matin (9h30-11h30). Des évènements sont organisés sur l'année (sortie cinéma, repas partagé et sortie collective). L'Alpha Gazette paraît trois (3) fois par an ; elle est rédigé par les apprenants avec l'appui des formateurs. Composante  2 : Elle repose sur une coordination globale via l'animation de réunions avec les principales parties prenantes ; le recrutement de bénévoles pour le développement des cours dans les deux (2) autres centres sociaux (Alouette et Chataigneraie) ; la répartition des apprenants en fonction de leur niveau, de leur lieu d'habitation, des places disponibles ; le partage des pratiques entre les différents partenaires ; la réflexion pour assurer la transition avec l'IREP sur la Chataigneraie à partir de septembre 2019. Composante 3. Elle est développée autour du besoin exprimé par certains parents sur leurs difficultés à accompagner leurs enfants dans leur scolarité ; des ateliers individuels sont organisés les mercredis après-midi en fonction du niveau scolaire de l'enfant (du CP à la 6e) ; ils s'intéressent notamment à l'aide aux devoirs, à la communication parents - enfants, au fonctionnement des établissements scolaire, à la mise en place éventuelle d'une médiation.

Le projet et l’espace révèle une dynamique de mobilisation des habitants. Ce sont les adhérents impliqués au CS qui souhaitent répondre aux attentes des personnes mais aussi à leurs besoins…

Ce projet vise à améliorer la vie quotidienne des habitants souffrant de la précarité installée au quotidien.

Ce projet est une action collective qui regroupe plusieurs groupes d’habitants qui travaillent ensemble sur les actions concernées.

Repair café / Repair Mobile.

C’est un espace où des habitants (bénévoles et volontaires) reçoivent d’autres habitants qui sont en demande de réparations sur divers objets de la vie courante (numérique, électroménagers, électronique, meubles, vêtements, objets de décoration…). Les réparations sont gratuites et effectuées sur place. Les habitants sont invités à participer et à partager un temps convivial (café et/ repas). Cette action est basée sur le don. Ce temps est régulier (tous les mercredis en fin de journée – 17H/21H). Cet espace se veut mobile. En effet, l’intention est de se rendre au plus près des habitants (dans leurs rues). Pour cela, le collectif réfléchi à un véhicule aménagé et un matériel adapté. Les temps « hors les murs » seront réguliers sur une autre temporalité (périodes de vacances par exemple). Des temps d’échanges avec d’autres REPAIR CAFE seront proposés et programmés (Aire sur la lys, Mazingarbe). Des temps de formations en électronique notamment vont être envisagés pour permettre une montée en compétence des bénévoles et apporter d’autres réponses aux habitants.

Un lien avec l’espace FAB LAB est travaillé et effectif.

Fab lab.

Le Fab Lab ou « laboratoire de fabrication » est un espace qui a pour principe le partage libre des outils, des machines et des logiciels et où les acteurs de l’action partagent leurs savoirs, leurs compétences et leurs expertises et peuvent accompagner les plus novices dans la création. Cet espace est centré autour des nouvelles technologies du digital et du numérique. C’est pourquoi nous y trouvons plusieurs types de machines et de matériel comme les imprimantes 3D, les presses d’impression textile et objets, la découpeuse vinyle, la brodeuse numérique… Cet espace s’intéresse également à la robotique et la domotique : drone, robot… C’est un lieu ouvert à tous qui est animé par les plus jeunes.

Atelier Bricolage « création et réemploi ».

Le collectif d’habitants impliqués récupère tout matériel, et/ou objet pour le ou les transformer ou encore pour créer. C’est autour de matériaux comme le bois et le métal que nos bénévoles se spécialisent. Ainsi, ils proposent des jardinières, des lampes, des poubelles, des cendriers, des objets de décorations, des meubles à partir d’objets insolites comme des tables, des tuyaux, des rails, des fers à cheval, des bouteilles de gaz, des chauffe-eaux, des extincteurs… Des temps d’échanges, d’accompagnement et de formations vont être envisagés pour permettre une montée en compétence des bénévoles. Les objets réalisés sont proposés à la vente à un « tarif » très attractif (prix coutant). L’achat de matériel d’outillage et de périssable constitue un poste important des dépenses.

Ateliers couture « création et réemploi ».

C’est un collectif de couturières qui propose la même approche que les bénévoles « bricoleurs ». C’est avec des tissus récupérés et des vêtements usagés que ce collectif réalise et crée des objets variés comme des sacs, des coussins, des jeux pour la petite enfance ou pour des personnes ayant une pathologie. Des temps de formation vont également être prévus pour permettre une montée en compétence et un autre apprentissage de technique. Outre l’achat de fonctionnement (fils et aiguilles), un renouvellement des matériels est nécessaire (machine à coudre)

Mise à disposition de matériel (de type « Bricothèque »).

Louer ou emprunter. De la même manière que l’emprunt de livre à la bibliothèque, la bricothèque sera un lieu physique où l’on pourra emprunter un escabeau, une débroussailleuse, une décolleuse papier peint, une perceuse, une caisse à outils équipées, un perforateur… en somme tout ce dont vous avez besoins pour bricoler. Cet espace sera, également, un espace de conseils et d’échanges de savoirs. Au-delà, du bricolage, cet espace sera créateur de lien social. L’emprunt se fera après un abonnement annuel qui sera cohérent avec les situations des ménages et des personnes. C’est l’investissement matériel qui est le poste le plus important des dépenses.

Atelier Mobilité : Mécanique « self garage ».

Le principe du « self garage » est simple. Le matériel est mis à disposition des habitants désireux de s’occuper eux-mêmes de leurs véhicules (deux et quatre roues). Notre atout sera de pouvoir conseiller et accompagner les habitants (même les plus éloignés de la mécanique) afin qu’ils réussissent à entretenir leurs voitures ou motos. Basée sur le don et l’échange, cette action demandera une adhésion particulière.

Toujours autour de la mobilité, nous souhaitons proposer des véhicules adaptés et propres aux habitants n’ayant pas le permis de conduire (vélos et/ou scooters électriques). Cette partie de l’action répond aux besoins de déplacement pour un travail, un entretien ou une formation ou encore des rendez-vous médicaux et sociaux. Les postes de dépenses (en fonctionnement et en investissement) sont composés d’achats de matériels plus ou moins important.

Jardins solidaires.

Les Jardins représentent un espace communautaire. C’est un collectif d’habitants investis et très disponibles qui s’organise pour faire vivre et entretenir les lieux. Cet espace est ouvert à tous et ce tous les jours de la semaine. La seule condition est que l’espace soit ouvert par la présence effective d’un Jardinier Bénévole. Pour se représenter les lieux, nous les détailler. Dans un grand espace de plus de 1000 m2, nous trouvons des espaces potagers divers, des espaces de petits fruitiers, une mare, des espaces de pelouse, des arbres d’ornements, des espaces de fleurs d’ornement, des composts, des abris de rangements, des toilettes sèches, un espace couvert dit de convivialité, un abri pour les jeux de plein air. Le deuxième espace (à 50 mètres du premier), est un verger qui compte une vingtaine d’arbres fruitiers. Le matériel motorisé doit être renouvelé cette année. Nous souhaitons apporter l’électricité pour travailler autour d’un autre accueil (en soirée). Le collectif souhaite aménager un terrain de pétanque et un espace pour le jeu de javelot. Le collectif a pour objectif de réaménager l’espace convivialité en apportant une dalle béton pour mieux accueillir. Un travail, autour de la communication et de la signalétique va être entrepris : MONTRER, ACCUEILLIR ET VALORISER.

Une programmation d’animations (en partenariat avec le Conservatoire d’Espaces Naturels) va être imaginé autour des jardins (les deux espaces). Cette programmation est travaillée collectivement et est reprise dans l’Action du CEN. Un aménagement autour des jeux collectifs va être imaginé. A travers des actions d’accueil et d’aller vers, nous souhaitons que les habitants du quartier s’approprient tous les espaces des jardins. Nous allons remettre en place un système de vente de légumes (prix coûtants) sur le jardin et dans le quartier. Un programme de formations techniques afin de faire monter en compétence et en expertise.

Magasin gratuit.

Toujours pour répondre aux enjeux et aux défis du territoire (quartier prioritaire), nous proposons un magasin gratuit. C’est un espace où chacun peut trouver des objets, des meubles, des vêtements. Le principe : on prend ce dont on a besoin. On donne ce qui ne nous est plus utile. Le don est imaginé comme concept et comme principe de création de liens (Pédagogie Sociale). C’est un espace qui est mis en place tous les vendredis à la Maison Pour Tous. Nous réceptionnons les dons dans la semaine et nous trions. Ce qui n’est pas donné repart dans d’autres associations caritatives ou pour le recyclage. Ce magasin s’exporte en centre-ville plusieurs fois dans l’année sous la forme de GRANDS DEBALLAGES. Les dépenses tournent autour d’achats de matériels de type commerçants ambulants et de la communication.

Des accueils et des interventions solidaires.

Selon les situations rencontrées, les équipes professionnelles et bénévoles du centre social proposent des réponses très réactives et parfois d’urgence. C’est ainsi que nous contribuons aux déplacements dans les villes voisines pour que les habitants du quartier puissent bénéficier de colis solidaire (alimentation, épiceries sociales). Nous mettons à disposition des véhicules pour les déménagements ou les transports de meubles. Nous organisons les dons pour répondre à des situations d’extrêmes urgences (faim, froid…). Nous organisons des repas solidaires soit gratuits ou à prix coûtants dans l’année et lors de périodes de fêtes (NOËL par exemple). Les dépenses sont d’ordre d’achats de denrées et de fonctionnement (carburant).

Nous allons mettre en place une réflexion et une concertation sur les réponses d’urgence à apporter lors de situations compliquées pour les familles et les personnes isolées et/ou fragiles : pas de logements, pas de chauffage, pas d’eau, pas de voiture… Les circuits classiques apportent des réponses parfois trop tardives. Nous souhaitons proposer de la réactivité et de la proximité. Des pistes pour les années prochaines sont envisagées comme l’accès aux besoins essentiels (logement, nourriture, hygiène…). En rénovant un logement et en l’équipant, nous pourrions proposer des solutions d’attente et se positionner en complémentarité des circuits et dispositifs classiques.

Création d'un comité de pilotage avec 7 associations.

2 années de travail pour accorder les différentes asso sur un projet commun, les attendus du projet, définir la gouvernance, la relation avec le centre, trouver des financements.

8 mois de travaux de juin 2018 à janvier 2019.

Ouvert depuis le 28 janvier 2019

Le projet est né en 2016. L'achat de la Maison Commune (bâtiment de l'ancienne gendarmerie) et la réalisation des travaux se sont achevés en février 2019. Le montage financier et opérationnel a été effectué par un groupe d'habitants et les coordinateurs de l'EVS (une vingtaine de réunions et des dizaines de mails et échanges, rencontres avec la Commune de Vaour, l'architecte, le PETR). Il s'est étalé sur 3 ans. Le Causse café a ouvert ses porte en mars 2019.

Enquête auprès des publics usagers (MASAP, mediathèques, mairies, associations des séniors, centre des impôts, CAF..)

constats des partenaires (déficits d'accès aux outils numériques, formations ...)

Moyens financements (matériels, budget fonctionnnement, logistiques) 

solicitation Fond LEADER (Europe) + Conseil départemental + Commune

Nous avons mis en place un calendrier à l'année, élaboré avec le comité de pilotage, pour mettre en place les rencontres, les activités et les évènements.
En 2018, il y a 10 rencontres du comité de pilotage, 3 réunions d'organisations d'Alternatival, 1 réunion pour les Olympiades.

Pour les moyens financiers, matériels et humains, voir la fiche d'action.

• Recherche et choix des artistes avril 2018
• Présentation du projet en commission de la CCPB 18/04/18
• Projet des artistes pour fin Avril 2018
• Etude du projet artistique 17/05/18
• Ecriture du projet pour la DRAC
• Recherche des sites de créations et des sites d’exposition mai 2018
• Juin 2018 dépôt du dossier
• Communication sur le projet
• Septembre 2018 démarrage du processus de création
• Périodicité à définir rencontre entre les publics et les artistes. Chaque mois entre 6 et 12 rencontres sont organisées
• Septembre 2019 Vernissage des œuvres et festivités

Un petit marché a été mis en place une fois par semaine le mercredi en fin d'après-midi proposant des produits bios et locaux de la boutique.

Un événement présentant ce projet a été organisé fin de l'année 2018, avec différents stands informatifs et participatifs

Des armoires à partage vont être réalisées par les enfants inscrits au périscolaire dans l'école du quartier pour les installer dans les halls d'entrée des logements sociaux Dynacité du quartier.

Des panneaux d'affichage pour les petites annonces et bons plans entre voisins vont être créé en 2019.

Début de l'action : janvier 2018

Accompagnement par un sociologue sur la méthodologie et les techniques participatives

Organisation de 2 rencontres par communes :

- rencontre 1 : recueillir les besoins des habitants sur un temps de rencontre collectif

- rencontre 2 : pré identifier avec les habitants des pistes de résolution possibles des besoins

Fin 2018 : plusieurs besoins émergents par communes --> sur chaque commune les habitants ont fait un choix sur le besoin prioritaire auquel il fallait répondre

Sur 2019 : création de groupes d'habitants pour travailler à la résolution du besoin identifié

2tude de terrain, COPIL, Cotech avec les habitants, ecoute large et orientée, definition des objectifs généraux et opérationnels, présenattion du dossier

2tude de terrain, COPIL, Cotech avec les habitants, ecoute large et orientée, definition des objectifs généraux et opérationnels, présenattion du dossier

Les bénéficiaires de cette action sont orientée par les référents RSA, plus particuliérement les CCAS des communes de Wimereux et Wimille. Notre action concerne 12 BRSA. Des actions d'insertion sociale sont mises en place avec un accompagnement individuel 1 fois par semaine autour de 5 activités. Des temps  d'immersion sont proposés.

L’action s’est concrétisée de plusieurs manières :

- La mise en place d’actions concrètes et classiques d’un échange de jeunes durant le séjour afin de favoriser la rencontre et le faire-ensemble. Des jeux de cohésion ont été proposés les premiers jours avant d’amener le groupe vers de la construction collective. Ces temps de construction se sont matérialisés par la mise en place d’activités choisies par et pour le groupe. Ils ont nécessité une refonte du planning durant le séjour (aspect envisagé lors la mise en place). Les activités ayant été pensées sur des demi-journées, et les jeunes souhaitant réaliser des sorties à la journée, les matinées de « conception vidéo » sont devenues des journées, ceci permettant au groupe des excursions journalières à Nantes et Angers. Logistiquement, ces sorties à la journée permettaient par ailleurs au groupe d’emprunter le train plus facilement.

- La mise en place d’actions jeunesse autour du séjour franco-grec afin de favoriser le rayonnement de l’échange sur les autres activités du Centre. Initialement pensées sur les sorties canoë et Nantes, ces sorties communes ont dû être modifiées compte-tenu du souhait des jeunes de l’échange de modifier leur propre planning. Ainsi, il y a au final une action jeunesse pré-ados qui a surtout permis de créer du lien avec le séjour. Il s’agit d’un atelier de caisses à savon (fabrication de voiturettes sans pédalier) qui s’est tenu sur le site de la Maison Familiale, auprès de l’échange franco-grec. Aucun temps « officiel » n’a été imaginé entre les 2 groupes mais les animateurs s’organisaient pour faire se croiser les jeunes au moment du déjeuner et/ou du goûter. Malgré les écarts d’âges, cette formule a surtout permis aux plus jeunes de constater ce qui pouvait les attendre ces prochaines années !                                                                        

- La mise en place d’une soirée festive, tout public le 21 juillet. Cette soirée Multipotes avait été pensée pour valoriser les actions jeunesse du moment. 130 personnes étaient présentes. Parmi eux, les jeunes de l’échange franco-grec, les jeunes de l’atelier caisses à savon, les jeunes d’un atelier « jeux-vidéos / retrogaming », des parents, des voisins et/ou les bénévoles du Centre Social Val’Mauges. Cette soirée se voulait conviviale et festive et le bilan est très positif. L’animation avait été confiée à La Charcuterie Musicale (blind test) et au duo Pierre Bouguier/Jacques Faucon pour le spectacle « Enchanté ». Entre les animations, le public était invité autour d’un buffet proposé par les uns ou les autres, et également pour Maryam et Oumaima. Les 2 animatrices marocaines ont été présentes au Centre Social durant 3 semaines en juillet sur des séjours et chantiers. Le jeudi 21 juillet, elles ont préparé des pâtisseries marocaines avec les enfants de l’accueil de loisirs de Bourgneuf en Mauges. Ces pâtisseries ont été proposées le soir lors de la fête ; les jeunes pâtissiers et leurs parents étaient également présents.

- La mise en place d’actions et ateliers favorisant les connexions avec la population. Ainsi, l’atelier vidéo souhaité par les jeunes a été guidé par les animateurs vers les habitants de La Pommeraye ! Sous forme de petits défis, les groupes franco-grecs devaient aller à la rencontre d’un jardinier local ou encore d’un commerçant pour continuer les fabuleuses histoires de Bébert. Ce personnage est né du premier échange en Grèce en 2015.

Toujours dans cet esprit d’ouverture, français et grecs sont allés passer une journée dans les familles respectives des jeunes français. Ceci a permis un lien plus étroit entre les jeunes grecs et les français.

Elle s'intègre dans l'axe citoyenneté de notre Projet Social. Une coordination de ces volontaires permet un accompagnement global et individualisé afin que chaque volontaire trouve sa place et soit influant sur les projets.

L'accompagnement se fait par des professionnels et des habitants, ce qui favorise la vie sociale de ces jeunes.

Les volontaires ont la possibilité d'intégrer des projets des autres Maisons de Quartier (SVE) afin de démultiplier les impacts.

Après avoir validé le choix de la destination avec le groupe de jeunes et leurs parents, nous avons mis en place différents groupes de travail : financement, transport, activités. Il est alors venu le temps de l'autofinancement afin de compléter les différentes subventions : CAF / DDCS 72, Région et Ofaj. Les jeunes ont pu réaliser leur projet de partir avec un autofinancement de 15 % et surtout rencontrer un groupe de jeunes sur place. A la suite ils décident de poursuivre sous la forme d'une junior association créée enovembre 2015 afin d'organiser l'accueil de jeunes allemandsl'année suivante. Les rencontres se sont organisées avec l'animateur jeunesse d'octobre 2014 à décembre 2015.

Cette action est toujours en cours, elles a seulement évoluer au cours des dernières années. Nous nous efforçons par contre a ce que les jeunes soient impliqués un maximum sur le projet, en amont , pendant , après le séjour. Il se réalise  sur 2 ou 3 années.
 

Lors de son entrée dans le dispositif, le jeune signe avec le Centre social ALCHIMIS une charte d'engagement qui prévoit la mise en œuvre de deux phases :

• Une phase préparatoire de mobilisation : durée 3 mois – Indemnisation du jeune : 0 €

L'objectif de cette phase, en tenant compte des caractéristiques et des envies singulières de chaque jeune, est d'apprendre à connaître ces jeunes tout en travaillant sur leur socialisation et le développement de leurs compétences. Ainsi, les actions suivantes sont mises en place :

• Rendez-vous individuels avec le référent des Ateliers citoyens au sein d'ALCHIMIS : coordination du parcours, échange avec le jeune sur son projet de vie, levée des freins, mise à jour administratives et sociales, …

• Mise en œuvre d'un projet collectif à visée citoyenne, accompagné par le référent d'ALCHIMIS.

• Travail notamment sur le respect des règles, le dépassement de soi, la gestion du stress au travers du sport.

• Travail sur la posture physique, la connaissance du corps à travers l'activité théâtre.

• Evaluation des compétences et émergence/valorisation des envies à travers un bilan de compétence.

• Intégration aux différentes activités socio-culturelles et citoyenne d'ALCHIMIS.

• Accompagnement budgétaire, Bilan de santé, …

   

• Une phase de mission : durée 10 mois – Indemnisation du jeune : service civique

Dans la continuité de la phase de mobilisation, le jeune est positionné en mission de Service civique (10 mois) auprès d'une association ou d'une institution publique. La recherche et le choix de cette mission doit être en cohérence avec les envies, désirs du jeune, et pas nécessairement en fonction de son projet professionnel.

Le temps favorable de cette mission doit créer un contexte valorisant et émancipateur permettant de travailler en parallèle plus sereinement le projet de vie du jeune : retour en formation, recherche d'emploi, mise à niveau éventuelle, … …

Durant cette période de mission, de manière individuelle, les jeunes peuvent être orientés sur des accompagnements spécifique (ex : levée des freins psychologiques, …), sur des immersions métiers ou formations, sur des temps de formation qualifiant ou non, …

De plus, à la fin de cette période est réalisé un bilan d'évolution, en lien avec le bilan de compétence, permettant de mettre en exergue les compétences, savoirs faires et savoirs êtres acquis durant le dispositif.

Cette action est menée par une commission animée par un animateur socioculturel permanent. Elle se réunie en générale une fois par mois avant l'événement puis une fois après autour d'un repas confectionné par chacun pour le bilan et se remémorer les bons moments ou les options à ne pas reprendre.

La première réunion de Janvier/Février procède au choix du sujet ( maintenant avec 2 années d'avance).